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Divo, C., C. Obascz, F. Ligier et B. Kabuth. « Étude dimensionnelle des phases précoces des troubles affectifs et de la schizophrénie – Étude rétrospective comparative à propos de 100 cas ». European Psychiatry 29, S3 (novembre 2014) : 594–95. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.186.

Texte intégral
Résumé :
ObjectifComparer rétrospectivement la clinique de l’enfance et de l’adolescence d’une population d’adultes schizophrènes avec celle d’adultes bipolaires, afin de mettre en évidence des manifestations prémorbides et des prodromes plus spécifiques à l’une ou l’autre des pathologies.MéthodeDivers symptômes ont été recueillis dans les anciens dossiers pédopsychiatriques de 50 patients schizophrènes et de 50 patients bipolaires, grâce à une grille de recueil réalisée et évaluée par les auteurs. Ces symptômes ont ensuite été comparés entre les deux populations.RésultatsLa clinique de l’enfance du groupe schizophrène est marquée par un plus grand nombre de symptômes cognitifs tels qu’un Quotient Intellectuel bas, des troubles logicomathématiques, un retard de langage et des troubles de la concentration. L’énurésie et l’encoprésie semblent également plus spécifiques d’une évolution vers une schizophrénie par rapport à un trouble du spectre bipolaire. La clinique de l’adolescence du groupe schizophrène est marquée par un plus grand repli social, un quotient intellectuel bas et des troubles logicomathématiques. Les symptômes négatifs et positifs (éléments évoquant une discordance, bizarreries du comportement et des propos) sont des prodromes assez spécifiques de la schizophrénie par rapport aux troubles bipolaires. Les fluctuations thymiques constitueraient le seul symptôme réellement spécifique d’une évolution vers un trouble du spectre bipolaire par rapport à une schizophrénie.ConclusionLes phases prémorbide et prodromique de la schizophrénie se caractérisent par des symptômes psychocomportementaux qualitativement et quantitativement plus sévères que celle des troubles du spectre bipolaire.En outre, les troubles bipolaires et la schizophrénie semblent précédés, à l’adolescence, d’une phase prodromique constituée de symptômes déjà évocateurs de ceux caractérisant la pathologie à l’âge adulte mais dans une expression atténuée. Ceci marquant une continuité entre l’adolescence et l’âge adulte.
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2

Yvon, Florence, et Antoinette Prouteau. « Vers une compréhension de la stigmatisation : quel est le stéréotype associé à la schizophrénie ? » Santé mentale au Québec 42, no 2 (16 novembre 2017) : 125–31. http://dx.doi.org/10.7202/1041919ar.

Texte intégral
Résumé :
La stigmatisation des personnes souffrant d’un trouble du spectre schizophrénique a pour origine l’existence d’un stéréotype associé à une catégorie sociale, ici la schizophrénie. L’objectif de cet article bref est de proposer une courte synthèse de la littérature récente ayant exploré le contenu du stéréotype associé à la schizophrénie, en anglais et en français, et de proposer des perspectives de recherche basées sur les évolutions récentes de ce domaine. Le stéréotype associé à la maladie mentale en général est clairement négatif. Le modèle le plus répandu dans la littérature postule l’existence de quatre facteurs qui en constituent le contenu : attribution de la responsabilité de la maladie, dangerosité, faible pronostic, imprévisibilité et incompétence dans les rôles sociaux. Si le stéréotype peut varier selon les pays, il est clairement associé à la discrimination et au désir de mettre les personnes à distance socialement. Le stéréotype diffère également entre les maladies mentales. En comparaison aux troubles bipolaires ou à l’autisme, la schizophrénie concentre les aspects les plus négatifs du stéréotype associé à la maladie mentale, notamment en termes de dangerosité et de distance sociale. L’étude du stéréotype, en pleine expansion, demande encore des études spécifiques et la mise à l’épreuve des modèles non validés, pourtant largement utilisés dans la littérature psychiatrique. L’importation des méthodes et des modèles de la psychologie sociale constitue une piste prometteuse. Ainsi, la production de données utilisables par tous les acteurs du terrain, usagers, familles et professionnels, implique la constitution d’équipes pluridisciplinaires dans les projets futurs.
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Rakova-Carron, Liuba, et Vassilis Kapsambelis. « La troisième psychose ». Psychologie clinique et projective 34, no 2 (19 décembre 2023) : 35–51. http://dx.doi.org/10.3917/pcp.034.0035.

Texte intégral
Résumé :
Les termes de psychose, de schizophrénie et d’autisme ont connu des périmètres variables au fil des décennies. Notre étude a pour but d’établir les différences entre les psychoses de l’adulte (schizophrénies ou pas), et les syndromes psychotiques observés à l’âge adulte chez de patients qui, enfants, avaient été diagnostiqués comme psychotiques (ce qui entrerait aujourd’hui dans les troubles du spectre autistique). Cette différenciation se fait à partir de critères psychopathologiques et projectifs, et tend à montrer que ces adultes, anciens « enfants psychotiques », présentent des modalités de fonctionnement mental qui diffèrent, aussi bien des fonctionnements incluant un objet de délire (psychoses délirantes) que des fonctionnements utilisant un objet-fétiche (psychoses froides et certains aspects des fonctionnements limite).
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Dhaliwal, Arash K., Anees Bahji et Marlon Danilewitz. « Managing Comorbid Tobacco Use Disorder for Individuals With Schizophrenia : Challenges and Opportunities ». Canadian Journal of Addiction 13, no 4 (décembre 2022) : 53–55. http://dx.doi.org/10.1097/cxa.0000000000000164.

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Résumé :
ABSTRACT Smoking and tobacco use disorder (TUD) is highly prevalent among individuals with serious and persistent mental illness, particularly those with schizophrenia spectrum disorders. In this clinical case column, we highlight an encounter involving a successful initiation of bupropion for smoking cessation in an individual with schizophrenia. We also review the relevant literature around the epidemiology of TUD among people with schizophrenia, highlight the increased complications and mortality secondary to TUD, and discuss relevant strategies for clinicians to support individuals with serious and persistent mental illness aiming to reduce or stop their tobacco consumption. Le tabagisme et le trouble de l’usage du tabac (TUT) sont très répandus chez les personnes souffrant de maladies mentales graves et persistantes (MMGP), en particulier celles atteintes de troubles du spectre de la schizophrénie. Dans cette chronique de cas cliniques, nous mettons en évidence une rencontre impliquant une initiation réussie du bupropion pour le sevrage tabagique chez une personne atteinte de schizophrénie. Nous passons également en revue la littérature pertinente concernant l'épidémiologie du TUT chez les personnes atteintes de schizophrénie, soulignons l’augmentation des complications et de la mortalité secondaires au TUT, et discutons des stratégies pertinentes pour les cliniciens afin de soutenir les personnes atteintes de MMGP visant à réduire ou à arrêter leur consommation de tabac.
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Bonnot, Olivier, Paula Herrera et Alice Kuster. « Maladies neurométaboliques traitables associées aux troubles du spectre de la schizophrénie ». La Presse Médicale 44, no 9 (septembre 2015) : 889–97. http://dx.doi.org/10.1016/j.lpm.2015.02.023.

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Krebs, M. O., O. Gay, G. Martinez et I. Amado. « Signes neurologiques mineurs et contrôle moteur : ce qu’ils nous apprennent sur la schizophrénie, ses mécanismes et ses frontières ». European Psychiatry 29, S3 (novembre 2014) : 580–81. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.282.

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Résumé :
Les signes neurologiques mineurs (SNM) sont des marqueurs aujourd’hui bien reconnus dans la schizophrénie, présents à un moindre degré chez les apparentés. Leur signification et leur spécificité reste néanmoins incertaines. Des aspects méthodologiques pourraient expliquer certaines de ces incertitudes (échelles variables selon les publications, méthodes de cotation sensible ou non au changement, types de signes pris en comptes etc) [1]. Les corrélats des SNM peuvent apporter des éléments de réponses sur leur origine et leur signification. Nous avons ainsi montré que la SNM sont associés à une moindre performance cognitive, à plus d’erreurs dans les tâches oculomotrices, notamment dans des tâches de saccades adaptatives [2], ainsi à une altération du circuit préfronto cérébelleux [3], suggérant un dysfonctionnement cérébelleux.Par ailleurs, nous avons également montré que les patients ayant des SNM ont une altération de la morphologie corticale, avec une moindre gyrification corticale, témoignant de l’origine développementale des SNM [4].Enfin, nous avons montré récemment que les SNM sont plus marqués chez les sujets présentant un début des troubles précoces, avant l’adolescence (avant 15 ans), comparés à ceux présentant un trouble débutant à l’âge adulte, suggérant à nouveau que les SNM sont les marqueurs d’une forme à charge développementale plus importante.L’association des SNM avec un âge de début précoce et des anomalies structurales touchant en particulier les circuits cérébelleux, suggère que les SNM pourraient permettre d’identifier un sous-type de schizophrénie précoce, et interroge sur un continuum avec les troubles du spectre autistique.
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Frigaux, Antoine, Joëlle Lighezzolo-Alnot, Renaud Evrard, Jean-Yves Chagnon, Thomas Rabeyron, Catherine Weismann-Arcache et Hélène Suarez-Labat. « Diagnostic différentiel entre troubles du spectre autistique et troubles du spectre de la schizophrénie chez l’adulte : sur la voie d’une approche psychanalytique et projective avec le test de Rorschach ». Bulletin de psychologie N° 583, no 1 (18 janvier 2024) : 61–65. http://dx.doi.org/10.3917/bupsy.583.0061.

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Marsili, M., A. C. Stona, D. Sebbane, M. Laporta et J. L. Roelandt. « Implication des usagers et des aidants dans le développement de la classification des troubles mentaux et du comportement, CIM-11 ». European Psychiatry 29, S3 (novembre 2014) : 620–21. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.107.

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Résumé :
ContexteL’Organisation mondiale de la santé (OMS) a inscrit la participation de tous les acteurs concernés par la classification internationale des maladies (CIM) dans son processus de révision. L’implication des usagers et des aidants jusque-là partielle, est de plus en plus importante et implique une nouvelle méthodologie de révision où leurs rôles ne soient pas annexes mais essentiels, tout en respectant le cadre contraint de la révision. Des travaux préliminaires menés à Lille et à Montréal ont souligné l’importance de travailler avec les usagers et aidants sur les lignes directrices de la CIM et sur l’intégration d’éléments contextuels à la classification.Objectifs– Garantir la participation des usagers et aidants au processus de révision de la CIM.– Intégrer des éléments contextuels à la classification.– Proposer des recommandations à l’OMS permettant d’aboutir à une classification des troubles mentaux et du comportement compréhensible et acceptable par toutes les parties prenantes.MéthodeÉtude internationale, formative et participative, multicentrique, conduite auprès des usagers, des aidants et des professionnels volontaires entre 2014 et 2015. Axes :– intégration d’éléments contextuels dans la classification des troubles mentaux et du comportement;– relecture de la classification sur le spectre de la schizophrénie et autres troubles psychotiques primaires.Recueil des données : utilisation d’une triangulation de méthodes :– réunions de travail et focus groupes;– analyse de documents;– questionnaire électronique.Analyse des donnéesRéalisation d’une analyse statistique, d’une analyse de contenu, et création de cartes mentalesRésultats attendusDes recommandations claires et précises pour l’OMS seront élaborées à l’issue de ce projet. Celles-ci devront permettre d’aboutir à une classification des troubles mentaux et du comportement compréhensible et acceptable par toutes les parties prenantes, et sur le long-terme moins stigmatisante pour les usagers et aidants.
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Le Gall, E., et G. Iakimova. « Cognition sociale dans la schizophrénie et les troubles du spectre de l’autisme : points de convergences et différences fonctionnelles ». L'Encéphale 44, no 6 (décembre 2018) : 523–37. http://dx.doi.org/10.1016/j.encep.2018.03.004.

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Lafleur, Alexis, Isabelle Soulières et Baudoin Forgeot d’Arc. « Cognition sociale et sens de l’agentivité en autisme : de l’action à l’interaction ». Santé mentale au Québec 41, no 1 (5 juillet 2016) : 163–81. http://dx.doi.org/10.7202/1036970ar.

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Résumé :
Le sens de l’agentivité (SdA) consiste à détecter que l’on est la cause d’une action (Gallagher, 2000). Il est lié au contrôle moteur, mais également à la conscience de soi et pourrait jouer un rôle important dans l’interaction sociale. Le trouble du spectre de l’autisme (TSA) est caractérisé par une altération des interactions sociales et de la communication (DSM-5 ; APA, 2013), et est souvent perçu comme relevant d’un déficit primaire de fonctions spécifiques à la cognition sociale. Pourtant, le contrôle moteur est également altéré dans le TSA. Nous faisons l’hypothèse que les symptômes moteurs et l’atteinte de l’interaction sociale pourraient relever d’une même atteinte du SdA. Nous présentons d’abord les modèles explicatifs généraux et les bases neurofonctionnelles du SdA implicite et explicite (Synofzik et al., 2008), puis les manifestations de ses perturbations dans d’autres troubles neuropsychiatriques comme la schizophrénie. Dans le TSA, la formation atypique des modèles internes de l’action lors de l’apprentissage moteur (Haswell et al., 2009) pourrait être à l’origine de l’altération du SdA implicite. Le manque de fidélité des indices d’agentivité sensorimoteurs (Zalla et al., 2015) pourrait de façon concomitante entraîner l’altération du SdA explicite. Nous discutons les principales manifestations cliniques du TSA qui seraient reliées aux altérations du SdA (difficultés dans la théorie de l’esprit et l’imitation, déficits de la coordination et des praxies, etc.)
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Favrod, J. « Effet antipsychotique supplémentaire et soutenu de l’entraînement métacognitif : une étude randomisée contrôlée ». European Psychiatry 28, S2 (novembre 2013) : 95–96. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.256.

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Résumé :
Introductionles symptômes psychotiques persistants représentent un défi majeur pour les soins psychiatriques. La recherche fondamentale a montré que les symptômes psychotiques sont associés à des biais cognitifs. L’entraînement métacognitif (EMC) a pour but de rendre les patients conscients de ces biais et de les prendre en compte dans leurs relations interpersonnelles[1].MéthodeCinquante-deux participants remplissant les critères diagnostics pour une schizophrénie ou un trouble schizo-affectif et des idées délirantes ne répondant que partiellement au traitement neuroleptique ont été recrutés pour l’étude. La réponse partielle était opérationnalisée comme la présence d’une idée délirante > 2 sur l’item P1 de la PANSS durant les trois derniers mois sans augmentation du traitement neuroleptique. Après l’évaluation initiale, les participants ont été répartis aléatoirement soit dans la condition traitement habituel (TH) ou la condition TH + EMC. L’intervention a consisté en huit séances d’EMC d’une heure par semaine. les participants ont ensuite été évalués huit semaines plus tard et six mois après l’intervention par des juges indépendants. les participants ont été évalués avec la Psychotic Symptoms Rating Scales (PSYRATS) [2], l’échelle positive de la PANSS et les items de la conscience du trouble de la SUMD [3].Résultatsles différences de scores intergroupes entre le pré-test et le post-test ainsi qu’entre le pré-test et l’évaluation à six mois de catamnèse étaient significatives avec des tailles d’effet modérées pour l’échelle d’idées délirante de la PSYRATS et l’échelle positive de la PANSS.Discussionles résultats de cette étude indiquent que l’EMC présente un effet antipsychotique supplémentaire pour les patients avec un trouble du spectre de la schizophrénie qui démontrent une réponse partielle au traitement neuroleptique. Cet effet persiste six mois après l’intervention.
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Zanon, Damien, et Karine Merceron. « Le fonctionnement cognitif et le travail chez les personnes souffrant de troubles du spectre schizophrénique : l’apport de la Classification internationale du fonctionnement ». Santé mentale au Québec 42, no 2 (16 novembre 2017) : 71–85. http://dx.doi.org/10.7202/1041915ar.

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Résumé :
Cet article dresse un état des lieux de l’implication du fonctionnement cognitif dans le champ de l’insertion professionnelle et du maintien en emploi des personnes qui souffrent de troubles du spectre schizophrénique (TSS). L’objectif est de visualiser comment les déficits cognitifs s’articulent avec les autres dimensions du handicap rapportées dans la Classification internationale du fonctionnement, du handicap et de la santé (CIF), dans le domaine du travail. Les données de la littérature vont dans le sens du modèle de la CIF, à savoir un plus fort impact du fonctionnement cognitif sur les limitations d’activités (LA) plutôt que sur les restrictions de participation (RP). Ce sont en effet davantage les facteurs environnementaux et personnels qui prédisent la participation au travail. En conclusion, ce cadre théorique offre de nouvelles perspectives, notamment que la prise en compte de l’interaction entre les déficits cognitifs et les limitations d’activités peut venir étayer l’accompagnement vers et dans l’emploi des personnes souffrant de TSS.
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Danion, J. M. « Approches actuelles des troubles moteurs dans la schizophrénie : du diagnostic au bien-être du patient ». European Psychiatry 29, S3 (novembre 2014) : 580. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.281.

Texte intégral
Résumé :
Au 19e siècle, dès les premières descriptions de la schizophrénie, les troubles moteurs à type de troubles de la posture, de la gestuelle, ont été pris en compte. Puis à partir des années cinquante, les effets secondaires moteurs liés aux traitements par neuroleptiques, semblent avoir éclipsé ces troubles moteurs comme faisant partie intégrante du tableau clinique de la maladie. Depuis une quinzaine d’année, des études se sont à nouveaux intéressées à ces troubles en montrant des troubles de postures, la présence de gestes anormaux, d’anomalie de la marche, d’anomalie du tonus, des troubles de la dextérité etc. Les recherches se sont aussi intéressées aux signes neurologiques mineurs (SNM) qui correspondent à des anomalies subtiles et diffuses, comprenant des troubles de coordination motrice interpersonnelle, de l’équilibre, de l’intégration sensorielle ou encore de latéralisation, ainsi que des mouvements anormaux. Les SNM sont retrouvés chez 65 % des patients souffrant de schizophrénie contre 5 % en population générale. La description et la compréhension de ces SNM peuvent nous permettre une meilleure compréhension des mécanismes et des frontières de la schizophrénie [1].Plus récemment, il a été décrit que les coordinations motrices interpersonnelles, qui permettent une interaction de qualité entre deux personnes sont altérées dans la schizophrénie. De plus, ces altérations sont aussi retrouvées, à un moindre niveau, chez les apparentés sains au premier degré des patients souffrant de schizophrénie, montrant l’importance de ces troubles moteurs dans la genèse de la maladie [2]. Enfin, il est important de montrer l’implication clinique et dans la réhabilitation de la prise en compte de ces troubles moteurs [3]. Ainsi, une meilleure compréhension des troubles de la planification motrice qui caractérisent les patients doit permettre de leur proposer des activités physiques plus adaptées et les aider à un mieux être au quotidien.
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Kouidrat, Y., A. Amad, R. Louhou, G. Loas et J. D. Lalau. « Schizophrénie : troubles métaboliques et nutritionnels ». Nutrition Clinique et Métabolisme 30, no 3 (septembre 2016) : 266. http://dx.doi.org/10.1016/j.nupar.2016.09.102.

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Robert, G. « L’apathie dans les maladies développementales : évaluation, physiopathologie et thérapeutique ». European Psychiatry 30, S2 (novembre 2015) : S18. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.057.

Texte intégral
Résumé :
Bien que le terme « apathie » soit plus favorablement rencontré dans le domaine des pathologies dégénératives, de plus en plus de travaux sont réalisés dans celui des pathologies développementales, au premier rang desquels la schizophrénie et la dépression. Les analyses factorielles des échelles de symptômes négatifs dans la schizophrénie identifient deux facteurs dont celui de l’apathie associée à un pronostic péjoratif . Les troubles de la motivation sont désormais au cœur des enjeux thérapeutiques et de nouveaux paradigmes d’effort et l’imagerie cérébrale caractérisent les désordres motivationnels dans la schizophrénie . Les traitements médicamenteux souvent suspectés d’être pourvoyeur de troubles motivationnels ne sont pas mis en causes dans une récente méta-analyse . Nous exposerons également les résultats de nos travaux identifiant les troubles émotionnels chez les patients apathiques schizophrènes et dépressifs.
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Halfon, O., E. Albert, MC Mouren-Siméoni et M. Dugas. « Troubles thymiques délirants versus troubles schizophréniques délirants. A propos de l'étude d'une cohorte d'adolescents délirants. I. Antécédents et sémiologie ». Psychiatry and Psychobiology 5, no 1 (1990) : 13–22. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x00003321.

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Résumé :
RésuméLa présence d'idées délirantes au cours d'un épisode dépressif ou maniaque majeur signe-t-elle une affection différente qui aurait ses caractéristiques cliniques évolutives et thérapeutiques propres, se traduisant en particulier par un handicap fonctionnel plus marqué au fil des années? Qu'en serait-il alors de ses rapports avec la maladie maniaco-dépressive et la schizophrénie? La réponse à ces questions apparaît complexe comme le montre l'étude de la littérature qui n'a cessé d'osciller entre une classification dichotomique et unitaire. Jusque vers les années 80, les adolescents présentant des troubles de l'humeur délirants étaient considérés, la plupart du temps, comme des schizophrènes car les troubles délirants l'emportaient sur les troubles thymiques. A partir de cette date, avec l'introduction du DSM III (1980), ces troubles appartiennent plutôt à la catégorie de la maladie maniaco-dépressive. La catégorie des troubles schizo-affectifs devient résiduelle. La schizophrénie et la maladie maniaco-dépressive font-elles partie d'un même continuum ou sont-elles des entités distinctes? La catégorie schizo-affective est-elle une catégorie d'attente, une catégorie résiduelle? Pour tenter de répondre à ces questions, nous avons constitué une cohorte d'adolescents délirants présentant ou non des troubles de l'humeur, dont l'évolution sera suivie de manière prospective sur 5 années. Le présent article est une description des antécédents familiaux, personnels et de la sémiologie délirante de l'épisode index de notre cohorte. L'évolution et la thérapeutique de ces sujets constitueront un autre travail. Cette étude a permis de constater qu'actuellement les troubles de l'humeur délirants sont mieux repérés chez l'adolescent. L'âge du début des troubles, contrairement à ce qui est couramment énoncé, est à peu près équivalent, quelle que soit la catégorie diagnostique: schizophrénie ou maladie maniaco-dépressive. Dans les antécédents familiaux, une nette prédominance des troubles de l'humeur est retrouvée quelle que soit la catégorie diagnostique. L'analyse de la sémiologie psychotique permet de noter l'importance de la non-congruence et des troubles du cours de la pensée chez les patients bipolaires et schizo-affectifs, alors que jusqu'à présent ces signes étaient considérés comme « pathognomoniques» de la schizophrénie. Au total, il apparaît très difficile de distinguer lors d'un premier épisode délirant un trouble de l'humeur délirant, en particulier maniaque, d'une schizophrénie débutante chez l'adolescent. Il n'y a pas d'éléments réellement prédictifs. La catégorie schizo-affective est peu spécifique avec soit des éléments qui la rapprochent des troubles de l'humeur (antécédents personnels), soit des symptômes qui la rapprochent de la schizophrénie (trouble du cours de la pensée). Le diagnostic différentiel entre trouble de l'humeur délirant et trouble schizophrénique délirant sera précisé en fonction de l'évolution et ceci constituera la deuxième partie de notre travail.
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Gourier-Frery, C., C. Chan Chee et N. Beltzer. « Prévalence de la schizophrénie et autres troubles psychotiques en France métropolitaine ». European Psychiatry 29, S3 (novembre 2014) : 625. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.118.

Texte intégral
Résumé :
ContexteLa littérature internationale indique des prévalences de troubles psychotiques comprises entre 0,5 et 2 % en population générale. En l’absence de données précises en France, deux indicateurs nationaux sont présentés ici : la prévalence annuelle d’habitants pris en charge pour schizophrénie et autres troubles psychotiques par les établissements de santé ayant une activité psychiatrique (EP) et la prévalence de personnes en affection de longue durée (ALD) pour ces mêmes troubles.MéthodesPour le 1er indicateur : l’analyse porte sur les données issues du RIM-P : prises en charge à temps complet ou partiel et activité ambulatoire. Le 2e indicateur réunit les données d’ALD23 des principaux régimes d’assurance maladie (CnamTS, RSI et MSA). Les codes CIM : F20 à F29 de schizophrénie et autres troubles psychotiques ont été sélectionnés pour ces deux indicateurs (diagnostics principaux et associés en EP).RésultatsEn 2012 en France métropolitaine, 235 000 patients, soit 3,7 pour 1000 habitants, ont été pris en charge pour troubles psychotiques en EP, dont 62 % pour schizophrénie et 294 000 personnes (4,6 pour 1000) étaient en ALD pour troubles psychotiques, parmi lesquelles 45 % pour schizophrénie. Les prévalences sont globalement plus élevées chez les hommes que chez les femmes : 1,5 fois pour tous TP et 2 fois plus pour la schizophrénie. Ces prévalences étaient maximales entre 30 et 45 ans chez les hommes (taux de suivi en EP : 8,8 pour 1000 ; ALD : 10 pour 1000), et entre 40 et 60 ans chez les femmes (taux de suivi en EP : 5,1 pour 1000 ; ALD : 6,6 pour 1000). Les taux diminuent ensuite lentement avec l’âge chez les femmes, et de façon plus marquée chez les hommes, après 60 ans, les taux féminins sont supérieurs aux taux masculins.ConclusionCes deux sources de données permettent de préciser la prévalence annuelle en France de personnes suivies pour schizophrénie et autres troubles psychotiques dans le système de soins. Elles ne couvrent néanmoins pas les patients suivis en libéral, qui ne seraient pas déclarés en ALD au titre de leur psychose, ni les malades en rupture totale de soins.
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Crocq, M. A. « Troubles neuro-développementaux, troubles du spectre de l’autisme ». European Psychiatry 28, S2 (novembre 2013) : 36. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.088.

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Le DSM-5 a introduit le chapitre des « Troubles NeuroDéveloppementaux » (TND) qui regroupe certaines catégories qui appartenaient aux Troubles apparaissant dans la petite enfance, l’enfance et l’adolescence. Les TND incluent les troubles du développement intellectuel, de la communication, du spectre de l’autisme (TSA), des apprentissages, moteurs (p. ex., Tourette), et le déficit de l’attention/hyperactivité. La catégorie TSA remplace les Troubles Envahissants du Développement. Les TSA sont définis par deux critères seulement : déficit persistant dans la communication et les interactions sociales, intérêts et comportements limités et stéréotypés. Ces modifications peuvent influencer les recherches et l’accès aux soins [1].
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Perdrix, Jean, et Basile Vareltzis. « Lien entre schizophrénie et troubles bipolaires ». Revue Médicale Suisse 5, no 192 (2009) : 494a. http://dx.doi.org/10.53738/revmed.2009.5.192.494a.

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Cambier, Gentiane, Lise Machet et Brigitte Assouline. « Les troubles du spectre autistique ». Soins Pédiatrie/Puériculture 35, no 276 (janvier 2014) : 12–14. http://dx.doi.org/10.1016/j.spp.2013.11.002.

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Bensaida, M., H. Merad, M. A. Birem, N. Abdaoui et A. Guedidi. « Éléments de diagnostic différentiel entre le syndrome d’Asperger et les personnalités schizoïde et paranoïaque ». European Psychiatry 29, S3 (novembre 2014) : 599. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.196.

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Résumé :
Le syndrome d’Asperger et la schizophrénie dans sa forme productive ou déficitaire, comportent chacun des symptômes difficiles à distinguer l’un de l’autre et se recouvrent partiellement au niveau de la sémiologie clinique. Tel est le cas des diagnostics de la personnalité schizoïde et de la personnalité paranoïaque qui durent toute la vie. Ce travail mettra en exergue les critères de distinction entre les formes de schizophrénie et les épisodes hétéro-agressifs et la méfiance survenant dans le syndrome d’Asperger. Ainsi les justifications de l’épisode violent et son récit seront différentes selon l’appartenance de la personne au spectre autistique ou à la schizophrénie.
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Laferrière-Simard, Marie-Christine, et Tania Lecomte. « La schizophrénie dissociative existe-t-elle ? » Santé mentale au Québec 35, no 1 (26 octobre 2010) : 111–28. http://dx.doi.org/10.7202/044800ar.

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Résumé :
Cet article examine le chevauchement important qui existe au niveau phénoménologique, entre les symptômes dissociatifs et psychotiques. De plus, l’étiologie traumatique, reconnue dans les troubles dissociatifs, semble de plus en plus considérée dans les cas de psychoses. Ces similitudes créent une confusion dans les milieux cliniques avec des répercussions importantes pour les personnes souffrant de ces troubles. En effet, les difficultés rencontrées lors du diagnostic différentiel peuvent résulter soit en un mauvais diagnostic, soit en une comorbidité indétectée. Certains auteurs vont plus loin et postulent qu’il existe un sous-type de schizophrénie dont la dissociation est sous-jacente à l’expression des symptômes psychotiques.
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Warin, N., et P. Antoine. « La conscience des troubles dans la schizophrénie ». Journal de Thérapie Comportementale et Cognitive 14 (décembre 2004) : 40. http://dx.doi.org/10.1016/s1155-1704(04)97530-1.

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Thomas, P. « Schizophrénie et troubles bipolaires : les dimensions cliniques ». L'Encéphale 35 (octobre 2009) : S142—S145. http://dx.doi.org/10.1016/s0013-7006(09)72517-5.

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Capdevielle, D. « Coordinations motrices interpersonnelles dans la schizophrénie : un marqueur phénotypique ? » European Psychiatry 29, S3 (novembre 2014) : 581. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.283.

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Résumé :
Les coordinations motrices interpersonnelles représentent la manière que nous avons de coordonner nos mouvements avec ceux d’autres personnes. Elles entrent dans le cadre de la communication non verbale qui tient un rôle majeure dans les interactions sociales. La qualité (synchronisation) des coordinations motrices est corrélée au sentiment d’affiliation, de cohésion, au ressenti positif qui émerge entre les individus [1]. Les pathologies schizophréniques sont associées à des troubles des interactions sociales. De plus, il a été démontré qu’il existe des troubles moteurs dans cette pathologie. Mais aucune étude n’avait évalué l’altération des coordinations motrices interpersonnelles des patients souffrant de schizophrénie. Notre objectif a été de déterminer si les coordinations sociales motrices étaient altérées chez des patients souffrant de schizophrénie. Pour cela, nous avons utilisé le paradigme des pendules. Nos résultats ont permis de mettre en évidence une différence comportementale en situation de coordination interpersonnelle intentionnelle et non intentionnelle chez les patients. Ces altérations pourraient être associées à un déficit du couplage visuo-moteur en situation de coordination intentionnelle mais aussi aux ressources attentionnelles mobilisées au cours de la coordination intentionnelle [2]. Suite à ces premiers résultats, nous nous sommes intéressés aux coordinations sociales motrices des apparentés sains de premier degré des patients souffrant de schizophrénie. L’objectif de cette étude était de déterminer si les troubles des coordinations motrices interpersonnelles, observés dans la schizophrénie, pouvaient être considérés comme de potentiels candidats phénotypiques de la pathologie. Nos résultats, toujours obtenus avec le paradigme des pendules, montrent la présence de déficits similaires, aux patients affectés de schizophrénie, chez les parents de premier degré, mais avec une intensité moindre [3]. Ces résultats, suggérant que les coordinations interpersonnelles, pourraient être un phénotype intermédiaire dans la schizophrénie ouvrent de nouvelles perspectives pour le diagnostic précoce de la maladie.
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Huguet, G., Y. Contejean et C. Doyen. « Troubles du spectre autistique et suicidalité ». L'Encéphale 41, no 4 (septembre 2015) : 362–69. http://dx.doi.org/10.1016/j.encep.2014.08.010.

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Marchi, Michèle. « Les troubles du spectre de l’autisme ». L'Aide-Soignante 33, no 204 (février 2019) : 9. http://dx.doi.org/10.1016/j.aidsoi.2018.12.001.

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Agnetti, Germana, et Angelo Barbato. « Travailler avec les familles dans le traitement à long terme des troubles schizophréniques ». Santé mentale au Québec 19, no 1 (11 septembre 2007) : 93–103. http://dx.doi.org/10.7202/032296ar.

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Résumé :
RÉSUMÉ Dans un cadre systémique, les auteurs présentent les éléments principaux de l'intervention auprès des familles où un adulte souffrant de troubles schizophréniques chroniques suit un traitement de réadaptation psychosociale. Ils se penchent principalement sur l'influence réciproque entre les interventions axées sur les incapacités et celles qui sont orientées vers les attitudes, les convictions et la structure interactionnelle de la famille. On a de plus en plus tendance à définir la schizophrénie comme un trouble multifactoriel (ou un ensemble de troubles) que seule une vision systémique permet de comprendre (Brenner et Böker, 1989). Dans ce cadre, les troubles peuvent apparaître comme le résultat d'une interaction continue entre différents niveaux. Toute description d'un traitement de la schizophrénie devrait donc inclure les niveaux qui font l'objet d'une intervention et la nature de leur interaction. De vastes recherches démontrent que les attitudes et la nature des interactions familiales influencent l'évolution à long terme des troubles mentaux graves (Goldstein et Strachan, 1987). Pour cette raison, les interventions auprès des familles devraient occuper une place importante dans toute planification de traitement des troubles psychotiques.
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Peyroux, E. « Remédiation cognitive des troubles de l’intentionnalité dans la schizophrénie ». European Psychiatry 28, S2 (novembre 2013) : 22. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.053.

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Résumé :
La cognition sociale, définie par Penn et al. [3] comme : « la faculté de comprendre soi-même et autrui dans le monde social » est déficitaire chez la plupart des personnes souffrant de schizophrénie [2]. Cette composante est pourtant d’une importance fondamentale pour le fonctionnement social, professionnel et interpersonnel [1]. Dans la schizophrénie, 5 processus du domaine de la cognition sociale sont régulièrement altérés : la théorie de l’esprit, la perception sociale, les connaissances sociales, le style attributionnel et les processus émotionnels. Dans le champ de la remédiation cognitive, plusieurs équipes ont développé des programmes afin de cibler les déficits de cognition sociale. On peut décomposer ces interventions en fonction de leur base théorique. Certaines procédures, qualifiées de « larges », reposent sur l’idée que les compétences neurocognitives renforcent les aptitudes relationnelles des patients, d’autres programmes « ciblés », plus restrictifs, permettent d’améliorer efficacement une composante de la cognition sociale, enfin, plus récemment, des interventions « globales », tenant compte de l’ensemble des processus de la cognition sociale altérés dans la schizophrénie ont été développés [4]. Le programme RC2S (Remédiation Cognitive de la Cognition Sociale) mis au point à Lyon est ainsi le premier programme en langue française entrant dans le champ des interventions globales. Cette intervention est individualisée et repose en partie sur l’outil informatique par le biais de situations de réalité virtuelle. Ce type de technologie offre en effet la possibilité de construire des environnements réalistes en 3D où toutes les composantes d’une interaction sociale réelle peuvent être mises en jeu. Des études de cas uniques multiples sont aujourd’hui en cours afin d’évaluer la pertinence de cet outil pour la prise en charge des déficits de cognition sociale chez les personnes souffrant de schizophrénie ou de troubles associés.
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Franck, Nicolas. « Psychoéducation et troubles de l’insight dans la schizophrénie ». La Presse Médicale 45, no 9 (septembre 2016) : 742–48. http://dx.doi.org/10.1016/j.lpm.2016.07.012.

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Epelbaum, C. « Troubles du raisonnement et schizophrénie : une revue critique ». Psychiatry and Psychobiology 5, no 4 (1990) : 241–48. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x00003084.

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Résumé :
RésuméNous avons tenté de rendre compte de la diversité des niveaux de description des troubles cognitifs dans la schizophrénie à travers la littérature: observation clinique, mesure des performances, études des processus. Nous avons centré notre approche sur ce dernier niveau. Il s'en dégage quatre caractéristiques principales (écart par rapport aux lois de la logique formelle, surinclusion, baisse de la capacité d'abstraction, difficultés du maniement de la contradiction) sur lesquelles s'appuyent des études touchant plus particulièrement la mise en place des raisonnements logiques. Toutefois, l'évaluation des conclusions est rendue particulièrement difficile en raison de l'absence d'homogénéité des critères d'inclusion. Aussi, la question de la logique dans le raisonnement du schizophrène reste encore tout à fait ouverte car le seul fait établissant un consensus entre les différents auteurs est sans doute le caractère idiosyncrasique du fonctionnement cognitif de ces malades.
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Azorin, J. M., R. Belzeaux et E. Fakra. « Les états mixtes entre schizophrénie et troubles bipolaires ». L'Encéphale 39 (décembre 2013) : 127–28. http://dx.doi.org/10.1016/s0013-7006(13)70109-x.

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Snene, H., H. El Kefi, A. Oumaya et S. Gallali. « Hypothèses étiopathogéniques de la schizophrénie au décours d’un traumatisme crânien : revue de la littérature ». European Psychiatry 28, S2 (novembre 2013) : 32–33. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.080.

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Résumé :
IntroductionLa schizophrénie et le traumatisme crânien (TC) sont deux problèmes majeurs de la santé publique. Parmi les complications neuropsychologiques et psychiatriques secondaires au traumatisme crânien, les psychoses post-traumatiques interrogent plusieurs cadres nosographiques. Cependant, les liens épidémiologiques entre TC et schizophrénie sont difficiles à établir [2]. ObjectifL’objectif de notre travail est de détailler les différentes hypothèses étiopahogéniques avancées dans la littérature à propos de la schizophrénie se développant au décours d’un TC.RésultatsCette entité clinique interroge les théories physiopathologiques de la schizophrénie dans une approche étiologique. Les modèles neurodégénératifs, de dysrégulation dopaminergique et neurodéveloppemental sont souvent utiles pour expliciter les troubles psychotiques post-traumatiques. Hypothèse dégénérativeLe TC peut entraîner une baisse des capacités de réserve cérébrale par une accumulation de peptide amyloïde bêta pourvoyeuse de déficits cognitifs. Le modèle interactif gène environnement entre le TC qui éprouve une vulnérabilité allélique de l’apolipoprotéine E et décrit dans la physiopathologie de la maladie d’Alzheimer. Le même modèle est transposable à la schizophrénie post-traumatique [1].Hypothèse neurodéveloppementaleLes lésions cérébrales microscopiques secondaires à un TC peuvent entraîner un remodelage neuronal induisant le développement d’un trouble schizophrénique chez un sujet vulnérable et prédisposé. La latence entre le TC et l’apparition des premiers symptômes cliniques correspond aux remaniements neuronaux [3].Hypothèse dopaminergiqueLa présence de symptômes psychotiques secondaires à un TC peut résulter d’une interaction entre la blessure cérébrale et une prédisposition neurobiologique anté-traumatique à la schizophrénie. L’efficacité des antipsychotiques sur les symptômes psychotiques post-traumatiques ou schizophréniques est un argument indirect suggérant le rôle d’une dysrégulation dopaminergiques dans ces pathologies.ConclusionLes avancées techniques de neuro-imagerie et de neurobiologie offrent des perspectives nouvelles pour la compréhension physiopathologique des troubles psychotiques post-traumatiques ainsi que son lien avec la schizophrénie primaire.
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ECOFFET, F., X. GOCKO, R. CHARLES et C. PLOTTON. « Repérage des troubles du spectre autistique au sein des troubles neurodéveloppementaux ». EXERCER 31, no 165 (1 septembre 2020) : 316–23. http://dx.doi.org/10.56746/exercer.2020.165.316.

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Résumé :
Introduction. En 2018, 700 000 personnes étaient atteintes d’autisme en France. Depuis 2005, l’état français a élaboré 4 plans concernant les troubles du spectre de l’autisme (TSA) pour améliorer sa prise en charge. La Haute Autorité de santé a publié en 2018 un guide de recommandations sur le repérage et le diagnostic des TSA. En 2019, des plateformes de coordination ont été créées pour les enfants de 0 à 6 ans présentant des troubles neuro développementaux (TND). En 2020, la Haute Autorité de santé a actualisé ses recommandations autour du repérage des TND. Depuis 2017, les médecins généralistes peuvent être les médecins traitants des enfants de moins 16 ans. Ils sont donc les acteurs du repérage des TND dont les TSA. L’objectif de ce travail était de réaliser une synthèse des données aidant au repérage et à la prise en charge des TSA au sein des TND à destination des médecins généralistes. Méthode. Revue narrative de la littérature. Résultats. Un repérage précoce est proposé devant toute inquiétude parentale concernant le développement de l’enfant, en particulier la communication sociale, le langage. Le repérage s’effectue au fil des consultations et une consultation dédiée avec une cotation spécifique peut être réalisée. Il existe un formulaire d’adressage pour les plateformes de coordination et d’orientation facilitant l’adressage. Conclusion. Ce travail est une transposition didactique de recommandations paraissant denses et techniques au premier regard.
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Bralet, M. C. « Remédiation cognitive des troubles de la cognition sociale avec le programme MindReading ». European Psychiatry 28, S2 (novembre 2013) : 21–22. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.052.

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Résumé :
Les cognitions sociales sont significativement perturbées dans la schizophrénie, ces perturbations sont à l’origine de difficultés dans les interactions sociales et par conséquent dans la vie quotidienne. Les programmes en remédiation cognitive ciblant uniquement les déficits en cognitions froides permettent d’améliorer spécifiquement ces déficits mais n’ont pas eu pour autant l’impact espéré sur la vie quotidienne. Différents programmes ciblant les cognitions sociales se sont par conséquent développés en ciblant soit globalement ces déficits (ex. : SCIT, Social Cognition Interaction Training, de D. Penn [1]), soit spécifiquement un domaine (ex. : TAR, Targeting Affective Recognition program, de W. Wolwer [3], ciblant la perception des émotions). Ces programmes peuvent présenter des limites en termes de faisabilité et d’indications cliniques (patients de bon pronostic). Or ce sont les patients de moins bon pronostic (durée d’évolution importante de la maladie) qui présentent les déficits les plus sévères en habiletés sociales. Il existe un pattern commun en termes de dysfonctionnement au niveau des cognitions sociales entre des patients souffrant de troubles autistiques et de certaines formes de schizophrénie. MindReading: An Interactive Guide to Emotions, est un logiciel interactif destiné à améliorer la perception et la reconnaissance des émotions faciales chez les patients souffrant de troubles autistiques [2].ObjectifsPrésenter le programme MindReading et l’intérêt de son utilisation chez les patients souffrant de schizophrénie ayant une longue durée d’évolution et/ou d’hospitalisation.PerspectivesUtiliser et développer des programmes de remédiation en cognitions sociales validés chez des patients souffrant de troubles autistiques pourraient être pertinents pour des patients souffrant d’une certaine forme de schizophrénie avec altérations sévères des cognitions sociales en complément d’un programme de remédiation cognitive sur les cognitions froides.
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Berna, F. « Le récit de vie des patients souffrant de schizophrénie ». European Psychiatry 28, S2 (novembre 2013) : 43–44. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.111.

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Résumé :
Des troubles de l’identité personnelle sont décrits depuis longtemps dans la schizophrénie, or les mécanismes cognitifs de ces perturbations restent encore mal compris. Afin de mieux comprendre ces mécanismes, nous avons exploré la façon dont les patients souffrant de schizophrénie organisent le récit autobiographique de leur vie. Nous avons ainsi analysé la cohérence causale des récits de vie de patients en les comparant aux récits de sujets contrôles. Nos résultats montrent que les récits des patients contiennent moins de liens entre les événements qu’ils ont vécus et leur identité que les récits des sujets contrôles. De plus, ces liens correspondent davantage à des relations de causalité élémentaires et moins à des réflexions plus complexes reliant les événements vécus à l’identité, et les intégrant dans le contexte plus général de l’ensemble de la vie de l’individu. Ces éléments indiquent que la cohérence causale des récits des patients est diminuée. Nous avons enfin trouvé que la diminution de la cohérence des récits est corrélée positivement aux troubles exécutifs des patients. Ces résultats suggèrent que les troubles cognitifs présents dans la schizophrénie pourraient altérer la capacité des patients à établir des liens entre les événements marquants de leur vie et leur identité. Ces altérations pourraient rendre compte d’une construction défaillante de l’identité chez les patients et constituer une cible d’intervention thérapeutique spécifique.
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Cavard, H., B. Martin, G. Lesca, G. Saucourt, A. Rafat, C. Duboc, T. d’Amato, D. Sanlaville, P. Edery et C. Demily. « Aneuploïdie 47,XYY et schizophrénie avec troubles du comportement : report de cas et discussion de la littérature ». European Psychiatry 28, S2 (novembre 2013) : 27. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.066.

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Résumé :
Nous rapportons le cas d’un jeune patient âgé de 22 ans, adressé à notre consultation devant un tableau de schizophrénie atypique, pour recherche d’un diagnostic différentiel. L’histoire neurodéveloppementale révèle des troubles des apprentissages mis en évidence à l’entrée en primaire avec une dyslexie, une dyspraxie, des troubles attentionnels avec comportements oppositionnels. Après une classe de 6e difficile, le patient est orienté vers un apprentissage en alternance et obtient un CAP en mécanique automobile. La première décompensation psychotique a lieu à l’âge de 20 ans dans un contexte de surmenage. Le tableau clinique est dominé par une dissociation psychique avec hermétisme. Le patient est très agressif et mégalomaniaque. Il présente des crises clastiques difficilement contrôlables. Devant la coexistence de troubles importants du comportement, d’une grande taille (202 cm), de doigts courts et d’une dysmorphie faciale (rétraction de l’étage moyen du visage avec prognatisme), un caryotype est effectué avec mise en évidence d’une aneuploïdie de type 47,XYY. La revue de littérature portant sur les liens entre les troubles du comportement avec troubles neurocognitifs et l’aneuploïdie de type XYY sont bien documentés. Les liens avec la schizophrénie sont plus contradictoires. Le repérage des affections gonosomiques est important en population souffrant de troubles mentaux atypiques afin de mieux caractériser les troubles cognitifs qui y sont associés et qui pourraient avoir un rôle dans les manifestations comportementales. Chez ce patient, la remédiation cognitive a eu un impact très positif sur les manifestations comportementales. Une telle prise en charge serait donc à envisager chez les patients porteurs d’aneuploïdie avec troubles cognitifs caractérisés.
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Der Dieye, Ndeye Awa, Lamine Fall et Véronique Delvenne. « Troubles du Spectre de l’Autisme au Sénégal ». L'Autre Volume 22, no 3 (14 mars 2022) : 290–97. http://dx.doi.org/10.3917/lautr.066.0290.

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Benmebarek, Zoubir, et Hanane Benaldjia. « Outpatient Psychotropic Drugs Prescription in El Madher Psychiatric Hospital Batna : a three months cross sectional study ». Batna Journal of Medical Sciences (BJMS) 3, no 1 (29 juin 2016) : 2–8. http://dx.doi.org/10.48087/bjmsoa.2016.3102.

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Résumé :
Objectifs : Décrire et analyser les modalités de prescription de psychotropes chez des patients suivis en ambulatoire à l’hôpital psychiatrique. Méthodes : Etude descriptive transversale sur la prescription de psychotropes chez 509 patients, suivis à la consultation externe de l’EHS (Etablissement hospitalier spécialisé) psychiatrique d’El Madher, durant une période de trois mois (du 10 février 2015 au 10 Mai 2015). Résultats : Sexe ratio H : F 3,1 : 1. Age moyen : 40,7 ans, 67% avaient des antécédents d’hospitalisation. Les troubles avaient duré plus de 5 ans pour 69,7% des patients. Le diagnostic le plus fréquent était la schizophrénie (64,2%) suivi par les troubles anxieux (11,1%), les troubles bipolaires (3,7%) et les troubles dépressifs (2,9%). Uniquement 10,6% des patients étaient sous monothérapie ; le nombre moyen de médicaments par patient était de 2,8. Les antipsychotiques étaient les médicaments les plus prescrits (88,2%) suivis des anxiolytiques (38,3%) puis des antidépresseurs (26,5%). Un antiparkinsonien de synthèse est retrouvé chez 26,1% des cas et un thymorégulateur chez 16,6%. Les neuroleptiques à action prolongés étaient prescrits chez 19,1% de patients. Les antipsychotiques de première génération étaient prescrits chez 85,6% des patients schizophrènes et les antipsychotiques de seconde génération chez 62,1%. La majorité des patients recevaient une bithérapie antipsychotique (65%). Comparés aux tricycliques, les inhibiteurs de la recapture de la sérotonine étaient plus prescrits dans les troubles dépressifs (60% vs 40%) et les troubles anxieux (54,4 % vs 36,8%). Les thymorégulateurs étaient prescrits dans les troubles bipolaires dans 63,1% des cas et dans la schizophrénie dans 13,7%. Les benzodiazépines étaient associées aux antidépresseurs dans les troubles dépressifs dans 86,7% des cas et dans les troubles anxieux dans 93%. Conclusions : On note une tendance vers la prescription des nouveaux médicaments antipsychotiques et antidépresseurs. La polymédication reste élevée. Il y a une utilisation importante de benzodiazépines dans les troubles anxieux et les troubles dépressifs.
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Fagot, J. P., S. Samson, J. Merlière, P. Gabach et A. Fagot. « L’association fréquente des pathologies somatiques aux troubles psychiatriques en population adulte, à travers les données de l’Assurance Maladie ». European Psychiatry 28, S2 (novembre 2013) : 87. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.233.

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Introduction.Les fréquences des pathologies somatiques chez les adultes atteints de maladies psychiatriques sont peu documentées.Méthodes.Les bénéficiaires du régime général de l’Assurance Maladie en 2010, âgés d’au moins 18 ans, pris en charge pour troubles psychiatriques ont été identifiés dans le SNIIRAM à partir des diagnostics liés aux :– affections de longue durée ;– hospitalisations (PMSI-MCO, SSR, RIM-P) ;– arrêts de travail et invalidité [1].Les maladies somatiques ont été déterminées à partir des diagnostics liés aux affections de longue durée et aux hospitalisations [1]. Les prévalences ont été standardisées sur âge et sexe pour comparaison à celles observées en population générale.Résultats.En 2010, près de 2,1 millions d’adultes (5 %) avaient un trouble psychiatrique retrouvé dans le SNIIRAM, et 44 % d’entre eux avaient également une pathologie somatique retrouvée. Les pathologies somatiques les plus fréquemment retrouvées étaient les maladies cardiovasculaires (15 %), les affections respiratoires (11 %), le diabète (10 %) et les cancers (9,3 %). Par rapport à la population générale, une maladie cardiovasculaire était moins fréquemment retrouvée en cas de schizophrénie (fréquence brute : 5 %, ratio standardisé : 0,9), mais plus souvent en cas d’autres pathologies psychiatriques (16 %, ratio : 1,8 en cas d’épisode dépressif ou troubles de l’humeur). Un cancer était également moins souvent retrouvé que dans la population générale en cas de schizophrénie (3,3 %, ratio : 0,8), mais plus souvent en cas d’addictions (10,7 %, ratio : 2,1) ou de troubles anxieux (12 %, ratio : 1,6).Discussion.Par rapport à la population générale, certaines pathologies somatiques sont plus fréquemment retrouvées en présence de troubles psychiatriques, sauf en cas de schizophrénie. La connaissance de ces associations peut permettre aux soignants d’améliorer la prise en charge des pathologies somatiques comme des pathologies psychiatriques.
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Horn, M., et P. Thomas. « Schizophrénie et violence : données actuelles et controverse ». European Psychiatry 30, S2 (novembre 2015) : S32. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.095.

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Résumé :
L’association entre schizophrénie et violence a longtemps été controversée, mais les données issues des études les plus récentes établissent un lien clair entre schizophrénie et risque de violence. Néanmoins, tous les patients schizophrènes ne présentent pas un risque égal de passage à l’acte violent. Différents facteurs de risque ont ainsi pu être identifiés, tels l’intensité de la symptomatologie psychotique, l’impulsivité ou les comorbidités addictives. Récemment, différents auteurs ont émis l’hypothèse de différents sous-groupes de patients schizophrènes à risque de comportements violents : la majorité des actes commis par les patients schizophrènes représenteraient des gestes de violence mineure alors que les actes de violence majeure ne seraient commis que par une faible proportion de ces patients. Pour l’ensemble de ces patients, des difficultés persistent dans l’établissement de leur responsabilité pénale. Le code pénal français prévoit l’irresponsabilité pénale pour les personnes atteintes, au moment des faits, d’un trouble psychique ou neuropsychique ayant aboli leur discernement ou le contrôle de leurs actes. Pour autant, la reconnaissance de la responsabilité pénale des personnes atteintes de troubles mentaux semble en augmentation, augmentant ainsi le nombre de patients schizophrènes en détention. Une première partie aura pour objectif d’approfondir l’étude des facteurs de risque des comportements violents, en intégrant l’hétérogénéité des gestes de violence, à partir d’une étude descriptive de patients schizophrènes incarcérés. Une attention particulière sera portée sur les liens existant entre troubles de la familiarité et passages à l’acte violents. Une deuxième partie s’intéressera aux facteurs neurobiologiques des comportements violents des patients schizophrènes, grâce à l’étude du lien entre impulsivité et violence en imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf). Enfin, une troisième partie abordera la question de la responsabilité de ces patients souffrant de troubles mentaux et présentant des comportements violents, et s’intéressera notamment aux nouvelles techniques d’approches expertales de la responsabilité.
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Petot, Djaouida. « Mania and Thought Disorder in a Ten-Year-Old Boy ». Rorschachiana 23, no 1 (janvier 1999) : 58–75. http://dx.doi.org/10.1027/1192-5604.23.1.58.

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Résumé :
L’indice de schizophrénie défini par Exner (1993) est parfois positif chez des enfants français sans que rien ne justifie le diagnostic correspondant. Ce phénomène concerne généralement des enfants âgés de moins de six ans. Cependant, après cet âge, nous ne l’avons trouvé que chez des enfants effectivement schizophrènes ou maniaques. Est-ce à dire que l’indice de schizophrénie peut être également révélateur de manie? On sait que cet indice comprend six items, dont quatre concernent l’exactitude perceptive et deux les cotations spéciales. Il n’est pas étonnant que les enfants maniaques, dont l’approche du stimulus est perturbée par de graves fluctuations de l’attention, donnent des réponses de mauvaise qualité formelle. Il est plus surprenant qu’on puisse également trouver chez ces enfants des cotations spéciales qui sont traditionnellement associées à la notion de troubles du cours de la pensée, qu’on rapporte ordinairement à la schizophrénie. L’étude des deux protocoles donnés à deux ans de distance par un garçon examiné d’abord pour hyperkinésie, puis revu alors qu’il présentait un état maniaque, permet d’illustrer le phénomène d’un indice de schizophrénie positif chez un enfant maniaque. Le commentaire se centre particulièrement sur la prévalence des cotations spéciales de la série combinatoire (INCOM et FABCOM) dans le deuxième protocole, alors qu’elles étaient absentes dans le premier. On aboutit à l’hypothèse que les troubles de la pensée des enfants maniaques, tels qu’ils se manifestent au test de Rorschach, sont au moins aussi prononcés que ceux des enfants schizophrènes, mais s’en distinguent qualitativement par la prédominance des combinaisons fantaisistes. Cette conclusion trouve un soutien dans un ensemble de recherches qui ont comparé chez les adultes les troubles de la pensée des schizophrènes et des maniaques. Ces études convergent toutes sur les points suivants: les troubles de la pensée des maniaques sont aussi intenses et aussi fréquents que ceux des schizophrènes; toutes les perturbations de la pensée qu’on croit souvent propres aux schizophrènes, y compris les contaminations ou la “logique autistique,” se trouvent avec une fréquence égale chez les maniaques; le seul caractère qui distingue les troubles de la pensée des maniaques de ceux des schizophrènes est la proportion beaucoup plus forte chez les maniaques des troubles de la série combinatoire, notamment les combinaisons incongrues et les combinaisons fabulées. Les particularités du deuxième protocole de Julien nous permettent d’étendre, à titre d’hypothèse, ces conclusions à la psychopathologie de l’enfant. Mais, pour confirmer cette hypothèse, il conviendrait de compléter l’étude de cas par une étude quantitative de groupe.
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Llorca, P. M. « Changer de paradigmes dans les approches de la schizophrénie : de Bleuler aux hypothèses actuelles ». European Psychiatry 29, S3 (novembre 2014) : 551. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.344.

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Résumé :
L’hypothèse dopaminergique reste l’hypothèse mécanistique dominante de la schizophrénie, plus de 50 ans après sa formulation. On ignore toujours les causes de la dysrégulation dopaminergique, et certains patients ne répondent pas complètement aux traitements actuels. Il est donc nécessaire de réinterroger nos paradigmes concernant la sémiologie schizophrénique, ses mécanismes physiopathologiques et de nouvelles approches thérapeutiques. Sur un plan sémiologique, Bleuler plaçait l’atteinte des affects au premier rang des symptômes fondamentaux de la schizophrénie. L’intérêt s’est ensuite plutôt tourné vers les symptômes positifs et les troubles cognitifs. Nous proposons de présenter les travaux récents – utilisant notamment les paradigmes d’imagerie fonctionnelle – portant spécifiquement sur l’étude des émotions dans la schizophrénie. Nous évoquerons et mettrons en perspective différentes stratégies : études des cognitions sociales (reconnaissance des émotions), induction d’états émotionnels, capacité d’expression des émotions. Sur un plan biologique, des travaux récents suggèrent l’implication de perturbations de la vitamine D dans un grand nombre de troubles psychiatriques majeurs. La vitamine D exerce un rôle fondamental dans le développement et le fonctionnement du système nerveux central. Les patients souffrant de schizophrénie présentent plusieurs facteurs de risque de carence potentiels. Après avoir décrit les aspects physiopathologiques, nous présenterons les données sur le statut vitaminique dans cette population et les conséquences cliniques potentielles qui en découlent. Enfin, sur un plan thérapeutique, nous synthétiserons les données en faveur de l’implication d’une inflammation chronique du système nerveux central dans le déclenchement et le maintien d’une sémiologie schizophrénique. Nous présenterons les possibilités thérapeutiques qui peuvent potentiellement être proposées en adjonction des traitements classiques. Au cours de ces trois présentations nous aurons réinterrogé l’approche sémiologique, nos connaissances biologiques et les thérapeutiques innovantes que nous pouvons proposer aux patients souffrant de schizophrénie.
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Franck, Nicolas. « Approche neurocognitive des troubles du vécu dans la schizophrénie ». L'Évolution Psychiatrique 75, no 3 (juillet 2010) : 409–19. http://dx.doi.org/10.1016/j.evopsy.2010.04.011.

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Bergot, C. « Des idées reçues à l’épidémiologie de la schizophrénie en Afrique sub-saharienne ». European Psychiatry 30, S2 (novembre 2015) : S93—S94. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.399.

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Résumé :
La schizophrénie dans les sociétés traditionnelles africaines est depuis longtemps sujet d’interrogations multiples et de fantasmes divers. Mais tandis que les représentations traditionnelles de la maladie mentale en Afrique sub-saharienne sont bien connues des anthropologues et des ethnopsychiatres, il semble important de les réinterroger au filtre de la société africaine contemporaine. De même, ne serait-il pas temps de rediscuter certaines représentations occidentales idéalisées, selon lesquelles la schizophrénie serait rarissime en Afrique et les malades y seraient mieux pris en charge par la communauté ? Dans une deuxième partie, nous étudierons la littérature internationale concernant l’épidémiologie de la schizophrénie dans le monde, plus particulièrement en Afrique. Des premières enquêtes d’Emil Kraepelin à Java à la fin du 19e siècle, aux comités internationaux mandatés par l’Organisation mondiale de la santé pour la rédaction du DSM IV-R, et plus récemment du DSM 5, en passant par les données publiées par des psychiatres africains, nous ferons le point sur les données épidémiologiques concernant la schizophrénie en Afrique de l’Ouest. Nous verrons quelles sont les disparités géographiques et socioéconomiques [1]. Ces données seront toutefois à nuancer : sont-elles réellement interprétables au regard du contexte culturel et social des pays concernés ? La proportion de personnes effectivement prises en charge reste minime et le recensement des individus atteints de troubles psychiques ne peut dès lors être qu’approximatif. Malgré l’insuffisance de statistiques officielles, les soignants travaillant en Afrique sub-saharienne confirment au fil des personnes rencontrées l’existence incontestable de troubles psychiques sévères, comme la schizophrénie. Ils y observent une même triade symptomatologique, ne différant que par l’expression clinique du délire, influencé par le vécu, social et culturel, des personnes. Ils témoignent du quotidien des malades africains, fait d’enchaînements et de maltraitance. L’accès aux soins est un parcours du combattant pour les familles. Cela s’illustre dans les faits par des durées extrêmement élevées de psychose non traitée.
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Hattouti, Jamila. « NEUROPSYCHOLOGIE DES TROUBLES DU SPECTRE DE L’ALCOOLISATION FOETALE ». Revue québécoise de psychologie 41, no 2 (2020) : 133. http://dx.doi.org/10.7202/1072290ar.

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Kissine, Mikhail, Elise Clin et Jessica de Villiers. « La pragmatique dans les troubles du spectre autistique ». médecine/sciences 32, no 10 (octobre 2016) : 874–78. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/20163210021.

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Mejri, Imen, Saloua Mrabet, Rahma Nefzi, Amina Nasri, Amina Gargouri-Berrechid, Mouna Ben Djebara et Riadh Gouider. « Sclérose en plaques et troubles du spectre bipolaire ». Revue Neurologique 174 (avril 2018) : S152. http://dx.doi.org/10.1016/j.neurol.2018.01.349.

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Chouinard, Sylvie, Emmanuel Stip, Ginette Comtois, Marc Corbière, Pierre Bolé, Line Lamontagne, Michel Lecavalier et Francine Beauregard. « Retour à l’école de jeunes patients souffrant de troubles mentaux graves : premier regard sur un projet pilote montréalais ». Santé mentale au Québec 28, no 2 (7 septembre 2004) : 273–90. http://dx.doi.org/10.7202/008628ar.

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Résumé :
Résumé La schizophrénie se manifeste habituellement au début de l’âge adulte au moment où l’individu fait face à des responsabilités scolaires décisives pour son orientation professionnelle. Les patients souffrant de schizophrénie présentent des déficits cognitifs, des symptômes positifs, négatifs, et de désorganisation. La schizophrénie est responsable d’un taux d’échec élevé dans l’atteinte d’étude secondaire, ce qui contribue à renforcer l’exclusion sociale et à réduire l’atteinte des objectifs socio-économiques. Vingt-sept élèves souffrant de maladie mentale ont pu bénéficier d’un programme de réadaptation scolaire implanté à Montréal. Les résultats préliminaires mettent en évidence l’efficacité du programme puisque plusieurs élèves ont réussi des examens du ministère. Toutefois, ces résultats suggèrent qu’un ratio professeur/élèves de 1/10 serait préférable dans ces classes spécialisées.
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Bernardeau, Corinne, et Anne-Marie Pecarelo. « Fondements et actualités des groupes de relaxation thérapeutique ® méthode J. Bergès, en pédopsychiatrie à l’hôpital Sainte-Anne. Accueil d’enfants et d’adolescents au fonctionnement d’allure limite ou psychotique ou présentant des troubles du spectre autistique ». Enfances & ; Psy N° 97, no 3 (30 octobre 2023) : 157–67. http://dx.doi.org/10.3917/ep.097.0157.

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Résumé :
La relaxation thérapeutique méthode Bergès continue à essaimer dans le champ de la santé et du médico-social. Cette expérience subjective à médiation psycho-corporelle intéresse tout le champ de la clinique, le corps étant souvent, chez l’enfant, le lieu d’expression du symptôme : troubles somatiques, troubles émotionnels, anxieux et neuro-développementaux. Visite et revisite des assises narcissiques et identitaires via le concept d’enveloppes psychiques chez les enfants et adolescents avec fonctionnement d’allure limite, psychotique ou présentant des troubles du spectre autistique.
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