Littérature scientifique sur le sujet « Testamento letterario »

En el Antiguo Tes-tamento hay una serie de cánticos, muy similares a los salmos que, sin embargo, se han colocado en un con-texto narrativo con el que mantienen una relación particular. Estos him-nos, generalmente insertados, se han estudiado como unidades únicas, sin embargo, desde la década de los noventa, la atención de los estudio-sos se ha centrado en la función que estos poemas cumplen en su con-texto literario. Este artículo presenta un repaso de los “cantos insertados”, entre los que cuatro se atribuyen a mujeres (Ex 15,20-21; Juec 5,1-31; 1Sam 2,1-10; Jdt 16,1-17). Dado que estos cuatro poemas comparten las mismas características formales, literarias y contextuales, todos pue-den considerarse “himnos de vic-toria”.

L’'autore del saggio propone una lettura tipologica dei testi biblici riguardanti Giosue. La prima parte mostra una visione panoramica del grande personaggio nelle tradizioni letterali dell'’Antico Testamento. Continuando questo tema, la parte seconda (cosidetti „testi intertestamentali”) contiene una prova dell’approfondire il ruolo di Giosue nella storia di salvezza. Nella parte ultima (Giosue come figura del Salvatore) vogliamo dimostrare la riflessione sul valore tipologico della persona e dell’opera di Giosue nei scritti del Nuovo Testamento e nella tradizione della Chiesa. I cristiani leggono il Libro di Giosue come prefigurazione dell’opera salvifica di Gesù Cristo, compiuta sulla Croce. Come Giosue sostituisce il Legislatore Mose, cos l’ordine di grazia in Gesù Salvatore sostituisce l’antico ordine della Legge.

Résumé L'auteur se propose de mettre en évidence certains traits caractéristiques des textes littéraires et de montrer dans quelle mesure de tels textes sont traduisibles. Il envisage en particulier le cas de la traduction biblique. - Dans les deux premiers paragraphes, il analyse, d'une part, les principales fonctions du langage (fonctions descriptive, expressive et suggestive) et, d'autre part, la connotation par rapport à la dénotation. Or, ce qui confère à un texte sa valeur typiquement littéraire, c'est le rôle prédominant qu'y jouent les fonctions expressive et suggestive, alliées à la présence essentielle des connotations. Mais, affirmer cela, n'est-ce pas amener de l'eau au moulin de ceux qui prétendent que la traduction littéraire serait impossible ? En effet, comment rendre dans une traduction les caractéristiques esthétiques d'un texte, qui sont loin d'être saisies même par ceux qui le lisent dans sa version originale ? L'auteur répond à cette objection en affirmant que s'il est exact que la communication absolue est un objectif inatteignable, il n'en reste pas moins qu'une réflexion linguistique sérieuse nous garde de tout scepticisme radical à cet égard. Si l'on prend le cas des connotations, il est vrai qu'on ne peut pas les rendre mot pour mot, ou même phrase par phrase. Toutefois, il convient de considérer les valeurs connotatives par rapport à un contexte plus général, ou à des unités de texte dépassant celles du mot ou de la phrase : à cet égard, le bon traducteur prouve sa compétence en étant capable de rendre le ton général du texte. De plus, il convient d'évaluer les divers aspects d'un texte littéraire cas pour cas, car les caractéristiques formelles n'ont pas toutes la même importance quant à l'impact général du message. C'est ce que l'auteur montre par quelques exemples bibliques (poèmes alphabétiques de l'Ancien Testament, épîtrespauliniennes, style johan-nique...). L'essentiel consiste à ne pas se lancer dans la traduction sans une réflexion théorique préalable, aussi bien linguistique qu'herméneutique. -En conclusion, l'auteur affirme : 1°) que la Bible appartient véritablement au domaine littéraire ; par conséquent, il serait illégitime de la traduire en négligeant sans cesse tous ses traits typiquement littéraires pour ne se préoccuper que des dénotations ; 2°) que la Bible n'est pas avant tout littérature ; par conséquent, il serait illégitime de la traduire en ne portant son attention que sur ses aspects esthétiques, sans se soucier de leur valeur par rapport à la foi, point central des récits bibliques.

Il casciubo è una lingua slava che si è formata in Pomerania quale lingua comune nel XVI sec. e dal XIX sec. si sviluppa anche quale lingua letteraria. Le traduzioni bibliche in casciubo sono state effettuate nei due periodi. Le prime, fatte dai pastori evangelici sulla base del testo tedesco, vengono dai sec. XVI e XVII. Esse contengono singole pericopi dell’Antico e del Nuovo Testamento, soprattutto i salmi e i cantici. Dalla metà del sec. XX invece i cattolici hanno cominciato il lavoro traslatorio. Nel 1992 sono apparsi I quattro Vangeli di d. Franciszek Grucza e nel 1993 Il Nuovo Testamento di Eugeniusz Gołąbek che prima, nel 1990, ha tradotto anche Il libro dei salmi. La base di queste traduzioni era la Biblia Tysiąclecia. Nel 2001 abbiamo ricevuto Il Vangelo secondo san Marco di p. Adam R. Sikora OFM, tradotto dal testo greco. Tutte queste traduzioni sono state approvate dalla Chiesa cattolica in Polonia. Adesso si prepara la traduzione casciuba di tutto l’Antico Testamento.Questa intensa attività traslatoria testimonia la vitalità della cultura e della fede dei Casciubi.