Thèses sur le sujet « Vaches laitières – Reproduction (biologie) »

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Vignau-Loustau, Laurent. « Mise au point d'une méthode pour la gestion technique des troupeaux bovins laitiers ». Toulouse, INPT, 1985. http://www.theses.fr/1985INPT027A.

Texte intégral
Résumé :
La thèse a pour objet de présenter les caractéristiques d'une méthode utilisant le traitement informatique des données pour la gestion de l'alimentation et de la reproduction des troupeaux bovins laitiers. L'originalité de cette méthode tient à plusieurs points. Elle est conçue pour une utilisation par l'éleveur lui-même et ainsi elle peut répondre aisément aux besoins de gestion quotidienne d'un troupeau. Elle intègre pour le traitement des données les connaissances les plus récentes pour la maîtrise alimentaire des troupeaux bovins laitiers.
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2

Tillard, Emmanuel. « Approche globale des facteurs associés à l’infertilité et l’infécondité chez la vache laitière : importance relative des facteurs nutritionnels et des troubles sanitaires dans les élevages de l'île de la Réunion ». Montpellier, ENSA, 2007. http://www.theses.fr/2007ENSA0022.

Texte intégral
Résumé :
Nous avons entrepris une analyse globale, de type écopathologique, sur les facteurs de risque de l’infertilité chez les vaches laitières de l’île de la Réunion. Vingt et un troupeaux ont été suivis pendant 2 années (1153 lactations de vaches multipares de race Holstein) afin d’identifier les principaux facteurs nutritionnels et sanitaires associés à une faible réussite de l’insémination première (I1) et à la durée des intervalles vêlage – insémination première (VI1) et vêlage – insémination fécondante (VIf). La modélisation statistique de ces paramètres de reproduction s’est appuyée sur les mesures d’état corporel, de production laitière et de paramètres biochimiques sanguins (glucose, insuline, cholestérol, AGNE, -OH, urée, albumine, GLDH, GGT, Ca, P et Mg) et sur les fréquences des troubles sanitaires. Les points de vue biologique et statistique nous ont conduit à distinguer l’influence respective de ces facteurs à trois stades physiologiques distincts :avant vêlage, au cours des 30 premiers jours de lactation et lors de la période de reproduction. Ainsi, une mobilisation intense (> 1,5 points) des réserves corporelles au cours du 1^er mois postpartum, un déficit énergétique antepartum chez les vaches fortes productrices, des déséquilibres azotés (déficits ou excès) observés avant vêlage ou en début de lactation, une atteinte hépatique au moment de l’I1 et certains troubles sanitaires survenus en tout début de lactation sont associés à une diminution de la réussite de l’I1 et/ou à l’allongement des intervalles VI1 et VIf. Nous avons mis en évidence que la plupart des déséquilibres nutritionnels exercent un effet différé de plusieurs semaines sur la survenue de l’I1 ou de l’If. Ceci coïncide avec des atteintes des premiers stades des cycles de maturation folliculaire qui surviennent en tout début de lactation. Nous avons également mis en évidence que certaines pratiques d’alimentation comportent des risques : sous-alimentation des vaches taries, médiocre qualité de conservation des ensilages d’herbe, complémentation azotée inadaptée aux fourrages tropicaux, absence d’allotement des animaux selon leurs exigences alimentaires. Nous soutenons la thèse que ce type d’approche permet de hiérarchiser efficacement, sur des troupeaux en production, les facteurs de risques qui ont été auparavant isolés dans des expérimentations analytiques factorielles. Dans le cas présent, nous montrons la primauté des déséquilibres nutritionnels sur les troubles sanitaires dans l’atteinte des paramètres de reproduction. Nous avons établi des relations d’association entre ces facteurs et la reproduction des vaches qui pourront être utiles à des démarches intégratives d’appréhension des relations nutrition – reproduction et à des démarches d’appui au développement.
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3

Bedere, Nicolas. « Aptitude des vaches laitières à se reproduire en systèmes pâturants contrastés : Quelle vache pour quel système ? » Thesis, Rennes, Agrocampus Ouest, 2016. http://www.theses.fr/2016NSARB286/document.

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Résumé :
Les performances de reproduction des vaches laitières se sont dégradées parallèlement à l’augmentation de leurs performances de production. L’intense sélection réalisée sur la production laitière est tenue responsable de cela. Chaque étape du processus de reproduction a été affectée : les anomalies de cyclicité ovarienne sont plus fréquentes dans la population actuelle, la durée et l’intensité des chaleurs ont diminué drastiquement, et les échecs de gestation sont plus fréquents. La littérature s’accorde sur le fait que la reproduction est affectée parce que la majeure partie des ressources est investie dans la production laitière. L’objectif de cette thèse de doctorat est d’étudier l’intérêt d’une stratégie de sélection alternative basée sur un fort potentiel génétique de taux butyreux et protéique sur la robustesse des vaches laitières.Les hypothèses testées étaient que par rapport aux vaches à fort potentiel de production laitière, celles à fort potentiel de taux butyreux et protéique (i) exportent moins d’énergie dans le lait et donc préservent leur réserves corporelles, (ii) ont de meilleures aptitudes à se reproduire. Nos résultats montrent que les vaches à fort potentiel de taux butyreux et protéique ont un retour de cyclicité plus précoce, une expression des chaleurs similaire mais plus d’échecs de gestation que celles à fort potentiel de production laitière. Ces résultats intrigants suggèrent que les étapes de la reproduction sont partiellement découplées sur le plan génétique. Sélectionner les vaches laitières sur les taux butyreux et protéique dans le but d’amé
Reproductive performance of dairy cows has been declining while their milk production was improving. The strong genetic selection that was applied on milk production is considered to be responsible for this. Each step of the reproductive process has been impacted: abnormal ovarian activity is more common in the current population, the duration and intensity of oestrus has dramatically decreased and the occurrence of pregnancy failures has increased. The consensus in the literature is that reproduction is impaired because dairy cows are investing most of their resources in milk production. The aim of this Ph.D. thesis is to explore the effect of alternative selection strategies based on milk fat and protein content on robustness of dairy cows. Our hypotheses were that at similar genetic merit for milk solids yield, compared to cows with high genetic merit for milk yield,dairy cows with high genetic merit for fat and protein contents (i) are exporting less energy in milk and are consequently safeguarding their body reserve; (ii) have better reproductive performance (earlier resumption of ovarian activity, more intense oestrus, better ability to ensure pregnancy). Our results suggest that cows selected for production through high fat and protein content instead of high milk yield would resume ovarian activity earlier, have similar oestrus intensity but more pregnancy failures. These intriguing results suggest that the steps of the reproductive process are genetically partly disentangled. Selecting dairy cows for fat and protein content is not a promising way to improve repro
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Freret, Sandrine. « Variation des apports alimentaires, statut métabolique et production d'embryons chez la vache laitière superovulée ». Paris, AgroParisTech, 2007. http://www.theses.fr/2007AGPT0027.

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Recoules, Emilie. « Etude de la sensiblité de la reproduction des vaches allaitantes aux trajectoires nutritionnelles adaptatives : une approche par modélisation ». Thesis, Clermont-Ferrand 2, 2013. http://www.theses.fr/2013CLF22347/document.

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Résumé :
La reproduction de la vache allaitante dépend de son état nutritionnel. Les représentations existantes de cette relation se focalisent jusqu’à présent sur des variables nutritionnelles statiques et sur quelques composantes de la performance de reproduction. L’objet de cette thèse est de proposer une représentation dynamique des interrelations entre fonctions de nutrition et de reproduction afin de mieux expliquer leur fonctionnement et de simuler les enchaînements de cycles de production au cours de la carrière de la vache. Compte-tenu des contextes économique et climatique, des périodes de contraintes nutritionnelles risquent d’intervenir à n’importe quel moment du cycle de production et pourront affecter la performance de reproduction. Au vu de ce caractère aléatoire, l’approche dynamique permet d’étudier la sensibilité des composantes de la performance de reproduction à la quantité et à la dynamique des réserves lipidiques. Sur la base de concepts développés chez la vache laitière, une représentation conceptuelle des interrelations entre nutrition et reproduction a été réalisée. Cette représentation propose deux trajectoires des réserves lipidiques : à l’équilibre et en situation de contrainte nutritionnelle (trajectoire adaptative). L’écart entre ces trajectoires influence les différentes composantes de la performance de reproduction. L’acquisition et l’analyse de données expérimentales observées sur des vaches Charolaises en situation nutritionnelle non contraignante, puis contraignante a permis de quantifier ces représentations conceptuelles. Une première implémentation informatique a été réalisée, permettant de tester la sensibilité des composantes de la performance de reproduction à différentes contraintes nutritionnelles au cours de la vie productive
Beef cattle reproduction depends on nutritional status. Until now, relations between nutrition and reproduction focused on static nutritional variables and on few components of the reproductive performance. This work aims to propose a dynamic framework of the interrelations between nutrition and reproduction to better understand it and to simulate succession of reproductive cycles. Due to economic and climatic context, nutritional constraints may occur all around the nutrition cycle whatever the physiological status. A dynamic approach allowed studying the sensitivity of reproductive performance to body lipid quantity and change. Based on a conceptual approach developed in dairy cows, a conceptual framework of the interrelations between nutrition and reproduction has been realized. This proposes two body lipid trajectories: without nutritional constraint and under nutritional constraint (adaptive trajectory). Difference between theses trajectories influences the different components of the reproductive performance. Experimental data from Charolais cows in a not constraining environment and under nutritional constraints allowed quantifying these conceptual interrelations between nutrition and reproduction. A computer model has been built to test the sensitivity of reproductive performance to varying nutritional environments
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Dezetter, Charlotte. « Evaluation de l'intérêt du croisement entre races bovines laitières ». Nantes, 2015. http://kentika.oniris-nantes.fr/GEIDEFile/These_Dezetter_charlotte.pdf?Archive=194490291267&File=These_Dezetter_charlotte_pdf.

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Résumé :
La robustesse des vaches Holstein (HO) a été dégradée par la sélection pratiquée ces dernières décennies alors que le croisement entre races laitières permettrait a priori de l’améliorer. L’objectif général de cette thèse était donc d’évaluer par modélisation-simulation l’intérêt de l’introduction du croisement entre races laitières dans des troupeaux HO. Dans une étape intermédiaire, le traitement des bases de données nationales a établi que les écarts entre races et l’hétérosis pour les caractères de production et de reproduction étaient significatifs, pour les races HO et Montbéliarde (MO) ou Normande (NO). Au cours de l’étape de simulation, des scénarios déroulés sur 15 ans ont comparé 3 stratégies d’accouplement impliquant les races MO, NO et/ou Rouge Scandinave (RS) à celle consistant à rester en race HO, et ceci pour différents types d’ateliers. Compte-tenu des paramétrages retenus pour ces simulations, dans les ateliers à niveau élevé de productivité laitière et faible prévalence de troubles de reproduction et santé, le croisement n’a pas montré d’avantage économique. En revanche, à productivité élevée mais prévalence marquée de tels troubles, le croisement avait un effet positif et, notamment, la stratégie rotative HOxMOxRS augmentait le résultat de près de 100 €/vache/an. Pour des niveaux de productivité plus modérés, l’intérêt économique était moindre, mais la robustesse des vaches était améliorée avec moins d’interventions sur les vaches. En dépit de ces résultats plutôt favorables, le constat dressé en étape préliminaire, sur la très large résistance en France à la pratique du croisement, incite à mieux construire le conseil aux éleveurs sur cette question.
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Dezetter, Charlotte. « Evaluation de l'intérêt du croisement entre races bovines laitières ». Nantes, Ecole nationale vétérinaire, 2015. https://doc-veto.oniris-nantes.fr/GED_CHN/194490291267/These_Dezetter_Charlotte.pdf.

Texte intégral
Résumé :
La robustesse des vaches Holstein (HO) a été dégradée par la sélection pratiquée ces dernières décennies alors que le croisement entre races laitières permettrait a priori de l’améliorer. L’objectif général de cette thèse était donc d’évaluer par modélisation-simulation l’intérêt de l’introduction du croisement entre races laitières dans des troupeaux HO. Dans une étape intermédiaire, le traitement des bases de données nationales a établi que les écarts entre races et l’hétérosis pour les caractères de production et de reproduction étaient significatifs, pour les races HO et Montbéliarde (MO) ou Normande (NO). Au cours de l’étape de simulation, des scénarios déroulés sur 15 ans ont comparé 3 stratégies d’accouplement impliquant les races MO, NO et/ou Rouge Scandinave (RS) à celle consistant à rester en race HO, et ceci pour différents types d’ateliers. Compte-tenu des paramétrages retenus pour ces simulations, dans les ateliers à niveau élevé de productivité laitière et faible prévalence de troubles de reproduction et santé, le croisement n’a pas montré d’avantage économique. En revanche, à productivité élevée mais prévalence marquée de tels troubles, le croisement avait un effet positif et, notamment, la stratégie rotative HOxMOxRS augmentait le résultat de près de 100 €/vache/an. Pour des niveaux de productivité plus modérés, l’intérêt économique était moindre, mais la robustesse des vaches était améliorée avec moins d’interventions sur les vaches. En dépit de ces résultats plutôt favorables, le constat dressé en étape préliminaire, sur la très large résistance en France à la pratique du croisement, incite à mieux construire le conseil aux éleveurs sur cette question.
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Ghaemialehashemi, Seyedrocknaldin. « Effet d'injections hebdomadaires d'un combiné d'acide folique et de vitamine B12 sur la reprise de l'activité ovarienne postpartum chez les vaches laitières ». Thesis, Université Laval, 2013. http://www.theses.ulaval.ca/2013/30128/30128.pdf.

Texte intégral
Résumé :
L’objectif du présent projet était de caractériser l’impact d’injections d’acide folique et de vitamine B12 sur la reprise de l’activité ovarienne postpartum chez des vaches laitières grâce à une amélioration de l’efficacité du métabolisme énergétique. La phase expérimentale s’est effectuée sur 24 vaches réparties en 12 blocs de deux vaches. À partir de trois semaines avant la date prévue du vêlage les vaches ont reçu une injection intramusculaire hebdomadaire de 5 ml de : 1) saline 0,9 % ou; 2) 320 mg d’acide folique et 10 mg de vitamine B12. La prise alimentaire et la production du lait ont été enregistrées. Des échantillons de lait ont été récoltés aux deux semaines et analysés pour les composantes du lait. Des échantillons sanguins ont aussi été prélevés à toutes les semaines, sauf pour les trois premières semaines postpartum durant lesquelles des échantillons sanguins ont été prélevés aux trois jours, afin d’évaluer le statut métabolique. À compter du jour 30 de lactation, des échantillons sanguins ont été prélevés aux trois jours afin de définir le point de reprise de l’activité ovarienne. Le développement folliculaire a été suivi par un examen échographique aux trois jours à partir du jour 42. Aux fin de caractériser le développement folliculaire, une classification basée sur le diamètre des follicules (f<8 mm; 814 mm) a été utilisée. Durant chaque échographie, le nombre de follicules dans chaque classe a été enregistré. La comparaison de développement folliculaire entre les vaches demandait un moment précis et comparable, et pour ce faire, le profil de concentrations sanguines de progestérone à l’ovulation comme un point commun des animaux a été retenu. Pour le taux de gestation, seule une conception à la première insémination a été considérée comme un résultat positif. Les concentrations plasmatique plus élevées de vitamine B12 et d’acide folique chez les animaux traités (p<0,0001, p=0,0014 respectivement) confirment que l’administration du traitement fut efficace. Les résultats ont mis en évidence l’effet positif du supplément vitaminique sur la perte de poids en début de lactation, période de balance négative d’énergie (p=0,0036). Le traitement vitaminique a augmenté le lactose total secrété dans le lait (p=0,0139), durant les premières huit semaines suivant la parturition et aussi la sécrétion de protéines totales du lait (p=0,0204), même si les gras totaux n’étaient pas significativement affectés par le traitement (p=0,3059). Ni les pourcentages des composantes du lait (gras, lactose et protéines), ni la prise alimentaire en périodes de pré- et postpartum, ont été affectés par le traitement (p>0,1). La production du lait tendait à augmenter chez les animaux traités (p=0,0543). La concentration de BHB a été diminuée par les vitamines en période postpartum (p=0,032) et un effet du temps a aussi été observé (p=0,005). Les analyses des données postpartum confirment une tendance décroissante dans le temps du BHB chez les vaches traitées (p=0,063). La concentration plasmatique de l'urée n'a pas été influencée par le traitement. La concentration plasmatique des AGL n'a pas été affectée par le traitement, mais une interaction de traitement et temps (p=0,076, p=0,088 pour le pré et postpartum, respectivement) indique une tendance à être plus faible chez les vaches traitées. Il y avait plus de follicules pré-ovulatoires chez les vaches traitées (p=0,0263) et le follicule dominant était plus gros (p=0,0091). Une différence significative des concentrations sériques d’œstradiol à l’ovulation ± 1 jour (p=0,0433) confirme le nombre et la taille plus élevés des follicules chez les vaches traitées. La première insémination des vaches se faisait au premier œstrus après 57 jours de lactation. Les vaches recevant l’injection de vitamine B12 et d’acide folique ont été inséminées 5,5 jours avant les vaches témoins mais la différence n’était pas significative. Les résultats confirment l’hypothèse de départ que des injections de vitamine B12 et d’acide folique auraient des effets positifs sur les performances productives et reproductives de vaches laitières en début de lactation.
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Tillard, Emmanuel. « Approche globale des facteurs associés à l'infertilité et l'infécondité chez la vache laitière : importance relative des facteurs nutritionnels et des troubles sanitaires dans les élevages de l'île de la Réunion ». Phd thesis, Université Montpellier II - Sciences et Techniques du Languedoc, 2007. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00501821.

Texte intégral
Résumé :
Nous avons entrepris une analyse globale, de type écopathologique, sur les facteurs de risque de l'infertilité chez les vaches laitières de l'île de la Réunion. Vingt et un troupeaux ont été suivis pendant 2 années (1153 lactations de vaches multipares de race Holstein) afin d'identifier les principaux facteurs nutritionnels et sanitaires associés à une faible réussite de l'insémination première (I1) et à la durée des intervalles vêlage – insémination première (VI1) et vêlage – insémination fécondante (VIf). La modélisation statistique de ces paramètres de reproduction s'est appuyée sur les mesures d'état corporel, de production laitière et de paramètres biochimiques sanguins (glucose, insuline, cholestérol, AGNE, β-OH, urée, albumine, GLDH, GGT, Ca, P et Mg) et sur les fréquences des troubles sanitaires. Les points de vue biologique et statistique nous ont conduit à distinguer l'influence respective de ces facteurs à trois stades physiologiques distincts :avant vêlage, au cours des 30 premiers jours de lactation et lors de la période de reproduction. Ainsi, une mobilisation intense (> 1,5 points) des réserves corporelles au cours du 1er mois postpartum, un déficit énergétique antepartum chez les vaches fortes productrices, des déséquilibres azotés (déficits ou excès) observés avant vêlage ou en début de lactation, une atteinte hépatique au moment de l'I1 et certains troubles sanitaires survenus en tout début de lactation sont associés à une diminution de la réussite de l'I1 et/ou à l'allongement des intervalles VI1 et VIf. Nous avons mis en évidence que la plupart des déséquilibres nutritionnels exercent un effet différé de plusieurs semaines sur la survenue de l'I1 ou de l'If. Ceci coïncide avec des atteintes des premiers stades des cycles de maturation folliculaire qui surviennent en tout début de lactation. Nous avons également mis en évidence que certaines pratiques d'alimentation comportent des risques : sous-alimentation des vaches taries, médiocre qualité de conservation des ensilages d'herbe, complémentation azotée inadaptée aux fourrages tropicaux, absence d'allotement des animaux selon leurs exigences alimentaires. Nous soutenons la thèse que ce type d'approche permet de hiérarchiser efficacement, sur des troupeaux en production, les facteurs de risques qui ont été auparavant isolés dans des expérimentations analytiques factorielles. Dans le cas présent, nous montrons la primauté des déséquilibres nutritionnels sur les troubles sanitaires dans l'atteinte des paramètres de reproduction. Nous avons établi des relations d'association entre ces facteurs et la reproduction des vaches qui pourront être utiles à des démarches intégratives d'appréhension des relations nutrition – reproduction et à des démarches d'appui au développement.
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Cutullic, Erwan. « Concurrence entre lactation et reproduction chez la vache laitière : [thèse soutenue sur un ensemble de travaux] ». Caen, 2010. http://www.theses.fr/2010CAEN2007.

Texte intégral
Résumé :
Toutes les étapes du processus de reproduction des vaches laitières se sont dégradées, conjointement à l’augmentation du niveau de production. L'objectif de cette thèse est d'identifier les effets de la production laitière à chaque étape. Au-delà des effets directement imputables à la corrélation génétique négative entre production et reproduction, la concurrence est communément expliquée par l'amaigrissement post-partum. Deux hypothèses sont testées : à génétique donnée, le niveau de production a un effet propre non expliqué par la gestion des réserves corporelles, et la hiérarchie des effets diffère selon l’étape. Pour dissocier ces effets, un protocole mobilisant deux traitements alimentaires a été appliqué à des vaches de races Holstein et Normande conduites en vêlages groupés. Le traitement Haut induit une production élevée et un amaigrissement modéré, le traitement Bas une production bridée et un amaigrissement important. Seule la race influence le taux de gestation final. L’œstrus est mieux détecté dans le lot Bas, en cohérence avec une production d’œstradiol exacerbée dans les follicules pré-ovulatoires de vaches soumises à ce régime. Les échecs précoces de gestation sont plus fréquents dans le lot Bas ; les mortalités embryonnaires tardives plus fréquentes dans le lot Haut pour la seule race Holstein. Œstrus et développement embryonnaire tardif sont principalement pilotés par le niveau et la dynamique de production laitière ; cyclicité, fécondation ou développement embryonnaire précoce par la gestion des réserves corporelles. Ce travail a donc permis de préciser la concurrence entre production laitière et reproduction chez la vache laitière
As milk production increased, reproductive performance of the dairy cows has decreased at each reproductive step (cyclicity, oestrus, fertility). The aim of this thesis is to identify milk production effects at each reproductive step. Apart from the direct genetic effects, body reserves level and dynamic are generally though to explain the adverse effects of high milk yield. Two hypotheses are tested: at a given genetic value, milk yield has an effect per se which is not mediated through body reserves evolution, and the hierarchy of these two effects varies according to the reproductive step. In order to uncouple these effects, Holstein and Normande cows bred in a compact calving system were submitted to two feeding strategies. The High feeding level allows high milk yield and moderate body condition loss. The Low one limits milk yield but triggers a deep body condition loss. Only the breed influenced final pregnancy rate. Oestrus was better detected in the Low group, in agreement with an enhanced oestradiol production by pre-ovulatory follicles of cows submitted to this feeding strategy. Early pregnancy failures were more frequent in the Low group; late embryo mortalities were more frequent in the High group for the Holstein breed only. Oestrus and early embryo development appear milk yield level and dynamic driven. Cyclicity, fertilization or early embryo development appear body reserves’ evolution driven. Consequently, this work leads to a better understanding of the competition between milk production and reproduction in the dairy cow
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Apper-Bossard, Emmanuelle. « Equilibre de la ration et homéostasie acido-basique chez la vache laitière forte productrice : rôle de la balance alimentaire en cations et en anions, de la teneur en protéines et en énergie rapidement dégradable de la ration ». Rennes, Agrocampus, 2005. http://www.theses.fr/2005NSARB166.

Texte intégral
Résumé :
En élevage bovin laitier, les pratiques actuelles conduisent souvent à l'appartion d'états de sub-acidose responsables de pertes économiques. L'utilisation de la balance alimentaire en Cations et en Anions (BACA) représente une pistse intéressante pour limiter les risques, puisque l'absorption des catins se fait contre des protons à l'inverse de celle des anions qui se fait contre HCO3-. Les objectifs ont été de 1) définir les recommandations en faisant l'hypothèse que les réponses pouvaient être modulées selon la teneur en énergie rapidement dégradable (risque d'acidose ruminale) et en PDIE des ratios, les protéines pouvant avoir un rôle tampon et 2) décrire les mécanismes de régulation sous jacents. Quatre essais ont été conduits dans lesquels des BACA de 0 à 300 mEq/kg MS ont été croisées avec deux teneurs en protéines (90 g à 115 g PDIE/UFL) (essai 3). Les BACA ont été modulées par apport de NaCO3- de NH4Cl et de Na2PO4. L'accroissement de la BACA a accru les quantités ingérées et la production de lait 4 %. Ces effets se mettent en place dès la première semaine des traitements et sont pérennes (au moins jusqu'à 12 semaines). Les mécanismes impliqués restent encore à préciser mais les résultats semblent s'expliquer en partie par un effet de régulation de l'homéostasie acido-basique du sang sans que l'on puisse exclure un effet direct dans le rumen. Les flux d'ions forts sont essentiellement régulés par l'excrétion re��nale et le pH de l'urine semble être un bon indicateur de la BACA. Ces résultats montrent que l'accroissement de la BACA permet de lever un frein à l'ingestion et de sécuriser les rations riches en énergie rapidement dégradable surtout lorsque l'apport en protéines est maintenu au plus juste
High producing dairy cows are commonly fed with highly digestible diets containing a high proportion of rapidly degradable starch. Obvious drawbacks to this strategy are the apparition of sub-acute rumen acidosis which lead to economic loses. The dietary cation-anion difference (DCAD) should aid in preventing acidosis since cations are absorbed in exchange of protons, whereas anions are absorbed in exchange of NaCO3-. The aim of this thesis was to 1) define DCAD recommendations and 2) describe the mechanisms implied. We made the hypothesis that responses were modulated by the proportion of rapidly degradable energy (4 or 22 % DM) (experiments 1, 2, 4). In experiment 3, DCAD were crossed with two proportions of proteins (90 and 115 PDIE/UFL). The DCAD were more important when diets provided high proportion of rapidly degradable energy and poor proportion of proteins, in agreement with our hypothesis. Effects appeared during the first week of the experiment and lasted during 12 weeks. Mechanisms implied may be précised. Nevertheless, the regulation of the acid-base stutus could partly explained the improvementof performance although a rumen effect could not be excluded. Renal excretion was the main way to excrete ions and urine PH seemed to be a good predictor of DCAD. Our results showed that increase DCAD could prevent the decrease in intake with diets rich in rapidly degradable energy and limiter in proteins
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Vanacker, Noémie. « Effet de l’inhibition du signal lactogénique en période péripartum sur la production laitière et sur les dysfonctionnements métaboliques et immunitaires chez les vaches laitières ». Mémoire, Université de Sherbrooke, 2017. http://hdl.handle.net/11143/10215.

Texte intégral
Résumé :
La période de parturition est une période à risque pour les vaches laitières. En effet, dû à la production de lait, la vache passe en quelques heures d’une demande nutritionnelle faible à une forte demande et se retrouve en balance énergétique négative. Pour répondre à la demande, les vaches laitières mobilisent leurs réserves corporelles entrainant ainsi d’importants dysfonctionnements métaboliques. Suite à ces perturbations, la vache laitière connaît un état naturel d’immunodépression qui est associé à une susceptibilité élevée aux maladies infectieuses. L’objectif de la recherche de ce mémoire était d’évaluer l’effet de l’administration d’un inhibiteur de la sécrétion de prolactine au cours de la première semaine suivant le vêlage, sur la production laitière et sur le profil métabolique et les fonctionsimmunitaires des vaches laitières. Cette recherche s’inscrit dans un programme de recherche visant à diminuer l’incidence des problèmes de santé durant la période de transition de la gestation à la lactation. Vingt-deux vaches laitières en fin de gestation ont été réparties en 2 groupes selon leur parité et leur production laitière des 100 premiers jours de la lactation précédente. Chaque groupe a reçu 8 injections i.m. soit d’un inhibiteur de prolactine, la quinagolide, soit d’eau. La première injection a été administrée juste après le vêlage et les 7 suivantes à 12h d’intervalle. La production laitière, la consommation alimentaire, certains métabolites sanguins et hormones sanguines ainsi que quelques fonctions immunitaires ont été mesurés sur chacune des vaches. La concentration en prolactine était plus faible du jour 2 au jour 5 mais plus élevée aux jours 10 et 28 pour les vaches traitées à la quinagolide en comparaison aux vaches contrôles. La production laitière était plus faible chez les vaches traitées du jour 2 au jour 6 en comparaison aux vaches contrôles (24.3 ± 6.4 kg/j vs 34.8 ± 4.1 kg/j). Cependant aucun effet résiduel n’a été observé sur la production laitière au-delà du jour 6. Les concentrations en glucose et en calcium étaient plusélevées chez les vaches traitées à la quinagolide alors que leur concentration en β-hydroxybutyrate était plus faible que pour les vaches contrôles. Les concentrations sanguines en acides gras non-estérifiés, en urée, et en phosphore n’ont pas été influencées par les traitements. Aux jours 2 et 5, la flambée oxydative des polymorphonucléaires était plus élevée pour les vaches traitées à la quinagolide que pour les vaches contrôles. Les cellules vaches contrôles ont eu un meilleur taux de prolifération que les vaches traitées à la quinagolide. Cependant, cette différence a persisté au-delà du traitement suggérant un effet vache plutôt qu’un effet réel du traitement. Aucun effet du traitement n’a été observé concernant la phagocytose. En conclusion, la réduction de la concentration sanguine en prolactine durant la période postpartum permet de réduire la production laitière durant la première semaine de lactation, sans pour autant affecter la productivité du reste de la lactation. Cette réduction de production laitière juste après le vêlage permet une transition plus graduelle de la gestation à la lactation et conduit à une réduction du stress métabolique et à une amélioration de certains aspects du système immunitaire pendant cette période.
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Doublet, Anna-Charlotte. « La diversité génétique à l’ère de la génomique : évolution de la consanguinité et ses conséquences dans trois races bovines laitières françaises ». Thesis, université Paris-Saclay, 2020. http://www.theses.fr/2020UPASB016.

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Résumé :
La sélection génomique, mise en place depuis 2009 en France, a drastiquement modifié les schémas de sélection dans les races bovines laitières françaises de grand effectif en augmentant le nombre de candidats à la sélection et en réduisant les intervalles de génération. L’essor de l’utilisation du transfert embryonnaire a également remanié les schémas de sélection, intensifiant la sélection des mères à taureaux et réduisant encore les intervalles de génération. Ces technologies permettent une augmentation du progrès génétique.Cependant, si leur utilisation n’est pas maîtrisée, elles mettent en danger la diversité génétique de ces races. Cette perte de diversité, caractérisée par une augmentation de la consanguinité, peut s’accompagner de dépression de consanguinité, d’une baisse de l’efficacité de la sélection et une perte de potentiel adaptatif. Il est donc primordial de comprendre et de prédire l’impact de ces changements sur la diversité génétique à l’ère de la génomique, afin de mieux la maintenir.Un bilan de la mise en place de la sélection génomique a montré que cette technologie a permis une augmentation du progrès génétique annuel chez la Montbéliarde, la Normande et la Prim’Holstein mais que la perte de diversité génétique s’est accélérée seulement chez la Prim’Holstein.Une étude par simulations a montré que, dans le cadre de la sélection génomique, l’utilisation intensive du transfert embryonnaire dans un schéma de sélection de type Montbéliarde présentait un risque pour la diversité génétique, et que la réduction du nombre de taureaux dans ces schémas causait à la fois une baisse du progrès génétique et une accélération de la perte de diversité génétique.Dans la race Montbéliarde, la dépression de consanguinité a fait baisser les performances pour cinq caractères de production et de santé sur les six caractères étudiés. Les effets de la consanguinité sur ces performances sont très hétérogènes le long du génome.Gérer la consanguinité et ses conséquences dans les races bovines laitières françaises nécessite la mise en œuvre de mesures efficaces, éthiques et applicables sur le terrain
Genomic selection, implemented in France since 2009, has drastically modified breeding schemes in large French dairy cattle breeds by increasing the number of candidates for selection and reducing generation intervals. The growing use of embryo transfer has also reshaped breeding schemes, intensifying the selection of dams of bulls and further reducing generation intervals. This resulted in an increased genetic gain.However, if their use is not controlled, they put the genetic diversity of these breeds at risk. This loss of diversity, characterized by an increased inbreeding, can be accompanied by inbreeding depression, a decrease in selection efficiency and a loss of adaptive potential. It is therefore essential to understand and predict the impact of these changes on genetic diversity. We studied the implementation of genomic selection and showed that this technology has led to an increase in annual genetic gain in Montbéliarde, Normande and Prim'Holstein while the loss of genetic diversity has only been accelerated in Prim'Holstein.We showed by simulations that, in the context of genomic selection, the intensive use of embryo transfer in a Montbéliarde-type breeding scheme presented a risk for genetic diversity, and that the reduction in the number of bulls in these schemes caused both a decrease in genetic gain and an acceleration of the loss of genetic diversity.In the Montbéliarde breed, inbreeding depression resulted in lower performance for five production and health traits out of six traits studied. The effects of inbreeding on these performances were very heterogeneous along the genome.Managing inbreeding and its consequences in French dairy cattle breeds requires the implementation of effective, ethical and feasible actions in the field
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Oseikria, Mouhamad. « Effets et mécanismes d'action d'une supplémentation en acides gras polyinsaturés n-3 sur la qualité ovocytaire, dans le contexte de la production d'embryons chez les vaches laitières ». Thesis, Tours, 2017. http://www.theses.fr/2017TOUR4006/document.

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Résumé :
Ce travail a pour objectif d'étudier les effets d’une supplémentation en acides gras polyinsaturés (AGPI) n-3 à longues chaines sur la production d’embryons chez les vaches laitières. Le régime enrichi en AGPI n-3 a eu tendance à augmenter le nombre moyen des complexes ovocyte-cumulus récupérés par vache par session d’OPU par rapport au groupe témoin AGPI n-6. Une tendance à augmenter le nombre moyen par vache par session d’OPU de blastocystes et de blastocystes expansés avec une augmentation significative de blastocystes de qualité 1 et 2 ont été notés dans le groupe n-3. De même, les taux de blastocystes, de blastocystes expansés et de blastocystes de qualité 1 et 2 ont été significativement augmentés dans le groupe n-3. Nous avons aussi montré que l’addition d’acide docosahexaénoïque (DHA, C22:6 n-3) à une faible concentration (1μM) pendant la maturation in vitro des ovocytes bovins augmente significativement le taux de clivage et le taux et la qualité de blastocyste. La stimulation de FFAR4 (free fatty acid receptor 4), au cours de la MIV, par un agoniste spécifique (TUG 891), a entrainé des effets bénéfiques similaires à ceux du DHA (1μM) sur la compétence ovocytaire. Cela suggère que l’effet bénéfique du DHA pourrait passer, au moins partiellement, par l’activation du FFAR4
We aimed to investigate whether dietary n-3 PUFA, in Prim‘Holstein dairy cattle in lactation, could influence reproductive performance in terms of embryo production. We showed that n-3 PUFA-enriched diet had a tendency to increase the average number of oocyte-cumulus complexes recovered per cow per OPU session. A tendency to increase the average numbers per cow per OPU session of blastocysts and expanded blastocysts with significantly increase of blastocysts of quality 1 and 2 were noted in the n-3 group compared to the n-6 group. Similarly, the rate of blastocysts, expanded blastocysts and blastocysts of quality 1 and 2 were significantly increased in the n-3 group compared to the n-6 group. We also showed that the addition of docosahexaenoic acid (DHA, C22:6 n-3) at low concentration (1μM) during IVM of bovine oocytes increased cleavage rate, blastocyst rate and embryo quality. DHA and free fatty acid receptor 4 (FFAR4) agonist TUG- 891 (1 or 5 μM) supplied during IVM similarly improved in vitro embryo development, suggesting that FFAR4 may, at least partially, mediate DHA beneficial effects on OCC, through activation of signaling pathways
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Ledoux, Dorothée. « Echecs précoces de gestation chez la vache laitière de race Holstein : incidences, implication dans la baisse de fertilité et facteurs de risque ». Thesis, Paris, AgroParisTech, 2011. http://www.theses.fr/2011AGPT0044/document.

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Résumé :
Actuellement en France et aux Etats-Unis, seules 30 à 35 % des premières inséminations artificielles chez la vache Holstein aboutissent à un vêlage. Les échecs de gestation ont lieu le plus souvent au cours du développement embryonnaire (Non-Fécondation-Mortalité Embryonnaire Précoce (NF-MEP) entre 0 et 16 jours, Mortalité Embryonnaire Tardive (MET) entre 16 et 45 jours après insémination). Ces échecs précoces de gestation expliquent en grande partie les différences de fertilité observées en France entre la race Holstein et les autres races plus fertiles. Les facteurs de risque de l'interruption de la gestation sont multiples : liés à l'animal, à l'environnement et à la conduite de l'élevage. Trois facteurs cependant ont évolué au cours du temps pour les vaches Holstein : le potentiel génétique, les anomalies de reprise de la cyclicité après vêlage, le déficit énergétique en début de lactation. Notre objectif a été d'identifier l'influence de ces trois facteurs sur les échecs précoces de gestation après première insémination postpartum chez la vache de race Holstein. Le potentiel génétique a été associé à l'incidence de NF-MEP et de MET. Les phases lutéales prolongées sembleraient être à l'origine d'une augmentation d'incidence de MET. Le déficit énergétique a eu un effet sur la NF-MEP et sur la MET. L'effet du déficit énergétique postpartum sur la qualité des ovocytes au moment de la mise à la reproduction reste hypothétique. Notre travail sur les échecs précoces de gestation a permis de contribuer à fournir des outils d'amélioration de conduite d'élevage aux professionnels
Currently, in France and the United States of America, only 30-35 % of first artificial inseminations in Holstein cows result in a calving. Pregnancy failure mainly occurs during embryonic development (fertilization failure - early embryonic mortality (FF-EEM) between D0 and D16 or late embryonic mortality (LEM) between D16 and D45 after insemination). Early pregnancy failure explains the majority of the differences in fertility between the Holstein breed and the other breeds in France, which are more fertile. There are numerous risk factors which cause pregnancy failure: animal, environmental and farm management factors. There are however, three factors which have been modified over time in Holstein cows: genetic merit, abnormal patterns of resumption of cyclicity and negative postpartum energy balance (NEB). Our objective was to identify the relationships between these three factors and early pregnancy failure after first postpartum insemination in Holstein dairy cows. Genetic merit was related to the incidence of FF-EEM and LEM. Prolonged luteal phases seemed to increase the incidence of LEM. The NEB was associated with FF-EEM and LEM. The impact of NEB on oocyte quality during the breeding period remains unclear. Our early pregnancy failure studies have helped to provide some tools to improve farm management
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Denis-Robichaud, José. « Effet d'un traitement intra-utérin de céphapirine sur les performances en reproduction des vaches laitières ». Thèse, 2013. http://hdl.handle.net/1866/10776.

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Résumé :
La reproduction est un pilier majeur de la productivité des fermes laitières. Dans ce contexte, il est pertinent d’identifier à l’avance les animaux à risque d’avoir des performances en reproduction sous-optimales, surtout si un traitement efficace est disponible pour améliorer ces performances. Les endométrites clinique et subclinique sont des conditions définies selon leur impact sur les performances en reproduction subséquentes et donc, des outils très intéressants de surveillance de la santé utérine. Le premier objectif de cette étude était de déterminer simultanément des seuils diagnostiques pour les endométrites clinique (diagnostiquée par le Metricheck) et subclinique (diagnostiquée par la cytologie endométriale ou par l’estérase leucocytaire) selon leur impact sur les performances en reproduction à la première saillie. L’écoulement vaginal purulent a été identifié comme seuil pour l’endométrite clinique, alors que les seuils identifiés pour l’endométrite subclinique ont été un pourcentage de polymorphonucléaires de 6% à la cytologie et une « forte quantité de leucocytes » à l’estérase leucocytaire. Le second objectif de l’étude était d’évaluer l’effet d’un traitement intra-utérin de céphapirine sur les performances à la première saillie des animaux sains et atteints d’endométrite. Aucun effet du traitement n’a été observé chez les vaches saines ou atteintes d’endométrite clinique, alors qu’une tendance à l’amélioration des performances a été associée au traitement chez celles atteintes d’endométrite subclinique. L’anovulation post-partum prolongée pourrait altérer l’efficacité du traitement de céphapirine, surtout chez les vaches atteintes d’endométrite clinique.
Reproduction is a major concern in the dairy industry. In this context, it is relevant to have an early identification of cows at risk of altered subsequent reproductive performance, especially if a treatment is available and effective to improve this performance. Clinical and subclinical endometritis are defined based on their impact on reproductive performance and are interesting tools for reproductive tract health surveillance. The first objective of this research project was to determine simultaneously diagnostic criteria for clinical (diagnosed by Metricheck) and subclinical (diagnosed by endometrial cytology or leukocyte esterase testing) endometritis based on their impact on reproductive performance at first service. Clinical endometritis was defined as presence of purulent vaginal discharge whereas subclinical endometritis was defined as presence of ≥ 6% of polymorphonuclear cells using endometrial cytology or the presence of “large amount of leukocytes” using leukocyte esterase testing. The second objective of this research project was to determine the effect of an intrauterine infusion of cephapirin on the reproductive performance at first service in cows with clinical endometritis, subclinical endometritis, and in cows unaffected by endometritis. Cephapirin treatment had no effect on first service pregnancy risk in unaffected cows or in cows affected by clinical endometritis. However, there was a tendency of a positive effect of the treatment in cows affected by subclinical endometritis. Presence of prolonged postpartum anovulation in cows may reduce the efficacy of the cephapirin treatment, especially in cows affected by clinical endometritis.
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Haine, Denis. « Réforme des vaches laitières au Québec ». Thèse, 2016. http://hdl.handle.net/1866/18586.

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Résumé :
Il existe plusieurs moyens d'augmenter la rentabilité d'une exploitation laitière. Parmi celles-ci, la réforme peut avoir un effet sur la production moyenne du troupeau et par conséquent sur les coûts de production de par la modulation de la structure du troupeau qu'elle entraîne. Afin de déterminer une rentabilité optimale des troupeaux, il est donc important de quantifier la réforme et de comprendre les mécanismes qui amènent à réformer un animal. Cette thèse a pour objectif principal de décrire la réforme dans les troupeaux laitiers du Québec. Plus précisément, elle vise à quantifier le taux de réforme, à explorer la relation entre le troupeau, le taux de réforme et le risque individuel de réforme, à déterminer l'effet causal de la mammite clinique sur la réforme, et à identifier les critères de décision utilisés lors de la réforme par les producteurs et les différents intervenants à la ferme. Une étude rétrospective longitudinale a été menée à partir des informations de santé et de production des vaches des troupeaux laitiers du Québec (Canada). Dix années de données, entre 2001 et 2010, ont été utilisées afin de déterminer des profils de troupeau et leurs taux de réforme, et un éventuel lien entre ceux-ci. L'influence du troupeau sur le risque individuel de réforme d'une part, et l'effet causal de la mammite clinique sur la réforme d'autre part, ont été explorés respectivement par analyse contextuelle et à l'aide d'un modèle marginal structural. Les critères de décision de réforme communs entre les producteurs, vétérinaires et autres conseillers ont été identifiés grâce à la méthodologie Q, qui permet de révéler la structure décisionnelle des individus. Cette étude a permis de quantifier un taux de réforme moyen de 32% sur les dix années de suivi de la cohorte, avec des variations importantes entre troupeaux. Il n'a pas été possible de déterminer des profils spécifiques de troupeaux en fonction d'un ensemble de caractéristiques liées à leurs performances de reproduction, de production, à leur gestion et indicateurs de santé. Il est, par contre, possible de les distinguer en fonction de certaines caractéristiques prise une à une et d'y associer le taux de réforme, notamment pour la gestion, la reproduction et la quantité de lait produite. Ces caractéristiques peuvent servir de variables contextuelles dans des analyses multiniveaux. Un effet contextuel du troupeau est présent dans le risque individuel de réforme, mais limité. Il résulte essentiellement de la pression exercée par les primipares arrivant dans le troupeau. Le risque de réforme dû à la mammite clinique, évalué dans le cadre contrefactuel d'une étude longitudinale où l'exposition est dépendante du temps, est comparable entre primipares et multipares. Pour ce risque, la production laitière a moins d'influence chez les primipares que chez les multipares. Les producteurs et leurs conseillers se réfère à un cadre de décision commun pour réformer une vache, se référant essentiellement à la santé mammaire de la vache et à sa production de lait. Le taux de réforme du troupeau n'intervient pas dans la décision de réformer une vache particulière.
There are several ways to increase the profitability of dairy farms. Among them, culling can affect the average herd production and therefore the costs of production, by modifying the herd structure. In order to determine an optimal herd profitability, it is important to quantify the culling rates and to understand the mechanisms leading to the culling of an animal. The main objective of this thesis is to describe culling in Québec dairy herds. Specifically, it aims to quantify the culling rates, to explore relationship between the herd, the culling rate, and the individual culling risk, to determine the causal effect of clinical mastitis on culling, and to identify the decision-making criteria used by producers and farm advisers. A retrospective longitudinal study was conducted on health and production data from cows in dairy herds from Québec, Canada. Ten years of data, between 2001 and 2010, were used to determine herd profiles and their culling rates, and their potential relationship. Herd influence on individual culling risk and the causal effect of clinical mastitis were explored respectively by contextual analysis and by using a marginal structural model. Shared criteria on culling decisions held by dairy producers, veterinarians and other advisers were identified with the help of the Q-methodology, which provides a means to reveal the decision structure of individuals. This study quantified an average culling rate of 32% based on ten years of follow-up, with significant variations between herds. Specific herd profiles according to a set of characteristics related to their reproductive and production performances, management and health indicators could not be determined. It is however possible to distinguish herds against certain unique feature taken one by one and to relate it to the culling rate, including herd management, reproduction performances, and milk production. These indicators can be considered as contextual variables in multilevel analyses. A herd contextual effect is present in the cow culling risk, but limited. It is mainly due to the pressure of heifers coming into the herd. Culling risk due to clinical mastitis, considered in the counterfactual framework of a longitudinal study where exposure is time-varying, is comparable between primiparous and multiparous cows. For this risk, dairy production has less influence in primiparous that in multiparous cows. Producers and their advisers share a common framework for culling decision-making, referring essentially to cow's udder health and her milk production. Herd culling rate is not involved in the decision to cull a specific cow.
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Tazerout, Nacera. « Détermination des concentrations de déoxynivalénol et zéaralénone associées à des maladies chez les vaches laitières ». Thèse, 2016. http://hdl.handle.net/1866/18656.

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Krug, Catarina. « Performance and health of dairy cows incompletely milked during the first five days in milk ». Thèse, 2018. http://hdl.handle.net/1866/21073.

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Truchetti, Geoffrey. « Efficacité d’un traitement intra-­mammaire prolongé à base de ceftiofur (Spectramast®) pour les mammites cliniques chez les vaches laitières ». Thèse, 2011. http://hdl.handle.net/1866/5885.

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Résumé :
Peu d’études ont exploré l’utilisation du traitement prolongé pour les mammites cliniques et aucune ne portait sur l’utilisation du traitement prolongé à base de ceftiofur pour le traitement des mammites cliniques légères à modérées. L’objectif de cette étude était d’évaluer l’efficacité du traitement intra-mammaire prolongé à base de ceftiofur pour les mammites cliniques légères à modérées, en considérant toutes les bactéries responsables ou seulement Staphylococcus aureus (S. aureus) et les streptocoques. Des vaches laitières (n = 241) de 22 élevages du Québec et de l’Ontario ont été inclues. L’étude a été conçue comme un essai clinique à allocation aléatoire. Pour chaque cas de mammite clinique légère à modérée, 125 mg d’hydrochloride de ceftiofur (Spectramast® LC) a été administré par voie intra-mammaire une fois par jour pour 2 ou 8 jours. Le pourcentage de guérison clinique 21 jours après la fin du traitement était de 89% (n = 98/110 pour chaque groupe, p = 0,95). Les pourcentages de guérison bactériologique 21 jours après la fin du traitement pour les groupes 2 jours et 8 jours étaient 32% (n = 15/47) et 61% (n = 25/41) respectivement pour toutes les bactéries (p < 0,01); 64% (n = 9/14) et 82% (n = 9/11) respectivement pour les streptocoques (p = 0,50); et 0% (n = 0/20) et 47% (n = 9/19) pour S. aureus (p < 0,01). Il n'y avait pas de différence entre les 2 groupes pour les nouvelles infections intra-mammaires (p = 0,30). Le traitement prolongé à base de ceftiofur est un choix raisonnable pour le traitement des mammites cliniques légères à modérées, en particulier causées par S. aureus.
Little research has focused on extended therapy in lactating cows with clinical mastitis and none were with ceftiofur. The objective of the present study was to evaluate the efficacy of an intramammary extended ceftiofur treatment for mild to moderate clinical mastitis, and to determine whether it would increase cure rates when considering any bacteria or more particularly Staphylococcus aureus (S. aureus) and streptococci. Holstein dairy cows (n = 241) from 22 herds located in Quebec and Ontario, Canada, were included. The study was designed as a randomized clinical trial. For each case of mild to moderate clinical mastitis diagnosed, 125 mg of ceftiofur hydrochloride (Spectramast® LC) was administered intramammary once a day for 2 or 8 consecutive days. Clinical cure rate 21 days after the last treatment was identical in each group (89%; n = 98/110; p = 0.95). Bacteriological cure rates 21 days after the last treatment for the 2- and 8-day regimens were 32% (n = 15/47) and 61% (n = 25/41), respectively, for all bacteria (p < 0.01); 64% (n = 9/14) and 82% (n = 9/11), respectively, for streptococci (p = 0.50); and 0% (n = 0/20) and 47% (n = 9/19), respectively, for S. aureus (p < 0.01). There were no statistical differences between experimental groups for new intramammary infections. Extended therapy appears to be a reasonable choice for the treatment of mild to moderate clinical mastitis, particularly in cases where S. aureus is the pathogen involved.
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Rasolomboahanginjatovo, Hasina Santatriniaina. « Relations entre le statut utérin, les paramètres biochimiques du sérum et du liquide de lavage utérin et la production d’embryons chez les vaches laitières après surovulation ». Thèse, 2011. http://hdl.handle.net/1866/5154.

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Résumé :
Le développement et la survie de l’embryon dépendent des nutriments fournis par les sécrétions utérines. Les objectifs de cette étude étaient de déterminer l’effet de la surovulation (SOV) sur la bactériologie et cytologie utérine et sur les paramètres biochimiques utérin et sérique et leurs effets sur le nombre d’embryons transférables (ET). Deux groupes de vaches Holstein (groupe I, non lactante, n=7 et groupe II, lactante, n=28) ont été respectivement induites en chaleur ou surovulées et ensuite inséminées. Au jour 7 du cycle œstral (J7) et lors du jour de la récolte (JR), un prélèvement individuel de sang et de liquide de lavage utérin a été fait pour l’analyse du statut bactériologique et cytologique de l’utérus et la mesure de la concentration de plusieurs paramètres biochimiques présélectionnés. Les embryons récoltés ont été évalués selon les critères de l’IETS. La SOV a donnée une moyenne de 7.39 ± 6.22 ovocytes/embryons dont 3.32 ± 4.81 ET. Il n’y avait pas de variation significative de la bactériologie et cytologie utérine des deux groupes entre J7 et JR. La concentration sérique de l’urée (P=0.0001), d’E2 (P=0.006); la concentration utérine du Glu (P=0.002), de Ck (p=0.0007), de LDH (P <0.0001), de PT (P=0.004), de P4 (P=0.008), de PGFM (P<0.0001) du groupe I et la concentration sérique de P4 (P<0.0001), de PGFM (P<0.0001); la concentration utérine de LDH (P=0.002), de PGFM (P<0.0001) du groupe II ont été significativement élevées à JR qu’à J7. La concentration utérine et sérique de l’urée (P<0.0001 et P<0.0001), de LDH (P<0.0001 et P=0.008), la concentration sérique de P4 (P=0.0002) et la concentration utérine de PT (P=0.0003) à JR du groupe II étaient différente du groupe I. Il n’y avait pas d’association entre la bactériologie et cytologie utérine et le nombre d’ET. Cependant, le nombre d’ET a été positivement corrélé avec la concentration sérique d’IGF-1 à J7 (r=0.45; P=0.001) et la concentration sérique de P4 à JR (r=0.43; P<0.05) et négativement corrélé avec la concentration utérine et sérique de PGFM à la fois à J7 (r=-0.54; P<0.005 et r=-0.67; P<0.001) et à JR (r=-0.48; P<0.01 et r=-0.57; P<0.002). Ces résultats suggèrent que la SOV induit des changements au niveau sérique et utérin qui affectent le nombre d’ET récoltés.
The developing embryo is dependent on the nutrients provided by the oviduct and the uterine fluid. The objectives of this study were to determine the effect of SOV on uterine bacteriology and cytology, on serum and uterine biochemical parameters and consequently on the number of TE. Non-lactating (n=7) and lactating (n=28) Holstein cows were synchronized for estrus and superovulated respectively and were inseminated twice. Uterine bacteriology and cytology and various uterine and serum biochemical parameters were measured at day 7 of estrus cycle (D7, starting day of the SOV protocol) and at the designated day of embryo recovery (DER). Harvested embryos were evaluated according to IETS’s criteria. Superovulated cows produced an average of 7.39 ± 6.22 ova/embryos of which 3.32 ± 4.81 were TE. There were no significant variations of uterine bacteriology and cytology between D7 and DER within the two groups. Serum urea (P=0.0001), E2 (P=0.006); uterine Glu (P=0.002), Ck (P=0.0007), LDH (P<0.0001), TP (P=0.004), P4 (P=0.008), PGFM (P<0.0001) in group I and serum P4 (P<0.0001), PGFM (P<0.0001); uterine LDH (P=0.002), PGFM (P<0.0001) in group II were significantly higher at DER than at D7. At DER, group I was different to group II’ uterine and serum urea (P<0.0001 and P<0.0001), LDH (P<0.0001 and P=0.008), PGFM (P=0.002 and P=0.009), serum P4 (P=0.0002) and uterine TP (P=0.0003). There was no association between uterine bacteriology and cytology and the number of TE. However, TE was positively correlated with serum IGF-1 at D7 (r=0.45; P=0.001) and P4 at DER (r=0.43; P<0.05) and negatively correlated with both serum and uterine PGFM respectively at D7 (r=-0.54; P<0.005 and r=-0.67; P<0.001) and DER (r=-0.48; P<0.01 and r=-0.57; P<0.002). The present results infer that changes following SOV in both serum and uterine secretion may affect the number of TE.
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Jamali, Hossein. « Récurrence de mammite clinique chez la vache laitière : incidence, facteurs de risque et impacts ». Thèse, 2016. http://hdl.handle.net/1866/19165.

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Résumé :
La mammite clinique (MC) est l'une des maladies les plus fréquentes et plus coûteuses touchant les vaches laitièrs. Un des L'aspect frustrant de la MC est sa récurrence. Il n’existe actuellement aucune étude exhaustive sur le risque de récurrence de la MC, les facteurs de risque de cas répétés de MC et ses impacts. Cependant, la récurrence de la MC chez les vaches laitières a été abordée dans de nombreuses études indépendantes. Par conséquent, un examen de portée a été effectué afin de développer des connaissances sur le risque de récurrence de la MC, ses facteurs de risque et ses impacts négatifs. Deux bases de données (PubMed et CAB Abstracts) et une plate-forme de recherche (Web of Science) ont été utilisées pour récupérer de nombreuses publications scientifiques pertinentes publiées en anglais et français après 1989. Cinquante-sept articles ont été sélectionnés pour la synthèse qualitative. Trente-trois, 19 et 37 études choisies inclurent respectivement des descriptions et des données sur les cas récurrents de MC, ses impacts négatifs et ses facteurs de risque. Ensuite, une méta-analyse et une méta-régression ont été effectuées pour calculer le rapport de risque (RR), permettant de comparer le risque de MC chez les vaches ayant subi un cas de MC dans une lactation donnée par rapport au risque de MC chez les vaches en santé. Le nombre total de lactations suivies et le nombre de lactations avec ≤ 1 et ≤ 2 cas de MC ont été rapportés dans neuf études et cette information a été utilisée dans la méta-analyse. Ces neuf études ont ensuite été séparées en deux groupes selon le temps minimum entre deux cas pour considérer qu'un cas subséquent est un nouveau cas ; ceux avec des échéances de 24 heures et de ≥ 5 jours entre deux cas de MC, considérant la prochaine occurrence de MC comme étant un nouveau cas de MC. Pour les études avec d'un délai minimum de seulement 24 heures, les vaches ayant déjà subi un cas de MC dans une lactation donnée avaient un RR de 1,5 fois plus élevé pour une MC récurrente comparativement aux vaches en santé. Cependant, pour les études demandantdes délais ≥ 5 jours entre deux cas de MC, le risque de cas répétés de MC n’était pas différent chez les vaches ayant déjà subi un cas de MC dans une lactation donnée comparativement aux vaches en santé (RR : 0,99, IC à 95 % : 0,86 et 1,1). Dans cette étude, la diminution de la production laitière et le risque accru de décès et de réforme ont été identifiés comme étant des impacts négatifs importants de la MC récurrente. Les vaches laitières âgées, les vaches laitières à haute production laitière et le manque de guérison bactériologique à la suite d’un premier cas de MC ont été identifiés comme étant les plus importants facteurs de risque de la MC récurrente. Une meilleure compréhension concernant les caractéristiques des vaches et des agents pathogènes associés à la récurrence des événements de MC pourrait éventuellement aider à contrôler ces événements récurrents, à réduire les coûts associés et à diminuer les quantités d'antibiotiques utilisées dans les fermes laitières. De plus, l'acquisition de ces connaissances pourrait également être utile pour prédire la probabilité d'un événement récurrent de MC et pourrait par conséquent être utile pour développer des outils servant à formuler les décisions de gestion des producteurs laitiers concernant la MC.
Clinical mastitis (CM) is one of the most common and most costly diseases of dairy cows in dairy herds. A frustrating aspect of CM is its recurrent nature. Currently, no study has reported in an exhaustive and comprehensive manner information about risk of recurrent CM, risk factors for CM recurrence and its impacts. However, the information about CM recurrence in dairy cows were investigated in many, but disconnected studies. Therefore, a scoping review was conducted to synthesize knowledge on risk of recurrent CM, its risk factors, and negative impacts. Two databases (PubMed and CAB Abstracts), and one search platform (Web of Science) were searched to identify relevant English or French scientific literature published after 1989. Fifty-seven articles were selected for qualitative synthesis. Description of recurrent CM, its negative impacts, and risk factors were reported in 33, 19, and 37 selected studies, respectively. Then, meta-analysis and meta-regression analysis were applied to compute risk ratio (RR) comparing risk of CM in cows that experienced one CM case in the current lactation to risk of CM of healthy cows. The total number of lactations followed and the number of lactations with ≤ 1 and ≤ 2 CM cases were reported in nine studies and the information was used in meta-analysis. These nine studies were then separated into two groups based on recurrent CM definition; those requiring only 24 h and those requiring ≥ 5 d between two CM cases to consider a CM case as a new CM event. For studies requiring only 24 h, cows that already had one CM case in the current lactation had a 1.5 times higher RR for recurrent CM than healthy cows. However, for studies using ≥ 5 d between two CM cases, risk of repeated cases of CM was not different in cows that suffered one CM case in a given lactation as compared with healthy cows (RR: 0.99; 95% CI: 0.86, 1.1). In this study, milk yield reduction and increased risk of mortality and culling were identified as important negative impacts of recurrent CM. Moreover, the most important CM recurrence risk factors were older dairy cow, high-producing dairy cow, and not having cure of treatment following initial CM case. A better understanding of the cow’s, pathogens’ and herd’s characteristics associated with recurrent CM events may possibly help controlling these recurrent events, decrease the associated costs as well as reduce amounts of antibiotics used on dairy farms. Moreover, these knowledges may be also useful in predicting the probability of a repeated CM event and could, therefore, be used to develop tools to inform dairy producer’s CM-related management decisions.
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Bazzazan, Ali. « Levels of immunoglobulin G, white blood cells and fibrinogen in dairy cows with and without endometritis during the transitional period ». Thèse, 2018. http://hdl.handle.net/1866/21071.

Texte intégral
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