Letteratura scientifica selezionata sul tema "Anglais (langue) – Emprunts français – Québec (Canada)"

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Articoli di riviste sul tema "Anglais (langue) – Emprunts français – Québec (Canada)":

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Renaud, André. "Communautés ethniques et collectivités indiennes au Canada". Articles 4, n. 1 (12 aprile 2005): 91–105. http://dx.doi.org/10.7202/055165ar.

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Abstract (sommario):
Le Canada, comme les États-Unis et tous les pays des deux Amériques, a été constitué par des immigrants. Exception faite des Indiens et des Esquimaux, lesquels à l'origine vinrent aussi d'ailleurs, la population canadienne est issue d'ancêtres anciens ou récents qui, à un moment ou l'autre des trois derniers siècles, émigrèrent d'Europe. Les premiers colons du pays vinrent de France, surtout des provinces de l'Ouest, et prirent racine le long des rives du Saint-Laurent jusqu'au-delà des Grands Lacs. Ils constituèrent un groupe homogène, vite considérable, intimement identifié au milieu canadien. Ils conservèrent une culture propre qui intégrait plusieurs traits fondamentaux de la culture du peuple français de l'Ancien Régime. Toutefois, il ne faut pas oublier qu'il y a, au Canada, deux groupements ethniques d'origine française : les Canadiens français proprement dits, qui occupent le Québec et l'est de l'Ontario ; les Acadiens des provinces atlantiques. Frères et non jumeaux identiques, les deux groupements ont étendu leurs rameaux partout au Canada. C'est en particulier le cas des Canadiens français dont on retrouve les paroisses, les écoles, les collèges et d'autres institutions dans toutes les provinces à l'ouest du Québec. L'expansion acadienne est plus récente et ne s'est pas encore clairement diversifiée de la prolifération strictement canadienne-française. Après la conquête de l'Acadie et de la Nouvelle-France par l'Angleterre, des immigrants de langue anglaise montèrent des colonies américaines, plus particulièrement après la révolution de 1776, et formèrent le loyal noyau autour duquel s'est constituée la collectivité canadienne d'expression anglaise. Cette dernière n'a jamais cessé par la suite de recevoir de nouvelles recrues venant directement de la Grande-Bretagne et des deux Mondes. La collectivité d'origine française et la collectivité d'expression anglaise se sont accrues dans leurs zones respectives d'occupation initiale, chacune projetant des ramifications sur le territoire de l'autre. Les groupements de langue anglaise à l'intérieur du Canada français ont cependant toujours joui d'une position privilégiée que leurs équivalents français dans le Canada anglais n'ont jamais connue. Cent ans après la conquête, les Canadiens français du Québec et les Canadiens anglais de l'Ontario et du reste du pays acquéraient le contrôle politique de leur développement communautaire respectif en formant des États semi-autonomes. Ceux-ci, en 1867, furent unis en une confédération qui devait s'acheminer rapidement et pacifiquement vers la souveraineté complète. Le peuplement du Canada par des groupes ethniques territorialement localisés se continua durant tout le XIXe siècle. Canadiens français et Canadiens anglais, colons français et colons britanniques, envahirent les plaines de l'Ouest. Les pionniers de langue anglaise devinrent vite numériquement majoritaires et assumèrent la direction politique de trois nouvelles entités provinciales, qui se formèrent dans cette vaste région du pays, nonobstant les efforts des Métis d'expression française à la Rivière Rouge et dans le district de Batoche. D'autres colons européens vinrent à leur tour, par groupes, dans les mêmes territoires, et y formèrent des communautés homogènes d'origine allemande, ukrainienne, polonaise, etc. Bien que dans le Canada de langue française comme dans le Canada de langue anglaise soient apparues assez tôt des villes à population homogène, dont quelques-unes existent encore, l'industrialisation du pays favorisa la croissance d'agglomérations urbaines qui devinrent vite cosmopolites par suite de l'invasion de populations appartenant aux divers groupes ethniques qui se sont dirigés vers le Canada au cours des derniers cent ans. Dans les villes en formation, ces vagues d'immigrants se regroupèrent selon leurs affinités culturelles et leur appartenance ethnique. En définitive, le territoire canadien a vu la formation et l'évolution de trois types principaux de communautés ethniques : 1° les deux grands groupements de base, anglais et français, structurés parallèlement, mais non d'une façon étanche, dans tous les domaines de l'organisation sociale et coopérant à titre de partenaires dans la formation d'un Etat souverain ; 2° les communautés ethniques homogènes localisées dans les régions rurales et intégrées dans les structures provinciales ; 3° enfin, les concentrations ethniques à l'intérieur des grandes agglomérations urbaines. Nous nous arrêterons principalement à ces deux dernières catégories, en nous référant à la première seulement dans la mesure où elle permet d'éclairer et d'interpréter celles-ci.
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Amyot, Michel, Mireille Baillargeon, Claire Benjamin, Jean-François Lachapelle, Yolande Lavoie, Robert Maheu, Victor Piché e Michel Robillard. "La situation démographique du Québec à l’heure du référendum". Articles 9, n. 3 (27 ottobre 2008): 97–114. http://dx.doi.org/10.7202/600831ar.

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Abstract (sommario):
RÉSUMÉ L’article présente la situation démographique du Québec à l’heure du référendum en resituant son évolution dans le contexte démographique du Canada et des pays industrialisés. Le Québec et le reste du Canada constituent deux entités démo-linguistiques qui se différencient de plus en plus et qui se réfèrent chacune à un territoire bien délimité. Le premier, sous l’effet de la Charte de la langue française (mesure gouvernementale favorisant l’épanouissement de cette langue au Québec), devrait devenir de plus en plus français dans la composition de sa population comme dans sa langue de travail, des communications et de l’affichage. Le second devrait devenir, quant à lui, de plus en plus anglais par suite de l’assimilation grandissante de ses minorités francophones et de l’apport d’une immigration internationale importante qui vient grossir sa majorité anglophone. La population du Québec, comme celle de la plupart des pays industrialisés, est appelée à connaître une croissance lente et un vieillissement de sa structure par âge, situation qui ne présente pas que des désavantages mais qui implique certaines reconversions. Plus inquiétante sans doute est la perte relative de poids démographique du Québec dans l’ensemble canadien et ses conséquences politiques.
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Lord, Michel, e Nicole Côté. "La nouvelle québécoise et canadienne-anglaise: le spectacle d'une mosaïque". Recherche 39, n. 2-3 (12 aprile 2005): 341–62. http://dx.doi.org/10.7202/057211ar.

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Abstract (sommario):
Au Canada anglais comme au Canada français, la nouvelle fleurit depuis longtemps, mais de manière apparemment fort divergente, surtout si on l'étudié sous l'angle des représentations spatiales. À la lecture de recueils publiés de 1930 à 1980, on se rend compte que l'effet produit est celui d'une mosaïque. Cela se traduit par des postures esthétiques qui elles-mêmes trahissent des positions existentielles différentes, selon que l'on appartient à un groupe ou à l'autre. Au Québec, la nouvelle problématise souvent le désencrage spatial, la dérive de l'espace lui-même, alors qu'au Canada anglais, lesnouvelliers mettent l'accent sur les mouvements dans l'espace. Ainsi, la nouvelle au Canada serait le lieu privilégié de la dichotomie biculturelle et binationale, la nouvelle de langue française illustrant le drame d'un espace qui échappe à un certain contrôle, alors qu'au Canada anglais, elle donne à voir le caractère insaisissable du Canada front coast to coast. L'imaginaire canadien dévoile une partie de ses secrets à travers le morcellement d'un genre, le texte narratif bref, qui se construit toujours lui-même comme le spectacle d'une mosaïque.
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Castonguay, Charles. "La répartition des non-répondants à la question sur la langue maternelle aux recensements de 1971 et de 1976". Cahiers québécois de démographie 7, n. 3 (7 gennaio 2009): 95–107. http://dx.doi.org/10.7202/600771ar.

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RÉSUMÉ Aux Canadiens n’ayant pas répondu à la question sur la langue maternelle au recensement de 1971, Statistique Canada a attribué une langue maternelle déclarée par un membre de leur famille immédiate ou par un voisin habitant le même secteur de dénombrement. Au recensement de 1976, par contre, on n’a effectué aucune attribution de langue aux non-répondants. Pour 1971, rien n’est connu ni sur le résultat du procédé d’attribution, ni sur le taux de non-déclaration de langue maternelle à un niveau autre que fédéral. Nous présentons cependant de nombreuses observations indiquant qu’en 1976 tout au moins, le taux de non-réponse a varié de façon significative selon la région et le groupe linguistique. En particulier, au Québec en 1976 les francophones auraient répondu le plus régulièrement à la question, alors que les groupes linguistiques ni anglais, ni français auraient accusé les taux de non-réponse les plus élevés. En comparant les résultats de 1971 et de 1976 au niveau provincial ou infra-provincial, il convient dès lors d’attribuer aux non-répondants de 1976 une langue maternelle sur une base aussi conforme que possible à la stratégie très locale d’attribution employée pour 1971. Pour suivre l’évolution intercensitaire des compositions linguistiques du Québec ou de Montréal tout particulièrement, il importe que Statistique Canada publie une répartition linguistique des non-répondants de 1976 qui serait obtenue par la même méthode qu’en 1971.
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Grenier, Gilles. "Immigration, langues et performance économique : le Québec et l’Ontario entre 1970 et 1995". Articles 77, n. 3 (5 febbraio 2009): 305–38. http://dx.doi.org/10.7202/602354ar.

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RÉSUMÉ Cette étude contribue à deux courants de littérature relativement distincts : l’intégration économique des immigrants et les liens entre les attributs linguistiques et les revenus au Canada. L’analyse porte sur deux provinces canadiennes, le Québec et l’Ontario, et utilise les microdonnées des cinq recensements canadiens de 1971, 1981, 1986, 1991 et 1996. L’échantillon est divisé entre les non-immigrants et les immigrants (et parmi ces derniers entre ceux originaires de l’Europe et des États-Unis et ceux originaires du reste du monde) et entre les personnes parlant le français, l’anglais ou une autre langue à la maison. Dans un premier temps, on fait des comparaisons de traitements et salaires moyens en fonction des attributs de langue et d’immigration. On constate que les revenus relatifs des immigrants ont diminué dans le temps. Par ailleurs, les francophones ont amélioré leur situation économique, à la fois chez les immigrants et les non-immigrants, mais sans rattraper totalement les anglophones. Les personnes parlant des langues autres que l’anglais ou le français ont en général des revenus assez faibles. Dans un deuxième temps, on estime des régressions de gains pour voir les effets nets des attributs d’immigration et de langue. Les écarts entre francophones et anglophones sont plus faibles quand on ne considère que les effets nets, et en Ontario, ils sont même nuls ou en faveur des francophones. Une question intéressante concerne la performance économique des immigrants au Québec en fonction de leurs choix linguistiques. Les résultats montrent que les immigrants qui parlent français s’intègrent aussi bien que ceux qui parlent anglais. Malgré cela, il n’y a pas suffisamment d’immigrants qui s’intègrent à la communauté francophone pour assurer le maintien du poids démographique du français. L’auteur suggère que la politique canadienne d’immigration tienne compte de l’équilibre linguistique entre le français et l’anglais.
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Moyes, Lianne. "« Global/Local »". Dossier 30, n. 3 (8 dicembre 2005): 113–32. http://dx.doi.org/10.7202/011860ar.

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Abstract (sommario):
Résumé L’écriture anglo-québécoise a longtemps semblé isolée, tant du Québec de langue française que du Canada anglais. L’auteure propose ici une lecture d’oeuvres de Robyn Sarah, de Mary di Michele et d’Erin Mouré, qui cherchent à éviter un tel repli et qui s’engagent sur une scène globale imbriquée dans le local. Dans ces poèmes, le monde est filtré par des contiguïtés culturelles et religieuses de quartiers spécifiques, des histoires de migration dont certains noms de lieux portent la trace, et du mouvement entre le français, l’anglais et les autres langues de Montréal. Les différences entre les poétiques de ces auteures empêchent toutefois de considérer l’écriture anglo-québécoise comme une catégorie entièrement cohérente.
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Hayward, Annette. "La réception de la littérature québécoise au Canada anglais 1900-1940 : le rôle de la traduction". TTR : traduction, terminologie, rédaction 15, n. 1 (29 luglio 2003): 17–43. http://dx.doi.org/10.7202/006799ar.

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Abstract (sommario):
Résumé La nécessité de fixer des paramètres objectifs pour le projet de recherche CALQ sur la réception de la littérature québécoise au Canada anglais a entraîné entre autres une prise de conscience de la complexité des concepts de « réception », « littérature québécoise » et « Canada anglais ». Cet article, qui s’interroge sur le rôle de la traduction dans cette réception entre 1900 et 1940 – époque importante où la littérature canadienne décide de s’inventer en tant que polysystème conscient – arrive à la conclusion que, pour bien répondre à cette question, il faut problématiser également le sens du mot « traduction ». Il est évident que le rôle de la traduction a été primordial en suscitant de l’intérêt pour la littérature du Québec pendant cette période, comme l’illustrent éloquemment le « phénomène Maria Chapdelaine » et les statistiques de publication. Mais la quantité d’oeuvres non traduites dont il est question dans les périodiques et les manuels littéraires du Canada anglais oblige aussi à reconnaître l’importance d’autres facteurs tels que les « tandems littéraires » biculturels comme Lorne Pierce/Mgr Camille Roy, ainsi que la capacité de l’élite canadienne-anglaise de l’époque de lire des textes littéraires français fort complexes même si elle était souvent incapable de parler la langue. Tout ceci ne minimise en rien, cependant, l’impact idéologique au Canada anglais de la « traduction » : celle de Jean Rivard et de Maria Chapdelaine, bien entendu, mais aussi celle représentée par la poésie de l’habitant de William Henry Drummond ou les manuels d’histoire littéraire de Lorne Pierce, de Vernon Blair Rhodenizer et de Archibald MacMechan.
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Godard, Barbara. "La traduction comme réception : les écrivaines québécoises au Canada anglais". TTR : traduction, terminologie, rédaction 15, n. 1 (29 luglio 2003): 65–101. http://dx.doi.org/10.7202/006801ar.

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Abstract (sommario):
Résumé S'inspirant de la théorie de Pierre Bourdieu de la stratification violente du « champ de production culturelle » et de la théorie d'André Lefevere de la médiation hégémonique du patronage dans la survivance des oeuvres littéraires, cet essai analyse la ré-écriture de la littérature québécoise au Canada anglais par le biais des pratiques de traduction. Toronto (et New York) contribuent à la légitimation de la littérature québécoise : les maisons d'éditions anglophones choisissent ce que l'on traduit et qui le traduit — des processus de séléction qui ont féminisé la culture québécoise comme alternative au matérialisme américain. Les romans de Gabrielle Roy, Anne Hébert, et Marie-Claire Blais ont été intégrés pleinement au système littéraire anglo-Canadien où, ré-écrits comme « réalistes » et présentant une image d'un Québec unilingue anglais, ils ne circulent que dans le champ de grande production ou le champ de la production restreinte, addressés à la bourgeoisie. En dépit de l'hypothèse de Carolyn Perkes, cependant, l'écriture d'une génération féministe plus jeune (Nicole Brossard, France Théoret, etc.) n'a pas transformé les normes du champ littéraire cannadien-anglais. Un nouveau genre de « fiction/théorie» s'est développé au Canada anglais, mais il ne circule que dans le champ de production marginale (les presses féministe et d'avant-garde) sans la reconnaissance d'autres positions dans le champ culturel. En effet, dans cette fiction/théorie, la thématique du langage, qui met en relief l'asymétrie du pouvoir entre l'anglais et le français, a été fortement critiquée parce qu'elle enfreint les normes de la purété linguistique et du sens transparent qui structurent le champ de la production restreinte. Un dialogue entre féministes à travers les langues a influencé l'écriture des écrivaines québécoises pour qui le motif de la traduction informe quelques romans récents. Répondant par un jeux de variations à la violence d'une subordination symbolique, ces romans entreprennent le travail du deuil pour l'objet perdu (la mère absente, la langue unique) en employant la traduction comme une figure de perlaboration. La traduction n'implique pas la tragédie d'une perte de la langue, mais un excès carnavalesque de la répétition dans beaucoup de langues potentielles. La traduction constitue alors un accès privilégié à une créativité autre.
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Marcoux, Richard. "Deux solitudes ou One and a half ? La langue des articles cités en bibliographie comme illustration des pratiques scientifiques en sciences humaines au Canada et au Québec". Recherches sociographiques 59, n. 3 (18 aprile 2019): 435–49. http://dx.doi.org/10.7202/1058722ar.

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Abstract (sommario):
Avec leurs institutions scientifiques, leurs universités et leurs revues anglophones et francophones, le Canada et le Québec offrent un terrain particulièrement riche pour étudier les modes de fonctionnement et les échanges au sein des milieux scientifiques des deux différentes communautés linguistiques. Dans un contexte international où la production du savoir en français est traversée par d’importantes tensions, que certains résument par l’expression «Publish or Perish», il est intéressant d’examiner l’interpénétration des idées et des apports de chacune des deux communautés. La publication d’un article dans une revue scientifique ou la présentation d’un projet de recherche dans le cadre d’une demande de subvention oblige, nécessairement, de faire le point sur ce qui a été écrit et publié sur le thème de recherche qui est traité. Cette synthèse de la littérature s’inscrit en quelque sorte dans la structure de la preuve de toute démarche de recherche et permet d’illustrer l’apport original ou nouveau d’une recherche, en sciences humaines et sociales notamment. C’est cet aspect de la production scientifique qui nous intéresse ici et ce à partir de deux corpus d’informations. Nous examinerons d’abord comment la jeune relève scientifique du Canada et du Québec s’inspire différemment des travaux produit en anglais et en français. Dans un deuxième temps, nous nous intéresserons spécifiquement au traitement des bibliographies des articles publiés dans deux revues scientifiques disciplinaire,Canadian Studies in PopulationetCahiers québécois de démographie.
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Pelletier, Réjean. "Le militant du R.I.N. et son parti". Articles 13, n. 1 (12 aprile 2005): 41–72. http://dx.doi.org/10.7202/055558ar.

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Abstract (sommario):
C'est au cours de son congrès national d'octobre 1968 que le Rassemblement pour l'Indépendance Nationale s'est sabordé. Né en septembre 1960 comme mouvement d'éducation politique et groupe de pression, le R.I.N. s'est transformé en parti politique au cours d'un congrès spécial tenu à Montréal en mars 1963. Durant plus de huit ans, quoique minoritaire sur la scène politique québécoise, le R.I.N. s'est imposé comme catalyseur de la question nationale et point de référence des partis traditionnels sur le plan constitutionnel. Ayant su profiter du déblocage provoqué par la « révolution tranquille », il fut en même temps un élément actif de cette révolution. Un certain nombre d'idées qu'il avait lancées au cours de sa brève existence ont marqué les partis politiques au pouvoir ou furent reprises, plus tard, par le Parti Québécois. Sans le R.I.N., le visage actuel du Québec serait probablement différent de ce qu'il est effectivement. Mais si le R.I.N. a pu marquer la vie politique québécoise, il s'insère aussi dans le vaste courant nationaliste qui a traversé le Québec au cours du vingtième siècle. D'un nationalisme que l'on pourrait qualifier de culturel où il s'agit avant tout de défendre la langue et la culture françaises en s'opposant aux provinces anglophones afin d'affirmer, de cette façon, la spécificité française du Québec, la province est passée peu à peu à un nationalisme politique qui s'est incarné surtout (après le nationalisme négatif de Duplessis) dans ce que l'on a appelé la « révolution tranquille ». Il s'agit désormais d'assurer la défense du fait français par la reconnaissance d'une nation canadienne-française et donc d'un statut spécial pour le Québec qui est « l'expression politique » du Canada français et le point d'appui de tous ceux qui parlent français au pays. Par la suite s'établit une distinction entre le Québec et le Canada français. De plus en plus, le Québec ne cherche pas à s'affirmer en s'opposant au Canada anglais, mais à se définir par rapport à lui-même. Il n'est plus question du sort des minorités françaises en dehors du Québec que certains qualifient de combat sans issue, mais des pouvoirs nécessaires à l'État du Québec pour assurer sa survie et favoriser l'organisation et le développement de la vie collective des Québécois. Le R.I.N. a traversé une courte phase de nationalisme culturel au cours des années 1960 et 1961. Mais il s'inscrit aussi, dès sa fondation, dans le courant du nationalisme politique en réclamant l'indépendance du Québec. Bien plus, il fut pour ainsi dire l'incarnation même de ce courant en servant de point de référence aux autres partis politiques. Cependant, sous l'influence conjuguée de Pierre Bourgault à la tête du R.I.N. à partir de mai 1964 (et plus tard, d'Andrée Ferretti) et de revues à caractère socialiste comme Révolution québécoise et Parti pris, le nationalisme politique se mue progressivement en nationalisme socio-économique. Dès lors, l'indépendance politique devient un moyen pour la réalisation du mieux-être des Québécois et pour leur libération de l'emprise « capitaliste » autochtone et de la domination « impérialiste » américaine. Il s'agit d'assurer avant tout le développement social et économique du Québec au bénéfice de la collectivité québécoise tout entière et non pas de la seule bourgeoisie, qu'elle soit de langue française ou de langue anglaise. Sous cette optique, pour certains groupes, le socialisme doit passer avant l'indépendance. En d'autres termes, on est indépendantiste parce qu'on est socialiste — l'indépendance du Québec permettant l'établissement d'un socialisme véritable — et non pas l'inverse. Au sein du R.I.N., le nationalisme politique se double rapidement du nationalisme socio-économique. Le parti, en effet, va s'employer non seulement à réclamer l'indépendance politique du Québec, mais aussi à élaborer et faire connaître un programme ambitieux de développement économique et social pour le futur Québec indépendant. On pourrait ajouter que là aussi le R.I.N. fut un élément moteur de ce nouveau nationalisme, bien que le caractère socialiste de son programme fût nettement moins accusé que celui d'autres groupements de moindre importance et plutôt marginaux. Ce mariage du national et du social s'est surtout opéré au moment où le R.I.N. est devenu parti politique et a songé, de ce fait, à se doter d'un programme qui soit différent de celui des partis traditionnels. C'est donc sur cette toile de fond que s'inscrit le développement du R.I.N. au cours des années 1960-1968. C'est dans ce climat politique général qu'il convenait de le situer afin de mieux comprendre, par la suite, l'action des militants au sein du parti et la perception globale qu'ils avaient de leur propre formation politique.

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Miletic, Filip. "An investigation into contact-induced semantic shifts in Quebec English : conciliating corpus-based vector models and variationist sociolinguistic inquiry". Electronic Thesis or Diss., Toulouse 2, 2022. http://www.theses.fr/2022TOU20034.

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Abstract (sommario):
Cette thèse étudie les glissements de sens induits par le contact de langues en anglais québécois, à savoir des mots anglais préexistants utilisés avec un sens différent en raison d’une influence potentielle du français. Nous proposons une approche novatrice à l’intersection du traitement automatique des langues et de la sociolinguistique variationniste, afin de fournir une description exhaustive de ce phénomène ainsi que d’évaluer les contributions des approches sur corpus mises en œuvre ici.Afin d’effectuer des analyses computationnelles de variation sémantique, nous avons constitué un corpus composé de 78,8 millions de tweets de Montréal, Toronto et Vancouver. Le corpus a été utilisé pour mettre en œuvre différents types de modèles vectoriels, à savoir des représentations computationnelles du sens des mots. Les modèles statiques ont permis d’identifier de nouveaux glissements de sens, alors que les modèles contextuels ont permis de caractériser plus finement leurs utilisations. Malgré des résultats prometteurs, ces méthodes sont limitées par le bruit lié à leurs caractéristiques intrinsèques et à la structure du corpus.Ces approches ont été complétées par des données plus fines recueillies au moyen d’entretiens sociolinguistiques avec 15 locuteurs vivant à Montréal. Les corrélations entre les variables linguistiques et différents facteurs sociodémographiques, ainsi que les remarques qualitatives sur leur utilisation, indiquent quatre patterns de variation synchronique ; ceux-ci pourraient à leur tour refléter des processus diachroniques. Par ailleurs, la variabilité inter-locuteurs suggère un rôle important des locuteurs bilingues et plus jeunes dans l'utilisation des glissements de sens. Enfin, les scores d'acceptabilité sont faiblement corrélés avec les mesures computationnelles, ce qui suggère que ceux-ci reflètent d’autres dimensions de variation sémantique.Dans l'ensemble, cette thèse a fourni la première description systématique des glissements de sens en anglais québécois. Elle a également mis en évidence la complémentarité des approches développées dans des disciplines différentes. Ces considérations ouvrent la voie à une utilisation plus avisée des méthodes computationnelles basées sur corpus dans des études de phénomènes sociolinguistiques
This dissertation investigates contact-induced semantic shifts in Quebec English, i.e., preexisting English words which are used with a different meaning due to the potential influence of French. I propose a novel approach at the intersection of natural language processing and variationist sociolinguistics, aiming to provide a more comprehensive descriptive account as well as assess the contributions of the implemented methods.In order to conduct computational analyses of semantic variation, I created a corpus containing 78.8 million tweets from Montreal, Toronto, and Vancouver. It was used to implement different types of vector space models, i.e., computational representations of word meaning. Type-level models were used to identify new semantic shifts based on the semantic differences between Montreal and the other two cities. Token-level models were used in finer-grained analyses and allowed to further characterize their use. Despite promising results, systematic quantitative evaluation and extensive qualitative analyses suggest that these methods are hampered by noise related to their inherent characteristics as well as corpus structure.These large-scale approaches were complemented with finer-grained data collected through sociolinguistic interviews with 15 speakers living in Montreal. Varying correlations between lexical items and a range of sociodemographic factors, coupled with qualitative remarks on their use, point to four distinct patterns of synchronic variation; these in turn reflect potential diachronic processes. Interspeaker variability suggests that the use of semantic shifts is driven by speakers who tend to be younger and proficient in both English and French. The acceptability ratings are weakly correlated with computational variation measures, suggesting that they capture different dimensions of semantic variation.Overall, this dissertation has provided the first systematic description of contact-induced semantic shifts in Quebec English, and highlighted the complementarity of approaches used in different disciplines. These considerations have provided a pathway towards a better-informed use of corpus-based computational methods in studies of sociolinguistic phenomena
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Planchon, Cécile. "Avec ou sans équivalent ˸ le poids de la définition dans une analyse lexicométrique des anglicismes". Thesis, Sorbonne Paris Cité, 2019. http://www.theses.fr/2019USPCA009/document.

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Abstract (sommario):
Cette étude repose sur l’influence empirique d’un changement de paradigme définitoire sur l’utilisation des anglicismes dans la presse écrite francophone. Construite autour d’une opposition entre anglicismes en général, anglicismes avec équivalent en français et anglicismes sans équivalent, elle analyse en diachronie (2000-2015) les nombreuses différences liées au changement de définition ainsi qu’à ses retombées sur des analyses comparatives portant sur l’origine géographique (France-Québec) et la nature (« de référence » ou « populaire ») du journal. Fort de plus de 330 millions de mots, notre corpus regroupe les publications de 2000 à 2015 de quatre quotidiens différents: Le Monde et Le Parisien pour la France, Le Devoir et La Presse pour le Québec. De plus, les listes témoins, l’une de 5 416 anglicismes et l’autre de 2 934, formées à l’aide de deux dictionnaires de langue générale (Le Petit Robert 2016 et Le Multidictionnaire de la langue française-4e édition 2013) et deux dictionnaires spécialisés (Le Dictionnaire des anglicismes de Höfler et Le Colpron, dictionnaire des anglicismes-4e édition) de France et du Québec. Premièrement, les résultats que nous obtenons montrent qu’en général, la fréquence d’utilisation est faible (0,72% pour tous les anglicismes ; 0,28% pour les anglicismes avec équivalents ; 0,44% pour les anglicismes sans équivalent) que ce soit en France ou au Québec, ce qui est plutôt conforme aux conclusions des études précédentes. Il y a cependant des différences quant aux résultats obtenus pour chaque analyse étant donné que le taux d’anglicisme est une fois et demi plus faible selon que l’on considère qu’un anglicisme doit avoir un équivalent ou non. Cela montre que la définition du concept d’« anglicisme » a un impact incontestable sur la fréquence affichée. Deuxièmement, nous observons que ce changement de définition influe également sur des critères d’analyse spécifiques tels la diatopie ou la nature des journaux
This study addresses the impact of a definition paradigm shift on the use of anglicisms in the French-speaking written press. Built around a diachronic analysis (2000-2015) of the numerous differences linked to a change of definition, it also ventures into the impact such a change may have on comparative analysis focusing on geographical origin (France vs Quebec) or the nature of the newspaper (“of record” vs “popular”). It aims at contributing to the literature though two different aspects:(1) This study is the only conceptual work to highlight what sort of impact a change in the definition of “English borrowing” can have on the frequency of anglicism usage. It shows through an opposition with/without French equivalents, that an analysis focused only on anglicisms for which French provides an equivalent – those Forest and Boudreau (1998) consider “unnecessary” or “erroneous” (Villers, 2009) – reveals an important drop in the usage frequency compared to an analysis based on all anglicisms. It also unveils that, out of three anglicisms extracted from my corpus, two have no equivalents in French and are de facto unavoidable.(2) This research is, to my knowledge, one of the first in comparative study to show, with empirical evidence, how definition affects not only usage frequency, but also dictates the way newspapers develop over time depending on different criterion. Based on two different angles of comparison (geographical origin and nature of the journal), I also show that a change in the definition leads to different evolution trajectories, different relationships between our newspapers and different diachronic variations. To answer my research questions, I built one of the largest corpora ever used for a study on anglicisms. With more than 330 million words, it gathers all the articles published by four different newspapers for the years 2000, 2005, 2010 and 2015: Le Monde and Le Parisien for France, and Le Devoir and La Presse for Quebec. I also used two lists of keywords composed of 5416 and 2934 anglicisms taken from two general dictionaries (Le Petit Robert 2016 and Le Multidictionnaire de la langue française–4th edition 2013) and two specialized dictionaries (Höfler’s Dictionnaire des anglicismes–1982 and Le Colpron, dictionnaire des anglicismes–4th edition). By going far beyond what previous studies have done, it offers a more advanced overview than usual.First, my results show that the usage frequency is generally low (0.72% for all anglicisms; 0.28% for anglicisms with equivalents only; 0.44% for anglicisms without equivalents only) both in France and Quebec, which is consistent with the findings of previous studies. However, I find clear differences in terms of results for each analysis, as the frequency rate for anglicisms with equivalents is 1.5 times lower than the frequency rate for anglicisms without equivalent. This proves that the definition of the very concept of “anglicism” directly influences the frequency of usage. Second, I observe that this change of definition also affects comparative analysis focused on specific criteria such as the geographical origin or the nature of the newspapers. My study thus reveals great nuances in terms of trend over 15 years according to which definition is used: for instance, results for Quebec newspapers are slowly decreasing over time when anglicisms with equivalents are concerned, – especially for Le Devoir, whereas they increase when anglicisms do not have an equivalent. When it comes to the nature of the newspaper, Le Parisien, which is the newspaper that uses the most anglicisms of the four, forms a much more heterogeneous duo with La Presse when only anglicisms with equivalents are taken into account. They also give prominence to Le Devoir and Le Monde whose evolution trends are close to identical when the broader definition of Anglicism is used but a bit more asymmetric when equivalents come into play
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Paquet-Gauthier, Myriam. "Sens influencés de l'anglais en français au Québec : utilisation, perception et intégration". Master's thesis, Université Laval, 2015. http://hdl.handle.net/20.500.11794/26506.

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Abstract (sommario):
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdorales, 2015-2016
Cette recherche porte sur le phénomène de l'influence sémantique de l'anglais sur le français au Québec. Nous nous intéressons en particulier à la relation entre la perception qu'ont les locuteurs québécois de sens influencés de l'anglais et les conditions d'utilisation et d'intégration de ces sens à la signification lexicale en français. Cette question est abordée à travers l'étude de 19 unités lexicales traditionnellement considérées comme des emprunts sémantiques à l'anglais. Suivant une double analyse menée sur un corpus lexicographique composé de 61 ouvrages et sur un corpus de productions authentiques appartenant à différents types de discours d'un volume total de 427,5 millions d'occurrences-mots, il apparaît que le facteur principal permettant à un sens « étranger » d'être utilisé en français n'est pas lié exclusivement à la ressemblance formelle entre les unités lexicales en français et en anglais, mais est plutôt d'ordre sémantique. Le degré d'intégration de ce sens « étranger » à la signification lexicale dépend de la perception, par les locuteurs, d'une communauté de sens entre celui-ci et les autres acceptions de l'unité lexicale.
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Guay, Thérèse. "L'adaptation orthographique des anglicismes lexématiques au Québec, perspective historique". Thesis, National Library of Canada = Bibliothèque nationale du Canada, 2000. http://www.collectionscanada.ca/obj/s4/f2/dsk2/ftp03/MQ49098.pdf.

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Tremblay, Alice, e Alice Tremblay. "L'emprunt de « fuckin' » en français québécois parlé à Montréal : un cas d'infixation". Master's thesis, Université Laval, 2020. http://hdl.handle.net/20.500.11794/39091.

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Abstract (sommario):
Protocole d'entente entre l'Université Laval et l'Université du Québec à Chicoutimi
Protocole d'entente entre l'Université Laval et l'Université du Québec à Chicoutimi
Cette étude établit le statut d’infixe de l’emprunt fuckin’ en français québécois parlé à Montréal. L’infixation de fuckin’ est un phénomène bien connu en anglais, mais qui n’a fait l’objet d’aucune étude approfondie en français du Québec jusqu’à maintenant. Une analyse de 1200 tweets du français parlé à Montréal et de près de 1000 tweets de l’anglais a permis de décrire et de quantifier les usages de fuckin’ pour la zone géographique à l’étude. Cette analyse révèle que la grammaticalisation de fuckin’ est en cours en français parlé à Montréal et que les usages morphologiques de fuckin’ ont bel et bien intégré cette variété de français. Pour mieux explorer le phénomène en question en synchronie, cette contribution compare les usages de fuckin’ en français avec ses usages en anglais. La comparaison des deux corpus de tweets indique que l’infixation n’est pas plus ancrée dans l’usage en anglais qu’en français et que le statut de l’infixation est similaire dans les deux langues, du moins à Montréal. Il semble cependant que le processus d’infixation diffère, entre autres en raison de la structure accentuelle différente de l’anglais et du français.
Cette étude établit le statut d’infixe de l’emprunt fuckin’ en français québécois parlé à Montréal. L’infixation de fuckin’ est un phénomène bien connu en anglais, mais qui n’a fait l’objet d’aucune étude approfondie en français du Québec jusqu’à maintenant. Une analyse de 1200 tweets du français parlé à Montréal et de près de 1000 tweets de l’anglais a permis de décrire et de quantifier les usages de fuckin’ pour la zone géographique à l’étude. Cette analyse révèle que la grammaticalisation de fuckin’ est en cours en français parlé à Montréal et que les usages morphologiques de fuckin’ ont bel et bien intégré cette variété de français. Pour mieux explorer le phénomène en question en synchronie, cette contribution compare les usages de fuckin’ en français avec ses usages en anglais. La comparaison des deux corpus de tweets indique que l’infixation n’est pas plus ancrée dans l’usage en anglais qu’en français et que le statut de l’infixation est similaire dans les deux langues, du moins à Montréal. Il semble cependant que le processus d’infixation diffère, entre autres en raison de la structure accentuelle différente de l’anglais et du français.
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Sayilov, Emil. "La néologie lexicale (depuis 1960) et son actualisation en français du Québec". Thesis, Strasbourg, 2012. http://www.theses.fr/2012STRAC029.

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Abstract (sommario):
Marqué par l’afflux des emprunts d’origine anglaise jusqu’à « La Révolution tranquille », l’état de la néologie lexicale québécoise reste aujourd’hui à découvrir. C’est dans cette optique que cette étude cherche à situer la néologie lexicale québécoise à partir d’un corpus des mots récents dont l’analyse démontre que la néologie lexicale québécoise connaît des sources d’enrichissement variées et que sa productivité est différente suivant le type, procédé de formation, origine, etc. du néologisme. Afin de mesurer l’efficacité de la néologie lexicale québécoise, elle s’intéresse également à son actualisation, c'est-à-dire, à sa reconnaissance et fréquence d’usage dans la langue à travers un sondage linguistique réalisé au Québec.Ce travail ouvre des perspectives pour une étude comparée des susdits aspects de la néologie lexicale québécoise avec le français de France
Marked by the influx of English borrowings until “The Quiet Revolution”, the state of the lexical neologisms in Quebec French today has yet to be researched. In this context, this study seeks to classify lexical neologisms in Quebec French taken from a corpus of words which was recently analyzed and shows that Quebec lexical neologisms have varied sources of enrichment and their difference in productivity dependent on their type, formation process, origin, etc. In order to measure the effectiveness of lexical neologisms in Quebec French, this paper is also interested in its actualization that is its recognition and frequency of use in the language monitored in a linguistic survey conducted in Quebec.This work provides news perspectives and ideas for a comparative study on the aforementioned aspects of lexical neologisms in Quebec French and the French language of France
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Kramar, Nataliya. "Le fonctionnement des anglicismes lexématiques dans le magazine humoristique québécois Croc". Thesis, Université Laval, 2013. http://www.theses.ulaval.ca/2013/30026/30026.pdf.

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Abstract (sommario):
Cette thèse touche à la problématique de l’anglicisme en français québécois. Elle étudie d’une manière approfondie deux aspects, dénotatif et connotatif, du fonctionnement de quinze anglicismes lexématiques québécois (bingo, cheap, chum, coke, fun, gang, hamburger, hot-dog, job, joke, party, pinotte, pot, smatte, waiter/waitress). Nous avons postulé que rendre compte de ce double fonctionnement permettrait d’expliquer à quoi tient la vitalité des anglicismes québécois, de saisir leur lien avec l’identité québécoise, et de mieux comprendre les causes internes du phénomène de l’anglicisme. Le corpus tiré du magazine humoristique québécois Croc (1979-1995), riche du point de vue de l’usage des anglicismes, et significatif eu égard à l’identité québécoise, s’est avéré pertinent pour atteindre nos objectifs. Suite au dépouillement de Croc, nous avons constitué une base de données des anglicismes ; les quinze mots les plus fréquents de cette base ont fait l’objet d’un examen approfondi. Pour analyser leurs dénotations, nous nous sommes appuyée, pour l’essentiel, sur la méthode élaborée par Mel’čuk, Clas et Polguère dans l’Introduction à la lexicologie explicative et combinatoire (1995). Pour examiner leurs connotations, nous avons repris, en l’ayant adaptée à nos besoins, la typologie établie par Kerbrat-Orecchioni dans La connotation (1977), et nous avons développé, à partir de diverses sources, quelques techniques permettant de décoder les connotations des anglicismes à partir de textes écrits. Deux constats principaux se dégagent de notre analyse. L’étude des dénotations des anglicismes démontre leur polysémie, témoin de leur vitalité comprise comme « productivité sémantique » (sens linguistique du terme vitalité). L’analyse des connotations permet d’expliquer la vitalité des anglicismes, comprise dans le sens large du terme, celui de « dynamisme, énergie, spontanéité ». En effet, la nature « glissante » – parce que très diversifiée, ludique, liée à un espace-temps et à une vision du monde spécifiques – des connotations révèle leur texture, à proprement parler, vivante et leur lien étroit avec une identité particulière (québécoise en l’occurrence). Bien que résistantes à toute forme de fixité, les connotations n’en sont pas moins susceptibles d’une certaine codification et d’une certaine description, comme essaie de le démontrer cette étude.
This thesis deals with the problem of lexical borrowing from English into French. More precisely, we analyse the way English loanwords function in Quebec French (QF), after having assumed that a better understanding of this functionning can provide an explanation as to the vitality of these anglicisms in QF, as well as help to grasp the relation between these anglicisms and Quebec identity, and shed some more light on the causes of the loanword phenomenon. Our corpus has been extracted from the Croc humor magazine, rich in English loanwords and revealing, as it appeared to us, in terms of Quebec identity. Thirty issues of this magazine were looked through in order to establish our database of lexical anglicisms. The fifteen most frequent words of this list (bingo, cheap, chum, coke, fun, gang, hamburger, hot dog, job, joke, party, pinotte, pot smatte, waiter/waitress) were then analyzed according to two aspects. First, to describe denotations, we partly applied models supplied by the Explanatory and Combinatorial Lexicology Framework developped by Mel’čuk, Clas and Polguère (1995). Then, to identify the connotations of anglicisms in the texts of Croc, we used an adaptation of the classification of connotative facts established by Kerbrat-Orecchioni in The Connotation (1977). Our analysis of lexical anglicisms in QF led to two main conclusions. First, the study of denotations has revealed their polysemy, i.e. “ semantic productivity ”, which proves their vitality in the linguistic, limited, sense of the word. The study of connotations seems to help to explain their vitality in the broad sense of the word, i.e. “ dynamism, energy, spontaneity ”. The “ slippery ” essence of connotations – diverse, playful, related to a given space and time and to a certain “ worldview ” – has indeed confirmed their vital texture and revealed their close relation to a specific (namely Quebec) identity. Our thesis tries to show that codification of connotations, however difficult, is possible to some extent.
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Djiecheu, Yannick. "Cultures éducatives et traditions d’enseignement des langues officielles au Canada : Analyses de textes officiels, de manuels et de témoignages d’enseignants en Ontario et au Québec". Thesis, Paris 3, 2011. http://www.theses.fr/2011PA030017.

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Abstract (sommario):
Fondée sur le postulat qu’en didactique des langues, les pratiques pédagogiques se trouvent profondément marquées par la variation, la présente recherche pose que ces variations et leurs facteurs s’expliquent par des cultures éducatives et linguistiques divergentes en présence. A travers l’analyse comparée de textes officiels, de manuels et de témoignages d’enseignants au Canada, on se propose d’illustrer la thèse selon laquelle des traditions d’enseignement différentes pour le français et l’anglais enseignées comme langues secondes peuvent émerger dans les discours sur l’enseignement des langues secondes dans ce pays. Ces traditions viendraient ainsi y poser la question d’une culture éducative et didactique commune et partagée
Starting from the premise that practical language teaching is deeply characterized by variations,this research suppose that face to face and divergent educational and linguistic cultures canexplain these variations and their factors. Through a comparative analysis of Canadian officialtexts, textbooks and teachers’ discourses, we aim to show that divergent teaching traditionsbetween French and English as second language can appear in the discourses about secondlanguage teaching in this country. In this way, these traditions could ask the question about acommon and shared educational and teaching culture in Canada

Libri sul tema "Anglais (langue) – Emprunts français – Québec (Canada)":

1

Pellerin, Jean. Pour l'amour de la langue française au Québec et au Canada. Montréal, Qué: Guérin, 1998.

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Chouinard, Camil. 1500 pièges du français écrit et parlé au Québec et au Canada. 3a ed. Montréal: Éditions La Presse, 2007.

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3

Chouinard, Camil. 1300 pièges du français parlé et écrit au Québec et au Canada. Montréal, PQ: Libre expression, 2001.

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4

Chouinard, Ephrem. Le parler français à Québec: Conférence donnée sous les auspices du Conseil no 446 des Chevaliers de Colomb de Québec, le 10 avril 1912. [Québec?: s.n., 1995.

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5

Bertrand, Guy. 400 capsules linguistiques =: Quatre cents capsules linguistiques. Outremont, Qué: Lanctôt, 1999.

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Delisle, Yvon. Mieux dire, mieux écrire: Petit corrigé des 2000 énoncés les plus malmenés au Québec. 4a ed. Québec: Septembre, 2007.

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Delisle, Yvon. Mieux dire, mieux écrire: Petit corrigé des 1500 énoncés les plus malmenés au Québec. 3a ed. Sainte-Foy, Québec: Septembre éditeur, 2003.

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Delisle, Yvon. Mieux dire, mieux écrire: Petit corrigé des 2500 énoncés les plus malmenés au Québec. 5a ed. Québec]: Septembre, 2011.

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9

Mougeon, Raymond. Linguistic consequences of language contact and restriction: The case of French in Ontario, Canada. Oxford: Clarendon Press, 1991.

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10

Mougeon, Raymond. Linguistic consequences of language contact and restriction: The case of French in Ontario, Canada. Oxford: Oxford University Press, 1990.

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