Articles de revues sur le sujet « Traitements membranaires »

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1

Seyhi, Brahima, Patrick Droguil, Géraldo Buelna, Jean-François Blais et Marc Heran. « État actuel des connaissances des procédés de bioréacteur à membrane pour le traitement et la réutilisation des eaux usées industrielles et urbaines ». Revue des sciences de l’eau 24, no 3 (28 novembre 2011) : 283–310. http://dx.doi.org/10.7202/1006478ar.

Texte intégral
Résumé :
Les effluents issus des stations d’épuration des eaux usées industrielles et municipales contiennent des quantités non négligeables de polluants organiques, inorganiques et microbiens, qui sont rejetés dans l’environnement par voie directe, ou en suivant la filière de réutilisation (irrigation ou arrosage, etc.). Ces eaux résiduaires constituent l’une des principales sources de contamination des eaux de surface et souterraines (augmentation de la demande chimique en oxygène (DCO), coloration et eutrophisation des cours d’eau, etc.). Dans l’optique de palier le déficit croissant des ressources en eau destinées à la consommation humaine, ces eaux résiduaires sont de plus en plus soumises à des traitements poussés en vue d’une réutilisation. Cette réutilisation doit toujours être réalisée dans l’objectif de fournir une eau présentant, en continu, une qualité spécifique liée à l’usage attendu (eau de production, eau de lavage, eau de refroidissement, eau d’irrigation ou d’arrosage, etc.). Les procédés conventionnels peuvent s’avérer non adaptés, notamment par leur manque de fiabilité dans la qualité des eaux traitées et le risque encouru de contamination microbiologique. Pour faire face à cette importante problématique, les techniques membranaires, notamment les bioréacteurs à membrane (BRM), peuvent constituer une avenue potentielle de traitement et de réutilisation de ces effluents. L’intérêt de ces procédés réside dans leur aspect non polluant, leur facilité d’automatisation et leur capacité à éliminer simultanément les différents polluants en une seule étape de traitement. Ces technologies offrent la possibilité de clarifier et de désinfecter simultanément les eaux sans risque de formation de composés organo-halogénés. Dans cet article, les BRM sont situés par rapport aux techniques conventionnelles de traitement biologique d’effluents. Par la suite, un accent particulier est mis sur la présentation des connaissances actuelles concernant les principes de base des BRM, les critères d’application et les conditions d’opération qui influencent les performances de ces technologies. Les développements récents portant sur la modélisation mathématique de fonctionnement et de colmatage de ces modules sont également présentés. Finalement, les applications industrielles et les coûts d’implantation et d’opération de ces technologies sont brièvement discutés.
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Portal, Benjamin, et Bruno P. Guiard. « Rôle des connexines astrocytaires dans la régulation des taux extracellulaires de glutamate : implication pour le traitement des épisodes dépressifs majeurs ». Biologie Aujourd’hui 214, no 3-4 (2020) : 71–83. http://dx.doi.org/10.1051/jbio/2020008.

Texte intégral
Résumé :
La dépression majeure est une pathologie psychiatrique reposant sur différents mécanismes neurobiologiques. Parmi ces mécanismes, on trouve une hypersensibilité de l’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien associée à un excès de cortisol dans le sang et un déficit de neurotransmission monoaminergique. Ainsi, l’efficacité thérapeutique des antidépresseurs actuels repose sur leur capacité à augmenter les taux extracellulaires de monoamines dans la fente synaptique. Depuis la découverte des effets antidépresseurs rapides et durables de la kétamine, un antagoniste des récepteurs NMDA, un intérêt croissant est porté sur les moyens pharmacologiques atténuant l’action du glutamate pour traiter la dépression majeure. Les astrocytes jouent un rôle prépondérant dans la balance excitation/inhibition du système nerveux central en régulant la recapture et la sécrétion du glutamate. De manière intéressante, la libération de cet acide aminé excitateur est contrôlée, du moins en partie, par des canaux membranaires regroupés au niveau de jonctions intercellulaires de type « gap » ou d’hémicanaux formés par les connexines 30 et 43. Les données précliniques suggèrent que ces deux entités fonctionnelles ont des effets sur les comportements émotionnels dans différents modèles murins de dépression. Après un bref rappel sur les troubles de l’humeur et leurs traitements, cette revue de la littérature décrit le rôle des astrocytes et des connexines dans la neurotransmission glutamatergique et la dépression majeure. Les arguments avancés soulignent l’intérêt thérapeutique potentiel du blocage des connexines astrocytaires mais aussi les difficultés pratiques à cibler la fonction hémicanal sans impacter la fonction « gap ».
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Hasaine-Sadi, F., A. Benhassaine et H. Ait-Amar. « Transposition des processus membranaires biologiques aux traitements des effluents métallifères peu chargés. Conception et étude chimique d'une pompe ionique uranifère. Transport, contre-transport, couplage positif ». Journal de Chimie Physique et de Physico-Chimie Biologique 96, no 8 (septembre 1999) : 1410–25. http://dx.doi.org/10.1051/jcp:1999219.

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BLIN, Capucine, Marcos OLIVEIRA, Christel CAUSSERAND, Yannick FAYOLLE et Vincent ROCHER. « Validation d’un protocole de vieillissement accéléré de membranes fibres creuses à l’échelle semi-industrielle ». TSM 12 2023, TSM 12 2023 (20 décembre 2023) : 179–98. http://dx.doi.org/10.36904/tsm/202312179.

Texte intégral
Résumé :
Les membranes d’ultrafiltration se dégradent au cours de leurs années de fonctionnement, notamment à cause du colmatage et des nettoyages qu’elles subissent. Ce vieillissement provoque sur le long terme des problèmes d’exploitation sur les sites de traitement des eaux usées utilisant des bioréacteurs à membranes qui peuvent se traduire par des arrêts fréquents pour nettoyage et une diminution de la capacité filtrante pouvant aboutir à un remplacement des membranes. À ce jour, les mécanismes de vieillissement en bioréacteurs à membranes et leurs impacts sur les propriétés des membranes sont partiellement identifiés. L’objectif de ce travail est de proposer et valider une méthode de vieillissement accéléré de membranes fibres creuses à l’échelle d’un pilote semi-industriel (volume utile de 2 m³) dans des conditions représentatives de celles mises en œuvre sur les sites industriels (longueur des fibres, contraintes hydrodynamiques, séquençage de l’aération). Pour cela, un pilote de filtration membranaire a été exploité pendant deux ans dans des conditions similaires des cuves membranaires de la station de traitement des eaux de Seine Aval (Siaap, Yvelines, 6,5 millions d’eq-habitant). Afin d’accélérer le vieillissement, les membranes sont soumises à de plus fortes doses d’exposition au chlore : des nettoyages par trempage dans une solution de Javel à 1 000 ppm puis d’acide citrique à 2 000 ppm ont été réalisés tous les deux mois (vs un tous les six mois sur site). Afin de valider cette méthode de vieillissement, les résultats des caractérisations des fibres prélevées sur le pilote sont comparés à ceux retrouvés pour les fibres prélevées des bioréacteurs à membranes du Siaap. Les analyses des mesures de physico-chimie de surface, de perméabilité, de propriétés mécaniques et morphologiques ont permis de conclure à la pertinence de l’approche développée pour le suivi du vieillissement accéléré en conditions d’usage à l’échelle pilote, au regard des évolutions observées à l’échelle industrielle.
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Cotton, G., C. Feliers, K. Kecili et A. L. Colon. « Performance du traitement membranaire (NF et OIBP) : rétention des micropolluants et enjeux énergétiques ». Techniques Sciences Méthodes, no 4 (avril 2019) : 29–36. http://dx.doi.org/10.1051/tsm/201904029.

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Résumé :
Pour s’adapter aux évolutions de la qualité de ses ressources en eau et aux renforcements de la réglementation relative aux eaux destinées à la consommation humaine, le Syndicat des eaux d’Île-de-France (Sedif) s’est engagé dans une réflexion sur l’évolution à long terme des filières de ses usines de production d’eau potable. Les études d’évolutions des usines de potabilisation proposent d’insérer, au sein des filières existantes, une étape de filtration sur membranes d’affinage, à l’horizon 2030. Les procédés membranaires, et plus particulièrement les membranes d’osmose inverse basse pression (OIBP), sont considérés comme un affinage de pointe pour la potabilisation de l’eau de surface, permettant notamment d’appréhender la problématique des micropolluants émergents. Dans ce contexte, il a été choisi de tester des membranes d’OIBP afin de caractériser, d’une part, leurs efficacités en matière de rétention (de micropolluants, de la dureté…) et, d’autre part, leurs performances hydrauliques et énergétiques. Cet article présente les résultats des essais des campagnes de caractérisation des membranes d’OIBP sur un pilote de filtration sur membrane plane installé au centre d’essais de Choisy-le-Roi. Quatorze membranes couvrant l’ensemble du domaine recherché en matière de perméabilité à l’eau et de rétention en sels ont été étudiées. Parmi celles-ci, quelques-unes sont particulièrement adaptées aux besoins du Sedif, car elles présentent un bon compromis entre rétention en micropolluants et consommation énergétique. Les conclusions de ces essais de caractérisation sur coupons ont permis de sélectionner deux modèles de membranes afin de les tester, lors d’une étude actuellement en cours, à l’échelle 4 pouces sur le pilote membranaire trois étages de Choisy-le-Roi. En effet, les résultats obtenus sur ces deux membranes prometteuses doivent être validés à échelle semi-industrielle. Cette étude permet d’aborder également d’autres enjeux relatifs aux membranes d’OIBP tels que le colmatage, la reminéralisation, l’optimisation du fonctionnement à trois étages…
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Mechouk, C., A. Hauret, F. Khajehnouri et P. Burnet. « Traitement des micropolluants en station de potabilisation ». Techniques Sciences Méthodes, no 6 (juin 2019) : 51–70. http://dx.doi.org/10.1051/tsm/201906051.

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Résumé :
Dans le cadre de la réhabilitation de l’usine de potabilisation de Saint-Sulpice (Lausanne, Suisse), le service de l’eau de la ville de Lausanne a conduit des essais pilotes afin de choisir la filière de traitement la plus adaptée. L’usine actuelle de 1971 est une filière de traitement simple consistant en une filtration sur sable suivie d’une chloration. Malgré la production d’une eau potable de qualité satisfaisante, la filière actuelle n’est pas capable de faire face aux nouveaux défis du domaine du traitement de l’eau (micropolluants). Les essais pilotes, réalisés entre 2014 et 2017, ont porté sur des technologies améliorant l’abattement des micro-organismes, des matières en suspension (MES) et des micropolluants. Il existe trois méthodes pour abattre les micropolluants : l’adsorption sur charbon actif (CA), la filtration membranaire fine (nanofiltration ou osmose inverse) ou l’oxydation. Trois mises en œuvre de charbon ont été testées : filtration sur CA en grain (CAG), suspension de CA micrograins (CAµG) ou mise en contact de CA poudre (CAP) (sur l’usine de Lutry). Un pilote de nanofiltration a également été testé, ainsi qu’un procédé d’oxydation avancée (AOP), avec de l’ozone et du peroxyde d’hydrogène, suivi d’un filtre CAG. Chaque procédé présente des spécificités qui lui permettent de mieux abattre certaines molécules par rapport à d’autres. L’étude s’est particulièrement focalisée sur l’abattement des trois principaux micropolluants retrouvés en permanence en concentrations les plus élevées dans l’eau du lac Léman : metformine (450 ng/L), 1H-benzotriazole (80 ng/L) et gabapentine (30 ng/L). Hormis une élimination faible du 1H-benzotriazole (35 % environ), la filtration membranaire par nanofiltration ou par osmose inverse basse pression permet des abattements supérieurs à 80 % pour la majorité des micropolluants. L’AOP, couplée avec une filtration sur CAG, permet d’atteindre de bons rendements d’élimination des micropolluants (70 %). L’ozonation des micropolluants engendre des sous-produits, aujourd’hui difficilement identifiables et quantifiables. Globalement, le charbon actif permet un abattement moyen des micropolluants de 20 à 40 % selon sa mise en œuvre. La future filière sera composée autour d’une unité d’ultrafiltration (MES et micro-organismes). Le traitement des micropolluants sera, lui, assuré soit par une étape d’adsorption sur charbon actif, soit par une étape de nanofiltration ou une combinaison des deux. Le traitement par charbon actif pourrait éventuellement être amélioré par le couplage avec un procédé AOP.
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Hichour, M., F. Persin, J. Sandeaux, J. Molénat et C. Gavach. « Défluoruration des eaux par dialyse de Donnan et électrodialyse ». Revue des sciences de l'eau 12, no 4 (12 avril 2005) : 671–86. http://dx.doi.org/10.7202/705372ar.

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Résumé :
Les travaux réalisés dans cette étude avaient pour objectif l'application de techniques membranaires, dialyse de Donnan et électrodialyse, au traitement d'eaux dont la teneur en fluorure est supérieure à la valeur maximale admissible. Ces deux techniques qui mettent en jeu des membranes échangeuses d'ions, se distinguent par la nature des forces motrices de transfert. Trois eaux modèles relatives à trois pays différents (Maghreb, Sénégal et France) ont été préparées et traitées sur pilotes pré-industriels. Dans tous les cas étudiés, bien que divers anions (Cl-, HCO3-, SO42-) et cations (Na+, K+, Ca2+, Mg2+) soient présents initialement dans les solutions à traiter, une concentration en fluorure conforme aux normes a pu être atteinte avec toutes les membranes testées. L'électrodialyse qui abaisse la teneur de tous les ions présents dans l'eau, anions et cations, entraîne une déminéralisation partielle et par conséquent un adoucissement de la solution traitée. Par contre, la dialyse de Donnan, du fait de la diffusion du sel du compartiment receveur vers la solution traitée, augmente légèrement la minéralisation initiale. Cette technique qui, du point de vue énergétique, est un procédé plus économique que l'électrodialyse, semble donc plus adaptée au traitement d'eaux fluorurées à faible minéralisation.
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Gresle, A., V. Lazarova et H. Suty. « Intérêts techniques et économiques du traitement membranaire en vue du recyclage ». Techniques Sciences Méthodes, no 12 (2007) : 111–36. http://dx.doi.org/10.1051/tsm/200712111.

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DROUIN, M., G. PARRAVICINI, S. NASSER et P. MOULIN. « Traitement des effluents de désulfuration des gaz d’échappement des navires de transport maritime par filtration membranaire ». Techniques Sciences Méthodes 1-2 (20 février 2023) : 27–39. http://dx.doi.org/10.36904/202301027.

Texte intégral
Résumé :
En 2020, la concentration en oxyde de soufre autorisée dans les fumées de gaz d’échappement des bateaux de la marine marchande a été réduite d’un facteur 7 par l’Organisation maritime internationale. Pour satisfaire ces nouvelles normes de rejet atmosphérique, les armateurs ont adapté leurs navires et des systèmes de désulfuration des gaz d’échappement ont été installés. Ces unités couplent, d’une part, un procédé d’absorption gaz-liquide pour l’épuration du gaz et, d’autre part, un procédé membranaire pour le traitement des eaux de lavage. L’objectif de la présente étude est d’optimiser ce procédé membranaire. Des membranes d’ultrafiltration multitubulaires en carbure de silicium sont utilisées. La filtration est réalisée à flux constant avec l’application de rétrolavage à intervalle régulier. Les effluents à traiter proviennent directement des navires maritimes étudiés et, après caractérisation de chacun d’eux, ils ont été classifiés comme des fluides à fort ou à faible pouvoir colmatant pour la membrane. Les paramètres opératoires de filtration appliqués varient en fonction des propriétés du fluide. L’influence des paramètres de rétrolavage : fréquence, durée et/ou mode d’injection sur les performances de filtration et de rétention de la membrane est également étudiée. Ainsi il est montré que l’application d’action de décolmatage rapide (inférieur à 5 secondes), et sous pression (3 bars) permet de maintenir la filtration sur plusieurs heures. La réversibilité de la perméabilité est de l’ordre de 80 % et d’importants taux de récupération en eau, supérieurs à 75 %, sont obtenus en fonction du flux de perméat appliqué. En matière de rétention, 100 % des particules en suspension et 80 % en métaux lourds sont éliminés, ce qui permet un rejet dans l’environnement.
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Helmer, C., A. Neveu, V. Hauchard, S. Hassanzadeh et O. Danel. « Retour d’expérience sur la traitabilité d’une nitrosamine en production d’eau potable à l’échelle pilote ». Techniques Sciences Méthodes, no 6 (juin 2019) : 87–99. http://dx.doi.org/10.1051/tsm/201906087.

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Résumé :
La présence de N-nitrosomorpholine (N-MOR) et de son précurseur, la morpholine (MOR), a été détectée en 2012 dans le forage d’Yport, l’une des principales ressources d’eau brute du Havre Seine Métropole. La valeur en N-MOR a ponctuellement dépassé le seuil de 100 ng/L recommandé pour l’eau distribuée par la direction générale de la santé. Dans ce contexte, la collectivité a sollicité une étude visant définir la filière de traitement cible adaptée à l’élimination de ces micropolluants émergents. Le souhait de la collectivité étant de privilégier des solutions de traitement retirant les micropolluants plutôt que celles les transformant, l’étude a évalué les performances des procédés d’adsorption sur charbon actif et d’osmose inverse basse pression (OIBP), séparément et en couplage. Deux types de charbon et trois types de membranes ont été testés. Les essais pilotes menés sur site ont montré que la mise en œuvre de charbon actif en poudre (CAP) au sein d’un réacteur spécifique permet une élimination acceptable de la N-MOR (60 % max) à condition de mettre en œuvre un taux de traitement élevé (› 25 g/m3) et un temps de contact limité (10 h max.) pour éviter les phénomènes de désorption. L’élimination de la MOR par le CAP est quant à elle très limitée (10 % max). Les essais pilotes sur membranes d’OIBP (seuil de coupure ‹ 200 Da) ont mis en avant une élimination élevée (environ 90 %) de la N-MOR et plus limitée de la MOR de 15 à 85 % selon les membranes testées. Transposer les résultats obtenus de l’échelle pilote à l’échelle industrielle est possible pour la filtration membranaire, mais plus difficile pour le réacteur CAP, du fait qu’il n’existe pas à ce jour de technologies adaptées aux conditions optimales définies (taux élevé, âge des boues de CAP faible).
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GUILLAUME, D. « Action de la photopériode sur la reproduction des équidés ». INRAE Productions Animales 9, no 1 (17 juillet 2020) : 61–69. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1996.9.1.4035.

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Résumé :
Juments et étalons présentent une phase de reproduction pendant les jours croissants ou longs, au printemps et en été. La majorité des juments n’ont pas d’ovulation en hiver. Ce rythme annuel de reproduction est synchronisé par les variations annuelles de la longueur du jour. Un éclairement artificiel de 14,5 h, débuté en hiver, avance la première ovulation annuelle des juments. Certaines des étapes de la transmission de l’information lumineuse ont été vérifiées chez les équidés. Le message lumineux est transformé en influx nerveux par des cellules spécialisées de la rétine. Cet influx, via le noyau supra-chiasmatique puis le ganglion cervical supérieur, agit sur la glande pinéale. Les pinéalocytes répondent à une stimulation noradrénergique en libérant la mélatonine. Cette hormone, sécrétée pendant la phase obscure, agit sur des récepteurs membranaires spécifiques. L’administration de mélatonine exogène sous forme d’implants sous-cutanés ou, dans certaines conditions, sous forme orale, supprime l’effet photostimulant d’un jour long. L’utilisation d’implants est actuellement à l’étude pour mettre au point un traitement de désaisonnement. La sécrétion des neurones à GnRH est ensuite régulée par des neuromédiateurs. La naloxone, antagoniste des opiacées endogènes, induit une décharge de GnRH suivie d’une libération de LH et de FSH chez la jument en inactivité. Les hormones thyroïdiennes ont probablement une action à ce niveau. L’alternance d’un mois de jours courts et d’un mois de jours longs qui permet, chez les petits ruminants mâles, d’abolir les variations saisonnières est, dans l’état actuel des travaux, inefficace chez l’étalon ou la jument. Pour avancer la date de la première ovulation annuelle, les éleveurs ne disposent actuellement que d’un traitement comportant 14,5 h d’éclairement par jour, commencé vers le solstice d’hiver et appliqué pendant 35 jours.
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Valéra, Marie-Cécile, Coralie Fontaine, Emmanuelle Noirrit-Esclassan, Frédéric Boudou, Melissa Buscato, Marine Adlanmerini, Florence Trémollières, Pierre Gourdy, Françoise Lenfant et Jean-François Arnal. « Vers une optimisation de la modulation du récepteur des œstrogènes dans le traitement hormonal de la ménopause ». médecine/sciences 34, no 12 (décembre 2018) : 1056–62. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2018297.

Texte intégral
Résumé :
Les femmes vivent désormais plus d’un tiers de leur vie après la survenue de la ménopause. Le déclin de la production d’œstrogènes endogènes au cours de cette période s’accompagne fréquemment de troubles fonctionnels qui affectent la qualité de vie. Ces symptômes peuvent être soulagés par un traitement hormonal (THM) initialement fondé sur l’administration d’œstrogènes conjugués équins (principalement aux États-Unis, par voie orale) ou d’un œstrogène naturel, le 17β-estradiol (en Europe, notamment par voie transdermique). Le récepteur des œstrogènes α (REα) relaye la majorité des effets physiologiques des œstrogènes. REα appartient à la superfamille des récepteurs nucléaires. Il régule la transcription de gènes via ses fonctions activatrices (AF1 et AF2). Outre ces actions génomiques classiques, les œstrogènes peuvent aussi activer une sous-population de récepteurs REα présents à la membrane des cellules et ainsi induire des signaux rapides. Dans cette revue, nous résumerons l’évolution des THM depuis les débuts de la substitution hormonale jusqu’aux nouvelles molécules émergentes fondées sur une modulation sélective du REα. Nous décrirons également les progrès récents sur la compréhension des mécanismes d’action des œstrogènes, en détaillant les rôles respectifs des REα nucléaire et membranaire et les développements thérapeutiques possibles qui pourraient en découler.
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Passaquet, Chantal, Gérald Zabulon, Yves Lemoine, Jean-Paul Dubacq et Jean-Claude Thomas. « Lipides et pigments des fractions sub-membranaires obtenues par traitement à la digitonine chez la cyanobactériePseudanabaena sp.souche M2 ». Bulletin de la Société Botanique de France. Actualités Botaniques 136, no 1 (janvier 1989) : 169–73. http://dx.doi.org/10.1080/01811789.1989.10826929.

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Trouvé, E., et S. Belloir. « Un procédé de fractionnement innovant au coeur du développement des stations d’épuration durables de demain ». Techniques Sciences Méthodes, no 4 (avril 2019) : 37–44. http://dx.doi.org/10.1051/tsm/201904037.

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Résumé :
Aujourd’hui, la fonction essentielle d’une station d’épuration est de dépolluer les effluents liquides pour limiter les dommages sur les milieux naturels ou pour la santé publique. Cet objectif de conservation ne prend malheureusement pas en compte les pressions sociétales. La croissance démographique, les sociétés de consommation nous ont amenés à une situation où annuellement nous consom mons plus de ressources que la planète peut nous offrir. À l’heure du recyclage et du développement de l’économie circulaire, il semble urgent de faire évoluer la conception et l’exploitation des stations d’épuration (STEP). Ces dernières ne doivent plus jouer le rôle de « déchetterie liquide », mais celui de « récupérateur/producteur de ressources ». Avec son développement, la filière biogaz apparaît comme une évidence. Cependant, malgré ces tendances, la croissance d’unités de biogaz sur STEP est figée. Cela est dû au fait que les procédés classiques d’épuration dégradent le pouvoir méthanogène des effluents et restreignent la valorisation d’autres ressources. Les STEP de demain devront être des bioraffineries à forte valeur ajoutée. Cela conduit à faire évoluer nos procédés : au lieu d’enlever les polluants par étapes successives pour obtenir des effluents « propres », extrayons les ressources les unes après les autres, à commencer par l’eau pour la recycler, de l’énergie ainsi que des matières organiques et minérales. Oublions le traitement et valorisons le tri pour une économie circulaire respectueuse quantitativement et qualitativement de nos ressources naturelles. Des technologies de fractionnement membranaire sont la clé du développement de ces bioraffineries. Un retour d’expérience sur une industrie agroalimentaire est présenté dans cet article. Les résultats de ces essais à grande échelle révèlent le potentiel et l’intérêt du recyclage par fractionnement en comparaison aux procédés conventionnels de traitement. Les nouvelles STEP peuvent ainsi devenir des usines de production d’eau potable, de bioengrais, de biomatériaux… tout en étant productrices d’énergie.
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SUARD, E., Y. FAYOLLE, R. CLÉMENT, V. ROCHER, M. ALLIET, C. ALBASI et S. GILLOT. « Limitation du colmatage dans un bioréacteur à membranes à l’échelle semi-industrielle : modélisation et caractérisation de l’hydrodynamique ». Techniques Sciences Méthodes, no 5 (20 mai 2020) : 47–57. http://dx.doi.org/10.36904/tsm/202005047.

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Résumé :
Les bioréacteurs à membranes se sont largement développés ces dernières années en assainissement des eaux résiduaires urbaines. Malgré les avantages du procédé, le colmatage des membranes engendre des contraintes économiques liées aux coûts énergétiques et au remplacement prématuré des membranes. Différentes stratégies de limitation du colmatage sont mises en place, dont l’aération séquencée des membranes à l’aide de grosses bulles. Cependant, les mécanismes d’action de cette aération et l’hydrodynamique des réacteurs restent relativement méconnus, en particulier à l’échelle industrielle et en présence de boues. Un pilote semi-industriel de filtration membranaire a été conçu et installé sur l’unité de traitement des jus de Seine Aval. Ce pilote a permis d’étudier l’impact de l’aération sur les performances de filtration en couplant une analyse statistique (systèmes d’inférence floue) et une caractérisation de l’hydrodynamique du réacteur (tomographie de résistivité électrique). Des chemins préférentiels de passage des bulles ont été observés à faible débit d’air et forte concentration en matières en suspension à l’aide de la tomographie de résistivité électrique. Ces observations fournissent des éléments d’explication aux résultats de l’arbre de décision flou focalisé sur l’analyse de l’impact du débit d’air sur la dérive journalière de perméabilité. La concentration en matières en suspension des boues et la différence de demande chimique en oxygène entre le surnageant des boues et le perméat s’avèrent être les facteurs les plus impactants pour les conditions opératoires testées. Ils traduisent l’efficacité de l’aération, que ce soit en matière de répartition du champ de bulles et/ou de relargage d’éléments colmatants. Ces résultats invitent à considérer la régulation de l’aération en fonction des propriétés des boues dans les procédés industriels.
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Galzin, AM, D. Graham et SZ Langer. « Systèmes de transport de la sérotonine et antidépresseurs ». Psychiatry and Psychobiology 5, no 3 (1990) : 201–7. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x00003503.

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Résumé :
RésuméLe transporteur de la sérotonine sodium-dépendant est associé à la membrane plasmatique des plaquettes et des terminaisons nerveuses sérotoninergiques et constitue le mécanisme physiologique d’inactivation de la sérotonine. Un déficit en sérotonine est associé à la pathophysiologie de la dépression, et il a été suggéré que des modifications du transporteur de la sérotonine pouvaient exister au moment des épisodes dépressifs. En particulier, le nombre de sites transporteurs pourrait être diminué sur les plaquettes sanguines de patients déprimés, et des résultats comparables ont été obtenus dans certaines régions du cerveau humain post-mortem. Les inhibiteurs tricycliques et nontricycliques de la capture de sérotonine sont des antidépresseurs efficaces. Cependant, il existe une période de latence de 2 à 3 semaines entre le début du traitement et l’effet thérapeutique maximal. C’est pourquoi les études consacrées aux propriétés biochimiques et à la caractérisation moléculaire du transporteur de la sérotonine sont d’un intérêt particulier. La capture de la sérotonine par le transporteur êeut être inhibée sélectivement par le citalopram, la paroxétine, l’indalpine, la fluoxétine et le SL 81 0385. Cet effet se traduit in vitro par une augmentation de la neurotransmission sérotoninergique comme on a pu le montrer pour la paroxétine et le SL 81 0385 sur la libération de sérotonine induite par stimulation électrique dans des coupes de cortex frontal humain. Les dérivés marqués inhibiteurs de la capture tels que l’imipramine-[3H], la paroxétine-[3H] et le citalopram-[3H] ont été utilisés comme ligands spécifiques pour caractériser le transporteur. Dans les expériences de dissociation de la liaison de la paroxétine-[3H] aux membranes de cortex cérébral de rat, le citalopram, l’indalpine, la fluoxétine, le SL 81 0385, l’imipramine et la sérotonine ont des valeurs de 1½ de dissociation similaires à celle obtenue pour la paroxétine. De plus, le SL 81 0385, la fluoxétine, l’imipramine et la sérotonine induisent une protection contre l’inactivation de la liaison de la paroxétine-[3H] par le N-éthylmaléimide aux membranes de cortex cérébral de rat. Ces résultats suggèrent que le domaine de liaison des inhibiteurs tricyliques et non-tricycliques de la capture de sérotonine correspond à un site d’exclusion mutuelle par rapport au site de reconnaissance du substrat. Le transporteur neuronal de la sérotonine des membranes de cortex cérébral de rat a été solubilisé et purifié par chromatographie d’affinité sur une résine agarose à laquelle un dérivé du citalopram a été fixé par liaison covalente. La liaison de la paroxétine-[3H] à la préparation purifiée est caractérisée par un Kd de 0.71 nM et un Bmax supérieur à 1 962 pmol/mg de protéines. La purification du transporteur se traduit par un accroissement de plus de 3 000 fois de l’activité de la liaison de la paroxétine-[3H] par rapport à celle de la préparation membranaire initiale. Le profil pharmacologique de la liaison de la paroxétine-[3H] à cette préparation purifiée est préservé puisque les valeurs de Ki pour le citalopram, l’imipramine et la sérotonine sont respectivement de 19 nM, 80 nM et 3,5 μM, comparables aux Ki de ces composés sur la liaison de la paroxétine-[3H] aux membranes de cortex cérébral de rat. La purification du transporteur ainsi obtenue est la première étape qui doit permettre d’analyser les propriétés fonctionnelles du transporteur au niveau moléculaire.
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APTEL, Philippe. « Filtration membranaire (OI, NF, UF) - Applications en traitement des eaux ». Technologies de l'eau, août 2006. http://dx.doi.org/10.51257/a-v1-w4120.

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APTEL, Philippe. « Filtration membranaire (OI, NF, UF) - Applications en traitement des eaux ». Opérations unitaires. Génie de la réaction chimique, juin 2006. http://dx.doi.org/10.51257/a-v1-j2794.

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CAUSSERAND, Christel, Claire ALBASI et Hélène ROUX de BALMANN. « Filtration membranaire (OI, NF, UF, MF) - Applications en traitement des eaux ». Technologies de l'eau, août 2017. http://dx.doi.org/10.51257/a-v2-j2794.

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Roosens, D., M. Degrez, L. Warnier et A. Van Lierde. « Traitement intégré d'effluents industriels difficilement biodégradables par procédés membranaires combinés à différentes techniques destructives ». Déchets, sciences et techniques, no 48 (2007). http://dx.doi.org/10.4267/dechets-sciences-techniques.1687.

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Warren, Annabelle, Patrick Drogui et Isabelle Laurion. « Revue sur l’état actuel des connaissances des procédés utilisés pour l’élimination des cyanobactéries et cyanotoxines lors de la potabilisation des eaux ». 23, no 4 (20 décembre 2010) : 391–412. http://dx.doi.org/10.7202/045100ar.

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Résumé :
Les toxines cyanobactériennes sont des contaminants importants des écosystèmes aquatiques et constituent un risque pour la santé humaine. Les cyanobactéries peuvent libérer des toxines dans l’eau, particulièrement lors de la lyse des cellules qui se produit souvent au moment de leur passage à travers la filière conventionnelle de potabilisation des eaux. Dans cet article de revue de la littérature, les normes sur la qualité de l’eau concernant les toxines ainsi que les principales méthodes de détection des toxines sont d’abord présentées. Les méthodes d’élimination des cyanobactéries et des cyanotoxines sont ensuite décrites et leur performance discutée. Les procédés conventionnels présentés sont la coagulation/floculation, la clarification, la filtration sur sable, l’utilisation du charbon actif ainsi que l’oxydation chimique par chloration ou par le permanganate de potassium. Les méthodes alternatives présentement en développement pour optimiser les systèmes actuels de potabilisation des eaux ou remplacer les technologies conventionnelles trop peu efficaces pour l’élimination des polluants émergents (par ex., les procédés d’oxydation avancée et la filtration membranaire) sont également présentées. Des procédés conventionnels tels que la chloration peuvent s’avérer inadéquats, notamment par leur manque de fiabilité pour l’oxydation des cyanotoxines et par le risque encouru suite à la formation de sous-produits toxiques (par ex., les organochlorés). Des méthodes alternatives telles que la combinaison d’ozone et de peroxyde d’hydrogène permettent une oxydation fiable des cyanotoxines en assurant un effet rémanent à la sortie du contacteur. Ce type de traitement peut être facilement mis en oeuvre dans les usines de potabilisation des eaux possédant déjà une unité d’ozonation. L’utilisation du charbon actif, notamment sous forme de poudre, peut être efficace lors de contaminations ponctuelles par les fleurs d’eau de cyanobactéries. Ce document fait ainsi une synthèse de ces procédés chimiques, physiques ou physico-chimiques contribuant à l’élimination des cyanotoxines et des cyanobactéries lors de la potabilisation des eaux.
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