Littérature scientifique sur le sujet « Variation générationnelle »

Créez une référence correcte selon les styles APA, MLA, Chicago, Harvard et plusieurs autres

Choisissez une source :

Consultez les listes thématiques d’articles de revues, de livres, de thèses, de rapports de conférences et d’autres sources académiques sur le sujet « Variation générationnelle ».

À côté de chaque source dans la liste de références il y a un bouton « Ajouter à la bibliographie ». Cliquez sur ce bouton, et nous générerons automatiquement la référence bibliographique pour la source choisie selon votre style de citation préféré : APA, MLA, Harvard, Vancouver, Chicago, etc.

Vous pouvez aussi télécharger le texte intégral de la publication scolaire au format pdf et consulter son résumé en ligne lorsque ces informations sont inclues dans les métadonnées.

Articles de revues sur le sujet "Variation générationnelle"

1

Sève, E., J. Goret, S. Court Devilliers, J. Lequipé et C. Klingebiel. « Besoins en formations et informations en biologie de l’allergie : variations générationnelles ? » Revue Française d'Allergologie 63, no 3 (avril 2023) : 103393. http://dx.doi.org/10.1016/j.reval.2023.103393.

Texte intégral
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
2

Dupuy, Anne. « Regard(s) « sur » et « par » l’alimentation pour renverser et comprendre comment sont renversés les rapports de générations : l’exemple de la socialisation alimentaire inversée ». Enfances, Familles, Générations, no 20 (30 mai 2014) : 79–108. http://dx.doi.org/10.7202/1025331ar.

Texte intégral
Résumé :
L’alimentation est un des rares domaines dans lequel toutes les générations se rencontrent. Cet en-commun générationnel se traduit par une certaine porosité dans les relations de transmission alimentaire et correspond, de fait, à un formidable lieu d’observation et d’analyse des processus de socialisations. S’ils sont traditionnellement étudiés à partir d’un ordre générationnel vertical, des adultes vers les enfants, les perspectives proposées dans cet article, à partir d’une socioanthropologie de et par l’alimentation, s’intéressent non seulement à ce que font les enfants de ce qu’ils reçoivent, mais surtout à ce qu’ils font, parfois en retour, sur leur entourage nourricier. Socialisations alimentaires inversées, variations dans les tensions éducatives, effets des rapports de fidélité ou d’affection sur les filiations symboliques, sentiments de réussite ou d’échec parentaux, continuité des héritages, effets des refus alimentaires sur les modes de transmission parentaux sont autant de regards portés sur et par l’alimentation pour renverser les façons de percevoir les rapports de génération et comprendre par ailleurs comment les enfants contribuent à renverser les rapports de génération.
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
3

CLAUDEL, CHANTAL. « La formule d'appel dans les courriels à caractère personnel en français et en japonais ». Journal of French Language Studies 20, no 1 (26 janvier 2010) : 31–46. http://dx.doi.org/10.1017/s0959269509990421.

Texte intégral
Résumé :
ABSTRACTL'analyse quantitative et qualitative de la formule d'appel dans plus de trois cents courriels à caractère personnel en français et en japonais, conduit, suite à sa confrontation avec les tournures préconisées dans la correspondance épistolaire, à la mise au jour des pratiques privilégiées par les cybercorrespondants des deux communautés sur la base de critères d'ordre générationnel et socio-relationnel. Les phénomènes constatés permettent de conclure à des divergences relevant davantage d'écarts intergénérationnels et donc de variations intraculturelles que de manières de faire culturellement marquées, excepté pour l'ancienne génération qui a tendance, dans les relations professionnelles, à user largement de formules d'appel empruntées à la lettre, démarche qui révèle un degré de formalité plus élevé en japonais qu'en français.
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
4

Desveaux, Emmanuel. « Parenté ». Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.102.

Texte intégral
Résumé :
Au milieu du XIXe siècle, Henry L. Morgan, un avocat américain puritain, fait une découverte considérable : dans toutes les langues humaines, il existe un ensemble de termes servant à désigner les différents types de parents. Si ces mots appartiennent à la langue, la façon dont se répartit leur usage répond à des principes logiques qui la dépassent dans la mesure où ils se retrouvent dans des langues voisines — ou éloignées — qui n’ont rien de commun. La somme des termes de parenté d’une langue forme ainsi une nomenclature, et celle-ci est, de façon universelle, égocentrée. Le fait qui illustre le mieux le caractère métalinguistique du fait nomenclatural réside dans la dichotomie qui prévaut dans de très nombreuses langues — en Amérique, en Australie ou encore en Océanie — entre cousins-parallèles(ceux qui sont issus du frère du père ou de la sœur de la mère), assimilés à des frères et sœurs, et les cousins-croisés(issus de la sœur du père ou du frère de la mère) parmi lesquels il est très souvent possible, voire parfois même obligatoire, de choisir un partenaire matrimonial. Ainsi une règle abstraite engendre les cousins-croisés, à savoir l’inversion de sexe au sein des fratries respectives de mes parents. D’autres règles d’ordre logique prévalent, bien qu’elles soient moins à même de retenir l’attention de la pensée occidentale car elles lui sont coutumières, telles que la différence entre les générations (grands-parents, parents, enfants, petits-enfants) ou la collatéralité (oncles, tantes, neveux et nièces). Surgissent enfin çà et là, notamment en Amérique, mais également en Afrique, d’autres règles qui paraissent encore plus déroutantes que la catégorie de cousins-croisés, telle que l’inclinaison générationnelle. Les Indiens des Plaines nord-américaines en offrent des beaux exemples, d’où l’appellation de systèmes Crow-Omaha, noms de deux tribus de cette région. Dans ce cas, l’individu a des parents appartenant à la même génération biologique que lui, mais qu’il désigne par des termes tels « grand-père », « grand-mère » ou « petit-fils, petite-fille ». Que signifie ce dispositif langagier et son universalité ? Notons alors qu’il s’oppose à un autre dispositif, tout aussi universel, de désignation des individus : celui des noms propres. Ces derniers sont conférés à l’individu, par exemple en vertu du baptême ou d’un autre rite de passage. Ils relèvent toujours d’une métaphore, puisque les noms propres possèdent toujours une signification commune préalable. Le dispositif de la nomenclature de parenté procède, quant à lui, par métonymie; il permet à l’individu, lors de son apprentissage de la langue, de s’approprier cognitivement la relation qu’il entretient avec les personnes qui l’entourent, puis de proche en proche de désigner par lui-mêmeceux qui sont liés à lui. Les deux dispositifs de désignation, l’un passif, l’autre actif, se révèlent universels, bien qu’ils connaissent respectivement de grandes variations, notamment d’étiquette, selon les cultures (Désveaux 2013 : 254). Le fait que les termes de parenté doivent être compris comme les compléments inverses des noms propres nous permet d’affirmer que la parenté en tant que telle renvoie en priorité à l’inscription de l’individu dans l’ordre social par le biais du langage. Ce point a été largement occulté par les parentalistes, car ils sont restés dans leur grande majorité fidèles au moule théorique hérité de Morgan, qui fait de la nomenclature tantôt le marqueur d’une évolution cognitive en quête d’une vérité biologique, tantôt l’expression de principes d’organisation sociale extérieurs à elle. L’inventeur de la parenté avait en effet tiré deux grandes conclusions de ses recherches comparées sur les nomenclatures. Primo, les longs progrès de l’humanité la conduisent à identifier et à isoler la famille nucléaire, dont la famille occidentale offre le modèle accompli. Nos langues ne distinguent-elles l’oncle du père, la tante de la mère, les frères des cousins, etc. ? Selon Morgan (1871), ces nomenclatures seraient descriptivescar elles attesteraient de la réalité des relations biologiques qui relient les individus. Il oppose la lucidité inhérente à nos nomenclatures au caractère aveugle des nomenclatures de la majorité des peuples exotiques primitifs qui, dites classificatoires, rangent dans une même catégorie, ou même classe, des frères et des cousins. Secundo, les termes de parenté reflètent des manières de cohabiter. Ainsi, là où des cousins s’appellent « frère », c’est parce que la société vit encore dans un état de promiscuité qui fait que des enfants issus de couples de géniteurs différents partagent la même maison, autrement dit vivent dans une « famille élargie ». Un premier courant des études de parenté, très présent aux États-Unis, va s’attacher à montrer que les systèmes de parenté, dans toutes les sociétés, même les plus « primitives », visent à certifier le lien « biologique » entre un homme et ses enfants (Sheffler 1973, pour une critique de ce courant, voir Schneider 1968). L’accent est alors mis sur l’étude des comportements plutôt que sur celle des termes et le dialogue avec l’éthologie animale très étroit. La capacité de déceler des ressemblances entre individus serait également tenue pour universelle. Un deuxième courant est plus proprement sociologique. Il cherche à montrer que l’architecture logique d’une nomenclature reflète des règles de filiation et surtout de mariage. L'initiateur de ce courant est Rivers (1913). Délaissant l’heuristique morganienne de la cohabitation, ce dernier montre que le phénomène des cousins-croisés résulte ou reflète une règle particulière d’alliance. Si de génération en génération se reproduit le même type de mariage avec sa cousine issue de l’oncle maternel ou de la tante paternelle, l’ensemble du champ de la parenté se déploie autour de deux lignées qui s’échangent leurs enfants. La démonstration était facilitée par la présence d’une idéologie de l’échange matrimonial chez les Dravidiens, population de l’Inde méridionale, où Rivers enquêtait. Or, Lévi-Strauss amplifie sa démonstration (1949). Le père du structuralisme y montre qu’une altération simple de la règle du mariage avec la cousine-croisée transforme profondément le système. L’interdiction du mariage avec la cousine patrilatérale a en effet pour conséquence de créer une structure d’échange non à deux termes, mais à trois unités échangistes en brisant une réciprocité immédiate au bénéfice d’une réciprocité plus englobante, à trois unités échangistes, voire plus : si les femmes circulent toujours dans le même sens, des donneurs aux preneurs, le système finit par se boucler sur lui-même. Cette nouvelle structure d’échange est dite généralisée et non plus restreinte puisque, à la différence de la première, elle se définit par sa faculté d’intégration d’un assez grand nombre d’unités échangistes, sans que soit altéré son fonctionnement. Toutefois, l’échange matrimonial se métamorphose : il n’est plus une pratique consciente pour les protagonistes, mais s’enfouit dans l’inconscient collectif. Lévi-Strauss va plus loin encore, inspiré à la fois par Le contrat socialde Rousseau et L’essai sur le donde Mauss, en disant que ce principe d’échange matrimonial est commun à toutes les sociétés humaines et se situe à l’origine de l’ordre social. La prohibition de l’inceste, universelle, en serait en quelque sorte la contrepartie négative, puisque afin de marier ma sœur à l’extérieur, je dois renoncer à elle. De ce renoncement, je peux m’attendre à recevoir à mon tour une épouse de celui qui sera mon beau-frère. L’échange des femmes sert la procréation comme il renforce la solidarité sociale. La puissance de ce modèle théorique, ainsi que sa compatibilité avec le freudisme, lui a longtemps garanti une audience considérable. Cette hégémonie s’est surtout exercée en France et en Grande-Bretagne, avant de subir, plus récemment, une certaine désaffection sous l’effet d’un double mouvement critique. D’un point de vue externe à la discipline, l’engouement féministe contemporain rend de plus en plus incongrue l’idée que les femmes soient à la fois des personnes, en tant qu’elles sont sujettes au langage, et des valeurs, en tant qu’objets d’échange. D’un point de vue interne à la discipline, la critique s’avère plus technique. Elle revient à dire que les nomenclatures à cousins-croisés peuvent autant s’expliquer par un impératif dualiste d’ordre cognitif que par des préceptes échangistes et que si leur prévalence n’est pas confirmée par l’ethnographie — comme c’est le cas en Amérique —, elle relève peut-être finalement d’une illusion de la théorie. Il existe une troisième voie dans les études de parenté, ouverte par Kroeber (1909) lorsqu’il disait que les opérateurs sémantiques inhérents à toute nomenclature ne se limitaient pas à la fascinante question des cousins-croisés. Les anthropologues culturalistes américains, peu sensibles au philosophisme lévi-straussien, ont développé ainsi l’approche componentielle, proposant de décomposer les termes de parenté en éléments (en composants) logiques (Goodenough 1956). Si ces recherches n’ont pas débouché sur des résultats spectaculaires, ils ont permis de comprendre que, dans l’ordre de la parenté, la parole abolit la différence des sexes, pourtant très saillante, dans la procréation elle-même, où la femme et l’homme ont des fonctions physiologiques et donc des rôles sociaux très différenciés. Car l'homme et la femme sont à égalité par rapport au langage, qu’ils maîtrisent pareillement. Leurs positions sont interchangeables dès lors qu’il s’agit de socialiser l’enfant en lui apprenant les relations de parenté qui lient tous ceux qui l’entourent. Nous sommes alors loin de l’obsession biologique d’un Morgan, qui pensait devoir fonder la parenté sur l’opposition, traditionnelle en Occident, de la consanguinitéet de l’affinité (Désveaux 2002).
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.

Thèses sur le sujet "Variation générationnelle"

1

Fourar, Fatima Zohra. « Influence de la variable générationnelle sur les interactions langagières : changements linguistiques et conflits culturels entre générations en Algérie et en France ». Electronic Thesis or Diss., Université de Lorraine, 2020. http://www.theses.fr/2020LORR0273.

Texte intégral
Résumé :
L’échange et le vivre ensemble des générations ont pour objectif le partage des espaces publics et des lieux de vie, à l’échelle d’une famille, d’une ville, d’un cadre social ou culturel. Mais cela n’empêche pas qu’il puisse y avoir des changements de transmission de valeurs et de traditions intergénérationnelles, avec l’introduction des nouvelles technologies, dans le quotidien des individus. De par cette mixité des générations, les rapports urbains/ruraux et le partage d’un espace approprié, privé/public, donnent naissance à une concurrence identitaire et à un changement dans les pratiques langagières des individus. Attias-Donfut (1995), Arrondel et Masson (1999), entre autres, admettent que la mobilisation des ressources langagières, des savoir-faire des acteurs dans la prévention des risques sociaux et la construction de réponses collectives, ont un impact positif sur le développement social. Dans cette étude, nous accordons la priorité aux sciences du langage pour voir si on peut traiter la question du changement linguistique aux plans théorique et descriptif. Ainsi, nous essayons de répondre à ces questions : Quel est l’impact de ce nouveau code ou bien de ce nouveau français populaire sur la langue française en général et sur les échanges langagiers en particulier, entre la génération d’hier notée X (1960-1980) et celle d’aujourd’hui notée Y (1980-1997) ? Comment le locuteur et l’interlocuteur de ces deux générations répondent à leurs besoins langagiers ? Quels sont les facteurs d’évolution des situations linguistiques ? Comment agissent-ils ? Et que laissent-ils présager ? Enfin, sur quoi se fonder pour décider que les différences entre les situations linguistiques sont le produit de changements et non de substitutions/de transformations ? L’objectif de ce travail est d’expérimenter une modélisation théorique des marques discursives intergénérationnelles, relatives aux faits caractéristiques d’une génération, d’un territoire, d’un changement linguistique et des pratiques langagières. En effet, une langue ne peut exister que parce que ses locuteurs préservent son existence à travers des/leurs pratiques linguistiques, représentées et/ou effectives. Deux différentes expérimentations descriptives et analytiques ont été réalisées afin d’analyser et discuter les rapports existants entre le changement linguistique et les variations langagières contemporaines, dont plus particulièrement la conscience linguistique et sociolinguistique. Une étude détaillée est proposée à cet effet. Celle-ci comporte : 1. Du côté des Pratiques langagières déclarées (Représentations), une enquête semi-directive sous forme d’entretiens basés sur deux différents questionnaires préétablis auprès d’un public distinct sur deux différents territoires en Algérie, Université de Batna 2, et en France, Université de Lorraine-Metz ; 2. Du côté des Pratiques langagières effectives, les représentations des médias, sous forme d’une étude analytique d’un programme de variétés et de divertissement, disponible sur la chaîne de télévision TF1, Koh-Lanta « Le choc des générations » 2017. Nous avons recensé les grilles d’analyse de ce programme, situées dans le temps et l’espace ainsi que les pratiques langagières intergénérationnelles telles que représentées par les médias
The interactions and living together of generations aim to the sharing of public places and living spaces, on the scale of a family, a city, a social or cultural framework. But this does not prevent that there may be changes in the transmission of values and intergenerational traditions, with the introduction of new technologies, in the daily lives of individuals. Due to this mix of generations, urban/rural relations and the sharing of an appropriate space, private/public, gave rise to identity competition and a change in the language practices of individuals. Attias-Donfut (1995), Arrondel and Masson (1999), among others, admit that the mobilization of language resources, the know-how of actors in the prevention of social risks and the construction of collective responses, have a positive impact on social development.In this study, we gave priority to language sciences to see if we can address the issue of linguistic change at the theoretical and descriptive levels. Thus, we try to answer these questions: What is the impact of this new code or of this new popular French on the French language in general and on language exchanges in particular, between the generation of yesterday noted X (1960-1980) and today’s Y (1980-1997)? How do the speaker and interlocutor of these two generations respond to their language needs? What are the factors for the evolution of linguistic situations? How do they act? And what do they suggest? Finally, on what basis should we decide that the differences between linguistic situations are the product of changes and not substitutions/transformations? The objective of this work is to experiment with a theoretical modeling of the intergenerational discursive marks, relating to the characteristic facts of a generation, a territory, a linguistic change and language practices. Indeed, a language can exist only because its speakers preserve its existence through linguistic practices, represented and/or effective. Two different descriptive and analytical experiments were carried out to analyze and discuss the relationship between linguistic change and contemporary language variations, in particular linguistic and sociolinguistic awareness. A detailed study is proposed for this purpose. It includes: 1. On the Declared Language Practices (Representations) side, a semi-directive survey in the form of interviews based on two different pre-determined questionnaires with a separate audience in two different territories in Algeria, University of Batna 2, and in France, the University of Lorraine-Metz; 2. On the Effective Language Practices side, media representations, in the form of an analytical study of a variety and entertainment program, available on the TF1 television channel, Koh-Lanta «The Clash of Generations» 2017. We have identified the analytical grids of this program, located in time and space, as well as the intergenerational language practices as represented by the media
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
2

Rebours, Marie-Alice. « Emprunts à l'anglais dans la terminologie du prêt-à-porter en France : entre distinction et appartenance : Etude sur corpus en diachronie 1952-2019 ». Electronic Thesis or Diss., Lyon 2, 2023. http://www.theses.fr/2023LYO20091.

Texte intégral
Résumé :
La présente thèse consiste en une étude en diachronie de la terminologie du prêt-à-porter féminin dans des catalogues français de vente par correspondance depuis l’introduction du concept en France au début des années 1950. Notre travail est centré sur les emprunts à l’anglais et les créations sous influence anglaise comparativement à la néologie dans l’ensemble de notre corpus.Notre objectif est, d’une part, d’apprécier l’influence de l’anglais dans cette terminologie et, d’autre part, d’appréhender les tendances et mécanismes propres à ce domaine. Par l’étude des néologismes, des nécrologismes et des termes stables de notre corpus, nous examinons le renouvellement terminologique, ses mécanismes et ses motivations.Nous avons travaillé par comparaison de sous-corpus distants de cinq ans environ, chacun composé des catalogues des collections Printemps-Été et Automne-Hiver d’une année donnée. Les termes, collectés et traités manuellement, ont dans un premier temps fait l’objet d’une étude synchronique, à l’aide de sources secondaires, pour établir leur étymologie, leur définition et les catégoriser selon une typologie adaptée de la typologie des emprunts proposée par l’Office québécois de la langue française. Dans un second temps, les analyses diachroniques se sont fondées sur un trépied méthodologique formé des termes du corpus, des visuels des catalogues et d’avis d’experts. Sur le plan théorique, ces analyses se sont appuyées sur des théories issues de la linguistique et de la sociologie, en tenant compte de logiques économiques et d’autres facteurs, tels que des évènements historiques et sociétaux.Ces analyses nous ont permis d’étayer la place de l’anglais dans ce domaine ainsi que l’importance du renouvellement terminologique, fréquemment citées dans la littérature. De plus, au-delà de logiques propres au fonctionnement de la mode, notre corpus a révélé une régularité dans l’activité néologique permettant d’appuyer l’hypothèse d’un renouvellement à fréquence générationnelle. Enfin, nous proposons une réflexion sur la nécessité de travaux – en linguistique notamment – dans le domaine de la mode, compte tenu du manque d’étude sur le sujet et des lacunes des sources dictionnairiques
This dissertation is a diachronic study of the terminology of women’s ready-to-wear fashion in French mail-order catalogs since the introduction of the ready-to-wear concept in France in the early 1950s. Our work focuses on English borrowings and English-influenced neologisms, compared with neologisms in our corpus as a whole.Our goal is two-fold: we wish, first, to assess the influence of English in this terminology, and second, to delineate trends and mechanisms specific to this field. Based on a study of neologisms, necrologisms, and stable terms in our corpus, we examine terminological renewal, its mechanisms, and its motivations.We compared sub-corpora approximately five years apart, each comprising the catalogs from the Spring-Summer and Fall-Winter collections of a given year. The terms were collected and studied manually. They were first studied synchronically, using secondary sources to establish their etymologies, their definitions, and their types, according to a typology adapted from the Office québécois de la langue française’s typology of borrowings. Secondly, terms were analyzed diachronically using a three-part methodological framework, consisting of the terms from our corpus, of the visuals from the catalogs, and of expert opinions. These analyses drew on theories from linguistics and sociology, while also considering economic and other factors, such as historical and societal events.Our analyses enabled us to show the importance of the English language in this field, as well as the importance of terminological renewal, both frequently cited in academic works. Our corpus demonstrated neological activity that goes beyond the dynamics of fashion and that supports the hypothesis of regular generational terminological renewal. Finally, we propose a reflection on the need for work – linguistic research in particular – in the field of fashion, given the lack of studies on the subject and the shortcomings of dictionary sources
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
3

Tatossian, Anaïs. « L'orthochat du français : adolescents vs adultes ». Thèse, 2005. http://hdl.handle.net/1866/16570.

Texte intégral
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
Nous offrons des réductions sur tous les plans premium pour les auteurs dont les œuvres sont incluses dans des sélections littéraires thématiques. Contactez-nous pour obtenir un code promo unique!

Vers la bibliographie