Articoli di riviste sul tema "Captage et stockage du carbone"

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Hauet, Jean-Pierre. "Captage, stockage et valorisation du CO 2 : un nouveau départ". Futuribles N° 455, n. 4 (16 giugno 2023): 27–31. http://dx.doi.org/10.3917/futur.455.0027.

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Abstract (sommario):
Dans cet article, l’association Équilibre des énergies invite les pouvoirs publics à mettre en place une stratégie de développement à la hauteur des bénéfices que peuvent apporter les technologies de captage, stockage et valorisation du CO 2 — CCS / CCU en anglais (Carbon Capture and Storage / and Utilisation) — pour répondre aux enjeux climatiques. En effet, la sidérurgie, la chimie, la production de ciment, de produits pétroliers, de chaleur industrielle ou encore l’agroalimentaire sont autant de filières émettrices de CO 2 susceptible d’être capté pour être ensuite transporté, stocké et / ou valorisé, notamment dans des carburants de synthèse bas-carbone à destination des secteurs aérien et maritime. H.J.
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Finon, Dominique, e Michel Damian. "Le captage et le stockage du carbone, entre nécessité et réalisme". Natures Sciences Sociétés 19, n. 1 (gennaio 2011): 56–61. http://dx.doi.org/10.1051/nss/2011102.

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O'Neill, Rebeca. "Démontrer les techniques de captage, transport et stockage du CO2 (CTSC) pour le climat". Emulations - Revue de sciences sociales, n. 20 (12 giugno 2017): 19–33. http://dx.doi.org/10.14428/emulations.020.002.

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Abstract (sommario):
L’article revient sur les oppositions publiques qui accompagnent la démonstration des techniques de captage, transport et stockage du CO2 (CTSC) en Europe. Le CTSC regroupe plusieurs techniques visant à séparer et capter le dioxyde de carbone de ses sources industrielles, à le transporter vers un lieu de stockage et à l’isoler de l’atmosphère sur le long terme. Dans un contexte où le changement climatique devient un enjeu reconnu, la stratégie d’un stockage visant à gérer les rejets de CO2 d’origine industrielle gagne en puissance. Durant la dernière décennie, la Commission européenne s’est engagée en partenariat avec des acteurs industriels dans une démarche de « démonstration » du CTSC articulée autour du développement de démonstrateurs sur site afin d’amener ces techniques à un stade commercial. L’article revient sur deux projets industriels abandonnés en 2010. L’analyse permet de saisir les relations entre politique transnationale et échelle locale. Elle révèle les limites d’un modèle de développement technologique qui reporte l’épreuve de la démonstration du CTSC au niveau européen sur les sites, tout en ignorant le potentiel de politisation de cette démonstration au niveau local.
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Ricci, Olivia. "Politiques de soutien à la capture et au stockage géologique du carbone en France". Revue économique 66, n. 2 (2015): 401. http://dx.doi.org/10.3917/reco.pr2.0037.

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Delprat-Jannaud, Florence. "Le captage et le stockage du CO2". Reflets de la physique, n. 77 (febbraio 2024): 78–85. http://dx.doi.org/10.1051/refdp/202477078.

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Abstract (sommario):
Le captage et le stockage géologique du gaz carbonique ne sont pas des technologies nouvelles : le captage et la séparation du CO2 sont appliqués dans l’industrie depuis des décennies, et l’injection de CO2 est pratiquée depuis les années 1970 pour la récupération assistée du pétrole. Toutefois, des verrous restent à lever pour leur déploiement à grande échelle. Cet article propose une revue des technologies existantes, qu’elles soient matures ou en cours de développement, ainsi qu’une discussion sur les enjeux à adresser : réduction des couts et de la pénalité énergétique pour le captage du CO2, mutualisation des infrastructures pour le transport, démonstration de la faisabilité du stockage massif ainsi que perspectives en matière d’utilisation.
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Metay, A., B. Mary, D. Arrouays, J. Labreuche, M. Martin, B. Nicolardot e J. C. Germon. "Effets des techniques culturales sans labour sur le stockage de carbone dans le sol en contexte climatique tempéré". Canadian Journal of Soil Science 89, n. 5 (1 novembre 2009): 623–34. http://dx.doi.org/10.4141/cjss07108.

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Abstract (sommario):
En régions de climat tempéré, les terres cultivées ont un potentiel de stockage de carbone que l’on peut tenter d’utiliser pour réduire d’autant les émissions de CO2 atmosphérique par des pratiques culturales adaptées et notamment par les techniques culturales sans labour (TCSL). Cette capacité de stockage de carbone dans le sol a été évaluée sur l’essai de longue durée de Boigneville (Bassin de Paris, France) et a été comparée aux données de la littérature internationale. Le suivi du stock de carbone du sol sous une rotation maïs-blé indique une tendance à un stockage modéré tant en système labouré (0,10 t C ha-1 an-1 sur 28 ans) qu’en TCSL (respectivement 0,21 t et 0,19 t C ha-1 an-1 pour le travail superficiel et le semis direct sur cette même période). Avec une absence de différence significative entre le semis direct et le travail superficiel, l’effet spécifique moyen des TCSL évalué à 0,10 t C ha-1 an-1 sur 28 ans apparait sensiblement plus faible que celui mesuré sur les 20 premières années et évalué à 0,20 t C ha-1 an-1. Ces valeurs, inférieures à d’autres valeurs largement diffusées par ailleurs, et cette variation décroissante de la capacité de stockage avec la durée de TCSL sont cohérentes avec la tendance moyenne observée à partir d’un large échantillonnage de données de la littérature internationale. L’évolution de ce stockage de carbone est discutée en lien avec les indications sur l’évolution du stock de carbone des sols de cette même région, les indicateurs de stockage potentiel, et les implications liées à l’évolution du climat.Mots clés: Techniques de culture sans labour, travail superficiel, semis direct, stockage de carbone, séquestration, mitigation, gaz à effet de serre, essai de longue durée, climat tempéré
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Soubeyran, Aurélien, Ahmed Rouabhi e Christophe Coquelet. "Étude du comportement thermodynamique du CO2 en stockage en cavité saline". Revue Française de Géotechnique, n. 179 (2024): 1. http://dx.doi.org/10.1051/geotech/2024002.

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Abstract (sommario):
Dans le contexte actuel de la transition énergétique, le besoin de développer des solutions permettant de stocker temporairement l’énergie pousse à étendre les applications de stockage souterrain en cavité saline à de nouveaux fluides (parmi eux notamment l’hydrogène ou le dioxyde de carbone). Cependant, ces derniers fluides présentent des particularités thermodynamiques qu’il est important de bien caractériser et dont il faut anticiper l’impact sur le comportement global du stockage. Dans le cas du dioxyde de carbone, pris comme exemple d’application dans cet article, ces spécificités concernent l’état physique sous lequel il peut être stocké et sa forte solubilité dans la saumure également présente au fond de la cavité. Un modèle global de stockage est établi, permettant le couplage des comportements thermodynamique des fluides contenus et thermomécanique du massif salin, ainsi qu’une adaptation à chaque fluide pouvant être stocké. Ce modèle est ici étendu pour prendre en compte les nouveaux phénomènes liés au stockage de dioxyde de carbone, et tout particulièrement afin d’observer l’impact des échanges de matière avec la saumure sur les conditions de stockage. À cette fin, on compare les résultats de deux déclinaisons du modèle de stockage (à savoir prendre en compte ou non les transferts de masse) appliquées à différents scénarii d’opération : remplissage de la cavité, injection et extraction selon que le dioxyde de carbone est stocké sous forme liquide ou gazeuse. L’étude souligne l’intérêt d’appliquer le modèle étendu à toutes les modélisations d’opération impliquant un transfert de saumure. Enfin, une étude expérimentale et numérique portant sur la cinétique de dissolution du dioxyde de carbone dans la saumure a été menée. Celle-ci, bien qu’encore sujette à développement et principalement qualitative, confirme la nécessité d’intégrer un tel phénomène au modèle.
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DOLLÉ, J. B., J. AGABRIEL, J. L. PEYRAUD, P. FAVERDIN, V. MANNEVILLE, C. RAISON, A. GAC e A. LE GALL. "Les gaz à effet de serre en élevage bovin : évaluation et leviers d'action". INRAE Productions Animales 24, n. 5 (8 dicembre 2011): 415–32. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2011.24.5.3275.

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Abstract (sommario):
Le contexte environnemental actuel, tant politique (objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre) que sociétal (informationdu consommateur), nécessite de préciser les impacts de l'activité d'élevage bovin en matière de changement climatique. L'enjeuest de connaître précisément les niveaux d'émissions de gaz à effet de serre (GES) et de stockage de carbone, des différents modes deproduction. Pour cela, une évaluation basée sur la méthodologie de l'Analyse du Cycle de Vie (ACV) est mise au point à l'échelle dusystème d'élevage. Cette approche permet d'avoir une vision globale de l'activité d'élevage intégrant l'ensemble des processus interneset externes au fonctionnement de l'exploitation. Ainsi pour les systèmes laitiers français, l'empreinte carbone brute du lait est enmoyenne de 1,26 kg CO2/kg de lait. La prise en compte du stockage de carbone sous les prairies et les haies se traduit par une compensationcomprise entre 6 et 43% selon les systèmes, en fonction de la part de prairies. L'empreinte carbone nette du lait françaisest alors en moyenne de 1,0 kg CO2/kg de lait. Dans les systèmes bovins viande français, l'empreinte carbone brute est comprise entre14,8 et 16,5 kg CO2/kg viande vive en fonction du système de production (naisseur vs naisseur/engraisseur). Après prise en comptedu stockage de carbone qui permet une compensation comprise entre 24 et 53%, l'empreinte carbone nette est comprise entre 7,9 et11,3 kg CO2/kg viande vive. De nombreux leviers d'action sont identifiés dans les systèmes d'élevage de ruminants pour réduire l'empreintecarbone des produits au portail de la ferme. Certains concernent une optimisation des systèmes de production (ajustementdes apports alimentaires, gestion de la fertilisation…) et se traduisent par des économies en matière d'intrants. D'autres nécessitentla mise en place de nouvelles technologies et se traduiront donc par un investissement ou un coût de fonctionnement supérieur auxschémas actuels de production.
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Leclerc, Robin. "Le carbone des sols et son public". Réseaux N° 244, n. 2 (29 maggio 2024): 83–115. http://dx.doi.org/10.3917/res.244.0083.

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Abstract (sommario):
Dans un contexte de territorialisation des politiques climatiques, le stockage du carbone dans les sols est une nouvelle dimension dont doivent tenir compte les collectivités dans l’élaboration de leur Plan Climat Air Energie Territoire. Dans cet article, nous proposons de nous intéresser à la co-construction du problème du carbone des sols et de son public local, en prenant le cas d’Aldo, outil développé par l’ADEME pour accompagner les collectivités. Notre analyse montre comment sa conception cristallise un public et un cadrage du problème « carbone des sols », que les concepteurs délimitent à travers le choix des données et des scripts. L’utilisation effective d’Aldo par un public d’ingénieurs carbone témoigne d’un intérêt allant au-delà de ce public anticipé, en deçà de la mise en œuvre du Plan Climat. Nous analysons le produit de cette rencontre, ainsi que ce que signifie la prise en compte de ce public dans les évolutions les plus récentes de l’outil.
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Jonard, Mathieu, Renaud Colmant, Camille Heylen, Charles Ysebaert, Charles Carton, Luc Picard, Benoît Cassart, Ablo Paul Igor Hounzandji e Quentin Ponette. "Impact de boisements résineux sur la séquestration du carbone dans les Andes péruviennes : cas des plantations de Pinus patula dans la coopérative de Granja Porcon (Cajamarca), Pérou". BOIS & FORETS DES TROPIQUES 322, n. 322 (17 ottobre 2014): 17. http://dx.doi.org/10.19182/bft2014.322.a31226.

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Abstract (sommario):
Dans la foulée de la réforme agraire de 1969, le gouvernement péruvien lança un programme de reboisement dans les Andes. Plus de 20 000 ha furent ainsi boisés en pins dans la région de Cajamarca, dont 8 500 ha dans la coopérative agraire de Granja Porcon. Destinés alors à approvision- ner les paysans en bois et à développer l’ac- tivité économique locale, à enrayer la dégra- dation des sols et des forêts naturelles rési- duelles, ces boisements sont aujourd’hui sollicités pour leur contribution au stockage du carbone. Cette recherche vise à comparer la capacité de séquestration de carbone des pâturages et des plantations de Pinus patula de haute altitude (3 250-3 450 m). À cette fin, deux approches ont été combi- nées : l’échantillonnage des sols (couches holorganiques et 0-100 cm) et de la végéta- tion dans les deux formations végétales (pâturages et boisements de Pinus patula âgés de 17 à 26 ans), sur cambisols déve- loppés sur matériaux volcaniques ; l’établis- sement d’un modèle de croissance de type peuplement, couvrant une plus grande diversité d’âges, de sylvicultures et de ferti- lités. Après vingt ans, la différence entre le carbone stocké dans les écosystèmes fores- tiers et les produits ligneux, d’une part, et en pâturages, d’autre part, s’élève à 154 t/ha, soit environ 7,7 t/ha/an. Cette différence s’explique très largement par la contribution des parties aériennes des arbres. Le reboi- sement en Pinus patula tend à réduire les stocks de carbone du sol par rapport aux for- mations prairiales correspondantes. La réduction est significative (α £ 0,05) dans les 40 premiers centimètres du sol mais la dynamique temporelle suggère que cet effet est temporaire. Le modèle de croissance montre que le stockage de carbone dans les parties aériennes des arbres augmente avec l’âge et la densité des peuplements, ainsi qu’avec la fertilité du site. Il permet aussi d’évaluer la contribution des éclaircies à environ 23 % de la quantité de carbone associée aux parties aériennes des arbres pour une sylviculture classique.
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Leturcq, Philippe. "Empreinte carbone de la forêt et de l’utilisation de son bois". Revue forestière française 72, n. 6 (31 dicembre 2020): 525–37. http://dx.doi.org/10.20870/revforfr.2020.5348.

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Abstract (sommario):
Une idée répandue est que le remplacement par du bois des combustibles fossiles et des matériaux énergivores est une meilleure stratégie pour atténuer le changement climatique que le stockage de carbone dans les forêts. Cette opinion découle de l’assertion de « neutralité carbone de la biomasse » à laquelle se réfèrent, à tort, les politiques forestière et énergétique d’un grand nombre de pays, notamment en Europe. Les objections de nombreux scientifiques sont restées jusqu’à présent sans effet, sans doute par manque d’une description suffisamment simple, compréhensible par tous, de la véritable empreinte carbone des produits ligneux récoltés. Cet article montre, à partir des fondamentaux, que l’augmentation de la récolte et des usages du bois est contre-productive pour les objectifs d’atténuation du changement climatique, notamment lorsque le bois est utilisé comme combustible.
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Perdu, Fabien. "Quelle place pour les batteries dans une transition bas carbone ?" Reflets de la physique, n. 77 (febbraio 2024): 122–28. http://dx.doi.org/10.1051/refdp/202477122.

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Abstract (sommario):
Plusieurs pans de la « transition énergétique », en particulier l’évolution du secteur électrique et l’électrification des transports, reposent sur le stockage d’énergie et notamment sur les batteries. Après avoir décrit la constitution et le fonctionnement d’une batterie lithium-ion, nous analysons les progrès espérés et l’impact environnemental de ces batteries dans le cas d’un déploiement massif. Enfin, nous tentons de mieux cerner les usages pour lesquels les batteries sont vraiment pertinentes et ceux pour lesquels il convient de trouver des solutions complémentaires.
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Arrouays, Dominique. "Changement climatique et évolution du stockage de carbone dans les sols". Oléagineux, Corps gras, Lipides 15, n. 5 (settembre 2008): 314–16. http://dx.doi.org/10.1051/ocl.2008.0223.

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Micheau, François, Jérôme Porteret e Julien Saillard. "Protéger et gérer les zones humides pour s’adapter et atténuer les effets du changement climatique sur le grand cycle de l’eau, une action des Conservatoires d’espaces naturels". Annales des Mines - Responsabilité et environnement N° 112, n. 4 (25 ottobre 2023): 99–103. http://dx.doi.org/10.3917/re1.112.0099.

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Abstract (sommario):
À travers plusieurs exemples concrets de préservation et de restauration des milieux humides en France, menés par les Conservatoires d’espaces naturels, cet article propose de voir les zones humides à la fois comme objet du changement climatique, subissant directement ou indirectement les effets délétères sur ses fonctions, mais également comme sujet du changement climatique, constituant une solution d’adaptation et d’atténuation du changement climatique, notamment par le stockage de carbone.
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Grand, Dominique, Christian Le Brun, André Latrobe e Roland Vidil. "Dans quelles conditions fonctionnerait le mix électrique prévu pour la France par la loi sur la transition énergétique ?" Reflets de la physique, n. 77 (febbraio 2024): 116–21. http://dx.doi.org/10.1051/refdp/202477116.

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Abstract (sommario):
La transition énergétique prévoit de réduire à 50 % la part du nucléaire dans le mix électrique, pour augmenter celles de l’éolien et du solaire. Or, ces énergies intermittentes nécessitent des moyens pour rééquilibrer le réseau. Nous en dégageons les ordres de grandeur, grâce à une méthode initiée pour la transition énergétique allemande (Energiewende). En ce qui concerne le mix retenu pour la France, un quart de la production intermittente, 44 TWh, devrait être transféré entre périodes de surplus et de manque. Ce serait possible avec un stockage de grande taille – 15 TWh de volume et 45 GW de puissance – qui malheureusement dépasse largement les moyens connus (barrages hydroélectriques, batteries…). Sans ce stockage, les centrales à combustibles fossiles pallieraient la demande, dégradant ainsi l’empreinte carbone. Ceci se voit déjà dans les résultats de la décennie écoulée en Allemagne et en Europe.
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Percebois, Jacques, e Stanislas Pommeret. "Les nouveaux défis de la politique énergétique française". Reflets de la physique, n. 77 (febbraio 2024): 30–35. http://dx.doi.org/10.1051/refdp/202477030.

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Abstract (sommario):
La France doit aujourd’hui affronter trois nouveaux défis dans la mise en œuvre de sa politique énergétique. Elle doit sortir des énergies fossiles carbonées afin de respecter l’objectif de neutralité carbone à l’horizon 2050, et cela passe notamment par un renchérissement du prix du carbone. Elle doit en second lieu investir massivement dans la production d’électricité pour faire face à une demande croissante d’électricité liée à (l’électrification des usages, et cela requiert des investissements dans le nucléaire pilotable et décarboné. La France doit enfin relever le défi du stockage-déstockage à grande échelle des énergies renouvelables et regarder dans quelle mesure la mobilité électrique peut y contribuer. Il faut également repenser le fonctionnement des marchés de l’électricité si l’on veut que le financement de ces défis soit assuré.
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Piponiot, Camille. "Quel futur pour les forêts de production en Amazonie ? Du bilan carbone de l’exploitation forestière à la recherche de compromis entre services écosystémiques (bois d’œuvre, biodiversité et carbone)". BOIS & FORETS DES TROPIQUES 341 (20 luglio 2019): 89. http://dx.doi.org/10.19182/bft2019.341.a31731.

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Abstract (sommario):
La moitié des forêts tropicales du monde est désignée comme des forêts de production par les services forestiers nationaux. Pour la seule Amazonie brésilienne (400 millions d’hectares), l’exploitation sélective affecte chaque année entre un et deux millions d’hectares. Si l’effet de la déforestation sur les émissions de carbone et les pertes de biodiversité en région tropicale ont fait l’objet de nombreuses études, les impacts à long terme de l’exploitation commerciale de bois sur ces forêts restent à ce jour très peu étudiés. Or, les enjeux sont grandissants pour ces forêts de production. Non seulement elles doivent alimenter le commerce du bois tropical, mais leur rôle dans le stockage de carbone et dans la préservation de la biodiversité est de plus en plus reconnu. La thèse s’organise en trois temps. Premièrement, un modèle de bilan carbone de l’exploitation forestière est développé, et les différences régionales de dynamique de récupération du carbone post-exploitation sont modélisées. Deuxièmement, un modèle de récupération du volume de bois d’œuvre a été développé et calibré à l’échelle amazonienne. Ces résultats ont permis de montrer la lenteur de la récupération du volume de bois en Amazonie, et la non-durabilité des pratiques actuelles d’exploitation. Ces modèles (carbone et bois d’œuvre) ont été élaborés dans un cadre bayésien, avec l’appui et les données du Tropical managed Forest Observatory (TmFO : www.tmfo.org), réseau rassemblant neuf institutions de recherche et plus de 200 parcelles de suivi de la dynamique forestière après exploitation en Amazonie depuis plus de 30 années. Enfin, une analyse comparative de scénarios prospectifs a été effectuée, où les compromis possibles entre services écosystémiques (bois d’œuvre, carbone et biodiversité) ont été explorés par des techniques d’optimisation multicritère.
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Ouedraogo, Wendsom Osée, Alain P. K. Gomgnimbou, Saïdou Santi, Daniel Ilboudo e Aboubacar Toguyeni. "Quantification de la Biomasse et stockage du carbone du massif forestier de l’Ecole Nationale des Eaux et Forêts de Dindéresso province du Houet au Burkina Faso". International Journal of Biological and Chemical Sciences 13, n. 7 (13 febbraio 2020): 3276–88. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v13i7.24.

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Abstract (sommario):
La dégradation forestière provoque la perte de carbone et contribue indirectement au changement climatique. Afin d’évaluer la contribution du massif forestier de l’Ecole Nationale des Eaux et Forêts (ENEF) à l’atténuation du changement climatique, une étude d’estimation du stock de carbone a été menée. Dans cette étude, la quantité de carbone ligneux a été estimée dans des placettes carrées de 900 m2 pour la savane, 400 m2 pour la plantation de Tectona (P Teck) et 2500 m2 en zone agroforestière (Z Agf). L’équation de type polynomial et le modèle allométrique ont été utilisés pour l’évaluation du stock de carbone. Dans la savane, le carbone stocké dans la biomasse épigée s’élève à 17,66 ± 22,05 tC/ha et celui de la biomasse hypogée ainsi que de la végétation herbacée ont été respectivement de 2,28 ± 2,41 tC/ha et de 1,39 ± 0,61 tC/ha. Au niveau de la plantation de teck et de la zone agroforestière, les quantités de carbone contenues dans la biomasse aérienne ligneuse ont été respectivement de 54,38 ± 12,04 tC/ha et 2,50 ± 3,28 tC/ha contre 7,09 ± 1,40 tC/ha et 0,35 ± 0,42 tC/ha dans les racines. Cette étude contribue à la compréhension de l’apport de la savane, de la plantation et du système agroforestier ; à la séquestration du carbone. Des actions de renforcement du potentiel ligneux de cet écosystème s’imposent pour minimiser la dégradation de ce site à long terme et afin qu’il soit une source durable de séquestration du carbone. .Mots clés : Biomasse, stock de carbone, changement climatique, savane, zone soudanienne, Burkina Faso. Forests degradation causes carbon loss and contributes indirectly to climate change. In order to estimate the contribution of the forest of ENEF (called Ecole Nationale des Eaux et Forêts) forest in the mitigation of climate change, a work based on carbon stock in the forest was implemented. In this study, the quantity of ligneous carbon was estimated in some squares of 900 m 2 for the savannah, 400 m2 for the Tectona plantation (P Teck) and 2500 m2 for the agroforestry area (Z Agf). The equation polynomial and the allometric standard were used to evaluate carbon storage. In savannah, the carbon stocked in above ground biomass was 17.66 ± 22.05 tC/ha. The contribution roots and herbaceous is respectively 2.28 ± 2.41 tC/ha and 1.39 ± 0.61 tC/ha. In teak plantation and agroforestery land, the carbon stocked in AGB was respectively 54.38 ± 12.04 tC/ha and 2.50 ± 3.28 tC/ha. Concerning the roots, it is respectively 7.09 ± 1.40 tC/ha and 0.35 ± 0.42 tC/ha. The actions to strengthen the wood potential of this ecosystem are needed to minimize the degradation of this site in the long term and to be a source of carbon sequestration.Keywords : Biomass, carbon storage, climate change, savannah, soudanian zone, Burkina Faso.
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Balesdent, Jérôme, e Sylvie Recous. "Les temps de résidence du carbone et le potentiel de stockage de carbone dans quelques sols cultivés français". Canadian Journal of Soil Science 77, n. 2 (1 maggio 1997): 187–93. http://dx.doi.org/10.4141/s96-109.

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Abstract (sommario):
In order to predict the potential of soils to store carbon in response to land use or climate changes, we measured the fluxes and distribution of residence times of C in French cultivated soils. We used the natural abundances in 13C and 14C to measure this distribution in long-term experiments of maize cultivation in France. 75% of the topsoil carbon had a mean residence time of 40 yr. Coarse particle-size fractions contained most of the younger carbon. A compartment of stable C was estimated using radiocarbon dating. Belowground plant material inputs stored as much as C as aboveground inputs. The effect of temperature on soil carbon mineralization affected only rate constants, with a Q10 = 3.1 constant in the range 1–25 °C. The data were summerized in a simple simulation model, which predicted a nil or low effect of climatic change on soil carbon storage in the next 50 yr. In France, land use changes will have more influence than atmospheric changes on C storage. Key words: France, greenhouse gases, mineralization, model, soil carbon, storage, temperature
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Gnissien, Moussa, Kalifa Coulibaly, Moussa Barro, Jean-Marie Douzet, Laurent Cournac, Harun Cicek e Hassan B. Nacro. "Effets longue-durée de différentes densités de <i>Piliostigma reticulatum</i> (DC) Hochst sur le stockage et la dynamique du carbone et de l’eau dans un Plinthosol épipétrique en zone nord-soudanienne du Burkina Faso". International Journal of Biological and Chemical Sciences 17, n. 3 (24 agosto 2023): 1220–36. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v17i3.36.

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Abstract (sommario):
L’agroforesterie demeure l’une des stratégies d’amélioration de la fertilité des sols les plus accessibles aux producteurs des pays sahéliens. L’objectif de nos travaux était de déterminer les effets de densités de Piliostigma reticulatum suivant deux types de travail du sol sur le statut et la dynamique du carbone organique et de l’eau du sol en zone nord-soudanienne du Burkina Faso. Le dispositif expérimental est constitué de blocs de Fisher à deux facteurs (travail du sol et densité d’arbustes) comprenant huit traitements et quatre répétitions. Sur la profondeur 0-10 cm, le stock de carbone augmentait de 20,45% et 26,29% respectivement pour les densités de 1000 et 2000 pieds / ha comparativement à celle de 0 pieds / ha en zaï ; et de 38,59% et 57,34% pour la densité de 2000 pieds / ha respectivement en système de culture (SC) et en mise en défends comparativement à celle de 500 pieds / ha en semis direct (SD). Sur la même profondeur, la réserve utile en eau du sol a été plus élevée avec 2000 pieds / ha (13,05 ± 0,66 mm) en zaï, et avec 500 pieds / ha (11,05 ± 1,13 mm) en SD. Le rapport carbone labile sur carbone organique est plus faible sur la couche 0-10 cm (9% à 12%) que sur 20-30 cm (49% à 72%) en présence d’arbustes. La vitesse d’infiltration augmentait de 54,20% et 31% respectivement pour les densités de 1000 et 2000 pieds / ha comparativement à celle de 0 pieds / ha en zaï ; et de 140,32 et 232,23% respectivement pour la densité de 2000 pieds / ha sous SC et sous jachère comparativement à la densité de 500 pieds / ha en SD. Globalement, les densités de 1000 et 2000 pieds / ha améliorent le plus le stockage du carbone, de l’eau et la perméabilité du sol. Le zaï et le SD bien qu’ayant des effets similaires sur le stockage des deux pools de carbone, se distinguent par le fait que le zaï semble plus améliorer le stockage de l’eau alors que le SD améliore plus la perméabilité du sol. English title: Long term effects of Piliostigma reticulatum (DC) Hochst’ densities on carbon and water storage and dynamics of an epipetal Plinthosol in Burkina Faso’s northern Sudanian area Agroforestry remains one of the most accessible soil fertility improvement strategies for farmers in Sahelian countries. The objective of our work was to determine the effects of different planting densities of Piliostigma reticulatum, evolving on two tillages, on the status and dynamics of soil organic carbon and water in Burkina Faso’s northern Sudanian. The experimental design is a two-factor Fisher block design (tillage and shrub density) with eight treatments and four replications. At a depth of 0-10 cm, carbon stock increased by 20.45% and 26.29% respectively for the 1000 and 2000 shrubs / ha compared to 0 shrubs / ha in zaï; and by 38.59% and 57.34% for the 2000 shrubs / ha respectively in cropping system (CS) and in fallow compared to the 500 shrubs / ha density in no-till (NT). Over the same depth, the useful soil water holding capacity was higher with 2000 shrubs / ha (13.05 ± 0.66 mm) in zaï, and with 500 shrubs / ha (11.05 ± 1.13 mm) in NT. The ratio of labile carbon to organic carbon was lower on the 0-10 cm layer (9% to 12%) than on the 20-30 cm layer (49% to 72%) in the presence of shrubs. Infiltration rate increased by 54.20% and 31% respectively for 1000 and 2000 shrubs / ha densities compared to 0 shrubs / ha in zaï; and by 140.32 and 232.23% respectively for 2000 shrubs / ha density under CS and fallow compared to 500 shrubs / ha density in NT. Overall, the densities of 1000 and 2000 shrubs / ha improve the most carbon storage, water storage and soil permeability. Zaï and NT, while having similar effects on the storage of both carbon pools, differ in that zaï seems to improve water storage more while NT improves soil permeability more.
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Kimpolo, Luc, Saint Fédriche Ndzai e Félix Koubouana. "Richesse Floristique Et Stockage De Carbone De La Zone Agricole De La Forêt De Kissila Dans Le Mayombe Congolais". European Scientific Journal ESJ 17, n. 40 (30 novembre 2021): 1–19. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2021.v17n40p1.

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Abstract (sommario):
La gestion durable des forêts reste un problème majeur que doit faire face la communauté internationale et locale dans la lutte contre la déforestation et la dégradation des forêts. Ces forêts connaissent de nos jours une dégradation très accentuée principalement causée par les pratiques agricoles. Cette étude a pour objectif d’évaluer la richesse floristique et d’estimer le stock de carbone aérien afin de contribuer à une meilleure connaissance des ressources naturelles de cette forêt du Mayombe en général et celle du village Kissila en particulier. Cinq parcelles de 50 m de côté chacune ont été installées avec une superficie totale de 12.500 m² soit 1,25 ha. Tous les arbres de Diamètre à Hauteur de la Poitrine (DHP) ≥10 cm ont été inventoriés à 1,30 m du sol dans chaque parcelle. La richesse spécifique, le spectre écologique, les indices de diversité floristique, ainsi que les paramètres structuraux ont été étudiés. La biomasse aérienne a été calculée à partir de l’équation allométrique de Djomo et l’estimation du carbone par la biomasse aérienne x 0,47. L’inventaire floristique a permis d’identifier 309 arbres répartis en 79 espèces, 63 genres et 32 familles. La famille des Annonaceae (11,39 %°) est la plus représentée qualitativement et celle des Olacaceae quantitativement (11,65%). Les indices de diversité de Shannon tendent vers 5, la densité à l’hectare et la surface terrière moyenne sont de 247 arbres et 10,71 m²/ha. La biomasse aérienne moyenne calculée est de 311,76tC/ha et le stock de carbone aérien moyen est de 89,5 tC/ha. Cette étude montre que la forêt de cette zone peut être classée comme une forêt secondaire fortement perturbée.
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Gires, Jean-Michel. "Le captage et le stockage géologique de CO2 : une des solutions pour lutter contre le changement climatique". Annales des Mines - Réalités industrielles Novembre 2008, n. 4 (2008): 56. http://dx.doi.org/10.3917/rindu.084.0056.

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Razafimbelo, Tantely Maminiaina, Andry Andriamananjara, Tovonarivo Rafolisy, Herintsitohaina Razakamanarivo, Dominique Masse, Eric Blanchart, Marie-Virginie Falinirina, Laetitia Bernard, Nasandratra Ravonjiarison e Alain Albrecht. "Impact de l’agriculture climato-intelligente sur les stocks de carbone organique du sol à Madagascar". Cahiers Agricultures 27, n. 3 (maggio 2018): 35001. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2018017.

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Abstract (sommario):
L’agriculture climato-intelligente (Climate Smart Agriculture) vise à lutter contre le changement climatique et à s’y adapter tout en combattant l’insécurité alimentaire. À Madagascar, différentes pratiques agricoles ont été testées depuis une vingtaine d’années par des organisations non gouvernementales et des institutions de recherche afin d’accroître les rendements, maintenir la fertilité des sols et augmenter les revenus des ménages. Ces pratiques sont l’agriculture de conservation, l’agroforesterie et l’utilisation d’intrants ou d’amendements organiques comme le compost ou le fumier. Cette étude a pour objet de documenter les impacts de quelques pratiques d’agriculture climato-intelligente sur le stockage du carbone dans le sol. Les résultats montrent que le stock de carbone des sols varie fortement d’une pratique à l’autre. Pour l’agriculture de conservation, la différence de stock varie de 0 à 1,82 Mg C ha−1 an−1par rapport à la pratique traditionnelle (labour et exportation des résidus). Pour l’agroforesterie, la différence de stock entre des systèmes rizicoles sous girofliers et des pratiques de riziculture sur brûlis est de 0,68 Mg C ha−1 an−1. L’utilisation d’apports organiques comme le fumier, le compost ou les déchets urbains a induit des augmentations de carbone du sol de 0,16, 0,81 et 0,42 Mg C ha−1 an−1, mais les effets de ces apports organiques ne sont pas significatifs du fait de la très grande variabilité inter-parcellaire des stocks mesurés. Les pratiques d’agriculture climato-intelligente permettent ainsi d’augmenter la teneur en carbone du sol et ont donc des potentiels d’atténuation du changement climatique, mais ce potentiel est très variable selon la pratique considérée. Un éventuel impact à l’échelle du pays dépendra de l’étendue de l’adoption de ces différentes pratiques.
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Montagnini, Florencia, Muhammad Ibrahim e Enrique Murgueitio Restrepo. "Systèmes silvopastoraux et atténuation du changement climatique en Amérique latine". BOIS & FORETS DES TROPIQUES 316, n. 316 (1 giugno 2013): 3. http://dx.doi.org/10.19182/bft2013.316.a20528.

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Abstract (sommario):
La production de bétail fait partie de la culture des peuples et est importante pour la nutrition et le bien-être humain. Cependant, le bétail d'élevage conventionnel est une source de gaz à effet de serre (Ges). La séquestration du carbone dans la végétation et les sols peut être améliorée tandis que les émissions de Ges peuvent diminuer avec le pâturage contrôlé, des espèces fourragères appropriées, et l'utilisation de systèmes sylvopastoraux (Sps) combinant arbres, arbustes et pâturages. En outre, les Sps favorisent l'adaptation au changement climatique avec les effets améliorateurs des arbres sur les températures de l'air qui limitent le dessèchement des pâturages et améliorent le bien-être et la productivité des animaux. Plusieurs types de Sps sont très répandus dans les paysages agricoles de l'Amérique latine. Dans les Sps intensifs (Isps), comprenant des banques de fourrage avec des espèces ligneuses plantées à haute densité, les rendements sont supérieurs à l'élevage conventionnel, en raison d'une plus grande densité de bétail et du gain de poids plus élevé des animaux. Les recherches en Colombie, au Nicaragua et au Costa Rica montrent que les Sps ont plus de carbone dans la biomasse aérienne et dans les sols que dans les pâturages dégradés. Dans les Sps, le bois des arbres fruitiers, plantés ou de régénération naturelle, augmente les stocks de carbone et les taux de séquestration. Les espèces arborées locales peuvent être utilisées dans les Sps avec de bons résultats en termes de productivité, de restauration des sols, de séquestration du carbone et de conservation de la biodiversité. L'utilisation de Sps contribue à la séquestration du carbone dans les arbres et dans les sols, tandis que l'établissement des plantations forestières et la conservation des forêts secondaires augmentent la séquestration et le stockage du carbone à l'échelle du paysage. Les Sps et surtout les Isps peuvent contribuer à atténuer le changement climatique car ils peuvent avoir un bilan Ges positif. En Amérique latine, les Isps aux résultats positifs ont été adaptés à des niveaux régionaux. Des mesures incitatives telles que le paiement des services environnementaux ainsi que l'assistance technique peuvent stimuler l'adoption des Sps contribuant ainsi à l'atténuation du changement climatique tout en préservant les moyens de subsistance en milieu rural.
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Dorvil, Weldenson, Herauld Museau, Waselin Salomon, Donald André e Jean-Marie Théodat. "Le statut organique des sols à Saint-Raphaël : quels mécanismes, quelles pratiques agricoles et quels indicateurs ?" International Journal of Biological and Chemical Sciences 17, n. 6 (18 gennaio 2024): 2490–511. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v17i6.28.

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Abstract (sommario):
Le changement climatique menace au plus haut niveau la sécurité alimentaire de par son fort impact sur l’agriculture. Cependant le stockage et la séquestration du carbone organique dans le sol permettent d’atténuer ces problèmes tout en offrant une partie de la solution au réchauffement climatique. Cette étude suggère une seconde caractérisation du statut organique des sols jusqu’à 100 cm de profondeur en Haïti. Nos résultats ont montré une grande variabilité verticale des concentrations de carbone et d’azote total. Suivant une approche de mesure directe sur 90 parcelles, nos analyses statistiques ont montré une forte concentration en carbone organique total dans les 10 premiers centimètres du sol (3,7 g 100 g-1). Il en est de même pour la concentration en azote totale avoisinant 0,275 g kg-1. Dans la couche 50-100 cm, des faibles teneurs en carbone et en azote estimées respectivement à 1,125 g 100 g-1 et à 0,025 g kg-1 ont été repérées. La variabilité des stocks organiques a été également constatée au niveau des types de sol, de la topographie et des systèmes de culture. Ainsi, les plus élevés et les plus faibles stocks de carbone organique ont été enregistrés respectivement dans le système agroforestier (196,44 MgC. ha-1) et le système de pâturage (128,55 MgC. ha-1). Les stocks de carbone organique varient de 80,57 MgC. ha-1 pour les Haplic Cambisols positionnés dans les versants à 203 MgC. ha-1 pour les Rendzic Leptosols et Epileptic Cambisols (RELEC) qui sont majoritairement situés dans la vallée. L’effet significatif au seuil de 5% a été observé entre les systèmes de culture et les types de sol. Ces résultats indiquent que la restauration des sols requiert des apports de matières organiques exogènes et endogènes par l’implémentation des pratiques agricoles résilientes. Ils ont aussi permis d’établir le lien entre la fertilité des sols et la restitution de la matière organique en vue d’une amélioration de la sécurité alimentaire. Il a été ainsi crucial d’identifier les systèmes de culture et les pratiques agricoles répondant au mieux au stockage de carbone et d’azote total. Climate change poses a major threat to food security, due to its strong impact on agriculture. However, the storage and sequestration of organic carbon can mitigate these problems and offer part of the solution to global warming. This study suggests a second characterization of the organic status of soils up to 100 cm soil depth in Haiti. Our results showed a large vertical variability of carbon and total nitrogen concentrations. Following a direct measurement approach on 90 plots, our statistical analyzes showed a high concentration of total organic carbon in the first 10 centimeters of the soil (3.7 g 100 g -1). It is the same for the concentration of total nitrogen around 0.275 g kg-1. In the 50-100 cm layer, low carbon and nitrogen contents estimated respectively at 1.125 g 100 g-1 and at 0.025 g kg-1 have been spotted. The variability of organic stocks has also been observed at the level of soil types, topography and cropping systems. Thus, the highest and lowest of organic carbon stocks were recorded respectively in the agroforestry system (196.44 MgC ha -1) and the grazing system (128.55 MgC ha -1). Organic carbon stocks vary from 80.57 MgC ha -1 for the Haplic Cambisols positioned in the slopes at 203 MgC ha -1 for Rendzic Leptosols and Epileptics Cambisols (RELEC) which are mostly located in the valley. The significant effect at the threshold of 5% was observed between the cultivation systems and the soil types. These results indicate that soil restoration requires inputs of exogenous and endogenous organic matter through the implementation of resilient agricultural practices. They have also made it possible to establish the link between soil fertility and the return of organic matter in order to improve food security. It was thus crucial to identify the cropping systems and agricultural practices that best respond to total carbon and nitrogen storage.
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Razakamanarivo, Ramarson Herintsitohaina, Marie-Antoinette Razafindrakoto e Alain Albrecht. "Fonction puits de carbone des taillis d'eucalyptus à Madagascar". BOIS & FORETS DES TROPIQUES 305, n. 305 (1 settembre 2010): 5. http://dx.doi.org/10.19182/bft2010.305.a20438.

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Abstract (sommario):
Les écosystèmes forestiers jouent un grand rôle face au réchauffement climatique grâce aux réservoirs importants de carbone organique (C) de leurs compartiments (aérien, racinaire, litière et sol). En ce qui concerne l'utilisation des terres, les changements d'affectation des terres et la foresterie, des mesures précises des stocks de C dans ces compartiments sont recommandées. Dans ce sens, la capacité de fixation de C des taillis d'eucalyptus (20 à 111 ans) des Hautes Terres centrales malgaches dans ces compartiments a été étudiée, en comparaison avec d'autres modes d'usage des terres (pseudo-steppe, rotation culture/jachère). Des mesures destructives de biomasses et des prélèvements de sols ont été effectués, suivis par le développement d'équations allométriques et des analyses en laboratoire (détermination de la teneur en carbone, étude isotopique). Tous âges confondus, la pratique de taillis d'eucalyptus présente le plus grand stock de C (150,8 ± 25,3 Mg C/ha face à 112 ± 15 et 72,3 ± 9,9 Mg C/hapour la pseudo-steppe et la rotation culture/jachère respectivement). Pour tous les modes d'usage, c'est le compartiment sol qui constitue le principal réservoir de C avec 56% pour l'eucalyptus et plus de 96 % pour les autres modes. Mais ce sont essentiellement la souche et les racines lignifiées qui rendent ces plantations d'eucalyptus plus efficaces que les autres modes d'usage (44 Mg C/ha pour l'eucalyptus face à 2 Mg C/ha) en termes de stockage de C. D'après l'étude isotopique, le C dérivé de l'eucalyptus dans le sol ne domine toutefois qu'en surface, probablement en raison de la gestion en taillis. Cependant, d'autres facteurs, à part la durée de plantation, comme l'altitude et la morphopédologie sont à considérer pour comprendre la dynamique des stocks de C mesurés. (Résumé d'auteur)
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Barthod, Christian, Jean-Luc Dupouey, Raphaël Larrère e François Sarrazin. "Des forêts en libre évolution : une vision qui cherche encore sa place dans les politiques publiques, et un dossier scientifique encore lacunaire mais déjà intéressant". Revue forestière française 73, n. 2-3 (30 marzo 2022): 417–24. http://dx.doi.org/10.20870/revforfr.2021.5422.

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Abstract (sommario):
Ce numéro de la Revue forestière française, faute de connaissances scientifiques partout bien établies, n’aborde que marginalement certaines questions : il en est ainsi en particulier des contributions respectives des forêts gérées et des forêts en libre évolution comportant bois sénescents et bois mort, dans le stockage du carbone, et de la résilience présumée plus forte des forêts en libre évolution. En dépit de ces lacunes, ce numéro permet d’éclairer d’une part les enjeux d’une politique européenne de préservation des « primary and old-growth forests » et d’autre part de l’ensauvagement des campagnes du fait de la déprise agricole et forestière. Il montre enfin à quel point le débat technique et scientifique examiné est articulé à des points de vue culturels et éthiques concernant le rapport au sauvage, les relations entre l’humanité et la nature, et les vertus du lâcher-prise. Il illustre le bouillonnement actuel de réflexions et d’initiatives, avec leurs forces et leurs lacunes, ainsi que les défis à relever.
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Jagoret, Patrick, Stéphane Saj e Aurélie Carimentrand. "Cacaoculture agroforestière en Afrique : l’art de concilier production durable et services écologiques". Perspective, n. 54 (2020): 1–4. http://dx.doi.org/10.19182/perspective/31915.

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Abstract (sommario):
L’agroforesterie, qui associe des arbres aux cacaoyers, apparaît comme une option crédible pour renouveler la cacaoculture en Afrique. La culture pure de cacaoyers, dominante, y est en effet à bout de souffle. Il est donc urgent d’identifier des solutions techniques pour stabiliser les zones cacaoyères, réduire la tension sur les forêts et s’adapter à l’évolution du climat. Un équilibre peut être trouvé entre les cacaoyers et un panachage d’arbres choisis par les agriculteurs pour leurs usages variés, tout en maintenant un rendement en cacao convenable sur le long terme. Cet équilibre assure aussi des services écologiques comme le stockage du carbone et la protection phytosanitaire. Des travaux récents menés au Cameroun montrent que le pilotage des cacaoyères agroforestières peut s’appuyer sur un indicateur simple, la mesure de la surface terrière des cacaoyers et celle des arbres associés. Cet indicateur pourrait être adopté pour la certification du cacao durable, tandis que la convergence constatée entre savoirs locaux et résultats scientifiques pourrait aider à co-construire les conseils techniques.
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Etienne Kenfack, Pierre. "Limiter la braderie des terres d'Afrique centrale : un enjeu de portée planétaire". Revue Juridique de l'Environnement 43, n. 1 (2018): 33–42. http://dx.doi.org/10.3406/rjenv.2018.7191.

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Abstract (sommario):
Entamé depuis l’époque coloniale, l’accès des investisseurs aux terres d’Afrique centrale s’est accentué depuis les crises financières et alimentaires mondiales de la fin de la décennie 2010. Le principe de l’accès ne pose pas véritablement de problèmes, mais le processus, organisé par les législations des États de la zone, est une véritable braderie des terres, dont les conséquences interpellent toute personne soucieuse du devenir de la planète. En effet, cette zone abrite l’un des plus grands massifs forestiers du monde dont le maintien contribue à la protection de la planète contre le réchauffement du climat, or la braderie a pour conséquence inéluctable la déforestation. Elle abrite également des populations qui n’ont pour seule source de revenus que la terre et des forêts. La limiter est important pour préserver un des plus grands puits de stockage du carbone au monde et pour assurer la sécurité alimentaire. La limitation passe par l’interdiction de toute cession de terres forestières et par le contrôle de la commercialisation des terres non forestières.
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Ona, I. E. Mbagou Mwe-Zue, Ndzengboro Endamane, R. Walla Obiang e F. Eba. "Evaluation du carbone organique des sols de la province de l’Estuaire (NW, Gabon) selon le type d’occupation". International Journal of Biological and Chemical Sciences 17, n. 4 (19 settembre 2023): 1750–64. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v17i4.36.

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Abstract (sommario):
Le sol est la meilleure alternative aux gaz à effet de serre car, selon le GIEC, il constitue le plus important réservoir superficiel à carbone avec plus de 1500 à 2000 Gigatonnes de carbone captés par année. Pendant longtemps, l’évaluation du potentiel de stockage en carbone organique dans les sols du Gabon a été exclusivement orientée dans le milieu forestier. Cette étude vise à évaluer le potentiel en carbone organique des sols dans la province de l’Estuaire, selon 7 types d’occupations des sols, définit par l’Agence Gabonaise d’Etudes et Observations Spatiale (AGEOS). Nous avons comparé les sols sous terres cultivées (TC ; n=11), sous bâtis (BT ; n=12), sous cultures villageoises (CV ; n=8), sous savanes et végétations basses (SVB ; n=6), sous forêts inondées (FI ; n=9), sous forêts secondaires (FS ; n=12), à ceux sous forêts matures (FM ; n =14). Les sols ont été prélevés (n=864) sur une profondeur de 0 à 100 cm avec un pas régulier de 20 cm. Les résultats d’analyses ont montré des spécificités géographique et géologique dans les sols des sites échantillonnés. En effet, tous les sols sont acides (pH<5,01), et les sites proches du littoral (BT, SVB, FI et CV) sont fortement désaturés et remaniés, subissant une forte pluviométrie annuelle (3500 mm à 3000 mm), avec des densités apparentes les plus importantes, mais les teneurs en carbone organique totale (COT) les plus faibles. Tandis que les sites plus éloignés du littoral (FM, FS et TC) reposent sur un socle cristallin, subissent une pluviométrie moins importante (2500 mm à 3000 mm), possèdent des densités apparentes les plus faibles et les teneurs en COT les plus importantes. De plus, la texture argilo-limoneuse à argileuse des sols des sites FM, FS, et TC permet un stockage plus important en COT que la texture sableuse à sablo-limoneuse des sols des sites BT, SVB, FI et CV. English title: Evaluation of the organic carbon of the soils of the province of Estuaire (NW, Gabon) according to the type of occupation Soil is the best alternative to greenhouse gases because, according to the IPCC, it is the largest superficial carbon reservoir with more than 1500 to 2000 Gigatons of carbon captured per year (IPCC). For a long time, the evaluation of the organic carbon storage potential in the soils of Gabon was exclusively oriented in the forest environment. This study aims to assess the organic carbon potential of soils in the Estuary province, according to 7 types of land use, defined by the Gabonese Agency for Spatial Studies and Observations (AGEOS). We compared the soils under cultivated land (TC; n=11), under buildings (BT; n=12), under village crops (CV; n=8), under savannas and low vegetation (SVB; n=6), under flooded forests (FI; n=9), under secondary forests (FS; n=12), to those under mature forests (FM; n=14). The soils were sampled (n=864) over a depth of 0 to 100 cm with a regular step of 20 cm. The analysis results showed geographical and geological specificities in the soils of the sampled sites. Indeed, all the soils are acidic (pH<5.01), and the sites near the coast (BT, SVB, FI and CV) are highly desaturated and reworked, undergoing high annual rainfall (3500 mm to 3000 mm), with the highest apparent densities, but the lowest total organic carbon (TOC) contents. While the sites farther from the coast (FM, FS and TC) rest on a crystalline basement, experience less rainfall (2500 mm to 3000 mm), have the lowest apparent densities and the highest TOC contents. In addition, the clayey-loamy to clayey texture of the soils of the FM, FS, and TC sites allows greater TOC storage than the sandy to sandy-loamy texture of the soils of the BT, SVB, FI and CV sites.
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DOLLÉ, J. B., L. DELABY, S. PLANTUREUX, S. MOREAU, B. AMIAUD, A. CHARPIOT, V. MANNEVILLE, A. CHANSEAUME, H. CHAMBAUT e A. LE GALL. "Impact environnemental des systèmes bovins laitiers français". INRAE Productions Animales 26, n. 2 (17 aprile 2013): 207–20. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.2.3149.

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Abstract (sommario):
La préservation de l’environnement est actuellement au coeur des débats dans l’évolution des systèmes de production laitière. Le défi des années futures réside dans la fourniture de produits laitiers tout en assurant les performances sociales, économiques et environnementales, c'est-à-dire la durabilité des systèmes de production. En matière d’environnement, une attention toute particulière doit être portée à la limitation des risques de pollution vers l'eau, vers l'air et à la préservation de la biodiversité. Les systèmes d'élevage herbivore français, largement basés sur la prairie, présentent pour cela un réel atout du fait du lien au sol et de la part importante de fourrages dans l’alimentation du troupeau. Peu liée aux caractéristiques structurelles, l’efficience environnementale passe notamment par l’optimisation du recyclage du carbone et de l’azote au sein des systèmes de production. Alors que la variabilité des impacts environnementaux entre exploitations de systèmes différents (plaine vs montagne) est faible, une forte variabilité est observée entre exploitations d’un même système. Ceci démontre que les pratiques efficientes sur le plan technique, relatives à la gestion optimale des effectifs animaux, à une sobriété énergétique, etc. ont des incidences environnementales et économiques favorables. C’est pourquoi, une partie significative des exploitations d'élevage d'herbivores françaises devrait pouvoir être considérée à hautes performances environnementales et économiques sans remise en cause lourde du système de production. Par ailleurs l’élevage laitier, qui intervient pour réduire les pertes vers l’air et vers l’eau, est garant du stockage de carbone et de la biodiversité. Au-delà de la production de lait et de viande, l’élevage laitier joue dès lors un rôle majeur dans la préservation de l’environnement.
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Yedmel, Memel S. Ch, Adjumane A. Kadio, Olivier J. Hardy, N’Guessan François Kouame e Nicolas S. Barbier. "Impact du feu sur la structure et la composition floristique d’un peuplement forestier de Côte d’Ivoire et interaction avec les traitements sylvicoles". Canadian Journal of Forest Research 40, n. 10 (ottobre 2010): 1904–13. http://dx.doi.org/10.1139/x10-117.

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Abstract (sommario):
La dynamique structurale et floristique des forêts tropicales humides en réponse aux perturbations reste très méconnue, en dépit des problématiques actuelles de stockage de carbone et de conservation de la biodiversité. Le dispositif de la Téné (Côte d’Ivoire) est un peuplement forestier suivi depuis 1978, afin d’étudier à long terme la dynamique des espèces à potentiel commercial. En 1983, il a été accidentellement parcouru par le feu, et plus de 65 % de la surface totale a été atteinte. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’impact des modalités sylvicoles combinées au passage du feu sur la structure et la composition floristique du peuplement. Les variations structurales et floristiques ont été testées respectivement à l’aide d’un simple modèle d’ANCOVA et d’une ordination. Les résultats obtenus montrent que l’impact du feu, en termes de surface brûlée, de structure et de composition floristique, a été significativement accru par les perturbations induites par les traitements sylvicoles. Les modalités sylvicoles supposées bénéfiques à l’accroissement des espèces à potentiel commercial peuvent accroître la susceptibilité aux feux et entraîner à long terme des effets majeurs sur la structure et la composition floristique du peuplement.
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DOREAU, M., A. FARRUGGIA e P. VEYSSET. "Aménités et impacts sur l’environnement des exploitations françaises élevant des bovins pour la viande". INRA Productions Animales 30, n. 2 (19 giugno 2018): 165–78. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2017.30.2.2242.

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Abstract (sommario):
L’ambition de cet article est de dresser un bilan environnemental de l’élevage de bovins pour la viande en France, aussi exhaustif que possible, à partir des données scientifiques et statistiques disponibles. Les impacts environnementaux abordés sont les émissions de gaz à effet de serre, la pollution de l’eau et des sols, l’utilisation des ressources naturelles (énergie, phosphore, eau), l’utilisation des terres et la biodiversité végétale et animale. Les méthodologies d’évaluation et les indicateurs utilisés sont justifiés et discutés. Lorsque l’unité d’expression est le kg de viande, l’essentiel des impacts environnementaux provient de l’atelier naisseur en raison de la longue phase d’élevage pour obtenir un broutard. Les résultats sont très différents lorsque les impacts sont calculés par unité de surface, que le stockage de carbone dans les prairies est pris en compte et que les impacts positifs de ces systèmes sur la biodiversité et sur le paysage sont intégrés à l’analyse. Bien qu’ayant des atouts pour aborder la transition agroécologique du fait de la part importante de prairies permanentes leur permettant de tirer avantage des régulations biologiques, les systèmes naisseurs sont cependant engagés depuis 20 ans dans un processus d’agrandissement au détriment de leur durabilité.
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Rochard, Joël. "Le secteur viticole face au défi alimentaire mondial : intérêt de la protection des vignobles de forte pente, peu valorisables pour les cultures vivrières". BIO Web of Conferences 56 (2023): 04001. http://dx.doi.org/10.1051/bioconf/20235604001.

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Abstract (sommario):
Les vignobles de forte pente sont le plus souvent issus d'un savoir-faire ancestral, reconnu au titre du patrimoine mondial Unesco pour le savoir-faire de construction en pierres sèches, sont parfois menacés en raison notamment de surcoûts de production des raisins, du manque de main-d’œuvre et du renforcement des aspects réglementaires. Ce type de viticulture comporte une forte valeur qualitative et de nombreuses externalités notamment patrimoniales et écologiques. L'abandon de ces vignobles contribue à une perte de biodiversité locale, à un abandon de ces territoires ruraux, à une augmentation des risques d'incendie et parfois de ruissellement et d'érosion, parallèlement à la perte de valeur patrimoniale, support de l'œnotourisme. Vis-à-vis du changement climatique, il est important de souligner que ces territoires contribuent à un stockage de carbone généralement supérieur à celui des espaces naturels. Enfin, l'augmentation de la population mondiale et la diminution des rendements agricoles aboutiront probablement au cours des prochaines décennies à un défi pour assurer une sécurité alimentaire au niveau planétaire, d'où l'importance pour le secteur viticole de conserver ces zones de production peu valorisables pour les productions vivrières.
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Pigeon, Jonas. "L’acceptabilité sociale des technologies de captage, de transport, d’utilisation et de stockage du CO2 : un travail d’ajustement réciproque du projet technique et de ses parties prenantes". Annales des Mines - Responsabilité et environnement N° 105, n. 1 (12 gennaio 2022): 67–71. http://dx.doi.org/10.3917/re1.105.0067.

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Bauer Nilsen, Olav, e Kristian Luczy. "Caught in the Crossfire: Scrutinising Norway’s Role and Accusations of War Profiteering Amid the Russian Invasion of Ukraine". L'Europe en Formation 397, n. 2 (11 dicembre 2023): 153–68. http://dx.doi.org/10.3917/eufor.397.0153.

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Abstract (sommario):
Cet article examine le rôle essentiel de la Norvège dans le façonnement du paysage énergétique européen, dans le nouveau contexte des bouleversements géopolitiques provoqués par l’invasion de l’Ukraine par la Russie. Il présente une analyse approfondie des interconnexions énergétiques de la Norvège avec le nord de l’Europe, en mettant l’accent sur le contexte historique qui sous-tend leur importance. Alors que l’Europe cherche à réduire sa dépendance aux importations russes, les interconnexions de la Norvège et ses solides capacités d’approvisionnement sont devenues cruciales. L’essai explore le débat international et les controverses entourant les bénéfices énergétiques de la Norvège, en particulier dans le sillage de la guerre en Ukraine, tout en soulignant l’engagement du pays en faveur de la stabilité mondiale par le biais d’initiatives significatives d’aide étrangère, telles que le programme de soutien Nansen pour l’Ukraine. Enfin, l’essai se penche sur les défis énergétiques nationaux de la Norvège, en particulier la hausse des prix de l’électricité et les plans à long terme du pays en faveur des alternatives énergétiques soutenables, telles que le captage du carbone et les technologies de l’hydrogène. Tout au long de l’article, l’accent est mis sur la complexité de la position de la Norvège, qui navigue entre priorités nationales et responsabilités internationales, et illustre l’interaction complexe de la politique, de l’économie et de l’énergie dans le contexte unique de la Norvège, ainsi que son impact sur le paysage énergétique européen.
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De Cara, Stéphane, e Pierre-Alain Jayet. "Évaluation et régulation de l’effet de serre d’origine agricole". Articles 75, n. 4 (9 febbraio 2009): 597–623. http://dx.doi.org/10.7202/602304ar.

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Abstract (sommario):
RÉSUMÉNous examinons la contribution du secteur agricole aux émissions de gaz à effet de serre ainsi que l’impact de mesures de régulation. À partir d’un modèle économique de l’offre agricole française à fort contenu technique, nous mesurons la contribution des activités animales et végétales à l’accumulation de méthane et de protoxyde d’azote et au stockage du carbone dans le sol et la partie aérienne des plantes. Nous donnons ensuite un éclairage prospectif sur la réaction à court et moyen terme de l’offre agricole à l’application de différents schémas de taxation. Dans un premier temps, nous donnons une appréciation de l’impact d’un schéma de premier rang et discutons de l’intérêt d’une incitation au reboisement des terres en jachère. Basées sur les données techniques disponibles, les taxes et primes reposent directement sur les niveaux d’émissions que l’agence environnementale est supposée mesurer parfaitement. Dans une optique de second rang fondée sur la taxation de facteurs observables à moindre coût, nous examinons ensuite l’effet : (i) d’une taxe sur l’alimentation achetée et (ii) d’une taxe sur l’animal. Le principal résultat est que l’incitation au reboisement constitue un instrument efficace de régulation de l’effet de serre d’origine agricole, alors que les schémas de taxe de second rang sur l’activité de production animale apparaissent relativement inefficaces.
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Choukrani, Hajar, Marcel Kuper, Ali Hammani, Guillaume Lacombe e Abdelilah Taky. "Visions contrastées des services écosystémiques des zones humides saisonnières du Gharb, Maroc". Cahiers Agricultures 32 (2023): 2. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2022031.

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Abstract (sommario):
Immergés en hiver, les marais saisonniers (merjas) de la plaine du Gharb au Maroc étaient traditionnellement exploités pour le pâturage en été, à côté d’autres usages productifs. Pourtant, ils étaient considérés par l’administration coloniale comme des milieux insalubres et peu valorisés, malgré leur abondance en ressources naturelles. Au cours du XXe siècle, la plaine a fait l’objet d’un aménagement hydro-agricole, incorporant les merjas, pour contribuer aux objectifs nationaux de sécurité alimentaire et d’exportation de produits agricoles. Cet article interroge le regard porté par les acteurs locaux et institutionnels sur les merjas et les bénéfices qu’elles procurent, à travers une analyse des services écosystémiques. Si les institutions les considèrent comme des terres vierges à aménager et des zones tampon de régulation des crues pour protéger les secteurs aménagés et les villes, les collectivités riveraines les considèrent comme des espaces productifs, défavorisés par les crues. L’étude montre des visions contrastées des services écosystémiques, où chaque acteur a une vision utilitariste des merjas. Malgré le débat international sur la biodiversité et le stockage de carbone dans les zones humides, les dimensions écologiques sont peu citées. L’approche par les services écosystémiques dévoile les antagonismes entre acteurs, mais peut être un moyen de négociation sur le devenir des merjas dans une vision territoriale.
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Proces, Pierre, Emilien Dubiez, Franck Bisiaux, Adrien Péroches e Adeline Fayolle. "Production d’Acacia auriculiformis dans le système agroforestier de Mampu, plateau Batéké, République démocratique du Congo". BOIS & FORETS DES TROPIQUES 334 (2 gennaio 2018): 23. http://dx.doi.org/10.19182/bft2017.334.a31489.

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Abstract (sommario):
Géré par des communautés locales depuis plus de vingt ans, le massif agroforestier à Acacia auriculiformis de Mampu, sur le plateau Batéké en République démocratique du Congo (RDC), contribue à l’approvisionnement de Kinshasa en produits vivriers et en bois énergie. Grâce aux subventions internationales, ce système agroforestier, qui intègre la pratique de l’abattis-brûlis, est reproduit un peu partout en RDC, bien que sa performance n’ait jamais été évaluée. L’objectif de cette étude était d’estimer la production d’Acacia auriculiformis en biomasse totale et exploitable pour le charbon de bois (tige et branches de plus de 4 cm de diamètre) dans le système agroforestier. À cet effet, deux équations allométriques locales, portant sur la biomasse totale et exploitable, ont été ajustées à partir de données destructives. Des données d’inventaire existantes (n = 112 parcelles) ont permis d’identifier une grande hétérogénéité structurale sur l’ensemble de la rotation (8-10 ans) mais également entre parcelles du même âge. Malgré cette hétérogénéité qui peut s’expliquer par la diversité des conditions environnementales sur le site et/ou les disparités dans l’appropriation de l’itinéraire technique, la production reste néanmoins comparable à celle observée sur d’autres sites avec, en moyenne, 145 tonnes par hectare en 10 ans. Le système agroforestier de Mampu présente de nombreux avantages, des services directs avec la création d’emplois ruraux, et la production combinée de produits vivriers et de charbon de bois, mais aussi des services indirects, comme la déforestation évitée, et le stockage du carbone. La durabilité et la diffusion de ce système agroforestier peuvent néanmoins être discutées.
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Tsayem Demaze, Moïse. "La Redd+ au Brésil : entre construction du cadre institutionnel et foisonnement des projets pilote". BOIS & FORETS DES TROPIQUES 316, n. 316 (1 giugno 2013): 17. http://dx.doi.org/10.19182/bft2013.316.a20527.

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Abstract (sommario):
Les premières lois sur le mécanisme Redd (Réduction des émissions liées à la déforestation et à la dégradation des forêts) au Brésil ont été adoptées en 2008. Elles précisent les objectifs et fixent le cap, ce qui permet de se rendre compte de l'importance que le Brésil accorde à ce mécanisme, devenu Redd+ du fait de l'élargissement de son périmètre pour qu'il inclue le stockage du carbone dans les sols et plus globalement la gestion dite durable des forêts tropicales. À partir d'enquêtes par entretiens avec des acteurs, et d'observations de terrain, complétées par l'analyse de la réglementation et de la bibliographie, cet article décrypte la construction du cadre institutionnel de la Redd+ au Brésil, en décrivant la contribution financière extérieure. Alors que ce cadre institutionnel est en cours de construction, et qu'une stratégie nationale Redd+ n'est pas encore élaborée et adoptée, l'engouement pour la Redd+ au Brésil paraît indéniable, comme le montrent les nombreuses initiatives à l'échelle des États fédérés (l'Amazonas, le Pará, l'Acre, le Mato Grosso). Les nombreux projets pilotes illustrent aussi cet engouement manifeste. L'inscription territoriale de ces projets pilotes montre qu'ils portent essentiellement sur des espaces faisant déjà l'objet d'une protection (aires protégées, territoires indigènes) alors qu'ils auraient pu porter davantage sur les espaces les plus menacés par la déforestation. L'article aborde en particulier le projet Redd+ de la réserve Juma, et soulève de nombreuses questions : la gouvernance et l'implication ou la participation des populations locales, la comptabilisation des émissions de gaz à effet de serre, la réalité de la déforestation évitée, l'articulation entre l'échelle nationale et l'échelle locale, etc.
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Wang, Chun-Kai, e Chien-Ming Lee. "Power System Decarbonization Assessment: A Case Study from Taiwan". Energies 17, n. 4 (12 febbraio 2024): 859. http://dx.doi.org/10.3390/en17040859.

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Abstract (sommario):
The first global stocktake (GST) at 2023 UN Climate Change Conference (COP28) pointed out that accelerating the phasing down of fossil fuels has become an important mitigation policy to maintain a maximum temperature limit of 1.5 °C. The optimal power portfolio for achieving Taiwan’s net-zero emissions by 2050 is evaluated from the perspective of sustainable development. This study is enhances the 2021 research findings of Wang et al. on the sustainable power model, incorporating homogenized cost and technical constraints for empirical analysis. The results indicated that renewable energy sources play a pivotal role in achieving net-zero emissions. Gas power generation requires careful consideration, including early decommissioning or the adoption of carbon capture and storage (CCS) technology to prevent carbon lock-in and compete with hydrogen energy technology. Notably, coal combined with CCS technology offers a viable option for a cost-effective roadmap for a decarburized power generation portfolio by 2050, serving as a reference for national planning strategies for promoting net-zero emissions.
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HARO, Kayaba, Issoufou OUARMA, Oumar SANOGO, COMPAORE Abdoulaye, Guy Christian TUBREOUMYA, Bernard NANA, Antoine BERE e Jean KOULIDIATI. "Evaluation de l’empreinte carbone d’une Installation de Stockage des Déchets Non Dangereux (ISDND) : Cas du centre traitement et de valorisation des déchets (CTVD) sis à Polesgo (Ouagadougou)". Journal de Physique de la SOAPHYS 1, n. 1 (30 dicembre 2019): C19A5–1—C19A5–5. http://dx.doi.org/10.46411/jpsoaphys.19.01.005.

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BLANFORT, V., M. DOREAU, J. HUGUENIN, J. LAZARD, V. PORPHYRE, J. F. SOUSSANA e B. TOUTAIN. "Impacts et services environnementaux de l’élevage en régions chaudes". INRAE Productions Animales 24, n. 1 (4 marzo 2011): 89–112. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2011.24.1.3239.

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Abstract (sommario):
Les interactions entre l’élevage et l’environnement sont l’objet d’un débat médiatique, sociétal et scientifique depuis les années 70. Ce débat, focalisé sur les impacts négatifs de l’élevage sur l’environnement et jusqu’ici limité aux pays développés, concerne dorénavant les pays émergents et en développement où se fera l’essentiel de l’accroissement de la production animale. Toutefois, il est désormais admis que l’élevage peut aussi produire des services écosystémiques en plus de sa fonction productive. Cette synthèse propose un bilan des impacts et des services environnementaux liés aux productions animales dans les pays du Sud et trace des pistes d’amélioration pour les élevages de ruminants, les porcs et volailles ainsi que l’aquaculture. Les changements historiques d’utilisation des terres et de certains habitats aquatiques en cours dans le monde tropical nécessitent une réflexion pour des systèmes de production plus durables. Les émissions de gaz à effet de serre concernent en grande partie les zones tropicales où les systèmes à faible productivité sont forts émetteurs par kg de lait ou de viande produite. Elles sont compensées en partie par un stockage de carbone dans les pâturages, mais les références en zone tropicale restent à préciser. L’augmentation rapide des productions animales au cours des dernières décennies est essentiellement issue de l’industrialisation de l’élevage dans de nombreux pays du Sud où les questions sur la pollution des sols, des eaux, de l’air et le traitement des effluents deviennent incontournables. Les systèmes extensifs moins productifs mais moins polluants conduisent aussi à des services environnementaux. L’élevage est fort consommateur d’eau, mais principalement d’eau «verte» liée à la production végétale. La consommation de ressources fossiles (énergie, phosphates...) s’avère fortement dépendante de l’intensification des systèmes d’élevage. Le risque d’érosion de la biodiversité animale et végétale est une menace avérée, en lien avec la déforestation et les pratiques d’élevage. Dans une discussion globale, les principaux systèmes d’élevage des pays du Sud sont évalués à l’aune de leurs performances environnementales. Des perspectives d’évolution vers des systèmes de production à plus faible impacts et intégrant des services écologiques existent notamment par la mise en place de mécanismes financiers incitatifs. Mais les priorités de lutte contre la faim et la pauvreté constituent des obstacles de taille dans de nombreux pays du sud. Elles conditionnent l’amélioration des performances environnementales à la mise en place de systèmes d’élevage assurant la réponse aux besoins alimentaires des populations et la durabilité économique et sociale indispensable aux sociétés en développement.
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Sist, Plinio, Lilian Blanc, Lucas Mazzei, Christopher Baraloto e Raphaël Aussenac. "Nouvelles connaissances sur la dynamique globale de la biomasse après exploitation en forêt nord amazonienne". BOIS & FORETS DES TROPIQUES 314, n. 314 (1 dicembre 2012): 41. http://dx.doi.org/10.19182/bft2012.314.a20489.

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Abstract (sommario):
L'article présente les effets de l'exploitation forestière sur la dynamique de la biomasse aérienne à partir des résultats issus de l'exploitation commerciale au sein de deux forêts : Cikel dans l'Est du Pará au Brésil et Paracou en Guyane française. L'objectif principal a été de comparer l'impact de ce type d'exploitation sur la régénération de la biomasse aérienne dans ces deux forêts dont les caractéristiques sont différentes en termes de structure et de croissance. Dans les deux sites, l'intensité de l'exploitation s'avère être un facteur essentiel déterminant de la perte de biomasse et le temps nécessaire à sa régénération. À Paracou, la régénération de la biomasse aérienne perdue lors des coupes d'abattage de 10 arbres par hectare prendra 45 ans et plus de 100 ans en cas d'exploitation à plus forte intensité (21 arbres par hectare). À la Cikel, la biomasse aérienne se régénérera au bout de 49 ans après exploitation à raison de 6 arbres par hectare et au bout de 87 ans après prélèvement de 8 arbres par hectare. Cette régénération prendra donc autant de temps sur les deux sites, mais avec un moindre nombre d'arbres exploités à la Cikel, les arbres abattus étant de plus grande taille avec une biomasse aérienne individuelle plus importante qu'à Paracou. Après le passage en coupe, l'étude a établi une corrélation directe de la dynamique de la biomasse aérienne avec la structure initiale de la forêt ainsi qu'avec les paramètres de la dynamique forestière : mortalité, croissance et recrutement. L'accumulation de biomasse aérienne par la croissance globale des peuplements après coupe s'avère être un paramètre clé pour le stockage net du carbone, toutefois la contribution du recrutement ne devient significative à Paracou qu'au bout de 10 ans après exploitation. Il s'agit donc de favoriser la croissance des arbres résiduels après la coupe, grâce aux traitements sylvicoles tels que l'éclaircie sélective ou l'élimination de lianes. Alors que les deux forêts sont géographiquement assez proches, leurs capacités de régénération ne sont pas identiques et, en raison de la différence significative de taille des arbres, la forêt guyanaise pourrait tolérer une plus forte intensité d'exploitation.
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THÉVENON, Marie-France, Kévin CANDELIER e Jean-François TRÉBUCHON. "Printemps et Journées internationale et mondiale des forêts, du bois et de l’eau". BOIS & FORETS DES TROPIQUES 359 (29 febbraio 2024): 3–4. http://dx.doi.org/10.19182/bft2024.359.a37458.

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Abstract (sommario):
L’équinoxe de printemps, symbole de renouveau dans plusieurs régions du monde, se célèbre en mettant souvent à l’honneur des éléments de la nature. Le printemps annonciateur de jours longs, lumière, bourgeons et fleurs, se décline à l’envi selon les pays et on l’accueille de manière festive et différente : avec des couleurs (Holi) en Inde1 et au Népal ; des feux de joie, une table et une gastronomie toute particulière pour Nowrouz1 (jour de l’an) en Asie centrale ; en admirant les fleurs de cerisier (Hanami) au Japon, et avec tant de chants, de poèmes, toutes cultures confondues. C’est aussi en cette période de l’année que l’Organisation des Nations Unies a proclamé la Journée internationale des forêts2 et la Journée mondiale de l’eau3, les 21 et 22 mars respectivement, auxquelles s’est adossée la Journée mondiale du bois soutenue par la World Wood Day Foundation4 (reconnue par l’Organisation des Nations Unies), nous rappelant ainsi le nexus entre l’eau, la forêt et le bois. Aborder les liens complexes et multiples entre eau, forêt et bois, leurs différentes facettes, les variantes et variables associées, les changements, les modèles, les prévisions et prospectives, est un travail titanesque devant agglomérer des champs de compétences immenses et variés. Ces Journées internationale et mondiale ont vocation à donner de la visibilité à des enjeux majeurs en permettant une sensibilisation du plus grand nombre via les pouvoirs publics et la société civile. Chaque année, ces Journées internationale et mondiale abordent un thème et en 2024, « Forêts et innovation : de nouvelles solutions pour un monde meilleur » côtoiera « La diversité des bois dans la Culture » et « L’eau pour la paix ». Sans eau, pas de vie, pas de forêt et pas de bois, est un poncif. L’eau est nécessaire à la germination des graines, à la croissance des arbres et autres végétaux. Les arbres produisent, entre autres, du bois : un matériau utilisé depuis des temps immémoriaux, stock de carbone pendant sa durée de vie, recyclable et biodégradable. La forêt, quant à elle, assure des fonctions écosystémiques considérables : (1) un service de production de ressources multiples ; (2) un service de régulation (des sols, de l’air, du cycle de l’eau et des températures) permettant un bon fonctionnement de l’écosystème, le maintien de la biodiversité (photos 1), le stockage de CO2 et l’atténuation du réchauffement climatique ; (3) un service sociétal et culturel7. Les forêts couvrent 4,06 milliards d’hectares et contiennent plus de la moitié du stock de carbone (dans les sols et les végétaux), et les bassins versants forestiers et zones humides fournissent 75 % de l’eau douce accessible et dont plus de la moitié de la population mondiale est tributaire (Sarre, 2019). Outre ces faits à exposer et/ou à rappeler pendant ces Journées internationale et mondiale, l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture7 (FAO) a dégagé des messages clés à transmettre. Innovations et technologies développées ces dernières années : (1) permettent d’utiliser de nouveaux moyens importants de surveillance des forêts et de communiquer et d’échanger des informations à ce sujet ; (2) sont nécessaires pour mettre un terme à la déforestation et à la dégradation des forêts, en particulier lors des incendies ; (3) donnent des moyens aux populations autochtones de cartographier et protéger des terres coutumières (photo 2) ; (4) contribuent à trouver des solutions pour la restauration des écosystèmes, afin de limiter le réchauffement climatique. De plus, la recherche relative aux produits forestiers ligneux ou non, permettra de trouver des matériaux de construction, mais aussi de nouvelles molécules, fibres et solutions pour la chimie innovante de substitution ou non. Ces messages clés, se déclineront différemment selon les zones géographiques, les interlocuteurs et le niveau décisionnel des parties prenantes. À l’innovation technologique, qu’elle soit incrémentale, transformatrice ou disruptive, il faudra ajouter des considérations politiques, de formations et de rémunérations afin que ces innovations profitent aux innovateurs, ainsi qu’aux communautés et aux acteurs qui les mettront en œuvre (Nasi, 2024). Au regard des enjeux, des innovations, des gouvernances à venir, il apparaît crucial de publier les nouvelles connaissances relevant de questions scientifiques souvent socialement vives, en adoptant une évaluation rigoureuse et impartiale (Bergandi, 2018). En les partageant librement, Bois et Forêts des Tropiques et toute son organisation contribueront sans relâche à leur transmission et à la progression certaine du savoir. Ainsi, à l’issue du cycle inexorable des saisons, le printemps prochain et ces Journées internationale et mondiale seront sans doute annonciateurs de nouveautés et de découvertes qu’il nous faudra continuer à diffuser. 1 UNESCO, Patrimoine culturel immatériel, https://ich.unesco.org/ 2 Organisation des Nations Unies, Journée internationale des forêts, https://www.un.org/fr/observances/forests-and-trees-day 3 Organisation des Nations Unies, Journée mondiale de l’eau, https://www.un.org/fr/observances/water-day 4 World Wood Day Foundation, http://www.worldwoodday.org/foundation.php 5 Unesco, Convention du patrimoine mondial, https://whc.unesco.org/fr/list/486 6 Organisation des Nations autochtones de Guyane (ONAG), https://www.ohchr.org/sites/default/files/Documents/Issues/IPeoples/EMRIP/Session13/submissions/LAC/2020-12-03-organisationdesnations-autochones-de-guayane-nag.pdf 7 Food and Agriculture Organization (FAO) of the United Nations, International Day of Forest 2024, Key messages, https://www.fao.org/international-day-of-forests/key-messages/
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Günter, Sven, Michael Weber, Bernd Stimm e Reinhard Mosandl. "Lier la sylviculture tropicale à la gestion forestière durable". BOIS & FORETS DES TROPIQUES 314, n. 314 (1 dicembre 2012): 25. http://dx.doi.org/10.19182/bft2012.314.a20487.

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Abstract (sommario):
Depuis l'émergence du concept de la " gestion durable des ressources " dans les dernières décennies du XXe siècle, les aspects écologiques, technologiques et socio-économiques constituent les piliers de la gestion forestière durable. Alors que la production de bois et de produits forestiers non ligneux (PFNL) a longtemps été l'objectif premier de la gestion forestière, la demande de services forestiers écologiques s'accroît aujourd'hui en parallèle. Cependant, les systèmes de gestion forestière tropicale ont été conçus pour la plupart il y a fort longtemps, avec pour but principal la production de bois. Cet article présente une approche en six étapes pour passer de la sylviculture tropicale classique axée sur la production de bois à des approches plus globales visant à assurer une gestion réellement durable des ressources forestières. Cet objectif est particulièrement important sous les tropiques, où la production de bois est désormais menacée par un rythme de déforestation alarmant et par l'importance accrue des ressources forestières pour assurer la subsistance des populations locales. L'augmentation des superficies forestières concurrence fortement les autres objectifs d'utilisation des terres, et l'intensification permettant d'accroître la production à l'hectare est donc une approche prometteuse pour résoudre ce problème majeur, par exemple par la mise en oeuvre des techniques sylvicoles à rotations courtes, la domestication d'essences ou l'aménagement des sites. La diversification des structures et des services forestiers est une stratégie complémentaire importante visant à remédier à la dégradation éventuelle des forêts et aux pénuries d'autres biens ou services, et de ce fait à contribuer à la gestion durable à l'échelle d'un paysage. Les échelles de gestion, temporelles et spatiales, doivent donc être adaptées aux besoins des exploitants forestiers individuels (pour la production de bois, par exemple) mais aussi à ceux de la collectivité (eau, biodiversité, stockage du carbone...). La gestion forestière durable dépend fortement de son acceptation par l'ensemble des intéressés, et les approches participatives peuvent y contribuer de façon significative. Cet article présente des exemples montrant comment l'intégration de la sylviculture et de la gestion forestière permet, en englobant tous les aspects indiqués ci-dessus, de contrer la gestion de conception purement extractive pour aboutir à une approche sylvicole moderne en termes de gestion adaptive de l'écosystème. L'autonomie des acteurs sociaux et des mécanismes de marché opérationnels pour les produits et services autres que le bois sont des éléments incontournables de la planification sylvicole moderne, mais n'ont aucune utilité pour la gestion forestière durable tant qu'ils ne s'accompagnent pas d'une solide connaissance des fonctions et processus écologiques et d'une bonne compréhension des impacts des interventions humaines. La sylviculture tropicale et la gestion durable des forêts dépendent l'une comme l'autre de la connaissance des écosystèmes et de son application pratique sur le terrain.
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Atindogbe, Gilbert, Gabin Finangnon Laly, Hospice Afouda Akpo, Arios Adjinannoukon e Noël Houédougbé Fonton. "Spatial structure and factors determining tree mortality in Beninese forest formations". International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, n. 9 (25 marzo 2021): 3060–77. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i9.8.

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Abstract (sommario):
Dead wood plays an important role in the functioning of forest ecosystems through nutrient cycles, soil fertility balance and temporary carbon storage. This research evaluates the dead wood potential, spatial structure of dead trees and factors influencing tree mortality in natural woodlands in Benin. Data were collected in eleven square plots of 10,000 m2, established in six classified forests and hunting areas of the W and Pendjari national parks. The spatial structure was investigated using Ripley's K function, and a multiple regression with variable selection allowed the identification of the biotic and abiotic factors that have an effect on dead wood density in the study areas. The density of dead wood was 32 stems/hectare, while mean quadratic diameter and basal area were 17.2 cm and 0.88 m2.ha-1, respectively. There was random and regular spatial distribution of dead trees without a positive interaction between dead and living trees, thereby pointing to fire as the main factor of tree mortality. Other factors influencing tree mortality included attacks by saproxylic animal species and other wood pests, and senescence. This study suggests that an integration of dead trees in management plans may be essential for the proper functioning of Benin's forest ecosystems. Le bois mort joue un rôle important dans le fonctionnement de l’écosystème forestier de par sa position dans les cycles de matière, le maintien de la fertilité des sols, le stockage temporaire du carbone, et par son rôle dans la structuration physique des sols. Cette recherche évalue sur la base de onze placettes carrées de 10.000 m2, installées dans six (06) forêts classées et des zones cynégétiques des parcs nationaux W et Pendjari, le potentiel en bois morts, la structure spatiale des arbres morts et les facteurs influençant la mort des arbres dans les formations naturelles du Bénin. La structure spatiale est étudiée au moyen de la fonction K de Ripley et une régression multiple avec sélection de variables a permis d’identifier les facteurs biotiques et abiotiques qui ont un effet sur la densité en bois morts dans lesdites formations. Les paramètres dendrométriques des arbres morts dans les formations naturelles étudiées sont caractérisés par avec une densité à l’hectare de 32 tiges, un diamètre quadratique moyen de 17,2 cm et une surface terrière de 0,88 m2.ha-1. La structure spatiale affiche une distribution spatiale aléatoire et régulière des arbres morts sans aucune interaction positive entre arbres morts et vivants suggérant le feu comme principal facteur de mortalité des arbres. Les autres facteurs influençant le recrutement en bois morts sont les attaques des espèces animales saproxyliques ou autres ravageurs des bois et la sénescence. L’intégration des arbres morts dans les plans aménagements est alors indispensable pour assurer un très bon fonctionnement des écosystèmes forestiers du Bénin.
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DOREAU, M., R. BAUMONT e J. M. PEREZ. "Avant-propos". INRAE Productions Animales 24, n. 5 (8 dicembre 2011): 411–14. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2011.24.5.3274.

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Abstract (sommario):
Les impacts environnementaux liés aux productions animales sont pris en considération depuisau moins deux décennies. Mais jusqu’à une date récente, ils étaient considérés comme des «dommagescollatéraux» résultant de la nécessité de nourrir la planète. Depuis le rapport de la FAO«Livestock’s long shadow» (Steinfeld et al 2006), les préoccupations environnementales liées enparticulier aux gaz à effet de serre (GES) ont pris une importance croissante auprès des acteursdes filières animales et des décideurs politiques. Elles sont désormais au centre de la réflexion surle développement de l’élevage. En témoignent des documents dépassant le cadre de l’agriculturecomme la publication des propositions du «Grenelle 2» par le gouvernement français, ou la feuillede route de l’Union Européenne pour une baisse drastique des émissions de gaz carbonique àl’échéance de 2050. En fait, le problème est planétaire, car la consommation mondiale de produitsanimaux augmente, tendance appelée à se poursuivre en raison de l’évolution démographiqueet de l’accroissement de la part des produits animaux dans l’alimentation dans les pays endéveloppement et émergents (Gerber et al 2011). La revue INRA Productions animales a publié depuis plusieurs années de nombreux articlesrelatifs aux relations entre élevage et environnement, analysées sous divers angles. Récemmentdes articles relatifs aux polluants ou aux aspects environnementaux plus globaux ont été publiésdans le cadre de trois numéros thématiques : «Porcherie verte» avec notamment des articles surles éléments à risque et les émissions gazeuses lors de la gestion des effluents (Bonneau et al2008a, b), «Les nouveaux enjeux de la nutrition et de l’alimentation du porc» avec un article surles relations entre nutrition et excrétion de polluants (Dourmad et al 2009), et «Elevage en régionschaudes» avec un article consacré aux impacts et services environnementaux (Blanfort et al2011). Des articles ont également été publiés sur la quantification des émissions de méthane parles animaux d’élevage en France (Vermorel et al 2008) et sur la modélisation des émissions deméthane chez les ruminants (Sauvant et al 2009). Enfin, les moyens de réduire les rejets porcinset avicoles par la génétique ont été analysés (Mignon-Grasteau et al 2010). A signaler aussi lenuméro spécial «Elevage bio» en 2009, qui analysait les systèmes d’élevage biologique sans toutefoisdiscuter leurs avantages au plan environnemental. La réduction des émissions de GES par l’élevage est devenue un enjeu majeur des recherchessur les systèmes d’élevage et en nutrition animale. Ce dossier composé de quatre articles estconsacré aux GES en élevage bovin en mettant l’accent sur le méthane. En effet dans la plupartdes systèmes laitiers et à viande, le méthane est le gaz à effet de serre qui contribue le plus auxémissions, exprimées en équivalent gaz carbonique, comme le montre le premier article (Dollé etal 2011) qui replace les émissions de méthane dans l’ensemble des émissions de gaz à effet deserre. Un travail considérable a été réalisé pour évaluer et comparer les systèmes français, et lesINRA Productions Animales, 2011, numéro 5situer dans un contexte plus global : depuis quelques années les émissions induites par des systèmesd’élevage très divers sont étudiées dans le monde, principalement en Europe. Le deuxièmearticle (Sauvant et al 2011) analyse les relations étroites entre la production de méthane et les fermentationsdans le rumen selon la nature du régime alimentaire, puis discute la précision des principaleséquations empiriques de prévision de la production de méthane, ainsi que des modèlesmécanistes qui ont été développés. Des voies d’amélioration sont proposées. Dans un troisièmearticle (Popova et al 2011), les mécanismes de production de méthane dans le rumen sont analysés.Un intérêt particulier est porté au rôle des Archaea méthanogènes, microorganismes qui constituentun domaine spécifique du règne vivant et qui sont les seuls à produire du méthane à partirde l’hydrogène. La compréhension des mécanismes est un élément majeur pour prévoir les effetspossibles d’une ration, d’un additif, d’une biotechnologie sur la production de méthane. Laconnaissance actuelle de ces effets est présentée dans un quatrième article (Doreau et al 2011),centré sur les résultats obtenus in vivo. Il est en effet important de confronter les annonces faitesà partir d’essais in vitro, ou d’un seul essai in vivo mené sur le court terme, aux résultats d’étudesapprofondies reposant sur une base expérimentale solide. Ce dossier dresse un bilan des recherches et de l’état des connaissances sur le méthane entérique,et mentionne les principaux leviers d’action pour réduire les émissions des trois principauxgaz à effet de serre. Une vision plus large nécessiterait le développement d’aspects complémentaires.En premier lieu, celui des émissions de méthane et de protoxyde d’azote liées aux effluents.Elles sont toutefois très mal connues et éminemment variables, comme l’ont souligné Hassounaet al (2010) qui ont développé une méthode permettant de les évaluer en bâtiments. En deuxièmelieu, l'impact des nombreuses voies permettant de réduire les émissions de protoxyde d'azote auchamp doit être évalué. Ainsi, serait nécessaire une analyse portant sur les différents moyens permettantde limiter la fertilisation azotée minérale (fertilisation «de précision», recours aux légumineuses,inhibition des réactions de nitrification/dénitrification dans les sols, meilleure gestiondu pâturage…) qui sont seulement évoqués dans le texte de Dollé et al (2011). Enfin, la séquestrationde carbone par les prairies doit être prise en compte dans l’analyse de la contribution desélevages de ruminants au réchauffement climatique. Les valeurs actuellement retenues sont probablementsous-estimées (Soussana et al 2010), mais les résultats récents mettent en évidence unetrès grande variabilité de ce stockage de carbone, liée non seulement au type de végétation et auxconditions pédologiques, mais aussi, entre autres, au type d’exploitation par les animaux et auxaléas climatiques (Klumpp et al 2011). Le réchauffement climatique est actuellement considéré par les médias et les décideurs politiquescomme l’urgence en termes de protection de notre environnement. Cela ne doit pas faireoublier qu’il est nécessaire de prendre en compte simultanément l’épuisement de certaines ressourcescomme l’énergie fossile et les phosphates, la raréfaction des réserves en eau, la compétitionpour les surfaces agricoles, et la pollution de l’air, des sols et de l’eau par différentes moléculesminérales et organiques. L’analyse des impacts environnementaux, en tant que composantede la durabilité des systèmes d’élevage, doit donc être multifactorielle et prendre également encompte les services environnementaux et sociétaux de l’élevage, une activité qui fait vivre plusd’un milliard d’habitants de notre planète.
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Ewetola, I. A., K. O. Adebayo, A. A. Amisu, S. O. Jimoh, P. A. Dele, J. A. Olanite e O. M. Arigbede. "Chemical composition of hay produced from three different drying techniques". Nigerian Journal of Animal Production 48, n. 3 (6 marzo 2021): 142–53. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i3.2974.

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Abstract (sommario):
Sporadic change in weather condition has posed serious threat to hay production which has been considered to be the simplest means of conserving forage during the period of abundance. In order to maximize opportunity of ensuring that forage is conserved with less weather dependent technique, an experiment was conducted to evaluate chemical composition of hay produced from three different drying techniques stored for a period of 90 days in South-west Nigeria. The experiment comprises three factors namely: Four fertilizer types, two grass species and three drying techniques forming 4 x 2 x 3 factorial arrangement, having 24 total treatments combinations replicated thrice. The fertilizer types were N.P. K. 20:10:10 (NPK), Aleshinloye organo-mineral (AOM) and poultry manure (PM) and a control. These were applied at the rate of 120 kgN/ha based on their nitrogen content. The grasses were Panicum maximum (Ntchisi) and Andropogon tectorum which were harvested at 8 weeks after cutting back (8WAC) in early dry season period in the year 2016. The three drying techniques were oven drying, solar drying and conventional drying. The results presented shows that solar dried hay were observed to produce the highest significant (P<0.05) crude protein (CP) (9.50, 8.81 and 8.41%) at 0, 6 and 12 weeks after storage (WAS), respectively. Meanwhile, the highest (P<0.05) ash (9.77 %) was observed in conventional dried hay at 6 WAS. The highest (P<0.05) ether extract (EE) (5.92%) was obtained in conventional dried hay at 12 WAS. The highest (P<0.05) Non Fibre Carbohydrate (NFC) values (23.35, 29.19 and 44.41%) were observed in conventional dried hay, while the lowest (P<0.05) NFC values (10.42, 25.12 and 37.55%) were obtained in solar dried hay at 0, 6 and 12 WAS, respectively. The highest (P<0.05) Neutral Detergent Fibre (NDF) (58.08 and 48.83%) were observed in oven and solar drying techniques at 0 and 6 WAS respectively. Conventional dried hay had the highest ADL (14.58%) at 12 WAS. The highest (P<0.05) hemicellulose (16.17 and 24.58%) were recorded in solar dried hay at 0 and 6, WAS respectively. In conclusion, solar drying technique produced best hay having the highest CP content throughout the sampling periods, although the CP content was decreased as the storage progresses, but it still retained the CP content beyond the recommended rate for optimum animal performance. Les changements sporadiques dans les conditions météorologiques ont posé une grave menace à la production de foin, qui a été considérée comme le moyen le plus simple de conserver le fourrage pendant la période d'abondance. Afin de maximiser les possibilités de s'assurer que le fourrage est conservé avec une technique moins dépendante des conditions météorologiques, une expérience a été menée pour évaluer la composition chimique du foin produite à partir de trois techniques de séchage différentes stockées pendant une période de 90 jours dans le sud-ouest du Nigéria. L'expérience comprend trois facteurs: quatre types d'engrais, deux espèces d'herbe et trois techniques de séchage formant 4 x 2 x 3 arrangement factorial, ayant 24 combinaisons totales de traitements répliquées trois fois. Les types d'engrais étaient N.P. K. 20:10:10 (le 'NPK'), Aleshinloye organo-minéral (le 'AOM') et fumier de volaille (le 'PM') et un contrôle. Ceux-ci ont été appliqués à un taux de 120 kgN/ha en fonction de leur teneur en azote. Les graminées étaient panicum maximum (Ntchisi) et Andropogon tectorum qui ont été récoltées à 8 semaines après la coupe (8WAC) au début de la saison sèche en 2016. Les trois techniques de séchage étaient le séchage au four, le séchage solaire et le séchage conventionnel. Les résultats présentés montrent que le foin séché solaire a été observé pour produire la protéine brute (CP) la plus importante (P<0.05) (CP) (9.50, 8.81 et 8.41 %) 0, 6 et 12 semaines après le stockage (WAS), respectivement. Pendant ce temps, les cendres les plus < (P<0.05) (9.77 %) a été observé dans le foin séché conventionnel à 6 WAS. Extrait d'éther (P<0.05) le plus élevé (EE) (5.92 %) a été obtenu dans le foin séché conventionnel à 12 WAS. Les valeurs les plus élevées (P<0.05) non fibre de carbone (NFC) (23.35, 29.19 et 44.41 %) ont été observées dans le foin séché conventionnel, tandis que les valeurs NFC les plus faibles (P<0.05) (10.42, 25.12 et 37.55 %) ont été obtenus dans le foin séché solaire à 0, 6 et 12 WAS, respectivement. Fibre détergente neutre (NDF) la plus élevée (P<0.05) (NDF) (58.08 et 48.83 %) ont été observés dans les techniques de séchage au four et solaire à 0 et 6 WAS respectivement. Le foin séché conventionnel avait l'ADL le plus élevé (14.58%) à 12 WAS. L'hémicellulose la plus élevée (P<0.05) (16.17 et 24.58 %) ont été enregistrés dans le foin séché solaire à 0 et 6, WAS respectivement. En conclusion, la technique de séchage solaire a produit le meilleur foin ayant la teneur en CP la plus élevée tout au long des périodes d'échantillonnage, bien que la teneur en CP ait diminué au fur et à mesure que l'entreposage progresse, mais elle a tout de même conservé la teneur en CP au- delà du taux recommandé pour une performance optimale des animaux.
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Czernichowski-Lauriol, Isabelle. "Captage et Stockage du CO2 : le puits de carbone géologique". Comptes Rendus. Géoscience, 10 settembre 2020, 1–17. http://dx.doi.org/10.5802/crgeos.20.

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