Letteratura scientifica selezionata sul tema "Civils et guerre – Allemagne – 1900-1945"

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Articoli di riviste sul tema "Civils et guerre – Allemagne – 1900-1945":

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Lilienthal, Georg. "The illegitimacy question in Germany, 1900–1945: Areas of tension in social and population policy". Continuity and Change 5, n. 2 (agosto 1990): 249–81. http://dx.doi.org/10.1017/s0268416000004008.

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Abstract (sommario):
Trois points emmergent des discussions sur les problèmes d'illégitimité en Allemagne pendant la première moitié du vingtième siècle: la définition légale de la femme non mariée et de son enfant, leur intégration dans des programmes d'assistance sociale et le rapport avec la politique démographique. Ces trois points ont constamment déterminé la vie de la femme non mariée et de son enfant. Les changements de systèmes politiques ont seulement eu pour effet de donner plus d'importance à l'une ou l'autre de ces questions. Pendant le Reich de Guillaume III, une loi sur l'illégitimité a été vot)ée, qui pour la première fois, était applicable dans l'Allemagne entière. Cependant, la loi était discriminatoire contre les mères et leurs enfants. Les objectifs démographiques et de préservation de la paix sociale ont seulement pu se réaliser lors de la première guerre mondiale avec l'amélioration générale des conditions de vie. La République de Weimar a essayé d'abolir la discrimination légale et de renforcer la justice sociale. Mais sous le troisième Reich, le problème de l'illégitimité a été dominé par des aspects de politique raciale et démographique.

Tesi sul tema "Civils et guerre – Allemagne – 1900-1945":

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Arnaud, Patrice. "Les travailleurs civils français en Allemagne pendant la Seconde guerre mondiale (1940-1945) : travail, vie quotidienne, accommodement, résistance et répression". Paris 1, 2006. http://www.theses.fr/2006PA010678.

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Abstract (sommario):
Nous avons étudié la vie quotidienne des travailleurs civils français en Allemagne (volontaires, requis et prisonniers transformés) pendant la Seconde guerre mondiale. Leur comportement dans les usines obéissait à des logiques complexes d'aigreur d'avoir à produire pour un pays ennemi, de défense de soi et de solidarités ouvrières. Travailleurs libres, les Français étaient, comme les Allemands, touchés par les restrictions alimentaires et les bombardements alliés. Dans les camps, ils connaissaient une vie difficile, liée à la surpopulation, une mauvaise hygiène et des rythmes de repos divergents. Si les Français vivaient entre eux, ils ont aussi établi des rapports conflictuels, amicaux, voire amoureux avec la population allemande et les autres travailleurs étrangers. Nous avons aussi analysé les politiques d'encadrement de cette main-d'œuvre par l'État nazi et les entreprises allemandes et les diverses logiques répressives visant à stimuler son rendement et maintenir sa discipline.
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Fauroux, Camille. "Les travailleuses civiles de France : des femmes dans la production de guerre de l'Allemagne national-socialiste (1940-1945)". Paris, EHESS, 2016. http://www.theses.fr/2016EHES0117.

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Abstract (sommario):
Entre 1940 et 1945 près de 80 00 femmes partent de France pour travailler sur le territoire de l'Allemagne national-socialiste. L'emploi massif de travailleurs étrangers en Allemagne s'inscrit dans une stratégie plus large pour augmenter la production de guerre sans déstabiliser l'ordre familial national-socialiste. Du point de vue de Vichy, le recrutement de femmes en France pour l'Allemagne est problématique, car il révèle les contradictions entre la collaboration économique et la restauration de la famille au coeur du projet de la Révolution nationale. Cette thèse s'intéresse aux discours et aux politiques transnationales du travail dans la production de guerre de l'Allemagne national-socialiste et les met en relation avec l'expérience des travailleuses civiles, telle qu'elle se donne à voir dans les archives des ouvrières françaises employées dans l'électroindustrie à Berlin. Elles vivent dans des camps de femmes administrés par les entreprises qui les emploient. Ces camps jouent un rôle fondamental dans la surveillance et la contrainte au travail et empêchent les familles de vivre ensemble. Il en résulte des relations de couple précaires et informelles. Les relations des mères avec leurs enfants sont organisées et surveillées au camp, mais elles deviennent de plus en plus difficiles à maintenir au fur et à mesure de la guerre. Au moment du rapatriement et dans l'immédiat après-guerre, en 1945-1946, les travailleuses civiles font l'objet de représentations négatives mêlant déloyauté politique et sexuelle et sont construites par l'Etat comme une catégorie administrative univoque "les travailleuses volontaires". Ces étapes dessinent pour des décennies les contours de leur silence et de leur prise de parole
This study considers how transnational work policies and nation-building projects shaped the intimate, daily lives of the 80,000 women who departed from France to work in Nazi Germany between 1940 and 1944. The large-scale employement of foreign labor in Germany was part of a broader strategy to increase military production without disturbing the Nazi family order. The German recruitement of French women created tensions for the French state which sought both to foster economic collaboration and restore the French family. This dissertation examines these transnational wartime labor policies and discourses and links them to personal experience, drawing on a case study of French women employed in Berlin's electronic industry. These women lived in foreign workers' camps organized by their employers. These camps were key in enabling surveillance and work coercion, while preventing families from living together. In this context, the women created precarious and informal romantic relations, many giving birth to children. Mother-child ties were monitored and facilitated in the camps, but became increasingly difficult to maintain as work pressure rose. Bridging transnational and personal scales, this thesis examines the nexus of war, work, and family while addressing themes of agency, gender, and memory
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Cadiot, Aliénor. "Vichy et les Algériens : Indigènes civils musulmans algériens en France métropolitaine (1939-1944)". Thesis, Paris, EHESS, 2020. http://www.theses.fr/2020EHES0131.

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Abstract (sommario):
La présence en métropole de dizaines de milliers d’Algériens entre 1939 et 1944 est un fait connu mais qui n’a pas été étudié avec précision, ni par l’historiographie de la Seconde Guerre mondiale, ni par celle du fait colonial français. A priori considérée comme statique, l’immigration algérienne est en réalité un phénomène dynamique. En effet entre 1939 et 1942, trois vagues migratoires eurent lieu entre les deux rives de la Méditerranée. L’Algérie est à la veille de la guerre un territoire travaillé par des forces politiques puissantes et opposées, allant de l’indépendantisme à l’assimilationnisme. A la fin de l’année 1939 et au début de l’année 1940, la Troisième République met en place un recrutement en Algérie pour les besoins de l’économie de guerre, dans le cadre d’un recrutement plus large dans différentes colonies. Dans ce contexte, l’installation du régime de Vichy en Algérie est un phénomène complexe, qu’il serait artificiel de séparer de la métropole. En parallèle des questions relatives à la main-d’œuvre, une intense surveillance des populations estampillées « nord-africaines », dans leur immense majorité, algériennes, est organisée : le régime de Vichy met en effet en place un service secret dont le but est de surveiller la propagation de la propagande nazie sur les deux rives de la Méditerranée (le Service des affaires algériennes, SAA). Ce service est créé à Marseille, point nodal de toutes les questions touchant à l’Algérie pendant les années de guerre : en effet, au delà du SAA, les services de la main-d’œuvre nord-africaine (MONA) de tout le territoire sont également largement chapeautés par celui de Marseille, qui a en charge la gestion du flux migratoire à travers la Méditerranée. Car juste après l’armistice, le tout nouveau régime de Vichy initie un rapatriement des Algériens vers l’Algérie, qui s’intensifie de l’été 1940 au début de l’année 1941, notamment dans l’espoir de réduire le chômage en métropole. Puis, à l’inverse, à partir de l’année 1942, dans le contexte plus large de la mise au travail de l’Europe par l’Allemagne, un nouveau recrutement pour la métropole est organisé en Algérie, alors que de nombreux Algériens tentent de fuir des formes de travail qui ne leur conviennent pas. Ce recrutement est particulièrement intense pour le secteur minier. En zone occupée, c’est sur Paris que se concentrent les efforts de surveillance : la ville est particulièrement suspecte. En effet, alors que les institutions parisiennes dédiées à l’administration des « Nord-Africains » dans la région sont aux prises avec les conditions de l’occupation, un certain nombre d’Algériens sont en contact à la fois avec les partis collaborationnistes et avec les autorités d’occupation, que ce soit pour des raisons politiques ou commerciales. Après le débarquement en Afrique du Nord le 8 novembre 1942 et l’invasion de la zone sud trois jours après, alors que l’entièreté du territoire métropolitain est occupée et que l’Algérie est passée aux mains des Alliés, l’État français s’emploie à refondre les services métropolitains en charge de l’administration des « Nord-Africains », inventant de fait un nouveau contenu au syntagme. Jusqu’aux derniers jours de l’occupation, cette administration fera en sorte de s’accorder la « loyauté » des « Nord-Africains » à l’Empire et à la France
The presence of tens of thousands of Algerians in metropolitan France between 1939 and 1944 is a known fact but one which has not been studied with precision, neither by the historiography of the Second World War, nor by that of the French colonial empire. Considered static, Algerian immigration is in reality a dynamic phenomenon. Indeed, between 1939 and 1942, three migratory waves took place between the two shores of the Mediterranean.On the eve of the war, Algeria is a territory worked by powerful and opposing political forces, ranging from separatism to assimilationism. At the end of 1939 and at the beginning of 1940, the Third Republic set up recruitments in Algeria for the needs of the war economy, as part of a wider recruitment process in various colonies. In this context, the installation of the Vichy regime in Algeria is a complex phenomenon, and it would be artificial to separate Algeria from the metropole.Simoultaneously, an intense surveillance of the populations considered as "North Africans", in majority Algerians, is organized: the Vichy regime sets up a secret service whose aim is to monitor the propagation of Nazi propaganda on both shores of the Mediterranean (the Algerian Affairs Service, SAA). This service is created in Marseilles, the nodal point of all questions relating to Algeria during the war years: indeed, beyond the SAA, the North African workforce services (MONA) of the whole metropole are also largely headed by that of Marseilles, which is in charge of managing the migratory flow across the Mediterranean. Indeed, just after the armistice, the new Vichy regime initiated a repatriation of Algerians to Algeria, which intensified from the summer of 1940 to the beginning of 1941, in the hope of reducing unemployment in the metropole. Conversely, from the year 1942 and in the broader context of forced recruitment of european workers by Germany, a new recruitment for the metropole is organized in Algeria, while many Algerians try to flee forms of work that do not suit them. This recruitment is particularly intense for the mining sector.In the occupied zone, surveillance efforts concentrate on Paris. The city is particularly suspect. Indeed, while the Parisian institutions dedicated to the administration of "North Africans" in the region are grappling with the conditions of the German occupation, a certain number of Algerians are in contact with both the collaborationist parties and with the occupation authorities, whether for political or commercial reasons. After the landing in North Africa on November 8th, 1942 and the following invasion of the southern zone three days later, as the entire metropolitan territory passed under German occupation and Algeria into the hands of the Allies, the Etat français makes efforts to overhaul the metropolitan services in charge of the administration of "North Africans", in fact inventing a new content for the phrase. Until the last days of the occupation, this administration will ensure that "North Africans" remain "loyal" to the Empire and to France
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Régis, Nina. "Le pain de guerre allemand : une histoire culturelle de l'arrière, 1914-1919". Electronic Thesis or Diss., Toulouse 2, 2022. http://www.theses.fr/2022TOU20083.

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Abstract (sommario):
Durant la Première Guerre mondiale, l’impossibilité d’importer des matières premières et des céréales depuis les pays ennemis oblige l’Allemagne à rationner ses denrées. Le premier aliment soumis à ce régime est le pain. Depuis le début du conflit en 1914 jusqu’au traité de Versailles en 1919, il s’agit d’étudier l’expérience de cet aliment de base et de montrer en quoi son évolution qualitative et quantitative a eu un effet sur le soutien de l’arrière à la poursuite de la guerre. Cette question invite à lier l’histoire des sens à l’histoire des émotions, l’étude des pratiques sociales et des représentations culturelles, de la presse et de la censure, de la politique du pain, de la médecine et de la sécurité alimentaire. L’anticipation des premiers manques se matérialise d’abord, entre 1914 et 1916, par la création de nouvelles institutions et par la recherche de farines de substitution, mais aussi par l’invention d’un pain de guerre, dont la consommation se mue en acte patriotique. À partir de 1916, la dégradation qualitative de l’aliment de base, refusé, mais souvent subi, raillé par l’ennemi, entraîne l’expression du dégoût. Entre 1918 et 1919, le pain de guerre est au cœur de revendications, d’un retour aux goûts des temps de paix et d’une remise en cause plus fondamentale du rationnement, ainsi que du rôle de l’État. Rendue possible par de riches fonds d’archives, cette étude invite à remettre en question plusieurs préjugés français concernant « le pain de guerre allemand », prenant racine dans une opposition plus ancienne entre pain blanc et pain noir. La conservation des traces matérielles et la transmission des pratiques de fabrication indiquent enfin le rôle capital de cet aliment de base dans l’expérience, mais également dans le souvenir de la guerre, et démontrent l’intérêt d’un sujet dont les enjeux se prolongent jusqu’à la Seconde Guerre mondiale
During the First World War, as it was impossible to import raw material and cereals from enemy countries, Germany had to impose bread rationing on the population. The first food to be rationed was bread. From the beginning of the conflict in 1914 to the treaty of Versailles in 1919, this study’s objective is to understand the experience of this food and in what way it’s qualitative and quantitative evolution influenced the Homefront’s will to support the war. The question leads to link the history of the senses with the history of emotions, the study of social practices and of cultural representations, of the press and the censorship, of the politics of bread, of the medicine and of the food security. The anticipation of the first shortages materializes from 1914 to 1916 through the creation of new institutions and the search for new substitutes to replace flour, but also through the invention of a war bread, which consumption becomes a patriotic gesture. From 1916 on, the bread’s qualitative and quantitative decline leads to the expression of disgust and to its refusal, although it continues to be suffered by the consumers and mocked by the enemies. From 1918 to 1919, war bread remains in the heart of demands for the return to the tastes of peace times and a more fundamental reassessment of the rationing system, as well as the State’s role. This study had been made possible thanks to many precious archives and invites to question several prejudices concerning « the German war bread » rooted in a more ancient opposition between white and black bread. The conservation of material traces and the transmission of bread-making practices in the long run indicate the capital role of this food for the experience, but also for the remembrance of the war. They prove the interest of a subject which stakes stretch out until the Second World War
Während des Ersten Weltkrieges, als keine Rohstoffe und Getreide mehr aus den benachbarten verfeindeten Staaten importiert werden konnten, mussten Lebensmittel in Deutschland rationiert werden. Das erste rationierte Lebensmittel war das Brot. Vom Anfang des Krieges an, im Jahre 1914, bis zum Vertrag von Versailles im Jahre 1919 geht es darum, die Broterfahrung zu erforschen und zu zeigen, inwiefern die qualitativen und quantitativen Veränderungen die Bereitschaft, der in der Heimat verbliebenen, den Krieg weiterhin zu unterstützen, beeinflusste. Diese Frage ermöglicht es, die Geschichte der Sinne und der Emotionsgeschichte, die Studie der sozialen Praktiken und der kulturellen Darstellungen, der Presse und der Zensur, der Brotpolitik, der Medizin und der Ernährungssichterheit, miteinander zu verbinden. Den ersten Mangelerscheinungen wurde zwischen 1914 und 1916 einerseits durch die Bildung von neuen Institutionen und durch die Suche nach neuen Ersatzmehlsorten entgegengewirkt, andererseits durch die Erfindung eines Kriegsbrotes, dessen Konsum als eine patriotische Geste gedeutet wurde. Ab 1916 rief die qualitative Verschlechterung des Grundnahrungsmittels, das abgelehnt, doch oft erduldet und von den Feinden verspottet wurde, das Gefühl des Ekels hervor. Zwischen 1918 und 1919 befindet sich das Kriegsbrot im Mittelpunkt der Forderungen nach einer Rückkehr zu den Geschmäckern der Friedenszeiten, und zugleich einer grundsätzlicheren Infragestellung des Rationierungssystems und der Rolle des Staates. Ermöglicht wurde diese Forschung durch eine günstige Quellenlage. Durch diese werden Vorurteile bezüglich des « deutschen Kriegsbrotes » hinterfragt, die mit der viel älteren Gegenüberstellung zwischen Weiß- und Schwarzbrot zusammenhängen. Die langfristige Konservierung der materiellen Spuren und die Weitergabe der Herstellungspraktiken deuten auf die wesentliche Rolle des Nahrungsmittels für die Kriegserfahrung, aber auch für die Erinnerung an den Krieg. Sie beweisen die zentrale Stelle eines Themas, das bis zum Zweiten Weltkrieg weiterhin eine Schlüsselrolle einnimmt
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Fagot, Maude. "Kommunikation in Kriegsgesellschaften am Beispiel der Evakuierung der deutsch-französischen Grenzregion (1939/40)". Electronic Thesis or Diss., Paris 4, 2016. http://www.theses.fr/2016PA040155.

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Abstract (sommario):
Alors même que la France et la Grande-Bretagne s’apprêtent à déclarer la guerre à l’Allemagne, plus d’un million de personnes sont évacuées de la frontière franco-allemande. Encadrés de part et d’autre de la frontière par les autorités civiles et militaires, les Alsaciens, Lorrains, Badois et Sarrois, vivant entre les lignes défensives (ligne Maginot, Ligne Siegfried) et la frontière, sont transportés vers l’intérieur de leur pays respectifs. Ces mesures d’évacuation du début de la Seconde Guerre mondiale constituent pour les deux sociétés, après la mobilisation des hommes en âge de se battre, la seconde grande mesure de guerre faisant passer ces deux sociétés civiles à l’état de sociétés en guerre. Cette transformation a non seulement des conséquences au niveau social, politique et économique, mais également des effets au niveau communicationnel, ce qui constitue l’objet de cette thèse. Il s’agit, à travers le phénomène de l’évacuation, de faire ressortir les mécanismes de communication des États au niveau de leur propagande nationale, de faire apparaître les interactions et méthodes de communication entre les autorités locales et les évacués et enfin d’éclairer les systèmes de communication au sein des groupes des évacués à travers l’analyse des rumeurs de pillages des zones évacuées. Cette approche permet de retracer une histoire de la communication dans les sociétés en guerre française et allemande dans laquelle fusionnent les perspectives ascendante et descendante mais également comparative et transnationale. Ainsi, la communication des sociétés en guerre apparaît comme le fruit de négociations et d’interactions en constante évolution entre acteurs aux intérêts différents. De cette étude ressortent également les limites d’influence des deux États au sein de leur population, qu’il s’agisse d’un État républicain démocratique telle la Troisième République ou bien d’un État dictatorial aux ambitions totalitaires comme le fût le « Troisième Reich »
While France and Great-Britain were about to declare war on Germany, more than one million persons were evacuated from the Franco-German Border. Led on both side of the border by civilian and military authorities, the Alsatians, Lorrainers, Badners and Saarlanders living between the defence lines (Maginot-Line, Siegfried Line) were transported inside their own country. These evacuations measures formed – after the mobilization on the front of the men in-age to fight – the second important measure of war, which turned these civil societies into war societies. This transformation has not only consequences on political, economic and social level, but also on communication, which is the topic of this doctoral thesis. The evacuations phenomena allow us to shed light on state propaganda on a national and international level, to reveal the communication methods and interactions between the local authorities and the evacuees and finally to show the communications systems within groups of evacuees by analysing rumours on pillages of the evacuated region. This approach highlights a history of communication in both French and German war society based on top-down and bottom-up perspectives and on comparative and transnational analyses. Communication in war society appears as the fruit of negotiations and interactions in constant evolution between agents with different interests. This study emphasized the limits of the state’s influence over the population, both in a republican democratic state as the French Third Republic and in a dictatorial state with totalitarian ambitions such as the “Third Reich”
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Francois, Anne. "Exploiter terres et populations conquises au nom du national-socialisme : l'Ostland dans les Ardennes pendant la Seconde Guerre mondiale". Thesis, Normandie, 2019. http://www.theses.fr/2019NORMC030/document.

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Abstract (sommario):
En mai 1940, la population ardennaise fuit devant l’arrivée des troupes allemandes. Les ressources économiques et agricoles du département, qui faisaient pourtant l’objet de plans d’évacuation préparés dès les années 1930, sont abandonnées à l’occupant. Quelques semaines plus tard, une vaste zone du nord-est de la France, dont les Ardennes font partie, est déclarée « zone interdite ». Les terres cultivables sont confisquées à leurs propriétaires et prises en charge au profit du Reich par une entreprise appelée Ostland, qui a déjà orchestré un semblable mouvement de spoliation en Pologne depuis son invasion. L’une de ses filiales régionales, la WOL III, met en place dans les Ardennes un vaste projet d’implantation des méthodes agricoles nationales-socialistes qui nécessite une abondante main-d’œuvre. Des agriculteurs allemands, appelés « chefs de culture » sont diligentés sur place et gèrent de grandes exploitations dans lesquelles travaillent plusieurs milliers de prisonniers français et coloniaux ainsi que 5 000 agriculteurs ardennais contraints à se mettre à leur service. Des ouvriers juifs sont également recrutés et des milliers de Polonais, expulsés de leurs villages, sont déportés pour travailler dans ces fermes qui exercent une agriculture intensive. Cette situation engendre des tensions sociales qui s’expriment particulièrement lors de la Libération et lors de procès d’épuration qui visent certains employés de l’Ostland. Les autorités françaises tentent de gérer au mieux la liquidation de l’entreprise allemande et l’organisation du rapatriement des Polonais dans leur pays, deux opérations difficiles qui nécessitent de longs mois. La reconnaissance des victimes de l’Ostland est inégale et tardive puisqu’elle n’intervient qu’à partir des années 1990. Des mémoires distinctes et spécifiques aux différents groupes de travailleurs émergent aussi à cette époque et s’expriment lors de commémorations
In May 1940, the population of the Ardennes fled from the arrival of the German troops. The economic and agricultural ressources of the department, which yet had been subject to evacuation plans since the thirties, were given up to the occupying forces. A few weeks later, a large area of the North-East of France including the Ardennes was declared « forbidden zone ». The cultivable land was confiscated from its owners and taken over for the benefit of the Reich by a company named Ostland, which had already orchestrated a similar spoliation movement in Poland since its invasion. One of its local subsidiaries, WOL III , set up in the Ardennes a vast project to implement the National Socialist agricultural methods which required an abundant workforce. Some German farmers, called crop managers, were sent out there to run large farms on which several thousands of French and colonial prisoners as well as 5000 Ardennes farmers were working under duress. Jewish labourers were also recruited and thousands of Poles, expelled from their villages, were deported to work on these farms with intensive agriculture. This situation caused social tensions that were particuliarly evident during the Liberation and during the « purification » trials involving some WOL employees. French authorities tried to manage the liquidation of the German company and the organisation of the repatriation of the Poles, two difficult operations that took many months to complete. Recognition of Ostland victims was uneven and late since it occurred only from the 1990s onwards. Distinct memories specific to the different groups of workers also emerged at that time and were expressed during commemorations
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Cerovic, Masha. "Les Enfants de Joseph : les partisans soviétiques : révolution, guerre civile et résistance armée à l'occupation allemande en URSS (1941-1944)". Paris 1, 2012. http://www.theses.fr/2012PA010669.

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Abstract (sommario):
Les partisans soviétiques ont formé pendant la Deuxième Guerre mondiale un des principaux mouvements de résistance armée à l'occupation allemande en Europe, implanté dans les vastes forêts de Biélorussie, du nord de l'Ukraine et de Russie occidentale. En croisant les archives allemandes et soviétiques, les sources institutionnelles, celles des unités de partisans elles-mêmes et des ego-documents, ce travail explore l'expérience et la culture de guerre des partisans soviétiques, en centrant l'analyse autour de la nature, des racines et des effets de la violence politique telle que subie et exercée par les partisans. Il analyse l'impact de la violence d'occupation allemande, l'émergence et la structuration du mouvement partisan, les relations complexes des partisans avec l'Etat-Parti soviétique, leurs conceptions de la patrie soviétique, les relations entre civils et combattants et les dynamiques de radicalisation de la violence en territoire occupé. Il montre que les partisans soviétiques étaient le produit à la fois d'une culture politique spécifique héritée de la Révolution et de la violence d'occupation allemande: ils comprenaient leur action comme un moment essentiel d'une apocalypse révolutionnaire ouverte en 1917, sans que leur mouvement s'inscrive dans la simple continuité des conflits qui avaient marqué l'URSS jusqu'à la guerre.
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Chopard, Thomas. "La guerre aux civils : les violences contre les populations juives d'Ukraine (1917-1924) : guerre totale, occupations, insurrections, pogroms". Paris, EHESS, 2015. http://www.theses.fr/2015EHES0147.

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Abstract (sommario):
La guerre civile qui s'est déroulée dans l'ancien empire russe après 1917, a constitué pour les populations juives d'Ukraine la pire persécution avant la Shoah, une confrontation avec une guerre terrible et meurtrière ainsi qu'une nouvelle vague de violences spécifiquement antisémites. Le présent travail explore donc les raisons de l'émergence d'une nouvelle forme d'antisémitisme, pétri de ressentiment religieux et économique, mais renouvelé en profondeur par l'émergence du mythe du judéo-bolchevisme. L'antisémitisme connut une embellie suite à la révolution de 1917 parce que la figure du Juif servait tout particulièrement de repoussoir aux mouvements nationalistes ukrainien et russe qui s'affrontaient avec les partisans d'un pouvoir soviétique en Ukraine. L'antisémitisme servit par conséquent de base à la gestion au quotidien par les armées combattantes, de plus de deux millions de Juifs ukrainiens. Et il ouvrit sur des séries de pogroms extrêmement violents dont la perpétration est analysée en détails dans ses constantes et ses variations. Une attention toute particulière est donnée aux formes les plus extrêmes de cette violence antisémite portée par des voisins contre leurs voisins juifs, confinant à des cas de nettoyage ethnique et d'extermination. Dans un dernier temps sont analysés les effets immédiats et à plus long terme sur les victimes de cet déchaînement de violences : réfugiés de guerre gérés brutalement par les pays voisins, recomposition de la population et intégration à la nouvelle société soviétique
Civil War that ravaged the former Russian Empire after 1917, was also the moment of the worst anti-Jewish persecution before Holocaust, a mix between a deadly war and a new wave of specific violence against Jews. This work explores why emerged a new form of anti-Semitism, fulfilled with religious and economic resentment, but also deeply renewed by a new powerful myth : judeo-bolshevism. Anti-Semitism worsens after 1917 revolution because the Jew's image was a powerful imaginary antagonism for nationalisms - both Ukrainian and Russian - that fought against the supporters of a soviet regime in Ukraine. Anti-Semitism was therefore a basic category in daily management of civilian populations, and especially of the two million Jews in Ukraine, by fighting armies. This context led to mass perpetration of anti-Jewish pogroms that are analysed in details in their patterns and variations. The most extreme forms of violence are emphasized, especially cases of violence from Christians against their Jewish neighbours that moulded a politic of ethnic cleansing and sometimes of extermination. Finally are analysed the immediate and long term effects of violence on the victims. Massive war refugees were brutally managed by neighbour countries, in a last moment of violence. Recomposition of the Jewish population and its prompt integration to the new Soviet society closed this sequence of a decade of war
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Geiger, Wolfgang. "L'image de la France dans l'Allemagne hitlérienne et pendant l'après-guerre immédiat". Nantes, 1996. http://www.theses.fr/1996NANT3007.

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Abstract (sommario):
L'image de la france et des francais est analysee a partir d'une centaine de monographies (politiques et historiques, reportages journalistiques, souvenirs de soldats). Pour la periode de la guerre, on a depouille egalement l'hebdomadaire das reich et les revues specialisees, ainsi que les documents d'archives relatifs a la perception des francais par les autorites allemandes et a la propagande culturelle de l'occupant. L'analyse montre que, jusqu'en 1938, dans le cadre de la "propagande de paix" hitlerienne, des appreciations differentes de la france pouvaient coexister: l'approche nationaliste, mais teintee d'un sentiment d'"amourhaine", de friedrich sieburg, puis l'approche francophile de paul distelbarth (doublee d'une defense de l'allemagne hitlerienne dans l'edition francaise de son livre), et enfin l'ethno-racisme des soi-disant "raciologues". L'opposition antinomique, plus ancienne, de l'etre" francais et de l'"etre" allemand, culminant dans l'idee que les francais travaillent pour vivre tandis que les allemands vivent pour travailler, restait neanmoins le denominateur commun. Des jugements politiques divergents sur la part de la "culpabilite francaise" dans cette guerre s'opposerent pourtant meme a travers les ecrits de propagande de 1939 40. Derriere les problemes de tactique qui dominerent ensuite les annees d'occupation, centres sur la question de la collaboration du point de vue allemand, la perception stereotypee des francais se renforca, mais plus d'un auteur ne fut pas sans trahir un sentiment d'ambiguite, porte jusqu'a l'"amour-haine" de type sieburgien, ne serait-ce que sous la forme d'une jalousie concernant le statut de l'intellectuel et de la culture en general en france. Les francais etaient-ils capables de changer d'attitude, sous l'impact de la victoire allemande et de la contrainte d'une collaboration economique avec l'occupant, telle fut pourtant la question qui domina les ecrits sur la france de vichy. La derniere partie montre dans quelle mesure, par dela la rupture politique de 1945, beaucoup de ces stereotypes persisterent dans l'allemagne occidentale occupee
This analysis of the image of france and the french is based on about a hundred of monographs (political and historical works, journalistic reports, memories of soldiers). Concerning the war period, we have also exploited the weekly das reich and special reviews as well as archive documents dealing with the perception of the french by the german authorities and with their cultural propaganda. The analysis demonstrates that until 1938, in the context of hitler's peace propaganda", different views of the french could coexist: first, friedrich sieburg's approach which was nevertheless marked by a sentiment of "love and hate", second, paul distelbarth's francophile approach (eclipsed by the defense of nazi germany in the french edition of his book); and third, the ethno-racism of the so-called "raciologues". But all tendencies agreed on the antithetical opposition between french and german "being", culminating in the idea that the french work for living whereas the german live for working. But different political judgements about the degree of "french guiltiness" in this war were opposing each other even in the propaganda writings of 1939 40. Behind the problems of tactics which dominated during the occupation of france, concerning the question of collaboration from the german point of view, the stereotypical perception of the french was intensified, but more than one author revealed a sentiment of ambiguity or even of "love and hate" in a sieburgian way, at least by being jealous of the status of the intellectuals and more generally of culture in france. Were the french able to change their attitude after german victory and under the pressure of collaboration, this was the question dominating the writings about vichy france. The last part of the thesis points out in which mesure many of these stereotypes persisted in occupied western germany, beyond the political turn of 1945
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Ingrao, Christian. "Les intellectuels SS du SD, 1900-1945". Amiens, 2001. http://www.theses.fr/2001AMIE0007.

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