Articoli di riviste sul tema "Bovins de boucherie – Environnement"

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Lavoie, Anne-Marie. "Les bovins de boucherie". Meta: Journal des traducteurs 30, n. 4 (1985): 359. http://dx.doi.org/10.7202/003426ar.

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Rekwot, Z. G., O. Oyinbo e N. P. Achi. "Poverty reduction among beef cattle value chain actors in North-West zone of Nigeria". Nigerian Journal of Animal Production 48, n. 6 (18 gennaio 2022): 363–73. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i6.3324.

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Abstract (sommario):
This paper provides a valuable guide in defining interventions relevant for addressing various actors and determining the expected poverty reducing effects that such interventions can produce in the beef cattle value chain. The objective of this paper was to provide empirical information on the relationship between income generated from beef cattle value chain and poverty status of value chain actors in Nigeria. The study was conducted in Kaduna, Kano and Katsina states,twelve villages were purposively selected (two from each LGA) and one cattle market in each of the six LGAs was randomly selected to give a sample of six cattle markets. A multi-stage sampling technique was employed in the selection of the respondents. A sample size of 300 value chain actors consisting of 120 beef cattle farmers, 60 beef cattle traders, 60 raw beef marketers and 60 processed beef marketers was utilized in thestudy. The study made use of primary data, which were obtained through the use of computeraided personal interview (CAPI) software on tablets. Analysis of the data was done using descriptive statistics, Foster-Greer-Thorbecke's (FGT) weighted poverty index and Pearson correlation analysis. The results of the poverty profile of farmers, traders, raw and processed beef cattle marketers in the study area showed that 55%, 32%, 40% and 38% of the raw and processed beef marketers respectively constituted the share of the population that cannot afford to buy a basic basket of goods (food and non-food) equivalent to the poverty line of N75, 600. The depth of poverty of poor beef cattle traders (0.08) was lower than that of the poor beef cattle farmers (0.17), raw beef marketers (0.10) and processed beef marketers (0.14). The degree of poverty among the poor beef cattle traders given by the estimated severity of poverty (0.03) was equally lower than that of the poor beef cattle farmers (0.08), raw beef marketers (0.04) and processed beef marketers (0.07). Participation in beef cattle value chain activities as given by the income generated is strongly associated to the likelihood of poverty reduction among the value chain actors as indicated by the correlation coefficients of -0.53, -0.66., -0.64 and -0.71 between income generated from beef cattle value chain and poverty status of the cattle farmers, traders, raw beef marketers and processed beef marketers respectively. It is recommended that beef value chain actors should take advantage of the huge potential investment opportunities in beef cattle value chain activities. Ce document fournit un guide précieux pour définir les interventions pertinentes pour s'adresser à divers acteurs et déterminer les effets escomptés de réduction de la pauvreté que de telles interventions peuvent produire dans la chaîne de valeur des bovins de boucherie. L'objectif de cet article était de fournir des informations empiriques sur la relation entre les revenus générés par la chaîne de valeur des bovins de boucherie et le statut de pauvreté des acteurs de la chaîne de valeur au Nigeria. L'étude a été menée dans les États de Kaduna, Kano et Katsina, douze villages ont été choisis à dessein (deux dans chaque LGA) et un marché aux bestiaux dans chacune des six LGA a été sélectionné au hasard pour donner un échantillon de six marchés aux bestiaux. Une technique d'échantillonnage à plusieurs degrés a été utilisée pour la sélection des répondants. Un échantillon de 300 acteurs de la chaîne de valeur comprenant 120 éleveurs de bovins de boucherie, 60 commerçants de bovins de boucherie, 60 commerçants de bœuf cru et 60 commerçants de bœuf transformé a été utilisé dans l'étude. L'étude a utilisé des données primaires, qui ont été obtenues grâce à l'utilisation d'un logiciel d'entretien personnel assisté par ordinateur (EPAO) sur des tablettes. L'analyse des données a été effectuée à l'aide de statistiques descriptives, de l'indice de pauvreté pondéré de Foster-Greer-Thorbecke (FGT) et de l'analyse de corrélation de Pearson. Les résultats du profil de pauvreté des agriculteurs, commerçants, commerçants de bœuf cru et transformé dans la zone d'étude ont montré que 55%, 32%, 40% et 38% des commerçants de bœuf cru et transformé constituaient respectivement la part de la population qui ne peut pas se permettre d'acheter un panier de base de biens (alimentaires et non alimentaires) équivalent au seuil de pauvreté de N75, 600. La profondeur de la pauvreté des commerçants pauvres de bovins de boucherie (0,08) était inférieure à celle des éleveurs pauvres de bovins de boucherie (0,17) , les commerçants de bœuf cru (0,10) et les commerçants de bœuf transformé (0,14). Le degré de pauvreté parmi les commerçants pauvres de bovins de boucherie donné par la gravité estimée de la pauvreté (0,03) était également inférieur à celui des éleveurs pauvres de bovins de boucherie (0,08), des commerçants de bœuf cru (0,04) et des commerçants de bœuf transformé (0,07). La participation aux activités de la chaîne de valeur des bovins de boucherie telle que donnée par les revenus générés est fortement associée à la probabilité de réduction de la pauvreté parmi les acteurs de la chaîne de valeur, comme indiqué par les coefficients de corrélation de -0,53, -0,66., -0,64 et -0,71 entre les revenus générés par chaîne de valeur des bovins de boucherie et statut de pauvreté des éleveurs de bétail, des commerçants, des commerçants de bœuf cru et des commerçants de bœuf transformé respectivement. Il est recommandé que les acteurs de la chaîne de valeur du bœuf tirent parti des énormes opportunités d'investissement potentielles dans les activités de la chaîne de valeur du bœuf
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Willemart, J. P., e J. C. Bouffault. "Anabolisants et bovins de boucherie I. Bœufs à l’herbe". Bulletin de l'Académie Vétérinaire de France, n. 1 (1986): 57. http://dx.doi.org/10.4267/2042/64750.

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Willemart, J. P., J. C. Bouffault e L. Egron. "Anabolisants et bovins de boucherie : II. Bœufs à l’auge". Bulletin de l'Académie Vétérinaire de France, n. 2 (1986): 179. http://dx.doi.org/10.4267/2042/64769.

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Belbis, Guillaume. "Importance de Mycoplasma bovis dans les affections respiratoires en fonction des systèmes de production". Le Nouveau Praticien Vétérinaire élevages & santé 14, n. 51 (settembre 2022): 20–24. http://dx.doi.org/10.1051/npvelsa/2022052.

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Abstract (sommario):
Mycoplasma bovis est une bactérie fréquemment impliquée dans les troubles respiratoires des jeunes bovins. Si elle peut à elle seule conduire à des lésions pulmonaires, elle est souvent considérée comme un agent potentialisateur, favorisant le développement d’autres agents secondaires. Son impact diffère selon les systèmes de production : des études de séroprévalence montrent une importance modérée mais variable en système naisseur, alors que son impact est plus fort dans les ateliers d’engraissement de veaux de boucherie.
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Willemart, J. P., e J. C. Bouffault. "Anabolisants et bovins de boucherie Interrelations de divers facteurs avec les résultats". Bulletin de l'Académie Vétérinaire de France, n. 1 (1985): 53. http://dx.doi.org/10.4267/2042/65028.

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FANUEL, Pascal. "POINTS CRITIQUES D'UNE MÉTAPHYLAXIE RAISONNÉE LORS DE TROUBLES RESPIRATOIRES DES JEUNES BOVINS DE BOUCHERIE". Bulletin de l'Académie vétérinaire de France, n. 1 (2012): 21. http://dx.doi.org/10.4267/2042/48112.

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Méniel, Patrice. "La boucherie et les sacrifices bovins en Gaule aux IIe et Ier siècles avant notre ère". Food and History 5, n. 1 (gennaio 2007): 227–47. http://dx.doi.org/10.1484/j.food.1.100192.

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Knopf, L., C. Komoin Oka, B. Betschart, B. Gottstein e Jakob Zinsstag. "Paramètres de production et de santé en relation avec le parasitisme chez les bovins N’Dama villageois en savane guinéenne de la Côte d’Ivoire". Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 57, n. 1-2 (1 gennaio 2004): 95. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9912.

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Abstract (sommario):
La savane guinéenne au centre de la Côte d’Ivoire est une zone propice à l’élevage bovin. Elle est abondante en fourrage durant toute l’année et la présence de la mouche tsé-tsé y favorise l’élevage de cheptel trypanotolérant. Les connaissances de la productivité et de la santé globale des bovins N’Dama dans les conditions d’élevage traditionnel en savane humide de la Côte d’Ivoire sont limitées. Le présent travail a eu pour objectif d’étudier les paramètres de productivité (démographie, poids vif, état de santé général) des bovins N’Dama locaux pour l’établissement d’une base de données sur les paramètres de production et de santé, en incluant les aspects d’ectoparasitisme et d’endoparasitisme, dans les conditions d’élevage traditionnel dans cette zone. Dans une étude longitudinale, trois troupeaux villageois sélectionnés au hasard ont été suivis pendant une période de 20 mois. Le taux moyen de vêlage annuel a été de 52 ± 1 p. 100 (moyenne et écart-type) et le taux de mortalité cumulatif annuel des veaux âgés de moins d’un an a été de 19 ± 6 p. 100. Le poids moyen à la naissance a été de 16,5 ± 0,9 kg pour les mâles et 15,7 ± 1,1 kg pour les femelles. Les femelles adultes ont atteint en moyenne un poids de 198 ± 5 kg. Aucune corrélation significative n’a été établie entre le poids vif de jeunes bovins N’Dama et la charge de tiques et de strongles gastro-intestinaux. Les bovins N’Dama peuvent être productifs dans cet environnement difficile, mais la production locale de lait et viande reste insuffisante par rapport à la demande des consommateurs. Sur la base des données recueillies, les auteurs ont simulé le développement potentiel de l’élevage de bovins N’Dama dans cette zone sur une période de 10 ans, avec en option l’accroissement de la production laitière ou de viande
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VERMOREL, M. "Emissions annuelles de méthane d’origine digestive par les ovins, les caprins et les équins en France". INRAE Productions Animales 10, n. 2 (7 aprile 1997): 153–61. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1997.10.2.3991.

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Abstract (sommario):
Les résultats des mesures de production journalière de méthane des principaux types d’herbivores à l’aide de chambres respiratoires ont permis de modéliser les émissions de méthane selon l’espèce, le stade physiologique, la composition du régime et le niveau d’alimentation. Après l’évaluation des quantités annuelles de méthane émises par les bovins en France, présentée dans un article précédent, celles émises par les ovins, les caprins et les équins ont été calculées pour chaque type d’animal à partir des apports alimentaires recommandés en tenant compte de la nature des fourrages et de la composition des régimes ingérés à chaque période de l’année. Les émissions annuelles moyennes de méthane d’une brebis allaitante (16,7 m3) et d’une brebis laitière (17,8 m3) sont voisines de celle d’une chèvre (22,9 m3). Elles représentent respectivement 13 % de celles d’une vache allaitante ou d’une vache laitière. Celles d’une agnelle et d’une chevrette d’élevage (8 m3) sont voisines. Celle d’un agneau de boucherie élevé en bergerie avec un régime riche en aliments concentrés est le tiers de celle (2,9 m3) d’un agneau de boucherie élevé à l’herbe. L’émission de méthane par kg de lait produit est en moyenne de 77 litres pour une brebis, 38 litres pour une chèvre et 30 litres pour une vache laitière. Par kg de carcasse produit, l’émission de méthane est en moyenne de 60 litres pour les agneaux des races laitières sevrés précocement et de 1160 litres pour les agneaux élevés sous la mère, contre 300, 580 et 1 040 litres pour les taurillons des races laitières, des races à viande et les boeufs de 40 mois (y compris la production de méthane de la mère dans le cas des races à viande). Par kg d’aliment consommé, la production de méthane des équins est 3 à 4 fois plus faible que celle des ruminants. C’est pourquoi leurs émissions annuelles de méthane sont en moyenne de 23 à 27 m3 pour les chevaux de sport et de loisir, de 42 m3 pour les juments de trait reproductrices et de 14 à 20 m3 pour les poneys et ponettes. Ainsi, les émissions totales annuelles de méthane par les herbivores s’élèvent à un peu plus de 2 milliards de m3, dont 91 % par les bovins, 7 % par les ovins, 1 % par les caprins et 0,6 % par les équins.
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LIÉNARD, G., D. BÉBIN, M. LHERM e P. VEYSSET. "Modes de récolte des fourrages et systèmes d’élevage. L’exemple des exploitations de la zone Charolaise". INRAE Productions Animales 11, n. 5 (6 luglio 2020): 387–95. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1998.11.5.3967.

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Abstract (sommario):
L’article présente les systèmes de récolte des fourrages d’un groupe d’éleveurs de bovins allaitants charolais du Centre France, dans lesquels l’utilisation de l’herbe est dominante. Huit combinaisons sont identifiées, du foin seul à l’association des quatre modes de récolte : foin, ensilage d’herbe classique ou enrubanné et ensilage de maïs. Une cohérence apparaît avec le choix du système d’élevage des bovins mâles et femelles et avec les niveaux d’intensification des surfaces fourragères et du troupeau, en tenant compte de la main d’oeuvre et de la surface disponible, mais aussi de la localisation de l’exploitation et de son environnement associatif. Le foin reste toujours présent, conforté par l’utilisation des presses à balles rondes. L’enrubannage, apparu en 1989, revêt une importance croissante et remplit plusieurs types de fonction selon qu’il est associé ou pas à l’ensilage d’herbe classique et/ou à l’ensilage de maïs. Il peut remplacer celui-ci dans certaines exploitations. De nouvelles techniques comme les presses à haute densité pour le foin se font jour, entraînant de nouvelles interrogations. Les éleveurs doivent en permanence arbitrer entre des innovations technologiques sans cesse renouvelées et leurs objectifs qui sont de plus en plus multiples.
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CANARIO, L., S. MIGNON-GRASTEAU, M. DUPONT-NIVET e F. PHOCAS. "Génétique de l’adaptation comportementale des animaux aux conditions d’élevage : le cas des productions bovines, porcines, avicoles et aquacoles". INRAE Productions Animales 26, n. 1 (10 aprile 2013): 35–50. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.1.3134.

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Abstract (sommario):
L’amélioration génétique des caractères de production peut engendrer des modifications du comportement des animaux. La capacité d’adaptation des animaux aux changements qui s’opèrent dans leur environnement peut contribuer au maintien de hauts niveaux de production dans une large gamme de conditions d’élevage. Il pourrait donc être opportun d’intégrer des critères de comportement dans les programmes d’amélioration génétique. Cette synthèse fait le point sur les connaissances génétiques (héritabilités et gènes ou QTL) du comportement des bovins, porcins, volailles et des poissons, ainsi que sur les corrélations génétiques connues avec les caractères de production. Les stratégies d’amélioration génétique diffèrent entre ces quatre productions. Il est nécessaire d’enregistrer l’activité alimentaire dans toutes les productions, d’améliorer la capacité de locomotion des poulets de chair et des bovins laitiers, d’améliorer la docilité des bovins allaitants et éventuellement de réduire l’agressivité des porcins, tout en favorisant le comportement maternel des animaux. Chez les poules pondeuses, l’amélioration doit concerner en priorité la sensibilité face à des modifications soudaines de l’environnement physique car des comportementaux sociaux mal adaptés peuvent en résulter. Les difficultés associées à la mise en oeuvre de telles stratégies relèvent du fait que de la variabilité entre populations ou entre lignées existe et que la relation entre réactivité en conditions expérimentales et en conditions d’élevage commercial est généralement inconnue. Des interactions génotype – milieu influencent l’expression du comportement, mais elles sont très rarement évaluées. Ces points doivent être étudiés avant la prise en compte de caractères comportementaux dans les programmes d’amélioration génétique.
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MÉNISSIER, F., e J. BOUIX. "L’amélioration génétique en France : le contexte et les acteurs - Les bovins et ovins producteurs de viande". INRAE Productions Animales 5, HS (29 dicembre 1992): 11–23. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1992.5.hs.4254.

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Abstract (sommario):
Les bovins et ovins à viande jouent un rôle majeur dans les grands équilibres entre production, environnement et activité en raison de leurs caractéristiques biologiques et zootechniques. La diversité de leurs systèmes d’exploitation implique des objectifs de sélection définis par rapport aux aptitudes et régulations biologiques sous-jacentes, ainsi que des programmes de sélection adaptés à cette complexité et ses incertitudes. La croissance musculaire avec ses composantes quantitatives et qualitatives, et les qualités maternelles mettant en jeu des effets génétiques directs et maternels, sont ainsi les axes dominants de cette sélection des ruminants à viande. Cette sélection est mise en oeuvre à travers des outils et programmes de sélection diversifiés mais cohérents, conçus à partir des connaissances biologiques et des méthodologies génétiques disponibles.
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Maillard, Jean-Charles, I. Congo, A. Bassinga e J. F. Cuveillier. "Immunogénétique du taurin Baoulé en pays Lobi (Burkina Faso). I. Environnement de cette population trypanotolérante". Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 45, n. 1 (1 gennaio 1992): 63–68. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.8960.

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Abstract (sommario):
L'étude a porté sur 1016 bovins de race taurine Baoulé (Bos taurus) réputée "trypanotolérante". Des enquêtes entomologiques, parasitologiques et immunologiques ont permis de vérifier que les pressions glossiniennes et trypanosomiennes étaient réelles et d'importance variable selon les différents écosystèmes rencontrés. Des données socio-économiques, épidémiologiques, thérapeutiques et zootechniques confirment que cette population bovine est fortement trypanorésistante. Ce caractère a un déterminisme génétique mais il est entretenu et lié à l'intensité de la pression sélective. Cette population a fait l'objet de recherches immunogénétiques dans plusieurs systèmes afin de déterminer sa situation génétique, dont l'équilibre permettrait alors de la considérer comme un "berceau" homogène de la race taurine Baoulé (courtes cornes), et de mettre en évidence d'éventuels marqueurs caractérisant cette race et/ou en corrélation avec les différentes données pathologiques et zootechniques recueillies. Ces résultats feront l'objet d'articles ultérieurs.
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Knapp, Émilie. "Analyse du liquide ruminal en pratique : techniques, analyses, interprétations". Le Nouveau Praticien Vétérinaire élevages & santé 14 (novembre 2022): 90–97. http://dx.doi.org/10.1051/npvelsa/2023011.

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Abstract (sommario):
La santé et la capacité de digestion du rumen sont les points-clés de l’efficience alimentaire et de la durabilité des exploitations (environnement, économique et social). La dynamique et l’interaction du rumen avec l’animal et son environnement (ration, éleveur et bâtiments) sont complexes et tournées vers une recherche constante d’un équilibre et d’une certaine stabilité des conditions physico-chimiques du rumen afin d’y maintenir la vie. Les effets néfastes des dysfonctionnement du rumen sur les ­performances zootechniques ainsi que sur la santé des bovins sont bien connus. Cependant, le diagnostic de ce dysfonctionnement n’est pas toujours aisé à cause de la capacité d’adaptation variable d’une part entre les animaux et, d’autre part entre les troupeaux. Les conséquences d’un dysfonctionnement ruminal sont souvent variables et subcliniques. Le prélèvement de jus de rumen est donc un examen complémentaire intéressant dans le diagnostic complexe des pathologies métaboliques subcliniques et chroniques comme la SARA. Le protocole de prélèvement (méthode, nombre et types d’animaux) est essentiel à la réalisation d’un bon diagnostic. En exploitation, il est directement possible d’analyser macroscopiquement les échantillons, de mesurer le pH, d’observer les protozoaires au microscope ainsi que d’approcher la fonction bactérienne grâce à la mesure du potentiel redox. L’interprétation des résultats ainsi que les solutions apportées seront à remettre dans le contexte de l’exploitation.
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LIENARD, G., M. LHERM, M. C. PIZAINE, J. Y. LE MARECHAL, B. BOUSSANGE e J. F. BELARD. "Adaptation des élevages de bovins allaitants. Références sur 10 ans (1989-1999) d’un groupe d’éleveurs du Limousin". INRAE Productions Animales 15, n. 4 (15 settembre 2002): 273–91. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2002.15.4.3708.

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Abstract (sommario):
L’étude présente l’évolution adaptative d’un échantillon constant d’exploitations d’élevage de bovins allaitants en race Limousine, sur 10 années. Cette période est particulièrement mouvementée, car elle comprend les quatre dernières années précédant la première réforme de la PAC, les trois années de sa mise en place, la première crise de l’ESB et les deux années de rétablissement qui suivirent. Cinq situations sont représentées dans l’échantillon : i/ des élevages Naisseurs vendant leurs veaux en broutards de 7 à 9 mois, et pour certains des reproducteurs mâles et femelles, ceci dans deux régions différant par l’altitude et les potentialités agronomiques, le Plateau de Millevaches (700-800 m) et la Moyenne Corrèze (300-600 m) - ii/ des Naisseurs engraissant la totalité de leurs bovins, mâles, génisses et vaches, dans des zones se prêtant mieux aux cultures et au maïs fourrage. L’étude est réalisée dans une optique de références, pouvant servir de repères pour le futur, déjà engagé par la mise en place de la deuxième réforme de la PAC (Agenda 2000) et l’irruption de la deuxième crise de l’ESB en octobre 2000, qui se prolonge. L’analyse met en évidence l’excellente aptitude à la production de viande de la race, à la fois par sa bonne productivité en veaux et sa capacité à produire des bovins de boucherie d’âges très variés, dès 11 à 12 mois, ce qui permet des adaptations rapides aux changements de marché. L’étude montre aussi la grande diversité des systèmes de conduite possibles permettant la mise en valeur des territoires soit dans une optique d’occupation d’un espace menacé d’abandon - c’est le cas des zones d’altitude - soit dans un objectif de maintien d’un haut niveau d’emploi grâce à une intensification des troupeaux et des sols qui peut être menée avec des charges très contenues, sauvegardant une forte autonomie fourragère tout en restant éloigné des risques de pollution des eaux. La présentation des trajectoires d’évolution de chaque exploitation permet seule de mettre en lumière le rôle prépondérant des aspects humains et familiaux, notamment l’âge de l’éleveur et les perspectives de succession à plus ou moins long terme, pour les décisions de développement, la croissance des troupeaux, leur amélioration génétique, les investissements et l’endettement. L’adaptation au nouveau contexte créé par la deuxième réforme de la PAC et la deuxième crise de l’ESB est discutée, avec le maintien de l’installation des jeunes comme enjeu majeur pour l’avenir.
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VEISSIER, I. "Intérêts de l’analyse comportementale dans les études de bien-être : le cas des veaux de boucherie". INRAE Productions Animales 9, n. 2 (17 aprile 1996): 103–11. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1996.9.2.4039.

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Abstract (sommario):
Nous partons du principe que le bien-être d’un individu est satisfait s’il peut s’adapter à son environnement. Cette condition est respectée quand l’individu peut satisfaire ses besoins sans souffrir ou s’épuiser. Dans ce domaine, où il est indispensable d’éviter l’anthropomorphisme, le rôle du scientifique est d’évaluer les besoins de l’animal et de proposer des mesures objectives de son adaptation. Ces mesures peuvent d’être d’ordre sanitaire, zootechnique, neuro-endocrinien et comportemental. Les critères comportementaux présentent l’avantage d’être très sensibles et spécifiques et de varier avec l’intensité de la contrainte imposée à l’animal. Ils permettent de prévenir l’apparition de troubles cliniques (les rythmes d’activité sont modifiés avant l’état sanitaire ou la production) et de déceler de faibles variations (la réactivité peut augmenter lorsque l’environnement est pauvre sans que les critères physiologiques varient). Les indices comportementaux sont spécifiques : ils renseignent sur la nature de la contrainte. Ainsi les postures de repos renseignent sur la place allouée à l’animal, et les activités orales non nutritives sur le manque d’activité. Enfin, dans certains cas, la fréquence d’un comportement est liée à l’intensité de la contrainte. Cependant, l’interprétation d’un ensemble d’indicateurs - comportementaux et autres - permet seule de rendre compte des sollicitations de l’organisme. Ces aspects sont illustrés à partir du modèle du veau chez qui les contraintes les plus marquantes sont : le manque de place, l’alimentation uniquement lactée et la restriction des contacts sociaux.
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Lanotte, Mickaël, Marine Durif, Jenny Allegra e Jean-Pierre Lacombe. "Zoonoses transmises par les bovins et leur environnement évaluation du risque dans une entreprise de commerce de bestiaux". Archives des Maladies Professionnelles et de l'Environnement 79, n. 3 (maggio 2018): 225. http://dx.doi.org/10.1016/j.admp.2018.03.016.

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Lachiche, Caroline. "Les équidés mutilés de la Grande Guerre". Revue d'archéologie contemporaine N° 2, n. 1 (23 ottobre 2023): 159–73. http://dx.doi.org/10.3917/raco.002.0159.

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Abstract (sommario):
Pendant la Première Guerre mondiale, près de huit millions de chevaux, d’ânes et de mulets ont été utilisés comme moyens de traction et de communication dans l’effort de guerre. Plus d’un million d’entre eux ont perdu la vie, victimes de l’artillerie, des attaques chimiques, de la maladie ou de la faim. Les sites archéologiques du Châtelet-sur-Retourne, de Neufilze et de Juniville, situés dans le sud du département des Ardennes en France, révèlent des dépôts d’animaux liés à la Première Guerre mondiale. Au Châtelet-sur-Retourne, des fouilles ont permis de découvrir un aérodrome allemand ainsi que plusieurs fosses contenant des restes de boucherie provenant des premières découpes réalisées sur place par des professionnels. À Neuflize, des structures telles que des cratères d’obus et un abri souterrain témoignent de l’occupation pendant le conflit. Enfin, à Juniville, des fosses ont été creusées pour enterrer plusieurs carcasses d’équidés et de bovins. L’analyse des ossements a permis de caractériser les animaux découverts, notamment leur taille, leur âge et leur état de santé. Des traces de découpe sur les os suggèrent que certaines parties ont été prélevées probablement pour l’alimentation des troupes. Les résultats fournissent alors des informations précieuses sur les conséquences de la guerre et sur les conditions de vie des équidés ainsi que sur celles des soldats.
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Bourguet, Cécile, Véronique Deiss e Claudia Terlouw. "Comprendre la manière dont l’animal perçoit et évalue son environnement pour réduire son stress en abattoir : exemple chez les bovins". Bulletin de l'Académie Vétérinaire de France, n. 1 (2016): 12. http://dx.doi.org/10.4267/2042/60107.

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Tawah, C. L., D. A. Mbah, M. B. Enoh e O. Messiné. "Performances de veaux croisés taurins x zébus Gudali allaités artificiellement dans la zone tropicale montagneuse du Cameroun". Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 52, n. 1 (1 gennaio 1999): 65–70. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9703.

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Abstract (sommario):
Les effets du génotype et du sexe du veau, de l’année de naissance, de l’âge de la vache au vêlage, de l’âge du veau au sevrage et de la date de naissance du veau sur le poids à la naissance, le gain moyen quotidien avant sevrage, le poids au sevrage et le poids au sevrage ajusté ont été étudiés. Ces données ont été obtenues à partir de veaux aux trois-quarts-de-sang Montbéliard (M3G1) et aux trois-quarts-de-sang Holstein (H3G1) dans la zone tropicale montagneuse du Cameroun. Les effets du génotype du veau, de l’année de naissance et de l’âge de la vache au sevrage ont eu une influence significative sur les caractères de croissance et le poids au sevrage. Les veaux H3G1 ont été significativement plus lourds de 10% que les veaux M3G1 au sevrage. Comme prévu, les veaux mâles avaient tendance à être plus lourds à la naissance et au sevrage que les femelles du même âge. Toutefois, ces différences n’étaient pas statistiquement significatives. Par ailleurs, cette étude suggère que la génétique (génotype) et la gestion (âge de la mère et année de naissance du veau) devraient être prises en compte conjointement afin d’optimiser la croissance des bovins laitiers issus de croisements dans cet environnement.
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Ebangi, A. L., G. J. Erasmus, C. L. Tawah e D. A. Mbah. "Progrès génétiques pour la croissance dans une expérience de sélection portant sur deux races bovines bouchères, pure et synthétique, dans un environnement tropical". Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 55, n. 4 (1 aprile 2002): 305. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9818.

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Abstract (sommario):
Des données recueillies entre 1968 et 1988 sur les bovins de la Station zootechnique et de recherche de Wakwa, à Ngaoundéré au Cameroun, au cours d’une expérience de sélection portant sur une race pure (Goudali) et une race synthétique (Wakwa) ont été analysées avec des procédures statistiques de modèles mixtes. L’estimation du progrès génétique a montré que les tendances moyennes annuelles génétiques directes étaient positives et significatives (p < 0,01) pour le gain de poids moyen quotidien avant sevrage, le poids à la naissance, le poids au sevrage, le poids à un an et le poids à dix-huit mois chez les deux races. Les tendances annuelles des effets maternels correspondant à ces caractères, à l’exception du gain de poids moyen quotidien avant sevrage chez les Goudali et du poids à dix-huit mois chez les Wakwa, étaient significatives (p < 0,05) mais négatives. La différence entre les réponses directes correspondantes chez les Goudali et les Wakwa n’était pas significative. En conclusion, l’amélioration génétique par sélection des caractères de croissance est possible dans un environnement tropical difficile, aussi bien chez la race synthétique que chez la race locale. L’antagonisme génétique entre les effets génétiques directs et maternels est troublant et nécessite des études plus approfondies.
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Ebangi, A. L., G. J. Erasmus, D. A. Mbah, C. L. Tawah e O. Messiné. "Facteurs affectant les performances de croissance chez les bovins à viande de pure race Goudali et croisés Wakwa dans un environnement tropical". Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 55, n. 2 (1 febbraio 2002): 149. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9835.

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Abstract (sommario):
Des données relatives aux performances présevrage et postsevrage de veaux de race pure Goudali et demi-sang Wakwa ont été collectées au Centre de recherche agricole pour le développement de Wakwa, Ngaoundéré, Cameroun. Ces données ont été analysées à l’aide de procédures de modèle mixte pour déterminer les facteurs affectant les performances. Les résultats ont montré que les effets maternel, du sexe, du troupeau, de la saison et de l’année de naissance, de l’âge au sevrage (WAGE), de l’âge exact (jours) aux pesées à un an (YAGE) et à 18 mois (EAGE) ont été significatifs (P < 0,01 ou P < 0,001) sur les performances présevrage et/ou postsevrage. Les veaux mâles ont eu des performances supérieures à celles des femelles chez les Goudali et les Wakwa, respectivement de 0,8 et 0,6 kg pour le poids à la naissance (BWT), de 11,3 et 12,8 kg pour le poids au sevrage (WWT), de 14,5 et 15,1 kg pour le poids à un an (YWT), de 13,4 et 11,9 kg pour le poids à 18 mois (EWT), et une croissance présevrage plus rapide de 0,04 et 0,06 kg/jour. Les veaux nés en saison sèche ont été plus lourds que les veaux nés en saison pluvieuse chez les Goudali et les Wakwa, respectivement de 19,0 et 21,7 kg (WWT), de 6,0 et 8,8 kg (YWT), et de 18,2 et 26,5 kg (EWT). Les meilleures performances ont été enregistrées chez les veaux nés de femelles âgées de 3 à 7 ans (CAG1) chez les Goudali et chez les veaux nés de femelles âgées de 8 à 10 ans (CAG2) chez les Wakwa. Pour une meilleure évaluation des performances des veaux, il est nécessaire de prendre en considération ces effets significatifs.
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ORGEUR, P., e J. P. SIGNORET. "L’activité sexuelle du taureau : Revue bibliographique". INRAE Productions Animales 3, n. 4 (10 ottobre 1990): 235–42. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1990.3.4.4382.

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Abstract (sommario):
L’activité de reproduction du taureau est fonction de facteurs internes (génétiques, physiologiques) et externes (environnement social, conditions de stimulation), expliquant des variations interindividuelles importantes de l’efficacité sexuelle et de la production spermatique. Au cours de la période de développement, des privations sociales importantes (élevage en boxes individuels, absence de contact hétérosexuel) pendant la période prépubertaire n’ont pas, comme dans d’autres espèces (notamment chez le bélier), de conséquences défavorables sur le comportement sexuel ultérieur du taureau. Chez les taurillons d’engraissement, le comportement homosexuel peut avoir des répercussions économiques négatives non négligeables. A l’âge adulte, les relations socio-sexuelles dans un groupe de taureaux sont principalement influencées par l’âge et la densité de population. L’élevage en groupes peut, en fonction de l’âge à la réunion, influer sur l’agressivité intraspécifique et la stabilité de la hiérarchie, elles-mêmes en relation avec l’efficacité des taureaux en compétition sexuelle, dans le cas d’une utilisation en saillie naturelle. En insémination artificielle, les techniques d’élevage et de stimulation sexuelle lors des collectes de semence sont parfaitement maîtrisées, de même que les risques d’agressivité interspécifiques (relations homme-animal). L’arrêt volontaire et temporaire des collectes de semence (lay-off), pendant l’attente des résultats de testage n’a pas de conséquences défavorables sur le comportement sexuel ultérieur, ni sur la production spermatique. Elle permet des économies substantielles. Les nombreuses études portant sur le comportement sexuel des bovins mâles et ses conséquences permettent une utilisation optimum des reproducteurs, tant en saillie naturelle qu’en insémination artificielle et une adaptation des conditions d’élevage des jeunes mâles destinés à l’engraissement.
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Inusa, S. K., e B. F. Muhammad. "Evaluation of sensory properties of Kilishi prepared from fermented cattle and camel beef in Semi-arid Nigeria". Nigerian Journal of Animal Production 48, n. 5 (10 novembre 2021): 113–23. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i5.3191.

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Abstract (sommario):
Meat fermentation is an important processing method with enormous nutritional and health benefits. A study was conducted to examine the sensory properties of fermented cattle and camel beef Kilishi. The effects of meat type, age and packaging on this meat quality attribute were evaluated. The experimental meat samples were fermented before utilized in Kilishi processing. The chunks of meat were sliced and then inoculated with lactic meat starter culture at three concentrations (2.5, 5.0 and 7.5 g /100 ml w/v). Kilishi samples for the sensory assessment were taken from each product lot. The experiment for the second trial was laid in a 2 x 3 x 4 factorial arrangement in a completely randomized design. The factors are two animal species (cattle and camel) aged 3, 5 and 8 years and above and four packaging arrangements: brown paper (B), polyvinyl chloride (P), aluminium foil and polyvinyl chloride (AP), brown paper and polyvinyl chloride (BP). Data generated were analysed by analysis of variance using SPSS Version 20.0 and GraphPad Instat while significantly different means were separated with Tukey HSD test. The result of sensory evaluation of the experimental Kilishi indicated that colour was ranked high and the product prepared from animals aged 5 years (middle age) and packaged in polyvinyl chloride material was the one preferred. It was concluded that fermentation and packaging improved the sensory quality of the product. Fermentation of cattle and camel beef of animals aged 5 years using 2.5% meat starter culture and the use of PVC-based package were recommended in semi-arid environment of Nigeria. La fermentation de la viande est une méthode de traitement importante avec d'énormes avantages nutritionnels et de santé. Cette étude a été menée pour examiner les propriétés sensorielles des bovins fermentés et du Kilishi de bovins à base de chameaux. Les effets du type de viande, de l'âge et de l'emballage sur cet attribut de qualité de la viande ont été évalués. Les échantillons de viande expérimentaux étaient fermentés avant l'utilisation de la transformation du Kilishi. Les morceaux de viande ont été tranchés puis inoculés avec une culture de démarreur de la viande lactique à trois concentrations (2,5, 5,0 et 7,5 g / 100 ml w/v). Les échantillons de Kilishi pour l'évaluation sensorielle ont été prélevés sur chaque lot de produit. L'expérience du deuxième essai a été déposée dans un arrangement factoriel de 2 x 3 x 4 dans une conception complètement randomisée. Les facteurs sont deux espèces animales (bovins et chameaux) âgés de 3, 5 et 8 ans et plus et quatre arrangementsd'emballage: papier brun (P), chlorure de polyvinyle (C), feuille d'aluminium et chlorure de polyvinyle (FC), papier brun et polyvinyle chlorure (PC). Les données générées ont été analysées par analyse de la variance à l'aide de SPSS version 20.0 et du graphique PadinStat, tandis que des moyens nettement différents ont été séparés avec un test de Tukey DFS. Le résultat de l'évaluation sensorielle des Kilishi expérimentaux a indiqué que la couleur était élevée et le produit préparé à partir d'animaux âgés de 5 ans (âge moyen) et emballé dans des matériaux de chlorure de polyvinyle était celui préféré. Il a été conclu que la fermentation et l'emballage ont amélioré la qualité sensorielle du produit. Fermentation du bétail et du bœuf à base de chameaux d'animaux âgés de 5 ans en utilisant une culture de démarrage de 2,5% de la viande et l'utilisation de colis à base de PVC ont été recommandées dans un environnement semi-aride du Nigéria.
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LEBRET, B., S. PRACHE, C. BERRI, F. LEFÈVRE, D. BAUCHART, B. PICARD, G. CORRAZE, F. MÉDALE, J. FAURE e H. ALAMI-DURANTE. "Qualités des viandes : influences des caractéristiques des animaux et de leurs conditions d'élevage". INRA Productions Animales 28, n. 2 (13 gennaio 2020): 151–68. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2015.28.2.3022.

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Abstract (sommario):
Cette synthèse présente l’influence des caractéristiques des animaux et de leurs conditions d’élevage sur les qualités des viandes et des chairs des principales espèces animales d’élevage (porc, bovins, ovins, poulets, poissons). Les dimensions intrinsèques (composition des carcasses, qualités sensorielle, nutritionnelle et technologique) et extrinsèques (interactions entre productions animales et environnement, bien-être des animaux, origine des produits, authenticité des pratiques de production…) de la qualité des produits sont considérées. Dans toutes les espèces, le type génétique et la conduite alimentaire sont les principaux déterminants de la composition des carcasses. La nature de l’alimentation des animaux constitue le principal levier pour moduler la qualité nutritionnelle, toutefois le niveau d’enrichissement des viandes et chairs en acides gras, minéraux ou vitamines favorables à la santé humaine varie selon les espèces. Pour une espèce donnée, les caractéristiques des animaux, leurs conditions d’élevage et d’abattage interagissent pour déterminer les propriétés (teneurs en lipides, glycogène, myoglobine…) et le métabolisme péri et post-mortem des muscles, et consécutivement la qualité sensorielle des viandes ou chairs et de leurs produits. A l’inverse, la qualité technologique, composante importante dans les filières porc, poulet et poisson résulte essentiellement du type génétique et des conditions d’abattage des animaux et de transformation des viandes. Dans les différentes filières animales, les qualités extrinsèques des produits font partie intégrante de certaines démarches collectives ou privées et sont garanties aux consommateurs au travers des signes officiels de qualité. Elles visent à améliorer les interactions favorables entre les productions animales et l’environnement et/ou le bien-être des animaux, garantir l’origine des produits et/ou valoriser l’authenticité des méthodes de production et de transformation. Différents exemples sont développés pour illustrer la prise en compte par les acteurs des filières de cette demande croissante des consommateurs et plus largement des citoyens envers leur alimentation.
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Ahiwe, E. U., H. O. Obikaonu, O. E. Kadurumba, T. C. Iwuji, O. O. Emenalom e E. B. Etuk. "Climate change and youth unemployment challenges in Nigeria: The poultry production option". Nigerian Journal of Animal Production 48, n. 4 (8 marzo 2021): 107–20. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i4.2992.

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Abstract (sommario):
This paper discusses climate change and poultry production as their interaction impacts on unemployment in Nigeria. Climate change and animal production have always had a negative impact on each other, with animal production accounting for about 15-18% global anthropogenic greenhouse gases (GHGs) emission in form of carbon dioxide (CO2), nitrous oxide (N2O) and methane (CH4) which are emitted when animals respire. On the other hand, the effect of climate change and global warming on animal production is on the increase and will continue to increase with the high rate of man's industrial activity if not checked. In Nigeria, there is an increasing demand for animal protein and the unemployment rate is increasing yearly because of high increase in population. In order to meet up with this increase in demand for food and reduce youth unemployment in an environment with less climate change challenge, more youth involvement in Agriculture is needed. But, this agricultural revolution will have great challenge on the environment because of the high rate of climate change that goes with industrialization and agriculture. Because poultry have low global warming potential, it has an edge over other animals or livestock such as cattle, sheep, and goat. This is because poultry has low GHGs emission as a result of its low enteric methane production rates compared to ruminant animal species. Apart from poultry being cheap, it is nutritious and readily marketable. In addition, it can be a nice source of investment and income generation for Nigerian youths, if harnessed properly. It is therefore, concluded and recommended that to meet up with the ever-increasing demand for jobs in an environment having less climate change challenges, various government agencies, banks, private sectors, civil society, rural co-operative societies, youth agencies in Nigeria with the assistance of various international donor agencies can collaborate and play a more facilitating role through giving of loans, grants and adequate extension services to ensure that food security and youth empowerment is achieved within an eco-friendly environment through profitable poultry production. Cet article discute du changement climatique et de la production de volaille comme leurs effets d'interaction sur le chômage au Nigéria. Le changement climatique et la production animale ont toujours eu un impact négatif l'un sur l'autre, la production animale représentant environ 15 à 18% des émissions mondiales de gaz à effet de serre (GES) anthropiques sous forme de dioxyde de carbone (CO2), d'oxyde nitreux (N2O) et de méthane (CH4) qui sont émis lorsque les animaux respirent. En revanche, l'effet du changement climatique et du réchauffement planétaire sur la production animale est en augmentation et continuera d'augmenter avec le taux élevé de l'activité industrielle de l'homme s'il n'est pas maîtrisé. Au Nigéria, il y a une demande croissante de protéines animales et le taux de chômage augmente chaque année en raison de la forte augmentation de la population. Afin de répondre à cette augmentation de la demande alimentaire et de réduire le chômage des jeunes dans un environnement où les défis du changement climatique sont moins importants, une plus grande implication des jeunes dans l'agriculture est nécessaire. Mais, cette révolution agricole aura un grand défi sur l'environnement en raison du taux élevé de changement climatique qui accompagne l'industrialisation et l'agriculture. Parce que la volaille a un faible potentiel de réchauffement planétaire, elle a un avantage sur les autres animaux ou le bétail comme les bovins, les moutons et les chèvres. En effet, la volaille a de faibles émissions de GES en raison de ses faibles taux de production de méthane entérique par rapport aux espèces animales ruminantes. En plus d'être bon marché, la volaille est nutritive et facilement commercialisable. En outre, il peut être une belle source d'investissement et de génération de revenus pour les jeunes Nigérians, s'il est correctement exploité. Il est donc conclu et recommandé que pour répondre à la demande toujours croissante d'emplois dans un environnement ayant moins de défis liés au changement climatique, diverses agences gouvernementales, banques, secteurs privés, société civile, sociétés coopératives rurales, agences de jeunesse au Nigéria avec l'aide de divers organismes donateurs internationaux peuvent collaborer et jouer un rôle plus facilitateur en accordant des prêts, des subventions et des services de vulgarisation adéquats pour garantir la sécurité alimentaire et l'autonomisation des jeunes dans un environnement respectueux de l'environnement grâce à une production avicole rentable.
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MORAND-FEHR, P. M., R. BAUMONT e D. SAUVANT. "Avant-propos : Un dossier sur l’élevage caprin : pourquoi ?" INRAE Productions Animales 25, n. 3 (25 agosto 2012): 227–32. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2012.25.3.3210.

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Abstract (sommario):
Un dossier d’INRA Productions Animales consacré à l’élevage caprin en 2012 peut surprendre. Représentant moins de 1% du produit brut de l’Agriculture Française, cet élevage largement ancré dans son environnement socioculturel local et dans la tradition de terroirs variés, évoque encore, mais de moins en moins, des images du passé comme celle de la «vache du pauvre» ou de la grandmère gardant trois chèvres au bord du chemin. Cet élevage s’est en effet marginalisé au XIXème siècle et dans la première moitié du XXème siècle dans les pays qui s’industrialisaient, notamment en Europe où l’effectif caprin ne représente plus actuellement que 2% du total mondial. De nombreux arguments ont milité pour éditer ce dossier, d’abord la rapide transformation de l’élevage caprin à la fin du XXème siècle et plus encore dans ces premières années du XXIème siècle, ensuite des travaux originaux conduits récemment sur l’espèce caprine, qui sont venus combler le retard important que cette espèce avait accumulé en matière de recherches agronomiques et vétérinaires. A l’échelle mondiale, l’élevage caprin est celui dont les effectifs ont le plus augmenté au cours de ces vingt dernières années (FAOSTAT 2010) : 4ème troupeau mondial avec plus de 900 millions de têtes (470 millions en 1975) derrière les bovins, les ovins et les porcins ; d’après les prévisions, il deviendrait le 3ème autour de 2015. Nombreuses sont les explications à cette situation un peu paradoxale, mais deux sont souvent avancées par les experts. Cette progression actuelle des effectifs caprins s’observe presque exclusivement dans les pays en développement et dans certains pays émergents. Elle serait surtout due aux difficultés que rencontre le maintien de l’élevage des autres espèces domestiques dans ces zones, dans certains cas du fait de l’appauvrissement des éleveurs et des acteurs des filières animales. Cette progression tient aussi au fait que le marché des caprins a une réalité essentiellement locale et que, dans ces conditions, il n’est pas exposé aux crises internationales que le marché des produits des autres espèces a pu subir au cours des quarante dernières années. En Europe, les effectifs caprins sont restés assez stables : 12,5 M de têtes au total, 1,3 M en France dont 1,1 M de femelles laitières âgées de plus d’un an. La France possède le troisième troupeau (10% des effectifs européens), assez loin derrière la Grèce (37%) et l’Espagne (22%). Il convient de noter la progression importante des effectifs caprins en Roumaine et aux Pays-Bas au cours de la dernière décennie. L’élevage caprin européen, et particulièrement l’élevage français, s’est fortement spécialisé en production laitière puisque 75 à 93% environ du produit brut des ateliers caprins en France provient du lait. En effet, la marge brute que dégage la production de chevreaux de boucherie est réduite en raison des coûts des aliments d’allaitement et des aléas liés à la mortalité périnatale. Des avancées dans les techniques d’élevage, notamment dans les domaines de l’alimentation et de la génétique, ont permis des améliorations assez rapides des performances des femelles laitières. La production laitière moyenne des 240 000 chèvres inscrites au contrôle laitier en 2010 était de 842 kg de lait sur une durée moyenne de lactation de 274 jours avec un taux protéique de 32,3 g/kg de lait et un taux butyreux de 37,0 g/kg de lait. Le plus intéressant à noter, c’est qu’en dix ans la production laitière annuelle au contrôle laitier a progressé de 90 kg, le taux protéique de 1,6 g/kg et le taux butyreux de 2,5 g/kg (Institut de l’Elevage 2012). La France est le premier producteur européen de lait de chèvre avec 30% du lait produit. Plus de 80% de ce lait est transformé en fromages. Même si la consommation présente quelques signes d’essoufflement actuellement, l’augmentation de la production de lait de chèvre depuis plus de trente ans et en conséquence celle des fromages a en général été bien absorbée par la demande, en progression malgré quelques périodes tendues. Ce résultat est dû notamment à de nouveaux produits de qualités rhéologique et organoleptique bien adaptées pour conquérir de nouveaux marchés, à l’utilisation de technologies avancées en matière fromagère et à la bonne image de ce fromage (produit festif et de qualité) auprès des consommateurs. Le secteur caprin en France a suivi l’évolution générale des productions animales : mécanisation du travail, simplification des techniques pour réduire le coût de production et pour améliorer l’efficacité du travail, augmentation rapide de la taille des unités de production. Plus de 35% de chèvres laitières appartiennent à des unités de plus de 350 têtes et la production est de plus en plus concentrée dans une région, le Poitou-Charentes, qui produit plus de 50% du lait de chèvre en France et en transforme encore plus. Bref, cette évolution et ces résultats, malgré un contexte qui tend à devenir de moins en moins favorable, s’expliquent par de multiples raisons, entre autres, la mise en place d’une filière bien organisée, des éleveurs motivés et le plus souvent passionnés par leur métier et une coopération étroite et efficace entre la recherche et le développement tant au niveau national que régional. Cette coopération exemplaire a débuté dès les années 1955-1965 avec des pionniers comme G. Ricordeau, à qui l’on doit la mise en évidence du gène sans corne expliquant le taux élevé d’infertilité en caprins, facteur qui a longtemps freiné le développement caprin (Ricordeau 2008) et J.-M. Corteel, qui a beaucoup travaillé sur la mise au point des techniques d’insémination artificielle (Leboeuf 2013). Ils ont su gagner la confiance des éleveurs, même parfois de petites unités. Ce lien s’est poursuivi et développé ensuite grâce à la création de la section caprine de l’Institut technique ovin et caprin (ITOVIC), mais aussi par des relations directes et personnelles entre chercheurs et responsables du développement ou par des réunions informelles autour de certains problèmes que rencontraient les éleveurs.Cette coopération a très bien résisté dans les années 1980, d’une part, aux nouvelles demandes des éleveurs qui donnaient la priorité aux questions socio-économiques suite à la première crise du prix du lait de chèvre en 1981 et, d’autre part, aux évolutions de la politique de l’INRA, qui face aux nouveaux enjeux scientifiques et technologiques, a été conduit à considérer comme moins prioritaire certaines recherches appliquées intéressant le développement. Ainsi, malgré l’évolution des problématiques scientifiques et des relations entre le monde de la recherche et du développement, mais aussi face au développement rapide de la recherche caprine dans les pays émergents, la recherche caprine en France est toujours très active. Un sondage bibliométrique montre que le nombre de publications avec «dairy goat» en mot-clé, de 250 à 300 par an dans les années 1980-1990, s’est accru nettement au début des années 2000 pour se situer actuellement vers les 700 publications par an. Au cours des dix dernières années, les pays qui ont le plus contribué à ces publications ont été la France, donc l’INRA, suivie par les USA, l’Italie et l’Espagne, eux-mêmes suivis par le Brésil, le Mexique et la Turquie. Ce dossier de la revue INRA Productions Animales a donc pour objectif d’illustrer le dynamisme des recherches menées en France sur les caprins, s’il était encore nécessaire de le faire. Le choix des six thèmes de recherche retenus pour constituer ce numéro n’a pas été aisé en raison du nombre de thèmes possibles. L’ambition de ce dossier n’étant pas d’être exhaustif, la rédaction de la revue et son comité se sont mis d’accord pour ne pas retenir de sujets dans les domaines où les publications ont déjà été nombreuses. C’est le cas, par exemple, de la traite des chèvres laitières (Le Du 1989, Marnet et al 2001), du polymorphisme de la caséine alpha chez les caprins (Grosclaude et al 1994, Manfredi et al 1995) ou encore de la reproduction caprine. INRA Production Animales a en effet déjà publié des articles exhaustifs sur la neuro-endocrinologie de la reproduction chez le caprin (Chemineau et Delgadillo 1994), sur le comportement sexuel de cette espèce (Fabre-Nys 2000), sur la production et la conservation de semence de bouc (Leboeuf et al 2003) et récemment sur la maîtrise de la reproduction de l’espèce caprine (Leboeuf et al 2008). Il a été proposé de sélectionner des thèmes novateurs ou riches en résultats récents, qui intéressent le développement de l’élevage caprin en France, mais aussi de portée internationale. Dans ces conditions, il a d’abord été retenu trois thèmes représentant des dimensions basiques de l’élevage : génétique, pathologie, alimentation avec des articles faisant le point sur les dernières avancées dans chaque secteur, et trois autres thèmes originaux et porteurs d’avenir, le pâturage des chèvres laitières hautes productrices, les apports de la modélisation pour comprendre le fonctionnement du troupeau de chèvres laitières et les techniques rationnelles d’élevage caprin en milieu tropical. Le premier article de Manfredi et Ådnøy (2012) sur la génétique des caprins laitiers, est un travail franco-norvégien illustrant la collaboration continue sur ce thème entre les deux pays depuis près de 50 ans. Il fait le point sur les études de génétique polygénique relatives à la production et à la composition du lait. Il traite de l’approche moléculaire qui démarre en caprins et surtout répond à la question d’actualité sur ce que nous pouvons attendre dans les années futures de la sélection génomique en caprins. Le deuxième article de Hoste et al (2012) sur la pathologie caprine, a réuni des spécialistes de l’INRA, des écoles vétérinaires, de l’Anses et de l’Institut de l’Elevage. Il fait le point sur les recherches en cours et leurs applications concernant diverses pathologies infectieuses d’actualité dans le secteur caprin. Ainsi il passe en revue les principales pathologies provoquées par les prions et les virus, par les agents bactériens et la question des parasites gastro-intestinaux. L’article évoque aussi le projet de la mise en place d’un observatoire des maladies caprines en France. Il se termine par une réflexion intéressante soulignant la proximité des agents pathogènes en ovins et caprins et les différences dans les processus morbides chez ces deux espèces. Il en conclut que des études originales sur caprins sont tout à fait fondamentales pour appréhender certains mécanismes pathogéniques. L’article suivant de Sauvant et al (2012) se propose d’actualiser les recommandations alimentaires des caprins publiées en 2007, pour répondre à une demande du développement. Les avancées dans ce domaine proviennent notamment d’une approche modélisée de la connaissance des nombreuxfacteurs de variation du poids vif, de la production laitière et de la composition de lait. Les lois de réponse plus précises aux apports d’aliments concentrés, les nouvelles lois de réponse concernant la sécrétion des acides gras du lait ainsi que les excrétions d’azote et de méthane, ainsi que les valeurs repères applicables sur le terrain concernant le comportement alimentaire, l’acidose et les besoins en eau sont les principales nouveautés. L’alimentation représente, rappelons-le, 70% en moyenne du prix de revient du litre de lait de chèvre. Parmi les trois articles plus spécifiques sur des sujets originaux, figure l’article de Lefrileux et al (2012) sur l’aptitude des chèvres hautes productrices de lait à valoriser les prairies temporaires au pâturage. Il répond à des demandes variées, notamment la demande sociétale pour une conduite d’élevage plus écologique. Or, peu d’information existe sur ce sujet, d’une part, en raison de la diminution de ce mode d’alimentation à cause des problèmes parasitaires rencontrés et, d’autre part, car la chèvre a la réputation d’être une mauvaise utilisatrice du pâturage et d’avoir un comportement très affirmé pour sélectionner son ingéré. Les auteurs montrent qu’il est possible d’obtenir des performances laitières de 1000 – 1100 kg de lait par an et par chèvre avec des régimes alimentaires où plus de 50% des besoins énergétiques sont couverts par le pâturage. L’étude du fonctionnement du troupeau caprin est un sujet qui a déjà été développé à l’INRA (Santucci et al 1994) mais, au cours de ces dernières années, elle a fait l’objet d’avancées importantes grâce à l’utilisation de la modélisation. L’article de Puillet et al (2012) présente un simulateur de fonctionnement du troupeau caprin laitier permettant de tenir compte de la variabilité individuelle des carrières animales et d’étudier comment les conduites de l’alimentation et de la reproduction mises en œuvre par l’éleveur, modulent les performances du troupeau. De tels outils sont appelés à l’avenir à avoir diverses applications au niveau du terrain pour les agents de développement, par exemple pour quantifier le risque biologique associé à certaines conduites d’élevage. Le Centre INRA des Antilles-Guyane travaille depuis plus de 50 ans sur l’amélioration des systèmes de production caprine en milieu tropical (Alexandre et al 1997). Alexandre et al (2012) présentent dans le dernier article de ce numéro une synthèse sur la situation de l’élevage caprin en zone tropicale. Rappelons que 95% des caprins vivent en milieu tropical. A travers leur grande expérience du sujet, ces auteurs proposent des voies d’amélioration très prometteuses grâce à l’apport d’intrants bien réfléchi techniquement et économiquement, à l’utilisation de l’effet mâle en reproduction et à une complémentation à base d’aliments non conventionnels. Les six articles de ce numéro ne doivent pas occulter les autres recherches sur les caprins effectuées par l’INRA ou d’autres organismes. Comme il n’est pas possible d’être exhaustif, citons simplement quelques exemples qui peuvent intéresser le développement : la maîtrise de la reproduction femelle sans utilisation d’hormones pour répondre aux cahiers des charges de certains produits caprins labellisés (Brice et al 2002) ; la monotraite, technique qui a priori séduit les éleveurs en permettant une réduction de charge de travail (Komara et Marnet 2009) ; les risques d’acidose en liaison avec le comportement alimentaire des chèvres laitières, trouble métabolique encore fréquent avec certainstypes de régimes et dont les conséquences économiques peuvent être importantes (Desnoyers et al 2009) ; l’évaluation des systèmes de production caprine (Bossis et al 2008, Toussaint et al 2009) sans oublier les travaux de technologie laitière réalisées par l’ITPLC sur le fromage de chèvre (Raynal-Ljutovac et al 2007a). Il faut noter aussi le début d’études sur le bien-être des caprins (Servière et Morand-Fehr 2012) et le besoin de travaux sur les lactations longues (14 - 20 mois),technique qui séduit de plus en plus d’éleveurs. Nous devons aussi signaler deux documents importants, l’un sur la qualité du lait de petits ruminants (Haenlein et al 2007) et l’autre sur la production et la qualité de la viande caprine (Mahgoub et al 2011) dans lesquels les travaux de recherches français sur l’influence des systèmes d’alimentation sur la qualité du lait de chèvre (Morand-Fehr et al 2007), sur la stabilité à la chaleur de ce lait (Raynal-Ljutovac et al 2007b) et sur la composition lipidique du chevreau (Morand-Fehr et al 2011) sont présentés. Il nous reste à souhaiter que la lecture de ce numéro apporte une somme d’informations originales à tous les lecteurs cherchant à prendre connaissance des dernières avancées de la recherche caprine et que la recherche caprine se maintienne et se développe à l’avenir en France pour répondre aux demandes de la filière, mais aussi en milieu tropical où les caprins jouent un rôle socio-économique essentiel pour certaines populations rurales.
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Philippon, Alain, Guillaume Arlet e Bogdan I. Iorga. "Bêta-lactamases BLSE de type CTX-M". Bulletin de l'Académie vétérinaire de France 175 (2022). http://dx.doi.org/10.3406/bavf.2022.71009.

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Abstract (sommario):
Dans les années 1980, la prescription des premières céphalosporines de troisième génération (C3G) en médecine humaine a provoqué la sélection de mutants ou variants de pénicillinases de type TEM ou SHV dénommées : « Bêta-Lactamases à Spectre Elargi/Etendu » ou BLSE. Dans les années 1990 ont émergé de nouvelles enzymes ou CéfoTaXimases-München (CTX-M), transférables, inactivant les C3G, certaines étant devenues pandémiques. Elles sont maintenant retrouvées dans les trois écosystèmes (homme, animal, environnement) et leur grande diffusivité est liée à l’insertion du gène blaCTX-M (plasmide, transposon, intégron, séquence d’insertion) et à son association à d’autres gènes : des gènes de résistance par exemple aux fluoroquinolones et/ou aminoglycosides, mais aussi des gènes de virulence. Ces phénomènes ont conduit à la notion de clone majoritaire, en particulier chez l’homme, comme Escherichia coli ST131 du groupe phylogénétique B2 et du sérotype O25b ou H4 producteur du variant CTX-M-15. Ces gènes, d’une grande diversité, retrouvés chez de nombreux animaux (volailles, bovins, ovins…, voire les coquillages et les mouches) sont issus d’entérobactéries du genre Kluyvera dont la taxonomie et l’habitat restent à être mieux précisés. Mots clés : bêta-lactamase, BLSE, CTX-M, diversité, phylogénie, diffusion, homme, animal, environnement

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