Articoli di riviste sul tema "Bois – Environnement"

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1

Mbikay Kadima, Pierrot. "Enquête sur l’impact socio-environnemental de l’utilisation de bois et stratégies de remédiation dans les ménages de la ville de Kisangani (Province de la Tshopo) en République Démocratique du Congo". Revue Congolaise des Sciences & Technologies 2, n. 4 (10 febbraio 2022): 516–23. http://dx.doi.org/10.59228/rcst.023.v2.i4.58.

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Abstract (sommario):
Cette étude avait pour objectifs l'évaluation de l’impact socio-environnemental de l'utilisation du bois dans les ménages de Kisangani, province de la Tshopo, en République Démocratique du Congo, ainsi que l'identification et l'analyse des stratégies de remédiation susceptible d’atténuer leurs impacts. A cet effet, l'étude a visé à comprendre les pratiques actuelles des ménages en matière d'utilisation du bois en vue de proposer des recommandations pour une utilisation plus durable des ressources forestières. Il ressort de cette étude que l'utilisation du bois est une source d'externalités négatives dans les ménages de Kisangani notamment elle provoque des maladies telles que la pneumonie, l’irritation des surfaces oculaires (conjonctivite allergique), la bronchopneumonie et conduit aussi à la récession forestière, à la perte de produits forestiers non ligneux, au dérèglement climatique, etc. En conclusion, la présente étude souligne la nécessité d'adopter des stratégies de remédiation durables. Les résultats mettent en évidence l'urgence de sensibiliser la communauté sur des pratiques de gestion forestière responsable et de promouvoir l'utilisation d'alternatives écologiques. La collaboration entre les autorités locales, les ONG et la population locale est essentielle pour préserver l'environnement tout en répondant aux besoins énergétiques des ménages. Mots clés: Déforestation, bois de chauffage, ménage, environnement, Kisangani
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Randriambololona, Hery, Frédéric Dubois e Christophe Petit. "Modélisation du comportement mécanique différé du bois en environnement variable". Revue Française de Génie Civil 6, n. 7-8 (gennaio 2002): 1333–57. http://dx.doi.org/10.1080/12795119.2002.9692412.

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3

Office national des forêts, Département Commercial Bois. "Les ventes de bois des forêts publiques en 2021". Revue forestière française 73, n. 6 (27 ottobre 2022): 665–79. http://dx.doi.org/10.20870/revforfr.2021.7207.

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Abstract (sommario):
Dans un environnement économique très porteur et une belle mobilisation en volume, le chiffre d’affaires bois des forêts publiques gagne 28 % à 538 millions d’euros en 2021. Les prix de tous les résineux, du Chêne et du Hêtre augmentent nettement alors que la crise du scolyte régresse et que le merrain ne se redresse qu’en fin d’année. Le prix unitaire apparent s’accroît de 14 %. Les volumes fournis en contrats d’approvisionnement progressent de 10 %.
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Ravix, André-Laurent. "Les comportements d'innovation dans l'artisanat de production industrielle". Revue internationale P.M.E. 1, n. 3-4 (16 febbraio 2012): 277–94. http://dx.doi.org/10.7202/1007885ar.

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Abstract (sommario):
Cet article analyse les comportements d'innovation dans deux secteurs de l'artisanat industriel du sud-ouest de la France, les secteurs «métaux-électricité» et «bois-ameublement». Deux types de comportements sont mis en évidence, l’un fondé sur une logique entrepreneuriale et l'autre sur une logique technique. Les apports d'une théorie de l'innovation qui insiste sur les aspects qualitatifs et organisationnels de la création de technologie sont utilisés pour suggérer des politiques publiques de l'innovation dans ce contexte. Ces politiques prennent en compte l'articulation entre l'organisation et le marché et l'insertion des entreprises dans une trsÿectoire technologique avec environnement donné ou dans un processus de création de technologie qui modifie leur environnement.
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Dalo, Patrice. "Quelle vision des forêts pour les défenseurs de l’environnement par rapport aux effets du réchauffement climatique ?" Revue forestière française 74, n. 2 (23 giugno 2023): 223–27. http://dx.doi.org/10.20870/revforfr.2023.7597.

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Abstract (sommario):
La société se préoccupe de plus en plus de questions forestières essentiellement sous l’angle de la protection de la nature, ou sous sa forme moderne, de la préservation de la biodiversité. Les attentes de la société s’expriment à travers un tissu associatif fédéré en particulier par France Nature-Environnement. Les préoccupations les plus souvent exprimées concernent les coupes rases, la protection d’espèces emblématiques et l’introduction d’espèces exotiques, tout en reconnaissant l’importance du contexte de changements climatiques de plus en plus prégnant. Ces préoccupations doivent trouver leur place dans un dialogue apaisé avec les gestionnaires forestiers dans le cadre de concertations régionales et nationales. Messages clésFrance Nature Environnement défend un modèle de concertation autour de la gestion multifonctionnelle.Dans ce modèle, les services de production (de bois) et de protection (de la biodiversité) sont pris en compte.
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Owona Ndongo, Pierre André, Régis Peltier, Ibrahim Linjouom, Dominique Louppe, Georges Smektala, Vincent Béligné, Raphaël Njoukam, Bernard Tieche e Lucie Félicité Temgoua. "Plantations de bois d'oeuvre en zone équatoriale africaine : cas de l'arboretum de l'Enef de Mbalmayo au sud du Cameroun". BOIS & FORETS DES TROPIQUES 299, n. 299 (1 marzo 2009): 37. http://dx.doi.org/10.19182/bft2009.299.a20421.

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Abstract (sommario):
Aux abords de l'École forestière de Mbalmayo au Cameroun, un arboretum a été installé à partir de 1956. Il a été suivi et protégé par plusieurs générations d'enseignants avec l'appui de diverses agences de coopération. À l'occasion du cinquantième anniversaire de sa création, une étude y a été menée sur quinze parcelles afin de mesurer leurs principaux paramètres dendrométriques et de pouvoir estimer leur productivité en bois d'oeuvre. Les peuplements de bété, Mansonia altissima, de framiré, Terminalia ivorensis, et de wengé, Milletia laurentii, présentent une bonne production ligneuse qui augure de belles perspectives pour le reboisement. Les parcelles, au départ monospécifiques, abritent à présent une régénération naturelle variée d'espèces ligneuses et herbacées. Ces résultats permettent de justifier une reprise des plantations de bois d'oeuvre en zone de forêt dense humide d'Afrique centrale. Les grandes plantations industrielles, qui ne sont plus aujourd'hui prioritaires, cèdent utilement la place à de petites plantations individuelles ou à des boisements collectifs ou communaux plus étendus. Le Programme sectoriel Forêt et Environnement financé par un mécanisme de remise de la dette doit y contribuer. (Résumé d'auteur)
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Bellande, Alex. "Haïti dans le marché mondial du bois aux 19ème et 20ème siècles : Commerce et environnement". Journal of Haitian Studies 22, n. 1 (2016): 130–46. http://dx.doi.org/10.1353/jhs.2016.0030.

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8

Faliarivola, Manoa L., Aristide Andrianarimisa, Marie Jeanne Raherilalao e Steven M. Goodman. "Diversité des Arthropodes de sous-bois des forêts sèches de Madagascar". Bulletin de la Société entomologique de France 127, n. 3 (2022): 233–50. http://dx.doi.org/10.32475/bsef_2194.

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Abstract (sommario):
Diversity of understory arthropods in the dry forests of Madagascar. The arthropods of Madagascar are among the most poorly known animal groups on the island. The principal objective of this study was to determine the diversity of this group at three different localities in lowland dry forests of western Madagascar. The three sites, all inventoried during the dry season in 2017, include: the Ankarafantsika National Park (16°18’S, annual rainfall: 867 mm) in the northwest; the forest of the Centre National de Formation, d’Études et de Recherches en Environnement et Forestier (CNFEREF) at Kirindy (20°04’S, annual rainfall: 555 mm) in the central west; and the Tsimanampesotse National Park (24°01’S, annual rainfall: 334 mm) in the extreme southwest. Malaise and pit-fall traps were used to capture arthropods and 24 orders belonging to 133 families were identified. The community at Ankarafantsika was the most diverse with 19 orders and 89 families with a more balanced taxonomic representation, while Tsimanampesotse had 18 orders and 69 families and Kirindy CNFEREF had 17 orders and 70 families. Calculated similarity between the different sites at the family level was relatively high, while that at the order level relatively low even given a certain level of homogeneity was noted between the three localities. The composition of arthropods in the dry forests of Madagascar varies according to local conditions, which include bioclimatic factors, and the characteristics of the vegetation at the three localities.
9

Arsène, EWOSSAKA, KOUBOUANA Felix, AYESSA LECKOUNDZOU e MAYIKA Ivan Arnold. "Processus Technologique de Fabrication Du Contre-Plaque". Forestry & Agriculture Review 2, n. 1 (4 febbraio 2021): 37–51. http://dx.doi.org/10.47285/far.v2i1.72.

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Abstract (sommario):
It should be remembered that in the Congo Basin, investments in new wood processing plants or in the extension of existing ones are still very limited. In addition, the 3 wood products exported from this region are mainly sawn timber, veneers, and plywood. It should be noted that despite some timid existing opportunities, some companies operating in the Congo Basin are struggling to invest in wood processing and therefore do not effectively contribute to the development of national and sub-regional economies. To better capitalize on these opportunities, it is important to create a business environment conducive to new investments in advanced wood processing. Ultimately, this study made it possible to assimilate the techniques and processes of obtaining veneers and plywood successfully through the technology of the machines developed, with the application of our theoretical knowledge in order to gain experience of professionally enhanced intellectual capacities. The plywood production is fixed at 6,651 m3; 8,452 m3 respectively in 2011 and 2012 showing a gradual increase in the order of 1,801 m3 due to strong demand from the local market. With regard to the annual volume of veneers obtained, the yield of veneers and plywood obtained were the following R1 ≈ 44% and R2 ≈ 30%. Exports of peeled veneers recorded a drop of 8.20% in volume, reaching 25,893.244 m3 in 2019 against 28,206.341 in 2018. However, peeled veneers each ranked 4th, in order reached 25,893.244 m3 or 2.60%. Okoumé, with 391,030,067 m3, or 39.31% of the total volume, was the main forest species among the various exported products, out of more than sixty exported concerned. Rappelons que dans le Bassin du Congo, les investissements dans les nouvelles usines de transformation du bois ou dans l’extension de celles existantes restent encore très limités. En outre, les 3 produits de bois exportés de cette région, sont majoritairement les bois sciés, les placages et les contreplaqués. Soulignons qu´en dépit de quelques timides opportunités existantes, certaines entreprises opérant dans le Bassin du Congo peinent à investir dans la transformation du bois et de ce fait, ne contribuent pas efficacement au développement des économies nationales et sous-régionales. Pour mieux capitaliser ces opportunités, il s´avère important de créer un environnement d´affaires propice aux nouveaux investissements dans la transformation poussée du bois. En effet depuis l’année 2000, le Congo s’était doté de la loi forestière, loi n° 16 - 2000 du 20 novembre 2000 portant code forestier qui consacre la gestion durable des forêts garantissant une exploitation soutenue des bois et une conservation des écosystèmes ; et jusqu’à la promulgation de la nouvelle loi forestière n°33 – 2020 du 8 juillet 2020 portant code forestier qui aborde de nouvelles questions climatiques et environnementales ; le développement et la diversification de la transformation constitue l’une des principales stratégies pour la mise en œuvre de cette politique, avec une utilisation rationnelle des bois, avec une valeur ajoutée plus importante du secteur forêt – bois et la création de plus d’emplois.
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Suma, Sophie. "Que nous dit la maison de La petite maison dans la prairie ?" Radar, n. 7 (15 giugno 2022): 107–14. http://dx.doi.org/10.57086/radar.508.

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Abstract (sommario):
La petite maison dans la prairie est l’une des séries américaines des années 1970-80 les plus diffusées au monde. Le paysage de son imagerie est composé de prés fleuris et de puritanisme, mais aussi de maisons en bois, un environnement fait d’objets visuels prenant la forme de « constructions visuelles du champ social » (Mitchell, 2005). En reproduisant en série l’image de colons qui s’installent légitimement sur ces terres avec leurs cabanes, ces représentations s’inscrivent dans le « champ de la visualité » (Mirzoeff, 2011). L’objectif est ici de déconstruire l’image positive et dominante de la log-cabin du pionnier américain comme symbole des self-made men, représentée par les productions artistiques, en lui préférant une représentation plus critique, plutôt comme l’objet matériel de la colonisation naturalisante des pionniers sur les territoires amérindiens. Que nous dit alors la log-cabin de la représentation des pionniers de l’Ouest américain et de leur identité ?
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Henry, Auréade, e Marc Bobœuf. "Environnement ligneux et gestion du bois de feu au cours du Mésolithique au Clos de Poujol (Campagnac, Aveyron)". Bulletin de la Société préhistorique française 113, n. 1 (2016): 5–30. http://dx.doi.org/10.3406/bspf.2016.14717.

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Dubiez, Emilien, Cédric Vermeulen, Jean-Philippe Tonneau, Timothée Yamba Yamba, Baby Mvolo e Adélaïde Larzillière. "Le paysage comme outil d'aménagement des terroirs villageois". BOIS & FORETS DES TROPIQUES 315, n. 315 (1 marzo 2013): 11. http://dx.doi.org/10.19182/bft2013.315.a20534.

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Abstract (sommario):
La gestion de la ressource bois énergie en périphérie des grands centres urbains est devenue une préoccupation de premier ordre en Afrique centrale. À une demande croissante en bois énergie correspondent des auréoles de déforestation de plus en plus larges. Les communautés villageoises situées dans cette auréole vivent aujourd'hui dans un environnement à ce point dégradé que les écosystèmes forestiers et les biens et services associés y ont presque disparu. La surexploitation de ces espaces nécessite entre autres de repenser l'aménagement des terroirs villageois. Cette étude présente une démarche d'élaboration de plan simple de gestion de terroirs villageois. L'article discute la pertinence d'une approche d'aménagement fondée sur le paysage perçu et vécu par les populations. L'organisation sociale de la communauté, ses pratiques et ses modes de régulation d'accès à la ressource sont des éléments qui structurent le paysage. Ils se traduisent dans une typologie locale de l'espace employée au quotidien. Cette typologie a été mobilisée pour une meilleure appropriation des concepts d'aménagement par les communautés et pour une mise en ¿uvre plus effective. À contre-courant de la foresterie communautaire développée depuis plusieurs années en Afrique centrale, cette approche est structurée autour d'un processus participatif, progressif et itératif. Elle permet d'amener des groupes endogènes à intégrer leur vision de l'espace dans les prises de décision, à faciliter les débats autour de la question de l'aménagement de leur terroir et à contribuer à la reconstitution d'espaces forestiers dégradés.
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Morin-Rivat, Julie. "Des arbres et des hommes : nouvelles perspectives sur les relations entre l’Homme et son environnement dans les forêts humides d’Afrique centrale à l’Holocène récent". BOIS & FORETS DES TROPIQUES 335 (15 marzo 2018): 73. http://dx.doi.org/10.19182/bft2018.335.a31501.

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Abstract (sommario):
Traditionnellement, les études paléoécologiques menées en Afrique centrale ont documenté l’évolution de la végétation, en particulier le rôle du climat dans le façonnage des paysages forestiers tropicaux. Ces études restent néanmoins peu nombreuses, en raison des conditions d’accès au terrain et de la grande diversité en matière d’espèces végétales. En outre, la relation entre l’homme et son environnement y demeure un champ d’investigation relativement récent. Conduite dans une optique pluridisciplinaire, entre archéologie et écologie, cette thèse s’intéresse aux activités humaines passées dans le nord du bassin du Congo et à leur impact sur les forêts telles que nous les voyons aujourd’hui. L’analyse du cadre spatio-temporel des activités anthropiques dans l’Intervalle de la Sangha montre l’ampleur du manque de connaissances sur cette présence humaine. Elle souligne également l’absence d’occupations humaines entre ~1300 et 600 BP dans la zone d’étude. Une méthodologie est donc proposée pour combler ces lacunes, basée sur l’acquisition et l’analyse statistique des restes botaniques carbonisés trouvés dans les sols. Les résultats montrent une opposition spatiale entre espaces domestiques et agricoles. La combinaison d’endocarpes de palmier à huile carbonisés et de tessons de céramique indiquerait la présence de villages, tandis que la présence de charbons de bois supposerait davantage l’existence de champs. Par ailleurs, le rassemblement et l’analyse d’importants jeux de données (i. e. paléoécologiques, archéologiques, historiques et dendrologiques), centrés sur l’Intervalle de la Sangha et couvrant le dernier millénaire, soulignent l’effet des changements d’usage des terres sur la régénération de quatre populations d’arbres héliophiles actuellement exploités pour leur bois (Erythrophleum suaveolens, Pericopsis elata, Terminalia superba et Triplochiton scleroxylon). Les résultats mettent particulièrement en exergue le rôle de la colonisation européenne à partir de la deuxième moitié du 19e siècle dans ces changements, et le déficit de régénération de ces populations d’héliophiles depuis cette période. Ainsi, ce travail souligne l’importance de la chronologie, de l’identification des activités humaines passées au sein des forêts denses humides et de l’impact de l’histoire humaine récente sur les paysages forestiers d’Afrique centrale. Enfin, nous identifions plusieurs lacunes et proposons des pistes de recherche, notamment en direction des gestionnaires forestiers.
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Salavert, Aurélie, Muriel Boulen, Sylvie Courbay, Alexa Dufraisse, A. Amposta, Françoise Bostyn, Claude Constantin et al. "Environnement végétal et collecte du bois de feu au Néolithique dans le sud du bassin de l’Escaut (5 200-2 200 BC)". Bulletin de la Société préhistorique française 115, n. 4 (2018): 701–31. http://dx.doi.org/10.3406/bspf.2018.14945.

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Salavert, Aurélie, Muriel Boulen, Sylvie Courbay, Alexa Dufraisse, A. Amposta, Françoise Bostyn, Claude Constantin et al. "Environnement végétal et collecte du bois de feu au Néolithique dans le sud du bassin de l’Escaut (5 200-2 200 BC)". Bulletin de la Société préhistorique française 115, n. 4 (2018): 701–31. http://dx.doi.org/10.3406/bspf.2018.14945.

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Lacroix, Laurier. "Le séjour montréalais du graveur français Rodolphe Bresdin, 1873-1877". Les Cahiers des dix, n. 60 (10 marzo 2011): 129–64. http://dx.doi.org/10.7202/045770ar.

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Abstract (sommario):
Rodolphe Bresdin (1822-1885) est une figure connue et appréciée de la gravure en France. Ses œuvres au style détaillé le place au confluent de plusieurs courants de la pensée esthétique en Europe au XIXe siècle. Proche du milieu littéraire, il incarne la figure de l’artiste bohème, tel que l’a dépeint Champfleury dans sa nouvelle Chien-Caillou (1845), appellation qui devint son pseudonyme. La carrière de Bresdin est marquée par l’itinérance. Dans son désir de trouver un environnement stable et peu coûteux pour vivre et créer l’amène à émigrer au Canada en 1873. Cet aspect de sa carrière a intéressé les nombreux chercheurs européens et américains qui l’ont étudié, mais l’accès aux sources rendait leur travail difficile. Un article paru dans La Presse le 28 octobre 1905 fournit des indices qui permettent de reconstituer quelques-uns des jalons du séjour de l’artiste et de sa famille (il avait 6 enfants) à Montréal. J’ai pu ainsi retracer une partie du réseau dans lequel Bresdin s’est inséré, principalement d’autres néo-canadiens d’origine française et identifier quelques nouvelles œuvres. Des aspects jusqu’alors inédits de son travail prennent forme, alors qu’on le voit s’intéresser à la caricature et à la gravure sur bois. Bresdin s’adonne également à l’enseignement tout en acceptant une commande pour les sulpiciens. Découragé par le manque de travail il retourne à Paris au printemps de 1877.
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Veluk Gutierrez, Felipe, Ronnie De Camino e Alejandro Imbach. "Cartographie des aires prioritaires pour la restauration des paysages forestiers et l'amélioration des moayens de subsitance ruraux sur l'Altiplano de San Marcos au Guatemala". BOIS & FORETS DES TROPIQUES 313, n. 313 (1 settembre 2012): 73. http://dx.doi.org/10.19182/bft2012.313.a20498.

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Abstract (sommario):
Le projet de recherche a été mené au sein de trois petits bassins versants localisés dans l'altiplano du département de San Marcos, dans la région Sud-Ouest du Guatemala. L'objectif principal était d'analyser les attributs spatiaux du territoire et de cartographier les aires prioritaires pour aider les parties prenantes aux prises de décision de mise en oeuvre de futurs efforts régionaux de développement, d'aménagement et de conservation des ressources naturelles. Ce travail a pris en compte différents outils et approches techniques tels que: la restauration du paysage forestier (Rpf), les milieux de vie durables, les services écosystémiques, le système d'information géographique (Sig) et l'analyse décisionnelle avec de multiples critères spatiaux. Cette cartographie a identifié et mis en exergue trois lignes stratégiques de Rpf en accord avec chaque modèle spatial ainsi créé, qui sont par ordre d'importance croissante, l'aménagement et la conservation des résidus forestiers, le reboisement ou la régénération de terres dégradées et, surtout, la mise en place de systèmes agroforestiers. Chaque modèle a été établi à partir d'attributs géographiques spécifiques en accord avec les besoins élémentaires des moyens de vie et aussi à partir des données spatiales disponibles. En outre, différents services écosystémiques ont été mis à profit pour orienter la construction de la structure cartographique, parmi lesquels: l'approvisionnement en bois énergie et bois d'oeuvre, la régulation hydrique, la protection des sols et la réduction des risques de glissement de terrain et le gel, la production/sécurité alimentaire et la conservation de la biodiversité. Le Sig s'est avérée être un outil assez puissant et innovant pour comprendre et intégrer le large et complexe réseau de facteurs et/ou lignes de force (mosaïque d'usage du sol, moyens de vie locaux, relations et enjeux sociaux, parmi d'autres caractéristiques géographiques) qui définissent le paysage et ses habitants et consolident ainsi les futurs efforts ou plans régionaux de Rpf. L'analyse spatiale et l'identification d'aires prioritaires à choisir pour la Rpf constituent ainsi les éléments clés d'appui auprès des responsables locaux et des décideurs en vue de l'usage optimal de leurs ressources techniques et financières afin d'élaborer un avenir le plus durable possible vis-à-vis des communautés et de leur environnement.
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Lavoie, Martin, e Pierre J. H. Richard. "Paléoécologie de la tourbière du lac Malbaie, dans le massif des Laurentides (Québec) : évaluation du rôle du climat sur l’accumulation de la tourbe". Géographie physique et Quaternaire 54, n. 2 (2 ottobre 2002): 169–85. http://dx.doi.org/10.7202/004843ar.

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Abstract (sommario):
Résumé Des analyses microfossiles (pollen, rhizopodes, charbons de bois) et des macrorestes végétaux ont été réalisées sur trois profils d'une tourbière du massif des Laurentides, au Québec. Les objectifs sont de reconstituer la succession de la végétation locale et les conditions hydrologiques qui ont présidé à l'accumulation de la tourbe en trois points d'échantillonnage, afin d'en inférer certaines conditions du climat, notamment sous l'angle du régime hydrique. Des conditions hydrologiques locales contrastées se sont établies entre les différents secteurs de la tourbière durant son développement. Sauf au cours de l'Holocène supérieur, les analyses paléobotaniques n'ont pas révélé d'influences hydriques claires de nature climatique sur l'accumulation de la tourbe. Le dépôt des premiers sédiments organiques a débuté au sein d'un petit étang vers 10 300 ans BP (années étalonnées) dans un environnement de toundra arbustive, plus de 2000 ans après le retrait régional des glaces. À l'Holocène inférieur, après des conditions climatiques initiales rigoureuses, l'augmentation des températures semble avoir été déterminante sur la productivité végétale et sur la dynamique de l'entourbement. De 8000 jusque vers 3000 ans BP, un ralentissement généralisé du rythme de l'accumulation sédimentaire s'est produit dans l'ensemble de la tourbière. Il est attribué en partie à une décomposition anaérobique par des cyanobactéries fixatrices d'azote. Une importante reprise de l'entourbement vertical est survenue au cours des trois derniers millénaires, sans doute en réponse à l'établissement de conditions climatiques plus fraîches et plus humides.
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CANDELIER, Kévin, e Jean-François TRÉBUCHON. "Bois et Forêts des Tropiques contribue à la médiation scientifique pour accompagner les changements indispensables de la société". BOIS & FORETS DES TROPIQUES 349 (11 ottobre 2021): 2–3. http://dx.doi.org/10.19182/bft2021.349.a36797.

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Abstract (sommario):
Bois et Forêts des Tropiques contribue à la médiation scientifique pour accompagner les changements indispensables de la société Les connaissances et les savoirs sont essentiels pour faire évoluer les sociétés. Ils constituent un élément-clé pour mieux cerner le monde qui nous entoure et mieux comprendre les changements et les défis auxquels nous devons faire face. Le métier de chercheur consiste à exploiter ce gisement intarissable représenté par l’inconnu. Les chercheurs apportent au grand public cette ressource en la modelant de façon à la rendre accessible aux diverses strates de la société. Malgré la multitude de formes imaginées pour interagir, il s’avère que ces dialogues peinent encore à tisser les liens solidaires indispensables entre les différentes parties prenantes pour transformer ensemble le monde. Les citoyens se sentent bien souvent exclus et les scientifiques ont le sentiment de ne pas toujours être bien entendus. La communication ou médiation scientifique, notamment celle liée aux sciences du bois, sciences forestières et sciences de l’environnement, doit aujourd’hui amener à considérer tout public en tant qu’acteur essentiel, en l’invitant à participer aux réflexions scientifiques. Cette ouverture vers le grand public aidera à mieux le préparer aux évolutions de son environnement scientifique tout en développant une pensée critique et rationnelle. Cela amènera tous les citoyens à participer de manière responsable aux grands enjeux sociétaux et environnementaux. C’est donc en introduisant la science dans la société, et vice versa, que les évolutions scientifiques et sociétales seront mieux acceptées. Le travail des chercheurs ne se résume pas uniquement à la publication de leurs expériences et de leurs résultats dans des articles ou tout autre support destiné et réservé uniquement aux univers académique et scientifique. Ce travail de partage de connaissances et savoirs attire le chercheur bien au-delà de cette sphère d’évaluation et de publication nécessaire à la profession. Les chercheurs trouvent des occasions et des solutions pour familiariser le grand public à la démarche scientifique. C’est dans cette perspective que Bois et Forêt des Tropiques s’associe à cette démarche de médiation scientifique et de diffusion des savoirs au sein de la société et vers le grand public. Cette action se traduit par la mise en avant de quelques exemples d’implications de chercheurs des sciences du bois et des sciences forestières. Il est essentiel que le grand public prenne connaissance du fonctionnement des forêts, de leur utilité pour l’environnement, ainsi que des multiples services qu’elles rendent à l’humanité. Pour mieux comprendre tous ces phénomènes observés et les méthodes scientifiques employées, le citoyen a besoin de pratiquer par une mise en situation. Il s’impliquera ainsi plus facilement dans des réflexions collectives relatives aux grands enjeux planétaires et locaux, pour lesquels chacun d’entre nous joue un rôle, qu’il s’agisse de la conservation de la biodiversité, de la protection et de la valorisation des forêts, ou de l’atténuation du changement climatique. Cet engagement sociétal se manifeste par exemple lorsqu’un chercheur intervient auprès d’un jeune public, en accompagnant des enfants à découvrir la démarche scientifique et les postures adoptées dans son travail. C’est ce que nous rapporte l’expérience menée par Candelier et al., en partenariat avec le dispositif « Savanturiers – École de la Recherche », publié ici dans ce numéro de Bois et Forêts des Tropiques. À cette occasion, les auteurs nous décrivent la fraîcheur du candide face à l’inconnu et les nouveaux savoirs qu’ils tentent de faire émerger et d’intégrer avec méthode et rigueur, encadrés par le chercheur. Ce qu’ils nous disent, c’est que cet échange entre la sphère scientifique et la société doit s’adosser aux principes d’une éducation aux sciences et à la démarche scientifique, à un accès équitable à la connaissance, mais aussi, et surtout, à l’incontournable entrelacement collaboratif des différents acteurs en quête de savoirs. Dans ce cas, le chercheur et l’enseignant inscrivent l’élève dans une démarche de pédagogie collaborative tout en le rendant acteur de son auto-apprentissage. Elle déclenche chez l’apprenant les mécanismes pour observer, expérimenter, exposer son jugement et le discuter à travers des jeux, des mises en scène, des ateliers, et via des expériences sensorielles, sociologiques, écologiques. Les possibilités de transmission de savoirs vers la société sont sans limites et parfois même imperceptibles. Elles peuvent apparaître dans des festivals, des expositions, des ateliers pédagogiques, des randonnées nature, dans la presse quotidienne, dans des films, des livres, les bandes dessinées, etc. Les chercheurs sont libres de faire jouer leur imagination et d’utiliser à loisir les médias afin de mieux se connecter avec le citoyen. Cette médiation peut prendre la forme d’une exposition itinérante sur la manière de préserver et de valoriser les forêts d’Afrique centrale, telle qu’organisée par Rossi et Lescuyer (2021), ou un livre adressé au grand public sur les pistes possibles de préservation et de valorisation des forêts tropicales, tel Vivre avec les forêts tropicales rédigé et illustré par le collectif de recherche Forêts et Sociétés (Sist et al., 2021), ou encore un jeu de rôle comme Foster forest (Fouqueray, 2019 et 2020) pour adapter les pratiques professionnelles de la foresterie afin de faire face aux changements climatiques, produit émergeant du parcours d’un doctorant encadré par une équipe de chercheurs. L’énumération serait longue tant elle est foisonnante. Les scientifiques encouragent les différentes strates de la société à s’approprier les savoirs et les connaissances qui les amèneront à prendre des décisions individuelles et collectives éclairées. Par le canal médiatique de Bois et Forêts des Tropiques, ils promeuvent les produits de la recherche autrement que les articles qui y sont publiés traditionnellement. C’est pourquoi paraissent dans les pages de cette revue scientifique et technique des résumés de thèse et des descriptifs techniques. Dans l’avenir, les chercheurs pourront occasionnellement s’y exprimer sous d’autres formes encore, comme l’ont proposé Candelier et al. (2021). Ces efforts de médiation aident à réagir face aux petits et grands défis qui tapissent les paysages de l’environnement dans lesquels nous évoluons tous, tels que les grands changements sociétaux liés à la démographie, le partage des ressources et savoirs, les changements des climats, pour ne citer que ceux-là. L’exposé de ces quelques exemples d’entrelacement sociétal témoignent donc de l’implication quotidienne de la recherche dans la société, et vice versa. Kévin Candelier, Jacques Tassin, Jean-François TrÉbuchon Membres de l’équipe éditoriale de la revue Bois et Forêts des Tropiques
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Muntotombe Botonga, Ghislain, e Andy Mussa Kalambayi. "Etude analytique de l’exploitation forestière du bois d’œuvre dans le Territoire de Bikoro, (Province de l’Equateur, République démocratique du Congo)". Revue Congolaise des Sciences & Technologies 02, n. 01 (15 febbraio 2023): 169–75. http://dx.doi.org/10.59228/rcst.023.v2.i1.21.

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Abstract (sommario):
L’exploitation du bois est une activité économique, mais elle modifie le paysage naturel et perturbe la biodiversité. Le but de cette étude était d’identifier les essences d’arbres exploitées et d’examiner les perceptions des habitants de l’impact environnemental de cette exploitation. Des entretiens ont été menés dans huit villages du territoire de Bikoro. Les données ont été collectées de novembre 2020 à janvier 2021 en administrant des questionnaires aux habitants consentants. Au total 106 répondants ont participé à l’étude dont l’âge moyen était de 40 ans. 58% des répondants avaient un avis défavorable sur l’exploitation du bois car elle impliquée souvent la baisse et/ou la disparition des animaux et insectes alimentaires et la perturbation saisonnière. Mots clés: Bassin du Congo, exploitation forestière, bois d’œuvre, territoire de Bikoro, République démocratique du Congo
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Robert, Monga Ilunga Dikoshi, Muchiza Bachinyaga Israël, Mbinga Lokoto Boniface, Mbuyu wa Kakudji Justin, Kabange Masangu Néhémie1 e Numbi Mujike Désiré2. "Application de quelques normes d’exploitation forestière à faible impact environnemental : cas des villages Tondolo et Kakana dans le Sud-Est de la République Démocratique du Congo". Revue Africaine d’Environnement et d’Agriculture 7, n. 1 (27 aprile 2024): 28–36. http://dx.doi.org/10.4314/rafea.v7i1.4.

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Abstract (sommario):
Description du sujet. L’exploitation du bois d’oeuvre constitue une importante source de revenu pour les acteurs impliqués dans cette activité et leurs dépendants. Cependant, elle dégrade les forêts et cause divers impacts sur l’environnement naturel et humain.Objectif. L’étude vise à évaluer le niveau d’application de quelques normes à impact environnemental réduit dans l’exploitation forestière artisanale du bois d’oeuvre aux alentours de la ville de Lubumbashi.Méthodes. Un questionnaire d’enquête à questions fermées et ouvertes a été administré aux exploitants artisanaux de bois d’oeuvre à Lubumbashi. Un échantillonnage de 84 personnes repartis dans deux villages a fait objet de l’enquête.Résultats. L’exploitation artisanale du bois d’oeuvre est majoritairement pratiquée par les jeunes dont l’âge varie entre 20 et 29 ans (67,8 %) et essentiellement célibataires (62 %). Le marquage est la principale technique d’identification des essences à protéger (75 %).Conclusion. De manière générale, les exploitants forestiers artisanaux tendent à respecter les normes à impact environnemental réduit considérées dans cette étude. Description of the subject. Timber exploitation is an important source of income for those involved in this activity and their dependents. However, it degrades forests and causes various impacts on the natural and human environment.Objective. The study aims to assess the level of compliance with selected low impact forest management standards in the artisanal timber sector around the city of Lubumbashi.Methods. A survey questionnaire consisting of both closed and open-ended questions was given to artisanal timber operators in Lubumbashi. A sample of 84 people selected from two villages were interviewed and surveyed.Results. Artisanal wood harvesting is mainly carried out by young people aged between 20 and 29 (67.8 %), who are predominantly single (62 %). Marking is the main technique used to identify the species to be protected (75 %).Conclusion. In general, the environmental standards considered in this study are more likely to be met by small-scale forest operators.
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Roy, Jean. "Le gestionnaire de projet face aux défis des bibliothèques du XXIe siècle". … À celui des architectes et d’un gestionnaire de projet 60, n. 2-3 (9 giugno 2014): 136–37. http://dx.doi.org/10.7202/1025526ar.

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Abstract (sommario):
Le gestionnaire de projet doit s’adapter à de nombreuses contraintes, dont de nouvelles d’ordre technologique et environnemental. Quatre exemples servent à illustrer cette évolution de son rôle : la Grande Bibliothèque, les Bibliothèques du Boisé et Saul-Bellow de la Ville de Montréal, et la future bibliothèque du site Outremont de l’Université de Montréal.
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García Flores, José Carmen, Jesús Gastón Gutiérrez Cedillo, Miguel Ángel Balderas Plata e Maria Raimunda Araújo Santana. "SOCIOCULTURAL AND ENVIRONMENTAL BENEFITS FROM FAMILY ORCHARDS IN THE CENTRAL HIGHLANDS OF MEXICO". BOIS & FORETS DES TROPIQUES 329, n. 329 (21 luglio 2017): 29. http://dx.doi.org/10.19182/bft2016.329.a31310.

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Abstract (sommario):
Cette étude vise à analyser les percep- tions des agro-écosystèmes sur le plan socioculturel et environnemental parmi les propriétaires de vergers familiaux situés dans la zone de transition écolo- gique de l’État de Mexico. La méthodo- logie comporte trois étapes : 1) carac- térisation géographique des localités et des agro-écosystèmes ; 2) analyse des bénéfices sociaux des vergers ; 3) potentiel des vergers et problèmes ren- contrés. L’enquête s’est déroulée sur douze localités situées dans trois munici- palités de l’État de Mexico, à l’aide d’en- tretiens semi-structurés complétés par des observations directes sur le terrain. Les vergers familiaux sont une source de nombreux bénéfices sociaux, environne- mentaux, écologiques et culturels : ils contribuent au bien-être des familles par la production de fruits, de condiments et de plantes utilisées dans diverses céré- monies, récoltées pour l’autoconsomma- tion, la vente ou le troc. Ces vergers sont également une source de bois de feu, de bois de construction, de piquets et d’ornements. Ils sont ainsi à considérer comme des agro-écosystèmes de grande importance et dont le fonctionnement repose sur des relations complexes entre l’ensemble de leurs composantes. Les bénéfices socioculturels et environne- mentaux de ces agro-écosystèmes pro- ductifs aux fonctions multiples peuvent être un atout considérable pour la réus- site de stratégies de cohésion sociale et de sécurité alimentaire en milieu rural, tout en contribuant à la préservation des ressources naturelles de la région.
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Meunier, Quentin, Sylvie Boldrini, Carl Moumbogou, Amélie Morin, Sostène Ibinga e Cédric Vermeulen. "Place de l'agriculture itinérante familiale dans la foresterie communautaire au Gabon". BOIS & FORETS DES TROPIQUES 319, n. 319 (1 gennaio 2014): 65. http://dx.doi.org/10.19182/bft2014.319.a20553.

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Abstract (sommario):
L'agriculture itinérante reste un système de production partagé par une grande majorité de groupes ethnolinguistiques, et appelé à se maintenir au Gabon. Elle s'exprime généralement dans un rayon de cinq kilomètres autour de l'unité de résidence. Au Gabon, cette zone est précisément celle destinée à accueillir depuis fin 2013 les premières forêts communautaires. Les préceptes de durabilité qui sous-tendent la notion de forêt communautaire impliquent le maintien d'un couvert forestier et pourraient entrer en contradiction avec la pratique de cette agriculture itinérante. Celle-ci prélève en effet, à chaque saison, un volume de bois soustrait au potentiel du massif concerné. Les plans simples de gestion des forêts communautaires prévoient une série agricole pour ne pas mettre en concurrence deux activités sur un même espace. Cela permet également de reconnaître la place socio-économique importante de l'agriculture en milieu rural. L'agroforesterie est une des clés pour articuler l'agriculture familiale et l'exploitation de la forêt communautaire. Conserver sur pied des arbres d'intérêt économique, social ou environnemental, d'une part, épargne de pénibles travaux d'abattage et, d'autre part, limite quantitativement l'impact de la coupe et du brûlis qui n'est plus systématique. L'introduction d'essences utiles, rares, protégées ou encore de bois d'oeuvre permet également d'élever la valeur économique et patrimoniale des parcelles agricoles tout en répondant aux exigences en matière de conservation et de durabilité du plan simple de gestion de la forêt communautaire. Par ce biais, l'agriculture familiale coutumière est pérennisée et sécurisée dans l'enceinte d'une portion de forêt légalement reconnue tandis que les techniques culturales y sont optimisées.
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ALI MOUSSA, Aïssatou, Aimé Christian NDIH e Madi ALI. "Typologie des élevages de lapins dans la zone sahélienne du Cameroun : cas de la ville de Maroua". Journal of Applied Biosciences 185 (31 maggio 2023): 19393–401. http://dx.doi.org/10.35759/jabs.185.3.

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Abstract (sommario):
Objectif : La présente étude a pour finalités : (i) de décrire de façon systémique les pratiques cunicoles locales de 135 élevages choisis de manière empirique (technique boule de neige), en relation avec l’espace de l’élevage, les risques physiques induits pour l’animal, les caractéristiques des locaux (nature de construction) et les outils utilisés ; (ii) de faire la typologie de cet élevage. Méthodologie et résultats : Le diagnostic de la pratique cunicole met en évidence une activité exclusivement secondaire, caractérisée d’élevage de diversification pour 90% de la population éleveurs, dont (70%) le font pour le commerce et (30%) pour l’autoconsommation. Le niveau d’étude des cuniculteurs influence les descripteurs de la réussite de l’élevage cunicole. À cet égard, les acteurs les plus instruits 31% (universitaires) opérationnalisent mieux le mode d’élevage. La cuniculture se fait aussi bien en zone urbaine (69%) que périurbaine (31%). Par ailleurs, les lapins sont élevés dans des bâtiments d’élevages (67%), dont le matériel de construction préférentiel est le bois (33%), la terre battue (36%) et la tôle (30%) mais la construction des cages fait appel au métal (81%), tandis que 33% sont élevés en plein air. La majorité des cuniculteurs (80%) formulent eux-mêmes leur provende contre 20% qui utilisent les restes de cuisine. Cette ration est combinée à trois sources de fourrage, fanes d’arachide (72%), les tiges de neem (17,9%) et les herbes saisonniers (10,1%). Les lapines ont présenté un cycle de reproduction moyenne de trois mises bas par an (51,6 %) avec une taille de la portée moyenne de six lapereaux (52,1 %) pour un sevrage qui se fait soit naturellement (75%) par la lapine ou programmé par l’éleveur (en fonction du poids (19%) ou de l’âge des lapereaux (6%). Si un plan de prophylaxie existe (57,7 %), les contraintes majeures portent préférentiellement sur les pathologies (75%) et l’approvisionnement en aliment (68%). Au demeurant, il s’est dégagé trois groupes d’élevages portés par les caractéristiques de l’éleveur, la conduite de l’élevage et les contraintes associées à la cuniculture. Conclusion et application des résultats : La présente étude met en pole position l’influence du niveau d’étude et de la formulation alimentaire sur la pratique technique cunicole dans un environnement concurrentielle avec d’autres élevages. Ces résultats pourraient justifier davantage le choix et l’attrait de la cuniculture comme activité. Mots clés : lapin, cuniculture, espèces non conventionnelles, élevage 19393 Moussa et al., J. Appl. Biosci. Vol : 185, 2023 Cameroun : cas de la ville de Maroua Typologie des élevages de lapins dans la zone sahélienne du Typology of rabbit farms in the sahelian zone of Cameroon: case of the city of Maroua ABSTRACT Objective: The present study was initiated with the following aims: (i) to describe in a systemic way the local rabbit practices of 135 farms chosen empirically (snowball technique), in relation to the space of the farm, the physical risks induced for the animal, the characteristics of the premises (nature of construction) and the tools used; (ii) to make the typology of this breeding. Methodology and results: The analysis of the rabbit practice highlights an exclusively secondary activity, characterized as diversification breeding for 90% of the stockbreeding population, of which (70%) do it for trade and (30%) for self-consumption. The level of education of rabbit breeders influences the descriptors of the success of the rabbit breeding. In this respect, the most educated actors 31% (university) operationalize more the farming method. Rabbit breeding is done in both urban (69%) and peri-urban (31%) areas. Otherwise, rabbits are bred in livestock buildings (67%), whose preferred construction material is wood (33%), beaten earth (36%) and sheet metal (30%) but the construction of cages used metal in (81%), while 33% are bred outdoors. The majority of rabbit breeders (80%) formulate their own feed against 20% who use kitchen waists. This ration is combined with three sources of fodder, peanut haulms (72%), neem stalks (17.9%) and seasonal grasses (10.1%). The does presented an average reproduction cycle of three farrowings per year (51.6%) with an average litter size of six young rabbits (52.1%) for weaning which is done either naturally (75%) by rabbit or programmed by the breeder depending on the weight (19%) or the age of the young rabbits (6%). If a prophylaxis plan exists (57.7%), the major constraints are related preferentially to pathologies (75%) and food supply (68%). Moreover, three groups of farms emerged, driven by the characteristics of the breeder, the management of the farm and the constraints related to rabbit breeding. Conclusion amd application of results: The present study puts in pole position the influence of the level of study and the food formulation on the rabbit technical practice in a competitive environment with other farms. These results could further justify the choice and the attractiveness of rabbit farming as an activity. Key words: rabbit, rabbit farming, unconventional species, husbandry
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Poilecot, Pierre, e Nema-Soua Loua. "Les feux dans les savanes des monts Nimba, Guinée". BOIS & FORETS DES TROPIQUES 301, n. 301 (1 settembre 2009): 51. http://dx.doi.org/10.19182/bft2009.301.a20406.

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Abstract (sommario):
Le massif des monts Nimba, au sudest de la République de Guinée, fut érigé en réserve de la biosphère et en site du patrimoine mondial en 1981 dans un but de conservation d'un écosystème d'une richesse biologique extraordinaire. Le développement d'un projet d'exploitation minière est en cours d'étude, ce qui a incité les autorités à demander une étude d'impact environnemental de façon à évaluer les risques de dégradation du milieu naturel dans le cas d'une mise en exploitation du fer dans un futur proche. L'étude était composée d'un inventaire rapide de la biodiversité et d'une expertise sur l'impact des feux de brousse dans les savanes qui fut réalisée en mars 2008. Les feux de brousse sont provoqués dans le cadre d'activités pastorales, agricoles ou de braconnage. Dans les savanes de basse altitude, les feux annuels permettent le maintien en équilibre et la diversité floristique des formations herbacées et évitent leur embroussaillement. Les feux sont moins fréquents dans les savanes submontagnardes et n'ont pas d'impact négatif sur le tapis herbacé mais altèrent les lisières et le sous-bois des forêts de ravin. La pratique des feux précoces est la seule qui permette de concilier production de pâtures et conservation dans cet écosystème de savane, sans avoir d'impact négatif sur la végétation et la faune terrestre. Elle limite, voire empêche, les feux tardifs dommageables à la végétation et aux sols. Les feux de brousse ne doivent pas être considérés comme un fléau pour le massif des monts Nimba si l'on tient compte de l'origine secondaire des savanes et du façonnage par l'homme des phytocénoses actuelles par une succession d'activités agricoles et pastorales. (Résumé d'auteur)
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Loubota Panzou, Grace Jopaul. "Biomasse et stocks de carbone en Afrique centrale : importance de l’allométrie des arbres". BOIS & FORETS DES TROPIQUES 343 (31 marzo 2020): 85–86. http://dx.doi.org/10.19182/bft2020.343.a31853.

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Abstract (sommario):
Quantifier les stocks de biomasse et de carbone dans les forêts tropicales est essentiel pour la mise en œuvre des stratégies d’atténuation des changements climatiques, et notamment le mécanisme de réduction des émissions dues à la déforestation et la dégradation des forêts. Les scientifiques s’accordent aujourd’hui à utiliser une équation allométrique de biomasse générale, combinée à une allométrie hauteur-diamètre ajustée sur des données locales non destructives. Or, l’allométrie des arbres varie entre les espèces et stratégies fonctionnelles d’une part, entre les types de forêts et conditions du milieu d’autre part. L’objectif de cette thèse de doctorat était d’étudier les variations de l’allométrie des arbres entre espèces coexistantes, et entre sites et types de forêts, en vue d’améliorer les estimations de la biomasse et des stocks de carbone en Afrique centrale. Les variations des allométries hauteur-diamètre et houppier-diamètre ont été rapportées pour les 45 espèces d’arbres coexistantes d’un site représentatif des forêts semi-décidues à Celtis du nord du Congo. Les relations entre les traits architecturaux dérivés à partir des allométries spécifiques aux espèces et les traits fonctionnels ont mis en évidence un continuum d’espèces entre les espèces de grande taille dominant la canopée et les espèces de petite taille dominant le sous-bois. Les espèces d’arbres de grande taille étaient exigeantes en lumière, dispersées par le vent, décidues avec une large contribution à la biomasse forestière, alors que les espèces d’arbres de petite taille étaient tolérantes à l’ombrage, dispersées par les animaux, sempervirentes et plus abondantes en densité de tiges. Les variations des allométries hauteur-diamètre et houppier-diamètre ont été également montrées entre les types de forêts en Afrique centrale. Ces tendances étaient en outre confirmées pour les espèces communes entre les types de forêts, suggérant un contrôle environnemental sur les variations de l’allométrie des arbres. Des attributs architecturaux dérivés des allométries spécifiques aux sites, en plus des attributs plus classiques de structure et de composition, ont pu être dérivés et reliés aux variations spatiales de la biomasse et des stocks de carbone. Cette thèse de doctorat a fourni de nouvelles données pour les futures cartes de biomasse dans le cadre du suivi du carbone forestier en Afrique centrale.
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Dominique, Richard. "L'ethnohistoire de la Moyenne-Côte-Nord". Articles 17, n. 2 (12 aprile 2005): 189–220. http://dx.doi.org/10.7202/055714ar.

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Abstract (sommario):
En 1972, le projet de recherche « Ethnographie de la Côte-Nord du Saint-Laurent» place à l'intérieur de sa problématique générale un volet intitulé: l'ethnohistoire. Soucieuse de ne pas limiter les résultats de ses recherches à des moules d'analyse déjà établis et intéressée à illustrer constamment la conceptualisation des gens de la Moyenne-Côte-Nord, l'équipe de recherche perçoit comme complémentaire l'analyse de la science populaire utilisée par les témoins qui vivent les mêmes faits qu'elle étudie sous un angle expérimental. L'ethnohistoire de la Moyenne-Côte-Nord représente une facette de cette complémentarité. Afin de bien situer cette intention, une mise en place des principales tendances en cours en ethnohistoire s'avère utile. Auparavant, deux remarques importantes se posent au point de départ puisqu'elles clarifient les prémisses de l'ethnohistoire. 1. L'utilisation de l'histoire par l'anthropologie suscite beaucoup de discussions et cela depuis les origines de l'anthropologie. L'ethnohistoire ne se greffe pas à cette problématique. L'ethnohistoire ne représente pas le champ privilégié où l'utilisation et la perception de l'histoire que les anthropologues ont mis de l'avant à travers les différents courants anthropologiques se manifestent. 2. Ce premier point tient surtout au fait que l'ethnohistoire se conçoit comme un ensemble de méthodes, de techniques. Elle ne s'étiquette pas comme une discipline. L'ethnohistoire s'intègre aux différents courants théoriques en anthropologie et s'utilise selon les questions théoriques jugées importantes par les différentes écoles. Il n'y a pas de théories ethnohistoriques indépendantes des autres théories anthropologiques. Toute discussion au sujet de la relation histoire-anthropologie se situe au niveau théorique et non méthodologique; l'ethnohistoire ne peut fournir d'éléments pertinents. Trois tendances se concrétisent et fournissent des résultats différents, selon l'appartenance théorique aux écoles anthropologiques. L'histoire spécifique, l'ethnographie historique (ethnohistory) et l'ethnohistoire (folk history) constituent présentement ces trois options. L'histoire spécifique. Cette tendance se préoccupe surtout de situer des traits culturels spécifiques à l'intérieur d'un contexte. Tout en utilisant et recherchant des dates, des lieux et des événements précis, les chercheurs essaient ici de mettre en relief un modèle de diffusion et de transformation d'un trait culturel particulier. L'étude des variantes des mythes et dçs légendes par Franz Boas et Edward Sapir chez les Amérindiens de la Côte-Nord-Ouest du Pacifique constitue un exemple de cette tendance. L'utilisation des données archéologiques, linguistiques, physiques et des études de diffusion culturelle reflète bien la préoccupation du courant diffusionniste en anthropologie. L'ethnographie historique. Souvent retrouvée sous l'appellation ethnohistoire (ethnohistory), cette tendance s'identifie aux anthropologues américains (Fenton, Ewers, De Laguna, Lurie, etc.) qui reconstruisent historiquement des cultures amérindiennes à l'aide des archives, des traditions orales et des données recueillies sur le terrain. La recherche se traduit par l'application de la perspective historique aux sociétés qui ne sont pas incluses dans l'histoire occidentale. De par leur formation, ces chercheurs veulent comprendre, expliquer des phénomènes culturels. L'historiographie d'une ethnie ne répond pas à cette demande. Le choix des données historiques doit s'effectuer en fonction des questions théoriques en anthropologie. Ainsi la mise en relation des travaux de terrain avec les sources historiques dans un cadre théorique peut produire des éléments importants pour la construction d'un modèle explicatif du changement. Cette orientation a pris forme, vers 1950, au contact des études plus générales d'acculturation et de relations interethniques, des systèmes politiques et économiques. L'ethnographie historique repose sur des fondements plus théoriques et généralisants afin de permettre une comparaison entre différents groupes étudiés. Sous cet angle, elle se présente comme une méthode intégrée à d'autres pour répondre aux questions théoriques soulevées en anthropologie. Cette approche exige une nomenclature conceptuelle qui favorise un niveau de généralisation formelle. Une de ses premières fonctions se concrétise par l'élaboration d'un inventaire du matériel existant et par l'orientation subséquente de l'emploi et de la fabrication des autres méthodes. Lorsque la synthèse des différentes données est effectuée, des patterns d'incorporation des groupes ethniques à leur environnement, de changements économiques et politiques, d'acculturation, etc., en ressortent. En somme, l'ethnographie historique se présente comme l'application de la méthode historique et l'utilisation des concepts anthropologiques pour découvrir des pattems d'organisation humaine. L'ethnohistoire (folk history). Le domaine des réflexions et des constructions historiques en cours dans une communauté devient le pôle d'attraction de cette optique. La véracité des faits, la cohérence des événements, les modèles de changement, etc., ne sont pas ici pertinents. C'est plutôt le système logique permettant de réfléchir et de conceptualiser les événements et les comportements qui attire l'attention du chercheur. L'articulation de la recherche s'effectue autour de ce que les gens pensent de leur passé. Vers les années '60, le mot « ethno » se couvre d'une nouvelle signification, à savoir: découvrir comment s'établit le processus de la connaissance chez un peuple. Auparavant, le préfixe « ethno » ne possédait qu'une connotation identificatrice sans pour autant spécifier les bases de l'identité du peuple en question. Théoriquement, chez les culturalistes, la culture ne se conçoit plus comme l'ensemble des comportements humains, l'idéologie, l'histoire, les institutions, les produits matériels, etc., mais bien plus comme le tout de la connaissance humaine.2 Les analyses portent sur la «grammaire de la culture» et par conséquent ne précisent pas les comportements actuels et futurs des individus. Méthodologiquement, les techniques et les propositions théoriques se construisent sous la forme d'une recherche « emic », c'est-à-dire une approche valide que pour une communauté. L'ethnographie historique travaille à la reconstruction historique dans le sens et le découpage qui convient aux critères occidentaux. Elle utilise les archives et les résultats des autres disciplines connexes afin d'écrire une histoire universelle basée sur des découpages préalablement établis. Par contre, l'ethnohistoire démontre la version, la signification et l'explication historique fournies par une communauté. Précisément, elle met en relief les principes régissant la sélection et l'ordre des événements retenus comme significatifs pour une culture. Cette limitation à une seule culture amène pour l'instant le rejet d'une histoire universelle. Dans les sociétés non euro-américaines, les mythes, les légendes, les contes constituent le champ d'investigation privilégié pour l'ethnohistoire.
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"Bois, environnement et société". Revue Forestière Française, n. 3 (2003): 193. http://dx.doi.org/10.4267/2042/5175.

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Waziri, Mwinyi, Lebisabo Bungamuzi, Kanyama Joseph, Rammeloo Jan, NshimbaSeya Wa Malale e Degreef Jérôme. "Culture de Pleurotus tuber-regium (Fr.) Singer sur substrat ligno-cellulosique en République Démocratique du Congo". Tropicultura, n. 1 (2021). http://dx.doi.org/10.25518/2295-8010.1695.

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Abstract (sommario):
Cette étude a concerné la culture sur pailles de riz et sciure de bois de Gilbertiodendron dewevrei de Pleurotus tuber-regium, espèce fongique tropicale appréciée pour sa saveur et ses propriétés médicinales. Les blancs ont été obtenus localement par isolement de spores de spécimens récoltés dans leur environnement naturel aux environs de Kisangani (RD Congo). La formation de sporophores est conditionnée à celle de sclérotes 14 jours au préalable. Trois poussées ont été enregistrées avec un rendement total de 42,25 % qui peut être considéré comme très satisfaisant et de loin supérieur au rendement économique de 20 % généralement reconnu pour qu’un substrat soit jugé approprié à la production de champignons.
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Doucet, Jean-Louis. "Palabres autour des arbres : des discours sur leur intelligence aux dérives de l’anthropomorphisme". BASE, 2020, 203–6. http://dx.doi.org/10.25518/1780-4507.18707.

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Abstract (sommario):
L’intelligence des arbres est un sujet qui passionne les populations urbaines. Elle fait l’objet d’un débat animé entre les différents acteurs du secteur forestier. La présente note vise à objectiver ce débat en synthétisant les connaissances récentes sur le sujet. Elle montre que les arbres peuvent communiquer entre eux, soit via des molécules volatiles, soit via des échanges souterrains, notamment grâce à un réseau mycorhizien. Les arbres peuvent aussi percevoir la lumière et les sons. Ils peuvent donc s’adapter à un environnement changeant, ce qui traduit une certaine forme d’intelligence. Néanmoins, renoncer à l’exploitation du bois sur cette base ne peut être justifié. Cela se traduirait par des impacts environnementaux dont la portée est occultée par les détracteurs de l’exploitation forestière.
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Badjaré, Bériname, Kouami Kokou, Nadédjo Bigou-lare, Dabitora Koumantiga, Ayitre Akpakouma, Macomba Bétidé Adjayi e Georges Abbévi Abbey. "Étude ethnobotanique d’espèces ligneuses des savanes sèches au Nord-Togo : diversité, usages, importance et vulnérabilité". BASE, 2018, 152–71. http://dx.doi.org/10.25518/1780-4507.16487.

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Abstract (sommario):
Description du sujet. Au Nord-Togo, particulièrement en milieu rural, les populations utilisent des biens d’espèces ligneuses et des services écosystémiques pour satisfaire des besoins multiples. Dans un environnement marqué par une déforestation accrue, se développe une pression anthropique croissante avec une incidence sur la vulnérabilité et la valorisation de ces ressources. Objectifs. Cette étude sur la diversité et les usages des ligneux permet d’apprécier la richesse floristique des terroirs et d’évaluer, à partir de quatre paramètres, la vulnérabilité des espèces répertoriées et connues des populations en zone de savane sèche. Méthode. L’approche méthodologique est basée sur des enquêtes ethnobotaniques et socio-économiques menées auprès de 14 groupes ethniques par interview individuel et au sein de « focus groups ». Les analyses ont porté sur des calculs de fréquences et d’indices de valeurs d’usage et d’importance des espèces répertoriées. Résultats. Au total, 149 espèces ligneuses utiles ont été identifiées et réparties en 45 familles. Neuf principaux usages reconnus sont relevés : alimentaire (69 espèces), médicinal (91 espèces), bois-énergie (57 espèces), fourrager (57 espèces), artisanal (37 espèces), soins hygiéniques (36 espèces), bois de service (40 espèces), rituel ou magico-spirituel (35 espèces) et cosmétique (26 espèces). Ces usages portent essentiellement sur les feuilles, racines, fruits, graines, fleurs, bois et écorces. Sur l’ensemble des espèces répertoriées, 42 (28 %) présentent un risque élevé de vulnérabilité, celle-ci étant évaluée sur base de quatre paramètres : la fréquence de citation, le nombre d’usages différents, l’organe collecté et le mode de collecte. Conclusions. L’étude montre que l’utilisation des espèces ligneuses varie selon le milieu géographique et la valeur d’importance des espèces explique la vulnérabilité de celles-ci dans la savane sèche.
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Guedj, Pauline. "Afrocentrisme". Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.046.

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Abstract (sommario):
Bien que souvent non revendiqué par les auteurs que l’on considère comme ses tenants (Molefi Asante 1987, Maulana Karenga 2002, John Henrik Clarke 1994, Marimba Ani 1994, Frances Cress Welsing 1991, Théophile Obenga 2001, qui lui préfèrent les termes afrocentricité, africologie ou kawaida), le terme afrocentrisme est utilisé pour désigner un courant d’idées présent dans les cercles académiques nord-américains, africains et européens, depuis la deuxième moitié du vingtième siècle. Académique, l’afrocentrisme est actuellement l’objet d’un important processus de transnationalisation et entretient des relations précises et continues avec des pratiques sociales, artistiques, religieuses et/ou politiques. Il semble que le mot « afrocentrique » soit apparu pour la première fois en 1962 sous la plume du sociologue afro-américain W.E.B. Du Bois. Invité par Kwame Nkrumah à Accra au Ghana dans le but d’y rédiger une encyclopédie sur les populations noires, Du Bois insistait, dans un document non publié, sur son intention d’éditer un volume « volontairement Afro-Centrique, mais prenant en compte l’impact du monde extérieur sur l’Afrique et l’impact de l’Afrique sur le monde extérieur » (in Moses, 1998 : 2). Du Bois, grand penseur du panafricanisme, voyait donc dans son projet un moyen de donner la parole aux peuples d’Afrique, d’en faire des acteurs de leur propre histoire au moment même où ceux-ci entamaient la construction nationale de leurs États depuis peu indépendants. Lié chez Du Bois à un projet scientifique et politique, la tendance afrocentrique connaîtra ses heures de gloire à partir de la fin des années 1960 lorsqu’elle devint la marque de fabrique d’une école de pensée comptant quelques représentants au sein des cercles académiques américains. En réalité, l’histoire de la pensée afrocentrique aux États-Unis est indissociable de la création de départements d’études dites ethniques dans les universités américaines, départements nés en pleine ère du Black Power, lorsqu’une jeunesse noire radicalisée se battait pour l’intégration de son expérience au sein des cursus universitaires. Ces départements d’études African-American, Black ou Africana se donnaient pour but de relayer la voix des opprimés et d’inclure l’histoire afro-américaine dans le récit scientifique de l’histoire états-unienne. Parmi les manifestes afrocentriques de l’époque, notons la création de l’African Heritage Studies Association en 1969 née d’une réaction aux postures idéologiques de l’African Studies Association. Orchestrée par John Henrik Clarke (1994), l’organisation rassemblait des intellectuels et des militants africains, entendus ici comme originaires du continent et de ses diasporas, se battant pour la mise en place d’une étude politique de l’Afrique, arme de libération, cherchant à intervenir dans la fondation d’un panafricanisme scientifique et afrocentré. A partir des années 1980, l’afrocentrisme académique entra dans une nouvelle phase de son développement avec les publications de Molefi Asante. Dans la lignée de Du Bois, celui-ci tendait à définir l’afrocentrisme, ou plutôt l’afrocentricité, comme une théorie cherchant à remettre l’Afrique au cœur de l’histoire de l’humanité. Toutefois, ses principaux écrits, The Afrocentric Idea (1987), Afrocentricity (1988), Kemet, Afrocentricity and Knowledge (1990), associèrent à l’afrocentrique duboisien tout un appareil conceptuel et idéologique, grandement hérité des écrits de l’historien sénégalais Cheikh Anta Diop (1959). et de militants du nationalisme noir classique tels Edward Blyden et Alexander Crummel. Dès 1990, la pensée d’Asante se déploya autour d’une série de points précis, déjà mis en avant par le politiste Stephen Howe (1998) : 1. L’humanité s’est d’abord développée en Afrique avant de se répandre sur la planète. Les Africains entretiendraient avec les autres humains un rapport de primordialité chronologique et ce particulièrement avec les Européens, jeunes dans l’histoire de l’humanité. 2. La première civilisation mondiale est celle de l’Égypte ou Kemet. L’étude des phénotypes égyptiens tels qu’ils sont visibles sur les vestiges archéologiques apporterait la preuve de la négritude de cette population. 3. Le rayonnement de la civilisation égyptienne s’est étendu sur la totalité du Continent noir. Toutes les populations africaines sont culturellement liées à la civilisation et aux mœurs de l’Égypte antique et la linguistique en constituerait une preuve évidente. 4. La culture égyptienne se serait également diffusée au Nord, jusqu’à constituer la source d’inspiration première des civilisations qui apparurent plus tardivement en Grèce puis partout en Europe. 5. L’ensemble des traditions africaines constitue autant de manifestations d’une culture unique. Depuis son foyer égyptien, la culture africaine, au singulier, s’est diffusée pour s’immerger dans la totalité du continent et dans la diaspora des Amériques. Au début des années 2000, l’afrocentrisme académique s’est trouvé au cœur de vifs débats dans les espaces anglophones et francophones. Aux États-Unis, c’est la publication de l’ouvrage de Mary Lefkowitz Not Out of Africa (1993) qui rendit publiques les nombreuses tensions entre afrocentristes et anti-afrocentristes. En France, la discussion s’est également concentrée autour de la parution d’un ouvrage dirigé par François-Xavier Fauvelle-Aymar, Jean-Pierre Chrétien et Claude-Hélène Perrot (2000). Le texte, provocateur, se donnait pour but de déconstruire des théories afrocentriques qualifiées de naïves, « fausses » et dont « le succès parmi les Américains noirs peut être attribué au fait que, à l’heure actuelle, la pensée critique n’est pas en grande estime dans la communauté noire aux États-Unis » (2000 : 70-71). Le livre fut accueilli très froidement dans les milieux qu’il visait. En 2001, l’intellectuel congolais Théophile Obenga, rétorqua avec la publication d’un nouvel ouvrage Le sens de la lutte contre l’africanisme eurocentriste. Manifeste d’un combat « contre l’africanisme raciste, ancien ou moderne, colonial ou post-colonial, qui ne voit pas autre chose que la domination des peuples ‘exotiques’, ‘primitifs’, et ‘sous-développés’. » (2001 : 7), le texte d’Obenga multipliait, de son côté, les attaques personnelles et violentes. Aujourd’hui, il semble que l’appréhension des phénomènes afrocentriques ne puisse gagner en profondeur que si elle évite les écueils polémiques. Une telle approche supposerait alors de considérer l’afrocentrisme comme un objet de recherche construit historiquement, sociologiquement et anthropologiquement. Il s’agirait alors à la fois de le replacer dans le contexte historique de sa création et de s’intéresser à ses effets concrets dans les discours et les pratiques sociales populaires en Afrique, dans les Amériques et en Europe. En effet, depuis une vingtaine d’années, le terme et l’idéologie afrocentriques n’apparaissent plus seulement dans des débats des universitaires mais aussi dans une série d’usages sociaux, culturels et artistiques de populations qui les conçoivent comme un outil d'affirmation identitaire. Ces communautés et ces individus s’en saisissent, leur donnent une définition propre qui émane de leur environnement social, culturel et géographique particuliers, les utilisent comme fondement de nouvelles pratiques, de nouvelles élaborations du politique et de revendications identitaires. Ainsi, l’afrocentrisme se retrouve dans les pratiques religieuses d’Afro-Américains des États-Unis à la recherche de leurs racines ancestrales (Capone, 2005 ; Guedj, 2009), dans les textes des rappeurs de Trinidad ou du Gabon (Aterianus-Owanga, 2013) ainsi que dans les œuvres et les propos d’artistes aussi variés que la plasticienne Kara Walker et le saxophoniste Steve Coleman. Afrocentrismes populaires, a priori dissociés des milieux académiques, ces pratiques ne sont pourtant pas étrangères aux théories qui animent les spécialistes. En effet, nombreux sont les religieux qui citent les livres de Cheikh Anta Diop (1959) ou Molefi Asante (1987), les artistes qui revendiquent comme sources d'inspiration les vidéos postées sur youtube des discours de Leonard Jeffries, John Henrik Clarke ou Maulana Karenga. Il semble alors que c’est précisément dans cette analyse des pratiques et discours afrocentriques entre champs académique, politique, religieux et artistique que l’anthropologie peut jouer un rôle décisif. Il s’agirait alors pour les chercheurs de mettre en place des méthodologies permettant non seulement d’analyser les logiques de circulation des représentations de l’Afrique entre différentes catégories sociales mais aussi d’étudier la perméabilité des savoirs académiques et leurs influences en dehors des universités.
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Bourel, Etienne. "Forêt". Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.012.

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Abstract (sommario):
Dans l’histoire de l’anthropologie, la forêt occupe une place singulière. Son étymologie latine la rattachant au sauvage, elle prend place dans la dialectique topographique construisant le civilisé. À l’heure de l’anthropocène et de la crise environnementale, tandis que l’on s’interroge sur l’opportunité de payer des « services environnementaux » et de rétribuer le stockage du carbone, c’est à partir des savoirs issus du monde forestier que se réenvisage l’oikos : l’idée de durabilité a, en effet, été élaborée en vue de gérer les forêts européennes (alors en voie de disparition) il y a maintenant trois siècles. Ainsi, comme formes du politique, sont à envisager les multiples modalités que des groupes humains peuvent entretenir avec la « forêt » et les variations des imaginaires les ayant habitées. Dans son Anthropologie de la forêt (2007), Paulin Kialo oppose deux principaux modèles de relation à l’espace forestier au Gabon : le premier, « pro-forêt », synthétise les liens qu’entretiennent les populations pové à leur environnement (conçu comme totalité et matrice de vie) tandis que le second, « anti-forêt », renvoie aux perspectives minières et lucratives des exploitants industriels (européens, en premier lieu). Il parait toutefois important de mettre en avant les nuances dans ces relations car l’auteur introduit subrepticement un troisième groupe, les Babongo (groupe dit « Pygmée »), dont les considérations existentielles font passer les Pové du côté des « anti-forêts » - quand ils pratiquent cette forme d’agriculture (sur brûlis), consistant à « manger la forêt » en pays Gar (Condominas 1982). Comme d’autres sociétés agricoles (Obadia 2008), ils ne sont donc pas « par nature » respectueux de l’environnement (forestier, en l’occurrence). L’appréciation des forêts est bien affaire d’interprétation. Les imaginaires dont elles relèvent varient et, comme entités distinctes, elle font l’objet de projections (Harrison 1992). Les savoirs scientifiques et techniques n’échappant pas à la règle (Paré 2014), elles conservent des dimensions poétiques et sensibles y compris dans les sociétés industrielles (Arnould 2014). En somme, elles permettent de penser l’imbrication de la territorialité dans les différentes sphères du social, à chaque fois selon des perceptions, systèmes de pensée et des valeurs se modulant dans l’espace et le temps (Michon 2003). La longue réflexion de James Frazer (1981[1890]) sur le cycle de la germination avait déjà pour ressort une investigation relative aux rituels dans le bois de Némi. De fait, les forêts sacrées se retrouvent sous de nombreuses latitudes et selon des appréciations différenciées, tantôt clairières pour l’initiation, tantôt groupement d’arbres réservé aux « dieux » (Cartry 1993). Si les « peaux de la terre » dont parle Danouta Liberski-Bagnoud (2002) contribuent à tisser généalogie et paysage, les sanctuaires boisés se présentent dorénavant comme des ressources pour penser les questions contemporaines tant écologiques, sociales que symboliques. Toutefois, la biodiversité locale qu’ils contribuent à préserver n’est, en tant que telle, qu’une conséquence dérivée de leur dimension religieuse (Juhé-Beaulaton 2010). La forêt comme lieu ressource du politique, Émile Zola l’envisageait dans Germinal, quand le coron s’y réunissait et décidait de prolonger la grève. Nakaé Chomin interrogeait la vie de la Cité depuis la forêt, tout comme Davi Kopenawa s’appuie sur les conceptions yanomamis pour fustiger les logiques urbaines (Kopenawa et Albert 2010). Et c’est encore au fond de la forêt que les néo-ruraux cévenols ou ariégeois, désappointés, retrouvent l’État (Hervieu-Léger et Hervieu 2005). Dans les petites sociétés sylvestres en Iakoutie, les chamanes nouent des alliances avec les esprits pour permettre le bon déroulement de la chasse (Hamayon 1990). Le long du fleuve colombien Chocó, communautés noires et indiennes se répartissent le travail magico-thérapeutique après le diagnostic d’une infortune (Losonczy 1997). Finalement, c’est peut-être en se demandant comment les forêts pensent (Kohn 2013) ou en procédant à l’analyse de leurs vies sociales (Hecht, Morrison et Padoch 2014) que les relations humains-forêts sont restituées dans l’épaisseur de leurs dynamiques et de leurs complexités
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Béchacq, Dimitri, e Hadrien Munier. "Vodou". Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.040.

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Abstract (sommario):
Le vodou haïtien compte parmi les religions issues des cultures afro-américaines telles que les différentes formes de candomblé au Brésil, la santería et le palo monte à Cuba ou encore le culte shango à Trinidad. Le vodou partage certains aspects avec ces autres religions nées de la traite et de l'esclavage des Africains, façonné par l'histoire singulière de la société dans laquelle il est s'est formé. Tout au long de l’histoire haïtienne, le vodou a été marqué par des rapports étroits avec le champ politique et religieux. Entre mythe et histoire, à la fois réunion politique et religieuse, la cérémonie vodou du Bois-Caïman est passée à la postérité comme l’événement initiateur de l’indépendance d’Haïti proclamée le 1er janvier 1804. Nées dans le contexte esclavagiste de la colonie française de Saint-Domingue, les pratiques alors assimilées au vodou (fabrication de poisons, danses, assemblées nocturnes, etc.) étaient interdites. Au XIXe siècle, différentes constitutions privilégièrent le catholicisme au détriment du vodou jusqu’au Concordat de 1860 entre Haïti et le Vatican. Si certains dirigeants haïtiens comptaient dans leurs réseaux des serviteurs du culte, d’autres soutenaient les campagnes antisuperstitieuses menées par le clergé. L’Occupation américaine d’Haïti (1915-1934) provoqua un sursaut nationaliste : l’indigénisme et le mouvement ethnologique et folklorique placèrent alors les classes populaires et le vodou au centre d’une refondation culturelle, ce qui fut ensuite récupéré par François Duvalier avec le noirisme (Béchacq 2014a). En 1986, des officiants et des temples vodou furent attaqués à la suite de l’exil de Jean-Claude Duvalier du fait de leur relation étroite, avérée ou supposée, avec la dictature. Deux premières associations de défense et de promotion du culte, Zantray et Bodè Nasyonal furent crées. Un mouvement d’institutionnalisation du vodou se développa dans les années 1990 par des militants souhaitant représenter les pratiquants dans les instances publiques nationales. En 2003, le culte fut reconnu par décret comme « religion à part entière » et en 2008, une fédération d’associations vodou désigna son représentant, Max Beauvoir, comme « Guide Suprême du Vodou » et défenseur du culte contre ses détracteurs (Béchacq 2014b). Le catholicisme, les églises protestantes et plus récemment l’islam entretiennent des relations complexes avec le vodou. Son influence est combattue par les autorités religieuses, notamment protestantes, qui appellent à la lutte contre le vodou, poursuivant ainsi l’œuvre des campagnes antisuperstitieuses catholiques (fin XIXe-milieu XXe siècles). Parallèlement, plusieurs religions peuvent être représentées dans une même famille ; l’adhésion au vodou, comme aux autres cultes, peut constituer une étape dans un parcours religieux, d’autant qu’il existe des similitudes entre vodou et pentecôtisme (glossolalie, transe, etc.). Le vodou est réputé pour être fréquenté majoritairement par des femmes, comme espace de tolérance pour les homosexuels et il existe plusieurs niveaux de rapport au vodou, du client non initié au pratiquant assidu. Si ce culte a pendant longtemps symbolisé la bipolarité socioculturelle haïtienne (pauvres/riches, noirs/mulâtres, campagne/ville, créole/français, etc.), toutes les couches sociales sont aujourd’hui représentées dans le vodou. Les serviteurs sont organisés en familles spirituelles sous l'autorité charismatique d'un oungan ou d'une manbo et liés par une filiation initiatique. De ce fait, et par son mode de transmission principalement oral, le vodou haïtien connaît une grande variabilité d'un groupe à l'autre. Une diversité régionale du vodou se manifeste dans les identités des esprits, les rites, les chants, les rythmes musicaux, la liturgie, l’initiation et dans le rapport à la possession, certains rituels régionaux valorisant des transes plus expressives. Enfin, selon qu'il soit pratiqué en ville, et surtout à Port-au-Prince, ou en milieu rural, lieu de nombreux pèlerinages, le vodou affiche des différences importantes affectant le rapport aux entités, la sophistication des cérémonies ou le rapport à l'environnement. Cette diversité amène certains auteurs à considérer qu'il existe plusieurs vodou (Kerboull 1973). L’essentiel de la liturgie est issu de rites de possessions africains, origine que l’on retrouve dans les noms des lwa (Legba, Danbala, Ogou…), dans ceux de leurs familles ou nanchon (nation), ou encore dans ceux des rituels (Rada, Nago, Kongo...) (Métraux 1958). Pendant la période coloniale, les pratiquants – principalement des esclaves mais également, à différents degrés d’implication, des colons ou des « libres de couleur » – se sont aussi appropriés le catholicisme populaire européen par l'usage des chromolithographies et des prières. Les deux autres influences sont la magie – européenne, diffusée par la circulation de livres, et plusieurs variantes africaines – et la franc-maçonnerie. Par ailleurs, le contact des esclaves avec les premiers habitants de l’île et l’usage d’artefacts taïno (haches polies, céramiques) dans le vodou étant avérés, certains intellectuels y voient la preuve d’une influence sur le culte. L'ensemble de ces influences, sans cesse retravaillées par les dynamiques sociales, a fait du vodou une « religion vivante » (Bastide 1996) parmi les religions afro-américaines. Le vodou fait partie intégrante du pluralisme médical haïtien, aux côtés de la phytothérapie populaire, des doktè fey (docteurs feuilles), de la biomédecine et de certaines églises évangéliques (Brodwin 1996 ; Vonarx 2011 ; Benoît 2015). Pour effectuer leurs trètman (traitements), les praticiens vodou recourent systématiquement à leurs entités, dépositaires du savoir thérapeutique. Les rituels de guérison et les séances de consultation prennent en charge les maux physiques, relationnels et spirituels et comprennent des bains, des prières, des boissons et/ou la confection d'objets magiques (Munier 2013). Ils sollicitent parfois des lieux spécifiques (église, carrefour, cimetière) et des éléments de l’espace naturel (rivière, mer, arbre, grotte). Ces pratiques visent à intégrer le patient dans des collectifs composés d'entités et de pratiquants, reliés entre eux par des échanges mutuels témoignant de la dimension holistique du vodou qui associe étroitement médecine et religion, environnement social et naturel. La diaspora haïtienne – en Amérique du Nord, dans la Caraïbe et en Europe francophone – s’est formée dans les années 1960 et est actuellement estimée à 2 millions de personnes. Ces communautés d’Haïtiens, leurs descendants et leur pays d’origine sont reliés par des réseaux familiaux, économiques, politiques et religieux, dont ceux du vodou (Richman 2005). Ce dernier s’est adapté à de nouveaux environnements urbains et participe de cette dynamique transnationale (Brown Mac Carthey 2001) ; Béchacq 2012). Du fait de son fort ancrage dans la culture haïtienne et de son absence de prosélytisme, le vodou est surtout pratiqué dans ces nouveaux espaces par des Haïtiens et leurs descendants, ainsi que par des Caribéens et des Africains-Américains mais assez peu par d'autres populations.

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