Littérature scientifique sur le sujet « Western-Style painting (yōga) »

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Articles de revues sur le sujet "Western-Style painting (yōga)"

1

Swift, Helen. « An Artistic Nature : Kōno Michisei’s <i>Self-Portrait</i> ; (1917) ». Ars Orientalis 53 (15 décembre 2023). http://dx.doi.org/10.3998/ars.4987.

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Résumé :
Kōno Michisei’s (1895–1950) Self-Portrait (1917) is celebrated as a masterpiece of Taishō-period (1912–1926) painting in Japan but remains little-known overseas. This article seeks to reintroduce and contextualize this rare example of a Japanese oil painting in an American collection with an exploration of the artist’s conception of his self-portrait between the dynamic currents of Taisho period yōga (Western-style painting) and his own worldview. Kōno stood on the fringes of the Tokyo avant-garde as artists sought to overcome the naturalism advocated by the academy in pursuit of an art more true to the individual. After years of studying prints of the old masters amid the rural environs of his hometown, Nagano, and inspired by a uniquely spiritual outlook, in Self-Portrait, Kōno synthesized the grand portrait mode of Albrecht Dürer (1471–1528) with his own conception of artistic beauty to create a highly idiosyncratic expression of the self.
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Thèses sur le sujet "Western-Style painting (yōga)"

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Yu, Yue. « La diffusion et la réception des arts graphiques japonais modernes en France (1919-1939) ». Electronic Thesis or Diss., Université de Lille (2022-....), 2023. http://www.theses.fr/2023ULILH062.

Texte intégral
Résumé :
Durant les années 1920 et 1930, le Japon et la France ont eu des échanges culturels particulièrement riches. Les artistes japonais sont venus en nombre à Paris pour étudier la peinture à l'occidentale, certains allant jusqu'à concourir dans des Salons parisiens ; au moins 200 d'entre eux ont exposé dans les Salons de Paris. Du côté japonais, on observe par exemple 32 expositions collectives organisées en France pendant cette période autour d'artistes japonais, soit du fait du gouvernement impérial, soit à l'initiative des artistes eux-mêmes. Plus de 70 expositions individuelles dans les galeries parisiennes leur ont été dédiées. Du côté français, le marchand d'art Herman d'Oelsnitz et la Société d'art franco-japonaise ont ainsi organisé pas moins de 23 expositions d'art français au Japon. En 1928, des chefs-d'œuvre du musée du Luxembourg ont été envoyés à Tokyo, tandis qu'une exposition d'art japonais a eu lieu au musée du Jeu de Paume en 1929. Issus de cette exposition, en dehors des 13 peintures achetées par l'État français, 81 peintures et 31 objets d'art ont été vendus à des collectionneurs privés. En outre, 19 gravures ont été achetées par l'État français. Ces relations particulièrement intenses nous conduisent à nous demander : pourquoi les artistes japonais sont venus à Paris ? Concernant les expositions d'art japonais, quels ont été les critères de sélection adoptés par le Japon ? Comment les artistes japonais et leurs œuvres étaient-ils perçus en France ? Sur quel type d'œuvres se concentraient les acquisitions en France, la peinture de style japonais (nihonga) ou la peinture de style occidental (yōga), ou encore les deux ? Les analyses ouvriront la voie à une meilleure compréhension des échanges dynamiques entre le Japon et la France, échanges dont l'importance se retrouve également dans les enjeux spécifiques du monde de l'art d'aujourd'hui
During the 1920s and 1930s, Japan and France enjoyed particularly rich cultural exchanges. Many Japanese artists came to Paris to study Western painting, some going so far as to compete in Parisian Salons. At least 200 artists exhibited at the parisiens Salons. On the Japanese side, for example, 32 group exhibitions of Japanese artists were organised in France during this period, either by the imperial government or on the initiative of the artists themselves. More than 70 solo exhibitions in Parisian galleries were also dedicated to Japanese artists. On the French side, the art dealer Herman d'Oelsnitz and the Société d'art franco-japonaise organised no fewer than 23 exhibitions of French art in Japan. In 1928, masterpieces from the Musée du Luxembourg were sent to Tokyo, while an exhibition of Japanese art was held at the Musée du Jeu de Paume in 1929. After this exhibition, apart from the 13 paintings bought by the French state, 81 paintings and 31 decorative arts were sold to private collectors. As for prints, 19 were bought by the French State. These particularly intense relations lead us to ask questions such as: why did Japanese artists come to Paris? What selection criteria did Japan adopt for exhibitions of Japanese art? How were Japanese artists and their works perceived in France? What type of work was acquired in France, Japanese-style painting (nihonga) or Western-style painting (yōga), or both? The analyses will pave the way for a better understanding of the dynamic exchanges between Japan and France, exchanges whose importance is also reflected in today's art world
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Livres sur le sujet "Western-Style painting (yōga)"

1

Inoue, Yasushi, Tadao Ogura, Kawakita Michiaki et Hideo Tomiyama. Yōga. 8e éd. Tōkyō : Gyōsei, 1990.

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2

Kuroda, Jūtarō. Kyōto yōga no reimeiki. Kyōto-shi : Yamazaki Shoten, 2006.

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3

Furuta, Ryō. Kindai yōga no kaitakusha Takahashi Yuichi. [Japan] : Yomiuri Shinbunsha, 2012.

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4

Bijutsukan, Uehara Kindai. Korekushon : Nihon kindai yōga hen. Shizuoka-ken Shimoda-shi : Zaidan Hōjin Uehara Kindai Bijutsukan, 2005.

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5

Furuta, Ryō. Takahashi Yuichi : Nihon yōga no chichi. Tōkyō : Chūō Kōron Shinsha, 2012.

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6

Winther-Tamaki, Bert. Maximum embodiment : Yōga, the western painting of Japan, 1912-1955. Honolulu : University of Hawaiʻi Press, 2012.

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7

Kang, Tŏk-hŭi. Western-style painting in Japan : Adaptation and assimilation. 8e éd. Tokyo : Sophia University Press, 2008.

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8

Kagioka, Masanori, et Akiyo Kawamura. Meisaku de tadoru kindai Nihon yōga no ayumi ten. Kōchi-ken Kōchi-shi : Kōchi Kenritsu Bijutsukan, 1998.

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9

Bijutsukan, Ōhara. Ōhara Bijutsukan korekushon, shugyoku no Nihon yōga ten. [Mito-shi] : Ibaraki-ken Kindai Bijutsukan, 2004.

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10

Bijutsukan, Mie Kenritsu. Mie Kenritsu Bijutsukan korekushon ni yoru "Nihon yōga no rekishi" ten. [Mito-shi] : Ibaraki-ken Kindai Bijutsukan, 2000.

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