Littérature scientifique sur le sujet « Théorie des pulsions »

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Articles de revues sur le sujet "Théorie des pulsions"

1

Denis, Paul. « Emprise et théorie des pulsions ». Revue française de psychanalyse 56, no 5 (1992) : 1295. http://dx.doi.org/10.3917/rfp.g1992.56n5.1295.

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2

Golse, Bernard. « Le bébé, entre affects et émotions ». Spirale N° 107, no 3 (16 janvier 2024) : 86–92. http://dx.doi.org/10.3917/spi.107.0086.

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Résumé :
La théorie psychanalytique est passée de la théorie des pulsions (dans le registre de l’être) à la théorie des relations d’objet (dans le registre de l’existence) mais cette évolution se retrouve au sein du développement de l’enfant lui-même qui permet le passage de l’affect (dans le registre de l’être) à l’émotion (dans le registre de l’existence), grâce au processus que G. Haag désignait du terme « d’émotionalisation des sensations ». Après un rappel sur la question de l’être et de l’existence, et le passage du sourire aux anges au sourire-réponse, cet article souligne le lien entre l’affect et la théorie des pulsions versus celui entre l’émotion et la théorie des relations d’objet. Les évolutions dans la théorie font écho aux transformations dans le développement.
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3

Moreau de Bellaing, Louis. « Théorie des pulsions et anthropologie critique ». Journal des anthropologues, no 116-117 (1 juin 2009) : 105–19. http://dx.doi.org/10.4000/jda.3472.

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4

Minazio, Nicole. « La destructivité au carrefour de l’individuel et du collectif ». Revue Belge de Psychanalyse N° 73, no 2 (2 juillet 2018) : 85–98. http://dx.doi.org/10.3917/rbp.073.0085.

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Résumé :
Pour Green, Malaise dans la culture (Freud) donne une place considérable aux pulsions de destruction. Green renouvelle les conceptions freudiennes avec le travail du négatif qui interroge les effets de l’introduction des pulsions de vie et de mort et de la deuxième topique dans la théorie et la pratique psychanalytique contemporaine. Il interroge et propose des hypothèses qui rendent compte de la massivité destructrice à l’échelle humaine. Comment penser les rapports entre l’individu et l’environnement, dont les défaillances peuvent aller jusqu’à la barbarie ?
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5

Rosenberg, Benno. « Pulsions et somatisation ou le moi, le masochisme et le narcissisme en psychosomatique ». Revue française de psychanalyse o 62, no 5 (1 mai 1998) : 1677–700. http://dx.doi.org/10.3917/rfp.g1998.62n5.1677.

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Résumé :
Résumé Ce travail essaie de montrer l’importance de la dernière théorie des pulsions pour la pensée psychosomatique à propos de questions comme la continuité somatopsychique, la somatisation, la désorganisation et la prédisposition à la somatisation.
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6

Golse, Bernard. « La pulsion d’attachement, un concept stimulant dans le débat entre théorie des pulsions et théorie de la relation d’objet ». Perspectives Psy 43, no 4 (octobre 2004) : 261–68. http://dx.doi.org/10.1051/ppsy/2004434261.

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7

Ribas, Denys. « Quelques jalons sur la place de la mort dans l'oeuvre de Freud. » Revue française de psychanalyse o 60, no 1 (1 janvier 1996) : 7–14. http://dx.doi.org/10.3917/rfp.g1996.60n1.0007.

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Résumé :
Résumé La mort est un organisateur de l'oeuvre de Freud, à partir de son auto-analyse lors du deuil de son père et de la découverte de l'ambivalence, de la rivalité et du complexe d'OEdipe. Bien que Freud ne sous-estime nullement l'angoisse de mort éprouvée par le moi, et élabore métapsychologiquement sa deuxième théorie des pulsions qui donne tant d'importance à la pulsion de mort, il persiste dans sa conviction qu'il n'existe pas de représentation possible dans l'inconscient de la fin de sa propre vie, attribuant alors l'angoisse de mort à une élaboration de la castration (incluant donc la séparation et la perte), perte par le moi de l'amour et de la protection du surmoi, projeté sur la divinité ou le destin.
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8

Aisenstein, Marilia. « Quatre questions à propos du fonctionnement opératoire ». Revue française de psychanalyse o 62, no 5 (1 mai 1998) : 1453–58. http://dx.doi.org/10.3917/rfp.g1998.62n5.1453.

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Résumé :
Résumé Dans la suite du texte sur « Le fonctionnement opératoire dans la pratique psychosomatique » je pose quatre ordres de questions qui vont de la discussion des positions monistes et dualistes à la conclusion qu’une relecture de la séméiologie psychosomatique en terme de deuxième théorie des pulsions et de deuxième topique est aujourd’hui nécessaire.
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Rosenberg, Benno. « Les relations du narcissisme avec la deuxième théorie des pulsions ». Revue française de psychanalyse 55, no 1 (1991) : 103. http://dx.doi.org/10.3917/rfp.g1991.55n1.0103.

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10

Aisenstein, Marilia. « Pour introduire La névrose de comportement dans une théorie des pulsions ». Revue française de psychosomatique 10, no 2 (1996) : 7. http://dx.doi.org/10.3917/rfps.010.0007.

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Thèses sur le sujet "Théorie des pulsions"

1

Ribault, Gilles. « Le primat de l'autre dans la pensée Freudienne : théorie de la névrose et névrose dans la théorie ». Paris 7, 2009. http://www.theses.fr/2009PA070020.

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Résumé :
L'idée défendue dans ce travail est que l'œuvre freudienne gagne en intelligibilité si l'on suppose que la théorie de la séduction, soutenue explicitement entre 1895 et 1897, n'a jamais été vraiment abandonnée par Freud. La reconnaissance de la relation à l'autre comme principe de l'âme humaine représente même l'acte fondateur de la perspective psychanalytique freudienne. La problématique du trauma où s'exprime pour la première fois le primat de l'autre, après un temps d'oubli apparent, refait surface avec la seconde théorie des pulsions. La première étude expose les principales étapes de la métamorphose de la notion de traumatisme depuis les premiers articles sur les psychonévroses de défense jusqu'à ceux introduisant la pulsion de mort. La deuxième Etude est consacrée au concept de pulsion et à ses remaniements entre 1905 et 1923. L'examen du statut du narcissisme et de son rôle structurant dans l'Œdipe met en évidence un tournant majeur : dans le modèle théorique de l'autre, la modalité névrotique de l'altérité, à savoir l’imago narcissique (l'Autre), devient de plus en plus prégnante. L'hypothèse d'une dérive théorique conduisant Freud à normaliser une structure d'abord reconnue par lui comme pathogène trouve à se confirmer, dans la troisième Etude, à travers l'exploration de trois questions : celle du traitement de la cure, celle des conditions et des formes du renoncement pulsionnel et enfin celle du rôle de l'idéal narcissique dans l'organisation sociale. La figure de l'Autre, dans l'œuvre de Freud, finit par obstruer complètement la réflexion sur l'autre
The idea that is defended in this work is that the Freudian works are to be better understood if we consider that the theory of seduction - explicitly supported in the years 1895/1897 - has never been left behind by Freud. Acknowledging the relationship to the other as being at the origin of the human mind is the founding principle of the Freudian psychoanalytic perspective. The issue of the trauma, which is the first wording of the other's primacy, reappears - after apparently falling into oblivion - with the second theory of drives. The fîrst Study sets out the main steps in the metamorphosis of the concept of trauma since the first articles on the psychoneuroses of defense up to those that reveal the death drive. The second Study is dedicated to the concept of drives and to its changes over the years 1905 to 1923. The analysis of the status of narcissism and of its formative role over the Œdipus complex highlights a major turning point : in the theoretical conception of the link to the other, the neurotic modality of otherness L that is to say the narcissistic imago (the Other) - is becoming more and more vivid. The hypothesis of a theoretical drift leading Freud to normalize a structure that he originally considered pathogenic is to be confirmed in the third Study, through the exploration of three fields : that of the therapy itself, that of the conditions and forms of the drive renunciation andfinally that of the role of the narcissistic ideal in the social organization. The image of the Other, in Freud's works, eventually blocks the reflection about the other
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2

Bourlot, Gilles. « La tentative de l'impossible : la pulsion et ses fictions, dans la métapsychologie et au-delà ». Nice, 2011. http://www.theses.fr/2011NICE2033.

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Résumé :
Cette recherche explore les places, les noms, les fonctions et les limites de la fiction dans ses relations à la métapsychologie. Ce travail comporte ainsi un versant épistémologique qui interroge les sources et les rôles de la fiction dans l'élaboration psychanalytique du concept de pulsion. L'auteur démontre que les fictions théoriques, voire mythologiques, correspondent à une tentative pour penser l'Inconnu et pour donner une place à ce qui échappe au savoir scientifique. La théorie des pulsions est située dans le processus de sa création et dans le contexte de pensées en mouvement. Un aspect important consiste à montrer comment la métapsychologie intègre à la fois un questionnement philosophique sur le statut des représentations et un savoir narratif de l'ordre du mythe. De cette manière, la fiction est approchée sous un angle dynamique: elle est semblable, notamment chez Freud, à une « seconde navigation » qui peut conduire la connaissance des pulsions vers les rivages du mythe et de l'art. Un autre aspect de cette recherche met en évidence la valeur de la parole, de l'expérience narrative et du récit fictif dans la clinique du sujet de la pulsion
This research explores places, names, functions and the limits of fiction in its’ relation to metapsychology. As such, this work has an epistemological angle, which looks at the sources and roles of fiction in the psychoanalytical elaboration of the drive concept. The author shows that theoretical or even mythological fictions, correspond to an attempt to think the Unknown as well as to assign a place for that which escapes the realms of scientific knowledge. The drive theory is located in the very process of its’ creation and in the context of the thoughts in motion. An important aspect is to show how metapsychology integrates a narrative knowledge as a myth. In this way, fiction is approached from a dynamic angle: particularly according to Freud, fiction is similar to a «second navigation» in which theory of drives can lead to myths and art. Another aspect of this research demonstrates the value of speech, of narrative knowledge and of fictive recounts in the clinic of the subject of the drive
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3

Henríquez, Ruz Felipe. « Incidences du vitalisme dans les fondements épistémologiques de la pensée freudienne ». Electronic Thesis or Diss., Université Paris Cité, 2022. http://www.theses.fr/2022UNIP7148.

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Résumé :
En 1998, dans son livre intitulé Canguilhem et les normes, le philosophe G. Le Blanc affirme que la création d'un problème ne consiste pas à « inventer de toutes pièces un nouveau problème mais plutôt [à] rouvrir un ancien problème résolu », opération intellectuelle qui revient à « déplacer le problème du questionné au non questionné, du pensé à l'impensé ». En nous laissant guider par ce précepte d'inspiration canguilhemienne, cette thèse doctorale examine de façon critique l'histoire de la formation intellectuelle de Freud et les fondements de l'épistémologie freudienne, problème déjà « clos » depuis les travaux pionniers de S. Bernfeld, F. Wittels, M. Dorer et E. Jones, parmi d'autres, et depuis les études contemporaines de P.-L. Assoun. Notre objectif est d'y analyser l'influence clandestine ou souterraine, mais bien déterminante, du vitalisme, doctrine biomédicale des XVIIIe et XIXe siècles dont la présence dans l'histoire de la pensée freudienne est d'autant plus frappante qu'elle en a été radicalement exclue au profit du primat sans entrave du physicalisme de ladite « École de Helmholtz ». Eu égard à l'inexistence d'évidences empiriques et de références directes de la part de Freud qui permettraient d'établir son rapport au vitalisme, cette recherche essaie de construire ce lien sur la base d'un examen soigneux du contexte historique et épistémologique dans lequel les concepts majeurs de la psychanalyse évoluèrent, particulièrement celui de pulsion {Trieb}. Nous soulignons leurs parallélismes et leurs isomorphismes avec les concepts cruciaux du vitalisme, comme ceux de force vitale ou de principe vital, mais nous soulignons de plus - et c'est notre hypothèse fondamentale - que le projet freudien d'édifier une théorie énergétique du psychisme constitue une tentative d'articulation des registres du vivant et de l'humain et, de ce point de vue, une réponse à la question philosophique et scientifique par excellence qui selon G. Canguilhem s'est posée au XIXe siècle, à savoir « Qu'est-ce que la vie ? ». La première partie de notre recherche est consacrée à essayer de briser le mythe du « Freud mécaniste » et à démontrer que l'interrogation philosophico-biologique sur la nature du vivant est toujours à l'arrière-plan des préoccupations théoriques des penseurs physicalistes et matérialistes qui influencèrent Freud au cours du XIXe siècle. Deuxièmement, nous essayons de rouvrir les rapports de Freud à la Naturphilosophie et à la Médecine Romantique afin de rendre intelligibles les axes cruciaux de ses préoccupations d'ordre vitaliste concernant la pulsionnalité du vivant humain, ainsi que les enjeux théoriques de ses rapports à Darwin, à Goethe et à Fliess, penseurs autour desquels tournent les interrogations philosophiques de Freud concernant la nature de la vie. S'appuyant sur la déclaration de Freud qu'une « vision dualiste élémentaire » constitue l'exigence épistémologique par excellence de sa métapsychologie, la deuxième et dernière partie de notre recherche est consacrée à la construction des liens conceptuels - et à la recherche des incidences clandestines - entre les dualismes pulsionnels de Freud et les théories vitalistes, également dualistes, de Stahl et de Bichat d'abord et de Cl. Bernard ensuite. Dans cette partie de notre recherche, nous tentons de montrer que la conception freudienne de la vie, issue de son point de vue énergétique sur le psychisme, est fondée paradoxalement sur une prééminence des phénomènes de destruction et de mort, tout comme dans les vitalismes des physiologistes allemand et français susmentionnés. Cela nous conduit à formuler l'existence d'une « théorie de la vie » dans la pensée de Freud, théorie dans laquelle celle-ci est conçue comme une sorte de dé-vivre ou comme un certain devenir anti-vital inéluctable, et dont les termes de « vie » et de « mort », de « création » et de « destruction », loin de constituer les termes d'un antagonisme, deviennent les composants d'une unité ontologique
In 1998, in his book entitled "Canguilhem et les normes", the philosopher G. Le Blanc asserts that the creation of a problem does not consist in "inventing a new problem with brand-new elements but rather [in] reopening an old, solved problem", an intellectual procedure which amounts to "moving the problem from the questioned to the unquestioned, from the thought to the unthought". Letting ourselves be guided by this precept of Canguilhemian inspiration, this doctoral thesis critically examines the history of Freud's intellectual training and the foundations of Freudian epistemology, a problem already "closed" since the pioneering works of S. Bernfeld , F. Wittels, M. Dorer and E. Jones, among others, and since the contemporary studies of P.-L. Assoun. Our aim is to analyze the clandestine or the underlaying, but determining effects of vitalism, the biomedical doctrine of the 18th and 19th centuries whose presence in the history of Freudian thought is even more striking because it has been radically excluded from it in favor of the unfettered primacy of physicalism of the so-called "School of Helmholtz". Given the lack of empirical evidences and direct references from Freud which would allow us to establish his relationship to vitalism, this research will try to build this link on the basis of a careful examination of the historical and epistemological context in which the main concepts of psychoanalysis evolved, particularly that of drive {Trieb}. We emphasize their parallelisms and their isomorphisms with the crucial concepts of vitalism, such as those of vital force or vital principle, but we also emphasize - and this is our fundamental hypothesis - that the Freudian project of building an energetic theory of psychic processes represents an attempt to articulate the living and the human fields, and, from this point of view, an answer to the main philosophical and scientific question which, according to G. Canguilhem, was formulated in the 19th century, namely "What is life?". The first part of our research is devoted to trying to explode the myth of the "mechanist Freud" and to demonstrate that the philosophical-biological questioning about living beings' nature was always underlaying in the theoretical concerns of the physicalist and materialist thinkers who influenced Freud during the 19th century. Secondly, we try to reopen Freud's relationship to Naturphilosophie and Romantic Medicine, to make intelligible the crucial axes of his vitalist concerns regarding the drive's dimension of human beings, as well as the theoretical issues of his relationship to Darwin, Goethe and Fliess, thinkers around which Freud's philosophical questions concerning the nature of life turned. Considering Freud's statement that an "elementary dualistic vision" constitutes the main epistemological requirement of his metapsychology, the second and last part of our research is devoted to the construction of the conceptual links - and to the search for clandestine implications - between Freud's drive dualistic theories and the equally dualistic vitalist theories of Stahl and Bichat first, and then of Cl. Bernard. In this part of the research, we try to show that the Freudian conception of life, rising from his energetic point of view on the psyche, is paradoxically based on a preeminence of the phenomena of destruction and death, just like in the vitalisms of the German and French physiologists. This leads us to formulate the existence of a sort of "life's theory" in Freud's thinking, theory in which life is conceived as a kind of dis-living or as a certain inevitable anti-vital becoming, and in which the terms of "life" and "death", "creation" and "destruction'", far from represent the terms of an antagonism, become the components of an ontological unity
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4

Krzakowski, Piotr. « L'inceste et la pédophilie : intérêt et limite du modèle théorique de l'emprise ». Paris 5, 2003. http://www.theses.fr/2003PA05H055.

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Calvora, Robert. « Les dégénérés : le rest, le double et l'éternel, retour du même : approche psychopathologique et torique ». Paris 13, 2009. http://www.theses.fr/2009PA131019.

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Résumé :
Nous avons pris pour objet les dégénérés tels qu'ils ont été développés dans les théories de la dégénérescence. Nous sommes partis de la question "pourquoi les dégénérés ?" Nous les avons interrogés comme le lieu d'une mise en scène où ils sont exposés en tant que témoins d'un passé jamais venu à la conscience. Ils sont l'infigurable que seule la défiguration rend accessible. Issus d'une déviation dont on ne sait rien, ils sont la figure d'un reste précédant tout partage. Ils sont donc le précédent qu'on ne peut situer. Ils occupent l'espace du non lieu. Ainsi, les dégénérés sont une présence qui échappe à toute reconnaissance. Nous les avons suivis à travers la méconnaissance où s'engage la connaissance paranoïaque du sujet telle qu'elle parvient à être dégagée du stade du miroir où le sujet se reconnaît dans son image à travers un autre, ce qui implique son aliénation. Nous avons plus largement recherché les déterminations de la place des dégénérés en corrélation avec la formation de la vie psychique. Les théories de la dégénérescence s'efforcent de spécifier l'humain en précisant ce qui le distingue du vivant. A travers les dégénérés, elles ouvrent sur l'immémorial dans le temps. Elles ont alors affaire à ce qui est toujours déjà perdu. Le statut réservé apparaît aux dégénérés. Comme l'effet des tensions entre le refoulement et le retour du refoulé. Les théories de la dégénérescence sont l'exposé d'un impossible qui constitue le creux de toute société. Elles finissent par renvoyer au double que toute société doit identifier pour le rejeter. Nous avons terminé ce travail avec les pulsions de mort comme les forces agissantes dans la rencontre du reste et du double
It is our aim to study degenerates as they have been defined in theories on degeneracy. Our initial questions was "Why degenerates"? We studied them as though viewing them in a stage setting in which they are exposed as witnesses of o past which has never reached consciousness. They are the indescribable which can only be understood their disfigurement. Resulting from a deviation about which nothing is known, they are the remainder of what precedes any division. They are therefore the precedent that cannot be located. They occupy the space of spacelessness. And that is why degenerates are a presence that eludes all recognition. We followed them through their misunderstandings which result from the paranoiac nature of the knowledge of the subject. And from there it becomes separated from the mirror stage in which the subject recognizes him/. Herself in his/her reflection through another, a process which implies his/her alienation. We have further sought to define the place occupied by degenerates in correlation to the formation of psychic life. Theories on degeneration aim to define what constitute humans by specifying what distinguishes these from the living. Through degenerates, these theories enter time immemorial. Thus they deal with what is always already lost. Their reserved status appears to be like the effect of the tension between repression and the return of the repressed. Theories on degeneration are an account of an impossible that constitutes the emptiness of any society. They end up reflecting the double that every society must identify in order to reject it. We concluded our study with the death impulses that are like active forces in the encounter between the rest and the double
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Livres sur le sujet "Théorie des pulsions"

1

Pulsion de mort - Cliniques et théorie - Première partie : Des psychanalystes parlent. Erès, 2002.

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2

La Curiosité. Autrement, 1993.

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Chapitres de livres sur le sujet "Théorie des pulsions"

1

Dejours, Christophe. « Chapitre III. Théorie du travail, théorie des pulsions et théorie critique : quelle articulation ? » Dans Travail vivant et théorie critique, 129–49. Presses Universitaires de France, 2017. http://dx.doi.org/10.3917/puf.cukie.2017.03.0129.

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2

Golse, B. « A propos de quelques figures de la destructivité dans le développement et dans la pathologie de l’enfant : Du clivage entre théorie des pulsions et théorie des relations d’objet dans le champ des pulsions de mort ». Dans Psychanalyse de la destructivité, 27–38. EDP Sciences, 2006. http://dx.doi.org/10.1051/978-2-84254-212-2.c004.

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3

Robin, Didier. « Partir de la pulsion d’agrippement pour penser l’attachement. L’œuvre d’Imre Hermann ». Dans Dialogue entre psychanalyse et théorie de l’attachement, 51–69. Érès, 2020. http://dx.doi.org/10.3917/eres.robin.2020.01.0051.

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4

Robin, Didier. « Les liens étroits entre la pulsion du contact, les processus de symbolisation et le développement sensori-moteur du jeune enfant ». Dans Dialogue entre psychanalyse et théorie de l’attachement, 131–45. Érès, 2020. http://dx.doi.org/10.3917/eres.robin.2020.01.0131.

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