Articles de revues sur le sujet « Traitement du Langage Naturel (NLP) »

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1

de Bonis, M., JD Guelfi et M. Somogyi. « Observations psychiatriques en langage naturel, statistique textuelle et classification des dépressions ». Psychiatry and Psychobiology 5, no 1 (1990) : 1–11. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x0000331x.

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Résumé :
RésuméL’objectif général de cette recherche a consisté à apprécier le degré de concordance entre un système de classification imposé (le DSM III) et un système de classification naturel ou intuitif. Pour ce faire, on a mis en correspondance des observations en langage naturel (diagnostic en clair) fournies par 158 psychiatres différents sur 999 malades psychiatriques avec les diagnostics établis selon les critères du DSM III. Dans cet échantillon, 823 malades ont relevé d'un traitement antidépresseur; ils ont été répartis en 7 groupes de dépression (majeure simple isolée, mélancolique, bipolaire, atypique, atypique avec symptômes obsessionnels, avec alcoolisme, avec symptômes obsessionnels et alcoolisme) et un groupe répondant au diagnostic de schizophrénie. Les observations en langage naturel ont été traitées de façon entièrement automatique par le programme SPAD. Ont été analysées successivement la fréquence de certains mots clés, les formes graphiques (lexicales) caractéristiques et les phrases modales prononcées par les psychiatres à propos de chaque groupe de malades. Ces données ont été synthétisées dans l'analyse factorielle lexicale qui fournit une représentation simultanée des formes graphiques et des groupes diagnostiques. Les résultats font apparaître une concordance satisfaisante entre les diagnostics du DSM III et les observations en langage naturel à l'exception cependant de la dépression majeure et de la mélancolie qui se trouvent quasiment confondues dans les descriptions. Ces résultats ont été discutés en termes d'interactions entre systèmes diagnostiques imposés et systèmes diagnostiques spontanés.
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2

Sabatier, Paul. « Interfaces en langage naturel : du traitement du non attendu à la composition de phrases assistée ». Annales Des Télécommunications 44, no 1-2 (janvier 1989) : 77–84. http://dx.doi.org/10.1007/bf02999879.

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3

Abeillé, Anne. « Review of Miller & ; Torris (1990) : Formalismes syntaxiques pour le traitement automatique du langage naturel ». Lingvisticæ Investigationes. International Journal of Linguistics and Language Resources 15, no 2 (1 janvier 1991) : 429–32. http://dx.doi.org/10.1075/li.15.2.13abe.

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4

Fouqueré, Christophe, et Fabrice Issac. « Corpus issus du Web : constitution et analyse informationnelle ». Revue québécoise de linguistique 32, no 1 (20 février 2006) : 111–34. http://dx.doi.org/10.7202/012246ar.

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Résumé :
Résumé Comparé à d’autres sources d’informations (documents techniques, articles de journaux, ...), le Web est une source quasi infinie d’informations de toute nature. Cet avantage peut s’avérer contreproductif si une information pertinente se trouve noyée dans une masse d’informations diverses. Notre travail tente donc d’évaluer dans quelle mesure des techniques de traitement automatique du langage naturel peuvent aider dans la recherche d’informations lorsque la base de données textuelles est non organisée. Plus concrètement, notre étude vise la spécification de mécanismes de reformulation de requêtes. Nous tentons ici de décrire la méthodologie de constitution de corpus suivie, puis nous analysons la pertinence informationnelle des pages récupérables sur le web lorsqu’on fait varier la requête initiale.
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5

Grosjean, François, et Alain Matthey. « L'apport potentiel de l'intelligence artificielle et du traitement automatique du langage naturel à une nouvelle version d'Hector ». Travaux neuchâtelois de linguistique, no 18 (1 septembre 1992) : 51–66. http://dx.doi.org/10.26034/tranel.1992.2466.

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6

Kempf, E., S. Priou, B. Dura, J. Calderaro, C. Brones, P. Wasjbürt, L. Bennani et X. Tannier. « Structuration des critères histopronostiques tumoraux par traitement automatique du langage naturel - Une comparaison entre apprentissage machine et règles ». Journal of Epidemiology and Population Health 72 (mars 2024) : 202301. http://dx.doi.org/10.1016/j.jeph.2024.202301.

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7

Langevin, Christian. « Les technologies de l’intelligence artificielle au service des médias et des éditeurs de contenus : Traitement du langage naturel (TAL) ». I2D - Information, données & ; documents 1, no 1 (11 juillet 2022) : 30–37. http://dx.doi.org/10.3917/i2d.221.0030.

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8

Dündar, Oğuz İbrahim. « Utilisation Potentielle De Chatgpt Dans L'apprentissage Des Langues Etrangères : Exploration Des Possibilités Selon Les Niveaux Langagiers Du CECRL ». Kahramanmaraş Sütçü İmam Üniversitesi Sosyal Bilimler Dergisi 21, no 1 (30 avril 2024) : 63–75. http://dx.doi.org/10.33437/ksusbd.1384040.

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Résumé :
Cet article explore les possibilités d'utiliser ChatGPT, un agent conversationnel basé sur l'intelligence artificielle, dans l'apprentissage des langues étrangères. L'article commence par définir les termes tels que "Chatbot", "Intelligence Artificielle", "Traitement Automatique des Langues" et "Génération de Langage Naturel", afin de fournir un contexte approprié. Ensuite, il examine les différentes activités langagières définies et propose des utilisations potentielles de ChatGPT pour chacune de ces activités. Les possibilités d'utilisation de ChatGPT dans l'apprentissage des langues étrangères comprennent la pratique de la conversation écrite, la correction grammaticale, l'enrichissement du vocabulaire, la compréhension écrite, les jeux de rôles et simulations écrites, la préparation aux examens écrits, les activités de traduction, les exercices de grammaire et de conjugaison, les explications grammaticales et bien d’autres. L'article propose également une illustration des avantages de ChatGPT selon les niveaux langagiers du CECRL avec l’utilisation des exemples de questions de production écrite ainsi que des extraits de textes pour la compréhension écrite.
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9

Zeghari, Z., N. Bennani Mechita, FZ Benfouila, T. Benamar, M. Merabet, M. Youbi, J. Belayachi et R. Abouqal. « P35 - Quelles sont les observations des professionnels de santé marocains au sujet de la crise sanitaire du COVID-19 ? Traitement du langage naturel de la question ouverte d'une enquête à grande échelle ». Journal of Epidemiology and Population Health 72 (mai 2024) : 202475. http://dx.doi.org/10.1016/j.jeph.2024.202475.

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Dalbin, Sylvie. « Compréhension des langues et interaction . Sous la direction de Gérard Sabah, Hermès Science Publications : Lavoisier, 2006. – 400 p. – (Traité IC2, série Cognition et traitement de l’information). – ISBN 2-7462-1256-0 : 120 €. Sémantique et traitement automatique du langage naturel . Sous la direction de Patrice Enjalbert Paris : Hermès Science Publications : Lavoisier, 2005. – 410 p. – (Traité IC2, série Cognition et traitement de l’information). – ISBN 2-7462-1126-2 : 120 € ». Documentaliste-Sciences de l'Information Vol. 44, no 1 (28 février 2007) : II. http://dx.doi.org/10.3917/docsi.441.0096b.

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Asayesh, Omid, et Abdolmohammad Kazemipur. « Culture of Migration : A Theoretical Account with a Particular Focus on Iran ». Canadian Ethnic Studies 56, no 1 (2024) : 1–25. http://dx.doi.org/10.1353/ces.2024.a921078.

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Résumé :
Abstract: Attention to the subjective aspects of the migration process has been rising recently, including attention to the notion of the 'culture of migration.' Triggered by an increase in the number of actual migrants and perpetuated through an increase in the desire for migration, the 'culture of migration' heavily affects the migration field in both receiving and, particularly, sending countries. In this article, we have examined the latter through the case study of Iran. The study draws on three sources of data: a) 71 face-to-face interviews, b) Google Trends data, and c) the analysis of more than 200,000 tweets in Farsi using Natural Language Processing tools. The findings show that the culture of migration alters the social landscape in the sending countries, leading people to view migration as the sole feasible choice to fulfill their wishes for change in their individual and social circumstances. They also show that the culture of migration works simultaneously as both the 'push' and 'pull' forces, operating through phenomena such as the rite of passage, relative deprivation, shift in reference groups, and so on. We have also examined the interaction between the 'culture of migration' and social movements in Iran as an illustration of the deep connection between the former and broader non-migration dynamics in sending countries. The implications of this study for future research are discussed. Résumé: L'attention portée aux aspects subjectifs du processus migratoire s'est accrue récemment, y compris l'attention portée à la notion de "culture de la migration". Déclenchée par une augmentation du nombre de migrants réels et perpétuée par une augmentation du désir de migration, la "culture de la migration" affecte fortement le domaine de la migration à la fois dans les pays d'accueil et, en particulier, dans les pays d'origine. Dans cet article, nous avons examiné ce dernier point à travers l'étude de cas de l'Iran. L'étude s'appuie sur trois sources de données : a) 71 entretiens en face à face, b) des données Google Trends et c) l'analyse de plus de 200 000 tweets en Farsi à l'aide d'outils de traitement du langage naturel. Les résultats montrent que la culture de la migration modifie le paysage social dans les pays d'origine, amenant les gens à considérer la migration comme le seul choix possible pour répondre à leurs souhaits de changement de leur situation individuelle et sociale. Elles montrent également que la culture de la migration agit simultanément en tant que force de "poussée" et de "traction", en opérant par le biais de phénomènes tels que le rite de passage, la privation relative, le changement de groupes de référence, et ainsi de suite. Nous avons également examiné l'interaction entre la "culture de la migration" et les mouvements sociaux en Iran afin d'illustrer le lien profond entre la culture de la migration et les dynamiques non migratoires plus larges dans les pays d'origine. Les implications de cette étude pour les recherches futures sont analysées.
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Asubiaro, Toluwase. « Digital Archiving by Nigerian and Foreign Authors in a Low Resource Context : A Content Analysis of Publications on Natural Language Processing of Nigerian Languages ». Proceedings of the Annual Conference of CAIS / Actes du congrès annuel de l'ACSI, 8 novembre 2020. http://dx.doi.org/10.29173/cais1175.

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Résumé :
This study investigated if there is a difference in the number of articles, datasets and computer codes that foreign and Nigerian authors of scientific publications on natural language processing (NLP) of Nigerian languages deposited in digital archives. Relevant articles were systematically retrieved from Google, Web of Science and Scopus. Authorship type and data archiving information was extracted from the full text of the relevant publications. Result shows that papers with foreign authorship (80.4%) published their articles in non-commercial repositories, more than papers with Nigerian authorship (55.3%). Similarly, few papers with foreign authorship deposited research data (19.1%) and computer codes (10.4%), while none of the papers with Nigerian authorship did. It was recommended that librarians in Nigeria should create awareness on the benefits of digital archiving and open science. Cette étude a eximané les différences dans le nombre d'articles, d'ensembles de données et de codes informatiques dans les articles scientifiques sur le traitement du langage naturel que les auteurs nigériens et les auteurs étrangers ont soumis dans les dépôts d'autoarchivage. Les articles pertinents ont été systématiquement extraits de Google, Web of Science et Scopus. Les informations relatives au type d'auteur et à l'archivage des données ont été extraites du texte intégral des publications pertinentes. Les résultats montrent que les articles écrits par des auteurs étrangers ont davantage publié leurs articles dans des dépôts non commerciaux (80,4%) que les auteurs nigériens (55,3%). Peu d'auteurs étrangers ont déposé des données de recherche (19,1%) et des codes informatiques (10,4%) tandis qu'aucun auteur nigérien ne l'a fait. Ces résultats démontrent l'importance de la sensibilisation aux avantages des dépôt d'archivage et de la science ouverte pour les bibliothécaires nigériens.
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Ceia, Vanessa, Thyago Mota, Thyago Mota et Rhian Lewis. « Style and Rhetoric of Spanish Politics on Twitter ». Digital Studies/le champ numérique (DSCN) Open Issue 2022 12, no 1 (18 mai 2022). http://dx.doi.org/10.16995/dscn.8097.

Texte intégral
Résumé :
This article studies the communication strategies used in campaign messaging on Twitter by Spanish political parties during Spain’s 2019 General Elections in order to gauge whether a quantifiable relationship can be established between the style and rhetoric of a party’s Twitter speech, political platform, and political ideology. The analysis focuses on the discursive and rhetorical tactics that surround the parties’ engagement with issues of gender and feminism, particularly pressing concerns during this election cycle due to increased attention to gender-based violence and the organizing of feminist strikes in March 2019. In response to methodological questions surrounding the study of online speech, the study uses a combination of quantitative and qualitative methods to evaluate word choice, positive and negative sentiment, and use of platform infrastructure such as hashtags. Applying Natural Language Processing (NLP) techniques, the article examines word frequency, co-occurrence of qualified nouns, and sentiment analyses of tweets published by the five largest political parties in Spain between March 1 and May 15, 2019. Based on topic modelling, this corpus of tweets was then narrowed to those concerning gender and feminism and a close reading was conducted in order to locate the tweet’s ideological and discursive messaging within Spain’s sociopolitical context. Although word frequency analysis demonstrated that gender remained a concern for all five parties, noun co-occurrence and sentiment analysis revealed significant differences in how all parties engaged with gender as a political issue via their choices in rhetoric and style, which were linked to their platform and ideology via quantifiable measurements and qualitative close readings. As such, the study is able to conclude that using a combination of quantitative and qualitative methods enables researchers to draw nuanced and contextualized connections between the rhetoric and style of online political speech and the position of a political party on a given issue.Cet article étudie les stratégies de communicationemployées dans les messages publiés sur Twitter par les partis politiques espagnols durant les Élections générales espagnoles de l’année 2019 afin d’estimer si une relation quantifiable peut être établie entre le style et rhétorique d’un discours sur Twitter, d’un programme politique et d’une idéologie politique d’un parti. L’analyse est axée sur les tactiques discursives et rhétoriques qui sont autour de l’engagement des partis avec des questions du genre et du féminisme, étant des préoccupations particulièrement importantes pendant ce cycle d’élection à cause de l’attention augmentée à la violence liée au genre, ainsi qu’à l’organisation des grèves féministes en mars 2019. Considérant des questions méthodologiques concernant l’analyse du discours su rInternet, cette étude se sert d’une combinaison de méthodes quantitatives et qualitatives pour évaluer le choix des mots, l’opinion positive et négative et l’usage de l’infrastructure de plateforme, tel que les hashtags. En appliquant les techniques du Traitement automatique du langage naturel (TALN), cet article examine la fréquence de mots, la concomitance de noms qualifiés et les analyses de sentiments de tweets publiés par les cinq plus grands partis politiques en Espagne entre le 1ermars et le 15 mai 2019. Basé sur une modélisation de thèmes, ce corpus de tweets a ensuite été limité aux tweets concernant le genre et le féminisme. Une lecture attentive a ensuite été réalisée dans le but d’identifier les messages idéologiques et discursifs des tweets dans le contexte sociopolitique espagnol. Bien que l’analyse de la fréquence de mots ait démontré que le genre demeurait préoccupant pour tous les cinq partis, la concomitance de noms et l’analyse de sentiments ont révélé des différences significatives dans la façon dont les partis traitaient le genre comme question politique à travers leurs choix de style et de rhétorique, qui ont été liés à leur plateforme et à leur idéologie par le biais de mesures quantifiables et de lectures attentives qualitatives. Cette étude peut ainsi montrer que l’usage d’une combinaison de méthodes quantitatives et qualitatives permet aux chercheurs d’établir des liens nuancés et contextualisés entre le style et rhétorique du discours politique en ligne, ainsi que la position d’un parti politique en ce qui concerne une question donnée.
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Milhaud, Gérard, et Elisabeth Godbert. « Un environnement basé sur la logique pour développer des applications du traitement automatique du langage naturel ». Mathématiques et sciences humaines, no 143 (1 septembre 1998). http://dx.doi.org/10.4000/msh.2759.

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Begert, David, Justin Granek, Brian Irwin et Chris Brogly. « Vers l’automatisation des examens systématiques sur la vaccination au moyen d’un système d’extraction avancé fondé sur le traitement du langage naturel ». Relevé des maladies transmissibles au Canada, 4 juin 2020, 197–203. http://dx.doi.org/10.14745/ccdr.v46i06a04f.

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Ng, Victoria, Erin E. Rees, Jingcheng Niu, Abdelhamid Zaghlool, Homeira Ghiasbeglou et Adrian Verster. « Application d’algorithmes de traitement du langage naturel pour extraire des informations d’articles de presse dans le cadre de la surveillance événementielle ». Relevé des maladies transmissibles au Canada, 4 juin 2020, 211–17. http://dx.doi.org/10.14745/ccdr.v46i06a06f.

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Rubin, Victoria. « AI Opaqueness : What Makes AI Systems More Transparent ? » Proceedings of the Annual Conference of CAIS / Actes du congrès annuel de l'ACSI, 8 novembre 2020. http://dx.doi.org/10.29173/cais1139.

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Résumé :
Artificially Intelligent (AI) systems are pervasive, but poorly understood by their users and, at times, developers. It is often unclear how and why certain algorithms make choices, predictions, or conclusions. What does AI transparency mean? What explanations do AI system users desire? This panel discusses AI opaqueness with examples in applied context such as natural language processing, people categorization, judicial decision explanations, and system recommendations. We offer insights from interviews with AI system users about their perceptions and developers’ lessons learned. What steps should be taken towards AI transparency and accountability for its decisions? Les systèmes artificiellement intelligents (IA) sont omniprésents, mais mal compris par leurs utilisateurs et, parfois, par les développeurs. On ne sait souvent pas comment et pourquoi certains algorithmes font des choix, des prédictions ou des conclusions. Que signifie la transparence de l'IA? Quelles explications les utilisateurs du système d'IA souhaitent-ils? Ce panel examine l'opacité de l'IA avec des exemples dans un contexte appliqué tels que le traitement du langage naturel, la catégorisation des personnes, les explications des décisions judiciaires et les recommandations système. Nous proposons des informations issues d'entretiens avec des utilisateurs de systèmes d'IA sur leurs perceptions et les leçons apprises par les développeurs. Quelles mesures devraient être prises pour assurer la transparence et la responsabilité de l'IA pour ses décisions?
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Kilani, Mondher. « Identité ». Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.122.

Texte intégral
Résumé :
Dans le lexique des anthropologues, le mot identité est apparu bien plus tard que le mot culture. Mais depuis quelques décennies, alors que divers anthropologues se sont presque vantés de soumettre à une forte critique et même de rejeter leur ancien concept de culture, l'identité a acquis un usage de plus en plus étendu et prépondérant, parallèlement à ce qui s'est passé dans d'autres sciences humaines et sociales, ainsi que dans le langage de la politique et des médias. Nombreux sont ceux dans les sciences sociales qui s'accordent pour dire que le concept d'identité a commencé à s'affirmer à partir des années soixante du siècle dernier. Il est habituel de placer le point de départ dans les travaux du psychologue Erik Erikson (1950 ; 1968), qui considérait l'adolescence comme la période de la vie la plus caractérisée par des problèmes d'identité personnelle. Cette reconstruction est devenue un lieu commun des sciences humaines et sociales du XXe siècle, et pour cette raison, elle nécessite quelques ajustements. Par exemple, le sociologue américain Robert E. Park (1939) utilisait déjà, à la fin des années 1930, le terme identité, en rapport avec ceux d'unité, d'intégrité, de continuité, pour décrire la manière dont les communautés et les familles se maintiennent dans le temps et l'espace. En ce qui concerne l'anthropologie, un examen rapide permet de constater que l'identité a déjà été utilisée dans les années 1920 par Bronislaw Malinowski d'une manière qui n'était pas du tout sporadique. Dans ses textes sur les Trobriandais – comme par exemple La vie sexuelle des Sauvages du Nord-Ouest de la Mélanésie (1930) – il parle de l'identité du dala, ou matrilignage, en référence à la « substance » biologique dont il est fait, une substance qui se transmet de génération en génération dans la lignée maternelle. Ce n’est peut-être pas par hasard que le terme identité fut ensuite appliqué par Raymond Firth, dans We, the Tikopia (1936), pour affirmer la continuité dans le temps du clan, et que Siegfried Nadel dans The Foundations of Social Anthropology (1949) parle explicitement de l’identité des groupes sociaux grâce auxquels une société s’articule. La monographie The Nuer (1940) d'Edward E. Evans-Pritchard confirme que l’on a fait de l’identité un usage continu et, en apparence, sans problèmes dans l'anthropologie sociale britannique sous l’influence de Malinowski. Dans ce texte fondamental, l’identité est attribuée aux clans, à chacune des classes d'âge et même à l'ensemble de la culture nuer, que les Nuer considèrent eux-mêmes comme unique, homogène et exclusive, même si le sentiment de la communauté locale était « plus profond que la reconnaissance de l'identité culturelle » (Evans-Pritchard 1975: 176). Par contre, l’autre grand anthropologue britannique, Alfred R. Radcliffe-Brown, qui était particulièrement rigoureux et attentif aux concepts que l'anthropologie devait utiliser (selon M.N. Srinivas, il « prenait grand soin de l'écriture, considérant les mots comme des pierres précieuses » 1973 : 12), il est resté, probablement pour cette raison, étranger au recours au terme d'identité. S’il fait son apparition dans son célèbre essai consacré à la structure sociale de 1940, c’est uniquement lorsqu'il fait référence à l'utilisation approximative de ce concept par Evans-Pritchard. Il soutient que certains anthropologues (y compris Evans-Pritchard) utilisent l’expression « structure sociale » uniquement pour désigner la persistance des groupes sociaux (nations, tribus, clans), qui gardent leur continuité (continuity) et leur identité (identity), malgré la succession de leurs membres (Radcliffe-Brown 1952 : 191). Son utilisation du terme identité ne se justifie ainsi que parce qu’il cite la pensée d'Evans-Pritchard presque textuellement. On a également l’impression que Radcliffe-Brown évite d’adopter le concept d’identité, utilisé par ses collègues et compatriotes, parce que les termes de continuité (continuity), de stabilité (stability), de définition (definiteness), de cohérence (consistency) sont déjà suffisamment précis pour définir une « loi sociologique » inhérente à toute structure sociale (Radcliffe-Brown 1952 : 45). Qu’est-ce que le concept d'identité ajouterait, sinon un attrait presque mystique et surtout une référence plus ou moins subtile à l'idée de substance, avec la signification métaphysique qu’elle implique? Radcliffe-Brown admet que la persistance des groupes dans le temps est une dimension importante et inaliénable de la structure sociale. Mais se focaliser uniquement sur la stabilité donne lieu à une vision trop étroite et unilatérale : la structure sociale comprend quelque chose de plus, qui doit être pris en compte. Si l’on ajoute le principe d’identité à la stabilité, à la cohérence et à la définition, ne risque-t-on pas de détourner l’attention de l’anthropologue de ce qui entre en conflit avec la continuité et la stabilité? Radcliffe-Brown a distingué entre la structure sociale (social structure), sujette à des changements continus, tels que ceux qui se produisent dans tous les organismes, et la forme structurale (structural form), qui « peut rester relativement constante pendant plus ou moins une longue période » (Radcliffe-Brown 1952 : 192). Même la forme structurale – a-t-il ajouté – « peut changer » (may change); et le changement est parfois graduel, presque imperceptible, alors que d’autres fois, il est soudain et violent, comme dans le cas des révolutions ou des conquêtes militaires. Considérant ces deux niveaux, la forme structurale est sans aucun doute le concept qui se prêterait le mieux à être associé à l'identité. Mais l’identité appliquée à la forme structurale ne nous aiderait certainement pas à appréhender avec précision les passages graduels, les glissements imprévus ou, au contraire, certaines « continuités de structure » qui se produisent même dans les changements les plus révolutionnaires (Radcliffe-Brown 1952 : 193). Bref, il est nécessaire de disposer d’une instrumentation beaucoup plus raffinée et calibrée que la notion d’identité, vague et encombrante, pour saisir l’interaction incessante et subtile entre continuité et discontinuité. On sait que Radcliffe-Brown avait l'intention de construire une anthropologie sociale rigoureuse basée sur le modèle des sciences naturelles. Dans cette perspective, l'identité aurait été un facteur de confusion, ainsi qu'un élément qui aurait poussé l'anthropologie naissante vers la philosophie et l'ontologie plutôt que vers la science. Alors que Radcliffe-Brown (décédé en 1955) avait réussi à éviter le problème de l'identité en anthropologie, Lévi-Strauss sera contraint de l'affronter ouvertement dans un séminaire proposé, conçu et organisé par son assistant philosophe Jean-Marie Benoist au Collège de France au milieu des années soixante-dix (1974-1975). Quelle stratégie Lévi-Strauss adopte-t-il pour s'attaquer à ce problème, sans se laisser aller à la « mode » qui, entre-temps, avait repris ce concept (Lévi-Strauss 1977 : 11)? La première étape est une concession : il admet que l’identité est un sujet d’ordre universel, c’est-à-dire qu’elle intéresse toutes les disciplines scientifiques, ainsi que « toutes les sociétés » étudiées par les ethnologues, et donc aussi l’anthropologie « de façon très spéciale » (Lévi-Strauss 1977 : 9). Pour Lévi-Strauss, les résultats suivants sont significatifs: i) aucune des sociétés examinées – même si elles constituent un petit échantillon – ne tient « pour acquise une identité substantielle » (Lévi-Strauss 1977 : 11), c’est-à-dire qu’il ne fait pas partie de leur pensée de concevoir l'identité en tant que substance ou la substance en tant que source et principe d'identité; ii) toutes les branches scientifiques interrogées émettent des doutes sur la notion d'identité et en font le plus souvent l'objet d'une « critique très sévère » (Lévi-Strauss 1977 : 11); iii) il est possible de constater une analogie entre le traitement réservé à l’identité de la part des « sociétés exotiques » examinées et les conceptions apparues dans les disciplines scientifiques (Lévi-Strauss 1977 : 11); iv) cela signifie alors que la « foi » que « nous mettons encore » sur l’identité doit être considérée comme « le reflet d'un état de civilisation », c'est-à-dire comme un produit historique et culturel transitoire, dont la « durée » peut être calculée en « quelques siècles » (Lévi-Strauss 1977 : 11) ; v) que nous assistons à une crise contemporaine de l'identité individuelle, en vertu de laquelle aucun individu ne peut se concevoir comme une « réalité substantielle », réduit qu’il est à une « fonction instable », à un « lieu » et à un « moment » éphémères d’« échanges et de conflits » auxquelles concourent des forces d’ordre naturel et historique (1977 : 11). Ceci fait dire à Lévi-Strauss que « quand on croit atteindre l'identité, on la trouve pulvérisée, en miettes » (in Benoist 1977 : 209), tout en constatant dans le même mouvement que, tant dans les sociétés examinées que dans les sciences interrogées, nous assistons à la négation d'une « identité substantielle » et même à une attitude destructrice qui fait « éclater » l’identité « en une multiplicité d’éléments ». Dans un cas comme dans l'autre, on arrive à « une critique de l’identité », plutôt qu’« à son affirmation pure et simple » (in Benoist et Lévi-Strauss 1977 : 331). Pourtant, nous ne pouvons pas oublier que Lévi-Strauss était parti d'une concession, c’est-à-dire de l'idée que nous ne pouvions pas nous passer du thème de l'identité : c'est quelque chose qui concerne d'une manière ou d'une autre toutes les sociétés, les sociétés exotiques étudiées par les anthropologues et les communautés scientifiques qui se forment dans la civilisation contemporaine. Lévi-Strauss aurait pu développer plus profondément et de manière plus radicale l’argument présenté au point iv), à savoir que l’identité est une croyance (voire une foi), produit d’une période historique de notre civilisation. Mieux encore, étant donné que les autres sociétés d’une part et nos sciences de l’autre « la soumettent à l’action d’une sorte de marteau-pilon », c’est-à-dire qu’elles la font « éclater » (in Benoist 1977 : 309), nous aussi nous pourrions finalement nous en débarrasser. Lévi-Strauss sent bien, cependant, la différence entre sa propre position et celle du public qui a participé au séminaire, beaucoup plus enclin à donner du poids et un sens à l'identité. Pour cette raison, il offre un compromis (un compromis kantien, pourrait-on dire), qui consiste à détacher la notion d’identité de celle de substance et à penser l’identité comme « une sorte de foyer virtuel auquel il nous est indispensable de nous référer pour expliquer un certain nombre de choses, mais sans qu’il ait jamais d’existence réelle » (in Benoist et Lévi-Strauss 1977 : 332). Si nous l’interprétons bien, c'est comme si Lévi-Strauss avait voulu dire à ses collègues anthropologues : « Voulez-vous vraiment utiliser le concept d'identité? » Au moins, sachez que cela ne fait jamais référence à une expérience réelle : c’est peut-être une aspiration, une affirmation, une manière de représenter des choses, auxquelles rien de réel ne correspond. Avec ce compromis, Lévi-Strauss semble finalement attribuer à l'identité une sorte de citoyenneté dans le langage des anthropologues. Cependant, même comme un feu virtuel, où se trouve l'idée d'identité : dans la tête des anthropologues, qui utilisent ce concept pour représenter des sociétés dans leur unité et leur particularité, ou dans la tête des groupes sociaux lorsqu'ils se représentent leur culture? Revenons à l'exemple de Malinowski et des Trobriandais. C'est Malinowski qui interprète le veyola, la substance biologique du matrilignage (dala), en termes d'identité, et établit un lien entre identité et substance. Parler de l'identité du dala, surtout si elle est soutenue par le concept de substance (c'est-à-dire quelque chose qui se perpétue avec le temps et qui est complet en soi, de sorte qu'il ne dépend de rien de ce qui lui est extérieur, selon la définition classique d'Aristote), finit par obscurcir la pensée plus profonde des Trobriandais, c’est-à-dire l’incomplétude structurelle du dala. Il ne suffit pas de naître dans le dala et de recevoir le veyola de la mère. Le veyola n'est pas une substance identitaire, mais une matière sans forme qui doit être modelée par l’intervention du tama ou tomakava, c'est-à-dire « l'étranger », avec lequel la mère est mariée et qui est proprement le modeleur, celui qui aide les enfants de son partenaire à grandir, à prendre un visage, une personnalité, non pas en assumant une identité, mais par une participation progressive à des relations sociales (Weiner 1976). Malgré l’utilisation extensive du terme identité dans leurs descriptions ethnographiques et leurs réflexions théoriques, les anthropologues feraient bien de se demander s’il est vraiment approprié de conserver ce concept dans leur boîte à outils ou s’il ne convient pas de considérer l’identité comme une modalité de représentation historiquement et culturellement connotée. L'auteur de cette entrée a tenté de démontrer que l'identité en tant que telle n'existe pas, sauf en tant que mode de représentation que les anthropologues peuvent rencontrer dans telle ou telle société (Remotti 2010). Toutes les sociétés, dans leur ensemble ou dans leurs éléments constitutifs, ressentent les besoins suivants : stabilité, continuité, permanence, cohérence d’un côté, spécificité, certitude et définissabilité de l’autre. Mais, comme l’a suggéré Radcliffe-Brown, les réponses à ces besoins sont toujours relatives et graduelles, jamais complètes, totales et définitives. Nous pourrions également ajouter que ces besoins sont toujours combinés avec des besoins opposés, ceux du changement et donc de l'ouverture aux autres et au futur (Remotti 1996 : 59-67). Autrement dit, les sociétés ne se limitent pas à être soumises au changement, mais le recherchent et l’organisent en quelque manière. Il peut y avoir des sociétés qui donnent des réponses unilatérales et qui favorisent les besoins de fermeture plutôt que d’ouverture, et d’autres le contraire. Si ce schéma est acceptable, alors on pourrait dire que l'identité – loin d'être un outil d'investigation – apparaît au contraire comme un thème et un terrain important de la recherche anthropologique. En retirant l'identité de leur boîte à outils, prenant ainsi leurs distances par rapport à l'idéologie de l'identité (un véritable mythe de notre temps), les anthropologues ont pour tâche de rechercher quelles sociétés produisent cette idéologie, comment elles construisent leurs représentations identitaires, pour quelles raisons, causes ou buts elles développent leurs croyances (même leur « foi » aveugle et aveuglante) en l’identité. Nous découvrirons alors que nous-mêmes, Occidentaux et modernes, nous avons construit, répandu, exporté et inculqué au monde entier des mythes et des concepts identitaires. Nous l’avons fait à partir de l’État-nation aux frontières rigides et insurpassables, de l’idéologie clairement identitaire qu’est le racisme, et pour terminer de la racialisation de la culture qui exalte les traditions locales ou nationales comme substances intouchables, dont la pureté est invoquée et qu’on entend défendre de toutes les manières contre les menaces extérieures. Passée au niveau du discours social et politique, l'identité révèle tôt toute la violence impliquée dans la coupure des liens et des connexions entre « nous » et les « autres ». Comme le disait Lévi-Strauss (et aussi Hegel avant Lévi-Strauss), à l'identité « ne correspond en réalité aucune expérience » (in Benoist et Lévi-Strauss 1977 : 332). Mais les effets pratiques de cette représentation n'appartiennent pas au monde des idées : ils sont réels, souvent insupportablement réels.
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