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Articles de revues sur le sujet « Technologies liées à l’intelligence artificielle »

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Mani, Zied, et Inès Chouk. « Résistance initiale du consommateur aux technologies autonomes de l’Intelligence Artificielle Médicale : une approche par les préoccupations liées à la santé ». Décisions Marketing N° 112, no 4 (25 janvier 2024) : 7–26. http://dx.doi.org/10.3917/dm.112.0007.

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Résumé :
• Objectif Le succès des technologies autonomes de l’intelligence artificielle médicale (IAM) est tributaire de la compréhension des mécanismes qui freinent leur acceptabilité par les utilisateurs potentiels. Toutefois, il existe relativement peu d’études ayant adopté une perspective de résistance à l’innovation pour étudier les réactions initiales à ces technologies. L’objectif de cette recherche est d’examiner l’impact de trois types de préoccupations de santé sur la résistance initiale des consommateurs : les préoccupations de santé liées à l’individu, les préoccupations de santé liées à la technologie et les préoccupations de santé liées au contexte. • Méthodologie Une étude quantitative auprès d’un échantillon représentatif de la population française (N= 245) a été mise en place. Les données ont été collectées via un questionnaire en ligne et analysées via la méthode des équations structurelles (AMOS). • Résultats Un modèle multi-niveaux de facteurs de résistance initiale aux technologies autonomes de l’IAM a été testé et validé. Selon ce modèle, cette résistance des consommateurs est influencée par (1) la négligence perçue de l’unicité du patient, (2) le risque de santé perçu lié à la technologie et (3) les préoccupations perçues liées à la responsabilité. Les résultats mettent aussi en évidence le rôle des assurances structurelles dans l’atténuation de (1) la résistance des consommateurs aux technologies autonomes de l’IAM et (2) des préoccupations perçues liées à la responsabilité. • Implications managériales Le développement des technologies autonomes de l’IAM devrait s’appuyer sur un modèle de R&D collaboratif intégrant toutes les parties prenantes concernées : personnel médical, développeurs, acteurs institutionnels, patients, etc. Plus spécifiquement, les organisations de santé désireuses de proposer des consultations via les technologies autonomes de l’IAM pourraient afficher des labels garantissant aux patients une utilisation éthique et responsable de ces technologies. De plus, les concepteurs de ces technologies ont intérêt à développer des offres combinant l’IAM et les objets connectés pour améliorer les parcours de soins des patients. • Originalité L’originalité de cette recherche est triple : 1) Étudier la réaction initiale des consommateurs à une innovation technologique en phase d’acceptabilité. 2) Développer et tester un modèle multi-niveaux des facteurs de résistance initiale des consommateurs dans une perspective de santé. 3) Identifier un nouveau type de facteurs de résistance à l’innovation technologique : facteurs liés au contexte organisationnel et réglementaire.
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Doellgast, Virginia, et Tobias Kämpf. « Co-determination meets the digital economy : works councils in the German ICT services industry ». Entreprises et histoire 113, no 4 (14 février 2024) : 32–43. http://dx.doi.org/10.3917/eh.113.0032.

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Résumé :
L’Allemagne est un pays connu pour son système dual de relations industrielles, combinant négociations collectives sectorielles et conseils d’entreprise forts et indépendants au niveau de l’entreprise et du lieu de travail. Cet article analyse l’évolution du rôle des conseils d’entreprise sous l’angle de l’évolution du secteur des services des technologies de l’information et de la communication (TIC), qui est en pleine croissance. Longtemps, ce secteur était divisé entre les fournisseurs de télécommunications historiques, avec des salariés fortement syndiqués et organisés, et les nouvelles entreprises internationales de services informatiques, où la présence syndicale était faible ou inexistante. Toutefois, ces dernières années, les conseils de ces segments ont joué un rôle de plus en plus actif et en réseau dans l’élaboration de stratégies de réorganisation du travail liées à la numérisation et à l’adoption de technologies fondées sur l’intelligence artificielle (IA). Les auteurs analysent les outils utilisés par les conseils d’entreprise dans ces négociations, notamment les droits de consultation, d’information, de codécision et de veto, les règles de protection des données et la loi de modernisation des conseils d’entreprise de 2021, qui prévoit des droits spécifiques en matière d’information et de consultation sur l’IA. L’article souligne le rôle des conseils dans trois domaines principaux : façonner le lieu de travail numérique de manière durable, garantir l’utilisation éthique et équitable de l’IA et des algorithmes au travail, et promouvoir des méthodes de travail agiles. Il conclut par une discussion sur les avantages de l’expression des travailleurs à la fois pour les travailleurs et les entreprises, ainsi que sur les défis liés à l’extension de ces avantages à l’ensemble d’un secteur qui manque d’une approche globale et cohérente.
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Héritier Nsenge, Mpia, Munga Manassé Nzanzu et Kasolene Moïse Katembo. « De l’intelligence naturelle à l’intelligence artificielle ou de l’intelligence artificielle à l’intelligence naturelle : Une exploration des liens et des synergies ». Revue Internationale Multidisciplinaire Etincelle 25, no 2 (6 septembre 2024) : 1–8. http://dx.doi.org/10.61532/rime252111.

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Résumé :
L'intelligence artificielle (IA) et les technologies connexes ont radicalement changer la façon de penser, d'agir et de vivre les expériences quotidiennes de la vie humaine. Alors que certains consommateurs de ces technologies louent les avancées de l'IA et estiment que cela a permis l'augmentation de l'intelligence humaine, d'autres humains pensent que ces technologies sonnent pas à pas la fin de la race humaine et de son essence ontologique en s'appuyant sur l'idée de la singularité technologique. L'analyse faite dans cet article met en évidence une interaction entre les avantages de l'IA et ses répercussions négatives involontaires, qui peuvent restreindre le rôle des humains, leurs identités personnelles, voire ses implications dans la dynamique sociale qui constitue aussi bien un débat épistémologique dans la sphère scientifique actuelle que la question centrale de cette étude. Cet article explore l'influence de l’IA sur la société moderne et son potentiel à remplacer les emplois humains. L’étude examine ainsi la possibilité de l'intelligence augmentée qui remet en question l’intelligence naturelle. L'étude indique la probabilité d'automatisation d'une profession et souligne les avantages de l'utilisation de l'intelligence augmentée. L'apprentissage profond, dans l’aspect génératif est abordé pour discuter de la faisabilité de l'intelligence augmentée. L’article fait une analyse de la relation entre l’IA et l’intelligence naturelle tout en montrant l’importance de leur cohésion et symbiose pour le bien-être de l’humanité. L’étude conclut que l’IA est dans la dynamique d’amélioration de la productivité humaine et favoriser le développement de la société moderne, mais pas la remplacer. Et, ce processus nécessite l’application de l’éthique.
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Jean, Aurélie. « Une brève introduction à l’intelligence artificielle ». médecine/sciences 36, no 11 (novembre 2020) : 1059–67. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2020189.

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Résumé :
Depuis plus d’une décennie, l’intelligence artificielle (IA) vit une accélération dans son développement et son adoption. En médecine, elle intervient dans la recherche fondamentale et clinique, la pratique hospitalière, les examens médicaux, les soins ou encore la logistique. Ce qui contribue à l’affinement des diagnostics et des pronostics, à une médecine encore plus personnalisée et ciblée, à des avancées dans les technologies d’observations et d’analyses ou encore dans les outils d’interventions chirurgicales et autres robots d’assistance. De nombreux enjeux propres à l’IA et à la médecine, tels que la dématérialisation des données, le respect de la vie privée, l’explicabilité des algorithmes, la conception de systèmes d’IA inclusifs ou leur reproductibilité, sont à surmonter pour construire une confiance du corps hospitalier dans ces outils. Cela passe par une maîtrise des concepts fondamentaux que nous présentons ici
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Chanthery, E., P.-E. Hladik, C. Joffre, G. Le Corre, J. Lesauvage, L. Liard et J. Poirier. « JePeIA : de la création à la mise en oeuvre d’un escape game à visée pédagogique sur l’Intelligence Artificielle ». J3eA 22 (2023) : 0003. http://dx.doi.org/10.1051/j3ea/20230003.

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Résumé :
Depuis 2019, une équipe d’enseignants collabore avec Instant Science et l’Institut ANITI, soutenue par la région Occitanie, pour développer un escape game pédagogique sur l’intelligence artificielle. Le dispositif JEPEIA (JEu PEdagogique en Intelligence Artificielle) est actuellement déployé dans les lycées de la région et lors des manifestations des établissements partenaires. Cet article décrit le développement du dispositif et son utilisation. JEPEIA vise à former largement aux enjeux de l’intelligence artificielle, transmettre une vision réaliste et non fantasmée des possibilités et des limites de ces technologies. Il vise également à sensibiliser et susciter une réflexion sur les enjeux sociétaux associés au développement de l’IA. En comprenant mieux ce domaine, les élèves, étudiants, personnels et citoyens seront mieux préparés à anticiper les évolutions futures et à s’approprier les discussions émergentes sur ces sujets d’importance majeure.
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Sotiri, Erwin. « Artificial Intelligence, auto-driving cars and why robots will not rule mankind… yet ! » Pin Code N° 2, no 2 (28 juillet 2019) : 18–24. http://dx.doi.org/10.3917/pinc.002.0018.

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Résumé :
L’intelligence artificielle ou IA, fait l’objet de nombreuses discussions : juridiques, philosophiques, factuelles ou de fiction. L’émergence de discussions autour de l’imposition des technologies ou des droits universels des robots appuient une tendance vers une crainte généralisée d’un soulèvement de l’IA qui bouleverserait les structures et les réglementations humaines. La confusion entre l’IA logicielle et la fiction des robots humanoïdes sert de camouflet à ces craintes. Cet article vise à démystifier l’intelligence artificielle à travers l’exemple de la conduite automobile automatisée. L’IA sert actuellement en partie à développer des systèmes de conduite qui pourraient libérer les humains du fardeau et conséquences des erreurs de conduite évitables.
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Chiva, Emmanuel. « Nouvelles technologies et art de la guerre ». Questions internationales 91-92, no 3 (27 juin 2018) : 94–101. http://dx.doi.org/10.3917/quin.091.0094.

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Résumé :
L’explosion actuelle des nouvelles technologies et la facilité accrue avec laquelle tout un chacun peut y avoir accès ont commencé à révolutionner l’art de la guerre. L’essor de l’intelligence artificielle, le développement de la robotique ainsi que la généralisation des espaces d’ingénierie collaborative génèrent notamment un chaos informationnel et technologique qui constitue un nouveau défi pour les combattants modernes… et les États .
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Devillers, Laurence. « Le langage non responsable des systèmes d’intelligence artificielle (IA) générative ». Champ lacanien N° 28, no 1 (2 octobre 2024) : 133–38. http://dx.doi.org/10.3917/chla.028.0133.

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Résumé :
Depuis 2022, ChatGPT d’OpenAI a popularisé l’intelligence artificielle (IA), rendant les technologies numériques essentielles. L’IA, qu’elle soit prédictive ou générative, progresse dans des domaines variés comme la médecine et les chatbots. Désormais, certaines actions humaines, comme le langage, sont séparées de l’intelligence réelle. Les IA génératives imitent le langage sans le comprendre, en utilisant des modèles statistiques complexes. Elles peuvent produire des résultats erronés, soulevant des questions éthiques. La transparence des IA est cruciale pour instaurer la confiance, et leur régulation est nécessaire pour concilier technologie et bien-être humain.
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Dupin, Ludovic, et François Terminet. « « L’IA générative pourra peut-être aider à découvrir de nouvelles règles de la physique » ». Revue Générale Nucléaire, no 1 (2024) : 38–39. http://dx.doi.org/10.1051/rgn/20241038.

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Résumé :
Christophe Biernacki, professeur de statistiques à l’université de Lille et directeur scientifique adjoint à l’Inria (Institut national de recherche en sciences et technologies du numérique), décrit la révolution de l’intelligence artificielle générative, outil majeur pour la formation et le développement de nouvelles connaissances.
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Vuarin, Louis, Pedro Gomes Lopes et David Massé. « L’intelligence artificielle peut-elle être une innovation responsable ? » Innovations N° 72, no 3 (29 août 2023) : 103–47. http://dx.doi.org/10.3917/inno.pr2.0153.

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Résumé :
L’intelligence artificielle (IA) représente un défi majeur pour l’innovation responsable (IR) en raison de l’ampleur des transformations sociétales et productives qu’elle induit. L’enjeu de l’inscription de l’IA dans l’innovation responsable ne réside pas tant dans l’absence de concepts théoriques pour guider son développement, mais plutôt dans la multiplication de ces concepts (IA explicable, IA transparente, IA durable, IA juste…) et dans leur discutable propension à se traduire en actions concrètes réellement transformatrices des écosystèmes d’innovations. À partir d’une analyse bibliométrique de la littérature, cet article propose une cartographie des principaux concepts contribuant à inscrire l’IA dans une démarche d’innovation responsable. Les résultats mettent en lumière la difficile articulation des concepts entre eux, notamment au regard de la concurrence entre les acteurs et les dispositifs d’action préconisés. Cette étude contribue à la littérature sur les défis de l’adoption de l’IA et de son inscription dans une démarche d’innovation responsable, elle discute également des risques et opportunités associés à la multiplication de concepts pour inscrire des technologies émergentes dans une démarche d’innovation responsable. Codes JEL : O32, O33
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Abou Soughaire, Tarik. « L’intelligence artificielle au service de la créativité théâtrale ». Symbolon 25, no 1 (46) (2024) : 7–15. http://dx.doi.org/10.46522/s.2024.01.1.

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Résumé :
The whole world is currently experiencing a truly unprecedented technological revolution. In this context, there are several digital phenomena that we consider today and among which comes to mind what we call artificial intelligence (AI) having, in one way or another, effects, whether positive or negative, on our journeys, whether personal or professional. The idea of this article is to provoke better reflections, but also an informed understanding of this field of computing whose use has become common in the media despite its definition which remains more or less opaque until the present – and to demonstrate to what extent so-called artificial creativity could be at the service of theatrical creativity. The choice of the title is not by chance, but rather intentional insofar as we aim, above all, to trace the first aspirations of this field, which represents one of the new digital technologies, while arriving, subsequently, to articulate its development, its advantages, but also its disadvantages in relation to theater and theatricality. In this sense, it is necessary to specify the attempts and efforts that scientists have made, even the challenges that they have already supported in order to improve the capabilities of this field so that it evolves and becomes today one of the technological, ideal and creative tools playing an important and effective role not only within the performing arts, but also within all other social and human disciplines.
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Caseau, Yves. « Accompagner la dissémination de l’intelligence artificielle pour en tirer parti ». Annales des Mines - Enjeux numériques N° 1, no 1 (24 janvier 2018) : 09–14. http://dx.doi.org/10.3917/ennu.001.0009.

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Résumé :
L’intelligence artificielle (IA) est une technologie de transformation qui va s’inviter dans l’ensemble des activités humaines (dans la société civile, comme dans les entreprises) en s’intégrant massivement dans l’ensemble de nos logiciels. Elle n’est pas un but en soi, mais un moyen. L’enjeu stratégique et compétitif est la maîtrise de ces méthodes par les acteurs de l’écosystème français, et la vitesse d’acquisition des compétences et des savoir-faire nécessaires à cette diffusion. Les entreprises doivent développer leurs capacités de mise en œuvre en travaillant sur leurs infrastructures de données, sur leur environnement logiciel (qui doit être ouvert au monde du logiciel libre) et en favorisant le travail itératif de petites équipes pluridisciplinaires en cycle court. L’article, qui s’appuie sur un rapport de l’Académie des Technologies, se propose de développer des « pratiques d’ingénierie de l’intelligence artificielle » autour des tests, du développement de protocoles d’apprentissage, de la certification de bout en bout des processus d’utilisation des données et de l’auditabilité des procédés.
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Sibley, Anna, et Pascaline Chappart. « Esquisse de l’automatisation du contrôle des frontières ». Plein droit 140, no 1 (28 mai 2024) : 11–14. http://dx.doi.org/10.3917/pld.140.0013.

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Résumé :
L’usage des systèmes de l’intelligence artificielle dans le contrôle des frontières n’est pas une fiction dystopique. L’automatisation du contrôle des frontières est un phénomène mondial bien actuel. Tenter de le cartographier, c’est néanmoins se heurter au secret qui entoure la conception et l’usage de ces technologies. Incomplète, cette compilation des divers outils adoptés par les États offre néanmoins un aperçu de leur déploiement.
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Franke, Ulrike. « Transformation technologique et stratégique de la guerre ». Revue Défense Nationale N° 871, no 6 (12 juin 2024) : 32–40. http://dx.doi.org/10.3917/rdna.871.0032.

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Résumé :
La guerre en Ukraine est un terrain d’expérimentation majeur pour les nouvelles technologies. Les drones, l’intelligence artificielle (IA) et l’Espace sont devenus indispensables avec une capacité d’innovation très forte chez les Ukrainiens mais également du côté russe. De nouveaux usages sont ainsi révélés, accélérant le tempo de la bataille, y compris avec des systèmes civils répondant à des besoins militaires.
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Begon, Hélène. « Numérique et transition écologique : deux transitions récentes et massives ». Administration N° 282, no 2 (10 juillet 2024) : 61–65. http://dx.doi.org/10.3917/admi.282.0061.

Texte intégral
Résumé :
L’analyse des scénarios tendanciels à 2030 et 2050 pour la France montre que le secteur du numérique ne s’inscrit pas dans une dynamique de décarbonation et de réduction de ses impacts environnementaux, en opposition aux engagements pris par la France. La même tendance est observable au niveau mondial, et renforcée par des innovations et usages qui ont tendance à alourdir cet impact environnemental : course à l’intelligence artificielle et à l’intelligence artificielle générative (de textes, images, vidéos…) ; agrandissement des écrans ; multiplication des objets connectés (montres, capteurs, électroménager…) ; usages en transit (streaming), etc. Les différentes études disponibles convergent pour estimer que le numérique représente actuellement de 3 à 4 % des émissions de gaz à effet de serre (GES) dans le monde et 2,5 % au niveau français, et qu’il pourrait au moins tripler entre 2020 et 2050, malgré l’utilisation de technologies leur assurant une meilleure efficacité énergétique ou les réglementations promouvant notamment l’allongement des durées d’usage des appareils. Ces scénarios ne doivent pas faire oublier les impacts favorables du numérique sur la transition écologique, grâce aux potentiels de mesure et d’optimisation qu’il recèle.
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Kojovic, Nada, et Marie Schaer. « Comment les nouvelles technologies peuvent-elles faciliter le dépistage de l’autisme ? » Revue suisse de pédagogie spécialisée 13, no 01 (24 février 2023) : 9–14. http://dx.doi.org/10.57161/r2023-01-02.

Texte intégral
Résumé :
De plus en plus d’études scientifiques démontrent qu’il est possible de quantifier de manière précise et automatisée lesmanifestations de l’autisme grâce aux nouvelles technologies. Nous présentons ici une revue de cette littérature, ainsi que desrésultats de notre groupe de recherche qui montrent que l’analyse automatisée de vidéos pourrait représenter un excellentmoyen de dépister l’autisme précocement. Ainsi, notre algorithme basé sur l’intelligence artificielle a pu dans 81 % des cascorrectement distinguer les vidéos des enfants présentant un TSA des enfants ayant un développement typique sur la base decaractéristiques uniquement non verbales de l’interaction sociale réciproque.
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Côté, Anne-Marie, et Zhan Su. « Évolutions de l’intelligence artificielle au travail et collaborations humain-machine ». Ad machina, no 5 (14 février 2022) : 144–60. http://dx.doi.org/10.1522/radm.no5.1413.

Texte intégral
Résumé :
L'intelligence artificielle (IA) est de plus en plus présente dans toutes les sphères de la société. Elle est d’ailleurs sur le point de bouleverser radicalement les milieux de travail et la vie quotidienne. Cette évolution imminente suscite cependant de nombreuses inquiétudes, notamment sur le marché du travail. Le déploiement de l'IA pourrait supprimer plus d'emplois qu'il n'en crée et modifier leur nature, y compris dans le cas des emplois qualifiés. En réponse à la pandémie de COVID-19, de nombreuses entreprises à travers le monde ont dû prendre dans l’urgence le virage numérique afin d’assurer leur survie. Cette crise pourrait d’ailleurs constituer un tournant dans l'adoption de nouvelles technologies telles que l'IA. Cette étude explore les grandes tendances associées aux évolutions qu’apporte l’IA au marché du travail et aux nouvelles collaborations humain-machine. Allant bien au-delà de la simple automatisation de processus de tâches répétitives, l’alliance de l’IA à l’humain a le potentiel d’augmenter les capacités humaines, de permettre aux individus de mieux travailler ensemble et ainsi de devenir un puissant levier d’innovation et de créativité.
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Deschênes, Marie-France. « Le raisonnement clinique : regards rétrospectif et prospectif sur le concept ». Pédagogie Médicale 22, no 4 (2021) : 195–97. http://dx.doi.org/10.1051/pmed/2021020.

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Résumé :
Contexte et problématique : Les dernières décennies ont été marquées par de très nombreuses publications en pédagogie des sciences de la santé, consacrées au concept de raisonnement clinique. Toutefois, la diversité des écrits et des théories sur le concept peut semer une certaine confusion. But : Présenter une brève synthèse des conceptions théoriques liées au raisonnement clinique en pédagogie des sciences de la santé. Résultats : Alors que les cognitivistes abordent le raisonnement clinique sous la loupe des processus cognitifs et métacognitifs du praticien, les sociocognitivistes étudient la prise de « décision en situation » où la reconnaissance de signes et de signaux du contexte oriente le raisonnement clinique. Conceptualisé comme un « construit social », le raisonnement clinique est aussi un phénomène menant à la socialisation professionnelle où sont véhiculées les mœurs, les valeurs et les pratiques courantes dans une profession. Enfin, des artéfacts tels que l’intelligence artificielle, ainsi que les outils ou les matériaux de la pratique augmentent la cognition du praticien. La perspective d’une cognition écologique, inscrite dans un environnement complexe, est proposée. Discussion et conclusion : Les principales conceptions théoriques liées au raisonnement clinique suggèrent le soutien pédagogique au développement de la compétence en plus de l’utilisation d’une variété d’outils d’évaluation. L’apport d’autres théories provenant des neurosciences, de la sociologie et des sciences de la complexité pourrait enrichir la compréhension du concept et assurer les progrès dans la recherche, l’enseignement et l’apprentissage de la compétence.
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Felician Beccari, Stefano, et Matteo Bressan. « The Weaponisation of Artificial Intelligence : Risks and Implications ». L'Europe en Formation 396, no 1 (13 novembre 2023) : 85–94. http://dx.doi.org/10.3917/eufor.396.0085.

Texte intégral
Résumé :
Les fonctions de l’intelligence artificielle (IA) font aujourd’hui l’objet de débats dans les universités, les entreprises et les gouvernements. Mais la possibilité d’appliquer le potentiel de l’IA aux systèmes militaires soulève de nouvelles questions et implications. Le risque est que, dans un avenir proche, les systèmes d’armes létales autonomes (« LAWS »), alimentés par l’IA, soient capables d’échapper au contrôle humain et de libérer leurs effets mortels sans aucune limite ni retenue. Cette possibilité fait l’objet de débats dans lesquels les implications militaires, morales, juridiques et technologiques des « systèmes (d’armes) commandés par intelligence artificielle » doivent être soigneusement évaluées, afin d’être prêtes lorsque, dans le futur, ces technologies apparaîtront sur les champs de bataille. L’objectif de cet article est d’offrir une vue d’ensemble des principales implications de l’IA dans le domaine militaire, y compris des références à des scénarios de conflit ouvert.
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Rat-Fischer, Lauriane. « Développement ontogénétique de la cognition humaine : champs de recherche, méthodes et perspectives ». Intellectica. Revue de l'Association pour la Recherche Cognitive 73, no 2 (2020) : 159–77. http://dx.doi.org/10.3406/intel.2020.1969.

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Résumé :
Dès son origine, l’étude du développement de la cognition humaine d’un point de vue ontogénétique, c’est-à-dire de la naissance jusqu’à l’âge adulte, a été soumise à des défis théoriques et méthodologiques. Cette revue de littérature propose un aperçu de la multiplicité des méthodes et des approches permettant l’étude du développement de la cognition humaine, ainsi que de leurs limites respectives. Dans un premier temps, nous exposerons les méthodes classiquement utilisées en psychologie du développement pour l’étude de la cognition chez le bébé et chez le jeune enfant. Dans la seconde partie de cet article, nous décrirons comment certains travaux de la psychologie du développement se sont orientés vers les problématiques liées à l’étude de l’évolution de la cognition humaine. Enfin, dans un troisième temps, nous nous intéresserons aux progrès scientifiques qui ont mené à l’apparition d’un nouveau champ de recherche intégrant l’intelligence artificielle : la robotique développementale. Nous conclurons cet article par une discussion sur les perspectives et enjeux pour l’étude du développement de la cognition humaine.
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Toutain, Olivier, et Rachid Jabbouri. « Artificial intelligence and the transformation of management education ». Management international 27, no 2 (2023) : 119–32. http://dx.doi.org/10.59876/a-kthz-pbf0.

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Résumé :
Nous développons un cadre conceptuel pour examiner l’impact potentiel de l’intelligence artificielle (IA) et de ses technologies associées sur cinq dimensions de l’enseignement du management. Grâce à l’analyse des déclarations de mission de 785 startups de technologie éducative, nous identifions cinq mécanismes par lesquels l’IA peut bénéficier et transformer le domaine de l’enseignement de la gestion dans un monde post- COVID-19. Notre recherche est l’une des premières à proposer un cadre théorique global pour mieux comprendre l’impact d’une technologie disruptive dans un domaine traditionnel et immuable de l’enseignement supérieur, et plus particulièrement sur l’enseignement du management.
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Tisseron, Serge. « Cinq concepts fondamentaux de la cyberpsychologie ». psychologie clinique, no 49 (2020) : 7–15. http://dx.doi.org/10.1051/psyc/202049007.

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Le développement de l’intelligence artificielle va nous obliger à repenser plusieurs concepts clés de la psychologie : les machines interactives dotées d’empathie artificielle nous amèneront à ne plus considérer l’empathie et les émotions comme des éprouvés caractéristiques du vivant, mais comme des formes de liens unissant deux individus appartenant au même ordre ou à des ordres différents; le développement de l’animisme pourrait amener à attribuer à des objets des degrés de « personéité » venant remplacer la définition en termes de « tout ou rien » de ce qu’est une personne; le discours de l’intimité annexé par des chatbots et autres robots conversationnels redéfiniront ce qu’est la vie privée; l’autorégulation, encouragée par certaines technologies numériques, sera empêchée par d’autres, obligeant à repenser ce qu’on appelle addiction; enfin le double mouvement d’externalisation de nos capacités somato-psychiques dans des machines, et de réintériorisation de celles-ci dans notre biologie même, selon un processus que nous appelons d’exencorporation, changera la définition de l’homme.
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Rudyk, Ilja. « Self-driving vehicles and patenting trends – Evidence from European Patent Applications ». Pin Code N° 2, no 2 (28 juillet 2019) : 39–42. http://dx.doi.org/10.3917/pinc.002.0039.

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Les technologies de la quatrième révolution industrielle, telles que l’Internet des objets et l’Intelligence Artificielle, s’apprêtent à avoir un grand impact sur le secteur automobile. Les véhicules autonomes sont à même de créer une économie de plusieurs milliards de dollars pour la mobilité future avec le potentiel d’améliorer la sécurité routière, de fournir un meilleur accès aux services de mobilité, d’accroître la performance énergétique et de réduire les embouteillages. En s’appuyant sur les informations les plus récentes de l’Office européen des brevets en matière de brevets et sur l’expertise technologique avancée de ses examinateurs de brevets, cet article constitue une source de renseignement singulière sur les dernières tendances en matière de brevets concernant les véhicules autonomes.
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GUERCHOUH, Lydia, et Mehmet Hakkı Suçin. « Impact de l’intelligence artificielle (la traduction automatique) dans l’apprentissage des langues : cas du Tamazight ». ALTRALANG Journal 6, no 1 (30 juin 2024) : 227–35. http://dx.doi.org/10.52919/altralang.v6i1.419.

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Résumé :
ABSTRACT: No field today can do without the assistance of new technologies. Information technology invades all sciences to the great benefit of researchers. While these tools tend to facilitate analyses, they are not without flaws. The use of artificial intelligence in linguistic studies is very recent and struggles to establish itself in methodological practices. Although partially mastered, its use is becoming increasingly frequent. Nowadays, almost all researchers occasionally or regularly resort to machine translation through Google Translate. This website provides translations of texts in several different languages. Our interest through this writing is to review the linguistic constraints and particularities of Tamazight that could affect the reliability of translations and thus assess the possibility of introducing Tamazight among the official languages of Google Translate. Our objective is to suggest preliminary alternatives by leveraging the shortcomings observed in translations into other languages. We aim to highlight translation situations that escape artificial intelligence and require intervention and reformulation of the source or target sentence. Furthermore, we will present the advantages of machine translation in the language learning process compared to other traditional learning systems. RÉSUMÉ : Aucun domaine ne peut de nos jours se passer de l’assistance des nouvelles technologies. L’informatique envahit toutes les sciences au grand intérêt du chercheur. Si ces outils ont tendance à faciliter les analyses, elles ne sont pas sans failles. L’utilisation de l’intelligence artificielle dans les études linguistiques est très récente et peine à s’installer dans les pratiques méthodologiques. Bien que partiellement maitrisée, son utilisation devient de plus en plus fréquente. De nos jours, presque tous les chercheurs ont occasionnellement ou régulièrement recours à la traduction automatique à travers Google traduction. Ce site web fournit des traductions de textes dans plusieurs langues différentes. Notre intérêt à travers cet écrit est de passer en revue les contraintes et particularités linguistiques du tamazight qui pourraient perturber la fiabilité des traductions et ainsi statuer sur l’éventualité de l’introduction de Tamazight parmi les langues officielles de Google translate. Notre objectif est de suggérer des alternatives en amant en se servant des insuffisances constatées à travers les traductions dans les autres langues. Nous visons à mettre en évidence les situations de traduction échappant à l’intelligence artificielle et nécessitant une intervention et une reformulation de la phrase source ou cible. Par ailleurs, nous exposerons les avantages de la traduction automatique dans le processus d’apprentissage des langues en l’opposant aux autres systèmes d’apprentissage classiques.
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Missa, Jean Nöel. « Biodiversité, philosophie transhumaniste et Avenir de l’homme ». Revista Colombiana de Bioética 8, no 1 (18 novembre 2015) : 77. http://dx.doi.org/10.18270/rcb.v8i1.1021.

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<p>Cet article s’intéresse sur la possible création d’une “biodiversité” au sein de l’espèce humaine. Certains scientifiques et philosophes transhumanistes défendent aujourd’hui un progressisme prométhéen de transformation de la nature humaine par la technologie. Cette utopie technoscientifique ayant pour objectif l’amélioration de l’être humain s’appuie sur les pouvoirs nouveaux de la biomédecine. Du point de vue des technologies convoquées autant que de la relation à l’être humain, les spéculations posthumanistes oscillent entre deux orientations. La première se situe davantage dans le prolongement du transhumanisme, c’est-à-dire de la transformation biophysique de l’être humain; cette voie accentue soit les technosciences du vivant (biotechnologie, génétique, neuroscience) soit les technologies prothétiques et cybernétiques. La seconde orientation est “externe” car elle ne passe pas par une telle transformation. Elle extrapole à partir des recherches et inventions dans les domaines de la robotique et de l’intelligence artificielle (IA).</p>
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Marcoux, Audrey, Marie-Hélène Tessier, Frédéric Grondin, Laetitia Reduron et Philip L. Jackson. « Perspectives fondamentale, clinique et sociétale de l’utilisation des personnages virtuels en santé mentale ». Santé mentale au Québec 46, no 1 (21 septembre 2021) : 35–70. http://dx.doi.org/10.7202/1081509ar.

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Avec l’attrait engendré par les avancées en informatique et en intelligence artificielle, les personnages virtuels (c.-à-d. personnages représentés numériquement d’apparence humaine ou non) sont pressentis comme de futurs prestataires de soins en santé mentale. À ce jour, l’utilisation principale de tels personnages est toutefois marginale et se limite à une aide complémentaire à la pratique des cliniciens. Des préoccupations liées à la sécurité et l’efficacité, ainsi qu’un manque de connaissances et de compétences peuvent expliquer cette discordance entre ce que certains s’imaginent être l’utilisation future (voire futuriste) des personnages virtuels et leur utilisation actuelle. Un aperçu des récentes données probantes contribuerait à réduire cette divergence et à mieux saisir les enjeux associés à leur utilisation plus répandue en santé mentale. Objectif Cet article vise à informer tous les acteurs impliqués, dont les cliniciens, quant au potentiel des personnages virtuels en santé mentale, et de les sensibiliser aux enjeux associés à leur usage. Méthode Une recension narrative de la littérature a été réalisée afin de synthétiser les informations obtenues de la recherche fondamentale et clinique, et de discuter des considérations sociétales. Résultats Plusieurs caractéristiques des personnages virtuels provenant de la recherche fondamentale ont le potentiel d’influencer les interactions entre un patient et un clinicien. Elles peuvent être regroupées en deux grandes catégories : les caractéristiques liées à la perception (p. ex. réalisme) et celles liées à l’attribution spontanée d’une catégorie sociale au personnage virtuel par un observateur (p. ex. genre). Selon la recherche clinique, plusieurs interventions ou évaluations utilisant des personnages virtuels ont montré divers degrés d’efficacité en santé mentale, et certains éléments de la relation thérapeutique (p. ex. alliance et empathie) peuvent d’ailleurs être présents lors d’une relation avec un personnage virtuel. De multiples enjeux socioéconomiques et éthiques doivent aussi être discutés en vue d’un développement et d’une utilisation plus accrue qui soient responsables et éthiques. Bien que l’accessibilité et la disponibilité des personnages virtuels constituent un avantage indéniable pour l’offre de services en santé mentale, certaines iniquités demeurent. L’accumulation de données biométriques (p. ex. rythme cardiaque) a également le potentiel d’enrichir le travail des cliniciens, mais aussi de mener au développement de personnages virtuels autonomes à l’aide de l’intelligence artificielle, ce qui pourrait conduire à certains dérapages (p. ex. erreurs de décision clinique). Quelques pistes de recommandations visant à éviter ces effets indésirables sont présentées. Conclusion L’emploi des personnages virtuels sera de plus en plus répandu en santé mentale en raison de leurs avantages prometteurs. Ainsi, il est souhaitable que tous les acteurs impliqués s’informent sur leur usage dans ce contexte, se sensibilisent aux enjeux spécifiques, participent activement aux discussions quant à leur développement et adoptent des recommandations uniformes en vue d’un usage sécuritaire et éthique en santé mentale.
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Richert, Fabien. « Du fétichisme des sémiomarchandises « parlantes » à l’asservissement machinique : le cas des assistants personnels intelligents ». Cygne noir, no 7 (1 juin 2022) : 143–69. http://dx.doi.org/10.7202/1089332ar.

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Cet article propose une analyse critique d’une version particulière de l’intelligence artificielle, à savoir les « assistants personnels intelligents ». L’argumentaire s’inscrit dans les travaux récents portant sur le sémiocapitalisme dont la perspective propose des clés de lecture, inspirées notamment par les écrits de Félix Guattari et de Gilles Deleuze, pour aborder les modes de subjectivation dans le capitalisme tardif dominé par les technologies de l’information et de la communication. Les assistants intelligents seront questionnés du point de vue du régime de vérité et des relations singulières qu’ils instaurent avec leurs propriétaires invités à participer avec enthousiasme à l’idéologie consumériste ambiante. Les assistants intelligents seront notamment thématisés comme des sémiomarchandises capables de suggérer des objets, services et expériences sur la base d’un historique « dividuel », du travail aliéné et invisibilisé d’une masse croissante d’info-travailleurs ou plus largement d’un asservissement machinique.
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Sarrasin, Natalie, Monica Zumstein et Antoine Widmer. « Nouveaux espaces du numérique, de l’intelligence artificielle au métavers : Expérimenter en classe pour comprendre, apprendre et appliquer ». Médiations et médiatisations, no 16 (30 octobre 2023) : 123–37. http://dx.doi.org/10.52358/mm.vi16.367.

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Cet article décrit le dispositif d’un cours de marketing de premier cycle universitaire dont l’objectif est de travailler l’innovation et le développement de produit ou de service par un concours international qui récompense les productions les plus prometteuses. Chaque année les sujets changent et, pour cette édition, les travaux doivent porter sur le métavers, la réalité virtuelle, la réalité augmentée, l’intelligence artificielle, le gaming ou les NFT (jeton non fongible). Afin de s’assurer que les étudiants aient les connaissances et la compréhension nécessaires de ces thématiques pour effectuer leur travail de création, un dispositif de formation complet en quatre temps répartis sur une quinzaine de périodes de cours a été créé, basé sur un design pédagogique en trois parties : étudiant, contexte et employabilité. L’objectif est de s’assurer que les étudiants comprennent les notions avant de les utiliser pour le développement de produit. Cet article démontre les apprentissages effectifs réalisés et l’importance de confronter les étudiants aux technologies numériques émergentes.
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Langevin, Christian. « Les technologies de l’intelligence artificielle au service des médias et des éditeurs de contenus : Traitement du langage naturel (TAL) ». I2D - Information, données & ; documents 1, no 1 (11 juillet 2022) : 30–37. http://dx.doi.org/10.3917/i2d.221.0030.

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Campeau, Frédérique, et Isabelle Savard. « Les technologies éducatives au profit du développement des athlètes ». Médiations et médiatisations, no 4 (2 décembre 2020) : 59–77. http://dx.doi.org/10.52358/mm.vi4.145.

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L’émergence grandissante des technologies n’est plus une surprise pour personne. Depuis les dernières années, les chercheurs ont avancé plusieurs hypothèses et présenté autant de résultats sur les retombées avantageuses que procure l’usage des technologies éducatives sur l’apprentissage (Bulfin, Johnson et Bigum, 2015). À cet effet, plusieurs études s’intéressent à l’impact et à l’utilisation efficace de différentes technologies éducatives pour l’ensemble des matières à l’école. Néanmoins, l’éducation physique semble être le mouton noir. De ce fait, très peu d’études expliquent comment, en éducation physique, les technologies éducatives sont utilisées ainsi que l’optimisation des apprentissages qu’elles engendrent (Casey, Goodyear, et Armour, 2016). Pourtant, tout comme les apprenants, les athlètes pourraient également bénéficier des retombées avantageuses de l’utilisation des technologies éducatives afin de développer leurs qualités athlétiques. La présente recherche permet de comprendre comment l’usage de certaines technologies éducatives peut contribuer au développement des qualités athlétiques en tentant de répondre à la question suivante : Comment la ludification, la réalité virtuelle (RV) immersive et l’intelligence artificielle (IA) peuvent-elles contribuer au développement des qualités athlétiques? Afin de répondre à cette question, une analyse de la littérature est d’abord effectuée. Ensuite, un cadre théorique est élaboré. Ce dernier se base sur la création d’une synergie entre deux théories appliquées au contexte sportif et l’exploitation de ces trois stratégies pédagogiques intégrant les technologies éducatives innovantes du 21e siècle pour le développement de qualités athlétiques. Le cadre proposé permet d’envisager l’hybridation de l’enseignement et de l’apprentissage, lié au développement des qualités athlétiques.
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HOCQUETTE, J. F., P. MAINSANT, J. D. DAUDIN, I. CASSAR-MALEK, D. RÉMOND, M. DOREAU, P. SANS et al. « La viande du futur sera-t-elle produite in vitro ? » INRAE Productions Animales 26, no 4 (18 août 2013) : 363–74. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.4.3164.

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La production de viande artificielle par culture de cellules est proposée par certains scientifiques comme une des solutions pour répondre aux grands enjeux de l’élevage : i) réduire le mal-être supposé des animaux dans les élevages modernes, voire ne pas tuer les animaux pour les manger, ii) réduire la possible dégradation de l’environnement par l’élevage et iii) réduire la faim dans le monde en augmentant le niveau des ressources protéiques alimentaires. La viande artificielle supprimerait en effet le mal-être supposé des animaux lié à l’élevage et permettrait de ne pas abattre les animaux pour les manger. L’impact environnemental de la viande artificielle est difficile à évaluer en l’absence de données sur le fonctionnement d’une usine de production. La viande artificielle présenterait toutefois un intérêt modéré pour réduire les gaz à effet de serre et la pollution par les nitrates, un intérêt limité quant à l’utilisation des énergies fossiles, voire très limité pour limiter les besoins en eau, mais elle libérerait des terres cultivables. Elle entraînerait probablement dans l’eau des résidus de molécules de synthèse. De nombreux experts estiment que les causes de la malnutrition actuelle de certaines populations sont multiples et ne sont pas directement liées à un manque de ressources alimentaires. Bien que la culture de cellules soit couramment pratiquée en laboratoire, il existe des verrous techniques importants à lever pour une production à grande échelle, tels que le coût rédhibitoire des technologies actuelles et le manque de ressemblance du produit obtenu à de la viande issue d’animaux. Sur le plan nutritionnel, la viande artificielle ne présente pas d’avantage particulier par rapport à un autre aliment élaboré à partir de l’ensemble des nutriments nécessaires à sa production. Les critères d’acceptabilité de la viande artificielle renvoient, d’une part, à des questions d’ordre moral ou éthique concernant la technologie et les inquiétudes qu’elle soulève, et d’autre part, à des considérations classiques relatives aux produits alimentaires (prix, qualité, naturalité…). Par le passé, les expériences de substitution des protéines animales par des produits analogues ont échoué en raison, notamment, de contraintes économiques, du temps nécessaire pour l’éventuelle acceptation des produits par les consommateurs et pour la délivrance des autorisations de mise sur le marché. Face aux questionnements importants concernant l’élevage, la production de viande artificielle ne présente pas aujourd’hui d’avantages majeurs par comparaison à la viande naturelle ou à d’autres alternatives possibles telles que rééquilibrer notre alimentation en diversifiant les sources de protéines végétales et animales, ou encore développer des systèmes d’élevage plus respectueux des animaux et de l’environnement.
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Elidrissi, Rayane. « Façonner la GRH algorithmique avec l’IA : la fonction RH face aux tensions paradoxales dans les nouvelles façons de travailler ». @GRH N° 52, no 3 (4 octobre 2024) : 13–41. http://dx.doi.org/10.3917/grh.052.0013.

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Résumé :
L’objectif de cette recherche est d’explorer la manière dont l’intelligence artificielle (IA) transforme les activités de Gestion des Ressources Humaines (GRH) et, comprendre les tensions paradoxales créées au sein de la fonction RH. L’IA dans les RH n’en est qu’à ses débuts et influence la façon dont les acteurs RH sont amenés à travailler aujourd’hui. En utilisant la théorie des paradoxes, nous visons à analyser les défis et les opportunités présentés par la GRH algorithmique dans les nouvelles façons de travailler. Une étude qualitative exploratoire a été menée, impliquant des entretiens avec des responsables RH et des éditeurs de solutions d’IA pour les RH. En utilisant la méthode Gioia, nous avons mis en évidence d’une part le pouvoir d’agir de l’IA et ses incidences sur la GRH et d’autre part les réponses positives et négatives aux tensions provoquées par l’introduction de l’IA. Les résultats révèlent une adoption progressive de la GRH algorithmique parmi les responsables RH, malgré l’existence de tensions paradoxales liées à une conscience algorithmique disparate. Ces tensions reflètent les défis internes et externes auxquels la fonction RH est confrontée dans les nouvelles façons de travailler induites par l’IA. Cette recherche met en lumière la nécessité pour les responsables RH d’adopter de nouvelles stratégies de management et de développer des conditions favorables pour de nouvelles manières de travailler. La compréhension des tensions paradoxales et la capacité à les gérer sont cruciales pour tirer pleinement parti des avantages de la GRH algorithmique qui s’impose progressivement. Par conséquent, les praticiens et les chercheurs doivent considérer l’IA comme un soutien précieux, voire un pilote pour un nouveau modèle pour les activités RH.
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Beaudouin, Valérie, et Winston Maxwell. « La prédiction du risque en justice pénale aux états-unis : l’affaire propublica-compas ». Réseaux N° 240, no 4 (21 septembre 2023) : 71–109. http://dx.doi.org/10.3917/res.240.0071.

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Un article publié par le média Pro Publica en 2016 considère que le logiciel Compas, utilisé aux États-Unis pour la prédiction de la récidive, porte préjudice à la population noire : « It’s biased against blacks ». La publication crée une onde de choc dans l’espace public et alimente les débats sur l’équité des algorithmes et sur le bien-fondé de ces outils de prédiction du risque. Ces débats étaient jusque-là confinés dans des sphères de spécialistes. En partant de l’affaire ProPublica-Compas, nous avons exploré les différents embranchements de la controverse dans l’arène des « data sciences » et dans celle du monde de la justice. Si, dans l’espace médiatique, l’affaire Compas illustre les dérives liées aux algorithmes et vient renforcer les inquiétudes autour de l’intelligence artificielle (peur du remplacement, du renforcement des inégalités et de l’opacité), dans le monde académique deux arènes s’emparent de l’affaire. Dans l’arène des data sciences, les chercheurs discutent des critères d’équité et de leur incompatibilité, montrant à quel point la traduction d’un principe moral en indicateurs statistiques est problématique. Ils débattent également de la supériorité supposée de la machine sur l’homme dans les tâches de prédiction. Dans l’arène de la justice pénale, espace beaucoup plus hétérogène, l’affaire ProPublica-Compas renforce la prise de conscience qu’il est nécessaire de mieux évaluer les outils avant de les utiliser, de comprendre comment les juges s’approprient ces outils en contexte et amène les ONG qui défendent les prisonniers et les législateurs à changer de posture par rapport à ces outils de prédiction. Tandis que l’arène des data sciences fonctionne dans un entre-soi disciplinaire, focalisé sur les données et les algorithmes hors contexte, dans l’arène juridique, qui assemble des acteurs hétérogènes, la question de l’inscription des outils dans la pratique professionnelle occupe une place centrale.
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Bensamoun, D. « Place des nouvelles technologies dans les stratégies de dépistage et d’évaluation des troubles thymiques et cognitifs ». European Psychiatry 30, S2 (novembre 2015) : S49. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.137.

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Résumé :
L’évaluation médicale en psychiatrie repose encore aujourd’hui principalement sur l’examen clinique du patient. Les techniques de l’information et de la communication (TIC) sont cependant en plein essor dans le domaine de la santé. Basées sur l’intelligence artificielle, les méthodes d’analyse automatisée pourraient permettre d’améliorer le diagnostic clinique avec l’identification de nouveaux « biomarqueurs », notamment dans le domaine des pathologies neuropsychiatriques . Le signal acquis à l’aide de nouveaux capteurs pouvant surpasser les limites perceptives du médecin pourrait permettre une évaluation plus fiable et objective du patient. L’augmentation de l’accessibilité aux technologies, comme l’apparition du Smartphone dans le quotidien du médecin, laisse la possibilité à une analyse physiologique peu coûteuse, rapide et applicable en pratique courante. Les maladies neuropsychiatriques nécessitent une amélioration des outils de dépistage du fait d’un retard diagnostique souvent important pour ces pathologies. L’enjeu est particulièrement important dans les maladies neurodégénératives où l’effet modeste des traitements nécessite une mise en place rapide des mesures thérapeutiques afin de prévenir au mieux les symptômes et la perte d’autonomie associée [2,3]. Les troubles anxieux présentent des perturbations physiologiques bien décrites et nécessitent de même une prise en charge précoce dans l’histoire de la maladie afin d’éviter leur complication et faciliter leur traitement. Le traitement du signal issu de paramètres physiologiques tels que l’analyse du signal vocal et la variabilité de la fréquence cardiaque, reflétant l’état du système sympathique, pourraient permettre le développement d’outils de dépistage et d’évaluation des troubles anxieux afin de faciliter l’accès aux soins à temps ainsi qu’aider à leur évaluation au cours du suivi.
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Papon, Pierre. « Innovations de rupture : la France dans la compétition mondiale ». Futuribles N° 459, no 2 (16 février 2024) : 21–28. http://dx.doi.org/10.3917/futur.459.0021.

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Résumé :
Dans un univers économique de plus en plus concurrentiel et face aux progrès fulgurants de certaines technologies (telle l’intelligence artificielle), les capacités de recherche-développement et d’innovation sont devenues des atouts stratégiques dans la compétition internationale. Parmi ces innovations, celles qui sont susceptibles de transformer radicalement un secteur, voire notre quotidien, occupent une place cruciale aux yeux des acteurs économiques. C’est pourquoi La Fabrique de l’industrie a réalisé une étude spécialement consacrée aux « innovations de rupture » et à la place de la France, à l’échelle mondiale, sur ce créneau. Reposant sur des témoignages et une analyse des données de brevets dans 12 domaines technologiques (dont huit en lien avec la transition écologique), l’ouvrage qui en a été tiré, dont Pierre Papon rend compte dans cet article, permet de saisir la dynamique d’innovation du pays, son positionnement technologique et le type d’institutions impliquées (organismes publics, start-ups , grandes entreprises…). Comme le souligne Pierre Papon, dans ces domaines de pointe particulièrement moteurs pour l’avenir, ce sont les pays asiatiques et les États-Unis qui mènent la danse. En Europe, à quelques exceptions près (dont l’Allemagne), la recherche est à la traîne et la France semble en perte de vitesse. L’auteur résume les indicateurs et enseignements livrés par cette enquête, ainsi que les recommandations proposées pour redynamiser la recherche et l’innovation du pays dans ces secteurs stratégiques. S.D.
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Courtier-Orgogozo, Virginie, et Laurence Devillers. « La société face aux avancées des sciences et des techniques ». Futuribles N° 458, no 1 (12 décembre 2023) : 25–44. http://dx.doi.org/10.3917/futur.458.0025.

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Résumé :
Les avancées scientifiques et technologiques font régulièrement la une des médias, comme en témoignent, par exemple, les nombreux articles et commentaires autour des progrès de l’intelligence artificielle (IA), en particulier depuis le lancement du célèbre ChatGPT fin 2022. Cependant, au-delà des anecdotes sur la façon dont peut être utilisé un agent conversationnel comme ChatGPT et sans contester les questions soulevées par ses usages au quotidien, les individus sont-ils bien et suffisamment informés sur cette nouvelle technologie qu’est l’IA ? Disposent-ils d’une vision claire et précise leur permettant d’envisager les enjeux multiples et majeurs qui s’y rapportent ? De même s’agissant des avancées en matière de génétique : sait-on précisément où en est la recherche et quelles sont les applications potentielles qui pourraient en découler dans les années à venir (y compris grâce à l’IA) ? Dans ces deux domaines scientifiques majeurs pour notre avenir, comme dans de nombreux autres, nous sommes certes informés, mais parfois de manière parcellaire, incomplète, et sans un certain nombre de précautions pourtant indispensables. Face aux idées reçues et pour réconcilier les individus avec une science qu’ils ont parfois tendance à regarder avec défiance, il est essentiel de leur fournir des éléments de compréhension précis, de leur dire ce que l’on sait (ou pas) des technologies en cours de développement, de leur montrer les enjeux, les limites, le tout de manière la plus pédagogique possible. C’est ainsi qu’ils pourront disposer des clefs nécessaires pour se faire une opinion documentée et non mystifiée des enjeux sociétaux qui se rapportent à ces technologies. Dans cet article, les chercheuses Virginie Courtier-Orgogozo et Laurence Devillers explorent ces enjeux pédagogiques, au travers des exemples des progrès de la génétique et de l’IA, et proposent des pistes « pour mieux armer le grand public face aux avancées scientifiques et technologiques ». S.D.
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Piecq, Andrée. « Les pratiques médicales au 21e siècle ». Acta Europeana Systemica 7 (11 juillet 2020) : 153–62. http://dx.doi.org/10.14428/aes.v7i1.56703.

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Résumé :
En ce 21e siècle notre conception du monde est modifiée par l’explosion des nouvelles technologies qu’elles soient du domaine de la communication, de l’intelligence artificielle ou encore en neurochirurgie ... Vers quels paradigmes allons-nous ? Quels risques courons-nous ? En effet : « Sciences sans conscience n’est que ruine de l’âme » (Rabelais). Cet article tente, à travers l’observation de l’évolution de la médecine de démontrer que : « nouveaux paradigmes et réflexions éthiques » doivent évoluer ensemble. La médecine du XXIe siècle ne se contente plus des connaissances traditionnelles de l’art de guérir et de soigner. Elle se doit de s’approprier les évolutions scientifiques et les techniques ainsi que les modifications des interactions entre les professionnels, les patients, les scientifiques et les techniciens. Elle se situe à l’interface multidisciplinaire et transdisciplinaire de l’évolution des sciences et des techniques (les nanotechnologies, les biotechniques, les technologies de l'Information, les sciences cognitives, le clonage, les microchirurgies, les greffes d’organes et de tissus, la procréation assistée, la télémédecine, l'imagerie et la biologie moléculaire ...). Tout cela suscite l’apparition de nouveaux paradigmes.Cet article va soulever certains points à analyser en profondeur. Il part de l’observation des pratiques médicales et les déclinent en 3 niveaux logiques : 1. Le niveau micro : la pratique del’art de guérir et de soigner en ajoutant les nouvelles technologies, 2. Le niveau méso : l’amélioration des caractéristiques physiques et mentales des êtres humains. 3. Le niveau macro qui ajoute au niveau méso : la suppression des handicaps, de la souffrance, de maladie, de la vieillesse et la mort. A partir de ces 3 niveaux, des questions se posent sur 1. des finalités, 2. des règles (mythiques et phénoménologiques) qui les régissent, 3. des frontières à transgresser ou pas, 4. des Interactions entre les professionnels les chercheurs. Les concepts systémiques utilisés pour appréhender ces 3 niveaux sont : la finalité, le contexte, les frontières, les règles, et certains éléments de la communication tel que les interactions. Une proposition de réponse à ces questions va émerger de cette l’analyse systémique.
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BRUNEAULT, Frédérick, et Andréane SABOURIN LAFLAMME. « Éthique de l’intelligence artificielle et ubiquité sociale des technologies de l’information et de la communication : comment penser les enjeux éthiques de l’IA dans nos sociétés de l’information ? » Tic & ; société, Vol. 15, N° 1 | 1er semestre (20 mai 2021) : 159–89. http://dx.doi.org/10.4000/ticetsociete.5999.

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YOON, Aesun. « Impacts de l’intelligence artificielle sur l’orientation de l’enseignement des langues étrangères : sur les traces d’une chercheuse appliquant les technologies de traitement des langues naturelles à l’enseignement du français ». Societe Coreenne d'Enseignement de Langue et Litterature Francaises 83 (30 décembre 2023) : 7–37. http://dx.doi.org/10.36747/ellf.83.1.

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Liu, Lili. « L’ergothérapie à l’ère de la quatrième révolution industrielle ». Canadian Journal of Occupational Therapy 85, no 4 (octobre 2018) : E1—E14. http://dx.doi.org/10.1177/0008417418817563.

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Description. Bien que l’ergothérapie soit issue du mouvement Arts and Crafts et du traitement du moral des anciens combattants, la profession a évolué vers l’adoption de la maîtrise préalable à l’entrée en exercice de la pratique et elle fait appel à l’établissement de relations complexes avec les clients tout au long de la vie. À travers l’histoire, chacune des révolutions industrielles a eu un impact systématique, soit une perte massive d’emplois en raison de l’automatisation des processus. Cette conséquence est encore plus profonde aujourd’hui avec la croissance exponentielle des innovations et de l’automatisation. But. Les objectifs de cet article sont (a) de faire une mise en contexte en examinant l’évolution ou les cinq ères de l’ergothérapie au Canada, (b) de définir ce que l’on entend par « quatrième révolution industrielle », et (c) d’examiner les innovations technologiques qui auront une influence sur les ergothérapeutes et leurs clients alors que nous entrons dans la « sixième » ère de l’ergothérapie au Canada. Questions clés. Bien que le risque d’automatisation de la profession d’ergothérapeute soit faible, un grand nombre de nos clients seront incapables d’acquérir assez rapidement les nouvelles compétences qui seront requises pour répondre aux exigences du marché de l’emploi. La téléréadaptation, l’Internet des objets, la réalité virtuelle, l’impression 3D, la robotique, l’intelligence artificielle et les véhicules autonomes sont en train de transformer la façon dont les ergothérapeutes offrent des services aux clients. Conséquences. Il serait judicieux pour les ergothérapeutes de s’allier à des disciplines différentes de celles avec lesquelles ils collaborent habituellement, car leur expertise sera sollicitée pour défendre leurs propres intérêts et ceux de leurs clients, qui sont les utilisateurs finaux de ces technologies.
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Ben Bouheni, Faten, Mariama Guéladio Diallo, Chantal Ammi et Mondher Bellalah. « Digitalisation des banques françaises et reprise économique ». La Revue des Sciences de Gestion N° 311, no 5 (31 janvier 2022) : 41–53. http://dx.doi.org/10.3917/rsg.311.0045.

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Résumé :
La nouvelle technologie et la digitalisation de la finance, considérées comme un facteur clé de la reprise économique en Europe, se sont imposées à toutes les institutions financières. Notre étude, basée sur l’analyse des rapports annuels et des documents de référence de 2016 de deux grands groupes bancaires français (BNP Paribas et Société Générale), a pour objectif d’étudier les stratégies adoptées par ces banques dans un contexte de compétition féroce, de digitalisation de l’économie et de l’émergence de l’intelligence artificielle. Notre analyse confirme que l’apparition des nouvelles technologies de l’information et de la communication a considérablement modifié le fonctionnement du secteur bancaire qui a subi des mutations importantes. Les banques, à défaut d’avoir innové dans la relation client, ont donc favorisé l’apparition des nouveaux entrants proposant des services de haute qualité parfaitement adaptés aux besoins de leurs clients. Ces nouveaux protagonistes composés de géants de l’informatique comme Google, Apple, Microsoft, Amazon ou encore des FinTechs etc. se sont positionnés sur des segments du marché bancaire à fort niveau de rentabilité. Le client est devenu ainsi un Consomm’acteur qui peut donner ou changer son avis librement. Les groupes Société Générale et BNP Paribas, deux parmi les plus grands groupes bancaires en Europe, ont adopté deux stratégies différentes envers les FinTechs. En effet, le premier groupe est prêt à racheter des concurrents, alors que le second préfère collaborer en contrepartie de l’accompagnement des FinTechs dans leur développement. En revanche, les deux groupes ont quasiment des stratégies d’innovation similaires, notamment au niveau de la banque en ligne et des systèmes de digitalisation des moyens de paiement. À l’issue de cette étude, nous concluons que la Société Générale semble avoir bien pris conscience des enjeux qui accompagnent cette évolution en adaptant une stratégie digitale “aggressive” comparée à celle choisie par BNP Paribas qui doit reproduire les mêmes efforts réalisés pour ses clients, en interne.
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GOCKO, X. « Thuriféraires et démocratie sanitaire ». EXERCER 31, no 163 (1 mai 2020) : 195. http://dx.doi.org/10.56746/exercer.2020.163.163.

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Résumé :
Février 2021, troisième vague. – Bonjour, j’ai été testé positif au Covid-19 par la brigade, et le médecin de la téléconsultation m’a dit de m’adresser au Covid Center le plus proche de chez moi. – Bonjour, je suis l’intelligence artificielle du Covid Center. L’application Tracking Covid-19 avait signalé votre venue, patient 7 777 801. Quel traitement souhaitez-vous prendre : hydroxychloroquine-azithromycine, lopinavir-ritonavir, tocilizumab, remdésivir, chlorpromazine : ces médicaments sont remboursés, vous pouvez aussi ajouter de la micronutrition, comme le zinc, qui n’est pas remboursée. – Mais je n’en sais rien ! Le médecin de la téléconsultation ne m’a rien dit à ce sujet, il a surtout noté le nom de toutes les personnes que j’avais croisées. – Personne n’en sait rien, alors nous laissons le patient choisir1. Si vous ne pouvez pas choisir, je suis pourvu d’un algorithme qui choisira pour vous. – Je vais essayer la chlorpromazine. J’ai lu que ça apaisait, et quatorze jours dans un hôtel sans voir personne… – D’accord, voici votre traitement ; le robot chien va vous accompagner jusqu’à l’hôtel2. Science-fiction ? Ce genre littéraire est selon le Larousse caractérisé par l’invention de « mondes, des sociétés et des êtres situés dans des espaces-temps fictifs (souvent futurs), impliquant des sciences, des technologies et des situations radicalement différentes ». Ce dialogue soulève deux questions : l’influence de la pandémie sur la recherche médicale et l’influence de la technologie sur les soins. Comment ne pas être d’accord avec l’article de la revue Nature1 : les bruits médiatiques autour de tel ou tel principe actif ne sont que des bruits. Ces bruits ralentissent l’apparition de signaux dépendant de la réalisation d’essais cliniques randomisés qui respectent les critères éthiques (information et consentement des patients). Les croyants et leurs thuriféraires politiques ralentissent la recherche et gâche les ressources de temps et d’argent. Comment justifier la position de ceux qui n’expriment plus les doutes inhérents au scientifique et à la recherche ? Sont-ils parcourus d’un sentiment d’urgence de l’action justifiant tout ? Le principe de bienfaisance surdimensionné leur fait-il oublier celui de non-malfaisance ? Moins glorieuse serait la recherche de la gloire : is fecit cui prodest*. Que pensez-vous des soins délivrés au patient 7 777 801 ? Ce patient n’a pas consulté son médecin généraliste. Il se nomme 7 777 801, au lieu d’Albert Camus. Sa décision est solitaire. Il n’a pas pu échanger autour de ses connaissances et de ses valeurs avec son médecin généraliste3. L’approche centrée sur monsieur Camus semble difficilement réalisable par une « brigade », une téléconsultation avec un inconnu ou par un Covid-19 Center. Dans « L’Homme révolté », Camus propose de dépasser l’absurde de l’existence qu’il avait décrit dans « Le Mythe de Sisyphe ». « Qu’est-ce qu’un homme révolté ? C’est un homme qui dit non. Mais s’il refuse, il ne renonce pas : c’est aussi un homme qui dit oui, dès son premier mouvement. » Pouvons-nous dire non à une technologie déshumanisée ? Oui ! Pouvons-nous dire non à l’enquête des cas contacts ? Les médecins généralistes sont des acteurs de santé publique et ils répondront oui à cette mission, mais pas à n’importe quel prix. Ils sont conscients des tensions éthiques entre intérêt collectif et liberté individuelle4. Ils sont vigilants (comme le Conseil constitutionnel) quant aux moyens employés pour assurer cette mission. Aucun argument d’autorité de telle ou telle tutelle ne les empêchera d’avoir une approche centrée sur le patient et une discussion éthique avec lui. Ces discussions participent à l’éducation des deux acteurs et peut-être un jour serons-nous prêts pour une autre méthode, avec une responsabilisation des patients allant dans le sens d’une vraie démocratie sanitaire. Un médecin généraliste est un homme révolté et non un porteur d’encens servile et flagorneur, alias thuriféraire.
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Kadio, Offo Élisée. « De l’Intelligence Artificielle et de la science des données pour aider à transformer l’Afrique ». L’Afrique dans l’IA 15 (2024). http://dx.doi.org/10.4000/123is.

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Résumé :
L’Afrique est une priorité globale de l’UNESCO et un axe important pour ses activités liées à l’Intelligence Artificielle (IA). Une réponse doit être apportée aux défis et au potentiel liés aux ressources humaines et aux développements techniques de l’Intelligence Artificielle sur le continent. De plus en plus, l’Intelligence Artificielle se trouve en filigrane dans les prises de décision. Nos vies sont régies de manière croissante par la diversité des applications techniques associées à cette technologie. Ces dernières, en l’espace de quelques microsecondes, parcourent des milliards de pages web, pistes numériques et données dérivées de capteurs sensoriels, produisant des informations sur la base d’algorithmes. Les données générées en Afrique risquent d’être exploitées au détriment des parties prenantes locales et d’être commercialisées à l’international au mépris de la vie privée. Cette étude se propose, à partir d’une approche analytique démonstrative, d’examiner l’exploitation accrue des données, qui peut booster le développement de l’Afrique si elle s’approprie l’Intelligence Artificielle. Toutefois, l’Intelligence Artificielle ne peut aller sans conséquences négatives, sur les plans économique, politique et social, accroissant ainsi la vulnérabilité du continent africain et surtout subsaharien.
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Konin, Alla Marcellin, et N’Dré Sam Beugré. « Intelligence Artificielle et e-démocratie : nouveaux droits, nouvelles exclusions ». L’Afrique dans l’IA 15 (2024). http://dx.doi.org/10.4000/123j4.

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Résumé :
L’axe à partir duquel nous choisissons de construire notre argumentaire est celui du « L’Intelligence Artificielle et démocratie ». L’objectif de la proposition est de définir des règles qui maintiennent l’être humain au centre de l’avancement de l’Intelligence Artificielle. C’est dans ce contexte d’avancée des nouvelles technologies qu’apparaît clairement la nécessité de protéger les valeurs de la démocratie et des libertés individuelles, actuellement menacées dans plusieurs pays, comme le Brésil. La montée de « l’État de surveillance » est une réalité mondiale qui interfère directement avec ce défi. La participation sociale et politique numérique contemporaine (e-Démocratie) est un produit de la numérisation de l’État et de ses appareils, caractérisée par la production de nouveaux droits rendus possibles par les technologies de la communication. La numérisation de l’appareil d’État grâce aux nouvelles technologies basées sur des algorithmes intelligents et les règles de la société de l’information et de la communication, ont déclenché la production de soi-disant « nouveaux droits » dont l’applicabilité élargit le concept de démocratie en établissant une différence entre le gouvernement traditionnel des affaires, et les demandes croissantes des communautés de plus en plus liées au système de communication numérique. Les droits d’accès à Internet et au réseau, au vote électronique, à communiquer grâce aux nouvelles technologies, à recevoir des services publics numériques sont parallèles aux devoirs de l’État, caractérisés par la satisfaction de nouveaux droits. Dans le même temps, il existe un risque croissant que les formes de participation numérique produisent des niveaux d’exclusion intolérables qui minent la démocratie. Basées sur des suggestions portées par les dernières frontières de la recherche en IA, les prochaines intelligences artificielles pourraient bénéficier de la puissance de Qubit, la capacité d’apprendre à travers des réseaux de neurones biologiques dépassant le niveau habituel du Machine Learning pour réaliser l’utopie ou le cauchemar de beaucoup : disposer de machines informatisées capables de décider par elles-mêmes. Quel impact ces innovations auront-elles sur la forme et la résilience des démocraties ? En présence d’un écosystème évolutif d’intelligences artificielles non morales, y a-t-il obligation de penser une nouvelle éthique ? À l’aide d’une méthode analytico-critique, nous allons convoquer trois éléments qui dessinent la « triple révolution », qui ont conduit à cette transformation : l’émergence des réseaux sociaux, la capacité d’Internet à toucher les individus et la connectivité.
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Bughin, Jacques. « S’AFFRANCHIR DU PARADOXE DE PRODUCTIVITÉ DE L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE ». Management & ; Data Science, 2023. http://dx.doi.org/10.36863/mds.a.23330.

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Résumé :
Malgré les promesses, le "paradoxe de la productivité de l'IA" est apparu, selon lequel l'adoption de l'IA ne conduit pas nécessairement à des gains de performance importants dans les entreprises. Se focalisant sur un échantillon d’entreprises multinationales qui ont investi dans l’IA, nous montrons que les frictions liées à la qualité et aux compléments de l'IA, peuvent en effet rapidement limiter l'avantage concurrentiel de l’IA. Mais l’inverse est aussi vrai, avec une portion d’entreprises traditionnelles, dans tous les secteurs, qui sont déjà capables de limiter les goulots d'étranglement organisationnels, et exploiter l’IA de manière innovatrice et concurrentielle, menant à des gains matériels de productivité, de l’ordre de 10% par an.
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RUTAMBUKA, David. « LA DATA ET L’IA MODIFIENT LE FOOTBALL ». Management & ; Data Science, 2023. http://dx.doi.org/10.36863/mds.a.25041.

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Résumé :
Le recours à la data et l’Intelligence Artificielle devient progressivement une habitude dans le football. Cependant, les recherches publiées sur la data et l’IA dans le football se concentrent souvent sur les aspects techniques, comme les performances des joueurs. Ainsi, cet article résume différentes informations disponibles sur la toile et présente une vision globale d’autres implications de la data/IA dans le football très peu évoquées antérieurement, notamment, le métier des scouts, le marché des transferts, les problématiques liées à l’éthique et la prise de décisions suite l’utilisation de la data/IA dans le football. Nous évoquons aussi l’idée d’une possible apparition d’une plateforme d’achat/vente des joueurs.
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Lutz, Michel. « Adoption et opérationnalisation de l’intelligence artificielle dans les organisations ». Management & ; Data Science, 2024. http://dx.doi.org/10.36863/mds.a.34635.

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Résumé :
L’intelligence artificielle (IA) est devenue un levier stratégique pour de nombreuses entreprises cherchant à améliorer leur performance. Cependant, trouver les modalités d’usage optimales des technologies de l’IA reste un défi majeur. Nous lançons un appel à contribution pour explorer les différentes facettes de l’adoption et de l’opérationnalisation de l’IA dans les organisations. Nous acceptons une définition large de l’IA, incluant l’IA générative, l’apprentissage statistique, l’optimisation, les systèmes experts et les approches hybrides.
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Michaud, Thomas. « VERS UN FILTRE ÉTHIQUE POUR LES IA CHARGÉES DE LA VENTE ? » Management & ; Data Science, 2023. http://dx.doi.org/10.36863/mds.a.25456.

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Résumé :
L’éthique de la vente est de plus en plus nécessaire pour garantir la réputation des entreprises auprès des clients, mais aussi pour assurer la fidélité des vendeurs à leurs employeurs. Les progrès de l’intelligence artificielle dans le secteur du marketing promettent de révolutionner les pratiques dans un futur proche. Il convient donc de s’interroger sur l’éventualité d’intégrer un filtre éthique à ces technologies. À l’image des trois lois de la robotique d’Asimov, il conviendrait de réguler les comportements des IA, afin d’orienter leurs analyses et leur rationalité artificielle vers un respect accru de l’humanité des clients et des écosystèmes.
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BUGHIN, JACQUES. « BRISER LA COURBE DE BEVERIDGE GRÂCE À L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE ». Management & ; Data Science, 2024. http://dx.doi.org/10.36863/mds.a.27467.

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Résumé :
Le marché du travail a connu une inadéquation croissante entre l'offre et la demande de main-d'œuvre, illustrée par le déplacement vers le haut de la courbe de Beveridge. Cette tendance est exacerbée par une inadéquation rampante des compétences au sein des entreprises, ce qui entraîne d'importants écarts de productivité. Cette tendance ne peut que continuer jusqu'à un point de rupture. Les organisations basées sur les compétences (SBO/OBC) apparaissent comme une solution efficace pour contrer cette tendance , en donnant la priorité au développement et à l'utilisation des compétences des employés. La transition vers les SBO implique toutefois une adoption d'une culture de l'apprentissage et de l'amélioration continus, -- où précisément, les technologies avancées d'IA jouent un rôle crucial en permettant aux entreprises d'identifier, de développer et d'exploiter efficacement les compétences. Les SBO alimentés par l'IA affichent des niveaux plus élevés d'innovation et d'agilité, avec une plus grande probabilité de retenir les meilleurs talents. En tirant parti des connaissances et des analyses basées sur l'IA, les entreprises peuvent remédier à l'inadéquation des compétences et améliorer les performances et l'engagement des employés.
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ElHadji, Amira. « Intelligence artificielle et société : le design numérique ». L’Afrique dans l’IA 15 (2024). http://dx.doi.org/10.4000/123iz.

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Résumé :
Notre recherche s’inscrit dans le cadre du design numérique et de la sauvegarde du patrimoine. Elle repose sur l’intervention de l’Intelligence Artificielle dans l’actualisation et la diffusion du patrimoine culturel tunisien. Nous nous interrogeons sur l’apport des technologies du design numérique pour faire valoir le patrimoine et redéfinir les perspectives modernes d’un patrimoine expérientiel, à travers l’accès dynamique aux ressources culturelles. Nous nous penchons sur l’ancien palais beylical tunisien, palais de Ksar Saïd. Nous révélons la capacité des environnements immersifs à créer des expériences à vivre et à soulever de nouvelles perceptions de l’information axées sur l’individualité du visiteur au milieu de l’expérience émotionnelle vécue.
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