Littérature scientifique sur le sujet « Technologies liées à l’intelligence artificielle »

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Articles de revues sur le sujet "Technologies liées à l’intelligence artificielle"

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Mani, Zied, et Inès Chouk. « Résistance initiale du consommateur aux technologies autonomes de l’Intelligence Artificielle Médicale : une approche par les préoccupations liées à la santé ». Décisions Marketing N° 112, no 4 (25 janvier 2024) : 7–26. http://dx.doi.org/10.3917/dm.112.0007.

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Résumé :
• Objectif Le succès des technologies autonomes de l’intelligence artificielle médicale (IAM) est tributaire de la compréhension des mécanismes qui freinent leur acceptabilité par les utilisateurs potentiels. Toutefois, il existe relativement peu d’études ayant adopté une perspective de résistance à l’innovation pour étudier les réactions initiales à ces technologies. L’objectif de cette recherche est d’examiner l’impact de trois types de préoccupations de santé sur la résistance initiale des consommateurs : les préoccupations de santé liées à l’individu, les préoccupations de santé liées à la technologie et les préoccupations de santé liées au contexte. • Méthodologie Une étude quantitative auprès d’un échantillon représentatif de la population française (N= 245) a été mise en place. Les données ont été collectées via un questionnaire en ligne et analysées via la méthode des équations structurelles (AMOS). • Résultats Un modèle multi-niveaux de facteurs de résistance initiale aux technologies autonomes de l’IAM a été testé et validé. Selon ce modèle, cette résistance des consommateurs est influencée par (1) la négligence perçue de l’unicité du patient, (2) le risque de santé perçu lié à la technologie et (3) les préoccupations perçues liées à la responsabilité. Les résultats mettent aussi en évidence le rôle des assurances structurelles dans l’atténuation de (1) la résistance des consommateurs aux technologies autonomes de l’IAM et (2) des préoccupations perçues liées à la responsabilité. • Implications managériales Le développement des technologies autonomes de l’IAM devrait s’appuyer sur un modèle de R&D collaboratif intégrant toutes les parties prenantes concernées : personnel médical, développeurs, acteurs institutionnels, patients, etc. Plus spécifiquement, les organisations de santé désireuses de proposer des consultations via les technologies autonomes de l’IAM pourraient afficher des labels garantissant aux patients une utilisation éthique et responsable de ces technologies. De plus, les concepteurs de ces technologies ont intérêt à développer des offres combinant l’IAM et les objets connectés pour améliorer les parcours de soins des patients. • Originalité L’originalité de cette recherche est triple : 1) Étudier la réaction initiale des consommateurs à une innovation technologique en phase d’acceptabilité. 2) Développer et tester un modèle multi-niveaux des facteurs de résistance initiale des consommateurs dans une perspective de santé. 3) Identifier un nouveau type de facteurs de résistance à l’innovation technologique : facteurs liés au contexte organisationnel et réglementaire.
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Doellgast, Virginia, et Tobias Kämpf. « Co-determination meets the digital economy : works councils in the German ICT services industry ». Entreprises et histoire 113, no 4 (14 février 2024) : 32–43. http://dx.doi.org/10.3917/eh.113.0032.

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Résumé :
L’Allemagne est un pays connu pour son système dual de relations industrielles, combinant négociations collectives sectorielles et conseils d’entreprise forts et indépendants au niveau de l’entreprise et du lieu de travail. Cet article analyse l’évolution du rôle des conseils d’entreprise sous l’angle de l’évolution du secteur des services des technologies de l’information et de la communication (TIC), qui est en pleine croissance. Longtemps, ce secteur était divisé entre les fournisseurs de télécommunications historiques, avec des salariés fortement syndiqués et organisés, et les nouvelles entreprises internationales de services informatiques, où la présence syndicale était faible ou inexistante. Toutefois, ces dernières années, les conseils de ces segments ont joué un rôle de plus en plus actif et en réseau dans l’élaboration de stratégies de réorganisation du travail liées à la numérisation et à l’adoption de technologies fondées sur l’intelligence artificielle (IA). Les auteurs analysent les outils utilisés par les conseils d’entreprise dans ces négociations, notamment les droits de consultation, d’information, de codécision et de veto, les règles de protection des données et la loi de modernisation des conseils d’entreprise de 2021, qui prévoit des droits spécifiques en matière d’information et de consultation sur l’IA. L’article souligne le rôle des conseils dans trois domaines principaux : façonner le lieu de travail numérique de manière durable, garantir l’utilisation éthique et équitable de l’IA et des algorithmes au travail, et promouvoir des méthodes de travail agiles. Il conclut par une discussion sur les avantages de l’expression des travailleurs à la fois pour les travailleurs et les entreprises, ainsi que sur les défis liés à l’extension de ces avantages à l’ensemble d’un secteur qui manque d’une approche globale et cohérente.
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Héritier Nsenge, Mpia, Munga Manassé Nzanzu et Kasolene Moïse Katembo. « De l’intelligence naturelle à l’intelligence artificielle ou de l’intelligence artificielle à l’intelligence naturelle : Une exploration des liens et des synergies ». Revue Internationale Multidisciplinaire Etincelle 25, no 2 (6 septembre 2024) : 1–8. http://dx.doi.org/10.61532/rime252111.

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Résumé :
L'intelligence artificielle (IA) et les technologies connexes ont radicalement changer la façon de penser, d'agir et de vivre les expériences quotidiennes de la vie humaine. Alors que certains consommateurs de ces technologies louent les avancées de l'IA et estiment que cela a permis l'augmentation de l'intelligence humaine, d'autres humains pensent que ces technologies sonnent pas à pas la fin de la race humaine et de son essence ontologique en s'appuyant sur l'idée de la singularité technologique. L'analyse faite dans cet article met en évidence une interaction entre les avantages de l'IA et ses répercussions négatives involontaires, qui peuvent restreindre le rôle des humains, leurs identités personnelles, voire ses implications dans la dynamique sociale qui constitue aussi bien un débat épistémologique dans la sphère scientifique actuelle que la question centrale de cette étude. Cet article explore l'influence de l’IA sur la société moderne et son potentiel à remplacer les emplois humains. L’étude examine ainsi la possibilité de l'intelligence augmentée qui remet en question l’intelligence naturelle. L'étude indique la probabilité d'automatisation d'une profession et souligne les avantages de l'utilisation de l'intelligence augmentée. L'apprentissage profond, dans l’aspect génératif est abordé pour discuter de la faisabilité de l'intelligence augmentée. L’article fait une analyse de la relation entre l’IA et l’intelligence naturelle tout en montrant l’importance de leur cohésion et symbiose pour le bien-être de l’humanité. L’étude conclut que l’IA est dans la dynamique d’amélioration de la productivité humaine et favoriser le développement de la société moderne, mais pas la remplacer. Et, ce processus nécessite l’application de l’éthique.
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Jean, Aurélie. « Une brève introduction à l’intelligence artificielle ». médecine/sciences 36, no 11 (novembre 2020) : 1059–67. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2020189.

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Résumé :
Depuis plus d’une décennie, l’intelligence artificielle (IA) vit une accélération dans son développement et son adoption. En médecine, elle intervient dans la recherche fondamentale et clinique, la pratique hospitalière, les examens médicaux, les soins ou encore la logistique. Ce qui contribue à l’affinement des diagnostics et des pronostics, à une médecine encore plus personnalisée et ciblée, à des avancées dans les technologies d’observations et d’analyses ou encore dans les outils d’interventions chirurgicales et autres robots d’assistance. De nombreux enjeux propres à l’IA et à la médecine, tels que la dématérialisation des données, le respect de la vie privée, l’explicabilité des algorithmes, la conception de systèmes d’IA inclusifs ou leur reproductibilité, sont à surmonter pour construire une confiance du corps hospitalier dans ces outils. Cela passe par une maîtrise des concepts fondamentaux que nous présentons ici
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Chanthery, E., P.-E. Hladik, C. Joffre, G. Le Corre, J. Lesauvage, L. Liard et J. Poirier. « JePeIA : de la création à la mise en oeuvre d’un escape game à visée pédagogique sur l’Intelligence Artificielle ». J3eA 22 (2023) : 0003. http://dx.doi.org/10.1051/j3ea/20230003.

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Résumé :
Depuis 2019, une équipe d’enseignants collabore avec Instant Science et l’Institut ANITI, soutenue par la région Occitanie, pour développer un escape game pédagogique sur l’intelligence artificielle. Le dispositif JEPEIA (JEu PEdagogique en Intelligence Artificielle) est actuellement déployé dans les lycées de la région et lors des manifestations des établissements partenaires. Cet article décrit le développement du dispositif et son utilisation. JEPEIA vise à former largement aux enjeux de l’intelligence artificielle, transmettre une vision réaliste et non fantasmée des possibilités et des limites de ces technologies. Il vise également à sensibiliser et susciter une réflexion sur les enjeux sociétaux associés au développement de l’IA. En comprenant mieux ce domaine, les élèves, étudiants, personnels et citoyens seront mieux préparés à anticiper les évolutions futures et à s’approprier les discussions émergentes sur ces sujets d’importance majeure.
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Sotiri, Erwin. « Artificial Intelligence, auto-driving cars and why robots will not rule mankind… yet ! » Pin Code N° 2, no 2 (28 juillet 2019) : 18–24. http://dx.doi.org/10.3917/pinc.002.0018.

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Résumé :
L’intelligence artificielle ou IA, fait l’objet de nombreuses discussions : juridiques, philosophiques, factuelles ou de fiction. L’émergence de discussions autour de l’imposition des technologies ou des droits universels des robots appuient une tendance vers une crainte généralisée d’un soulèvement de l’IA qui bouleverserait les structures et les réglementations humaines. La confusion entre l’IA logicielle et la fiction des robots humanoïdes sert de camouflet à ces craintes. Cet article vise à démystifier l’intelligence artificielle à travers l’exemple de la conduite automobile automatisée. L’IA sert actuellement en partie à développer des systèmes de conduite qui pourraient libérer les humains du fardeau et conséquences des erreurs de conduite évitables.
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Chiva, Emmanuel. « Nouvelles technologies et art de la guerre ». Questions internationales 91-92, no 3 (27 juin 2018) : 94–101. http://dx.doi.org/10.3917/quin.091.0094.

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Résumé :
L’explosion actuelle des nouvelles technologies et la facilité accrue avec laquelle tout un chacun peut y avoir accès ont commencé à révolutionner l’art de la guerre. L’essor de l’intelligence artificielle, le développement de la robotique ainsi que la généralisation des espaces d’ingénierie collaborative génèrent notamment un chaos informationnel et technologique qui constitue un nouveau défi pour les combattants modernes… et les États .
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Devillers, Laurence. « Le langage non responsable des systèmes d’intelligence artificielle (IA) générative ». Champ lacanien N° 28, no 1 (2 octobre 2024) : 133–38. http://dx.doi.org/10.3917/chla.028.0133.

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Résumé :
Depuis 2022, ChatGPT d’OpenAI a popularisé l’intelligence artificielle (IA), rendant les technologies numériques essentielles. L’IA, qu’elle soit prédictive ou générative, progresse dans des domaines variés comme la médecine et les chatbots. Désormais, certaines actions humaines, comme le langage, sont séparées de l’intelligence réelle. Les IA génératives imitent le langage sans le comprendre, en utilisant des modèles statistiques complexes. Elles peuvent produire des résultats erronés, soulevant des questions éthiques. La transparence des IA est cruciale pour instaurer la confiance, et leur régulation est nécessaire pour concilier technologie et bien-être humain.
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Dupin, Ludovic, et François Terminet. « « L’IA générative pourra peut-être aider à découvrir de nouvelles règles de la physique » ». Revue Générale Nucléaire, no 1 (2024) : 38–39. http://dx.doi.org/10.1051/rgn/20241038.

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Résumé :
Christophe Biernacki, professeur de statistiques à l’université de Lille et directeur scientifique adjoint à l’Inria (Institut national de recherche en sciences et technologies du numérique), décrit la révolution de l’intelligence artificielle générative, outil majeur pour la formation et le développement de nouvelles connaissances.
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Vuarin, Louis, Pedro Gomes Lopes et David Massé. « L’intelligence artificielle peut-elle être une innovation responsable ? » Innovations N° 72, no 3 (29 août 2023) : 103–47. http://dx.doi.org/10.3917/inno.pr2.0153.

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Résumé :
L’intelligence artificielle (IA) représente un défi majeur pour l’innovation responsable (IR) en raison de l’ampleur des transformations sociétales et productives qu’elle induit. L’enjeu de l’inscription de l’IA dans l’innovation responsable ne réside pas tant dans l’absence de concepts théoriques pour guider son développement, mais plutôt dans la multiplication de ces concepts (IA explicable, IA transparente, IA durable, IA juste…) et dans leur discutable propension à se traduire en actions concrètes réellement transformatrices des écosystèmes d’innovations. À partir d’une analyse bibliométrique de la littérature, cet article propose une cartographie des principaux concepts contribuant à inscrire l’IA dans une démarche d’innovation responsable. Les résultats mettent en lumière la difficile articulation des concepts entre eux, notamment au regard de la concurrence entre les acteurs et les dispositifs d’action préconisés. Cette étude contribue à la littérature sur les défis de l’adoption de l’IA et de son inscription dans une démarche d’innovation responsable, elle discute également des risques et opportunités associés à la multiplication de concepts pour inscrire des technologies émergentes dans une démarche d’innovation responsable. Codes JEL : O32, O33
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Thèses sur le sujet "Technologies liées à l’intelligence artificielle"

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Wei, Tian. « Une exploration micro-fondatrice des antécédents et des conséquences de la catégorisation compétitive ». Electronic Thesis or Diss., Reims, 2024. http://www.theses.fr/2024REIME003.

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Résumé :
Cette recherche vise à explorer les micro-fondations de la catégorisation compétitive en examinant ses antécédents, à savoir la flexibilité cognitive et les émotions, ainsi que ses conséquences, c’est-à-dire la confiance cognitive. Deux études ont utilisé des simulations informatiques pour montrer comment la flexibilité cognitive et les émotions des managers affectent leur capacité à effectuer de manière efficace et flexible la catégorisation compétitive dans des paysages de marché changeants. Une troisième étude a intégré des études expérimentales et des méthodes d’apprentissage automatique pour démontrer comment les résultats de catégorisation des managers influencent leur confiance cognitive dans les technologies liées à l’IA. Les résultats de ce travail contribuent à la littérature sur les capacités cognitives managériales. Ils suggèrent également des implications pratiques sur la manière dont les entreprises devraient s’adapter aux environnements compétitifs dynamiques
This work aims to explore the micro-foundations of competitive categorization by examining its antecedents—namely, cognitive flexibility and emotions—and consequences—i.e., cognitive trust. Two studies used computer simulations to show how managers’ cognitive flexibility and emotions affect their ability to effectively and flexibly perform competitive categorization under changing market landscapes. A third study integrated survey experiments and machine-learning methods to demonstrate how managers’ categorization results influence their cognitive trust in AI-related technologies. This work’s findings contribute to the literature on managerial cognitive capabilities. They also suggest practical implications on how firms should adapt to dynamic competitive environments
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Livres sur le sujet "Technologies liées à l’intelligence artificielle"

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Juneja, Prathm. L’Intelligence artificielle au service de la gestion électorale. The International Institute for Democracy and Electoral Assistance (International IDEA), 2024. http://dx.doi.org/10.31752/idea.2024.60.

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Résumé :
Le sujet de l’intelligence artificielle (IA) prenant de l’ampleur, et notamment le rôle qu’elle peut jouer pour influencer une élection, les organes de gestion des élections (OGE) doivent élaborer des plans pour répondre à l’IA et, dans certains cas, l’utiliser pour maintenir des élections libres, équitables et sûres. L’IA est une catégorie de technologies qui évolue rapidement et qui n’est pas réglementée, en grande partie. De plus, très peu de recherches ont été menées jusqu’à présent concernant son impact potentiel sur les élections. Ce rapport vise à aider les organes de gestion électorale et les autres parties concernées à mieux comprendre les possibilités, les défis et les implications juridiques de l’utilisation de l’IA dans le cadre des élections.
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PIATTI, Marie-Christine, et Mathieu GUILLERMIN, dir. Intelligence(s) artificielle(s) et Vulnérabilité(s) : kaléidoscope. Editions des archives contemporaines, 2020. http://dx.doi.org/10.17184/eac.9782813003874.

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Résumé :
Quel est l’impact des technologies de l’intelligence artificielle (programmes informatiques de pointe) sur la personne âgées en perte d’autonomie vivant en EHPAD? C’est à cette question que tentent de répondre un collectif de chercheurs engagés dans le programme Intelligences artificielles et Vulnérabilités de l’Ucly.
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Chapitres de livres sur le sujet "Technologies liées à l’intelligence artificielle"

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Sofo, Giuseppe. « La traduction à l’ère numérique : Histoire, évolution et perspectives de la rencontre entre la traduction et l’intelligence artificielle ». Dans Human Translation and Natural Language Processing Towards a New Consensus ? Venice : Fondazione Università Ca’ Foscari, 2023. http://dx.doi.org/10.30687/978-88-6969-762-3/002.

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Résumé :
This article analyses the long history of the relationship between translation and digital technologies, from the first attempts to build machine translation systems to the evolution of language and translation in the digital age. The deep relationship between translation and digital technologies has been fruitful and has generated fascinating perspectives for linguistics, and it is also due to the fact that the questions at the heart of translation practice and theory have much in common with those posed by research into Artificial Intelligence. The current evolution of translation is directly linked to that of digital tools, computing, and Artificial intelligence, and this will be all the more true in the future, and although most attempts to predict the results of this interaction have failed in the past, this article will try to trace a few lines of research that are beginning to emerge, or that could be envisaged for the future.
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MENDIBOURE, Léo, Mohamed-Aymen CHALOUF et Francine KRIEF. « Gestion dynamique des identités et des accès dans l’IoT : une approche basée sur la blockchain ». Dans La gestion et le contrôle intelligents des performances et de la sécurité dans l’IoT, 231–50. ISTE Group, 2022. http://dx.doi.org/10.51926/iste.9053.ch9.

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Résumé :
Ce chapitre montre d’abord comment l’intelligence artificielle et la Blockchain pourraient garantir une gestion efficace des identités et des accès dans l’Internet des Objets. Ensuite, il introduit une architecture sécurisée combinant ces deux technologies et met en avant ses bénéfices. Enfin, des perspectives de recherche pour la gestion des identités et des accès dans l’IoT sont identifiées.
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Singh, Kishore. « Annuaire français de relations internationales ». Dans Annuaire français de relations internationales, 859–68. Éditions Panthéon-Assas, 2024. http://dx.doi.org/10.3917/epas.ferna.2024.01.0859.

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Résumé :
La décision des États-Unis de réintégrer l’UNESCO précipitamment, approuvée le 30 juin 2023 par la session extraordinaire de la Conférence générale de l’UNESCO, est un développement historique. En visant à restaurer leur leadership sur la scène mondiale, les États-Unis se doivent d’accorder la primauté à leurs obligations internationales en tant qu’État membre de l’UNESCO. Le multilatéralisme qu’ils épousent au sein de l’UNESCO exige le respect des principes et normes du droit international – un enjeu d’autant plus important face à un monde qui devient multipolaire avec l’émergence du « Sud global ». Dans ce contexte, se pose la question du positionnement des États-Unis sur les grandes initiatives et les programmes en cours au sein de l’Organisation : les risques du numérique dans le domaine de la culture, l’atteinte à l’éducation comme bien public, représentée par la montée du privé fortifié par le numérique, et les questions éthiques liées à l’essor de l’intelligence artificielle. On peut espérer que la décision des États-Unis de réintégrer l’UNESCO, malgré les précédents, s’avèrera prometteuse et durable.
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DERIGENT, William, et Laurent JOBLOT. « Impact des systèmes industriels cyber-physiques sur les métiers du bâtiment ». Dans Digitalisation et contrôle des systèmes industriels cyber-physiques, 277–95. ISTE Group, 2023. http://dx.doi.org/10.51926/iste.9085.ch14.

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Résumé :
Une étude visant à fournir une classification complète des technologies 4.0 actuellement étudiées et appliquées dans le secteur de la construction révèle que ces technologies parviennent enfin à se diffuser au sein de ce secteur, et à compléter les différentes fonctionnalités d’un ICPS. Il s’avère que 7 “briques” technologiques sont à l’étude et très régulièrement citées et appliquées par différents auteurs, à savoir : la fabrication numérique, la préfabrication, le BIM, l’intelligence artificielle, la modélisation, les technologies de relevé dimensionnel ou géographique, et le suivi des matériaux. Certaines des avancées les plus prometteuses sont présentées dans ce chapitre.
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de Géa, Thibaud. « L’Europe, ses langues. Quelle unité ? » Dans L’Europe, ses langues. Quelle unité ?, 159–88. Observatoire européen du plurilinguisme, 2023. http://dx.doi.org/10.3917/oep.fourc.2023.01.0159.

Texte intégral
Résumé :
Face à une Union européenne toujours plus intégrée institutionnellement, dans quelle mesure le multilinguisme des peuples européens constitue-t-il un frein à leur rapprochement politique ? Ceux qui envisagent le langage dans une perspective purement instrumentale et véhiculaire voient dans les nouvelles technologies de traitement automatique du langage et de traduction basées sur l’intelligence artificielle de nombreuses solutions, à la fois bénéfiques sur le plan culturel, social et institutionnel. Mais ces technologies, nées d’un fantasme de rationalisation biunivoque, portent en elles leurs limites, qui sont autant de dangers pouvant mener à un appauvrissement culturel des populations et du langage, mais aussi une perte d’autonomie des citoyens voire une remise en cause de leur libre arbitre et de leur individualité.
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ADENIYA, Jihane kèmi. « Le numérique à l’ère de la Covid-19 : quelles conséquences pour le monde du droit ? » Dans Les épidémies au prisme des SHS, 183–90. Editions des archives contemporaines, 2022. http://dx.doi.org/10.17184/eac.6004.

Texte intégral
Résumé :
Le recours aux technologies numériques dans la lutte contre la pandémie de la Covid-19 s’est imposé non seulement à travers le concept de télétravail mais aussi par le traçage numérique de la population dans un but de dépistage rapide et massif. La Covid en imposant une pratique de travail à distance, a impacté les habitudes dans de nombreux métiers. Les métiers du droit, qui manipulent un grand nombre de données sensibles, connaissent en particulier une vraie révolution qui incite le juriste, bon gré mal gré, à donner une meilleure version de lui-même, un juriste augmenté, un juriste 4.0. L’objectif de la présente étude est, de démontrer d’une part comment concilier la surveillance numérique et le respect des libertés individuelles ; et d’autre part, comment, face à de nouveaux impératifs, certains métiers du droit encore très traditionnels et attachés au présentéisme doivent s'adapter de plus en plus au numérique. Ce dernier change les dynamiques du marché juridique et le rapport des justiciables à la justice. Accélérée par la Covid-19, l’innovation technologique interpelle puisqu’elle oblige les acteurs du droit, toutes professions confondues, (juriste d’entreprise, notaire, avocats, juges entre autres) à repenser leurs manières de travailler. Si elle est prometteuse, cette innovation peut être source d’inquiétudes. Cet exposé pose, outre la question relative à la protection de la vie privée des particuliers, celle de l’évolution des professions judiciaire et juridique non pas en les remplaçant par des machines « intelligentes » disant le droit mais vers une collaboration entre elles pour des gains de temps et de moyens considérables. A l’heure où la précarisation de la justice est régulièrement dénoncée, ne faut-il pas voir dans ces algorithmes, des technologies prometteuses ? Cependant, comment concilier le numérique au respect des libertés individuelles ? L’avènement dans la société juridique de l’intelligence artificielle a été source d’attentes dont l’origine, la légitimité, la soutenabilité et la transparence restent tout de même à approfondir. Pour y réfléchir, nous examinerons comment des formules mathématiques mettent à disposition des outils au service du droit, en conformité avec les libertés individuelles. Nous n’entrerons pas dans le détail technique des réalisations de cette notion mais resterons à un niveau proprement épistémologique. La méthode sera tout d’abord d’analyser des corpus, constitués non seulement d’arguments des promoteurs de l’innovation technologique dans le domaine du droit, mais aussi de diverses réglementations. Nous étudierons ensuite les enjeux principaux de l’intelligence artificielle, à la fois dans les juridictions et à l’interface entre usagers et opérateurs du droit. Le tout, enfin, pour constituer une approche humaniste et inter-humaniste de cette transformation numérique. Les résultats démontreront que la crise sanitaire a été un propulseur de la numérisation dans l’intérêt des professionnels du droit ainsi que celui des usagers, bien que ce dernier point reste controversé.
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Rapports d'organisations sur le sujet "Technologies liées à l’intelligence artificielle"

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Yousefi, Farzaneh, et Marie-Pierre Gagnon. L’intelligence artificielle (IA) pour la promotion de la santé et la réduction de la maladie : synthèse des connaissances. Observatoire international sur les impacts sociétaux de l'intelligence artificielle et du numérique, juillet 2024. http://dx.doi.org/10.61737/pjld3032.

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Résumé :
Ce rapport a pour objectif d’explorer l’utilisation de l’intelligence artificielle (IA) pour la promotion de la santé et à la réduction de la maladie dans les pays de l’OCDE. Une revue rapide et une analyse de l’environnement ont été réalisées pour identifier les données probantes récentes sur la manière dont l’IA est utilisée dans la promotion de la santé et la réduction de la maladie. Au total, 22 études ont été incluses dans la revue rapide, dont la plupart ont été menées aux États-Unis (n = 10), suivis par l’Australie (n = 3), le Japon (n = 3), le Royaume-Uni (n = 2) et l’Espagne (n = 2). Dans l’ensemble, des effets positifs ont été rapportés pour les résultats reliées au processus (p. ex. l’acceptabilité, l’engagement), les résultats cognitifs et comportementaux (p. ex., la confiance, le nombre de pas) et les résultats sur la santé (p. ex., la glycémie, la tension artérielle). De plus, plusieurs défis ont été identifiés liés à l’intégration de l’IA dans les interventions de promotion de la santé et de réduction de la maladie, ainsi que des opportunités et des recommandations pour des développements futurs. Ces résultats préliminaires offrent des informations essentielles sur la mise en œuvre efficace de l’IA qui pourront guider les décideurs politiques et les professionnels de la santé dans l’optimisation de l’utilisation des technologies de l’IA pour soutenir la promotion de la santé et la réduction de la maladie.
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Dilhac, Marc-Antoine, Vincent Mai, Carl-Maria Mörch, Pauline Noiseau et Nathalie Voarino. Penser l’intelligence artificielle responsable : un guide de délibération. Observatoire international sur les impacts sociétaux de l'IA et du numérique, mars 2020. http://dx.doi.org/10.61737/nicj7555.

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Résumé :
La fonction Délibération de l'OBVIA et Algora Lab ont développé, en partenariat avec CIFAR, un guide de délibération qui vise à outiller les participantes et participants en vue des différentes délibérations publiques organisées sur l'intelligence artificielle (IA). Le déploiement de l’IA affecte l’ensemble des citoyennes et des citoyens et pose des questions éthiques et politiques qui doivent faire l’objet d’une délibération citoyenne. Pour cela, il est primordial de consolider la littératie numérique du grand public, c’est-à-dire d’informer et d’outiller les citoyennes et les citoyens pour leur permettre de mieux comprendre les enjeux du développement responsable de l’IA et de participer aux délibérations publiques sur les principes et les normes de son déploiement. Le présent guide a précisément pour vocation de rendre accessible l’IA et les questions éthiques qui s’y rapportent, et d’introduire à la délibération sur l’éthique de l’IA. Il a aussi pour ambition d’outiller les communautés pour qu’elles organisent leurs propres délibérations sur l’IA et le déploiement des technologies numériques dans leur environnement social.
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Hulin, Anne-Sophie. Enjeux sociétaux de l'IA 101 : un guide pour démystifier les enjeux éthiques et juridiques des systèmes d’IA. Observatoire international sur les impacts sociétaux de l'intelligence artificielle et du numérique, août 2024. http://dx.doi.org/10.61737/nneu6499.

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Résumé :
Le développement de l’intelligence artificielle présente de nombreux bénéfices pour les individus et les sociétés, mais aussi d’importants enjeux. Leur intégration progressive à nos usages personnels et professionnels et leur performance évolutive suscitent des questionnements sur les risques associés à cette transformation technologique dans nos rapports sociaux à l’échelle mondiale. Comment assurer le développement éthique et responsable de ces IA afin que ces technologies puissent bénéficier à l’ensemble des sociétés? Cette boîte à questions vise à démystifier les concepts et les caractéristiques des systèmes d’intelligence artificielle et leurs enjeux éthiques et juridiques afin d’en stimuler les réflexions et les débats.
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Marchildon, Allison, Steve Jacob et Aude Marie Marcoux. Grille de réflexivité sur les enjeux éthiques des systèmes d’intelligence artificielle (SIA). Observatoire international sur les impacts sociétaux de l’intelligence artificielle et du numérique, octobre 2021. http://dx.doi.org/10.61737/oxha5372.

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Résumé :
Des membres de la communauté scientifique de l’Obvia ont élaboré une grille de réflexivité portant sur les enjeux éthiques des systèmes d’intelligence artificielle (SIA) et construite à partir des 10 principes qui composent la Déclaration de Montréal pour un développement responsable de l’intelligence artificielle. Se présentant sous la forme d’un questionnaire avec réponses ouvertes, cette grille a été conçue pour accompagner les membres des équipes qui font la conception, l’opérationnalisation et la gestion de SIA dans la prise en compte des enjeux éthiques découlant du développement et de l’utilisation de ces nouvelles technologies. S’inscrivant dans une perspective de recherche participative et visant le développement d’outils éthiques utiles aux praticiennes et praticiens, cette grille se veut en évolution constante à la lumière des besoins et de l’expérience des acteurs et des actrices susceptibles de l’utiliser.
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Jacob, Steve, et Justin Lawarée. Les mesures publiques dans les stratégies gouvernementales en matière d'intelligence artificielle : une perspective internationale. Observatoire international sur les impacts sociétaux de l’intelligence artificielle et du numérique, février 2022. http://dx.doi.org/10.61737/hnrv6126.

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Résumé :
Le développement et l’utilisation de l’intelligence artificielle est un enjeu central dans de nombreux pays. Steve Jacob, professeur au Département de science politique et titulaire de la Chaire de recherche sur l'administration publique à l'ère numérique de l'Université Laval, et Justin Lawarée, conseiller en affaires publiques à l'Observatoire international sur les impacts sociétaux de l'IA et du numérique (OBVIA), ont analysé le contenu des stratégies gouvernementales en matière d’IA dans une perspective internationale. Ce sont près de 500 mesures publiques qui ont été identifiées dans les stratégies gouvernementales du Canada, des États-Unis, de la France, du Royaume-Uni et de l’Union européenne. Les catégories de mesures publiques les plus représentées dans les 28 stratégies analysées sont celles concernant le développement des capacités organisationnelles ainsi que celles mobilisant des moyens économiques pour développer l’IA. L’importance des mesures économiques peut s’expliquer par l’importance des stratégies gouvernementales axées sur les applications industrielles et les besoins de talents dans ce domaine d’activité. La dimension éthique du développement de l’IA est présente dans certains des documents analysés. Cependant, au vu de l’importance des impacts sociétaux et éthiques de l’IA et des technologies numériques, les enjeux éthiques ne sont pas systématiquement mis en évidence dans les stratégies gouvernementales étudiées.
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Jacob, Steve, et Sébastien Brousseau. L’IA dans le secteur public : cas d’utilisation et enjeux éthiques. Observatoire international sur les impacts sociétaux de l'IA et du numérique, mai 2024. http://dx.doi.org/10.61737/fcxm4981.

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L’introduction de l’intelligence artificielle (IA) dans l’administration publique est en pleine expansion et représente la phase plus récente de la transformation numérique. L’utilisation de systèmes d’IA est souvent associée à l’amélioration de l’efficacité et de la productivité, car elle permet d’exécuter rapidement des tâches routinières, de réaliser des activités à une plus grande échelle et de rendre les services accessibles à un plus grand nombre de personnes. Cette technologie a donc le potentiel de transformer plusieurs aspects du travail administratif comme la prise de décision automatisée, l’analyse prédictive, le traitement de documents et l’interaction avec les citoyens. À l’heure où les technologies d’intelligence artificielle occupent une place grandissante dans la vie des citoyens et que les administrations publiques introduisent progressivement ces technologies au sein de leurs services, il semble que les fonctions et possibilités associées aux systèmes d’IA (SIA) ne sont pas toujours clairement connues ou comprises par les décideurs, les usagers ou les employés du secteur public. Ce rapport a pour but de décrire des cas concrets d’utilisation de l’IA dans les organisations publiques de pays de l’OCDE. L’intention est d’enrichir la connaissance et la compréhension des potentialités de l’IA en présentant un éventail de systèmes aux capacités techniques variées.
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McAdams-Roy, Kassandra, Philippe Després et Pierre-Luc Déziel. La gouvernance des données dans le domaine de la santé : Pour une fiducie de données au Québec ? Observatoire international sur les impacts sociétaux de l’intelligence artificielle et du numérique, février 2023. http://dx.doi.org/10.61737/nrvw8644.

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Promesses technologiques et protection des intérêts personnels à l’ère des données massives : Comment trouver un juste milieu ? Les nouvelles technologies numériques ont connu d’importants avancements au cours des dernières années. Étant à l’aube de l’ère de l’intelligence artificielle, ces dernières ont créé une soif inédite pour les données de toutes sortes. Bien que ces technologies soient prometteuses de nombreuses améliorations à nos vies quotidiennes ainsi qu’à plusieurs domaines telle la médecine, le droit, et la pharmacologie, elles engendrent aussi de nombreuses préoccupations. Ainsi, il y a actuellement un effort en cours pour trouver des solutions qui sauront mieux encadrer ces nouvelles technologies et protéger les intérêts individuelles et collectifs, sans toutefois nuire à l’essor de leur plein potentiel. La fiducie de données fut identifiée comme une telle solution. Prônée pour sa versatilité et sa flexibilité, elle est présentée comme un outil qui permettrait de trouver un juste milieu entre innovation et protection des intérêts individuels dans le cadre d’une stratégie de gouvernance responsable des données. Plusieurs sont ainsi à étudier son applicabilité dans différents secteurs et différentes juridictions et elle est l’objet de la présente étude. Cette étude s’intéresse spécifiquement à savoir si une fiducie de données pourrait être établie au Québec pour la gestion des données dans le domaine de la santé.
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Rousseau, Henri-Paul. Gutenberg, L’université et le défi numérique. CIRANO, décembre 2022. http://dx.doi.org/10.54932/wodt6646.

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Résumé :
Introduction u cours des deux derniers millénaires, il y a eu plusieurs façons de conserver, transmettre et même créer la connaissance ; la tradition orale, l’écrit manuscrit, l’écrit imprimé et l’écrit numérisé. La tradition orale et le manuscrit ont dominé pendant plus de 1400 ans, et ce, jusqu’à l’apparition du livre imprimé en 1451, résultant de l’invention mécanique de Gutenberg. Il faudra attendre un peu plus de 550 ans, avant que l’invention du support électronique déloge à son tour le livre imprimé, prenant une ampleur sans précédent grâce à la révolution numérique contemporaine, résultat du maillage des technologies de l’informatique, de la robotique et de la science des données. Les premières universités qui sont nées en Occident, au Moyen Âge, ont développé cette tradition orale de la connaissance tout en multipliant l’usage du manuscrit créant ainsi de véritables communautés de maîtres et d’étudiants ; la venue de l’imprimerie permettra la multiplication des universités où l’oral et l’écrit continueront de jouer un rôle déterminant dans la création et la transmission des connaissances même si le « support » a évolué du manuscrit à l’imprimé puis vers le numérique. Au cours de toutes ces années, le modèle de l’université s’est raffiné et perfectionné sur une trajectoire somme toute assez linéaire en élargissant son rôle dans l’éducation à celui-ci de la recherche et de l’innovation, en multipliant les disciplines offertes et les clientèles desservies. L’université de chaque ville universitaire est devenue une institution florissante et indispensable à son rayonnement international, à un point tel que l’on mesure souvent sa contribution par la taille de sa clientèle étudiante, l’empreinte de ses campus, la grandeur de ses bibliothèques spécialisées ; c’est toutefois la renommée de ses chercheurs qui consacre la réputation de chaque université au cours de cette longue trajectoire pendant laquelle a pu s’établir la liberté universitaire. « Les libertés universitaires empruntèrent beaucoup aux libertés ecclésiastiques » : Étudiants et maîtres, qu'ils furent, ou non, hommes d'Église, furent assimilés à des clercs relevant de la seule justice ecclésiastique, réputée plus équitable. Mais ils échappèrent aussi largement à la justice ecclésiastique locale, n'étant justiciables que devant leur propre institution les professeurs et le recteur, chef élu de l’université - ou devant le pape ou ses délégués. Les libertés académiques marquèrent donc l’émergence d'un droit propre, qui ménageait aux maîtres et aux étudiants une place à part dans la société. Ce droit était le même, à travers l'Occident, pour tous ceux qui appartenaient à ces institutions supranationales que furent, par essence, les premières universités. À la fin du Moyen Âge, l'affirmation des États nationaux obligea les libertés académiques à s'inscrire dans ce nouveau cadre politique, comme de simples pratiques dérogatoires au droit commun et toujours sujettes à révision. Vestige vénérable de l’antique indépendance et privilège octroyé par le prince, elles eurent donc désormais un statut ambigu » . La révolution numérique viendra fragiliser ce statut. En effet, la révolution numérique vient bouleverser cette longue trajectoire linéaire de l’université en lui enlevant son quasi monopole dans la conservation et le partage du savoir parce qu’elle rend plus facile et somme toute, moins coûteux l’accès à l’information, au savoir et aux données. Le numérique est révolutionnaire comme l’était l’imprimé et son influence sur l’université, sera tout aussi considérable, car cette révolution impacte radicalement tous les secteurs de l’économie en accélérant la robotisation et la numérisation des processus de création, de fabrication et de distribution des biens et des services. Ces innovations utilisent la radio-identification (RFID) qui permet de mémoriser et de récupérer à distance des données sur les objets et l’Internet des objets qui permet aux objets d’être reliés automatiquement à des réseaux de communications .Ces innovations s’entrecroisent aux technologies de la réalité virtuelle, à celles des algorithmiques intelligentes et de l’intelligence artificielle et viennent littéralement inonder de données les institutions et les organisations qui doivent alors les analyser, les gérer et les protéger. Le monde numérique est né et avec lui, a surgi toute une série de compétences radicalement nouvelles que les étudiants, les enseignants et les chercheurs de nos universités doivent rapidement maîtriser pour évoluer dans ce Nouveau Monde, y travailler et contribuer à la rendre plus humain et plus équitable. En effet, tous les secteurs de l’activité commerciale, économique, culturelle ou sociale exigent déjà clairement des connaissances et des compétences numériques et technologiques de tous les participants au marché du travail. Dans cette nouvelle logique industrielle du monde numérique, les gagnants sont déjà bien identifiés. Ce sont les fameux GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft) suivis de près par les NATU (Netflix, Airbnb, Tesla et Uber) et par les géants chinois du numérique, les BATX (Baidu, Alibaba, Tenant et Xiaomi). Ces géants sont alimentés par les recherches, les innovations et les applications mobiles (APPs) créées par les partenaires de leurs écosystèmes regroupant, sur différents campus d’entreprises, plusieurs des cerveaux qui sont au cœur de cette révolution numérique. L’université voit donc remise en question sa capacité traditionnelle d’attirer, de retenir et de promouvoir les artisans du monde de demain. Son aptitude à former des esprits critiques et à contribuer à la transmission des valeurs universelles est également ébranlée par ce tsunami de changements. Il faut cependant reconnaître que les facultés de médecine, d’ingénierie et de sciences naturelles aux États-Unis qui ont développé des contacts étroits, abondants et suivis avec les hôpitaux, les grandes entreprises et l’administration publique et cela dès la fin du 19e siècle ont été plus en mesure que bien d’autres, de recruter et retenir les gens de talent. Elle ont énormément contribué à faire avancer les connaissances scientifiques et la scolarisation en sciences appliquées ..La concentration inouïe des Prix Nobel scientifiques aux États-Unis est à cet égard très convaincante . La révolution numérique contemporaine survient également au moment même où de grands bouleversements frappent la planète : l’urgence climatique, le vieillissement des populations, la « déglobalisation », les déplacements des populations, les guerres, les pandémies, la crise des inégalités, de l’éthique et des démocraties. Ces bouleversements interpellent les universitaires et c’est pourquoi leur communauté doit adopter une raison d’être et ainsi renouveler leur mission afin des mieux répondre à ces enjeux de la civilisation. Cette communauté doit non seulement se doter d’une vision et des modes de fonctionnement adaptés aux nouvelles réalités liées aux technologies numériques, mais elle doit aussi tenir compte de ces grands bouleversements. Tout ceci l’oblige à s’intégrer à des écosystèmes où les connaissances sont partagées et où de nouvelles compétences doivent être rapidement acquises. Le but de ce texte est de mieux cerner l’ampleur du défi que pose le monde numérique au milieu universitaire et de proposer quelques idées pouvant alimenter la réflexion des universitaires dans cette démarche d’adaptation au monde numérique. Or, ma conviction la plus profonde c’est que la révolution numérique aura des impacts sur nos sociétés et notre civilisation aussi grands que ceux provoqués par la découverte de l’imprimerie et son industrialisation au 15e siècle. C’est pourquoi la première section de ce document est consacrée à un rappel historique de la révolution de l’imprimerie par Gutenberg alors que la deuxième section illustrera comment les caractéristiques de la révolution numérique viennent soutenir cette conviction si profonde. Une troisième section fournira plus de détails sur le défi d’adaptation que le monde numérique pose aux universités alors que la quatrième section évoquera les contours du changement de paradigme que cette adaptation va imposer. La cinquième section servira à illustrer un scénario de rêves qui permettra de mieux illustrer l’ampleur de la gestion du changement qui guette les universitaires. La conclusion permettra de revenir sur quelques concepts et principes clefs pour guider la démarche vers l’action. L’université ne peut plus « être en haut et seule », elle doit être « au centre et avec » des écosystèmes de partenariats multiples, dans un modèle hybride physique/virtuel. C’est ainsi qu’elle pourra conserver son leadership historique de vigie du savoir et des connaissances d’un monde complexe, continuer d’établir l’authenticité des faits et imposer la nécessaire rigueur de la science et de l’objectivité.
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Castets-Renard, Céline, Émilie Guiraud et Jacinthe Avril-Gagnon. Cadre juridique applicable à l’utilisation de la reconnaissance faciale par les forces de police dans l’espace public au Québec et au Canada Éléments de comparaison avec les États-Unis et l’Europe. Observatoire international sur les impacts sociétaux de l’intelligence artificielle et du numérique, septembre 2020. http://dx.doi.org/10.61737/tnps5755.

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Résumé :
L’Observatoire international sur les impacts sociétaux de l’IA et du numérique, en partenariat avec la Chaire de recherche de l’Université d’Ottawa sur l’intelligence artificielle responsable à l’échelle mondiale, présente un rapport sur le cadre juridique applicable à l’utilisation de la reconnaissance faciale par les forces de police dans l’espace public au Québec et au Canada: Éléments de comparaison avec les États-Unis et l’Europe. Ce rapport, préparé sous la supervision de la Pr Céline Castets-Renard, présente les principaux enjeux de l’utilisation de la reconnaissance faciale par les forces de police dans l’espace public au Québec et au Canada et le cadre juridique applicable, en comparaison l’Europe et les États-Unis. Dans un contexte où cette technologie est déployée de plus en plus largement, il convient de mener une réflexion en amont de son déploiement afin d’éliminer ou minimiser les risques encourus, en particulier pour les droits et libertés individuelles. Ce rapport vise ainsi à éclairer les législateurs et les décideurs sur ce que sont les technologies de reconnaissance faciale et les risques encourus, en particulier les risques d’atteinte aux droits et libertés individuelles protégés par les Chartes du Canada et du Québec, et de présenter les solutions déjà mises en œuvre pour envisager celles qui minimisent les risques et l’intrusion de cette technologie sur la vie privée, afin de poser les conditions d’une transparence et meilleure acceptabilité sociale. Outre le support analytique aux décideurs publics, la production de ce rapport a pour objectif d’engager la discussion et les échanges avec toutes les parties prenantes au Québec et au Canada
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Méthode d’évaluation de l’état de preparation. Un outil de la Recommandation sur l’éthique de l’intelligence artificielle. UNESCO, 2023. http://dx.doi.org/10.54678/ajgu4528.

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Résumé :
La méthode d’évaluation de l’état de préparation est un instrument au niveau macro qui aidera les pays à savoir se situer sur l’échelle de préparation à une mise en œuvre éthique et responsable de l’IA dans l’intérêt de l’ensemble de leurs citoyens, tout en leur indiquant les changements indispensables à apporter sur les plans institutionnels et réglementaires. Les résultats de la méthode d’évaluation de l’état de préparation aideront l’UNESCO à adapter les mesures de renforcement des capacités aux besoins de chacun des pays. « Capacités » désigne ici l’aptitude à évaluer les systèmes d’IA conformément à la Recommandation ainsi que la présence du capital humain, d’infrastructures, de politiques et de réglementations nécessaires et appropriées pour répondre aux défis posés par les technologies de l’IA et à veiller à ce que les personnes et leurs intérêts soient toujours placés au cœur du développement de l’IA. En novembre 2021, les 193 États membres de l’UNESCO ont signé la Recommandation sur l’éthique de l’intelligence artificielle, premier instrument normatif de portée internationale consacré à cette question. La Recommandation établit un cadre opérationnel complet et fondé sur l’ensemble des droits de l’homme en vue du développement et de l’utilisation éthiques de l’IA. Elle accorde à cette fin une attention particulière à tous les stades du cycle de vie du système de l’IA. Au-delà de l'élaboration des valeurs et des principes qui devraient guider la conception, le développement et l'utilisation éthiques de l'IA, la Recommandation indique aux États membres les mesures à prendre pour garantir le respect de ces valeurs et principes en préconisant une réglementation efficace et en formulant des recommandations dans divers domaines stratégiques clés tels que le genre, l’environnement, la communication et l’information. Guidé par ces valeurs, principes et domaines stratégiques, le Secrétariat de l’UNESCO a conçu un programme de mise en œuvre de la Recommandation en s’attachant avant tout à renforcer les capacités nationales nécessaires pour donner suite aux mesures énoncées dans la Recommandation et renforcer les cadres réglementaires. Les Recommandation demande le développement de deux outils clés qui sont les principaux fondements sur lesquels repose la mise en œuvre : la méthode d’évaluation de l’état de préparation et l’évaluation de l’impact éthique. Ces outils visent tous deux à évaluer et à renforcer la résilience des lois, politiques et institutions en vigueur en vue de la mise en œuvre de l’IA dans le pays mais aussi à rendre les systèmes d’IA conformes aux valeurs et aux principes énoncés dans la Recommandation. UNESCO Catno: 0000385198
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