Letteratura scientifica selezionata sul tema "Centralité (géographie) – Pays basque"

Cita una fonte nei formati APA, MLA, Chicago, Harvard e in molti altri stili

Scegli il tipo di fonte:

Consulta la lista di attuali articoli, libri, tesi, atti di convegni e altre fonti scientifiche attinenti al tema "Centralité (géographie) – Pays basque".

Accanto a ogni fonte nell'elenco di riferimenti c'è un pulsante "Aggiungi alla bibliografia". Premilo e genereremo automaticamente la citazione bibliografica dell'opera scelta nello stile citazionale di cui hai bisogno: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver ecc.

Puoi anche scaricare il testo completo della pubblicazione scientifica nel formato .pdf e leggere online l'abstract (il sommario) dell'opera se è presente nei metadati.

Articoli di riviste sul tema "Centralité (géographie) – Pays basque"

1

Laborde, Pierre. "Les basques et le Pays Basque d'après La Nouvelle Géographie Universelle d'Elisée Reclus". Lapurdum, n. 4 (1 ottobre 1999): 295–302. http://dx.doi.org/10.4000/lapurdum.1576.

Testo completo
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri
2

Dunoyer, Christiane. "Alpes". Anthropen, 2020. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.124.

Testo completo
Abstract (sommario):
Le nom « alpe » d’origine prélatine, dont le radical alp signifie « montagne », est commun à tout le territoire en question. L’espace physique ainsi dénommé crée une série d’oppositions entre la plaine et la montagne, entre la ville et la montagne et entre les populations intra-alpines, dotées de connaissances spécifiques pour vivre dans cet espace, et les populations demeurant à l’extérieur des Alpes ou les traversant (voir aussi Monde alpin). Redécouvertes à l’époque des Lumières, dans un cadre positiviste, les Alpes deviennent un objet de spéculation philosophique (Rousseau 1761) et d’étude pour les sciences naturelles, notamment la biologie, et la médecine. L’apport de ces disciplines ne manqua pas d’influencer le regard porté par le monde urbain sur les Alpes, à partir de ce moment. En suivant l’exemple du philosophe et naturaliste Horace B. de Saussure (1779-1796), qui explora cette région à la fin du 18e siècle et qui accomplit l’ascension du mont blanc en 1787, un an après la première de Balmat et Paccard, les voyageurs anglais à leur tour découvrirent les Alpes et opposèrent la grandeur de ces paysages au côté misérabiliste des populations rencontrées, dans le cadre d’une sorte d’anthropologie spontanée empreinte d’idéologie, où les locaux sont perçus et décrits comme des survivances de sociétés primitives et donc étrangères à la nature sophistiquée de leurs observateurs. La naissance de l’alpinisme se situe dans ce contexte. En tant que paysage, les Alpes jouent un rôle important à l’âge romantique : Étienne Pivert de Senancour (1804) est le premier écrivain romantique à les avoir parcourues dans un but contemplatif. Objet contradictoire, les Alpes sont souvent peintes en vertu de leur beauté terrifiante. Au fil de voyages initiatiques, de découvertes et de rencontres, la vision romantique s’enrichit jusqu’à acquérir une dimension pédagogique, voire d’édification morale (Töpffer 1844), et nourrit encore en partie les représentations collectives de nos jours. Intégrées dans la société globale, les Alpes exercent un attrait sur le citadin depuis deux siècles. Celui-ci y projette tantôt la nostalgie d’un univers sauvage, tantôt le désir de conquérir et de domestiquer l’espace naturel. Les collections présentes dans quelques grands musées urbains font aussi partie de ce regard que les villes portent sur les Alpes, notamment au cours de la première moitié du 20e siècle. Tel est le cas des objets de la vie quotidienne réunis par Hippolyte Müller, fondateur du Musée Dauphinois, et par les plus de 8000 collectés par Georges Amoudruz, qui ont été acquis par le Musée d’Ethnographie de Genève. Ce n’est que plus récemment que les Alpes sont devenues un objet d’étude pour les géographes (Raoul Blanchard fonde en 1913 la Revue de géographie alpine) : les problématiques sociales, territoriales et environnementales des espaces montagnards sont au centre de ces recherches. Enfin, les anthropologues s’y sont intéressés aussi en privilégiant une approche qui combine l’étique et l’émique (voir Monde alpin). Terres de contrastes, les Alpes échappent à toute catégorisation trop stricte, tantôt appréhendées comme une unité qui efface les spécificités, tantôt comme un ensemble problématique : « un vaste territoire dont l'unité se décompose en un grand nombre de variétés régionales » que le géographe étudie en portant à la lumière « de multiples problèmes relatifs à de multiples pays » (Arbos 1922). Bätzing (2003, 2007) propose un essai de définition des Alpes en montrant la difficulté de la tâche à cause de l’absence de frontières claires, que ce soit sur le plan géographique ou sur le plan humain. Il désigne cette variabilité géographique comme l’origine du problème pour l’éclosion d’une politique alpine. Par exemple, la définition classique des Alpes en tant que massif au-delà de la frontière où poussent les arbres (1900-2200 mètres) est aujourd’hui contestée après la mise en évidence de l’existence de montagnes hautes, très arides et sans glaciers, qui ne rentrent pas dans cette définition. Quant à Fernand Braudel (1966) et Germaine Veyret-Verner (1949), qui introduisent la dimension sociale à travers les études démographiques, définissent les Alpes comme un espace isolé, à l’écart des bouleversements de l’histoire. Ces théories ont été depuis sérieusement remises en question, les archéologues ayant amplement démontré que déjà pendant la préhistoire les Alpes étaient le théâtre de passages et d’échanges. Une deuxième définition, qui est à la base de la loi anthropogéographique des Alpes théorisée par Philippe Arbos (1922), l’un des pères fondateurs de la géographie alpine, et de l’alpwirtschaft de John Frödin (1940), est centrée sur les notions de pente et de verticalité, impliquant une organisation humaine et une modalité d’exploitation de la montagne par étagements successifs où tout est lié dans un système d’interdépendance et de complémentarité. Cette définition est aussi partiellement dépassée : le système traditionnel s’est transformé (sédentarisation des populations, abandon de la montagne, nouvelles installations à cause du tourisme). D’ailleurs, le tourisme, qui semble une constante de l’espace alpin contemporain, n’est pourtant pas présent partout : le tourisme touche moins de 40 % des communes des Alpes (Bätzing 2007). D’autres façons de délimiter les Alpes font référence aux unités géographiques formées par les vallées (ayant chacune son histoire, son évolution et son organisation pour l’exploitation des ressources locales) ou par les groupements de massifs et de sommets (qui revêtent un intérêt notamment pour les alpinistes) : dans le premier cas les frontières passent par les cours d’eau, dans le deuxième par les sommets. Enfin, la division politico-administrative est une autre tentative de définition : les Alpes sont partagées et loties sur la base de subdivisions territoriales qui en ont fait « un facteur de séparation plus ou moins déterminant » (Fourny 2006), à la base de conflits, notamment lorsque les aires culturelles ne recoupent pas les délimitations politiques, ce qui est assez fréquent, étant donné que les unités de peuplement, de langue, de religion, se différencient dans les plaines et les vallées et non sur les lignes de crête. Le signe le plus manifeste en est la langue. En effet, les Alpes sont une vraie mosaïque de groupes linguistiques, ethniques et religieux : des populations de langue provençale du secteur sud-occidental aux populations slaves de l’extrémité orientale. Parfois la variation existe à l’intérieur de la même vallée et remonte au Moyen Âge, par exemple dans les vallées occitanes et francoprovençales du secteur occidental, versant italien. Dans certains cas, elle est la conséquence de mouvements migratoires, tels que l’expansion colonisatrice des Walser, qui en partant de l’Oberland bernois entre le 13e et le 15e siècle se sont implantés dans plus de cent localités alpines sur une région très large qui va de la Savoie au Vorarlberg (Weiss 1959, Zinsli 1976), ou les déplacements des paysans carintiens et bavarois qui occupèrent la partie supérieure de nombreuses vallées des Alpes orientales, italiennes et slovènes. Les situations de contact linguistique dans les Alpes orientales italiennes et slovènes ont fait l’objet d’études anthropologiques de la part de Denison (1968) et de Brudner (1972). Le problème des relations entre milieu physique et organisation sociale est au cœur des études sur les Alpes. Les études de Philippe Arbos (1922) sont une réaction au déterminisme largement partagé jusqu’ici par les différents auteurs et se focalisent sur la capacité humaine d’influencer et de transformer le milieu. Dans ce filon possibiliste s’inscrit aussi Charles Parain (1979). Germaine Veyret-Verner (1949, 1959) introduit la notion d’optimum, à savoir l’équilibre démographique résultant de la régulation numérique de la population et de l’exploitation des ressources locales. Bernard Janin (1968) tente de cerner le processus de transformation économique et démographique dans le Val d’Aoste de l’après-guerre jusqu’aux années 1960, dans un moment perçu comme crucial. D’autres études se sont concentrées sur l’habitat humain, notamment sur l’opposition entre habitats dispersés, typiques des Alpes autrichiennes, bavaroises et suisses (et plus marginalement des Alpes slovènes : Thomas et Vojvoda, 1973) et habitats centralisés, typiques des Alpes françaises et italiennes (Weiss 1959 : 274-296 ; Cole et Wolf 1974). Au lieu de focaliser sur la variabilité interne des phénomènes alpins et sur leurs spécificités culturelles, quelques chercheurs sous la direction de Paul Guichonnet (1980) tentent une approche globale des Alpes, en tant qu’entité unitaire en relation avec d’autres espaces physiques et humains. Cette approche se développe parallèlement à la transition qui s’opère au niveau institutionnel où les Alpes deviennent un objet politique et ne sont plus un assemblage de régions : en effet, avec la Convention alpine (1991), les Alpes acquièrent une centralité en Europe. Plutôt que les confins d’un territoire national, elles sont perçues comme des lieux d’articulation politique, une région de frontières. Dans cette optique, les Alpes sont étudiées sous l’angle des forces extérieures qui les menacent (transport, tourisme, urbanisation, pollution) et qui en font un espace complémentaire de l’urbain et nécessaire à la civilisation des loisirs (Bergier 1996). C’est ainsi que « le territoire montagnard tire sa spécificité non pas d’un “lieu” mais de la complexité de la gestion de ce lieu. » (Gerbaux 1989 : 307) Attentifs au nouvel intérêt que la société porte sur les Alpes, après l’orientation vers les problèmes urbains, les anthropologues étudient la mutation rapide que connaît cet espace. Gérald Berthoud et Mondher Kilani (1984) entreprennent des recherches sur les transformations des Alpes en démontrant comment l’axe tradition-modernité demeure central dans les représentations des Alpes, toutes d’origine urbaine, qui se succèdent au fil des siècles, à tel point que les phénomènes contemporains y sont toujours interprétés en fonction du passé. Kilani (1984) décrit les Alpes comme un puissant lieu d’identification et analyse les effets de la manipulation de cette image figée sur les communautés alpines, que ce soient les images négatives renvoyant à la montagne marginale et arriérée ou les images utopiques de la nature vierge et du berceau de la tradition. La question de l’aménagement des Alpes étant devenue cruciale, en vue de la promotion touristique et de la préservation des milieux naturels, Bernard Crettaz met l’accent sur cette nouvelle représentation des Alpes qui régit l’aménagement contemporain et introduit la notion de disneylandisation (Crettaz 1994). Parallèlement, la floraison de musées du territoire semble être un signal parmi d’autres de cette volonté des populations locales de se libérer des représentations urbaines, qui en ont longtemps affecté le développement en imposant un sens univoque dans la diffusion de la pensée, et de raconter à leur tour les Alpes. Enfin, une réflexion sur l’avenir et le devenir des Alpes s’amorce (Debarbieux 2006), sur la déprise humaine entraînant un ensauvagement généralisé et la reforestation massive, qui est en train de progresser vers le haut, au-delà des limites écologiques, à cause du réchauffement climatique. À cette déprise, s’oppose la densification de l’impact humain le long des grands axes de communication (Debarbieux 2006 : 458), une constante de l’histoire alpine à l’échelle des millénaires, ayant comme conséquence un contraste croissant dans l’accessibilité entre les différentes localités, les villes situées le long des couloirs de circulation devenant toujours plus proches les unes des autres (Tschofen 1999 ; Borsdorf & Paal 2000). Marginalisation progressive ou reconquête de l’espace et de l’héritage?
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri

Tesi sul tema "Centralité (géographie) – Pays basque"

1

Emaldi, Azkue Luis. "La mobilisation politique des périphéries : les transformations du clivage Centre-Périphérie au Pays Basque et en Écosse pendant la Neoliberal Critical Juncture". Electronic Thesis or Diss., Bordeaux, 2024. http://www.theses.fr/2024BORD0464.

Testo completo
Abstract (sommario):
Depuis le krach financier de 2008, la crise économique est devenue une crise politique qui traverse de nombreux pays européens et a transformé les systèmes partisans qui ont configuré la politique depuis des décennies. De nouveaux partis politiques sont apparus, certains inspirés par les mouvements sociaux au sud de l’Europe de 2011, et d’autres plus vieux connaissent un succès renouvelé, transformant le politique. Certains travaux évoquent l’émergence d’un ou plusieurs nouveaux clivages en lien avec la mondialisation. Par ailleurs, des conflits centre-périphérie qui existaient depuis longtemps n’ont perdu aucune actualité et connaissent au contraire un élan renouvelé, notamment illustré par le referendum pour l’indépendance de l’Écosse en 2014 ou la Catalogne en 2017. Comment comprendre dès lors la montée de ces phénomènes ethnorégionalistes dans ce contexte changeant où se redéfinissent les contours des clivages qui structurent les systèmes partisans ? Dans quelle mesure ces clivages s’entrecroisent ou s’imbriquent-ils et comment ? Ce projet de recherche a donc pour objectif d’analyser les transformations du clivage Centre- Périphérie en lien avec ces nouveaux enjeux émergents à partir d’une approche multidimensionnelle. La méthode combine les approches quantitative et qualitative, en étudiant les partis politiques et leurs organisations, leurs positionnements idéologiques sur la base des programmes électoraux, et enfin, leurs bases sociostructurelles. Ce sont ici les cas du Pays Basque et de l’Écosse qui seront plus précisément étudiés. La thèse centrale qui est défendue est que le clivage centre-périphérie a connu des transformations sur le fond et sur la forme, qui se sont cristallisées au cours de la Neoliberal Critical Juncture. Les bases sociostructurelles des électorats se modifient avec les phénomènes de réalignements ; les enjeux autour de ces revendications ethnorégionalistes dépassent la question nationale entendue au sens du XIX/XXe siècle et s’articulent avec les enjeux politiques contemporains (intégration européenne, austérité, welfare, écologie…) ; et de nouvelles formes d’organisation des partis politiques sont mises en place pour répondre aux défis que posent les nouvelles formes d’engagement et de participation
Since the financial crash of 2008, the economic crisis has become a political crisis in many European countries, transforming the partisan systems that have shaped politics for decades. New political parties have emerged, some inspired by the social movements in southern Europe in 2011, and older ones are enjoying renewed success, transforming politics. Some studies point to the emergence of one or more new cleavages linked to globalization. On the other hand, long-standing center-periphery conflicts have lost none of their topicality and, on the contrary, are enjoying renewed momentum, as illustrated by the referendum for Scottish independence in 2014 or Catalonia in 2017. How, then, are we to understand the rise of these ethnoregionalist phenomena in this changing context, where the contours of the cleavages that structure partisan systems are being redefined? To what extent do these cleavages intersect or intertwine, and how? The aim of this research project is therefore to analyse the transformations of the Center-Periphery cleavage in relation to these new emerging issues, using a multidimensional approach. The method combines quantitative and qualitative approaches, studying political parties and their organizations, their ideological positioning on the basis of electoral platforms, and finally, their socio-structural basis. The cases of the Basque Country and Scotland will be studied in greater detail. The central thesis is that the center-periphery cleavage has undergone transformations in form and content, crystallized during the Neoliberal Critical Juncture. The socio-structural basis of electorates are shifting with the phenomena of realignments; the stakes around these ethno-regionalist demands go beyond the national question understood in the 19th and 20th century sense and are articulated with contemporary political issues (European integration, austerity, welfare, ecology…); and new forms of political party organization are being put in place to meet the challenges posed by new forms of engagement and participation
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri
2

Etcheverria, Olivier. "Les chemins ruraux et leur revalorisation touristico-culturelle : l'exemple du pays basque". Paris 1, 1999. http://www.theses.fr/1999PA010511.

Testo completo
Abstract (sommario):
Le chemin rural est un objet géographique quasiment oublié. Il constitue un champ thématique très peu exploité et problématise mais réémerge en tant que nouvel analyseur des rapports culturels à la nature. L'intérêt pour le chemin rural se trouve renouvelé du fait d'une double tendance actuelle à la revalorisation, fonctionnelle par le tourisme de randonnée, culturelle par le renouveau du voyage à pied en relation avec la mémoire des lieux et le retour d'une sensibilité aux paysages "ordinaires". Le pays basque est un espace qui connait une très longue tradition d'organisation et d'entretien des chemins ruraux qui structurent la vie sociale et culturelle. La pratique des chemins ruraux révèle une profonde connaissance des lieux et une réelle sagesse géographique. La mise en tourisme des chemins ruraux constitue une forme d'attachement identitaire et d'expression de l'épanouissement d'une culture
The country lane is a geographic object almost forgotten today. Even if it forms a thematic field almost non-exploited and non problematised, the country lane is reemerging as a new catalyst to understand relations between culture and nature. The interest for the country lane is recently renewed by a double tendancy towards its revalorisation, functionnaly with the hiking tourism, culturally with the revival of walking related to the sense of place and the renewal of sensitivity towards "ordinary" landscapes. Basque country is a space which knows a very long tradition in country lanes organisation and maintenance which are structuring social and cultural life. Country lane practice reveals a deep knowledge of places and a real geographic wisdom. Touristification of country lanes is a form of identity attachment and expression of a culture completeness
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri
3

Beaupré-Gateau, Olivier. "La frontière franco-espagnole au Pays basque : étude des fonctions de la frontière sur le territoire de l'Eurocité Bayonne-San-Sebastián". Thesis, Université Laval, 2006. http://www.theses.ulaval.ca/2006/23303/23303.pdf.

Testo completo
Abstract (sommario):
«La volonté de vivre sans frontière» Voilà la motivation générale des acteurs et actrices qui évoluent au sein des instances politiques de l’Eurocité basque. Qu’en est-il précisément ? Au travers du discours dominant sur la disparition des frontières en Europe, que peut nous apprendre l’expérience innovatrice de l’Eurocité ? C’est pour répondre à cela que nous nous sommes intéressés à reconnaître les fonctions de la frontière franco-espagnole au Pays basque. Sur la base de modèles comme ceux de Guichonnet–Raffestin ou Émanuel Gonon, nous avons tenté d’élaborer les bases d’un modèle des fonctions de la frontière applicable au cas particulier de l’agglomération transfrontalière basque. C’est en nous appuyant sur des cas de coopération transfrontalière, dans le domaine sanitaire et du transport en particulier, que nous nous sommes interrogés sur les fonctions de cette frontière qui sont encore en action.
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri
4

Cattan, Nadine. "La mise en réseau des grandes villes européennes". Paris 1, 1992. http://www.theses.fr/1992PA010518.

Testo completo
Abstract (sommario):
Les grandes villes sont des points privilégiés de la mise en réseau des lieux et de l'intégration des espaces. Bénéficiant d'un développement qualitatif plus rapide, elles ont amélioré leur position dans leur système urbain national, développé leurs capacités d'ouverture sur l'extérieur et élargi ainsi leur rôle à l'échelon européen. Leur situation géographique se modifie. En préalable à une analyse des dynamiques qui structurent aujourd'hui l'espace européen, nous définissons et délimitons, dans un premier temps, des unités urbaines européennes homogènes. Nous caractérisons, dans une deuxième étape, les situation relatives des grandes villes européennes dans la structure démographique et économique du réseau qu'elles constituent. Nous étudions enfin les échanges interurbains, aériens et ferroviaires, qui sont des indicateurs très sensibles des changements, des recompositions hiérarchiques et des dynamiques qui s'opèrent à cet échelon
The largest cities are privileged points for network setting and for spatial integration. They had the advantage of a faster qualitatif development and thus improved their position in their national urban system, developed their capacity and extended their role to the european scale. Their geographical situation is modified. Before analysing the dynamics which structure nowadays the european space, we define and delimitate, in a first step, homogeneous european urban units. We caracterize, in a second step, the relative situations of the European large cities in the economic and demographic structure of the network they constitute. We study finally the interurban relations, air and rail relations, which represent a sensitive indicator of change, of hierarchical resetting and of the dynamics which take place at this scale
Gli stili APA, Harvard, Vancouver, ISO e altri
Offriamo sconti su tutti i piani premium per gli autori le cui opere sono incluse in raccolte letterarie tematiche. Contattaci per ottenere un codice promozionale unico!

Vai alla bibliografia