Tesi sul tema "Civils et guerre – Allemagne – 1900-1945"

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Arnaud, Patrice. "Les travailleurs civils français en Allemagne pendant la Seconde guerre mondiale (1940-1945) : travail, vie quotidienne, accommodement, résistance et répression". Paris 1, 2006. http://www.theses.fr/2006PA010678.

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Abstract (sommario):
Nous avons étudié la vie quotidienne des travailleurs civils français en Allemagne (volontaires, requis et prisonniers transformés) pendant la Seconde guerre mondiale. Leur comportement dans les usines obéissait à des logiques complexes d'aigreur d'avoir à produire pour un pays ennemi, de défense de soi et de solidarités ouvrières. Travailleurs libres, les Français étaient, comme les Allemands, touchés par les restrictions alimentaires et les bombardements alliés. Dans les camps, ils connaissaient une vie difficile, liée à la surpopulation, une mauvaise hygiène et des rythmes de repos divergents. Si les Français vivaient entre eux, ils ont aussi établi des rapports conflictuels, amicaux, voire amoureux avec la population allemande et les autres travailleurs étrangers. Nous avons aussi analysé les politiques d'encadrement de cette main-d'œuvre par l'État nazi et les entreprises allemandes et les diverses logiques répressives visant à stimuler son rendement et maintenir sa discipline.
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Fauroux, Camille. "Les travailleuses civiles de France : des femmes dans la production de guerre de l'Allemagne national-socialiste (1940-1945)". Paris, EHESS, 2016. http://www.theses.fr/2016EHES0117.

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Abstract (sommario):
Entre 1940 et 1945 près de 80 00 femmes partent de France pour travailler sur le territoire de l'Allemagne national-socialiste. L'emploi massif de travailleurs étrangers en Allemagne s'inscrit dans une stratégie plus large pour augmenter la production de guerre sans déstabiliser l'ordre familial national-socialiste. Du point de vue de Vichy, le recrutement de femmes en France pour l'Allemagne est problématique, car il révèle les contradictions entre la collaboration économique et la restauration de la famille au coeur du projet de la Révolution nationale. Cette thèse s'intéresse aux discours et aux politiques transnationales du travail dans la production de guerre de l'Allemagne national-socialiste et les met en relation avec l'expérience des travailleuses civiles, telle qu'elle se donne à voir dans les archives des ouvrières françaises employées dans l'électroindustrie à Berlin. Elles vivent dans des camps de femmes administrés par les entreprises qui les emploient. Ces camps jouent un rôle fondamental dans la surveillance et la contrainte au travail et empêchent les familles de vivre ensemble. Il en résulte des relations de couple précaires et informelles. Les relations des mères avec leurs enfants sont organisées et surveillées au camp, mais elles deviennent de plus en plus difficiles à maintenir au fur et à mesure de la guerre. Au moment du rapatriement et dans l'immédiat après-guerre, en 1945-1946, les travailleuses civiles font l'objet de représentations négatives mêlant déloyauté politique et sexuelle et sont construites par l'Etat comme une catégorie administrative univoque "les travailleuses volontaires". Ces étapes dessinent pour des décennies les contours de leur silence et de leur prise de parole
This study considers how transnational work policies and nation-building projects shaped the intimate, daily lives of the 80,000 women who departed from France to work in Nazi Germany between 1940 and 1944. The large-scale employement of foreign labor in Germany was part of a broader strategy to increase military production without disturbing the Nazi family order. The German recruitement of French women created tensions for the French state which sought both to foster economic collaboration and restore the French family. This dissertation examines these transnational wartime labor policies and discourses and links them to personal experience, drawing on a case study of French women employed in Berlin's electronic industry. These women lived in foreign workers' camps organized by their employers. These camps were key in enabling surveillance and work coercion, while preventing families from living together. In this context, the women created precarious and informal romantic relations, many giving birth to children. Mother-child ties were monitored and facilitated in the camps, but became increasingly difficult to maintain as work pressure rose. Bridging transnational and personal scales, this thesis examines the nexus of war, work, and family while addressing themes of agency, gender, and memory
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Cadiot, Aliénor. "Vichy et les Algériens : Indigènes civils musulmans algériens en France métropolitaine (1939-1944)". Thesis, Paris, EHESS, 2020. http://www.theses.fr/2020EHES0131.

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Abstract (sommario):
La présence en métropole de dizaines de milliers d’Algériens entre 1939 et 1944 est un fait connu mais qui n’a pas été étudié avec précision, ni par l’historiographie de la Seconde Guerre mondiale, ni par celle du fait colonial français. A priori considérée comme statique, l’immigration algérienne est en réalité un phénomène dynamique. En effet entre 1939 et 1942, trois vagues migratoires eurent lieu entre les deux rives de la Méditerranée. L’Algérie est à la veille de la guerre un territoire travaillé par des forces politiques puissantes et opposées, allant de l’indépendantisme à l’assimilationnisme. A la fin de l’année 1939 et au début de l’année 1940, la Troisième République met en place un recrutement en Algérie pour les besoins de l’économie de guerre, dans le cadre d’un recrutement plus large dans différentes colonies. Dans ce contexte, l’installation du régime de Vichy en Algérie est un phénomène complexe, qu’il serait artificiel de séparer de la métropole. En parallèle des questions relatives à la main-d’œuvre, une intense surveillance des populations estampillées « nord-africaines », dans leur immense majorité, algériennes, est organisée : le régime de Vichy met en effet en place un service secret dont le but est de surveiller la propagation de la propagande nazie sur les deux rives de la Méditerranée (le Service des affaires algériennes, SAA). Ce service est créé à Marseille, point nodal de toutes les questions touchant à l’Algérie pendant les années de guerre : en effet, au delà du SAA, les services de la main-d’œuvre nord-africaine (MONA) de tout le territoire sont également largement chapeautés par celui de Marseille, qui a en charge la gestion du flux migratoire à travers la Méditerranée. Car juste après l’armistice, le tout nouveau régime de Vichy initie un rapatriement des Algériens vers l’Algérie, qui s’intensifie de l’été 1940 au début de l’année 1941, notamment dans l’espoir de réduire le chômage en métropole. Puis, à l’inverse, à partir de l’année 1942, dans le contexte plus large de la mise au travail de l’Europe par l’Allemagne, un nouveau recrutement pour la métropole est organisé en Algérie, alors que de nombreux Algériens tentent de fuir des formes de travail qui ne leur conviennent pas. Ce recrutement est particulièrement intense pour le secteur minier. En zone occupée, c’est sur Paris que se concentrent les efforts de surveillance : la ville est particulièrement suspecte. En effet, alors que les institutions parisiennes dédiées à l’administration des « Nord-Africains » dans la région sont aux prises avec les conditions de l’occupation, un certain nombre d’Algériens sont en contact à la fois avec les partis collaborationnistes et avec les autorités d’occupation, que ce soit pour des raisons politiques ou commerciales. Après le débarquement en Afrique du Nord le 8 novembre 1942 et l’invasion de la zone sud trois jours après, alors que l’entièreté du territoire métropolitain est occupée et que l’Algérie est passée aux mains des Alliés, l’État français s’emploie à refondre les services métropolitains en charge de l’administration des « Nord-Africains », inventant de fait un nouveau contenu au syntagme. Jusqu’aux derniers jours de l’occupation, cette administration fera en sorte de s’accorder la « loyauté » des « Nord-Africains » à l’Empire et à la France
The presence of tens of thousands of Algerians in metropolitan France between 1939 and 1944 is a known fact but one which has not been studied with precision, neither by the historiography of the Second World War, nor by that of the French colonial empire. Considered static, Algerian immigration is in reality a dynamic phenomenon. Indeed, between 1939 and 1942, three migratory waves took place between the two shores of the Mediterranean.On the eve of the war, Algeria is a territory worked by powerful and opposing political forces, ranging from separatism to assimilationism. At the end of 1939 and at the beginning of 1940, the Third Republic set up recruitments in Algeria for the needs of the war economy, as part of a wider recruitment process in various colonies. In this context, the installation of the Vichy regime in Algeria is a complex phenomenon, and it would be artificial to separate Algeria from the metropole.Simoultaneously, an intense surveillance of the populations considered as "North Africans", in majority Algerians, is organized: the Vichy regime sets up a secret service whose aim is to monitor the propagation of Nazi propaganda on both shores of the Mediterranean (the Algerian Affairs Service, SAA). This service is created in Marseilles, the nodal point of all questions relating to Algeria during the war years: indeed, beyond the SAA, the North African workforce services (MONA) of the whole metropole are also largely headed by that of Marseilles, which is in charge of managing the migratory flow across the Mediterranean. Indeed, just after the armistice, the new Vichy regime initiated a repatriation of Algerians to Algeria, which intensified from the summer of 1940 to the beginning of 1941, in the hope of reducing unemployment in the metropole. Conversely, from the year 1942 and in the broader context of forced recruitment of european workers by Germany, a new recruitment for the metropole is organized in Algeria, while many Algerians try to flee forms of work that do not suit them. This recruitment is particularly intense for the mining sector.In the occupied zone, surveillance efforts concentrate on Paris. The city is particularly suspect. Indeed, while the Parisian institutions dedicated to the administration of "North Africans" in the region are grappling with the conditions of the German occupation, a certain number of Algerians are in contact with both the collaborationist parties and with the occupation authorities, whether for political or commercial reasons. After the landing in North Africa on November 8th, 1942 and the following invasion of the southern zone three days later, as the entire metropolitan territory passed under German occupation and Algeria into the hands of the Allies, the Etat français makes efforts to overhaul the metropolitan services in charge of the administration of "North Africans", in fact inventing a new content for the phrase. Until the last days of the occupation, this administration will ensure that "North Africans" remain "loyal" to the Empire and to France
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Régis, Nina. "Le pain de guerre allemand : une histoire culturelle de l'arrière, 1914-1919". Electronic Thesis or Diss., Toulouse 2, 2022. http://www.theses.fr/2022TOU20083.

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Abstract (sommario):
Durant la Première Guerre mondiale, l’impossibilité d’importer des matières premières et des céréales depuis les pays ennemis oblige l’Allemagne à rationner ses denrées. Le premier aliment soumis à ce régime est le pain. Depuis le début du conflit en 1914 jusqu’au traité de Versailles en 1919, il s’agit d’étudier l’expérience de cet aliment de base et de montrer en quoi son évolution qualitative et quantitative a eu un effet sur le soutien de l’arrière à la poursuite de la guerre. Cette question invite à lier l’histoire des sens à l’histoire des émotions, l’étude des pratiques sociales et des représentations culturelles, de la presse et de la censure, de la politique du pain, de la médecine et de la sécurité alimentaire. L’anticipation des premiers manques se matérialise d’abord, entre 1914 et 1916, par la création de nouvelles institutions et par la recherche de farines de substitution, mais aussi par l’invention d’un pain de guerre, dont la consommation se mue en acte patriotique. À partir de 1916, la dégradation qualitative de l’aliment de base, refusé, mais souvent subi, raillé par l’ennemi, entraîne l’expression du dégoût. Entre 1918 et 1919, le pain de guerre est au cœur de revendications, d’un retour aux goûts des temps de paix et d’une remise en cause plus fondamentale du rationnement, ainsi que du rôle de l’État. Rendue possible par de riches fonds d’archives, cette étude invite à remettre en question plusieurs préjugés français concernant « le pain de guerre allemand », prenant racine dans une opposition plus ancienne entre pain blanc et pain noir. La conservation des traces matérielles et la transmission des pratiques de fabrication indiquent enfin le rôle capital de cet aliment de base dans l’expérience, mais également dans le souvenir de la guerre, et démontrent l’intérêt d’un sujet dont les enjeux se prolongent jusqu’à la Seconde Guerre mondiale
During the First World War, as it was impossible to import raw material and cereals from enemy countries, Germany had to impose bread rationing on the population. The first food to be rationed was bread. From the beginning of the conflict in 1914 to the treaty of Versailles in 1919, this study’s objective is to understand the experience of this food and in what way it’s qualitative and quantitative evolution influenced the Homefront’s will to support the war. The question leads to link the history of the senses with the history of emotions, the study of social practices and of cultural representations, of the press and the censorship, of the politics of bread, of the medicine and of the food security. The anticipation of the first shortages materializes from 1914 to 1916 through the creation of new institutions and the search for new substitutes to replace flour, but also through the invention of a war bread, which consumption becomes a patriotic gesture. From 1916 on, the bread’s qualitative and quantitative decline leads to the expression of disgust and to its refusal, although it continues to be suffered by the consumers and mocked by the enemies. From 1918 to 1919, war bread remains in the heart of demands for the return to the tastes of peace times and a more fundamental reassessment of the rationing system, as well as the State’s role. This study had been made possible thanks to many precious archives and invites to question several prejudices concerning « the German war bread » rooted in a more ancient opposition between white and black bread. The conservation of material traces and the transmission of bread-making practices in the long run indicate the capital role of this food for the experience, but also for the remembrance of the war. They prove the interest of a subject which stakes stretch out until the Second World War
Während des Ersten Weltkrieges, als keine Rohstoffe und Getreide mehr aus den benachbarten verfeindeten Staaten importiert werden konnten, mussten Lebensmittel in Deutschland rationiert werden. Das erste rationierte Lebensmittel war das Brot. Vom Anfang des Krieges an, im Jahre 1914, bis zum Vertrag von Versailles im Jahre 1919 geht es darum, die Broterfahrung zu erforschen und zu zeigen, inwiefern die qualitativen und quantitativen Veränderungen die Bereitschaft, der in der Heimat verbliebenen, den Krieg weiterhin zu unterstützen, beeinflusste. Diese Frage ermöglicht es, die Geschichte der Sinne und der Emotionsgeschichte, die Studie der sozialen Praktiken und der kulturellen Darstellungen, der Presse und der Zensur, der Brotpolitik, der Medizin und der Ernährungssichterheit, miteinander zu verbinden. Den ersten Mangelerscheinungen wurde zwischen 1914 und 1916 einerseits durch die Bildung von neuen Institutionen und durch die Suche nach neuen Ersatzmehlsorten entgegengewirkt, andererseits durch die Erfindung eines Kriegsbrotes, dessen Konsum als eine patriotische Geste gedeutet wurde. Ab 1916 rief die qualitative Verschlechterung des Grundnahrungsmittels, das abgelehnt, doch oft erduldet und von den Feinden verspottet wurde, das Gefühl des Ekels hervor. Zwischen 1918 und 1919 befindet sich das Kriegsbrot im Mittelpunkt der Forderungen nach einer Rückkehr zu den Geschmäckern der Friedenszeiten, und zugleich einer grundsätzlicheren Infragestellung des Rationierungssystems und der Rolle des Staates. Ermöglicht wurde diese Forschung durch eine günstige Quellenlage. Durch diese werden Vorurteile bezüglich des « deutschen Kriegsbrotes » hinterfragt, die mit der viel älteren Gegenüberstellung zwischen Weiß- und Schwarzbrot zusammenhängen. Die langfristige Konservierung der materiellen Spuren und die Weitergabe der Herstellungspraktiken deuten auf die wesentliche Rolle des Nahrungsmittels für die Kriegserfahrung, aber auch für die Erinnerung an den Krieg. Sie beweisen die zentrale Stelle eines Themas, das bis zum Zweiten Weltkrieg weiterhin eine Schlüsselrolle einnimmt
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Fagot, Maude. "Kommunikation in Kriegsgesellschaften am Beispiel der Evakuierung der deutsch-französischen Grenzregion (1939/40)". Electronic Thesis or Diss., Paris 4, 2016. http://www.theses.fr/2016PA040155.

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Abstract (sommario):
Alors même que la France et la Grande-Bretagne s’apprêtent à déclarer la guerre à l’Allemagne, plus d’un million de personnes sont évacuées de la frontière franco-allemande. Encadrés de part et d’autre de la frontière par les autorités civiles et militaires, les Alsaciens, Lorrains, Badois et Sarrois, vivant entre les lignes défensives (ligne Maginot, Ligne Siegfried) et la frontière, sont transportés vers l’intérieur de leur pays respectifs. Ces mesures d’évacuation du début de la Seconde Guerre mondiale constituent pour les deux sociétés, après la mobilisation des hommes en âge de se battre, la seconde grande mesure de guerre faisant passer ces deux sociétés civiles à l’état de sociétés en guerre. Cette transformation a non seulement des conséquences au niveau social, politique et économique, mais également des effets au niveau communicationnel, ce qui constitue l’objet de cette thèse. Il s’agit, à travers le phénomène de l’évacuation, de faire ressortir les mécanismes de communication des États au niveau de leur propagande nationale, de faire apparaître les interactions et méthodes de communication entre les autorités locales et les évacués et enfin d’éclairer les systèmes de communication au sein des groupes des évacués à travers l’analyse des rumeurs de pillages des zones évacuées. Cette approche permet de retracer une histoire de la communication dans les sociétés en guerre française et allemande dans laquelle fusionnent les perspectives ascendante et descendante mais également comparative et transnationale. Ainsi, la communication des sociétés en guerre apparaît comme le fruit de négociations et d’interactions en constante évolution entre acteurs aux intérêts différents. De cette étude ressortent également les limites d’influence des deux États au sein de leur population, qu’il s’agisse d’un État républicain démocratique telle la Troisième République ou bien d’un État dictatorial aux ambitions totalitaires comme le fût le « Troisième Reich »
While France and Great-Britain were about to declare war on Germany, more than one million persons were evacuated from the Franco-German Border. Led on both side of the border by civilian and military authorities, the Alsatians, Lorrainers, Badners and Saarlanders living between the defence lines (Maginot-Line, Siegfried Line) were transported inside their own country. These evacuations measures formed – after the mobilization on the front of the men in-age to fight – the second important measure of war, which turned these civil societies into war societies. This transformation has not only consequences on political, economic and social level, but also on communication, which is the topic of this doctoral thesis. The evacuations phenomena allow us to shed light on state propaganda on a national and international level, to reveal the communication methods and interactions between the local authorities and the evacuees and finally to show the communications systems within groups of evacuees by analysing rumours on pillages of the evacuated region. This approach highlights a history of communication in both French and German war society based on top-down and bottom-up perspectives and on comparative and transnational analyses. Communication in war society appears as the fruit of negotiations and interactions in constant evolution between agents with different interests. This study emphasized the limits of the state’s influence over the population, both in a republican democratic state as the French Third Republic and in a dictatorial state with totalitarian ambitions such as the “Third Reich”
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Francois, Anne. "Exploiter terres et populations conquises au nom du national-socialisme : l'Ostland dans les Ardennes pendant la Seconde Guerre mondiale". Thesis, Normandie, 2019. http://www.theses.fr/2019NORMC030/document.

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Abstract (sommario):
En mai 1940, la population ardennaise fuit devant l’arrivée des troupes allemandes. Les ressources économiques et agricoles du département, qui faisaient pourtant l’objet de plans d’évacuation préparés dès les années 1930, sont abandonnées à l’occupant. Quelques semaines plus tard, une vaste zone du nord-est de la France, dont les Ardennes font partie, est déclarée « zone interdite ». Les terres cultivables sont confisquées à leurs propriétaires et prises en charge au profit du Reich par une entreprise appelée Ostland, qui a déjà orchestré un semblable mouvement de spoliation en Pologne depuis son invasion. L’une de ses filiales régionales, la WOL III, met en place dans les Ardennes un vaste projet d’implantation des méthodes agricoles nationales-socialistes qui nécessite une abondante main-d’œuvre. Des agriculteurs allemands, appelés « chefs de culture » sont diligentés sur place et gèrent de grandes exploitations dans lesquelles travaillent plusieurs milliers de prisonniers français et coloniaux ainsi que 5 000 agriculteurs ardennais contraints à se mettre à leur service. Des ouvriers juifs sont également recrutés et des milliers de Polonais, expulsés de leurs villages, sont déportés pour travailler dans ces fermes qui exercent une agriculture intensive. Cette situation engendre des tensions sociales qui s’expriment particulièrement lors de la Libération et lors de procès d’épuration qui visent certains employés de l’Ostland. Les autorités françaises tentent de gérer au mieux la liquidation de l’entreprise allemande et l’organisation du rapatriement des Polonais dans leur pays, deux opérations difficiles qui nécessitent de longs mois. La reconnaissance des victimes de l’Ostland est inégale et tardive puisqu’elle n’intervient qu’à partir des années 1990. Des mémoires distinctes et spécifiques aux différents groupes de travailleurs émergent aussi à cette époque et s’expriment lors de commémorations
In May 1940, the population of the Ardennes fled from the arrival of the German troops. The economic and agricultural ressources of the department, which yet had been subject to evacuation plans since the thirties, were given up to the occupying forces. A few weeks later, a large area of the North-East of France including the Ardennes was declared « forbidden zone ». The cultivable land was confiscated from its owners and taken over for the benefit of the Reich by a company named Ostland, which had already orchestrated a similar spoliation movement in Poland since its invasion. One of its local subsidiaries, WOL III , set up in the Ardennes a vast project to implement the National Socialist agricultural methods which required an abundant workforce. Some German farmers, called crop managers, were sent out there to run large farms on which several thousands of French and colonial prisoners as well as 5000 Ardennes farmers were working under duress. Jewish labourers were also recruited and thousands of Poles, expelled from their villages, were deported to work on these farms with intensive agriculture. This situation caused social tensions that were particuliarly evident during the Liberation and during the « purification » trials involving some WOL employees. French authorities tried to manage the liquidation of the German company and the organisation of the repatriation of the Poles, two difficult operations that took many months to complete. Recognition of Ostland victims was uneven and late since it occurred only from the 1990s onwards. Distinct memories specific to the different groups of workers also emerged at that time and were expressed during commemorations
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Cerovic, Masha. "Les Enfants de Joseph : les partisans soviétiques : révolution, guerre civile et résistance armée à l'occupation allemande en URSS (1941-1944)". Paris 1, 2012. http://www.theses.fr/2012PA010669.

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Abstract (sommario):
Les partisans soviétiques ont formé pendant la Deuxième Guerre mondiale un des principaux mouvements de résistance armée à l'occupation allemande en Europe, implanté dans les vastes forêts de Biélorussie, du nord de l'Ukraine et de Russie occidentale. En croisant les archives allemandes et soviétiques, les sources institutionnelles, celles des unités de partisans elles-mêmes et des ego-documents, ce travail explore l'expérience et la culture de guerre des partisans soviétiques, en centrant l'analyse autour de la nature, des racines et des effets de la violence politique telle que subie et exercée par les partisans. Il analyse l'impact de la violence d'occupation allemande, l'émergence et la structuration du mouvement partisan, les relations complexes des partisans avec l'Etat-Parti soviétique, leurs conceptions de la patrie soviétique, les relations entre civils et combattants et les dynamiques de radicalisation de la violence en territoire occupé. Il montre que les partisans soviétiques étaient le produit à la fois d'une culture politique spécifique héritée de la Révolution et de la violence d'occupation allemande: ils comprenaient leur action comme un moment essentiel d'une apocalypse révolutionnaire ouverte en 1917, sans que leur mouvement s'inscrive dans la simple continuité des conflits qui avaient marqué l'URSS jusqu'à la guerre.
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Chopard, Thomas. "La guerre aux civils : les violences contre les populations juives d'Ukraine (1917-1924) : guerre totale, occupations, insurrections, pogroms". Paris, EHESS, 2015. http://www.theses.fr/2015EHES0147.

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Abstract (sommario):
La guerre civile qui s'est déroulée dans l'ancien empire russe après 1917, a constitué pour les populations juives d'Ukraine la pire persécution avant la Shoah, une confrontation avec une guerre terrible et meurtrière ainsi qu'une nouvelle vague de violences spécifiquement antisémites. Le présent travail explore donc les raisons de l'émergence d'une nouvelle forme d'antisémitisme, pétri de ressentiment religieux et économique, mais renouvelé en profondeur par l'émergence du mythe du judéo-bolchevisme. L'antisémitisme connut une embellie suite à la révolution de 1917 parce que la figure du Juif servait tout particulièrement de repoussoir aux mouvements nationalistes ukrainien et russe qui s'affrontaient avec les partisans d'un pouvoir soviétique en Ukraine. L'antisémitisme servit par conséquent de base à la gestion au quotidien par les armées combattantes, de plus de deux millions de Juifs ukrainiens. Et il ouvrit sur des séries de pogroms extrêmement violents dont la perpétration est analysée en détails dans ses constantes et ses variations. Une attention toute particulière est donnée aux formes les plus extrêmes de cette violence antisémite portée par des voisins contre leurs voisins juifs, confinant à des cas de nettoyage ethnique et d'extermination. Dans un dernier temps sont analysés les effets immédiats et à plus long terme sur les victimes de cet déchaînement de violences : réfugiés de guerre gérés brutalement par les pays voisins, recomposition de la population et intégration à la nouvelle société soviétique
Civil War that ravaged the former Russian Empire after 1917, was also the moment of the worst anti-Jewish persecution before Holocaust, a mix between a deadly war and a new wave of specific violence against Jews. This work explores why emerged a new form of anti-Semitism, fulfilled with religious and economic resentment, but also deeply renewed by a new powerful myth : judeo-bolshevism. Anti-Semitism worsens after 1917 revolution because the Jew's image was a powerful imaginary antagonism for nationalisms - both Ukrainian and Russian - that fought against the supporters of a soviet regime in Ukraine. Anti-Semitism was therefore a basic category in daily management of civilian populations, and especially of the two million Jews in Ukraine, by fighting armies. This context led to mass perpetration of anti-Jewish pogroms that are analysed in details in their patterns and variations. The most extreme forms of violence are emphasized, especially cases of violence from Christians against their Jewish neighbours that moulded a politic of ethnic cleansing and sometimes of extermination. Finally are analysed the immediate and long term effects of violence on the victims. Massive war refugees were brutally managed by neighbour countries, in a last moment of violence. Recomposition of the Jewish population and its prompt integration to the new Soviet society closed this sequence of a decade of war
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Geiger, Wolfgang. "L'image de la France dans l'Allemagne hitlérienne et pendant l'après-guerre immédiat". Nantes, 1996. http://www.theses.fr/1996NANT3007.

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Abstract (sommario):
L'image de la france et des francais est analysee a partir d'une centaine de monographies (politiques et historiques, reportages journalistiques, souvenirs de soldats). Pour la periode de la guerre, on a depouille egalement l'hebdomadaire das reich et les revues specialisees, ainsi que les documents d'archives relatifs a la perception des francais par les autorites allemandes et a la propagande culturelle de l'occupant. L'analyse montre que, jusqu'en 1938, dans le cadre de la "propagande de paix" hitlerienne, des appreciations differentes de la france pouvaient coexister: l'approche nationaliste, mais teintee d'un sentiment d'"amourhaine", de friedrich sieburg, puis l'approche francophile de paul distelbarth (doublee d'une defense de l'allemagne hitlerienne dans l'edition francaise de son livre), et enfin l'ethno-racisme des soi-disant "raciologues". L'opposition antinomique, plus ancienne, de l'etre" francais et de l'"etre" allemand, culminant dans l'idee que les francais travaillent pour vivre tandis que les allemands vivent pour travailler, restait neanmoins le denominateur commun. Des jugements politiques divergents sur la part de la "culpabilite francaise" dans cette guerre s'opposerent pourtant meme a travers les ecrits de propagande de 1939 40. Derriere les problemes de tactique qui dominerent ensuite les annees d'occupation, centres sur la question de la collaboration du point de vue allemand, la perception stereotypee des francais se renforca, mais plus d'un auteur ne fut pas sans trahir un sentiment d'ambiguite, porte jusqu'a l'"amour-haine" de type sieburgien, ne serait-ce que sous la forme d'une jalousie concernant le statut de l'intellectuel et de la culture en general en france. Les francais etaient-ils capables de changer d'attitude, sous l'impact de la victoire allemande et de la contrainte d'une collaboration economique avec l'occupant, telle fut pourtant la question qui domina les ecrits sur la france de vichy. La derniere partie montre dans quelle mesure, par dela la rupture politique de 1945, beaucoup de ces stereotypes persisterent dans l'allemagne occidentale occupee
This analysis of the image of france and the french is based on about a hundred of monographs (political and historical works, journalistic reports, memories of soldiers). Concerning the war period, we have also exploited the weekly das reich and special reviews as well as archive documents dealing with the perception of the french by the german authorities and with their cultural propaganda. The analysis demonstrates that until 1938, in the context of hitler's peace propaganda", different views of the french could coexist: first, friedrich sieburg's approach which was nevertheless marked by a sentiment of "love and hate", second, paul distelbarth's francophile approach (eclipsed by the defense of nazi germany in the french edition of his book); and third, the ethno-racism of the so-called "raciologues". But all tendencies agreed on the antithetical opposition between french and german "being", culminating in the idea that the french work for living whereas the german live for working. But different political judgements about the degree of "french guiltiness" in this war were opposing each other even in the propaganda writings of 1939 40. Behind the problems of tactics which dominated during the occupation of france, concerning the question of collaboration from the german point of view, the stereotypical perception of the french was intensified, but more than one author revealed a sentiment of ambiguity or even of "love and hate" in a sieburgian way, at least by being jealous of the status of the intellectuals and more generally of culture in france. Were the french able to change their attitude after german victory and under the pressure of collaboration, this was the question dominating the writings about vichy france. The last part of the thesis points out in which mesure many of these stereotypes persisted in occupied western germany, beyond the political turn of 1945
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Ingrao, Christian. "Les intellectuels SS du SD, 1900-1945". Amiens, 2001. http://www.theses.fr/2001AMIE0007.

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Fagot, Maude. "Kommunikation in Kriegsgesellschaften am Beispiel der Evakuierung der deutsch-französischen Grenzregion (1939/40)". Thesis, Paris 4, 2016. http://www.theses.fr/2016PA040155.

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Abstract (sommario):
Alors même que la France et la Grande-Bretagne s’apprêtent à déclarer la guerre à l’Allemagne, plus d’un million de personnes sont évacuées de la frontière franco-allemande. Encadrés de part et d’autre de la frontière par les autorités civiles et militaires, les Alsaciens, Lorrains, Badois et Sarrois, vivant entre les lignes défensives (ligne Maginot, Ligne Siegfried) et la frontière, sont transportés vers l’intérieur de leur pays respectifs. Ces mesures d’évacuation du début de la Seconde Guerre mondiale constituent pour les deux sociétés, après la mobilisation des hommes en âge de se battre, la seconde grande mesure de guerre faisant passer ces deux sociétés civiles à l’état de sociétés en guerre. Cette transformation a non seulement des conséquences au niveau social, politique et économique, mais également des effets au niveau communicationnel, ce qui constitue l’objet de cette thèse. Il s’agit, à travers le phénomène de l’évacuation, de faire ressortir les mécanismes de communication des États au niveau de leur propagande nationale, de faire apparaître les interactions et méthodes de communication entre les autorités locales et les évacués et enfin d’éclairer les systèmes de communication au sein des groupes des évacués à travers l’analyse des rumeurs de pillages des zones évacuées. Cette approche permet de retracer une histoire de la communication dans les sociétés en guerre française et allemande dans laquelle fusionnent les perspectives ascendante et descendante mais également comparative et transnationale. Ainsi, la communication des sociétés en guerre apparaît comme le fruit de négociations et d’interactions en constante évolution entre acteurs aux intérêts différents. De cette étude ressortent également les limites d’influence des deux États au sein de leur population, qu’il s’agisse d’un État républicain démocratique telle la Troisième République ou bien d’un État dictatorial aux ambitions totalitaires comme le fût le « Troisième Reich »
While France and Great-Britain were about to declare war on Germany, more than one million persons were evacuated from the Franco-German Border. Led on both side of the border by civilian and military authorities, the Alsatians, Lorrainers, Badners and Saarlanders living between the defence lines (Maginot-Line, Siegfried Line) were transported inside their own country. These evacuations measures formed – after the mobilization on the front of the men in-age to fight – the second important measure of war, which turned these civil societies into war societies. This transformation has not only consequences on political, economic and social level, but also on communication, which is the topic of this doctoral thesis. The evacuations phenomena allow us to shed light on state propaganda on a national and international level, to reveal the communication methods and interactions between the local authorities and the evacuees and finally to show the communications systems within groups of evacuees by analysing rumours on pillages of the evacuated region. This approach highlights a history of communication in both French and German war society based on top-down and bottom-up perspectives and on comparative and transnational analyses. Communication in war society appears as the fruit of negotiations and interactions in constant evolution between agents with different interests. This study emphasized the limits of the state’s influence over the population, both in a republican democratic state as the French Third Republic and in a dictatorial state with totalitarian ambitions such as the “Third Reich”
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Vonau, Elsa. "De la cité-jardins à la ville-satellite : circulation et métamorphoses d'un modèle urbain en France et en Allemagne du début du vingtième siècle aux années 1924". Paris, EHESS, 2007. http://books.openedition.org/septentrion/4030.

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Abstract (sommario):
La recherche porte sur la réception en France et en Allemagne d’un projet conçu en Angleterre au tournant du XXème siècle, celui des cités-jardins. Elle a pour ambition de comprendre, à travers le prisme des échanges que ce projet a cristallisés, quel est le poids des formes dans l’évolution urbaine, c’est-à-dire aussi bien dans l’élaboration des savoirs sur la ville que dans le développement des techniques d’intervention. En articulant la perspective des transferts à la démarche comparative, elle entreprend de suivre la trajectoire du projet anglais en France et en Allemagne entre le début du XXème siècle et 1924, tout en s’interrogeant sur la nature des contacts, et les éventuelles coïncidences dans les évolutions urbaines, que l’assimilation d’un projet commun a pu susciter entre deux pays où les armatures urbaines, les savoirs urbanistiques et la croissance des villes s’étaient développés selon des voies très différentes
The research deals with the French and German reception of the garden city project which originated in England at the onset of the 20th century. It aims at elucidating the weight of forms in the development of cities – both, in regard to the elaboration of knowledge about the city and the development of urban policies – across the prism of exchanges generated by the project. In linking the perspective of transfers to that the comparison, the thesis follows the English project’s trajectory in France and Germany between the beginning of the 20th century and 1924 : the process of assimiliation of a common project is scrutinized for the nature of contacts as well as for potential coincidences in urban evolutions in the two countries which hitherto had experienced a very unlike development of urban growth, urban tissues and urbanistic knowledge
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Laparra, Jean-Claude. "Matériels de circonstances et fabrications de guerre dans l'armée allemande, 1914-1918". Paris 1, 1996. http://www.theses.fr/1995PA010554.

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Abstract (sommario):
Cette these veut mettre en evidence que l'etat des materiels traduit les insuffisances de l'armee allemande pendant la premiere guerre mondiale et l'epuisement economique de l'allemagne. En effet, au cours de ce conflit, les soldats allemands n'ont pas ete equipes que de materiels modernes, allemands, bien concus, fabriques convenablement comme en temps de paix, attribues en quantites suffisantes, etc. Beaucoup d'autres, dont la conception, la realisation et la distribution tiennent aux conditions de production de cette periode ainsi qu'aux circonstances, ont participe a leur equipement. Cette situation - jointe a des lacunes, par exemple dans la preparation de la mobilisation - fait apparaitre l'imperfection de la machine de guerre allemande, qui n'explique sans doute pas a elle seule son echec mais en constitue assurement l'une des raisons
The author intends to prove that the situation of the military materials shows what was insufficient in the german army during the first world war and how economically exhausted germany was. Actually, throughout this fight , german soldiers were not equipped only with materials which were modern, german, well designed, suitably made as in peace time, sufficently delivered, etc. Many others, which the german army was provided with, had a conceiving, a realization and a distribution which were issued owing to the producing conditions of this period and circumstances. This situation - combined with failures, for instance in the preparation of the mobilization - shows the imperfection of the german 'war machine'; only by itself, it does not explain the defeat of the german army but it certainly makes up one of the reasons
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Leleu, Jean-Luc. "Soldats politiques en guerre : sociologie, organisations, rôles et comportements de la Waffen-SS en considération particulière de leur présence en Europe de l'Ouest : 1940-1945". Caen, 2005. http://www.theses.fr/2005CAEN1419.

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Abstract (sommario):
La recherche a pour objet de déterminer l'action et le rôle précis tenus par l'ensemble des formations militaires de la Waffen-SS pendant la Deuxième Guerre mondiale. A cette fin, l'étude s'est concentrée sur un théâtre d'opérations particulier, en l'occurrence l'Europe de l'Ouest (France, Belgique et Pays-Bas) de 1940 à 1945. Différents paramètres ont été pris en compte, en particulier la sociologie du recrutement, la composition, l'emploi fait de ces unités et leurs comportements. La problématique permet de dégager plusieurs éléments importants, à commencer par le rôle politique et idéologique que la direction SS du Reich, puis l'Etat lui-même, ont fait jouer à la Waffen-SS avec, pour finalité, la volonté de transposer en une " communauté de combat " sur le front la " communauté du peuple " de l'arrière, avec à la clé une transformation profonde de l'outil militaire institutionnel. Dans ce but, la propagande visant à faire de la Waffen-SS un modèle idéologique de l'Ordre noir a largement surfait la réputation d'élitisme militaire de la Waffen-SS. La collusion entre le corps des officiers supérieurs SS et la Reichsführung-SS a elle-même été déterminante dans ce processus. Parmi les plus anciennes formations, chacun d'eux a largement profité de l'autonomie née de leur statut d'exception au sein des forces armées allemandes pour satisfaire nombre d'ambitions personnelles et professionnelles. L'emploi fait des formations SS à l'Ouest ne révèle pour sa part aucune distinction significative sur le plan militaire, y compris dans les tâches répressives. En fait, les différences de comportements, et notamment la plus grande brutalité des troupes SS, étaient d'abord liée à la volonté (puis à la conscience) d'appartenir à une élite, et à une culture de violence certes issue de l'idéologie SS, mais savamment expurgée par les pères fondateurs de la SS en armes de tout ce qui pouvait nuire à l'efficience professionnelle de leurs troupes.
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Koulberg, André. "Les identités collectives : concept et stratégie (France-Allemagne) 1880-1945". Aix-Marseille 1, 2008. http://www.theses.fr/2008AIX10047.

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Abstract (sommario):
Les identités collectives, et leurs représentations, ont une histoire. Celle-ci est difficile à saisir car elle recouvre des réalités diverses et changeantes, et l'identité ne se définit pas aisément. Pour néanmoins y parvenir, le choix a été fait d'une démarche double : à la fois philosophique et historique. L'enquête historique cherche à cerner le contenu des représentations identitaires et des réalités qu'elles prétendent recouvrir à des époques déterminées (de 1880 à 1945), et dans des sociétés différentes (en France et en Allemagne) ; l'investigation philosophique analyse le concept d'identité et cherche des catégories susceptibles de mettre à jour les cohérences qui le constituent. La stratégie identitaire ainsi dégagée peut être confrontée à une réalité historique qu'elle ne réflète nullement.
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Guillot, Hélène. "Photographier la Grande Guerre : les soldats de la mémoire, 1915-1919". Paris 1, 2012. http://www.theses.fr/2012PA010617.

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Abstract (sommario):
Dès 1914, l'Allemagne semble maîtriser, sans commune mesure, les possibilités données par la photographie et elle en fait un outil de propagande internationale. En réaction, la France met en place au printemps 1915, la section photographique de l'année (SPA) destinée à contrer l'action allemande auprès des pays neutres en alimentant les services du ministère des Affaires étrangères. Le ministère de la Guerre fournit des hommes, convoite les photographes et se charge de la censure sur les images. Le sous-secrétariat aux Beaux-arts finance la totalité de l'opération voyant ici l'opportunité de constituer un fonds d'archives capable de témoigner devant l'Histoire. Au-delà des changements de noms ou bien de la fusion avec la section cinématographique (1917), la SPA devient lentement et très officiellement un outil sous l'influence de plus en plus prégnante des Beaux-arts. Son fonctionnement met en valeur le métier de reporter militaire ainsi que les conditions de production photographique sur le fion, Tout au long de la guerre, la SPA filtre les évènements et produit une actualité visuelle au bénéfice de la France et de ses alliés. Malgré tout, les hommes de la SPA, certes encadrés mais seuls au moment du cadrage, ils livrent leur interprétation du conflit et par là même une put de l'homme de 1914. En France et à l'étranger, la section organise elle-même la diffusion de ses images déclinées sur divers supports, expositions, brochures, cartes postales pour les principales, Appareil politique et artistique à diverses facettes, la SPA est l’unité privilégiée des soldats de la mémoire
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Bourrinet, Philippe. "Aux origines du courant communiste international des conseils : la Gauche communiste hollandaise (1907-1950) : du tribunisme au conseillisme". Paris 1, 1988. http://www.theses.fr/1988PA010553.

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Abstract (sommario):
L'école marxiste hollandaise, courant révolutionnaire symbolise par les noms de gorter et pannekoek, s'est formée au début du siècle. En opposition au 'réformisme' et a l'opportunisme de la IIe internationale, elle fut d'abord soutenue par Lénine, avant d'être attaquée par lui dans "la maladie infantile du communisme". Lors de la révolution allemande, elle s'érigea en tête théorique du mouvement des conseils (unions, kapd), antisyndical et antiparlementaire. Le courant international de la gauche communiste germano-hollandaise, hostile à la politique de l'état russe, fut expulse du Kominterm en 1921. Désormais, cette gauche devient le moteur du courant communiste des conseils, oppose au 'communisme de parti' et au 'communisme d'état' russes. Apres 1933, les 'conseillistes' hollandais se replient sur les Pays-Bas, prenant la direction théorique des groupes communistes des conseils rescapes de la catastrophe allemande. Hostile à toute organisation politique, le GIC de pannekoek et canne-meijer disparut en 1940. Malgré un bref renouveau après 1945, avec le Spartacus bond, le 'conseillisme' hollandais s'éteignit progressivement. Apres 1968, le courant 'conseilliste' a exercé une influence idéologique non négligeable par son rejet des appareils politiques et syndicaux du "vieux mouvement ouvrier", souvent conteste à la base. Le 'conseillisme' présente beaucoup de similitudes aujourd'hui avec le courant anarchiste
The 'dutch marxist school', a revolutionary current represented most by gorter and pannekoek, arrose at the turn of the century. In opposition to the 'reformism' and 'opportunism' of the 2. International, it was first supported by lenin, before he rebuffed them in 1920. During the german revolution (1918-21), they became the theoretical leaders of the "councils movement" (aau, kapd), standing up against unionism and parlamentarism. This communist 'dutch-german' left - hostile to the russian state policy - was expelled from komintern in 1921. The council communist current fought the 'party communism' and the 'state communism'. After 1933 this one 'withdrew' to the netherlands and took over the theoretical head of the concilist groups who had escaped from the german catastrophe. Hostile to any political organization, the dutch gic of pannekoek and canne-meijer disappeared in 1940. Despite a short revival in 1945 (spartacusbond), the dutch 'councilism' little by little faded away. After 1968 the councilism had a significant ideological influence by its rejection of all political and trade unionist apparatus of the 'old workers' movement', which the rank and file of the workers often criticise. 'Councilism' today has many similarities with the old anarchist current
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Hajji, Iman. "Première guerre mondiale, panislamisme et nationalisme tunisien : parcours de figures tunisiennes en Allemagne au début du 20ème siècle". Thesis, Lyon, 2018. http://www.theses.fr/2018LYSE2128.

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Abstract (sommario):
Cette thèse est consacrée à cinq figures du mouvement national tunisien du début du 20ème siècle qui ont toutes été liées à l’Empire allemand et, directement ou indirectement, à sa politique d’incitation à l’insurrection dans les pays musulmans : Salih al-Sharif al-Tunisi, Muhammad al-Khidr Husayn (about 1873-1958), Ali Bach Hamba (1876-1918), Muhammad BachHamba (1881-1920) et Muhammad Ali al-Hammi (env. 1890-1928).L’objectif de cette recherche est de contribuer aux travaux qui commencent à s’intéresser à cette période aussi bien en Allemagne qu’en Tunisie pour combler un manque certain. Nous nous proposons pour cela d’essayer de voir dans quelle mesure le séjour en Allemagne des figures de l’élite tunisienne précitées, avant et après la Première Guerre mondiale, a pesé sur leur approche. En effet, notre projet vise à recenser les écrits et actions de ces figures peu connues et à analyser leurs discours pour montrer les spécificités qui les distinguent des autres penseurs qui vivaient en France ou ailleurs. Les figures, que nous avons choisies d’étudier, font partie de ces personnages négligés par la recherche scientifique au mépris de l’importance de leurs théories politiques, religieuses, philosophiques, aussi bien en Tunisie qu’en France, voire en Allemagne où ils ont vécu. Malgré le peu d’informations disponibles au sujet de ces personnages, nous avons retrouvé assez d’éléments qui attestent de l’importance du rôle qu’ils ont joué pour faire connaître et défendre la cause de leur pays.Leur lien avec l’Allemagne leur a permis d’avoir des échanges avec des penseurs et des acteurs allemands, que ce soit dans le cadre de leurs études en Allemagne ou dans les relations de collaborations officielles que certains d’entre eux ont eues avec les autorités allemandes, notamment durant la Première Guerre mondiale.Dans ce contexte, le panislamisme est un concept tout aussi important, car il constitue le deuxième fil conducteur de ce travail. Né du besoin d’une unité politique des musulmans et de la libération de la domination étrangère, il s’agit d’un courant anti-impérialiste, mais aussi antinationaliste. En étudiant les intérêts communs qui ont prévalu entre Tunisiens etAllemands et en étudiant les parcours des figures précitées ainsi que leur pensée, nous montrons comment le panislamisme antinationaliste et le nationalisme tunisien ont pu aller de pair
This thesis is devoted to five figures of the Tunisian national movement of the early 20th century, all of whom were linked to the German Empire and, directly or indirectly, to its policy of inciting insurrection in Muslim countries: Salih al-Sharif al-Tunisi, Muhammad al-Khidr Husayn (env. 1873-1958), Ali Bach Hamba (1876-1918), Muhammad Bach Hamba (1881-1920) et Muhammad Ali al-Hammi (about 1890-1928).The objective of this research is to contribute to the work that is beginning to focus on this period in both Germany and Tunisia to fill a clear gap. To this end, we propose to try to see to what extent the stay in Germany of the above-mentioned Tunisian elite figures, before and after the First World War, had an impact on their approach. Indeed, our project aims toidentify the writings and actions of these little-known figures and to analyse their discourses to show the specificities that distinguish them from other thinkers who lived in France or elsewhere. The figures, which we have chosen to study, are among those characters neglected by scientific research in disregard of the importance of their political, religious andphilosophical theories, both in Tunisia and in France, and even in Germany where they have lived. Despite the limited information available about these characters, we have found enough evidence to attest to the importance of the role they have played in promoting and defending their country's cause. Their link with Germany has allowed them to interact with German thinkers and actors, both in the context of their studies in Germany and in the context of the official collaborative relationships that some of them had with the German authorities, particularly during the First World War.In this context, pan-Islamism is an equally important concept, as it is the second guiding principle of this work. Born of the need for a political unity of Muslims and the liberation from foreign domination, it is an anti-imperialist, but also anti-nationalist current. By studying the common interests that prevailed between Tunisians and Germans and by studying thepaths of the above-mentioned figures and their thinking, we show how anti-nationalist panIslamism and Tunisian nationalism could go hand in hand
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Williams, Nicholas J. "An ‘evil year in exile’? The evacuation of the Franco-German border areas in 1939 under democratic and totalitarian conditions". Electronic Thesis or Diss., Paris 4, 2016. http://www.theses.fr/2016PA040209.

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Abstract (sommario):
Entre fin août et début septembre 1939 entre 700 000 et un million de civils sont évacués de la Sarre, du Palatinat et du pays de Bade vers le centre de l’Allemagne. En Moselle et en Alsace, environ 600 000 civils sont transportés vers le sud-ouest. Cette mesure est le résultat d’un long développement, influencé par les guerres napoléoniennes et la Grande Guerre. Ce travail analyse les étapes qui aboutissent à ces évacuations dans le cadre de la défense passive pendant l’entre-deux-guerres en France et en Allemagne. Il étudie, principalement de manière comparative, l’exécution des évacuations dans les deux pays en se concentrant sur les exemples de la Moselle et de la Sarre. La totalisation de la guerre à travers l’érection de lignes fortifiées puis l’évacuation des civils apparaît alors être un phénomène indépendant des systèmes politiques et des cadres nationaux : elle est un phénomène transnational. De plus, certains aspects des mouvements de réfugiés ne peuvent être contrôlés par les États. C’est ainsi que des pillages sont observables des deux côtés de la frontière. Cependant, la Troisième République arrive, également grâce à ses expériences avec les réfugiés pendant la Grande Guerre, à mieux organiser et encadrer les réfugiés. Leur administration et le soutien qu’ils reçoivent sur place sont organisés d’une manière plus cohérente par rapport à l’Allemagne nationale-socialiste, où des prétentions idéologiques et la dualité entre les administrations civiles et le parti nazi empêchent l’exécution efficace du programme d’évacuation
Between the end of August and early September 1939, between 700,000 and one million civilians were evacuated from the Saarland, the Palatinate, and Baden to the centre of what was then Germany. From the Moselle and Alsace, around 600,000 civilians were evacuated to south-west France. Those measures were the result of a long development, the origins of which can be traced back the Napoleonic Wars and the Great War. The present thesis analyses the developments which led to those evacuations within the framework of civil defence policies during the interwar period in France and Germany. It explores the execution of the evacuation programme in both countries from a comparative perspective, concentrating on the Moselle and the Saarland. What results is that the totalisation of warfare, in this case as seen in the erection of fortified defence lines and the evacuation of civilians later resulting therefrom, are phenomena independent of any given political systems or national frameworks, and therefore transnational ones. Moreover, the movements of refugees are only to a certain degree controllable on either side of the border, and looting likewise occurs on both sides. Nevertheless, the Third Republic managed, in part due to the experience the country had with refugees during the First World War, to organise and look after their refugees more efficiently than Germany did. The French administration and support system for refugees was more efficiently organised, compared with their German counterparts, where ideological constraints and the duality of civilian administrations and the National Socialist party greatly hampered efficiency in the execution of the evacuation programme
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Romanova, Mariya. "La politique étrangère française et l’Ukraine de la fin de la Première Guerre Mondiale à 1921". Electronic Thesis or Diss., Paris 4, 2016. http://www.theses.fr/2016PA040067.

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Abstract (sommario):
Le déclenchement de la Grande Guerre change l’équilibre politique mondial, y compris en Europe centrale et orientale. L’écroulement des empires russe et austro-hongrois favorise la naissance des nouveaux États-nations, en particulier de l’Ukraine. Le jeune pays, tiraillé pendant quelques siècles, apparaît sur les décombres de deux puissances. Le nouveau régime s’oppose alors à des adversaires puissants : l’Armée Volontaire et l’Armée Rouge. Les décisionnaires du Gouvernement Provisoire russe, présidé par Alexandre Kerenskij et les bolcheviks, conduits par Vladimir Lénine, se prononcent défavorablement à la construction de l’État ukrainien indépendant et veulent le conserver sous la tutelle russe. Dans ces conditions, l’Ukraine sollicite l’appui des puissances étrangères pour lutter contre ses ennemis intérieurs. Les dignitaires ukrainiens demandent le concours militaire de deux camps belligérants : des Alliés et des Empires Centraux. En France, il y a deux groupes politiques. Le premier est favorable à la reconstruction de la Russie seule et indivisible. Ses représentants estiment que les pays soumis au pouvoir russe doivent lutter avec la Russie et les Alliés contre les Puissances Centrales. Il faut ainsi reconnaître le droit de ces pays à l’auto-détérmination. Le regroupement des forces militaires repose sur le principe des nationalités. La seconde tendance présentée par Jean Pélissier privilégie la lutte avec la jeune Ukraine contre le bolchévisme et ne considérait pas le mouvement ukrainien comme germanophile. Au début du XXième siècle, les camps politiques des Puissances Centrales et des pays de l’Entente jouent la carte ukrainienne pour atteindre leurs buts dans la Première Guerre Mondiale
The I World War’s bursting changes the political balance in the central and oriental Europe. The collapse of the Russian and Austro-Hungarian empires favours new state-nations’ birth, in particulary the one of Ukraine. The young country torn during some centuries appears on two empires’ ruins. The new Ukrainian government confronts powerful opponents: the Volunteer Army and the Red Army. On the Ukrainian politicians’ mind, Provisional Government’s politics contrary to the principle of self-determination of nations. The Russian Provisory Government’s leaders headed by Alexander Kerensky and Bolsheviks headed by Vladimir Lenin protest against the Ukrainian independent state’s constitution. Their aim consists to conserve Ukraine under the Russian guardianship. In these conditions, Ukraine is searching for the military assistance of two adverse warring camps: those of Allied nations and Central Powers. There are two political tendencies in France. Some dignitaries consider that former Russian colonies should fight with Allied countries and Russia against Central Powers. This group of politicians is favorable to the reconstruction of the one and indivisible Russian empire. Military forces’ gathering is based on the self-determination principle. Their aim is to create a permanent body to promote the cause of national self-determination. The second tendency represented by Jean Pélissier privileged the fight against bolshevist forces with the young Ukrainian country. This political camp didn’t consider Ukrainian politicians to be germanophile. At the beginning of the XX th century, two adversary camps: those of Central Powers and Allied countries use the Ukrainian political asset to achieve their aims during the First World War
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Becquet-Lavoinne, Claude. "Général Walther von Seydlitz-Kurzbach, 1888-1976 : un officier prussien face aux totalitarismes du XXe siècle". Rouen, 2009. http://www.theses.fr/2009ROUEL022.

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Abstract (sommario):
Membre d'une célèbre famille d'officiers prussiens, le général Walther von Seydlitz-Kurzbach fut partagé entre sa loyauté envers Hitler et son devoir envers l'Allemagne, il a choisi l'Allemagne. A Stalingrad il a été le seul général à s'opposer aux ordres de Hitler, pour tenter de sauver les 250000 hommes de la VIe armée. En septembre 1943, il a pris la tête d'un groupe de soldats et d'officiers allemands prisonniers et avec l'aide des Soviétiques, il a tenté de renverser Hitler et de remplacer le régime nazi par un Etat de droit. Anticipant la partition de l'Allemagne vaincue, Staline décida de transformer le Comité National Allemagne Libre en une pépinière de futurs cadres communistes. Seydlitz refusa de devenir communiste et désavoua l'installation d'une dictature en Allemagne. Rentré en RFA en 1955, il y fut mal accueilli, bien qu'il ait prouvé son opposition au nazisme et au stalinisme. Officiellement réhabilité en 1995, sa trajectoire entre deux totalitarismes provoque encore des débats
Member of one of Prussia's oldest and proudest military families, general Walther von Seydlitz-Kurzbach was torn between his oath of loyalty and his concern for the welfare of Germany, he chose the latter. At Stalingrad he was the only general who called for the disobedience of Hitler's orders, to save the 250000 men of the sixth Army. In September 1943, he decided to head a group of captured German soldiers and officers under Soviet sponsorship, in an attempt to achieve the war, to depose Hitler and to replace the Nazi regime with a lawful government. On 16/4/1944 Hitler condemned the "traitorous general" to death in absentia. Stalin decided to subvert the National Committee for free Germany and turn it into a cadre training school to staff Russia's anticipated share of Germany. General v. Seydlitz did not want to become a communist and refused another dictatorship for Germany. Back to homeland in 1955, he found himself anathema, thus he had proved his opposition, both to Nazism and Stalinism. He was rehabilited in 1995 but his biography between two totalitarianism still raises polemics
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Rosenberg, André. "Les enfants juifs et tsiganes dans les camps d'internement français et les camps de concentration du IIIe Reich". Paris 1, 2000. http://www.theses.fr/2000PA010641.

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Abstract (sommario):
L'histoire des enfants juifs semblerait être celle d'un long martyre. Il est indéniable en effet que leur assassinat par les nazis reste sans précèdent dans l'histoire. Le thème de la déportation de ces enfants, presque tous français ou nés en France, présente une particularité à retenir : celle de n'avoir pas fait l'objet d'une étude qui lui soit entièrement consacrée. Et pourtant ils n'ont pas échappé au sadisme des allemands. Ils ont été exposés au même « traitement », aux mêmes expériences, à la même souffrance que leurs ainés. Dans les lois de Vichy et les ordonnances allemandes, toutes les mesures seront prises ou auront tente d'être prises par l'occupant, aidé en cela par la précieuse collaboration de Vichy pour « isoler » les enfants juifs des autres enfants de France. La finalité de cette étude a été de savoir comment les choses se sont passées, comment le sauvetage auss l'arrestation, l'internement et la déportation d'enfants et adolescents ont pu se faire. Il fallut aussi montrer combien les quelques rares enfants rescapes des camps de concentration sont sortis de ces épreuves, sérieusement lésés dans leurs chairs et dans leurs âmes. Enfin, il nous a paru indispensable de mettre en relief une autre souffrance, souvent occultée, souvent ignorée : celle des enfants tsiganes.
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Romanova, Mariya. "La politique étrangère française et l’Ukraine de la fin de la Première Guerre Mondiale à 1921". Thesis, Paris 4, 2016. http://www.theses.fr/2016PA040067.

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Abstract (sommario):
Le déclenchement de la Grande Guerre change l’équilibre politique mondial, y compris en Europe centrale et orientale. L’écroulement des empires russe et austro-hongrois favorise la naissance des nouveaux États-nations, en particulier de l’Ukraine. Le jeune pays, tiraillé pendant quelques siècles, apparaît sur les décombres de deux puissances. Le nouveau régime s’oppose alors à des adversaires puissants : l’Armée Volontaire et l’Armée Rouge. Les décisionnaires du Gouvernement Provisoire russe, présidé par Alexandre Kerenskij et les bolcheviks, conduits par Vladimir Lénine, se prononcent défavorablement à la construction de l’État ukrainien indépendant et veulent le conserver sous la tutelle russe. Dans ces conditions, l’Ukraine sollicite l’appui des puissances étrangères pour lutter contre ses ennemis intérieurs. Les dignitaires ukrainiens demandent le concours militaire de deux camps belligérants : des Alliés et des Empires Centraux. En France, il y a deux groupes politiques. Le premier est favorable à la reconstruction de la Russie seule et indivisible. Ses représentants estiment que les pays soumis au pouvoir russe doivent lutter avec la Russie et les Alliés contre les Puissances Centrales. Il faut ainsi reconnaître le droit de ces pays à l’auto-détérmination. Le regroupement des forces militaires repose sur le principe des nationalités. La seconde tendance présentée par Jean Pélissier privilégie la lutte avec la jeune Ukraine contre le bolchévisme et ne considérait pas le mouvement ukrainien comme germanophile. Au début du XXième siècle, les camps politiques des Puissances Centrales et des pays de l’Entente jouent la carte ukrainienne pour atteindre leurs buts dans la Première Guerre Mondiale
The I World War’s bursting changes the political balance in the central and oriental Europe. The collapse of the Russian and Austro-Hungarian empires favours new state-nations’ birth, in particulary the one of Ukraine. The young country torn during some centuries appears on two empires’ ruins. The new Ukrainian government confronts powerful opponents: the Volunteer Army and the Red Army. On the Ukrainian politicians’ mind, Provisional Government’s politics contrary to the principle of self-determination of nations. The Russian Provisory Government’s leaders headed by Alexander Kerensky and Bolsheviks headed by Vladimir Lenin protest against the Ukrainian independent state’s constitution. Their aim consists to conserve Ukraine under the Russian guardianship. In these conditions, Ukraine is searching for the military assistance of two adverse warring camps: those of Allied nations and Central Powers. There are two political tendencies in France. Some dignitaries consider that former Russian colonies should fight with Allied countries and Russia against Central Powers. This group of politicians is favorable to the reconstruction of the one and indivisible Russian empire. Military forces’ gathering is based on the self-determination principle. Their aim is to create a permanent body to promote the cause of national self-determination. The second tendency represented by Jean Pélissier privileged the fight against bolshevist forces with the young Ukrainian country. This political camp didn’t consider Ukrainian politicians to be germanophile. At the beginning of the XX th century, two adversary camps: those of Central Powers and Allied countries use the Ukrainian political asset to achieve their aims during the First World War
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Gayme, Évelyne. "L'image des prisonniers de guerre français de la Seconde guerre mondiale : 1940-2000". Paris 10, 2002. http://www.theses.fr/2002PA100127.

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Abstract (sommario):
A la différence des prisonniers de guerre de la Grande guerre, ceux de la Seconde n'ont jamais été oubliés. Grâce au film La Grande Illusion, qui sort en 1937 et ressort en 1946, ils sont dans tous les esprits, d'autant que chaque famille connaît un prisonnier. Une image schématique, mais dans laquelle les Français se reconnaissent, se développe : les prisonniers sont des victimes, des Français moyens. Cette image naît pendant la guerre et se maintient après, grâce au cinéma, à la littérature, et à des témoignages autocensurés pour correspondre à l'image déjà construite. Craignant de devoir se justifier de la défaite française, les prisonniers de guerre s'auto-épurent en effet et opèrent un tri dans leurs récits : or l'image de l'opinion publique à leur égard n'est négative que durant l'été et l'automne 1945, en liaison avec le procès Pétain. Mais ils sont reconnus officiellement comme des combattants dès 1949. Cette image constamment présente dans la société évolue peu, et seulement en fonction des capacités d'identification et des aspirations des Français : le prisonnier de guerre est un homme ordinaire face au résistant gaullien dans les années 1960 ; il n'aime pas la guerre alors que la décolonisation bat son plein ; il témoigne que l'ennemi peut être humain quand la Guerre froide diabolise l'autre. Dès les années 1950, des voix très minoritaires s'élèvent au sein de la communauté des anciens prisonniers contre cette image qui ne met en valeur ni leurs souffrances particulières, ni les valeurs auxquelles ils sont attachées. Les années 1970, qui éclairent les zones de la Seconde Guerre mondiale jusque là restées dans l'ombre, sont le moment choisi par les prisonniers pour rétablir une image plus conforme à ce qu'ils ont subi, sans succès cependant, les Français ne pouvant s'identifier à une image trop précise. Pour intégrer cet échec, les anciens prisonniers développent aujourd'hui l'idée selon laquelle chaque captivité étant unique, aucune image ne saurait être fidèle
Contrarily to World War One prisoners of war, those of World War Two have never been forgotten. Owing to the movie La Grande Illusion, which came out in 1937 and again in 1946, prisoners were in all minds, especially as every family knew a prisoner personally. A basic image spread, in which the French people recognized themselves : prisoners were victims, average Frenchmen. This image was created during the war and carried on, owing to movies, literature and the self-censored witnesses who agreed with the existing image. As prisoners of war feared they had to justify themselves for the French defeat, censored themselves and selected the tales they chose to tell. However the public opinion's view was only negative during summer and autumn of 1945, on account of the Pétain trial. But prisoners of war were officially proclaimed fighting men as from 1949. This image, though constantly present in society, did not alter much and at that only with the abilities of identification and the expectations of the French people. The prisoner of war was an ordinary man facing the gaullien resistant during the Sixties. He hated war while decolonization took place. He proved that the enemy could be human even when the Cold War demonized the Other. During the Fifties, a minority among senior prisoners rose against this image, which did not show their private sufferings and the values in which they believed. The prisoners chose the Seventies to reestablish a more realistic picture of what they had lived through and enlightered the dark hours of World War Two. Unsuccessfully : the French people being unable to identify with too specific an image. Nowadays, senior prisoners argue that each one of their experience was so unique that no one image can reflect the diversity or their traumas
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Laurent, Benoit. "L' évacuation de 1939-1940 pour les départements du Bas-Rhin, du Haut-Rhin et de la Moselle : Etude juridique, économique et sociale". Strasbourg, 2011. https://publication-theses.unistra.fr/restreint/theses_doctorat/2011/LAURENT_Benoit_2011.pdf.

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Abstract (sommario):
L’évacuation de 1939-40 en Alsace-Moselle (Bas-Rhin, Haut-Rhin et Moselle), avec près de 700. 000 personnes déplacées, est l’une des pages les plus méconnues de l’histoire moderne. Le sujet traite à la fois de l’évacuation, du séjour dans les départements de correspondance du Sud-ouest et du retour. Le concept d’évacuation est tout d’abord défini avant d’aborder le contexte politique de l’époque et les préparatifs de l’opération. Dans une première partie sont traitées les conditions du déroulement de l’évènement avec des témoignages de diverses sources. Certains aspects sombres (pillages et conditions médiocres d’hébergement) sont mis en avant. Conséquence de l’évacuation, l’administration départementale et l’administration communale sont profondément remaniées Dans une deuxième partie, sont traitées les conséquences économiques et sociales de l’évacuation. L’Armistice de 1940, signé par la France avec l’Allemagne, sonne le retour de la grande majorité des évacués dans leur région d’origine. Pour le retour, l’administration allemande opère un filtrage sévère et efface toute trace de la présence française. Sont ensuite abordées les indemnités et secours perçus par les évacués, ainsi que le règlement des réquisitions civiles et militaires. Ne cherchant pas à porter un jugement sur le bien-fondé de l’évacuation, cet ouvrage, à l’aide de nombreux documents d’archives, démontre les incohérences d’une opération, en théorie parfaite. A cela trois raisons principales: le manque de moyens matériels, le manque de cohésion entre les autorités civiles et militaires et surtout l’absence d’information préalable des populations concernées
The evacuation of Alsace-Moselle (Bas-Rhin, Haut-Rhin and Moselle) in 1939-40, with about 700. 000 displaced persons, is one of the most underestimated chapters in modern history. This thesis deals with the evacuation and temporary habitation of the displaced population in the Southwest and with its return. The concept of evacuation is defined first and foremost before approaching the political context at the time and the preparations for the operation. The first part of this paper discusses the conditions in which the evacuation and settlement unfolded, drawing on testimonies from diverse sources. As a result of the evacuation, the departmental and communal administrations were significantly reshaped. In the second part, the paper deals with the economic and social consequences of the event. The Armistice of 1940 signed by France and Germany signalled the return of a great majority of the evacuees to their region of origin. The German administration also imposed conditions of return, using a harsh filtering process. Moreover, the Germans erased all traces of French presence. The thesis then approaches the issue of compensation, assistance perceived by the evacuees, as well as the payment of requisitions ordered by civil and military authorities. This paper is not concerned with judging the legitimacy of the evacuation. Rather, with the aid of numerous archival documents, it demonstrates the incoherence of an operation which, in theory, appeared flawless. Three main reasons can be attributed for this: the lack of material means, the lack of cohesion between civil and military authorities and, in particular, the lack of preliminary information to the concerned population
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Alcouffe, François. "L’analyse psychologique des dirigeants étrangers par le diplomate : André François-Poncet et les dirigeants nazis". Electronic Thesis or Diss., Paris 4, 2015. http://www.theses.fr/2015PA040042.

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Abstract (sommario):
Cette recherche diffère des monographies habituelles en présentant un regard neuf sur les dirigeants nazis, celui d’André François-Poncet ambassadeur de France à Berlin de 1931 à 1938. Elle se prolonge par sa réflexion distanciée lorsqu’il devient ambassadeur de France à Rome de 1938 à 1940 puis captif en Allemagne de 1943 à 1945. Comprendre l’atmosphère de la période est sans doute une des clés de l’histoire allemande de 1933 à 1945. François-Poncet fut de ceux qui la perçurent le mieux et le plus précocement ainsi que la menace nazie. Le plan de l’étude comporte trois parties. D’abord le jugement qu’André François-Poncet portait sur les Allemands face au nazisme, dans un deuxième temps celui qu’il portait sur les cercles du pouvoir et enfin celui qu’il portait sur Hitler. Cette étude a un caractère pluridisciplinaire entre la recherche historique et l’analyse psychologique du phénomène qui a suscité une des historiographies les plus importantes et les plus évolutives qui soient : le nazisme. Elle repose sur l’étude qualitative de la production intellectuelle du diplomate au travers de ses dépêches, de ses écrits ainsi que du fonds André François-Poncet conservé aux Archives nationales
Different from usual monographs this research deep dives into Nazi leaders’mind from André François-Poncet’ angle, the in Berlin French ambassador from 1931 to 1938. A few years later in Rome again as French ambassador from 1938 to 1940 then in Germany as prisoner from 1943 to 1945 the distance helped him prolong his reflection about Nazism. Atmosphere of the period is probably one of the keys of German 1933-1945 history understanding. François-Poncet was one of those who perceived it as well as the nazi menace the better and the more precociously. This is a three part plan. First François-Poncet’s assessment about Germans, then about the circles of power and ultimately about Hitler himself. This is a multidisciplinary approach involving both historical and psychological analysis about Nazism phenomenon, one of the greatest and evolutive historiography ever. Based on qualitative study of the diplomat’s intellectual output it is carried out from his reports, his written papers and Archives nationales André François-Poncet private fund
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Fontaine, Thomas. "Déporter : politiques de déportation et répression en France occupée : 1940-1944". Thesis, Paris 1, 2013. http://www.theses.fr/2013PA010602/document.

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Abstract (sommario):
Déportations dans des grands transports de mille personnes, petits convois d'une cinquantaine de détenus, fusillades, massacres aveugles ... La répression allemande en France occupée fut multiforme. La déportation fut une forme de cette répression, celle qui fit le plus de victimes en France occupée entre 1940 et 1944. Ce fut un vaste transfert forcé de dizaines de milliers de personnes vers le système concentrationnaire et carcéral du Reich: d'au moins 60 500 personnes depuis les zones nord et sud occupées. Ce travail entend démontrer que pour connaître le groupe de ces déportés, il faut d'abord cerner les processus à l'œuvre dans leur déportation. Pour cela, nous avons pensé le processus grâce à la notion de politiques de déportation. Elle permet de réfléchir aux objectifs des acteurs allemands, de cerner les procédures des transferts et d'exposer leurs résultats. Ce travail propose également une indispensable mise en perspective de ces politiques de déportation avec l'ensemble du dispositif répressif mis en place en France occupée. Enfin, parce que cet objet n'avait pu être défini et travaillé après la guerre en suivant cette approche, nous expliciterons 1e rôle des représentations, des mémoires et leurs conséquences sur l'historiographie
Deportations by means of large-scale transports of 1,000 people, small convoys of 50 prisoners, killing executions, reckless slaughter. ... German repression in Occupied France took many forms. The measure of this repression that claimed the largest number of victims in Occupied France from 1940 to 1944 was deportation. Tens of thousands - at least 60,500 people from France's northern and southern occupied zones - were subject to this enormous forced transfer to the Reich's concentrationary and prison systems. This study demonstrates that to comprehend deportees as a group, we must first focus on the steps involved in their deportation. The concept of deportation policies has enabled us to think through such a process. By envisaging deportation as a congeries of policies, we can examine the objectives of the Germans, specify transfer conditions, and explain their results. Further, this work offers an indispensable contextualization by placing these deportation policies within the larger framework of the repressive methods established in Occupied France. Finally, because this subject could not be delimited and explored using this approach after the World War Il, we discuss the function of representations and of memory, as well as their ramifications for historiography
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Guilloteau, Virginie. "Evacuation et assistance à la population civile espagnole pendant la guerre d'Espagne (1936-1939)". Thesis, Tours, 2011. http://www.theses.fr/2011TOUR2019.

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Abstract (sommario):
Lorsque se produisit le soulèvement militaire les 17-18 juillet 1936 en Espagne contre le gouvernement du Frente Popular de la Deuxième République, l’ordre établi fut alors bouleversé ; et c’est cette rupture dans le processus historique qui déclencha la Guerre Civile espagnole (1936-1939). Comme dans le cas de nombreux conflits qui ont marqué l’histoire de l’Humanité, le déclenchement des hostilités en Espagne donna lieu à des déplacements forcés de la population non combattante qui, le plus souvent, s’effectuèrent sous la forme d’évacuations « en débandade » ou d’évacuations « organisées » des zones en guerre.Dans la mesure où la Guerre Civile de 1936-1939 fut le premier conflit européen où apparut le besoin de déplacer un nombre considérable de personnes – en particulier des femmes, des enfants, des personnes âgées et des malades – face au danger que représentaient les combats, les pouvoirs publics républicains durent élaborer et mettre en place une politique d’évacuation et d’assistance sans précédent. Néanmoins, les autorités républicaines ne furent pas seules à agir car nombreuses furent les organisations politiques, syndicales ou associatives, tant à l’échelle nationale qu’internationale, qui collaborèrent avec elles. Il ne faut pas oublier que la Guerre Civile espagnole fut un conflit fratricide qui connut une mobilisation internationale sans précédent ; un certain nombre de pays acceptèrent d’ailleurs de recevoir sur leur territoire des réfugiés espagnols, notamment les enfants. En raison de sa proximité géographique, la France fut de loin le pays qui accueillit le plus de réfugiés
When the military uprising against the Popular Front leading the Second Republic took place in Spain on the 17th-18th July, 1936, the status quo was upset. This break in the historical process triggered the Spanish Civil War (1936-1939). Like in many other conflicts that marked the history of mankind, the beginning of hostilities in Spain forced civilians to move and leave their homes. In most cases, these people left the war areas either in great disorder or in an organized way. Since the Civil War (1936-1939) was the first European conflict in which there was a need to move a large number of people – particularly women, children, elderly people and the sick – in order to avoid war dangers, the Republican power had to devise and implement unprecedented evacuation and assistance measures. However, the Republican authorities were not alone in this, since many national and international political organizations, trade unions and associations cooperated with them. It should not be forgotten that the Spanish Civil War was a fratricidal conflict that triggered unprecedented international action ; besides, some countries agreed to welcome Spanish refugees, especially when they were children. Due to its proximity to Spain, France was, by far, the country which accepted the largest number of refugees
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Desquesnes, Rémy. "Atlantikwall et Sudwall, la défense allemande sur le littoral français (1941-1944)". Caen, 1987. http://www.theses.fr/1987CAEN1031.

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Abstract (sommario):
Pour se proteger contre une tentative de debarquement allie alors que l'armee allemande etait occupee en russie, hitler decidait, en decembre 1941, huit jours apres l'entree en guerre des etats-unis, de construire une ligne de fortifications, sur les cotes de l'europe de l'ouest. Diverses weisungen (directives) devaient fixer l'ordre des priorites dans la fortification des cotes ainsi que les differents types d'organisations defensives a implanter sur le rivage. Confiee a l'organisation todt, agence du parti nazi chargee de realiser les projets du gouvernement du reich (reseau autoroutier, ligne siegfried), la construction de l'atlantikwall (mur de l'atlantique), debutait, au milieu de l'annee 1942. Pour mener a bien ce chantier de grande envergure (construction de 15 000 ouvrages betonnes sur 4. 000 km de cotes, entre la frise et la frontiere espagnole), l'ot faisait appel aux plus grandes entreprises de travaux publics du reich et des pays occupes a l'ouest et mettait a leur disposition une abondante main-d'oeuvre composee de requis et de prisonniers de guerre. Pendant que certains oeuvraient pour les allemands, d'autres, au risque de leur vie, s'efforcaient de fournir aux allies des renseignements (carte des defenses cotieres, implantation des aerodromes, des stations radar et des bases de lancement de v1 ou v2, localisation des champs de mines, deplacements de troupes. . . ). Ces precisions devaient utiliement completer les informations tirees de la photographie aerienne, premiere source d'information des allies. Malgre l'importance des travaux defensifs effectues en bordure du littoral europeen le long duquel etaient dissemines pres de 4. 000 canons de divers calibres, le mur de l'atlantique n'a nulle part empeche le debarquement. L'existence du systeme defensif cotier a cependant joue un role appreciable sur le plan strategique. En particulier, en contraignant les allies a des preparatifs considerables, les fortifications cotieres ont differe l'instant ou les anglo-americains ont ete en mesure de debarquer sur le continent. L'atlantikwall a donc joue, dans le deroulement general du second conflit mondial, un role retardateur nullement negligeable
In order to guard himself against a possible landing of the allied forces while the wehrmacht was busy fighting on the russian battle front, hitler made a decision in december 1941 (a week after the usa had gone into the war) to have a line of defence works built on the coast line of western europe. Various "weisungen" (directives) were tp schedule fortification building operations as well as the different types of defensive works to be built on the shore. The todt organisation, an agency of the nazi party, which would achieve such schemes of the reich government as road network, the siegfried line, etc. . . Was in charge. The building of the atlantic wall started in mid 1942. To achieve this large scale scheme (consisting of 15,000 concrete works along a 2,500 mls shore line, from friesland to the spanish border) the o. T. Hired the services of major public building firms both in the reich and in occupied western countries, and gave the o. T. The run of a large number either of workers under requisition or p. O. W. S. While some people worked for the germans, others were striving, at the peril of their lives, to provide the allied forces with intelligence (charts of coastal defence works, location or airfields and radar stations, v1 and v2 launching sites, movements of troops. . . ) this information did prove useful in complementing that collected from aerial photographs, the most important source of information the allied forces had then. In spite of the bulk of defensive works actually achieved and the 4,000 pieces of more or less heavy artillery scattered along the coast of europe, nowhere did the atlantic wall really prevent landing. Nevertheless, this coastal defence system as a whole played a considerable part strategically. Particularly, in so far as it obliged the allied forces to make important preparations, the coastal defence works retarded the moment when the anglo-american forces could possibly land on the continent. The atlantic wall thus did play a not in the least negligible part in the course of events in w. W. Ii
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Barbier, Claude. "Des "événements de Haute-Savoie" à Glières, mars 1943-mai 1944 : action et répression du maquis savoyard". Paris 1, 2011. http://www.theses.fr/2011PA010615.

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Abstract (sommario):
La « bataille des Glières » fait partie des événements qui paraissent les mieux connus de l'histoire de France au cours de la Seconde Guerre mondiale : « 465 hommes » ont rejoint en plein hiver 1944 le plateau des Glières pour recevoir des parachutages. A la fin de mars, ils furent délogés par « une division allemande » dans des combats ayant fait plusieurs centaines de victimes. Pourtant, aucune recherche s'appuyant essentiellement sur les archives disponibles n'avait été entreprise. Or, les documents écrits remettent en cause la trame légendaire véhiculée depuis 1944 grâce aux ondes de la BBC. Ils permettent également de mieux connaître le « maquis », ces regroupements armés, qui combattaient l'occupant. Les archives éclairent l'attitude des forces de l'ordre qui s'opposèrent à ces jeunes dont le seul tort était de ne pas se rendre en Allemagne dans le cadre du travail obligatoire, tout comme elles permettent de mettre en perspective le soutien qu'apporta la population aux réfractaires. Cette aide révèle l'état de rébellion de la Haute-Savoie contre l'Etat français. Pourtant la révolte datait de l'avant-guerre et provenait de la frontière suisse. Elle s'est étendue pendant le conflit à tout le département au fur et à mesure que les soutiens au régime conservateur de Vichy (les ruraux, l'Eglise) abandonnaient celui-ci au profit de ceux qui contestaient plus ou moins ouvertement la politique de collaboration. C'est bien parce que les forces de l'ordre n'arrivaient pas à mater la rébellion que la Milice, puis la Wehrmacht, encadrée par la Sipo-SD, décidèrent d'employer la manière forte, à un moment où les Alliés approvisionnent par la voie des airs le maquis savoyard.
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Williams, Nicholas J. "An ‘evil year in exile’? The evacuation of the Franco-German border areas in 1939 under democratic and totalitarian conditions". Thesis, Paris 4, 2016. http://www.theses.fr/2016PA040209.

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Abstract (sommario):
Entre fin août et début septembre 1939 entre 700 000 et un million de civils sont évacués de la Sarre, du Palatinat et du pays de Bade vers le centre de l’Allemagne. En Moselle et en Alsace, environ 600 000 civils sont transportés vers le sud-ouest. Cette mesure est le résultat d’un long développement, influencé par les guerres napoléoniennes et la Grande Guerre. Ce travail analyse les étapes qui aboutissent à ces évacuations dans le cadre de la défense passive pendant l’entre-deux-guerres en France et en Allemagne. Il étudie, principalement de manière comparative, l’exécution des évacuations dans les deux pays en se concentrant sur les exemples de la Moselle et de la Sarre. La totalisation de la guerre à travers l’érection de lignes fortifiées puis l’évacuation des civils apparaît alors être un phénomène indépendant des systèmes politiques et des cadres nationaux : elle est un phénomène transnational. De plus, certains aspects des mouvements de réfugiés ne peuvent être contrôlés par les États. C’est ainsi que des pillages sont observables des deux côtés de la frontière. Cependant, la Troisième République arrive, également grâce à ses expériences avec les réfugiés pendant la Grande Guerre, à mieux organiser et encadrer les réfugiés. Leur administration et le soutien qu’ils reçoivent sur place sont organisés d’une manière plus cohérente par rapport à l’Allemagne nationale-socialiste, où des prétentions idéologiques et la dualité entre les administrations civiles et le parti nazi empêchent l’exécution efficace du programme d’évacuation
Between the end of August and early September 1939, between 700,000 and one million civilians were evacuated from the Saarland, the Palatinate, and Baden to the centre of what was then Germany. From the Moselle and Alsace, around 600,000 civilians were evacuated to south-west France. Those measures were the result of a long development, the origins of which can be traced back the Napoleonic Wars and the Great War. The present thesis analyses the developments which led to those evacuations within the framework of civil defence policies during the interwar period in France and Germany. It explores the execution of the evacuation programme in both countries from a comparative perspective, concentrating on the Moselle and the Saarland. What results is that the totalisation of warfare, in this case as seen in the erection of fortified defence lines and the evacuation of civilians later resulting therefrom, are phenomena independent of any given political systems or national frameworks, and therefore transnational ones. Moreover, the movements of refugees are only to a certain degree controllable on either side of the border, and looting likewise occurs on both sides. Nevertheless, the Third Republic managed, in part due to the experience the country had with refugees during the First World War, to organise and look after their refugees more efficiently than Germany did. The French administration and support system for refugees was more efficiently organised, compared with their German counterparts, where ideological constraints and the duality of civilian administrations and the National Socialist party greatly hampered efficiency in the execution of the evacuation programme
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du, Réau Élisabeth. "Edouard Daladier et le problème de la sécurité de la France : 1933-1940". Paris 1, 1987. http://www.theses.fr/1987PA010631.

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Abstract (sommario):
La formation du premier gouvernement daladier, en janvier 1933, coincide avec l'arrivee d'hitler a la chancellerie. De 1933 a 1940, edouard daladier devait avoir a plusieurs reprises la charge des problemes de defense qu'il assume notamment de juin 1936 a mai 1940. Chef de gouvernement pendant les annees decisives du printemps 1938 au printemps 1940, il sera place devant des choix qui allaient engager l'avenir de la france et sa securite. Militant radical, elu en novembre 1919, il est un representant de la "generation du feu". Ses choix dans le domaine de la defense nationale et de la diplomatie s'enracinent dans cette experience du premier conflit mondial. Fervent adepte de la securite collective apres la guerre, il constate l'echec du systeme. De 1934 a 1936 il n'a pas encore percu la veritable nature des menaces et n'est pas partisan en mars 1936 d'une action militaire en rhenanie. Cependant ministre de la defense nationale a partir de juin 1936, il devient l'homme du rearmement. La prise de conscience de la vulnerabilite francaise le conduit a preconiser une politique de securite nationale qui suppose un redressement dans tous les domaines. La politique de rearmement exige des choix qui sont mal compris de ses anciens partisans du front populaire. D'avril 1938 a la drole de guerre, le president du conseil charge de la conduite de l'action diplomatique obtient le resserrement des liens avec la grande bretagne. A munich, il juge cependant preferable d'accepter un compromis. Le repit obtenu permet la mise en oeuvre d'une nouvelle politique economique et des progres sont enregistres mais la drole de guerre revele de graves deficiences. Edouard daladier avait promis la securite aux francais. En 1940, c'est un constat d'echec qu'il faut etablir.
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Alcouffe, François. "L’analyse psychologique des dirigeants étrangers par le diplomate : André François-Poncet et les dirigeants nazis". Thesis, Paris 4, 2015. http://www.theses.fr/2015PA040042.

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Abstract (sommario):
Cette recherche diffère des monographies habituelles en présentant un regard neuf sur les dirigeants nazis, celui d’André François-Poncet ambassadeur de France à Berlin de 1931 à 1938. Elle se prolonge par sa réflexion distanciée lorsqu’il devient ambassadeur de France à Rome de 1938 à 1940 puis captif en Allemagne de 1943 à 1945. Comprendre l’atmosphère de la période est sans doute une des clés de l’histoire allemande de 1933 à 1945. François-Poncet fut de ceux qui la perçurent le mieux et le plus précocement ainsi que la menace nazie. Le plan de l’étude comporte trois parties. D’abord le jugement qu’André François-Poncet portait sur les Allemands face au nazisme, dans un deuxième temps celui qu’il portait sur les cercles du pouvoir et enfin celui qu’il portait sur Hitler. Cette étude a un caractère pluridisciplinaire entre la recherche historique et l’analyse psychologique du phénomène qui a suscité une des historiographies les plus importantes et les plus évolutives qui soient : le nazisme. Elle repose sur l’étude qualitative de la production intellectuelle du diplomate au travers de ses dépêches, de ses écrits ainsi que du fonds André François-Poncet conservé aux Archives nationales
Different from usual monographs this research deep dives into Nazi leaders’mind from André François-Poncet’ angle, the in Berlin French ambassador from 1931 to 1938. A few years later in Rome again as French ambassador from 1938 to 1940 then in Germany as prisoner from 1943 to 1945 the distance helped him prolong his reflection about Nazism. Atmosphere of the period is probably one of the keys of German 1933-1945 history understanding. François-Poncet was one of those who perceived it as well as the nazi menace the better and the more precociously. This is a three part plan. First François-Poncet’s assessment about Germans, then about the circles of power and ultimately about Hitler himself. This is a multidisciplinary approach involving both historical and psychological analysis about Nazism phenomenon, one of the greatest and evolutive historiography ever. Based on qualitative study of the diplomat’s intellectual output it is carried out from his reports, his written papers and Archives nationales André François-Poncet private fund
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Grohmann-Nogarède, Annette. "L’hebdomadaire « Die Zukunft » (1938-1940) et ses auteurs (1899-1979) : penser l’Europe et le monde au XXe siècle". Electronic Thesis or Diss., Sorbonne université, 2019. http://www.theses.fr/2019SORUL194.

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Abstract (sommario):
Die Zukunft, un hebdomadaire de l’émigration antifasciste allemande qui a paru à Paris de 1938 à 1940, nous invite à enquêter sur l’influence des intellectuels pendant l’entre-deux-guerres et plus particulièrement sur les initiatives des émigrés pour mettre en garde les démocraties occidentales contre le régime nazi et sa politique expansionniste. L’hebdomadaire regroupe 332 auteurs issus de 25 pays. On note la présence d’intellectuels et d’hommes politiques de renom, tels qu’Heinrich, Thomas, Klaus et Erika Mann, Alfred Döblin, Lion Feuchtwanger, H.G. Wells, Aldous Huxley, Harold Macmillan, Clement Attlee, Édouard Daladier ou Édouard Herriot. Même Jawaharlal Nehru contribue au débat sur l’avenir des empires coloniaux relayé par le Zukunft.En outre, les différents groupes d’auteurs ont joué des rôles importants avant et après sa publication dans la vie intellectuelle et politique en Occident. Le débat d’idées mené dans les pages du Zukunft est ainsi replacé dans le contexte de l’histoire intellectuelle et politique de 1899 à 1979, afin de comprendre dans quelle mesure il reflète l’évolution de la pensée et l’engagement des intellectuels au XXe siècle, et en quoi les actions de ses auteurs ont forgé l’Europe et le monde actuel
Die Zukunft, a publication of antifascist émigrés in Paris which came out from 1938 to 1940, invites us to enquire into the influence of intellectuals during the interwar period and particularly into the initiatives of émigrés to warn the Western democracies against the nazi dictature and its expansionist goals. It allows, in fact, to discover an impressive transnational network of 332 authors from 25 countries and distinguishes itself by the implication of well-known intellectuals and politicians, such as Heinrich, Thomas, Klaus and Erika Mann, Alfred Döblin, Lion Feuchtwanger, H.G. Wells, Aldous Huxley, Harold Macmillan, Clement Attlee, Édouard Daladier or Édouard Herriot. Even Jawaharlal Nehru participates in the debate about the future of the colonial empires, an important issue in the Zukunft.The different groups of Die Zukunft authors have played important roles before and after its publication in Western intellectual and political life. The debate in the Zukunft is replaced in the context of intellectual and political history from 1899 to 1979, in order to understand in how far it reflects the evolution of intellectual thought in the 20th century, and how the actions of its authors have contributed to create Europe and the world as we know them today

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