Letteratura scientifica selezionata sul tema "Analyse environnementaliste"

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Articoli di riviste sul tema "Analyse environnementaliste":

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Berre, David, Stéphane Blancard, Jean-Philippe Boussemart, Hervé Leleu e Emmanuel Tillard. "Analyse de l'éco-efficience du secteur laitier réunionnais : confrontation des objectifs productiviste et environnementaliste". Revue d'économie politique 123, n. 4 (2013): 549. http://dx.doi.org/10.3917/redp.234.0549.

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Saied, Saoussen, Pierre Grenier, Emmanuel Geoffriau, Bernd Pölling, Bruno Kezeya e Hichem Rejeb. "Analyse des visions de l’agriculture urbaine et péri-urbaine tunisienne en vue de proposer un programme de formation". Cahiers Agricultures 31 (2022): 20. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2022017.

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Abstract (sommario):
La question de l’agriculture urbaine et périurbaine (AUP) est aujourd’hui d’actualité en Tunisie parce qu’elle devient une préoccupation des politiques territoriales et des stratégies agri-urbaines en termes de gestion et de durabilité des milieux. Mais cette thématique multidisciplinaire présente encore des imprécisions et des tautologies dans les terminologies et dans l’acceptabilité de ce champ de production hybride agricole et urbain. C’est dans ce contexte que ce travail est entrepris pour cerner la vision de l’AUP par les acteurs publics, parapublics et privés. Les enquêtes menées directement (en face à face) auprès d’une population représentative de 85 acteurs révèlent un dualisme caractérisé à la fois par une « distanciation » et une « non distanciation » dans les différentes qualifications de l’AUP. La tendance montre plutôt une crise dans sa professionnalisation et dans sa visibilité, toutes deux réduites. Cependant, l’ensemble des populations enquêtées converge vers l’affirmation de l’intérêt de l’AUP, dans une vision limitée au productivisme de l’agriculture. Pour 58 % des acteurs publics, l’AUP est utile, mais plutôt dans une vision de production agricole résiduelle ; 30 % des acteurs publics la considèrent plutôt comme étant une activité en transition, de latence, de stock, ou de réserve foncière. Les acteurs parapublics présentent un ancrage dans les dimensions socio-spatiales, et ce, dans une logique agri-paysagère environnementaliste. Cette qualification est identifiée chez les trois quarts des acteurs parapublics et chez 50 % des acteurs publics. Une toute autre qualification est exprimée par les acteurs privés, plutôt tenants d’un urbanisme vert, car plus des deux tiers privilégient les services agroécologiques de médiation, les métiers verts et de l’obtention de produits agricoles de qualité et de proximité.
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PAEHLKE, Robert. "Environnementalisme et syndicalisme au Canada anglais et aux États-Unis". Sociologie et sociétés 13, n. 1 (30 settembre 2002): 161–79. http://dx.doi.org/10.7202/001540ar.

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Abstract (sommario):
Résumé Cet article décrit et analyse les rapports entre deux mouvements : le syndicalisme et le mouvement environnemental en Amérique du Nord anglophone. L'auteur discute d'abord des origines du mouvement environnemental dans les mouvements de conservation, qui sont distincts et plus imciens, en examinant les conflits possibles entre le mouvement environnemental et la gauche traditionnelle. Il présente ensuite un bref historique des contacts récents au niveau orga-nisationnel entre les syndicats et les groupes environnementaux et rend compte de la documentation sur deux sujets importants et connexes : l'hygiène industrielle (pollution sur les lieux de travail) et l'impact des demandes des groupes environnementaux sur les niveaux d'emploi. En conclusion l'auteur analyse les perspectives à long terme pour la coopération entre les groupes environnementaux et le mouvement syndicaliste.
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Isabel, Mariève. "Contre-culture et environnementalisme au Québec : Une écosociété à bâtir". Ecozon@: European Journal of Literature, Culture and Environment 10, n. 2 (15 ottobre 2019): 76–88. http://dx.doi.org/10.37536/ecozona.2019.10.2.3009.

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Abstract (sommario):
Résumé En lisant les commentaires de la critique littéraire contemporaine à propos des discours contre-culturels des années 1970, il ressort parfois que l’héritage laissé par ce mouvement au Québec est assez mince. On pourrait conclure que la contre-culture n’a finalement pas laissé de grandes traces dans les discours d’aujourd’hui et qu’elle n’a pas modifié en profondeur ni en surface les discours politiques de la société québécoise. Mais qu’en est-il du vaste mouvement environnemental que l’on observe depuis environ deux décennies? Ne fait-il pas partie, lui aussi, de l’héritage contre-culturel? Dans cet article, j’aimerais suggérer que l’héritage laissé par la contre-culture est à rechercher du côté de l’environnementalisme qui caractérise le 21e siècle. Pour comprendre comment les discours de la contre-culture ont contribué à façonner les discours environnementaux d’aujourd’hui, je propose de centrer mon analyse sur l’idée d’une société utopique à créer, pour montrer que l’héritage contre-culturel se retrouve en grande partie dans l’imaginaire environnemental québécois et plus précisément dans l’idée d’une « écosociété ». À partir de quelques numéros de Mainmise et d’essais de l’époque, il sera possible de montrer la résonnance de ces discours dans la littérature québécoise contemporaine.
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Milani, Carlos R. S., e Ruthy Nadia Laniado. "Solidarités environnementales, contestation transnationale et renouvellement de la politique mondiale". II Solidarités des militants : des figures du changement, n. 58 (6 febbraio 2008): 133–44. http://dx.doi.org/10.7202/017556ar.

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Abstract (sommario):
Résumé L’ordre politique de la mondialisation est un champ conflictuel de relations économiques, culturelles et sociales au sein duquel les mouvements sociaux transnationaux construisent une nouvelle politique située au-delà des institutions traditionnelles. Cet article vise à proposer un cadre d´analyse théorique illustré à partir de la contribution d´un mouvement reconnu sur la scène internationale qui a réussi à mener une action politique transnationale dans le champ de l´environnementalisme. Dans ce cadre, les auteurs soulignent la convergence de six catégories d’analyse de l´action collective mise en oeuvre par les mouvements de protection de l´environnement. Les six catégories suggérées (statut de compétence, articulation des échelles, temporalité, multiplicité des identités et des représentations, structure organisationnelle, visibilité) mettent en relief le besoin de reconsidérer le sens hégémonique de la politique mondiale fondée exclusivement sur le marché et les négociations interétatiques.
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Marceau, Gabrielle. "L’affaire “CE — Amiante” et la nouvelle jurisprudence de l’Organe d’appel de l’OMC concernant les risques à la santé". Canadian Yearbook of international Law/Annuaire canadien de droit international 38 (2001): 213–35. http://dx.doi.org/10.1017/s0069005800007384.

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Abstract (sommario):
SommairePour la première fois, l’Organe d’appel, dans l’affaire CE — Amiante, offre une analyse plus globale de la relation entre l’obligation de traitement national (article III du GATT) et la possibilité d’invoquer des exceptions (article XX du GATT). Mettant de côté la littérature et l’approche traditionnelle qui semblaient mettre en opposition les soucis des environnementalistes (et défenseurs de la protection de la santé) et les réalités des marchés, l’Organe d’appel statue que les risques à la santé peuvent affecter la détermination de “similarité” entre marchandises (celles à risque et celles sans risque à la santé). De ce fait, l’Organe d’appel conclut que les risques à la santé peuvent affecter les propriété physiques des marchandises, de même que les goûts et perceptions de consommateurs concernant ces marchandises, deux des quatre critères qui doivent nécessairement faire l’objet d’analyse dans la détermination de similarité entre marchandises importées et marchandises domestiques — une détermination reposant essentiellement sur la relation de concurrence entre ces marchandises nationales ou importées.Continuant sa croisade sur le sens et la portée de l’Article XX du GATT, l’Organe d’appel réitère les nouveaux paramètres du test de “nécessité” de l’article XX — dont l’importance relative de l’intérêt commun ou des valeurs communes que la loi ou le règlement que l’on veut faire respecter est censé protéger, l’efficacité de la mesure et son impact sur le commerce — et mettra ainsi de coté le test traditionnel basé essentiellement sinon exclusivement sur l’existence d’alternatives moins restrictives sur le commerce.
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Lacuisse, Marie-Esther, e Franck Poupeau. "La « cowboy ecology » revisitée. L’évolution des pratiques de pâturage et de conservation de la nature dans le sud de l’Arizona". Natures Sciences Sociétés, 2023. http://dx.doi.org/10.1051/nss/2023034.

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Abstract (sommario):
Cet article analyse, à partir du cas de l’engagement de ranchers dans le sud de l’Arizona dans des programmes de protection de l’environnement, l’évolution des pratiques de conservation des « rangelands » et plus largement de la nature dans les zones semi-arides de l’Ouest étasunien. Loin de l’image du cowboy conquérant et destructeur que certains environnementalistes continuent de véhiculer, il donne à voir des ranchers qui s’investissent dans des pratiques destinées à protéger les écosystèmes et qui se transforment ainsi en entrepreneurs de conservation susceptibles de participer à la production de savoirs écologiques. L’article rend compte dans ce cadre (1) de politiques de protection de la nature qui ne valorisent plus seulement la planification d’espaces sauvages (wilderness) mais un travail collaboratif à partir des « working landscapes » et (2) des conditions de la valorisation d’une cowboy ecology qui participe au renouvellement de la gestion étatique des ressources naturelles et des terres.
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Doyon, Sabrina. "Environnement". Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.007.

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Abstract (sommario):
Le mot environnement est polysémique. Selon les contextes et les disciplines, on peut référer à l’environnement physique, naturel ou social. Il est parfois associé, à tort, aux notions d’écosystème et de ressources naturelles. Ces ambiguïtés sont intéressantes du point de vue de l’anthropologie, car elles révèlent la multitude de réalités auxquels le terme réfère ainsi que les divers usages et pratiques auxquels il est lié et, surtout, aux différentes façons dont il peut être pensé, imaginé, transformé, projeté et vécu selon les groupes sociaux et culturels. Depuis les années 1960, les préoccupations liées à l’environnement sont très présentes. Cette situation est à mettre en lien avec trois phénomènes : l’émergence des inquiétudes à l’égard de la contamination causée par l’industrialisation et envers la surexploitation de la nature qui sont sans cesse croissantes, l’avènement des mouvements écologistes et environnementalistes qui ont publicisé ces enjeux dans la société et l’institutionnalisation de l’environnement, notamment par la mise en place un peu partout dans le monde de ministères de l’Environnement, de politiques environnementales et de législations concernant l’usage de la nature. Tout en interrogeant les concepts de nature et de culture, plusieurs approches au sein de l’anthropologie questionnent l’environnement par l’étude des différents types de rapports qu’entretiennent les êtres humains avec ce qui les entoure, ce qui les supporte et les constitue. L’écologie culturelle de Steward (Steward 1955), l’approche écosystémique de Rappaport (1967), l’ethnoscience et l’ethnoécologie (Haudricourt 1956), l’œuvre d’anthropologie structurale de Lévi-Strauss, les travaux relatifs aux rapports à la nature, des vivants et des non-vivants (Ellen et Katsuyochi 1996; Descola 2005; Viveiros de Castro 2009), et ceux propres à la perception et à « l’habiter » (Ingold 2000) sont parmi les approches anthropologiques ayant fait de l’environnement et de la nature le centre de leur réflexion. Elles s’inscrivent à la fois dans les courants matérialistes et symboliques de l’anthropologie et dans les écoles anglo-saxonnes et françaises de l’étude des relations socio-environnementales. Ces catégorisations ne sont toutefois pas absolues : des chevauchements et des emprunts enrichissent aujourd’hui les réflexions de chacun. Depuis les années 1990, les recherches anthropologiques concernant les relations entre l’environnement et les êtres humains sont nombreuses, variées et croissantes; elles intègrent souvent des approches propres à d’autres disciplines, telles que la géographie, la sociologie, les sciences politiques et la philosophie, et combinent des recherches fondamentales et appliquées. L’écologie politique (political ecology : approche critique des changements environnementaux qui analyse les liens entre des enjeux écologiques et d’économie politique) est un exemple de courant théorique phare qui intègre ces disciplines et qui rallie de nombreux chercheurs en anthropologie (Bryant et Bailey 1997; Escobar 1996; Gauthier et Benjaminsen 2012; Biersack et Greensberg 2006; Peet, Robbins et Watts 2011). Les efforts de compréhension de la pluralité des modes d’interprétation, de représentation et d’incorporation de l’environnement se nourrissent aussi d’études en histoire environnementale et questionnent les perceptions et les constructions sociales de la nature. Les concepts de natures humanisées (issues d’aménagements ou de perturbations anthropiques) y sont mis en rapport avec ceux de natures « sauvages et primaires »; des remises en question des idéaux de la wilderness, évoqués dans la tradition anglo-saxonne (Cronon 1995; Balée 2006), en émergent, démontrant qu’une supposée nature originelle n’aurait jamais existé et que l’environnement est, au contraire, travaillé, médié, construit par des actions humaines depuis la présence des premières communautés humaines. Ces clarifications amenées par l’anthropologie s’ancrent dans des compréhensions de la nature organisées par des savoirs environnementaux locaux et autochtones (Menzies 2006) qui sont souvent discrédités par la science positiviste occidentale (Fairhead et Leach 2003). Ces recherches sont également alimentées par des réflexions récentes en sciences de l’environnement où le modèle homéostatique de la nature (dans lequel les écosystèmes, en tant que systèmes, tendraient vers un équilibre via des mécanismes de rétroaction régulateurs) est contesté, préférant des approches qui intègrent le chaos et l’incertitude (Scoones 1999). Dans tous les cas, ces recherches s’attachent à montrer que les divisions conceptuelles entre la nature et la culture, la société et l’environnement ne sont pas universelles et s’ancrent plutôt dans des constructions modernes (Latour 1991). Ces réflexions foisonnantes ne sont pas étrangères aux analyses anthropologiques des discours environnementaux qui s’intéressent notamment à la cristallisation de certaines formules, telles que : les forêts cathédrales, le développement durable, la désertification et les changements climatiques (Crate et Nuttall 2009; Redclift 1987; Sachs 1993) et à leurs portées sociale et culturelle. Plusieurs auteurs exposent ainsi les conséquences sociales et politico-économiques variées, tant locales qu’internationales, des discours globalisés sur l’environnement dont les enjeux, connotés de conceptions « occidentales » anthropocentristes du rapport à la nature, sont énoncés et répétés par un petit groupe d’experts lors de récurrentes « grandes messes » internationales que sont les Conventions cadre des Nations unies sur les changements climatiques, les Conventions sur la diversité biologique et les Sommets de la Terre. Ces nouveaux processus politiques par lesquels l’environnement est gouverné et contrôlé, nommé environnementalité (Agrawal 2005), constituent des phénomènes où la nature est conçue comme un espace propre à l’intervention du gouvernement. Les anthropologues s’intéressent à ces processus, ainsi qu’aux enjeux qui y sont discutés, comme la justice environnementale, les réfugiés climatiques et le racisme environnemental, des termes qui témoignent de l’intrication sociale, politique, économique et culturelle inhérente à la situation écologique mondiale actuelle. Des recherches examinent également les mécanismes de négociation des enjeux élaborés lors de ces évènements et les structures qui codifient les échanges permettant à certaines voix d’être entendues tandis que d’autres sont tues. Les discours environnementaux globalisés sont au cœur des mouvements de protection de la nature, engendrés tant par des organismes privés qu’étatiques, qui s’incarnent notamment dans la création, exponentielle depuis les années 1980, de parcs naturels, de réserves ou d’aires protégées (Adams et Hutton 2007; West, Igoe et Brockington 2006). La constitution de ces territoires n’est pas nouvelle : elle a ses racines dans la colonisation de l’Amérique du Nord, de l’Afrique et de l’Inde. Elles furent d’abord créées à l’initiative des colonisateurs qui voulurent protéger une nature « sauvage » idéalisée comme étant vierge et qu’ils « découvraient »; une nature dont le caractère inaltéré avait, selon eux, disparu en Europe. L’instauration de ces parcs se fit cependant au prix de l’expulsion des populations autochtones qui les occupaient (Igoe et Brockington 2007). Les études des rapports qu’entretiennent spécifiquement les populations autochtones avec l’environnement sont d’ailleurs très riches et nombreuses et constituent tout un champ de recherche (Colchester 2003[1994]). Les anthropologues étudient comment la création de ces aires protégées, en transformant des paysages en lieux de contemplation et de protection de la nature, contribue à transformer l’espace et les rapports sociaux. L’espace est d’ailleurs un concept de plus en plus utilisé en anthropologie dans l’examen des relations socio-environnementales. Ces espaces protégés sont aussi le lieu d’initiatives de patrimonialisation de la nature (Roigé et Frigolé 2010) qui ne sont pas sans soulever des questionnements critiques. Le développement du tourisme et de l’écotourisme dans ces espaces protégés (Duffy 2008, Stronza 2001) amènent, entre autres conséquences, une valorisation de certaines espèces « charismatiques » au détriment d’autres entités constituant les écosystèmes. L’exploitation de la nature par le truchement de systèmes de production mécanisés et industriels en agriculture, dans les pêches, la foresterie, l’exploitation minière et l’extraction des carburants fossiles est au cœur des préoccupations de l’anthropologie de l’environnement. Cette dernière questionne les modes d’appropriation de ces « ressources naturelles » en s’intéressant notamment aux préoccupations de l’éthique environnementale, des mouvements écologistes et environnementalistes (Peluso 1992; Latour 2004) ainsi que des autres mouvements sociaux, notamment anarchistes et féministes, qui s’insurgent contre des modèles de développement de l’environnement délétères, sexistes et iniques (Rocheleau, Thomas-Slayter et Wangari 1996). Ces préoccupations s’arriment à celles exprimées à l’égard des effets de la privatisation, de la marchandisation et de la re-régulation des dimensions fonctionnelles, symboliques, esthétiques et contemplatives de la nature et du vivant, ce que se propose d’étudier un nouveau courant anthropologique se penchant sur les processus de la « néolibéralisation » de l’environnement (Castree 2008; Igoe et Brockington 2007).
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Feldman Marzochi, Samira. "O “ANIMAL ELETRÔNICO”: dilemas do ciberativismo verde". Caderno CRH 28, n. 73 (30 settembre 2015). http://dx.doi.org/10.9771/ccrh.v28i73.19512.

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Abstract (sommario):
73 SamiraCombinando as principais contribuições teóricas do Estruturalismo, Fenomenologia e Teoria Crítica, este artigo parte do pressuposto de que a vulgarização do termo “rede” tem contribuído para um entendimento apologético de fenômenos contemporâneos relacionados ao tema da política e da comunicação, incluindo-se a prática do “ciberativismo”. No intuito de retirar a carga ideológica do conceito, o artigo pincela as mudanças nas relações entre indivíduo e esfera pública desde a Grécia antiga, passando pela industrialização, até deter-se na modernidade contemporânea. A partir desta contextualização teórica e histórica, foi possível analisar criticamente a correspondência, presente no senso comum, entre “ciberespaço” e esfera pública, “ciberativista” e sujeito político, bem como apontar a virtualização da natureza e das questões ambientais, perpetrada pelas campanhas de organizações não governamentais. Assim, é apresentado o conceito de “animal eletrônico” como alegoria de uma “antipolítica”, da ausência da dimensão política que caracteriza os homens, os distingue entre si e do r eino natural.Palavras-chave : Cultura Política; Comunicação; Esfera Pública; Ambientalismo; Novas Tecnologias; Desterritorialização.The ‘electronic animal’: dilemmas of green cyberactivism Samira Feldman MarzochiBy combining the main theoretical contributions of Structuralism, Phenomenology and Critical Theory, this article starts from the premise that the vulgarization of the term “network” has contributed for an apologetic understanding of contemporary phenomena related to the subjects of politics and comunication, including the practice of “cyberactivism”. In order to remove the ideological load of the concept, this article summarizes the changes in the relationship between individual and the public sphere since the ancient Greece, during the Industrial Revolution and in contemporary modernity. From this theoretical and historical context, it was possible to make a critical analysis of the correlation, present in common sense, between “cyberspace” and the public sphere, “cyberactivist” and political subject, as well as to point out the virtualization of nature and environmental issues, perpetrated by NGO campaigns. Thus, we present the concept of “electronic animal” as an allegory for an “antipolitics”, for the absence of the political dimension that characterizes men and distinguishes them from themselves and the natural domain.Palavras-chave : Political Culture; Communication; Public Sphere; Environmentalism; New Technologies; Deterritorialization.L’animal électronique: dilemmes du cyberactivisme vert Samira Feldman MarzochiEn faisant la combinaison des principales contributions théoriques du Structuralisme, de la Phénoménologie et de la Théorie Critique, cet article part du principe que la vulgarisation du terme “réseau” a contribué à une compréhension apologétique de phénomènes contemporains liés au thème de la politique et de la communication, y compris la pratique du “cyber-activisme”. En vue de retirer ce poids idéologique du concept, l’article dépeint les changements dans les relations entre individu et sphère publique depuis la Grèce antique, en passant par l’industrialisation, pour en arriver à la modernité contemporaine. Partant de ce contexte théorique et historique, il a été possible de faire une analyse critique du lien qui existe, dans le sens commun, entre “cyberespace“ et sphère publique, “cyberactivité”...Palavras-chave : Culture Politique; Communication; Sphère Publique; Environnementalisme; Nouvelles Technologies; Dé-territorialisation.Publicação Online do Caderno CRH no Scielo: http://www.scielo.br/ccrh Publicação Online do Caderno CRH: http://www.cadernocrh.ufba.br

Tesi sul tema "Analyse environnementaliste":

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Lasmothey, Kossi Biova Placide. "Analyse environnementaliste du droit de la commande publique". Electronic Thesis or Diss., Université de Lorraine, 2022. https://docnum.univ-lorraine.fr/ulprive/DDOC_T_2022_0282_LASMOTHEY.pdf.

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Abstract (sommario):
Le principe de neutralité du droit de la commande publique est mort, vive l’instrumentalisation du droit de la commande publique à des fins environnementales ! Tel est le constat général fait par la présente thèse qui propose une analyse environnementaliste intégrale, détaillée et ordonnée du droit de la commande publique. À l’évidence, grâce à une analyse théorico-pratique, il est observé qu’en l’état actuel de la pratique contractuelle administrative, malgré le modernisme séduisant induit par l’intégration des considérations environnementales, le conservatisme persistant lié à la préférence économique des autorités contractantes marque encore une profonde réticence à une pleine exploitation des potentialités environnementales des contrats de la commande publique. Pour autant, il n’y a pas lieu d’être pessimiste, car l’évolution du cadre législatif permet d’espérer et d’insuffler une nouvelle dynamique environnementale plus efficace au droit de la commande publique et à la pratique contractuelle
The principle of neutrality of public procurement law is dead, long live the instrumentalization of public procurement law for environmental purposes! Such is the general observation made by our research which offers a full, meticulous and methodical environmentalist analysis of public procurement law. Obviously, by a theoretical-practical analysis, it is observed that in the current state of administrative contractual practice, despite the seductive modernism induced by the insertion of ecological considerations, the obstinate conservatism due to the economic preference of the contracting authorities, still showing a deep reluctance to fully use the environmental potential of public procurement contracts. However, there is no reason to be pessimistic, because the evolution of the legislative framework allows to hope and to breathe new and more effective environmental dynamics into public procurement Law and contractual practice
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Loslier, Michelle. "Un discours environnementaliste de langue française dans le Canada de la fin du XXe siècle : une vision apocalyptique du monde". Sherbrooke : Université de Sherbrooke, 1998.

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Sebbfolk, Annie. "L'union fait la force (géologique) : une analyse écocritique des Fourmis de Bernard Werber". Thesis, Umeå universitet, Institutionen för språkstudier, 2019. http://urn.kb.se/resolve?urn=urn:nbn:se:umu:diva-160984.

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Abstract (sommario):
The paper is an ecocritical analysis of the Empire of the ants, a book written in 1991 by Bernard Werber. Through this green reading, the author seeks to better understand how climate change is created from a social point of view and why, by inherence, it is so difficult to avert. As the book is largely a juxtaposition of the human society and that of ants, the author compares the two species in order to determine which one is better equipped to tackle climate change, as well as which factors, cultural, political or biological, allow for the necessary measures to be taken. The study finds that the complexity of climate change exceeds our understanding of time and space, making it impossible for us to imagine and consequently tackle in any satisfactory manner. Though ants display features superior to ours when it comes to carrying out this task, the study further concludes that there is an accompanying moral dilemma to such actions, as the environmentally profitable not always is in the best interest of individual lives.

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