Articles de revues sur le sujet « Stress – Pleine conscience »

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1

Béliveau, Robert. « L’atelier de réduction du stress basé sur la pratique de la pleine conscience chez les patients porteurs d’une pathologie cardiaque : mon expérience au Centre Épic ». Santé mentale au Québec 38, no 2 (21 mars 2014) : 297–313. http://dx.doi.org/10.7202/1024001ar.

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Résumé :
Le présent article est la description du parcours d’un des pionniers de l’enseignement de la méditation pleine conscience en milieu médical au Québec. Il met l’accent sur la nécessité de pratiquer et d’appréhender ce concept par l’expérience plutôt que par une recherche intellectuelle. Il décrit l’apport de la pleine conscience sur sa pratique médicale et présente un bref survol des ateliers qu’il anime au Centre Épic (Centre de médecine préventive et de conditionnement physique de l’Institut de Cardiologie de Montréal) depuis 15 ans.
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2

Aubé, Sophie, Catherine Bégin, Valérie Leblanc et Sonia Goulet. « Compassion ou respiration ? » Psycause : revue scientifique étudiante de l'École de psychologie de l'Université Laval 8, no 2 (19 septembre 2019) : 8–10. http://dx.doi.org/10.51656/psycause.v8i2.20123.

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Résumé :
La méditation pour promouvoir la santé psychologique suscite de l’intérêt et il y a lieu d’examiner si l’impact varie selon l’objet de l’attention. Cette étude compare les effets des méditations sur le souffle (MS) et de compassion (MC) sur la compassion, le stress, les affects et la pleine conscience, chez une population non clinique, féminine et universitaire. Seize volontaires assignées aléatoirement entre deux groupes reçoivent comme consignes de pratiquer la MS ou la MC individuellement 20 minutes, six jours par semaine, pendant trois semaines consécutives, au moyen d’instructions écrites. Les mesures pré-test et post-test comprennent un journal de bord et des questionnaires auto-rapportés. Comparativement au Groupe MS, le Groupe MC montre une plus grande augmentation de la compassion et des affects positifs, une diminution plus élevée du stress perçu et des affects négatifs, mais une augmentation moindre de la pleine conscience. Tous ces résultats s’avèrent non significatifs, bien qu’une augmentation significative du niveau de pleine conscience ressorte au deuxième temps de mesure par rapport au niveau de base pour les deux groupes combinés. Ce rapport aborde les limites et contributions de l’étude en regard de la promotion du mieux-être psychologique chez la population d’intérêt au moyen des pratiques méditatives ciblées.
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3

Bondolfi, Guido. « Les approches utilisant des exercices de méditation de type « mindfulness » ont-elles un rôle à jouer ? » Santé mentale au Québec 29, no 1 (18 août 2004) : 137–45. http://dx.doi.org/10.7202/008827ar.

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Résumé :
Résumé La mindfulness (en français pleine conscience) représente le dénominateur commun qui est à la base des différents courants de pratique de méditation bouddhiste. Par pleine conscience, on entend le fait de porter son attention d’une manière particulière, délibérément, au moment présent et sans jugement de valeur. Au cours de ces dernières années, plusieurs approches thérapeutiques intégrant la pratique de la méditation (Mindfulness Based Stress Reduction ; Dialectical Behavior Therapy ; Mindfulness Based Cognitive Therapy) ont été développées et évaluées. Dans cet article nous examinons les mécanismes pouvant expliquer pourquoi cette pratique peut conduire à une réduction symptomatique et/ou à un changement comportemental dans le cadre de divers troubles émotionnels et plus particulièrement dans le traitement des troubles anxieux.
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4

Pelissolo, A. « De quoi mindfulness est-il le nom ? » European Psychiatry 29, S3 (novembre 2014) : 660. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.043.

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Résumé :
Le champ des psychothérapies s’est enrichi au cours des dernières années de nouvelles méthodes aux origines métissées, complétant les techniques classiques et découvrant des voies d’abord originales de la psychopathologie. Historiquement conçue par John Kabat-Zinn comme une application laïque des pratiques orientales à la gestion du stress, la méditation de pleine conscience (mindfulness) s’est ensuite rapprochée des thérapies cognitives pour élaborer des programmes de prévention des récidives dépressives. Des études contrôlées ont montré l’intérêt de ces programmes comme alternative aux traitements médicamenteux au long cours, même si d’autres recherches sont encore nécessaires pour préciser leur place au sein des stratégies thérapeutiques de la dépression. D’autres indications ont progressivement été proposées et étudiées : trouble bipolaires, troubles anxieux, addictions, ou encore troubles de la personnalité. Par ailleurs, l’utilisation des techniques d’exploration cérébrale, notamment l’EEG et l’IRM fonctionnelle, a permis d’approcher certains effets neuronaux pouvant sous-tendre l’efficacité des méthodes de pleine conscience. D’autres effets biologiques sur les marqueurs du stress, de l’inflammation et du vieillissement ont également été mis en évidence, au plan neuro-endocrinien mais aussi génomique. Ce symposium se propose donc de présenter les données les plus récentes et les applications cliniques des thérapies en pleine conscience dans les troubles dépressifs et dans les autres domaines de la psychopathologie, tout en expliquant les travaux actuels sur les bases neurales de leurs effets cognitifs et émotionnels.
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5

Côté, Jeannie, Samuel Gagné, Julie Pelletier-Jacob et Manon Truchon. « Effet d’une application mobile d’autocompassion pleine conscience sur la santé mentale d’étudiants universitaires ». Psycause : revue scientifique étudiante de l'École de psychologie de l'Université Laval 12, no 2 (25 janvier 2023) : 22–23. http://dx.doi.org/10.51656/psycause.v12i2.51863.

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Résumé :
Depuis la pandémie, la santé mentale des étudiants universitaires est mise à l’épreuve. En effet, plusieurs études soulignent une augmentation du niveau de détresse et une diminution du niveau de bien-être psychologique. L’autocompassion et la pleine conscience (ACPC) sont utiles pour améliorer la santé mentale, mais peu accessibles et spécifiques aux étudiants. À ce jour, aucune application d’ACPC n’a été développée et validée chez ceux-ci. La présente étude exploratoire vise à développer une application d’ACPC inspirée du programme Mindful Self-Compassion, et à évaluer son effet sur le bien-être, le stress perçu et l’autocompassion d’étudiants universitaires. 67 étudiants universitaires volontaires sont répartis aléatoirement dans deux groupes (expérimental et contrôle). Les niveaux de stress perçu, de bien-être et d’autocompassion sont mesurés avant et après trois semaines d’utilisation de l’application. L’utilisation de l’application d’ACPC a mené à une augmentation significative de l’autocompassion. Aucune interaction significative n’est toutefois détectée pour le bien-être (F(1, 48.77) = 1.06, p = .309) et le stress (F(1, 47.89) = 2.79, p = .101). L’application d’ACPC semble efficace pour améliorer la capacité d’autocompassion des étudiants universitaires. Des études supplémentaires avec des échantillons plus vastes et de plus longue durée pourraient permettre de démontrer son effet sur leur santé mentale.
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6

Strub, Lionel, et Cyril Tarquinio. « Effets de la Mindfulness-Based Cognitive Therapy (MBCT) sur le stress et les symptômes associés dans un contexte industriel : une étude-pilote contrôlée et randomisée ». Dossier : Mosaïques 38, no 1 (30 octobre 2013) : 207–25. http://dx.doi.org/10.7202/1019193ar.

Texte intégral
Résumé :
L’article fait état de l’application d’un programme-pilote s’inscrivant dans la lignée des interventions de prévention secondaire qui s’emploient à réduire la gravité des symptômes de stress. Développée à partir du protocole MBCT conçu pour prévenir la rechute dépressive, sa spécificité réside dans l’adaptation de son matériel didactique qui repose sur le triptyque méditation de pleine conscience-cognition-psychoéducation à l’objet du stress professionnel. La transposition du modèle princeps a fait l’objet d’une recherche expérimentale randomisée et contrôlée sur une population non clinique en milieu industriel dans le but d’évaluer l’effet dudit programme sur le stress et les symptômes associés. Les résultats suggèrent des apports préliminaires quant aux bénéfices générés sur la santé psychique d’un groupe de travailleurs.
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7

Laforte, Stéphanie, Caroline Dugal, Claude Bélanger et Natacha Godbout. « Childhood emotional abuse and posttraumatic stress symptoms in women : the mediating role of mindfulness ». Journal of Interpersonal Relations, Intergroup Relations and Identity 10 (2017) : 105–16. http://dx.doi.org/10.33921/hbdy2203.

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Résumé :
More than one-third of adults report having experienced emotional abuse in childhood, which is one of the most common interpersonal traumas. Although survivors of interpersonal trauma are at risk of developing post-traumatic stress symptoms, few studies have specifically examined the links between childhood emotional abuse and symptoms of post-traumatic stress in adulthood. Recent studies highlight the role of mindfulness as a key variable in understanding how interpersonal traumas can be associated with long-term post-traumatic stress symptoms (Godbout, Dion, & Bigras, 2016). The purpose of this study is to examine the mediating role of mindfulness in the relationship between emotional abuse in childhood and post- traumatic stress symptoms. The sample consisted of 354 women from the community who responded to self -reported online questionnaires. The results of multiple regression analyses show that the relationship between emotional abuse in childhood and symptoms of post-traumatic stress is explained by a decrease in mindfulness capacities. Overall, the results highlight the role of mindfulness as a mechanism partially explaining the impacts of interpersonal traumas in childhood.
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8

Bertschy, G. « La thérapie de pleine conscience dans la dépression : pour qui et à quel stade ? » European Psychiatry 29, S3 (novembre 2014) : 661. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.044.

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Résumé :
La thérapie de la pleine conscience dans la dépression s’appuie sur le programme mindfulness-based cognitive therapy (MBCT). C’est une forme de thérapie cognitive enseignée en groupe sur 8 semaines qui donne une place centrale à la méditation en articulation avec des éléments plus classiques de la thérapie cognitive. Ce programme, nourri par les travaux pionniers de Jon Kabat-Zinn (programme Mindfulness-based stress reduction [MBSR]) et développé il y a 15 ans par Teasdale et al. a été conçu comme un traitement pour la prévention des rechutes à mettre en œuvre chez des patients en rémission de leur dernier épisode dépressif majeur. Dès les premiers travaux, il est apparu que l’efficacité préventive concernait les patients avec au moins trois épisodes antérieurs. Depuis d’autres travaux ont permis de se demander si le gain d’effet préventif n’est pas limité lorsque les patients poursuivent un traitement antidépresseur, sans permettre de conclure étant donné les résultats contradictoires. D’autres études, en attente de réplication, suggèrent des profils de bénéficiaires comme les patients présentant des fluctuations de la rémission de leur état dépressif ou les patients avec des antécédents de traumatismes infantiles. Plus récemment quelques études ont montré qu’il était possible d’utiliser un programme MBCT chez des patients qui ne sont pas encore en rémission de leur état dépressif, avec un bénéfice possible sur l’évolution de l’épisode dépressif et ce en dépit des obstacles apparents à la pratique de la méditation en cours d’épisode dépressif. Enfin, signalons que les patients avec des pathologies somatiques ou les sujets de la population générale ayant des symptômes dépressifs sans troubles dépressifs constitués, voient leurs symptômes s’améliorer avec le programme MBSR ou le programme MBCT.
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9

Comeau, Élodie, Raphaël Gaumont, Sarah-Ève P. Goulet, Amélie Vézina et Charles M. Morin. « Comparaison d’interventions pour traiter l’insomnie chez des étudiants universitaires : étude pilote ». Psycause : revue scientifique étudiante de l'École de psychologie de l'Université Laval 12, no 2 (25 janvier 2023) : 17–19. http://dx.doi.org/10.51656/psycause.v12i2.51861.

Texte intégral
Résumé :
Le trouble de l’insomnie touche 9,5% des étudiant.es universitaires. La thérapie cognitivo-comportementale de l’insomnie (TCC-I) est le traitement de première intention. Toutefois, le programme de réduction du stress basé sur la pleine-conscience (MBSR) semble être un traitement adapté aux besoins et à la réalité des étudiant.es, vu son approche transdiagnostique et sa flexibilité. Cette approche ne semble pas avoir été explorée au sein de cette population pour traiter l’insomnie. La présente étude pilote compare les effets du MBSR et de la TCC-I sur la sévérité de l’insomnie, les paramètres du sommeil et le stress perçu de 10 étudiant.es. Les participant.es, assigné.es aléatoirement aux conditions, suivent les traitements pendant 8 semaines. Des mesures pré, mi et post-traitement sont recueillies à l’aide de questionnaires validés. Aucune différence n’est observée entre les deux conditions pour l’amélioration des paramètres du sommeil. Cependant, il n’est pas possible de conclure à la non-infériorité du MBSR par rapport à la TCC-I quant à la diminution de la sévérité de l’insomnie. La différence entre les conditions quant à la temporalité des changements de la sévérité de l’insomnie et du stress perçu est non significative. Les résultats soutiennent la pertinence d’explorer davantage ce type d’interventions chez la population étudiante.
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10

Berghmans, C., C. Tarquinio et M. Kretsch. « Impact de l’approche thérapeutique de pleine conscience mindfulness-based stress reduction (MBSR) sur la santé psychique (stress, anxiété, dépression) chez des étudiants : une étude pilote contrôlée et randomisée ». Journal de Thérapie Comportementale et Cognitive 20, no 1 (mars 2010) : 11–15. http://dx.doi.org/10.1016/j.jtcc.2010.03.001.

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Braitman, A. « Le concept de réactivité cognitive comme marqueur de vulnérabilité psychique du sujet âgé ». European Psychiatry 29, S3 (novembre 2014) : 576. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.271.

Texte intégral
Résumé :
Les schémas cognitifs précoces inadaptés et les schémas de détresse subjective plus spécifiques de la personne âgée sont de possibles marqueurs de vulnérabilité psychologique à la dépression [1]. Plus particulièrement, la réactivité cognitive a été identifiée comme facteur prédictif de rechute parmi des sujets atteints de trouble dépressif récurrent en rémission [2]. Elle est la propension à l’activation des schémas dépressiogènes dans des contextes de stress de moins en moins importants au fur et à mesure des épisodes dépressifs successifs. Elle témoigne d’un style ruminatif de réponse au stress, d’un déficit de contrôle de l’attention et de l’activation excessive d’un processus de contrôle des divergences qui pourraient être l’expression au niveau neuropsychologique des dysrégulations neurobiologiques sous-tendant la vulnérabilité psychique. En effet, cette conception de la vulnérabilité à la dépression soutient l’existence d’un défaut de régulation corticale sur l’activité hippocampique et amygdalienne [3]. Mieux comprendre ses facteurs de risque cognitifs est primordial pour le développement de stratégies de prévention efficaces de la rechute dépressive chez le sujet âgé. La thérapie des schémas et la thérapie cognitive basée sur la pleine conscience (MBCT) sont particulièrement pertinentes concernant ce trait. Les premières études du protocole de thérapie de groupe MBCT pour les personnes âgées montrent que cette intervention non pharmacologique est acceptable et associée à des changements positifs [4]. Ce programme de thérapie cognitive consiste moins en une restructuration cognitive visant un contrôle émotionnel qu’à un changement dans le mode de relation avec l’émotion perturbatrice et les ruminations.
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Monsillion, J., R. Zebdi et L. Romo. « Implementation and evaluation of a mindfulness based program for children in a school setting in france ». European Psychiatry 64, S1 (avril 2021) : S463. http://dx.doi.org/10.1192/j.eurpsy.2021.1237.

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Résumé :
IntroductionMindfulness-based interventions (MBIs) held within an academic context continue to develop at an international scale, and continue to show benefits for children, specifically on cognitive functioning and emotional regulation (Theurel, Gimbert, Gentaz, 2018).ObjectivesThe aim of this study is to demonstrate the relevance of implementing MBIs within French elementary school settings, in order to promote mental health, positive pedagogy and quality of life.MethodsThis study utilizes the Belgian program “Gestion des émotions par la pratique de la Pleine Conscience” (Emotional regulation using Mindfulness practices) (Deplus, 2015) and compares an experimental group participating in 9 MBI sessions to a control group “waiting list”. An interpretative phenomenological analysis at post-test investigates participant’s perception on the effects of the intervention on familial and school climates.ResultsThe results of this study have been highly impacted by COVID19 (confinement).Quantitative results reveal that 33% of the participants (n=6) show a decrease in depressive symptoms, 33% show no change and 33% show a slight increase, post-intervention (T2). Results also suggest a decrease in anhedonia in 50% of the participants. 50% of participants show an improvement with regards to worrying and hypersensitivity. Qualitative analysis puts forth perceived improvements on emotional regulation and mindfulness abilities of participants, which has shown to have positive effects on familial climate.ConclusionsWe estimate that the implementation of such a MBI in a school setting will favour the development of executive functions and emotional regulation, allowing children to develop resilience towards stress and anxious-depressive affects. We also expect the intervention to help develop socio-emotional abilities and well-being in French schools.
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Zammatteo, Nathalie, et Marie Botman. « Le psychotraumatisme s’inscrit dans l’ADN et peut se transmettre sur plusieurs générations. Apports de la méditation de pleine conscience dans les troubles de l’anxiété et l’état de stress post-traumatique ». European Journal of Trauma & ; Dissociation 3, no 2 (mai 2019) : 113–24. http://dx.doi.org/10.1016/j.ejtd.2018.06.003.

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Isnard Bagnis, Corinne, et Celine Khaldi. « Impact d'une formation à la gestion du stress sur le vécu de la maladie dans l'insuffisance rénale chronique dans un hôpital universitaire français ». International Journal of Whole Person Care 1, no 1 (19 janvier 2014). http://dx.doi.org/10.26443/ijwpc.v1i1.55.

Texte intégral
Résumé :
Introduction : Les patients vivant avec une maladie rénale chronique expriment une franche altération de leur qualité de vie. Parmi les éléments impactant ces résultats, le stress chronique lié à la maladie et ses traitements et la douleur sont des plaintes très prévalentes et insuffisamment prises en charge. Cette étude évalue l'impact de la participation de patients insuffisants rénaux chroniques à un programme de gestion du stress par la méditation de pleine conscience (développé aux USA il y a plus de 25 ans par J. Kabat Zinn).Patients et Méthodes : L’enquête s’est concrétisée par la réalisation d’un dispositif « d’observation participante » par une sociologue au sein d’un programme MBSR (meditation-based-stress-reduction program) mis en place dans un service de néphrologie et la réalisation d’une enquête longitudinale : suivi des patients après la formation réalisés dans le cadre de « récits de vie ». Les résultats sont qualitatifs et portent sur la gestion du stress, la capacité à prendre soin de soi et à se mettre en posture de résilience.Résultats : Les premiers résultats permettent de rendre compte d’une amélioration des compétences des patients dans la gestion du stress, dans leur capacité à prendre soin d’eux, à anticiper les difficultés liées à leurs pathologies et à développer des mécanismes de compensation. L’enquête permet aussi de rendre compte d’une amélioration dans le vécu des malades du système de soin et une vision plus positive de l’hôpital et du rapport avec les soignants.Discussion et Conclusion : Les programmes d'education thérapeutique peuvent s'enrichir d'interventions pédagogiques orientées vers l'acquisition de compétences necessaires au maintien de soi en vie avec la maladie. L'amélioration de la gestion du stress par la méditation de pleine conscience pourrait être un moyen d'améliorer la qualité de vie des patients et en tous cas de diminuer le stress perçu.
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Lane, Julie, Melissa Goodfellow, François Lauzier-Jobin, Danyka Therriault, Alexis Thibault et et Félix Berrigan. « Évaluation des effets du Programme de réduction du Stress basé sur la Pleine Conscience déployé auprès de jeunes vivant en contexte de vulnérabilité : une étude mixte ». Canadian Journal of Community Mental Health, 6 décembre 2022, 1–17. http://dx.doi.org/10.7870/cjcmh-2022-034.

Texte intégral
Résumé :
Le programme Mindfulness-Based Stress Reduction (MBSR) permet le développement des compétences psychosociales comme la gestion du stress. Par contre, ce programme n’a pas encore été évalué auprès d’une population de jeunes vivant en contexte de vulnérabilité. Un devis de recherche mixte a permis de mesurer les effets du programme MBSR sur le stress perçu et le sentiment d’autoefficacité des participants (questionnaires standardisés) et de documenter l’implantation du programme auprès de jeunes en contexte de vulnérabilité (entrevues de groupe et individuelles avec les participants, la formatrice et une intervenante). Différentes applications du programme MBSR sont discutées.
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