Littérature scientifique sur le sujet « Thomas d'Aquin (1225?-1274 ; saint) – Théorie de la connaissance »

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Thèses sur le sujet "Thomas d'Aquin (1225?-1274 ; saint) – Théorie de la connaissance"

1

Vermot-Petit-Outhenin, Stéphanie. « La réception de Boèce au XIIIe siècle : Saint Thomas d'Aquin lecteur du De Trinitate ». Caen, 2008. http://www.theses.fr/2008CAEN1508.

Texte intégral
Résumé :
La réception de Boèce au XIIIe siècle, mineure par rapport à celle des siècles précédents, se concentre particulièrement dans la lecture de Saint-Thomas d'Aquin du De Trinitate, où ce dernier trouve les principes fondamentaux qui lui serviront à établir sa méthode de la théologie. Quête de la"sagesse", comme on le lit dans l'exergue du commentaire, ou plutôt des fondements d'une science qui mène à la connaissance de Dieu, le Super Boetium de Trinitate relit et corrige le traité béotien qui a posé, plus de sept siècles avant Saint-Thomas, les bases de la théologie scientifique. Si, au coursde son commentaire, Saint-Thomas se lance dans des développements très personnels, il n'oublie jamais, en effet, de répondre à Boèce : en redéfinissant le rôle de la foi en la théologie, mais aussi, à travers la question du "mode" des sciences et de leur division, en donnant une interprétation nouvelle et féconde de ce qui, pour ses contemporains, n'était guère plus que des axiomes, appartenant à la tradition philosophique des siècles passés
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2

Valdivia, Fuenzalida José Antonio. « La démonstration selon Thomas d’Aquin. Une étude sur la réception des Seconds Analytiques au XIIIème siècle ». Electronic Thesis or Diss., Sorbonne université, 2019. http://www.theses.fr/2019SORUL004.

Texte intégral
Résumé :
Le but de cette thèse est de reconstruire l’ensemble des questionnements théoriques qui sont présupposés par les auteurs qui participent de la réception des Seconds Analytiques au XIIIème siècle. Étant donné que la doctrine contenue dans cet ouvrage d’Aristote est difficile à interpréter de manière systématique, il est inévitable que sa réception progressive ait été guidée par des questionnements métaphysiques et gnoséologiques plus ou moins partagés par les auteurs mentionnés. Ma recherche est une tentative pour retracer ces questionnements, le but étant de proposer une reconstruction systématique de l’ensemble de la théorie contenue dans les commentaires des Seconds Analytiques de la période mentionnée. Cette reconstruction systématique offre une vision unifiée de l’ensemble des thèmes traités grâce à l’identification d’une question générale qui déterminerait l’orientation des questions spécifiques. L’auteur sur lequel la plupart des analyses sont concentrées est Thomas d’Aquin, mais le but étant de comprendre les questions qui guident la tradition des commentaires du XIIIème, Robert Grosseteste et Albert le Grand ont une place spéciale dans cette recherche. La thèse proposée est que la question précise qui est censée être répondue par ces commentaires est celle de savoir quelles doivent être les caractéristiques d’une connaissance parfaite. Par conséquent, les doctrines développées dans ces commentaires ne chercheraient pas à proposer une méthode de connaissance certaine de la réalité. Les propriétés d’une démonstration concernant sa forme et le contenu des propositions qui la composent se limiteraient à décrire un idéal de connaissance parfaite
The aim of this thesis is to reconstruct the set of theoretical questionings supposed by the authors who participate in Posterior Analytics’ reception during the 13th century. Considering that the doctrine contained in this Aristotle’s work is difficult to interpret in a systematical approach is inevitable that its progressive reception would have been guided by metaphysics and epistemological questionings, partially shared by these authors. The present research is an attempt to track down these questionings, with the objective of proposing a systematic reconstruction of the theory contained in the commentaries of the Posterior Analytics during that period. This systematic reconstruction offers a unified vision of the aspects assessed in this investigation. This due to the identification of a general question which would determine the orientation of specific ones. Thomas Aquinas is the author about whom most of the analyses are focused. But always considering the aim of comprehending questions which guide all this tradition of comments, two other comments have been studied: Robert Grosseteste and Alberto the Great. The thesis proposed is that the Posterior Analytics’ reception during the 13th century, reflects an attempt to answer the following question: which characteristics must a perfect knowledge possess? In accordance with this thesis, the doctrines developed in commentaries regarding this Aristotle’s work did not seek to propose a method of true knowledge of reality. The properties of a demonstration, regarding its shape and content of the propositions that compose it, would describe an ideal of perfect knowledge
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3

Valdivia, Fuenzalida José Antonio. « La démonstration selon Thomas d’Aquin. Une étude sur la réception des Seconds Analytiques au XIIIème siècle ». Thesis, Sorbonne université, 2019. http://www.theses.fr/2019SORUL004.

Texte intégral
Résumé :
Le but de cette thèse est de reconstruire l’ensemble des questionnements théoriques qui sont présupposés par les auteurs qui participent de la réception des Seconds Analytiques au XIIIème siècle. Étant donné que la doctrine contenue dans cet ouvrage d’Aristote est difficile à interpréter de manière systématique, il est inévitable que sa réception progressive ait été guidée par des questionnements métaphysiques et gnoséologiques plus ou moins partagés par les auteurs mentionnés. Ma recherche est une tentative pour retracer ces questionnements, le but étant de proposer une reconstruction systématique de l’ensemble de la théorie contenue dans les commentaires des Seconds Analytiques de la période mentionnée. Cette reconstruction systématique offre une vision unifiée de l’ensemble des thèmes traités grâce à l’identification d’une question générale qui déterminerait l’orientation des questions spécifiques. L’auteur sur lequel la plupart des analyses sont concentrées est Thomas d’Aquin, mais le but étant de comprendre les questions qui guident la tradition des commentaires du XIIIème, Robert Grosseteste et Albert le Grand ont une place spéciale dans cette recherche. La thèse proposée est que la question précise qui est censée être répondue par ces commentaires est celle de savoir quelles doivent être les caractéristiques d’une connaissance parfaite. Par conséquent, les doctrines développées dans ces commentaires ne chercheraient pas à proposer une méthode de connaissance certaine de la réalité. Les propriétés d’une démonstration concernant sa forme et le contenu des propositions qui la composent se limiteraient à décrire un idéal de connaissance parfaite
The aim of this thesis is to reconstruct the set of theoretical questionings supposed by the authors who participate in Posterior Analytics’ reception during the 13th century. Considering that the doctrine contained in this Aristotle’s work is difficult to interpret in a systematical approach is inevitable that its progressive reception would have been guided by metaphysics and epistemological questionings, partially shared by these authors. The present research is an attempt to track down these questionings, with the objective of proposing a systematic reconstruction of the theory contained in the commentaries of the Posterior Analytics during that period. This systematic reconstruction offers a unified vision of the aspects assessed in this investigation. This due to the identification of a general question which would determine the orientation of specific ones. Thomas Aquinas is the author about whom most of the analyses are focused. But always considering the aim of comprehending questions which guide all this tradition of comments, two other comments have been studied: Robert Grosseteste and Alberto the Great. The thesis proposed is that the Posterior Analytics’ reception during the 13th century, reflects an attempt to answer the following question: which characteristics must a perfect knowledge possess? In accordance with this thesis, the doctrines developed in commentaries regarding this Aristotle’s work did not seek to propose a method of true knowledge of reality. The properties of a demonstration, regarding its shape and content of the propositions that compose it, would describe an ideal of perfect knowledge
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4

Teixeira, dos Reis Huet Andréa. « La justice humaine chez Thomas d’Aquin ». Thesis, Paris, EPHE, 2015. http://www.theses.fr/2015EPHE5015/document.

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Résumé :
Ce travail vise à mettre en valeur l’importance de la justice pour la réalisation de l’homme chez Thomas d’Aquin. La première partie traite de la connaissance scientifique et de l’action humaine, l’idée d’ordre dirigeant, selon Thomas, aussi bien le plan théorique que le plan pratique. La deuxième partie traite plus spécifiquement de la vertu de justice, ce qui demande l’analyse des autres vertus morales, mais aussi intellectuelles, qui opèrent avec elle en vue du bien de l’homme. La troisième partie traite des relations entre la justice, le droit et la loi, le droit pouvant être conçu d’après deux perspectives qui se rejoignent, soit comme objet de la justice, soit comme résultat de la juste application de la loi
This work aims at emphasizing the importance of justice in the realization of man in Thomas Aquinas. The first part deals with scientific knowledge and human action, the idea of order ruling, for him, the theoretical level as well as the practical level. The second part deals more specifically with the virtue of justice, requiring the analysis of the other not only moral but also intellectual virtues, which operate together with it for the good of man. The third part handles with the relations between justice, right and law; the right understood from two related perspectives, either as the object of justice, or as the result of the fair application of the law
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5

Debluë, Romain. « La révélation de l’être ». Thesis, Sorbonne université, 2020. http://accesdistant.sorbonne-universite.fr/login?url=http://theses.paris-sorbonne.fr/2020SORUL073.pdf.

Texte intégral
Résumé :
Pour nous, hommes du XXIe siècle, la question de l’être, et l’ouverture même de l’accès à elle, paraissent bien souvent intégralement en dépendance de la pensée heideggerienne, dont le geste le plus fondamental fut de reconduire l’être à l’horizon de la temporalité, en barrant dès lors l’accès à la double possibilité de fonder la finitude sur l’infini, et le temps sur l’éternité. Peut-on dès lors, aujourd’hui, ouvrir à nouveau un questionnement qui fasse signe vers une dimension infinie et éternelle de l’être en tant que tel ? Peut-on poser sur l’être un regard qui n’évacue pas, d’abord et par principe, la seule possibilité de voir l’étant fini faire signe, de lui-même, en direction de son origine infinie – qu’elle soit immanente ou transcendante ? Cette retrempe du regard, nous croyons pouvoir l’éprouver au contact de deux pensées, qui tiennent chacune une place éminente dans l’histoire de la philosophie occidentale, à savoir celle de Thomas d’Aquin et celle de Hegel. En effet, le thomisme et l’hégélianisme constituent les deux tentatives les plus complètes, avant le double interdit posé par Heidegger, de fonder sur l’être infini la finitude même de l’étant passager ; et au premier chef, bien entendu, la finitude de l’homme qui, chez l’un comme chez l’autre, est destinée par soi à son propre dépassement. En posant en effet la question de la manifestation de l’être, c’est-à-dire des modes de donation possible de l’être à la conscience, tant du côté de l’objet que du sujet, cette étude n’a pas pu faire l’économie d’interroger la possibilité, paradoxale à première vue, pour une pensée finie de s’élever jusqu’à une connaissance de l’Être premier en son infinité. Ainsi a-t-on dû s’attarder au thème hégélien du Savoir absolu, et, en regard, celui, thomiste, de la vision béatifique, qui n’est autre que la vue de l’Ipsum esse tel qu’en lui-même et dans sa propre essence. C’est seulement à ce point d’incandescence le plus haut qu’une conclusion devenait possible, où l’on a tenté de mettre en lumière le sens ultime de l’être selon Thomas d’Aquin et Hegel, tel qu’il s’est donné dans l’accomplissement de sa plus propre manifestation, à partir de lui-même et dans lui-même
To us, people from the 21st century, the question of the being, and in fact the very opening of our access to it, often seem to be intricately linked to Heidegger’s thought, whose most fundamental act was to reconnect the notion of being to that of temporality, thus forbidding any attempt at grounding both finitude on the infinite, and time on eternity. Is it therefore possible today to initiate a new reflexion pointing at an infinite and eternal dimension of the being as such ? Is it possible to look into the being without first refusing, as a matter of principle, the very possibility of seeing the finite being pointing by itself at its own infinite origin – be it an immanent or a transcendant one ? The present paper originates in the belief that this new attempt is indeed possible through a conversation between two particularly eminent systems of thought in the history of western thinking: that of Thomas Aquinas and that of Hegel. Thomism and Hegelianism indeed constituted the two most accomplished attempts, before Heidegger’s double interdiction, at grounding the very finitude of the fleetingness of beings on the infinite being; and first of all, of course, the finitude of man, which according to both thinkers is destined to surpass itself. By raising the question of the revealing of the being, that is to say, of the possible modes of bestowal of the being on our conscience, this paper could not avoid looking into the apparently paradoxical possibility for a finite thinking to raise to a knowledge of the prime Being in all its infinity. Hence the necessity to linger on the hegelian theme of the absolute Knowledge, and, on the other hand, on the thomistic theme of the beatific vision, which is nothing less than the vision of the Ipsum esse as such and in its very essence. Only upon reaching this highest point was it possible to draw a conclusion that would, hopefully, shine a light on the ultimate meaning of the being according to Thomas and Hegel, such as it gave itself in the accomplishment of its very own manifestation from itself and within itself
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6

Ehret, Charles. « Agir en vertu d'un autre : Thomas d'Aquin et l'ontologie de l'instrument ». Thesis, Paris 1, 2017. http://www.theses.fr/2017PA01H219.

Texte intégral
Résumé :
Le présent travail est une analyse du concept d’instrument qui en fait apparaître les exigences théoriques et demande si et dans quelle mesure le système de Thomas d’Aquin les remplit. D’abord, on montre que la notion d’instrument telle que Thomas la définit en général et conformément à l’aristotélisme dont il hérite — à savoir, comme un «moteur mû» — est contradictoire, dans la mesure où rien, d’après Thomas, ne peut être à la fois moteur et mû selon le même mouvement. Ensuite, on montre que la notion d’instrument telle que Thomas la redéfinit dans le contexte restreint de sa théologie sacramentelle — à savoir, comme ce qui «agit en vertu d’un autre» — échappe à cette contradiction, même si elle est, à son tour, problématique, parce qu’elle implique qu’un même pouvoir (virtus) transite de l’agent principal à l’instrument. Il faut étudier le modèle auquel Thomas renvoie — à savoir, l’être intentionnel des espèces sensibles — pour répondre à ce problème : il s’agit alors de montrer comment l’apparence peut être conçue comme une propriété en transit numériquement identique en plusieurs sujets (la chose, le milieu, le percepteur). Enfin, on justifie l’application de ce modèle au pouvoir instrumental grâce à deux thèses centrales de l’ontologie thomasienne des pouvoirs — à savoir, qu’ils sont distincts de la forme substantielle et qu’ils en fluent — qui reviennent à accorder au pouvoir, comme tel, le même statut ontologique qu’à l’espèce sensible, c’est-à-dire un être intentionnel (esse intentionale). On en conclut que ce qui fonde, en définitive, la causalité instrumentale, ce n’est pas tant la physique d’Aristote que l’ontologie des pouvoirs de Thomas
The aim of this study is to offer a better understanding of instrumental causation in Aquinas. It starts by calling into question the idea that an instrument is a « moved mover ». Behind this apparently innocuous phrase lurks a contradiction, for, as Aquinas states, it is impossible for something to both be a mover and be moved according to the same motion. Having argued that this contradiction may not be satisfyingly solved, an alternate definition is suggested, according to which an instrument acts "in virtue of another". Indeed, according to Aquinas’s sacramental theology, an instrument acts insofar as it contains a certain power (virtus). This power isn’t its own, but the individual property of something else, namely the principal cause. The question here is to account for what seems to be a transferable trope: an individual power present both in the principal and in the instrumental cause. Aquinas does this by comparing the power in the instrument to the species of color in the air. We follow this cue. First, by understanding how a sensible species may be understood as numerically identical across different subjects, namely the sensible object, the medium and the perceiver. Second, by turning to Aquinas’s thesis that powers are distinct and flow from a thing’s substantial form. This, it is argued, amounts to granting powers the same ontological status as sensible species, namely intentional being (esse intentionale). The study concludes that it is not Aristotelian physics but Aquinas’s metaphysics of powers that ultimately grounds instrumental causation
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7

Decaix, Véronique. « Le mode d'être des objets intentionnels : une étude du rôle constituant de l'intellect chez Thierry de Freiberg ». Thesis, Tours, 2013. http://www.theses.fr/2013TOUR2028/document.

Texte intégral
Résumé :
Cette thèse traite de la doctrine catégorielle, de l’ontologie et de la théorie de la connaissance de Dietrich de Freiberg dans le De origine rerum praedicamentalium. L’enjeu principal est d’étudier la fonction constitutive que l’intellect opère sur catégories et sur l’étant en tant que tel. La première partie replace le traité dans le contexte historique des débats à l’université de Paris à la fin du XIIIe siècle touchant au statut des catégories et à la manière d’ordonner les genres réels de l’étant. Elle confronte la dérivation essentielle des prédicaments chez Dietrich aux modèles de systématisation élaborées par ses prédécesseurs, tels qu’Albert le Grand, Thomas d’Aquin, Henri de Gand. La deuxième partie s’attache aux objets constitués par l’intellect : l’Un comme principe du nombre et de la division, la relation et le temps. La dernière partie enquête la modalité sur laquelle l’intellect opère cette activité sur l’étant et montre en définitive que le sujet de la métaphysique, l’être quiditatif des étants, se situe à la croisée de la logique et du réel
This thesis deals with Dietrich of Freiberg’s doctrine of categories, ontology and theory of knowledge, as present in the treatise De origine rerum praedicamentalium. The primary aim is to examine the constitutive function the intellect exercises on the categories and being as being. The first part of this thesis replaces the treatise in the historical background of the late 13th century debates from the University of Paris regarding the nature of categories and the manner of organizing the real genera of being. It compares Dietrich’s deduction of the categories with the systematization of some of his predecessors such as Albert the Great, Thomas Aquinas and Henry of Ghent. The second part of the thesis deals with the objects caused by the intellect: the One as principle of number and division, relation and time. The last part investigates the manner in which the intellect exercises its constitutive power on being and demonstrates in the final analysis that the subject of metaphysics, the quiditative being of things, is placed at the intersection of logic and reality
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