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Articoli di riviste sul tema "Chapitre de Sion"

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Van Herreweghe, Mieke, e Marijke Van Nuffel. "Sign (Language) Interpreting in Flanders, Belgium". Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 45, n. 4 (31 dicembre 1999): 318–44. http://dx.doi.org/10.1075/babel.45.4.05van.

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Abstract (sommario):
Abstract In this article the authors give an overview of sign language interpretation in Flanders, Belgium. After a short introduction on Flanders and its linguistic situation, the authors spend some time discussing sign language in Flanders from a historical perspective and discussing its current situation and especially outside influences on Flemish-Belgian Sign Language. The next chapter concentrates on the training of sign language interpreters. There are two training programmes in Flanders, both evening courses at post-secondary/higher education level. Both programmes are relatively new and are thus facing a number of problems still. Both programmes are moving away from teaching Signed Dutch to teaching Flemish-Belgian Sign Language, but do not have any pedagogically or methodologically trained teachers (whether hearing or Deaf), do not have sufficient materials to work with and can only rely on the limited amount of sign language research that has been done in Flanders during the last decade. Another problem concerns the choice of the signs themselves (regional signs or "unified" signs?). Nevertheless, both programmes are attracting more and more students. In the last chapter the authors concentrate on the field of sign language interpreting in Flanders. Attention is paid to the development of the profession of sign language interpreting, the central interpreting agency, the profile of the sign language interpreter in Flanders, the language of the interpreter, the financial situation and their working conditions. Finally, the authors briefly focus on the issue from the deaf consumer's point of view. Résumé Dans cet article les auteurs donnent un aperçu de l'interprétation en langue des signes en Flandre, Belgique. Après une brève introduction sur la Flandre et sa situation linguistique, les auteurs en viennent à la discussion de la langue des signes en Flandre d'un point de vue historique et décrivent sa situation actuelle et plus particulièrement les influences extérieures sur la langue des signes flamande-belge. Le chapitre suivant traite de la formation des interprètes de la langue des signes. Il existe deux programmes de formation en Flandre, enseignés sous forme de cours du soir au niveau post-secondaire/enseignement supérieur. Les deux programmes sont relativement récents et sont donc encore confrontés à quelques problèmes. Les deux programmes remplacent l'apprentissage du néerlandais signé par l'apprentissage de la langue des signes flamande-belge, mais ils ne disposent ni de professeurs (Sourds ou non) qualifiés au niveau pédagogique ou méthodologique, ni du matériel suffisant. Ils peuvent uniquement compter sur un nombre limité de recherches faites sur la langue des signes en Flandre durant la dernière décennie. Un autre problème relève du choix des signes mêmes (signes régionaux ou "uniformisés"?). Néanmoins, les deux programmes attirent de plus en plus d'étudiants. Dans le dernier chapitre, les auteurs se concentrent sur le domaine de l'interprétation de la langue des signes en Flandre. Une attention est prêtée au développement de la profession de l'interprétation de la langue des signes, au service central pour interprètes, au profil de l'interprète de la langue des signes en Flandre, au langage de l'interprète, sa situation financière et ses conditions de travail. Pour terminer, les auteurs examinent brièvement le point de vue du consommateur sourd.
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Fonio, Filippo. "Alain Legros, Ce qui gênait Simon Goulart dans le chapitre «Des prières» (Montaigne, Essais, I, 56)". Studi Francesi, n. 148 (XLX | I) (1 aprile 2006): 141–42. http://dx.doi.org/10.4000/studifrancesi.30088.

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Andréys, Clémence. "Les musées allemands et la mémoire de la colonisation allemande en Chine". Allemagne d'aujourd'hui N° 248, n. 2 (11 giugno 2024): 38–51. http://dx.doi.org/10.3917/all.248.0038.

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Abstract (sommario):
Résumé Cet article s’attache à mettre en lumière le traitement mémoriel de Qingdao et de la « guerre des Boxeurs » dans l’Allemagne actuelle. Si la colonisation d’une partie du territoire chinois par l’empire allemand a été étudiée par la communauté scientifique, sa représentation occupe une place mineure dans la mémoire collective allemande. Cet article cherche à comprendre le rôle des musées dans la transmission de cette mémoire en analysant comment ce chapitre des relations sino-allemandes a été abordé dans plusieurs expositions organisées à Berlin, Kiel et Wilhelmshaven ces vingt-cinq dernières années. Il s’interroge sur la façon dont les musées ont appréhendé ce passé : quelles trames narratives ont-ils élaborées ? Ces dernières s’inscrivent-elles dans une perspective postcoloniale ? S’interroger sur le rapport des musées allemands à la colonisation en Chine implique aussi de s’intéresser à la recherche de provenance en lien avec la « guerre des Boxeurs ».
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Wister, Andrew V. "Gloria M. Gutman and Norman K. Blackie, eds. Housing the Very Old. Vancouver: Gerontology Research Centre, Simon Fraser University, 1988, pp. 240, $18.50." Canadian Journal on Aging / La Revue canadienne du vieillissement 9, n. 3 (1990): 307–10. http://dx.doi.org/10.1017/s0714980800010758.

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Abstract (sommario):
RÉSUMÉCette monographie ouvre un débat sur les questions importantes qui touchent le secteur du logement et elle offre une variété de choix d'hébergement correspondant aux besoins des gens très âgés (vaguement représentés par les personnes dépassant les 75 ans). Ce livre est divisé en douze chapitres qui sont à leur tour subdivisés en cinq parties. Celles-ci ont fait l'objet de présentations à un atelier abordant ce même thème qui s'est déroulé lors de la 16ième Assemblée scientifique et pédagogique organisée par l'Association canadienne de gérontologie en octobre 1987. Housing the Very Old s'adresse aux chercheurs, aux planificateurs et aux dirigeants oeuvrant dans une variété de disciplines. Cette monographie ne manquera pas de faire réfléchir et d'informer malgré l'absence d'un examen détaillé de la littérature.
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Desjardins, Pierre-Marcel. "Le développement économique de l’Acadie du Nouveau-Brunswick, de 1986 à 2011". Articles, n. 28 (22 febbraio 2018): 35–58. http://dx.doi.org/10.7202/1043412ar.

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Abstract (sommario):
Il y a quelques décennies, la plupart des régions acadiennes du Nouveau-Brunswick comptaient parmi les plus pauvres au Canada. L’objectif principal de cet article est de voir si ces disparités existent toujours. Nous partons du constat que l’Acadie du Nouveau-Brunswick est essentiellement rurale. Notre analyse s’inscrit donc dans une perspective urbaine-rurale. Quatre groupes de variables (démographie, revenus, éducation et marché du travail) sont utilisés pour évaluer la performance économique des régions acadiennes entre 1986 à 2011. Nous observons que les comtés du sud-est de la province, Kent et surtout Westmorland, ont connu une performance généralement supérieure aux régions de référence. C’est moins le cas pour les comtés du nord de la province, qu’on les compare à la moyenne nationale ou à la moyenne des régions de référence. La seule variable où il y a eu une amélioration dans tous les comtés acadiens est la dépendance envers les transferts gouvernementaux. Or ce fait ne reflète pas nécessairement une amélioration des conditions économiques, mais résulte peut-être autant, sinon plus, des modifications apportées à certains programmes gouvernementaux, comme l’assurance-emploi. Notons également d’importants défis au chapitre de la démographie, autant au niveau du taux de croissance de la population que du taux d’immigration.
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Inde, Tadao. "Formation des « comptes de l’anniversaire » au sein du chapitre collégial Saint-Paul-de-Mausole (Saint-Rémy-de-Provence) au XIVe siècle". Annales du Midi : revue archéologique, historique et philologique de la France méridionale 128, n. 294 (2016): 191–217. http://dx.doi.org/10.3406/anami.2016.8823.

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Abstract (sommario):
Formación de las «cuentas de aniversario » en el cabildo colegial Saint-Paul-de-Mausole en el siglo XIV. En la secunda mitad del siglo XIV, el cabildo colegial Saint-Paul-de-Mausole, en el centro de las Alpilles, emprendió una reforma económica por obra de dos arcedianos, Isnard de Mauvoisin y Simon de Dragon, influidos por el papa XXII. Para registrar las contribuciones directas del cabildo, hicieron el inventario de los reconocimientos de contratos de enfiteusis. Los derechos de censo legados para fundaciones de aniversario se administraron como parte de las contribuciones directas. Al mismo tiempo, establecieron el ius anniversariorum como ingreso específico en las cuentas de las contribuciones directas. La administración eficaz de esos bienes tiende a mantener a largo plazo las misas commemorativas encomendadas por los fieles.
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Chaffai-Parent, Shana, e Catherine Piché. "La primauté de l’efficacité dans l’administration d’une justice en crise : solutions judiciaires dans une perspective nord-américaine". Revue générale de droit 51, n. 1 (21 settembre 2021): 161–99. http://dx.doi.org/10.7202/1081840ar.

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Abstract (sommario):
Crise d’importance mondiale, la pandémie de COVID-19 a entraîné un ralentissement des activités de la société civile, de l’économie et de la justice. Face à l’incertitude générée, les tribunaux ont été ralentis, sinon paralysés, en plus de devoir mettre en place une justice d’urgence par processus hybrides ou spéciaux. Dans un tel contexte, la recherche de mesures d’efficacité devient vitale. Le présent article contribue donc à la réflexion entreprise sur l’efficacité du système judiciaire en temps de pandémie et de post-pandémie. La crise sanitaire semble avoir encouragé une évolution rapide de l’organisation des services judiciaires. Cette évolution fera-t-elle place à une transformation durable et profonde de la justice civile? Le présent article fera état de mesures et de pratiques exemplaires établies au Québec, et ailleurs au Canada et en Amérique du Nord, visant à promouvoir l’efficacité au chapitre de l’administration de la justice et l’adjudication des litiges, et à réduire les délais judiciaires. Précisément, trois catégories de mesures et pratiques seront abordées, soit les mesures de gestion efficace des instances (Partie I), les modes privés de règlement des différends intégrés à l’activité des tribunaux étatiques (Partie II) et les mesures technologiques (Partie III). Nous verrons que chaque système de justice civile recherche le délicat équilibre entre les garanties procédurales fondamentales, la qualité et l’efficacité de la justice. Nous conclurons l’article sur la question des contours d’un système de justice civile efficace et accessible.
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Bouchard, Gérard. "La sexualité comme pratique et rapport social chez les couples paysans du Saguenay (1860-1930)1". Revue d'histoire de l'Amérique française 54, n. 2 (21 luglio 2004): 183–217. http://dx.doi.org/10.7202/005337ar.

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Abstract (sommario):
Résumé S’appuyant principalement sur plusieurs corpus de données orales, l’article analyse la sexualité dans le couple paysan saguenayen entre 1860 et 1930 en tant qu’elle s’inscrivait dans un important rapport social. Les données utilisées livrent des aperçus détaillés sur divers aspects de la sexualité avant et dans le mariage, notamment la grande ignorance chez les jeunes, la force des interdits et la flexibilité, sinon les contradictions, des règles morales selon qu’elles s’appliquaient à l’homme ou à la femme. Il en ressort que celle-ci était, de diverses façons, l’objet d’une violence psychologique et physique.Au chapitre de la contraception, l’analyse présente un éventail de techniques et moyens utilisés même en régime de fécondité dite naturelle. Elle démontre l’existence, chez la femme, d’une volonté précoce de limiter le nombre des naissances et d’opposer une certaine résistance à la norme sociale et morale. Mais cette volonté ne transparaît pas (ou très peu) dans les mesures du niveau de fécondité en raison du caractère généralement inefficace des recours utilisés.Le texte explore aussi le rapport social régissant les comportements sexuels dans le mariage. Une importante distinction est proposée entre la sexualité proprement dite, qui serait sous le contrôle de l’homme principalement (fréquence, modalités des rapports), et la procréation, dont la responsabilité relèverait surtout de la femme. Celle-ci se trouverait ainsi coincée entre les attentes du mari à l’échelle microsociale et les impératifs de l’Église et de l’État à l’échelle macrosociale. L’auteur pense qu’en définitive, la domination de la femme découlait plus de facteurs sociétaux que de la dynamique conjugale proprement dite.
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Boudarbat, Brahim, e Pouya Ebrahimi. "L’intégration économique des jeunes issus de l’immigration au Québec et au Canada". Articles 45, n. 2 (3 luglio 2017): 121–44. http://dx.doi.org/10.7202/1040392ar.

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Abstract (sommario):
Cette étude porte sur des jeunes de 15 à 29 ans que nous avons répartis en quatre groupes : les immigrants admis après l’âge de 10 ans (génération 1), ceux qui sont arrivés au pays à l’âge de 10 ans ou avant (génération 1.5), ceux qui sont nés au Canada d’au moins un parent immigrant (génération 2) et ceux qui sont nés au Canada de parents natifs de ce pays (génération 3 ou plus). Nos résultats montrent que les jeunes issus de l’immigration (générations 1, 1.5 et 2) sont en moyenne plus scolarisés que ceux de la génération 3 ou plus, tant au Québec que dans le reste du Canada. De plus, presque tous les jeunes des générations 1.5 et 2 au Québec connaissent le français, ce qui est synonyme d’une intégration linguistique des immigrants à long terme. Au chapitre de l’accès à l’emploi et des salaires, les jeunes de la génération 1 sont les plus défavorisés, et ils le sont davantage au Québec que dans le reste du Canada. Dans cette province, les jeunes des générations 1.5 et 2 affichent eux aussi des écarts sur le plan du taux de chômage et des salaires par rapport à ceux de la génération 3 ou plus, tandis que dans le reste du Canada, ces jeunes performent aussi bien — sinon mieux — que les jeunes de la génération 3 ou plus. Le Québec devra s’attacher à promouvoir l’emploi et les conditions de travail de tous ces jeunes, indépendamment de leur origine et de l’origine de leurs parents.
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Lamberti, Jean-Claude. "Robert Powell Palmer: The Two Tocquevilles". Tocqueville Review 9, n. 1 (gennaio 1988): 389–93. http://dx.doi.org/10.3138/ttr.9.1.389.

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Abstract (sommario):
Le Professeur Robert Roswell Palmer déclare volontiers que ses réflexions et ses travaux historiques, depuis près de quarante ans, ont été influencés, sinon inspirés, par l’oeuvre d’Alexis de Tocqueville. Cet intérêt pour l’auteur de La Démocratie et Amérique explique suffisamment qu’après avoir longtemps centré ses recherches sur la grande vague atlantique des révolutions de l’égalité et de la liberté, il consacre aujourd’hui un ouvrage à Tocqueville. Plus précisément le dernier ouvrage publié par R.R. Palmer s’intitule The Two Tocquevilles ; l’idée originale qui organise cette publication est de comparer à l’oeuvre historique d’Alexis de Tocqueville, celle de son père, le Comte Hervé de Tocqueville, composée de deux ouvrages aujourd’hui bien oubliés. Après une longue et brillante carrière de Préfet sous la Restauration, le Comte Hervé fut nommé Pair de France en 1828, et, après la Révolution de Juillet, il consacra ses loisirs à la réflexion et à l’étude historique ; à l’âge de soixante-quinze ans il publia une Histoire philosophique du règne de Louis XV et deux ans plus tard, en 1850, un deuxième ouvrage intitulé Coup d’oeil sur la règne de Louis XVI. Au même moment son fils Alexis commençait à travailler au livre dont il devait publier la première moitié en 1856 sous le titre L’Ancien Régime et la Révolution. A sa mort en 1859, il laissa quelques chapitres rédigés de la seconde partie de l’ouvrage, qui devait traiter de la Révolution proprement dite. Ainsi, à quelques années de distance, le père et le fils ont traité du même sujet : les dernières année de la chute de l’Ancien Régime. La situation est assez rare et, peut-être, sans précédent. Mais il fallait savoir s’en étonner et en tirer des leçons utiles.
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Lamberti, Jean-Claude. "Robert Powell Palmer: The Two Tocquevilles". Tocqueville Review 9 (gennaio 1988): 389–93. http://dx.doi.org/10.3138/ttr.9.389.

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Abstract (sommario):
Le Professeur Robert Roswell Palmer déclare volontiers que ses réflexions et ses travaux historiques, depuis près de quarante ans, ont été influencés, sinon inspirés, par l’oeuvre d’Alexis de Tocqueville. Cet intérêt pour l’auteur de La Démocratie et Amérique explique suffisamment qu’après avoir longtemps centré ses recherches sur la grande vague atlantique des révolutions de l’égalité et de la liberté, il consacre aujourd’hui un ouvrage à Tocqueville. Plus précisément le dernier ouvrage publié par R.R. Palmer s’intitule The Two Tocquevilles ; l’idée originale qui organise cette publication est de comparer à l’oeuvre historique d’Alexis de Tocqueville, celle de son père, le Comte Hervé de Tocqueville, composée de deux ouvrages aujourd’hui bien oubliés. Après une longue et brillante carrière de Préfet sous la Restauration, le Comte Hervé fut nommé Pair de France en 1828, et, après la Révolution de Juillet, il consacra ses loisirs à la réflexion et à l’étude historique ; à l’âge de soixante-quinze ans il publia une Histoire philosophique du règne de Louis XV et deux ans plus tard, en 1850, un deuxième ouvrage intitulé Coup d’oeil sur la règne de Louis XVI. Au même moment son fils Alexis commençait à travailler au livre dont il devait publier la première moitié en 1856 sous le titre L’Ancien Régime et la Révolution. A sa mort en 1859, il laissa quelques chapitres rédigés de la seconde partie de l’ouvrage, qui devait traiter de la Révolution proprement dite. Ainsi, à quelques années de distance, le père et le fils ont traité du même sujet : les dernières année de la chute de l’Ancien Régime. La situation est assez rare et, peut-être, sans précédent. Mais il fallait savoir s’en étonner et en tirer des leçons utiles.
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Camacho Martínez, Rosario, e Reyes Escalera Pérez. "El túmulo de la exposición «Fiesta y simulacro»." Boletín de Arte, n. 34 (18 novembre 2017): 353–56. http://dx.doi.org/10.24310/bolarte.2013.v0i34.3559.

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Abstract (sommario):
Madera, cartón-piedra, telas, metal… Estos son algunos de los materiales perecederos con los que se construían las arquitecturas que se erigían en las fiestas barrocas para simular mármol, pórfido, jaspe, oro o plata. Al mismo tiempo es lógico y natural que muchos de los elementos de estas celebraciones fuesen efímeros: los ornatos, las carrozas, los arcos, los túmulos o los fuegos artificiales. En la exposición «Fiesta y simulacro», que se celebra en Málaga desde el 19 de septiembre al 31 de diciembre de 2007 en el Palacio Episcopal, se exhiben elementos que se han conservado porque, en general no fueron realizados «ex profeso» para la fiesta sino que contribuyeron al esplendor de esta. Y aunque la mayoría de las arquitecturas y decoraciones estaban pensadas para una existencia temporal y han perdurado a través de dibujos o grabados o las descripciones literarias de las Relaciones, en esta muestra se han rescatado dos piezas para dejar constancia de las que se hicieron en épocas pasadas. Una de ellas es la Tarasca, elemento representativo de la procesión del Corpus Christi que cambiaba su forma anualmente. Se exhibe en el patio del Palacio y se ha recreado la que formó parte de la procesión del Corpus de Granada de 1760. Representa un dragón con siete cabezas –que simbolizan los pecados capitales– gobernada y dominada por la imagen de la Fe sobre un castillo que la convierte en inexpugnable para imponerse sobre la bestia. Ha sido realizada por Manuel Jesús Chiappi Gázquez y Chapitel Conservación y Restauración, S.L. y esperamos que se use o se exponga públicamente, cuando termine el calendario expositivo.
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Wu, Huiyi. "Alien Voices under the Bean Arbor: How an Eighteenth-Century French Jesuit Translated Doupeng xianhua 豆棚閒話 as the “Dialogue of a Modern Atheist Chinese Philosopher”*". T’oung Pao 103, n. 1-3 (28 agosto 2017): 155–205. http://dx.doi.org/10.1163/15685322-10313p04.

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Abstract (sommario):
This article examines an eighteenth-century French Jesuit’s translation of the final chapter of the early Qing collection of vernacular stories Doupeng xianhua 豆棚閒話 (Idle Talks under the Bean Arbor), which became a “philosophical dialogue” of a “modern atheist Chinese philosopher.” The trajectory of the text is examined by analyzing the layers of meaning superposed upon it by a succession of agencies: the original author Aina Jushi 艾衲居士, a Jiangnan literatus who philosophized on the fall of the Ming dynasty; Father François-Xavier Dentrecolles, the Jesuit missionary who translated the text with extensive commentaries of his own to make a case against atheism; the Parisian editor Jean-Baptiste Du Halde who published the translation in the landmark of Jesuit sinology, Description de l’Empire de la Chine et de la Tartarie chinoise (1735); the engravers in Paris and the Hague who remolded its cosmological diagrams to conform to their own scientific and aesthetic standards; and finally, its European re-translators and readers, some of whom used it as a weapon against the Jesuits and the Catholic Church. The gains and losses of the Doupeng xianhua during this process are discussed, as well as the new light brought by the French translation on its circulation in Qing China. Finally, the challenge this atypical case poses to received narratives of the Sino-Western cultural exchange through the Jesuit mission is assessed. Cet article examine la traduction au XVIIIe siècle, par un jésuite français, du dernier chapitre du recueil de contes vernaculaires Doupeng xianhua 豆棚閒話 (Propos oisifs sous la tonnelle des haricots), qui devient un « dialogue philosophique » d’un « philosophe chinois athée moderne ». La trajectoire de ce texte est retracée en analysant les strates successives de sens superposées sur ce texte grâce à des acteurs divers : l’auteur de l’original Aina Jushi 艾衲居士, un lettré du Jiangnan qui a philosophé sur la chute de la dynastie des Ming ; le missionnaire jésuite François-Xavier Dentrecolles qui a traduit le texte avec une profusion de commentaires de son propre cru contre l’athéisme ; l’éditeur parisien Jean-Baptiste Du Halde qui a publié cette traduction dans la Description de l’Empire de la Chine et de la Tartarie chinoise (1735), un monument de la sinologie française ; les graveurs à Paris et à La Haye qui ont retravaillé les diagrammes cosmologiques conformément à leurs propres normes scientifiques et esthétiques ; et enfin, les re-traducteurs et lecteurs européens de ce texte, certains desquels l’ont utilisé contre les jésuites et l’Église catholique. La conclusion évoque les gains et les pertes du Doupeng xianhua au cours de ce processus et l’éclairage que peut apporter cette traduction française sur la diffusion de l’original dans la Chine des Qing. Elle envisage enfin le défi posé par ce cas atypique aux récits conventionnels sur la médiation des jésuites dans les échanges culturels entre la Chine et l’Europe.
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Fong, William. "J.W. McConnell and the Chancellorship of McGill University, 1942–3". Fontanus 13 (1 gennaio 2013). http://dx.doi.org/10.26443/fo.v13i.254.

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Abstract (sommario):
J.W. McConnell (1877–1963) was one of the most successful Canadian businessmen of his time, and possibly the richest man in Canada for much of his life. A promoter of stocks early in his career, he soon became a major industrialist and investor. He was president of St. Lawrence Sugar Refineries Limited for almost fifty years and publisher of the Montreal Daily Star and other newspapers for almost twenty-five. Among the companies of which he was a major shareholder were the International Nickel Company of Canada, Brazilian Traction, Montreal Tramways, Montreal Light, Heat and Power, Ogilvie Flour Mills, Canada Steamship Lines, and Borden. His reputation spread to Wall Street and the City of London, not only for his business acumen but also for his great generosity to medical and educational causes. He was one of the principal founders of the Montreal Neurological Institute. From 1909 to 1927, he was one of the most effective fundraisers in the country, for the YMCA, the war effort through Victory Loans, and the hospitals of Montreal. And for the remainder of his life he was the most generous contributor to good causes in Montreal if not in Canada as a whole.With Lord Strathcona and Sir William Macdonald, he became one of the three greatest benefactors of McGill. After the death of Sir Edward Beatty, the Chancellor of the university, in 1943, McConnell was a natural candidate to succeed him. The board of governors, who were responsible for choosing a new Chancellor, were nearly all businessmen like him, and his assumption of the post would have been indeed in the tradition of James Ferrier, Strathcona, Macdonald and Beatty. But McConnell did not become Chancellor, and this is the story of why he did not. In abbreviated form, this was published in chapter 17 of the author’s biography of McConnell in 2008. This article however presents considerably more detail.ResuméJ.W. McConnell (1877–1963) fut un des hommes d’affaires les plus prospères de son époque, et possiblement un des hommes les plus riches du Canada pour la plus grande partie de sa vie. Promoteur d’actions au début de sa carrière, il devint rapidement un industriel et un investisseur d’importance. Il fut président de la compagnie St. Lawrence Sugar Refineries Limited pendant presque cinquante ans, et éditeur du Montreal Daily Star et de divers autres journaux pendant presque vingt-cinq ans. Il fut un actionnaire important de plusieurs compagnies, notamment International Nickel Company of Canada, Brazilian Traction, Montreal Tramways, Montreal Light, Heat and Power, Ogilvie Flour Mills, Canada Steamship Lines, et Borden. Sa réputation se progagea jusqu’à Wall Street et Londres, non seulement pour sa perspicacité en affaires mais aussi pour sa grande générosité envers les bonnes causes dans les domaines de la medecine et de l’éducation. Il fut un des fondateurs principaux de l’Institut neurologique de Montréal. De 1909 à 1927, il fut un collecteur de fonds les plus efficaces au Canada, au profit de l’organisme YMCA, de l’effort de guerre par le biais du programme des Prêts de la victoire, et des hôpitaux montréalais. Il demeura pour le reste de sa vie un fort généreux contributeur aux bonnes causes à Montréal, sinon au Canada tout entierAvec Lord Strathcona et Sir William Macdonald, il devint une des trois plus grands bienfaiteurs de l’Université McGill. Après la mort de Sir Edward Beatty, le chancelier de l’Université, en 1942, McConnell fut un candidat tout désigné pour lui succéder. Les membres du Conseil des gouverneurs, qui avaient la responsabilité de choisir un nouveau chancelier, étaient presque tous des hommes d’affaire comme lui, et il aurait été dans la tradition de James Ferrier, Strathcona, Macdonald et Beatty que McConnell accède à ce poste. Toutefois, McConnell ne devint pas chancelier, et ceci est l’histoire qui raconte pourquoi il ne l’est pas devenu. Elle a été publiée sous la forme du chapitre 17 de la biographie de McConnell. Cet article, toutefois, présente considérablement plus de détails.
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Kilani, Mondher. "Culture". Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.121.

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Abstract (sommario):
La culture, mot ancien, a une longue histoire et pour les anthropologues, qui n’ont pas envie de l’abandonner, elle garde tout son potentiel heuristique. Du verbe latin colere (cultiver, habiter, coloniser), la culture a immédiatement montré une remarquable versatilité sémantique. Comme Cicéron (106-43 av. J.-C.) l’avait dit, il n’y a pas seulement la culture des champs, il y a aussi la cultura animi : c’est-à-dire la philosophie. Cultura animi est une expression que l’on retrouve également au début de la modernité, chez le philosophe anglais Francis Bacon (1561-1626). Elle devient ensuite « culture de la raison » chez René Descartes (1596-1650) et chez Emmanuel Kant (1724-1804). Mais au XVIIIe siècle, nous assistons à un autre passage, lorsque la culture, en plus des champs, de l’âme et de la raison humaine, commence à s’appliquer également aux coutumes, aux mœurs, aux usages sociaux, comme cela est parfaitement clair chez des auteurs tels que François-Marie Arouet, dit Voltaire (1694-1778), et Johann Gottfried Herder (1744-1803). Nous pourrions nous demander pourquoi ces auteurs ne se sont pas contentés de continuer à utiliser les termes désormais testés de coutumes et de mœurs. Pourquoi ont-ils voulu ajouter la notion de culture? Qu’est-ce que cette notion offrait de plus? Autrement dit, quelle est la différence entre culture et coutume? Dans l’usage de Voltaire et de Herder, la culture est presque toujours singulière, alors que les coutumes sont très souvent plurielles. La culture a donc pour effet d’unifier les coutumes dans un concept unique, en surmontant leur pluralité désordonnée et désorientante : les coutumes sont nombreuses, variables, souvent divergentes et contradictoires (les coutumes d’une population ou d’une période historique s’opposent aux coutumes d’autres sociétés et d’autres périodes), alors que la culture désigne une capacité, une dimension, un niveau unificateur. Dans son Essai sur les mœurs (1756), Voltaire a clairement distingué le plan de la « nature », dont dépend l’unité du genre humain, de celui de la « culture », où les coutumes sont produites avec toute leur variété : « ainsi le fonds est partout le même », tandis que « la culture produit des fruits divers », et les fruits sont précisément les coutumes. Comme on peut le constater, il ne s’agit pas uniquement d’opposer l’uniformité d’une part (la nature) et l’hétérogénéité d’autre part (les coutumes). En regroupant les coutumes, Voltaire suggère également une relation selon laquelle le « fonds » est le terrain biologique, celui de la nature humaine, tandis que la culture indique le traitement de ce terrain et, en même temps, les fruits qui en découlent. Tant qu’on ne parle que de coutumes, on se contente de constater la pluralité et l’hétérogénéité des « fruits ». En introduisant le terme culture, ces fruits sont rassemblés dans une catégorie qui les inclut tous et qui contribue à leur donner un sens, bien au-delà de leur apparente étrangeté et bizarrerie : bien qu’étranges et bizarres, ils sont en réalité le produit d’une activité appliquée au terrain commun à toutes les sociétés humaines. Partout, les êtres humains travaillent et transforment l’environnement dans lequel ils vivent, mais ils travaillent, transforment et cultivent aussi la nature dont ils sont faits. Appliquée aux coutumes, la culture est donc à la fois ce travail continu et les produits qui en découlent. En d’autres termes, nous ne pouvons plus nous contenter d’être frappés par l’étrangeté des coutumes et les attribuer à une condition d’ignorance et aux superstitions : si les coutumes sont une culture, elles doivent être rapportées à un travail effectué partout, mais dont les résultats sont sans aucun doute étranges et hétérogènes. Il s’agit en tout cas d’un travail auquel chaque société est dédiée dans n’importe quel coin du monde. Nous ne voulons pas proposer ici une histoire du concept de culture. Mais après avoir mentionné l’innovation du concept de culture datant du XVIIIe siècle – c’est-à-dire le passage du sens philosophique (cultura animi ou culture de la raison) à un sens anthropologique (coutumes en tant que culture) –, on ne peut oublier que quelques décennies après l’Essai sur les mœurs (1756) de Voltaire, Johann Gottfried Herder, dans son Ideen zur Philosophie der Geschichte der Menschheit (1784-1791), fournit une définition de la culture digne d’être valorisée et soutenue par l’anthropologie deux siècles plus tard. Herder ne se limite pas à étendre la culture (Kultur) bien au-delà de l’Europe des Lumières, au-delà des sociétés de l’écriture (même les habitants de la Terre de Feu « ont des langages et des concepts, des techniques et des arts qu’ils ont appris, comme nous les avons appris nous-mêmes et, par conséquent, eux aussi sont vraiment inculturés »), mais il cherche le sens profond du travail incessant de la Kultur (1991). Pourquoi, partout, aux quatre coins du monde, les humains se consacrent-ils constamment à la formation de leur corps et de leur esprit (Bildung)? La réponse de Herder est dans le concept de l’homme en tant qu’être biologiquement défectueux (Mängelwesen), en tant qu’être qui a besoin de la culture pour se compléter : le but de la culture est précisément de fournir, selon différentes conditions historiques, géographiques et sociales, une quelque forme d’humanité. Selon Herder, la culture est « cette seconde genèse de l’homme qui dure toute sa vie » (1991). La culture est la somme des tentatives, des efforts et des moyens par lesquels les êtres humains « de toutes les conditions et de toutes les sociétés », s’efforcent d’imaginer et de construire leur propre humanité, de quelque manière qu’elle soit comprise (1991). La culture est l’activité anthropo-poïétique continue à laquelle les êtres humains ne peuvent échapper. Tel est, par exemple, le propre du rituel qui réalise la deuxième naissance, la véritable, celle de l’acteur/actrice social/e, comme dans les rites d’initiation ou la construction des rapports sociaux de sexe. La culture correspond aux formes d’humanité que les acteurs sociaux ne cessent de produire. Le but que Herder pensait poursuivre était de rassembler les différentes formes d’humanité en une seule connaissance généralisante, une « chaîne de cultures » qui, du coin du monde qu’est l’Europe des Lumières « s’étend jusqu’au bout de la terre » (1991). On peut soutenir que dans les quelques décennies de la seconde moitié du XVIIIe siècle, on avait déjà posé les bases d’un type de connaissance auquel on allait donner plus tard le nom d’anthropologie culturelle. Parmi ces prémisses, il y avait le nouveau sens du terme culture. Cependant, il faut attendre plus d’un siècle pour que ceux qui allaient être appelés anthropologues reprennent ce concept et en fassent le fondement d’une nouvelle science. La « science de la culture » est en fait le titre du chapitre I de Primitive Culture (1871) d’Edward Burnett Tylor, chapitre qui commence par la définition de la culture connue de tous les anthropologues : « Le mot culture ou civilisation, pris dans son sens ethnographique le plus étendu, désigne ce tout complexe comprenant à la fois les sciences, les croyances, les arts, la morale, les lois, les coutumes et les autres facultés et habitudes acquises par l’homme dans l’état social (Tylor1920). » Dans cette définition, les points suivants peuvent être soulignés : premièrement, la culture est un instrument qui s’applique de manière ethnographique à toute société humaine; deuxièmement, elle intègre une pluralité d’aspects, y compris les coutumes, de manière à former un « ensemble complexe »; troisièmement, les contenus de cet ensemble sont acquis non par des moyens naturels, mais par des relations sociales. Dans cette définition, la distinction – déjà présente chez Voltaire – entre le plan de la nature et le plan de la culture est implicite; mais à présent, le regard se porte avant tout sur la structure interne de la culture, sur les éléments qui la composent et sur la nécessité d’ancrer la culture, détachée de la nature, au niveau de la société. Il initie un processus de formation et de définition d’un savoir qui, grâce au nouveau concept de culture, revendique sa propre autonomie. La première fonction de la culture est en fait de faire voir le territoire réservé à la nouvelle science : un vaste espace qui coïncide avec tous les groupes humains, des communautés les plus restreintes et les plus secrètes aux sociétés qui ont dominé le monde au cours des derniers siècles. Mais jusqu’à quel point ce concept est-il fiable, solide et permanent, de sorte qu’il puisse servir de fondement au nouveau savoir anthropologique? On pourrait dire que les anthropologues se distinguent les uns des autres sur la base des stratégies qu’ils adoptent pour rendre le concept de culture plus fiable, pour le renforcer en le couplant avec d’autres concepts, ou, au contraire, pour s’en éloigner en se réfugiant derrière d’autres notions ou d’autres points de vue considérés plus sûrs. La culture a été un concept novateur et prometteur, mais elle s’est aussi révélée perfide et dérangeante. On doit réfléchir aux deux dimensions de la culture auxquelles nous avons déjà fait allusion: le travail continu et les produits qui en découlent. Les anthropologues ont longtemps privilégié les produits, à commencer par les objets matériels, artistiques ou artisanaux : les vitrines des musées, avec leur signification en matière de description et de classification, ont suggéré un moyen de représenter les cultures, et cela même lorsque les anthropologues se sont détachés des musées pour étudier les groupes humains en « plein air », directement sur le terrain. Quelles étaient, dans ce contexte, les coutumes, sinon les « produits » de la culture sur le plan comportemental et mental? Et lorsque la notion de coutume a commencé à décliner, entraînant avec elle le sens d’un savoir dépassé, la notion de modèle – les modèles de culture – a dominé la scène. Saisir des modèles dans n’importe quel domaine de la vie sociale – de la parenté à la politique, de la religion au droit, de l’économie à l’art, etc. – ne correspondait-il pas à une stratégie visant à construire, dans un but descriptif et analytique, quelque chose de solide, de répétitif et de socialement répandu, bref, un système capable de se reproduire dans le temps? Ce faisant, on continuait à privilégier les produits avec leur continuité et leur lisibilité au détriment du travail continu et obscur de la culture, de son flux presque insaisissable et imprévisible. Nous pensons par exemple à la quantité incroyable et chaotique de gestes, mots, idées, émotions qui se succèdent, se chevauchent, se croisent et se mélangent dans chaque moment de la vie individuelle et collective. Le sentiment que les produits toujours statiques et achevés de la culture priment sur sa partie la plus significative et la plus dynamique (une sorte de matière ou d’énergie obscure), devient un facteur de frustration et de perturbation pour l’entreprise anthropologique. À cet égard, les anthropologues ont adopté plusieurs voies de sortie, notamment : la tendance à réifier la culture, ce qui lui confère une solidité presque ontologique (c’est le cas d’Alfred L. Kroeber 1952); l’intention de réduire sa portée et de l’ancrer ainsi dans une réalité plus cohérente et permanente, telle que pourrait être la structure sociale dans ses diverses articulations (Alfred Radcliffe-Brown 1968 et plus largement l’anthropologie sociale); la tentative de capturer dans les manifestations apparemment plus libres et arbitraires de la culture, que peuvent être les mythes, l’action de structures mentales d’un ordre psycho-biologique (Claude Lévi-Strauss 1958 et 1973 et plus largement le structuralisme). Plus récemment, la méfiance envers la culture a pris la forme même de son refus, souvent motivé par une clef politique. Comment continuer à s’appuyer sur la culture, si elle assume désormais le rôle de discrimination autrefois confié à la race? Plus la culture devient un terme d’usage social et politique, identifié ou mélangé à celui d’identité et se substituant à celui de race, plus des anthropologues ont décrété son caractère fallacieux et ont pensé à libérer la pensée anthropologique de cet instrument devenu trop dangereux et encombrant. Lila Abu-Lughod écrit en 1991 un essai intitulé Against Culture et les critiques du concept de culture refont surface dans le texte d’Adam Kuper, Culture, 1998 et 1999. Mais si l’anthropologie doit se priver de ce concept, par quoi le remplacera-t-elle? Est-il suffisant de se contenter de « pratiques » et de « discours » qu’Abu-Lughod a puisés chez Michel Foucault (1966)? C’est une chose de critiquer certains usages de la notion de culture, tels que ceux qui tendent à la confondre avec l’identité, c’en est une autre d’accepter le défi que ce concept présente à la fois par son caractère fluide et manipulable, et par les expansions fertiles dont il est capable. Par « pratique » et « discours », réussirons-nous, par exemple, à suivre l’expansion de la culture vers l’étude du comportement animal et à réaliser que nous ne pouvons plus restreindre la « science de la culture » dans les limites de l’humanité (Lestel 2003)? Presque dans le sens opposé, la culture jette également les bases de la recherche ethnographique au sein des communautés scientifiques, une enquête absolument décisive pour une anthropologie qui veut se présenter comme une étude du monde contemporain (Latour et Woolgar 1979). Et quel autre concept que celui de culture pourrait indiquer de manière appropriée le « tout complexe » (complex whole) de la culture globale (Hamilton 2016)? Qu’est-ce que l’Anthropocène, sinon une vaste et immense culture qui, au lieu d’être circonscrite aux limites de l’humanité, est devenue une nouvelle ère géologique (Zalasiewicz et al. 2017)? Bref, la « science de la culture », formulée en 1871 par Edward Tylor, se développe énormément aujourd’hui : la culture est l’utilisation de la brindille comme outil de capture des termites par le chimpanzé, de même qu’elle correspond aux robots qui assistent les malades, aux satellites artificiels qui tournent autour de la Terre ou aux sondes envoyées dans le plus profond des espaces cosmiques. Ces expansions de la culture sont sans aucun doute des sources de désorientation. Au lieu de se retirer et de renoncer à la culture, les anthropologues culturels devraient accepter ce grand défi épistémologique, en poursuivant les ramifications de cette notion ancienne, mais encore vitale, dynamique et troublante.
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Lapierre, Nicole. "Étranger". Anthropen, 2020. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.127.

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Abstract (sommario):
Dans un texte de 1908 intitulé « Digressions sur l’Étranger » (1999), le sociologue Georg Simmel définit ce dernier comme l’homme venu d’ailleurs et installé à demeure, même s’il reste un voyageur potentiel. Membre du groupe dans lequel il s’est fixé, il y occupe une position distincte, en raison de son origine et se trouve renvoyé à une altérité plus ou moins bien acceptée. Souvent pénible, cette situation peut s’avérer positive dans la mesure où elle favorise un questionnement sur le monde social : « parce qu’il n’a pas de racines dans les particularismes et les partialités du groupe, il s’en tient à l’écart avec l’attitude spécifique de l’objectivité, qui n’indique pas le détachement ou le désintérêt, mais résulte plutôt de la combinaison particulière de la distance et de la proximité, de l’attention et de l’indifférence.» (Simmel, 1999, 55) A cette analyse répond, plus de trente ans après, celle du sociologue autrichien Alfred Schutz. Dans un article intitulé « L’étranger », publié initialement en 1944 aux États-Unis où il avait fui la menace nazie, Schutz s’attache à son tour, en phénoménologue du social, à décrire les difficultés et les capacités de l’étranger (Schutz, 2003). Celui-ci ne dispose pas de cette connaissance immédiate venue de la pensée d’habitude (thinking as usual). Pour lui, le modèle culturel du groupe d’accueil, dépourvu de l’évidence d’un sens commun, s’avère problématique. Schutz insiste sur son désarroi, mais il souligne, comme Simmel, son potentiel heuristique, lié à la nécessité d’examiner ce qui, pour d’autres, va de soi. Ainsi, note-t-il : « l’étranger discerne, souvent avec une douloureuse clairvoyance, l’émergence d’une crise susceptible de menacer toutes les fondations d’une “conception relativement naturelle du monde” » (Schutz, 2003, 17). Le modèle explicite de Simmel est la position des Juifs, intermédiaires jugés nécessaires, donc tolérés mais stigmatisés, dans la société précapitaliste. Mais au delà, il vise la condition de minoritaire qu’il connaît lui-même en tant que Juif assimilé et converti qui n’a jamais été accueilli par l’université allemande. Le modèle de Schutz est le nouveau venu, l’immigrant de fraîche date, dont on ne sait pas encore s'il va rester marginalisé ou s'il va s’intégrer. Schutz, lui aussi, parle d’expérience : quand il publie ce texte, cela fait six ans qu’il est arrivé aux États Unis. C’est un exilé qui a dû changer de code, de langue et d’environnement et qui regarde, intrigué, la société américaine. Ces deux formes d’expérience de l’étrangéité ont été vécues et théorisées par de nombreux intellectuels juifs allemands, contraints de fuir après l’arrivée au pouvoir d’Hitler. C’est le cas de Siegfried Kracauer qui a étudié l’architecture, la philosophie, la sociologie et a suivi le séminaire privé de Simmel, dans les années 1910 à Berlin. Il a participé activement à l’effervescence culturelle et politique de la gauche de Weimar avant de connaître les chemins de l’exil, en France puis aux États Unis. Comme son maître Simmel, il déchiffrait dans le quotidien urbain, la culture de masse ou l’esthétique ordinaire les signes révélateurs d’une mutation de la société. Selon Theodor Adorno, « Le comportement [de Kracauer] à l’égard de l’expérience était toujours celui de l’étranger, transposé dans le domaine de l’esprit. » (1984, 273) Dans son dernier ouvrage, L’Histoire Des avant-dernières choses, il compare l’historien à l’étranger, entrant dans un monde auquel il n’appartient pas. Et il écrit aussi à propos de l’exilé : « il a cessé d“appartenir” » (he has ceased to belong), (Kracauer, 2006, 146). Pour Kracauer, cette non appartenance, qu’il définit également comme une « exterritorialité », rapproche la situation de l’étranger ou de l’exilé d’un côté et la position du sociologue ou de l’historien de l’autre. A son tour, Edward Saïd donne de nombreux exemples des affinités entre expérience du déplacement, renouvellement du regard et pensée critique (2008). Parmi ceux-ci, il évoque les travaux d’Adorno dans son exil new-yorkais. Il est devenu, dit-il, un chasseur d’illusions et la situation pénible et précaire dans laquelle il se trouvait, en lui donnant une vision à la fois proche et distanciée, a sans nul doute favorisé la lucidité de ses analyses sur le caractère administré d’une modernité dépourvue d’humanité. Pour lui, ajoute-t-il, le refus de cet état des choses est la mission de l’intellectuel en exil. Une mission que Saïd, Américain d’origine palestinienne, se fixe à son tour dans sa théorie nomade (traveling theory) de l’analyse littéraire, qui opère un décentrement radical par rapport à la culture hégémonique occidentale. Si une expérience de minoritaire ou d’exilé peut inciter à se défaire des évidences familières, à se détacher des représentations communes et ainsi à développer une pensée critique, on peut aussi, par méthode ou par principe épistémologique « jouer l’étranger », selon l’expression de deux historiens des sciences anglais Steven Shapin et Simon Schaffer (1993, 12). Ils cherchaient à expliquer pourquoi la méthode expérimentale fait scientifiquement preuve. Pour répondre à cette question, il leur fallait, disaient-ils, citant Schutz, suspendre leur perception routinière sur l’évidence de l’expérience et aborder « leur » culture de l’expérimentation à la manière dont un étranger percevait une culture autre que la sienne. Ce qu’ils ont fait en étudiant les controverses sur le sujet au XVIIe siècle (entre Thomas Hobbes et Robert Boyle). Ils ont pratiqué ce que l’historien Carlo Ginzburg nomme l’« estrangement » (straniamento). (2001) L’estrangement est un procédé littéraire provoquant une défamiliarisation afin de donner une perception plus exacte de ce qui est raconté (notons ici que c'était déjà l'appréhension de Montaigne, notamment dans le chapitre "Des Cannibales" des Essais). Ginzburg, qui rappelle la longue histoire de ce procédé, de Marc Aurèle à Tolstoï, montre que son objectif a toujours été critique : l’estrangement permet de se défaire des « représentations fallacieuses », des « postulats qu’on croyait évidents » et des « modes d’identification rebattus et usés par les habitudes perceptives » (2001, 21). C’est « un instrument de délégitimation à tous les niveaux, politique, social, religieux » (2001, 29). Il libère le regard en lui ôtant les lunettes des normes ou des traditions culturelles. En cela, il intéresse l’historien mais a une portée cognitive et épistémologique plus générale. Pour le sociologue, qui étudie la société dans laquelle il est lui-même immergé, la position de l’étranger (et la réflexivité qu’elle implique), est une nécessité méthodologique. Il faut « penser ailleurs » pour aiguiser les interrogations et stimuler les interprétations (Lapierre, 2006), en prenant notamment de la distancepar rapport aux évidences des institutions et des sens communs en cours dans la société. L’ethnologue travaillant de façon classique sur des terrains lointains, lui, occupait de fait une position d’étranger, bien qu’un peu particulière. Ni touriste de passage en quête d’exotisme, ni résident installé à demeure, il était « l’intrus familier ». Le défi étant d’être de moins en moins intrus et de plus en plus familier, tout en considérant, d’un « regard éloigné », les observés comme des objets. Cette façon de travailler au loin, sur des terrains circonscrits, avec des systèmes interprétatifs puissants et exclusivement forgés en Occident, est désormais remise en question. Car les sociétés sont mondialisées et les « aires culturelles » reconfigurées par les migrations. Il n’y a plus centre et périphérie, sujet sachant et objet du savoir. Enfin, l’exercice de l’anthropologie n’est plus une exclusivité occidentale. Tandis que les mondes se rapprochent, deux options s’offrent désormais à l’anthropologue. Il peut user de ses propres outils pour « jouer à l’étranger chez lui ». Le détour par l’ailleurs qui permet en retour sur les us et manières de sa propre société n’est certes pas une nouveauté, Montaigne le pratiquait déjà ("Je ne dis les autres que pour d'autant plus me dire"), mais il reste fructueux, comme l’ont montré, par exemple, les travaux de Georges Balandier (1985) ou de Marc Abélès (2000). Il peut également, et cette voie est plus engageante (dans tous les sens du terme), coproduire un savoir où chacun est l’étranger familier de l’autre.
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Flavia Irene, Santamaria,. "“Un estudio multimodal y dinámico de los conocimientos numéricos de estudiantes de primer grado”". RIDAA Tesis Unicen, 27 settembre 2021. http://dx.doi.org/10.52278/2850.

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Abstract (sommario):
En esta tesis profundizamos el estudio de la cognición y comunicación numérica de niños y niñas de primeros grados de la escuela primaria en la zona andina rionegrina. Desde un enfoque socio-constructivista de recursos, interesó visibilizar, documentar y comprender la variedad, articulación y dinamismo de conocimientos numéricos en los diferentes grados de apropiación que estos jóvenes estudiantes ponen en juego al producir y reflexionar sobre signos numéricos en situación de entrevista, en distintos modos semióticos. También prestamos atención a sus procesos de reflexión y regulación de la propia cognición numérica. Los participantes son cuarenta y cinco niñas y niños que cursaban primer grado en cuatro escuelas públicas de gestión estatal de jornada simple en Bariloche y El Bolsón. Dos de las escuelas son céntricas y dos se encuentran en la periferia de la ciudad. La selección de las escuelas respondió a obtener un relativamente amplio abanico sociocultural y socioeducativo en el marco de la escolaridad urbana regional. Metodológicamente, se entrevistó a los niños individualmente en base a un guión semi-estructurado, con tareas abiertas, creativas, convocantes, desafiantes y andamiadas. Se utilizaron dispositivos de registro multimodal de los procesos comunicativo-cognitivos implicados en los momentos de producción oral, gráfica y con objetos. Los análisis mixtos buscaron conjugar profundidad y sistematicidad en la atención a la singularidad y la regularidad, utilizando técnicas que permiten tal diversidad de acercamientos a los textos gráficos creados por los niños, así como a sus respuestas verbales y gestuales y sus acciones con objetos. Principalmente trabajamos con: sistemas de categorías para la construcción de repertorios con posterior aplicación de técnicas de la estadística no paramétrica y multivariada, análisis de trayectorias de aprendizaje y estudio de casos múltiples. El enfoque socio-constructivista de recursos impregnó las decisiones tomadas tanto al realizar la entrevista como al analizar la producción numérica de cada niña o niño. Dimos cuenta de la variedad de las formas de conocer y comunicar numéricamente de los y las participantes mediante cuatro repertorios: el primero visibiliza el arco de producción numérica convencional identificado en la población estudiada; el segundo distingue las aproximaciones parciales a la convención numérica; el tercero articula trayectorias de conservación e innovación cognitiva al pensar en y con cantidades “grandes”, y finalmente, el cuarto identifica formas de reflexión y regulación de la propia cognición numérica. Ilustramos todas las categorías incluidas en esos cuatro repertorios con producciones orales, gráficas y a veces gestuales originales de los niños y niñas participantes. Además, nos dedicamos a captar multimodalmente el dinamismo del pensamiento y la comunicación numérica de los niños en situación, tanto a nivel intra-tarea como inter-tarea. Así, identificamos cuatro patrones de producción convencional, que se extienden desde una producción convencional limitada (Patrón 1, 9 niños) a una producción avanzada (Patrón 4, 8 niños), pasando por configuraciones de producción convencional “incipiente”(Patrón 2, 13 niños) e “intermedia” (Patrón 3, 15 niños). Encontramos una asociación entre los patrones de producción convencional y el sector socioeducativo y sociocultural vinculado a la escuela. En las escuelas céntricas se concentró la mayor proporción de niños y niñas cuya producción convencional es más extendida, y en las escuelas periféricas sucedió lo inverso. Sin embargo, en tres de los primeros grados participantes convivían niños de los cuatro patrones de producción convencional, y en uno, de tres patrones. La heterogeneidad se incrementa notablemente si miramos a los chicos considerando sus respuestas no convencionales como una producción comunicativa cognitiva genuina. Esta situación coloca a la heterogeneidad cognitiva en el campo del número como una condición a considerar como esperable en el inicio de la escolarización matemática primaria en la región. Para ahondar en el estudio del dinamismo en la puesta en juego de los recursos cognitivo-comunicativos de los niños realizamos varias líneas de análisis. Una fue el estudio de sus avances en el curso de una misma tarea o a lo largo de tareas relacionadas. El hallazgo de que el 78% de los niños evidenciaron alguna forma de progreso resalta la importancia de disponer un espacio abierto y sin prisa para la comunicación y evaluación del conocimiento. El progreso según indicadores de mayor producción estrictamente convencional se evidenció en niños o niñas pertenecientes a todos los patrones de producción convencional, lo que muestra que ni tan siquiera el saber que se corresponde con el establecido culturalmente constituye un bagaje del que niños y niñas disponen de forma estable, pronto a ser demostrado ante la primera demanda. A su vez pudimos constatar que las tensiones entre lo establecido y lo posible, o entre convenciones e invenciones, resultaron ser fuentes de conflicto y transformación cognitiva para algunos niños entrevistados. En este proceso, los niños y las niñas mostraron cómo gradualmente se apropiaron del conocimiento cultural establecido, exploraron relaciones, revisaron y generaron innovaciones en sus ideas y procedimientos. La mayoría de las niñas y niños entrevistados mostraron que tales respuestas surgieron de procesos constructivos y exploratorios no lineales, que introdujeron ajustes y fomentaron nuevas percataciones de regularidades numéricas, e incluso nuevos matices de significado. En nuestra búsqueda por comprender la variedad y el dinamismo de los recursos de los niños, elegimos incluir también un estudio de casos múltiples. Seleccionamos dos niños y una niña que se inscriben en distintos patrones de producción convencional para reconstruir su construcción de sentidos a lo largo de la progresión de tareas numéricas en la entrevista. Esta fue una vía más para dimensionar el grado en que los saberes de los niños entrevistados acerca de las formas y funciones numéricas abordadas revisten una notable disparidad inter-sujeto, y también conexiones de sentido a nivel inter-tarea. Somos conscientes de los alcances y restricciones de un trabajo investigativo acotado no solo en el número de participantes sino también en el tiempo/espacio de interacción en el que recabamos la información (una única entrevista diádica fuera del aula). No obstante, consideramos que los análisis de grano fino y multimodal de la variedad de recursos numéricos en esta etapa, junto a la atención al dinamismo de su puesta en juego en situación, pueden contribuir a articular un panorama de los niños como aprendices que buscan agentivamente apropiarse de las formas y funciones numéricas como instrumento de participación cultural. En ese sentido las contribuciones recogidas en los comentarios finales de los capítulos de resultados y en las conclusiones pueden ofrecer información valiosa de primera mano para el diseño y la implementación de prácticas de enseñanza capaces de promover la agencia en el aprendizaje numérico básico en entornos socioeducativos diversos. Planteamos una vía para superar enfoques de estándares que conciben el aprendizaje preferentemente como proceso descontextualizado, reproductivo, monomodal y universal. Para ello, por supuesto, es clave el trabajo también agentivo, creativo, colaborativo, multimodal y andamiado de los equipos docentes en sus comunidades de práctica. In this thesis we go a step further in the study of numerical cognition and communication of first-grade children in the Andean region of Rio Negro. From a resource-based socio-constructivist framework, we were interested in making visible, documenting and understanding the variety, articulation and dynamism of children’s numerical knowledge at work when they produced and thought about and with numerical signs during interviews, in different semiotic modes. We also paid attention to the processes of reflexion and regulation of their own numerical cognition. The participants are forty-five students who attended first grade in four public schools in Bariloche and El Bolsón. Two of the schools are located down-townl and two are located in the periphery of the city. The selection of schools aimed at obtaining a relatively wide sociocultural and socio-educational range within regional urban schooling. Methodologically, the children were interviewed individually based on a semi-structured script, with open, creative, convoking, challenging and scaffolding tasks. Multimodal recording devices of the communicative-cognitive processes evidenced during oral, graphic and object production were used. The mixed methods analyses sought to combine depth and systematic attention to both singularity and regularity, by using techniques that allow such a diversity of approaches to the graphic texts created by children, as well as to their verbal and gestural responses and to their actions with objects. We mainly worked with: category systems for the construction of repertoires, with subsequent application of non-parametric and multivariate statistics techniques, analysis of learning trajectories and study of multiple cases. The resource-based socio-constructivist framework resource-based socio-constructivist framework permeated the decisions made both when conducting the interview and when analyzing the numerical production of each girl or boy. Four repertoires captured the variety in participants’ ways of knowing and communicating numerically: the first one makes visible the conventional numerical production identified in the studied population; the second distinguishes partial approaches to numerical convention; the third articulates trajectories of cognitive preservation and cognitive innovation when thinking about and with relatively large quantities, and finally, the fourth identifies forms of reflexion and regulation of numerical cognition. We illustrate all the categories included in those four repertoires with original productions of the participating children ─oral, graphic and sometimes gestural. In addition, we sought to capture the multimodal dynamism of children’s situated thinking and communication, both at an intra-task and an inter-task level. Thus, we identified four conventional production patterns, which range from Limited conventional production (Pattern 1; 9 children) to Advanced production (Pattern 4; 8 children). Incipient conventional production (Pattern 2; 13 children) and Intermediate (Pattern 3; 15 children) configurations are half-way. We found an association between conventional production patterns and the socio-educational / socio-cultural sector characteristic of the schools. In the down-town schools a greater proportion of children whose conventional production is more widespread was concentrated, and in the peripheral schools the opposite happened. However, in three of the participating first grades, children of the four conventional production patterns coexisted, and in the remaining one, children from three patterns did so. Intra-school-grade heterogeneity increases markedly if we look at students’ unconventional responses as genuine cognitive-communicative productions. This situation places cognitive-communicative heterogeneity as a condition to be considered at the beginning of primary mathematical schooling in the region. In order to deepen into the study of the dynamism of children’s cognitive-communicative resources we performed several lines of analysis. One was the study of their progress in the course of a same task or along related tasks. The finding that 78% of children showed some form of progress highlights the importance of having an open and unhurried space for communication and knowledge assessment. Progress according to indicators of conventional production was evidenced in children belonging to all conventional production patterns. The latter shows that children’s established cultural knowledge is not a stable ready-made possession, soon to be demonstrated at request. At the same time, tensions between the realms of the established and the possible, or between conventions and inventions, turned out to be sources of conflict and cognitive transformation for some of the children. In this process, students showed how they gradually appropriated established cultural knowledge, explored relationships, reviewed and generated innovations in their ideas and procedures. Most of the interviewed children showed that such answers arose from nonlinear constructive and exploratory processes, which introduced adjustments and encouraged new perceptions of numerical regularities, and even new nuances of meaning. In our quest to understand the variety and dynamism of children's resources, we also chose to include a multiple case study. We selected two boys and a girl who belonged in different patterns of conventional production, as a way to reconstruct their meaning-making processes throughout the progression of numerical tasks in the interview. This was one more way to measure the degree to which the knowledge of the interviewed children about the numerical forms and functions addressed is markedly heterogeneous across learners, and also to understand connections of meaning at the single learner, inter-task level. We are aware of the scope and restrictions of a limited research work as ours. Limitations are related to the number of participants as well as to the temporal-spatial frame of interaction in which we collected the information (a single dyadic interview outside the classroom). However, we consider that the fine-grained and multimodal analyses of the variety of numerical resources at this stage, together with the attention to the dynamism of their putting into play in situation, can contribute to articulate a panorama of children as apprentices who agentively seek to appropriate numerical forms and functions as an instrument for their cultural participation. In that sense, we expect that the contributions collected in the final comments of each chapter, together with the final conclusions chapter can offer valuable first-hand information for the design and implementation of teaching practices capable of promoting children’s agency in basic numerical learning, in diverse socio-educational environments. We propose a way to overcome standardized approaches that conceive learning preferably as a decontextualized, reproductive, monomodal and universal process. To that end, of course, the agentive, creative, collaborative, multimodal and scaffolded work of the teaching teams in their communities of practice is also a key factor. Dans cette thèse, on approfondit l'étude de la cognition et de la communication numérique des enfants des premières années d'école primaire dans la région des Andes, province de Rio Negro. À partir d’un optique socioconstructiviste des ressources, on a voulu visualiser, documenter et comprendre la variété, l'articulation et le dynamisme des connaissances numériques à des degrés divers d'appropriation que ces jeunes étudiants mettent en jeu pour produire et réfléchir sur des signes numériques lors d'un entretien, dans différents modes sémiotiques. On s'intéresse également à leurs processus de réflexionet de régulation de la propre cognition numérique. Les participants sont quarante-cinq enfants de la première année d'école primaire de quatre écoles publiques de demi-journée d'activité à Bariloche et El Bolsón. Deux des écoles sont dans la ville et deux sont situées en périphérie. La sélection des écoles est motivée par l'idée d'obtenir un éventail socioculturel et socio-éducatif relativement large dans le cadre de la scolarisation en milieu urbain régional.Du point de vue méthodologique, des entretiens individuels avec les enfants se sont déroulés sur la base d'un protocole semi-structuré avec des tâches ouvertes, créatives, attirantes, défiantes et didactiques. Dispositifs multimodaux on été employés pour saisir les processus cognitifs-communicatifs impliqués pendant les périodes de production orale, graphique et avec des objets. Les analyses mixtes ont cherché à combiner profondeur et systématisation dans l'attentionà la singularité et à la régularité, en utilisant des techniques qui permettent une telle diversité d'approches aux textes graphiques créés par les enfants, ainsi qu'à leurs réponses verbales et gestuelleset à leurs actions avec des objets. Principalement, on a travaillé avec: systèmes de catégories pour la construction de répertoires avec application ultérieure de techniques d'analyse statistique non paramétrique et multi-variée, analyse de trajectoires d'apprentissage et étude de cas multiples. L'approche socioconstructiviste des ressources a imprégnée les décisions tant lors de la conduite de l'entretien comme pendant l'analyse de la production numérique de chaque enfant. Nous avons remarqué la variété de manières de comprendre et communiquer numériquement des enfants à travers quatre répertoires: le premier met en évidence l'arc de production numérique conventionnel correspondant à la population étudiée; le second distingue les approches partielles à la convention numérique; le troisième articule trajectoires de conservation et d'innovation cognitive en pensant à et avec des quantités "grandes", et en fin, le quatrième identifie les manières de réflexionet de régulation de la propre cognition numérique. On illustre toutes les catégories comprises dans ces quatre répertoires avec des productions orales, graphiques et parfois gestuelles des enfants. En plus, on s'est engagé à capter d'un point de vue multimodal le dynamisme de la pensée et de la communication numériques des enfants en situation, soit intra-tâche que inter-tâche. Ainsi, on a identifié quatre modèles de production conventionnels, allant d'une production conventionnelle limitée (modèle 1, 9 enfants) à une production avancée (modèle 4, 8 enfants), en passant par des configurations de production conventionnelle "naissante" (modèle 2, 13 enfants) et "intermédiaire" (modèle 3, 15 enfants). On a trouvé une association entre les modèles de production conventionnelle et le secteur socio-éducatif et socioculturel lié à l'école. Dans les écoles du centreville, on a trouvé la plus forte proportion d'enfants dont la production conventionnelle est la plus répandue, tandis que l'inverse caractérise les écoles périphériques. Toutefois, dans trois des premiers niveaux participants coexistaient des enfants des quatre modèles de production conventionnelle, et dans un, des trois modèles. L’hétérogénéité est fortement augmentée si l'on regarde les enfants en ce qui concerne leurs réponses non conventionnelles comme une véritable production communicative et cognitive. Cette situation place l'hétérogénéité cognitive dans le domaine du nombre comme condition à considérer attendue au début de l'scolarisation mathématique primaire dans la région. Pour plonger dans l'étude de la dynamique des enjeux des ressources cognitives et de communication des enfants on a considéré plusieurs lignes d'analyse. L'un était l'étude de leurs progrès au cours de la même tâche ou tout au long des tâches connexes. Le constat que 78% des enfants ont démontré une certaine forme de progrès souligne l'importance d’avoir un espace ouvert et le temps pour la communication et l'évaluation des connaissances. Selon les indicateurs de production plus vaste et strictement conventionnelle, le progrès s’est fait évident pour les enfants de tous les modèles de production conventionnelle, ce qui démontre que même pas le savoir qui correspond au plan culturel établi constitue un bagage dont les enfants disposent d’une manière stable, ce qui est facilement vérifié à la première question.Aussi, on a pu constater que les tensions entre l'établi et le possible, ou entre conventions et inventions, se sont révélées comme sources de conflit et de transformation cognitive pour certains enfants interrogés. Dans ce processus, les enfants ont mis en évidence comment ils se sont appropriés graduellement des connaissances culturelles établies, ont exploré des relations, examiné et généré des innovations de leurs idées et procédures. La plupart des enfants interrogés ont montré que ces réponses provenaient de processus constructifs et exploratoires non linéaires, qu’ils ont introduit des ajustements et qu’ils ont aperçu des nouvelles régularités numériques, et même de nouvelles nuances de sens. Dans notre quête pour comprendre la diversité et le dynamisme des ressources des enfants, on a choisi également d’inclure une étude de cas multiples. On a sélectionné deux garçons et une fille qui appartiennent à des différents modèles de production conventionnelle pour reconstruire leur construction de sens tout au long de la progression des tâches numériques dans l'entretien. Ce fut une autre façon d'évaluer la mesure dans laquelle les connaissances des enfants interrogés sur les formes et les fonctions numériques abordées ont des disparités considérables entre les individus, et aussi des connexions de sens au niveau individuel et inter-tâche. On comprend l’ampleur et les contraintes d'un travail de recherche limitée non seulement dans le nombre de participants, mais aussi dans le temps/espace d’interaction dans lequel on a recueilli l’information (un seul entretien dyadique en dehors de la salle de classe). Cependant, on considère que les analyses multimodaux et à grains fins sur la variété des ressources numériques à ce stade, avec une attention au dynamisme de la mise en jeu dans des situations, peuvent contribuer à articuler un panorama des enfants en tant qu’apprentis qui cherchent à s’approprier des formes et fonctions numériques comme instrument de participation culturelle. En ce sens, les contributions recueillies dans les observations finales des chapitres des résultats et dans les conclusions peuvent fournir de précieuses informations de première main pour la conception et la mise en œuvre des pratiques d'enseignement capables de promouvoir l'apprentissage numérique de base en milieux socioéducatifs divers. On propose un moyen de surmonter les approches standardisés qui perçoivent de préférence l’apprentissage comme un processus sans contexte, reproductif, monomodal et universel. Pour ce faire, bien sûr, le travail créatif, collaboratif, multimodal et didactique des équipes d’enseignement est clé dans leurs communautés de référence.
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Denecheau, Benjamin, Irene Pochetti, Fabiola Miranda Pérez e Eduardo Canteros Górmaz. "Introducción. El gesto comparativo: desplazamiento, posibilidad y limites en el ámbito de la intervención social." Revista Intervención 11, n. 2 (26 gennaio 2022). http://dx.doi.org/10.53689/int.v11i2.116.

Testo completo
Abstract (sommario):
Si bien la comparación está hoy en día bien asentada en el ámbito de la investigación, la dimensión y la consideración de sus procesos y de su elaboración para el o la investigadora, siguen siendo todavía demasiado dispares, o implícitas. Sin embargo, nos parece que las reflexiones que versan sobre esta elaboración y sobre las contingencias del enfoque “en curso de elaboración” dan luces tanto sobre el enfoque de su proceso como sobre los objetos a los que se enfoca. Este número está dedicado a este cuestionamiento y a las preguntas o experiencias específicas que se dan en el marco de la investigación comparada. Para enfocar este debate, retomamos el término “gesto comparativo” (Robinson, 2016), que, a nuestro juicio, traduce la idea de proceso en curso, de una práctica situada y singular del investigador o la investigadora. Empezaremos por situar este concepto en las ciencias sociales, para abordar después más concretamente los ámbitos de investigación sobre todo a nivel de intervenciones sociales. El gesto comparativo en las ciencias sociales ¿Cuál es el lugar de la comparación en las ciencias sociales? ¿Es inherente o específica de ciertos enfoques? ¿Se da por hecho? Discutir el lugar de la comparación en las ciencias sociales requiere especificar su naturaleza, que sigue siendo una pregunta latente en la literatura (De Verdalle, Vigor & Le Bianic, 2012). Para los autores identificados como los “padres fundadores” de la Sociología, la comparación fue asumida o bien reivindicada en tanto ella se encontraba en el centro de las ciencias sociales, o bien ella era utilizada de manera más o menos explícita como recurso heurístico. Emile Durkheim sitúa a la sociología como una ciencia comparada (Durkheim, 1895); la comparación es, según él, constitutiva de todo procedimiento sociológico. Sin que se reivindique de manera explícita, la comparación ha sido la base de otros trabajos que sentaron los cimientos de la disciplina. Efectivamente, es a través de su desvío hacia América y su experiencia de la democracia en esta sociedad que Alexis de Tocqueville reflexiona sobre la caída del antiguo régimen en Francia. Max Weber por su parte comparó varias formas de capitalismo a lo largo del tiempo; así como Mauss quien teoriza sobre “el don y el contradón” a partir del estudio de varias comunidades. De este modo y a través de su práctica, estos autores han hecho que la comparación sea un enfoque fundacional de la disciplina. En esta línea, varios autores contemporáneos siguen situando el acto comparativo en el centro de las ciencias sociales. Howard Becker sitúa la comparación como una operación cognitiva que podría definirse como transversal, que permite ordenar “fragmentos” capaces de producir representaciones de la sociedad (Becker, 2009). Él nos recuerda que es a partir de la comparación que las cifras adquieren sentido y que las tablas estadísticas producen una descripción que permite apoyar la demostración de una idea. Al igual que en la famosa serie de Walker Evans, American Photographs, que cuestiona las especificidades del pueblo estadounidense, es en la comparación con la que le precede y la que le sigue que cada imagen de la serie de fotografías cobra sentido y contribuye a la idea general de la obra (Becker, 2009). Según Becker, el ejercicio de comparación tiene lugar en dos niveles: durante la producción de la obra, pero también durante su recepción, lo que implica un trabajo interpretativo. La antropología es otra disciplina de las ciencias sociales que, desde sus orígenes, se ha basado en una perspectiva comparada. En su curso en el Collège de France dedicado a la comparación, el antropólogo Philippe Descola (2019) destaca a partir de una relectura de su práctica como antropólogo y de la literatura de la disciplina, cómo los enfoques etnográficos y etnológicos “se tejen permanentemente a través de la comparación”. Estas formas de apoyarse en la comparación no siempre son reivindicadas, percibidas y asumidas como tales por los antropólogos, quienes la utilizaban casi espontáneamente por ser intrínseca a la disciplina y sus orígenes. Según él, esta comparación implícita se puede dividir en tres “movimientos” diferentes. El primero se refiere a la comparación de las prácticas sociales de la cultura observada con las de la cultura del observador. Para el autor, precisamente a través de este desplazamiento se construye la especificidad de la mirada etnográfica. El segundo es la comparación de las situaciones observadas y descritas por el etnógrafo con el corpus teórico existente. Para producir una interpretación de la sociedad estudiada, el etnógrafo compara y vincula lo que observa con el resto de la producción científica (en el tiempo y en el espacio). El último movimiento es aquel, implícito, de selección. El etnógrafo elige entre todas las escenas observadas, las más emblemáticas. Por lo tanto, es en la configuración de los resultados de los datos donde tiene lugar la comparación. Comparar desde la diferencia, mirar más allá Por otra parte, la comparación también puede considerarse como un enfoque específico y particular que debiera ser distinguido y considerado por esta particularidad. Cuando se elige y se asume la comparación como un enfoque de investigación específico, esta puede justificarse por su capacidad de ser un "operador de conocimiento" (Vigour, 2005) que permite la observación y el análisis desde un ángulo original e inédito. La comparación internacional, por ejemplo, puede requerir trabajar en la comprensión de los contextos sociales y las dinámicas que dan forma a los públicos, las poblaciones, las prácticas, las profesiones y las políticas de intervención social en diferentes países (Crossley & Watson, 2003; Hantrais, 2009). El enfoque comparativo realizado a escala internacional puede requerir aclarar los elementos comparadores (Hantrais, 2009) o las unidades de comparación (Bray, Adamson & Mason, 2010) con los que se relacionan. La comparación puede hacerse entre dos o más países y se relaciona tanto con el objeto de estudio como con los diferentes espacios y contextos (social, político, geográfico) y por lo tanto contribuye a una mejor comprensión del conjunto de estos elementos (Crossley & Watson, 2003 Dogan & Kazancigil, 1994). Las diferencias de estos espacios y contextos, si bien en un primer momento parecen limitar el potencial heurístico del enfoque, en última instancia contribuyen a él a través de la reflexión sobre los límites, sus diferencias y sus similitudes, siendo estos análisis parte integral de la comparación (Detienne, 2000). Sin embargo, rara vez se menciona el lugar del investigador en estos enfoques cuantitativos, y menos aún el proceso en curso. No obstante, Vigour establece que la comparación que se pretende “internacional” requiere de un proceso de investigación que incluya el enfoque comparativo en cada una de sus etapas, ya que este incide en la postura de la o del investigador y en cómo despliega una estrategia de investigación para “mantener” la comparación en cada uno de sus momentos (Vigour, 2005). El método desplegado puede acompañarse, de manera diferente, de una reflexión sobre el gesto y el efecto del enfoque. Por ejemplo, gran parte de la investigación internacional comparada en educación está impulsada por procesos cuantitativos que buscan contribuir a la explicación y predicción de los fenómenos educativos. Para ello, Fairbrother identifica la idea dominante de un investigador “desprendido” por un contacto limitado o ausente con los sujetos de su investigación (Fairbrother, 2010). Si, como indica el autor, el investigador pretende evitar todo contacto con los sujetos, las percepciones de lo que “hace” la investigación, en el momento de su desarrollo, son más difíciles de visibilizar. Por otro lado, la idea de un investigador “desprendido” no invita a la atención ni a la reflexión sobre el gesto comparativo y sus efectos. De ello da cuenta Xavier Pons en una experiencia de encuentros en un país extranjero, durante una investigación comparada sobre las configuraciones de la acción pública puesta en marcha en los procesos de evaluación externa de centros escolares de cuatro países europeos (Pons, 2017). Habituado al proceso de comparación internacional vía un estudio sobre el despliegue de políticas educativas a partir de aquello que es problemático, el autor descubre una dimensión más fina de las variables culturales sólo cuando se traslada a otro país, y tiene acceso a experiencias y percepciones más sutiles a través de una breve inmersión. Así, reafirma el interés de una triangulación de los métodos, siendo el trabajo de campo el elemento que permite completar una comparación cuantitativa. De esta manera, si la comparación internacional se considera como un proceso particular destinado a cambiar aún más la mirada del investigador (Sartori, 1994; Vigour, 2005), el desplazamiento físico no es sistemático, no siempre acompaña a las indagaciones cuantitativas comparadas. Varios investigadores señalan la ausencia crónica de desplazamiento físico del o de la investigadora, o de la reflexión necesaria o realizada sobre este desplazamiento durante la investigación: no hay entonces reflexión sobre la mirada etnocéntrica que puedan generar los análisis « de salón » o desconectados del terreno (Pons, 2017; Potts, 2010 ). La observación en un contexto que nos es ajeno no es evidente y la reflexión sobre los elementos subjetivos de la experiencia social de indagación permite acompañar el proceso de objetivación, como suele ser utilizado por los antropólogos. Como afirma Jan Spurk, “a pesar de [una] relación rara vez inocente con el extranjero, es el investigador quien constituye su objeto por la forma en que lo observa” (Spurk, 2003:74). Esta consideración parece más visible, quizás más elaborada en los procesos cualitativos, sin ser sistemática. Carine Vassy, por ejemplo, retoma sus líneas de investigación y su exploración en un ambiente hospitalario, mientras realiza un trabajo de traducción de términos que depende de la forma en la que el investigador concibe a su objeto (Vassy, 2003). También podemos citar a Benjamin Moignard que habla de las aperturas en su trabajo de campo en zonas altamente precarizadas y de difícil acceso para personas alejadas de él. Sus diferentes entradas en Francia y Brasil, y las técnicas, estrategias así como sus tanteos dicen sobre su relación con el terreno (al que se refiere durante el análisis), así como sobre las configuraciones que observa (Moignard, 2008). La investigación comparada internacional, que incluye al menos un trabajo de campo con el que el o la investigadora tiene una relación lejana o incluso ajena, quizás arroje una luz más explícita sobre las cuestiones que plantea esta relación y la forma en que limita la observación y la recopilación de datos. Esta cuestión ha podido surgir y ser considerada por los investigadores al tener en cuenta el etnocentrismo, sus sesgos y límites, pudiendo así esta consideración reducir sus efectos en la elaboración del conocimiento (Thành Khoi, 1981). La dimensión internacional de la comparación asociada a una inmersión de tipo etnográfico puede así fomentar de manera más honesta un distanciamiento del etnocentrismo y de los implícitos nacionales (Giraud, 2012). Los límites de la comparación: una mirada siempre reflexiva de la investigación Más específicamente, esta cuestión de la postura del investigador y su relación con el objeto de estudio (su territorio, su población) es una constante en la etnografía. Tras importantes debates que tuvieron lugar en las décadas de 1960 y 1970 en los Estados Unidos y en la década de 1980 en Francia, la disciplina fue sacudida hasta sus cimientos y atravesó una “crisis de representación etnográfica” (Marcus & Ficher 1986) que condujo a profundas transformaciones epistemológicas y metodológicas (Nash & Wintrob 1972). Una importante reflexión sobre las relaciones de poder intrínsecas a la forma de entender la alteridad en la antropología “clásica” y sobre el papel que jugaron los antropólogos en la empresa colonial revolucionaron la disciplina (Bolondet & Lantin Mallet 2017). Esta toma de conciencia de las formas de poder, los sesgos de la mirada y la representación etnográfica han llevado a la disciplina a iniciar un esfuerzo por explicar la relación etnográfica, situando al investigador en el centro del análisis, para utilizar explícitamente las tensiones, las diferencias de sentido o los malentendidos por su potencial heurístico. Si bien la noción de reflexividad puede designar prácticas bastante heterogéneas, actualmente se considera fundamental en las ciencias sociales y en la antropología en particular (Bolondet & Lantin Mallet, 2017). Cada vez son más los estudios que prestan especial atención a las condiciones en las que se lleva a cabo la investigación. Pensamos en la obra “Las políticas de la investigación” dirigida por Alban Bensa y Didier Fassin (2008), pero también en la obra de Michel Napels (1998), o de Nancy Scheper Hugues (1993). Sin embargo, la comparación es escasamente citada, parece ser más bien ser una parte integrante del proceso, un componente que realmente no se cuestiona. Mientras que los antropólogos hoy en día adoptan cada vez más esta postura reflexiva, describiendo su procedimiento de la manera más fiel posible, la comparación relativa a la disciplina no suele nombrarse ni pensarse explícitamente. Por otra parte, los especialistas en estudios comparativos que reivindican este enfoque rara vez discuten sobre el proceso implicado; la relación del investigador o los investigadores con el objeto y las condiciones de la comparación suelen quedar sin explicitar. Este número tiene el objetivo de tender puentes entre los dos, entre un enfoque explícitamente declarado comparativo y uno que vuelve al proceso de comparación "en proceso". ¿Qué implica el gesto comparativo, qué supone y qué efecto puede tener para quienes lo experimentan y lo aplican, particularmente, en ámbitos de la investigación en educación y en intervención social? Pensar la comparación desde la intervención y las políticas Hablar de la comparación y en particular, en la reflexión sobre la intervención social implica analizar la manera cómo concebimos al otro, la otredad. En términos procedimentales, la intervención puede ser entendida como una secuencia de cambios programados y ejecutados sobre otras y otros, intentando modificar el destino que tendrían en ausencia de nuestra intervención. La idea de intervención va muy de la mano con la idea de mejoría, de ascenso, de progreso, y desde ahí siempre hay que considerar la advertencia que realiza Koselleck (2012) al plantear que la idea moderna del progreso, que pretende ser universal, solo explicaría una de las experiencias posibles, ocultando otras formas de experiencia. La intervención es entonces proyectar acciones sobre otros y otras para que avancen hacia uno de los futuros posibles, bajo ciertas condiciones de mejoría. Carballeda en su texto La intervención en lo social (2012) desarrolla esta idea, en tanto la intervención implica una serie de procesos que tienen implícita la idea de ese otro, de su mejoría, ascenso, mantención y decadencia, llamando la atención acerca de la necesidad de ver el proceso de intervención desde una mirada reflexiva, donde se visibilice a ese otro, manifestando las estructuras implícitas de la intervención, pero también intentando ver a ese otro como sujeto histórico y en vinculo constante con su cultura. Rivera Cusicanqui (2018) releva la heterogeneidad y agencia de este otro cuando plantea que está lleno fragmentos, históricamente construidos desde lógicas clientelares desde arriba, pero así también en constantes capacidades para retomar desafíos históricos. El otro, o el pueblo en voz de la autora, se expresa en la ‘diversidad de la diferencia’. Con claridad plantea Muñoz (2015), que la intervención está 'preñada de ideología' y necesita un examen crítico para develar sus estructuras implícitas. Así la comparación lleva de la mano un ideal de ese otro, así como de la situación de la que tiene que salir y hacia la que tiene que transitar. La intervención social dentro de estas lógicas se ha ido enmarcando desde lo ha sido la planificación de nuestros Estados en distintos contextos. Diferentes programas de intervención transitan y son utilizados como ejemplos unos de otros entre diferentes contextos y casi como un insumo necesario de las políticas en diversas materias. Mirar cómo hacen las y los otros es un reflejo para las decisiones públicas. Actualmente la pregunta no es ¿si hay que comparar?, o si acaso, ¿podemos comparar?, sino más bien pensar en cómo podemos realizar comparaciones, dejando de lado la reflexividad sobre las estructuras implícitas de la comparación (Hassenteufel, 2005). Las políticas sociales han ido integrando dicha práctica de manera sistemática en las últimas décadas a manera de sacar aprendizajes y para conocer diferentes escenarios. En materia de bienestar nos ha permitido elaborar marcos que han implicado reconocer la similitud y la diferencia tanto del concepto, como de su forma de re-traducción nacional (Martínez-Franzoni, 2008). De esta manera, se ha podido comenzar a vislumbrar que las simples aplicaciones de modelos no son posibles, llevando a un esfuerzo de interpretación interdisciplinaria que ha implicado la re-traducción de las nociones clásicas del bienestar adaptadas a nuestros tiempos, y por supuesto a los diferentes territorios donde se estudie. Desde ahí que bajo y también desde una mirada critica que significa mirar la intervención social, y las prácticas de asistencia social (Rojas, 2019), se busca a través del número temático tensionar las transformaciones metodológicas que han sufrido los y las autoras para analizar sus problemáticas. Observar de qué manera se operacionaliza la territorialización de las practicas de intervención y cómo logran por su parte interpretarlas metodológicamente en las diferentes claves en las cuales ellos y ellas mismas se desafían en sus lecturas. Maryan Lemoine da cuenta de un enfoque comparativo en curso. Se trata de un abordaje cruzado, entre una alumna que va a investigar a su país y que va a tener que salir de la familiaridad, y el docente-investigador que es ajeno a ese contexto, pero que está familiarizado con los aspectos contextuales que conforman el terreno de estudio. El autor explora y cuestiona la relación del investigador con el terreno, identifica lo que lo hace familiar y se equipa de posibles "gafas" para la observación. Vuelve así a la identificación progresiva de lo impensado y a las adaptaciones o estrategias que puede adoptar para limitar los escollos. Julie Pinsolle, Sylvain Bordiec y Margaux Aillères retoman la comparación a través de monografías comparadas. Si bien el enfoque no era obvio para el análisis de la implementación de una política pública en educación en Francia, resultó útil para llegar a un nivel cualitativo que permitiera analizar las asperezas de la implementación local, al tiempo que analizar lo que es del orden de lo particular y del orden de lo común con otros lugares de implementación. Gaztañaga y Koberwein reflexionan en su artículo sobre los alcances y límites de la comparación en antropología social y cultural, y como esta se constituye como un proyecto antropológico por excelencia, van al momento de la constitución de la antropología como disciplina, en el contexto de discusión con otras ciencias sociales (historia, sociología, ciencia política), concluyendo que la comparación profundiza el entendimiento del mundo, pues dan contexto a la construcción del otro. Por su parte, Paulina Vergara indaga sobre cómo operan los desastres socionaturales con la sociedad, en particular con la responsabilidad que recae sobre el Estado. A través de un ejercicio etnográfico y sociohistórico, la autora analiza la acción pública desde la perspectiva de quienes sufrieron los embates de las catástrofes, recorriendo y reconstruyendo comparativamente (entre 1939 y 2010) diferentes eventos históricos y sus respectivas respuestas estatales. De esta manera, el presente número temático en un esfuerzo de conversación entre distintos escenarios nacionales ha apostado desde un enfoque interdisciplinar a exponer reflexiones metodológicas, experiencias de investigación situadas, y comparaciones internacionales para poder situar desde el trabajo social, la antropología, y desde el análisis de políticas estudios que nos ofrecen diversos cuadros de interpretación para aproximarse al gesto de comparar. Uno de los objetivos de este número ha sido poner en discusión la relación de los y las investigadoras con su terreno conociendo sus procesos reflexivos y cuestionando cómo desde los diferentes terrenos aquí expuestos han desplegado comparaciones diversas para comprender fenómenos sociales multisituados tanto espacial como históricamente. La invitación es a explorar desde una perspectiva holística diferentes fenómenos y problemáticas, a fin de abrir luces para seguir explorando la metodología comparativa y sus posibilidades para la comprensión de la intervención social y las políticas sociales, así como de fenómenos que tengan como centro el análisis de las transformaciones societales. Referencias Becker, H. (2009). Comment parler de la société. París: La Découverte. Bensa, A. & Fassin, D. (2008). Les politiques de l'enquête. París: La Découverte. Bolondet, M. & Lantin Mallet, M. (Eds.) (2017). Anthropologies réflexives : Modes de connaissance et formes d’expérience. Lyon: Presses universitaires de Lyon. Bray, M., Adamson, B. & Mason, M. (2010). Recherche comparative en éducation. Louvain-la-Neuve: De Boeck Supérieur. Carballeda, A. (2012). La intervención en lo social exclusión e integración en los nuevos escenarios sociales. Buenos Aires: Editorial Paidós. Crossley, M. & Watson, K. (2003). 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Esta publicación ha recibido el apoyo de las siguientes instituciones: la Universidad Alberto Hurtado y su Departamento de Trabajo Social, el IUT de Sénart Fontainebleau, el LIRTES (Univ. París-Est Créteil) y la OUIEP, a todas ellas les agradecemos el haber hecho posible este proyecto.
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