Littérature scientifique sur le sujet « Sonorités urbaines »

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Articles de revues sur le sujet "Sonorités urbaines"

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Urrutiaguer, Daniel, et Laure de Verdalle. « Transfiguration théâtrale des objets par les sonorités et valeur esthétique ». L’Annuaire théâtral, no 56-57 (30 août 2016) : 123–34. http://dx.doi.org/10.7202/1037333ar.

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Résumé :
Les compositions contextuelles visent à agir sur l’imaginaire des spectateurs afin de modifier la perception des objets et des espaces urbains par leur transfiguration poétique. Ces compositions sont basées sur l’amplification des sonorités de matériaux hybrides et sur une interprétation comportant une part d’improvisation. Le contexte de ces créations est en outre influencé par les possibilités de financement. Celles-ci dépendent du degré de reconnaissance de la valeur esthétique de la production artistique des compagnies dans un environnement marqué par une institutionnalisation encore fragile des arts de la rue et une crise de diffusion du spectacle vivant.
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Zahar, Hela, et Jonathan Roberge. « La scène comme nouvelle culture visuelle : entre effervescence urbaine, visibilité et circulation des images numériques ». Cahiers de recherche sociologique, no 57 (24 février 2016) : 115–31. http://dx.doi.org/10.7202/1035278ar.

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Résumé :
L’étude des scènes culturelles apparue dans les années quatre-vingt-dix a été rapidement assimilée au champ des popular music studies et ce, dans une volonté de trouver une alternative aux notions de contre- ou de sous-culture. La polysémie et la malléabilité du terme ont ainsi donné lieu à des efforts souvent disparates ayant pour thème la sonorité ou le « son » d’une ville. Or si le son rythme bel et bien l’urbanité et lui donne son effervescence, n’y a-t-il pas lieu également de s’interroger sur la manière dont les images fournissent davantage qu’un simple décor en donnant précisément vie et corps à la ville ? L’objectif de ce texte est de réfléchir au concept de scène à partir d’une focale encore sous-exploitée, à savoir celle des visual cultural studies. Comment l’image devient-elle performative et comment entre-t-elle en scène formant du coup une sorte de surproduction culturelle ? Comment la circulation des images peut-elle engendrer de nouvelles expériences de socialité ? Le propos est illustré à partir de l’étude du Street art et plus particulièrement du calligraffiti à Montréal — mais également dans la manière dont ce dernier trouve échos à Paris, Beyrouth et Tunis. En tant qu’articulation du local, du translocal et du virtuel, cette pratique émergente doit permettre de comprendre comment la circulation et la mise en visibilité des images, dans un contexte contemporain d’hétérogénéité culturelle, d’hybridation artistique et de controverses sociales, peut susciter de nouveaux enjeux et codes politico-culturels.
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Booth, Geoffrey. « Managing the Muses : Musical Performance and Modernity in the Public Schools of Late-Nineteenth Century Toronto ». Historical Studies in Education / Revue d'histoire de l'éducation, 4 novembre 2013. http://dx.doi.org/10.32316/hse/rhe.v25i2.4313.

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Résumé :
Abstract:This paper employs the lens of sensory historical analysis to examine public school music in the making of a modern middle class in late-Victorian Toronto. Its aim is to show how this subject both shaped and was shaped by the culture of modernity which increasingly pervaded large urban centres such as Toronto during the course of the nineteenth century. The paper goes beyond pedagogic and bureaucratic justification, to present the evolution of school music within a much broader acoustic framework, that is, to weave it into the increasingly-urban soundtrack of Toronto, to gain some appreciation of how it would have been heard and understood at the time. Its aim is to offer historians of education an understanding of what actually occurred in the classrooms of Toronto during the period by listening to these experiences and the acoustic environment in which they would have been understood.Résumé:Cet article analyse le rôle joué par les cours de musique dans les écoles publiques de Toronto dans le processus de formation de la classe moyenne à l'époque victorienne. L'auteur propose une analyse historique sensorielle afin de démontrer comment cette matière scolaire a influencé et était influencée par la culture de modernité dont s'imprégnaient graduellement les grands centres urbains au cours du dix-neuvième siècle. Au-delà des justifications pédagogiques et bureaucratiques, il présente l’évolution des cours de musique dans un cadre élargi en lien avec la musique diffusée dans cette ville aux sonorités de plus en plus urbaines. Il veut ainsi favoriser une meilleure compréhension de ce qu'était le contexte sonore et sa réceptivité chez les auditeurs à cette époque. Ce texte trace pour les historiens de l'éducation un portrait de l'évolution de l'enseignement de la musique dans les classes torontoises dans le contexte particulier de la nouveauté musicale.
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Thèses sur le sujet "Sonorités urbaines"

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Laffont, Charlotte. « La conception du logement à l’expérience des sonorités – COLEXSON : Un prototype construit pour expérimenter à échelle 1 les ambiances sonores de demain depuis un logement ventilé naturellement ». Electronic Thesis or Diss., Université Grenoble Alpes, 2024. http://www.theses.fr/2024GRALH014.

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Résumé :
Dans les théories et pratiques architecturales et urbaines, dans les réglementations et les labels de la construction, le son est abordé principalement comme une source de bruit, de nuisance contre lequel il faut isoler le logement. Malgré cela, les constats répétés de manque de qualité sonore des lieux de vie révèlent l’insuffisance de cette approche et la nécessité d’aborder la conception sonore par des outils complémentaires.Comment introduire l’écoute dans la conception des logements collectifs afin qu’ils répondent aux enjeux de la ville de demain et participent à une bonne qualité de vie ? Les espaces intermédiaires, situés entre les écoutes de la sphère privée et celles de la dimension publique, jouent-ils un grand rôle dans les perceptions quotidiennes ? Que peut-on retenir du vécu sonore des usager.ère.s dans les formes architecturales construites qui pourrait intéresser la future écoute de la ville ?Pour y répondre, nous allons nous intéresser aux écoutes de trois catégories d’espaces intermédiaires dans des formes architecturales historiques et contemporaines : les espaces de transition (hall, cour intérieure, etc.), les espaces extérieurs aux abords des logements (terrasse partagée, toiture, balcon, etc.) et l’enveloppe bâtie (double peau, fenêtre).Pour imaginer les écoutes de la ville et du logement avec l’urbanité post-carbone nous allons nous intéresser aux sons des sociabilités, ceux du paysage naturel, aux sons technologiques et à ceux des mobilités. Dans la prospective d’une ville aux nombreux aléas climatiques, nous imaginons une diversité d’usages et de cultures, des programmations mixtes, des mobilités douces (moteurs hybrides et électriques notamment), des proximités et des voisinages apportés par la densité. Les épisodes caniculaires annoncés nécessitent dès à présent de penser à des moyens de rafraîchir les logements. Comment va-t-on pouvoir vivre dans la densité avec les sons du dehors ? Comment rafraîchir un logement par une ventilation naturelle tout en apportant une modulation de l’écoute ?Cette thèse, réalisée dans le cadre d’un contrat A.N.R.T.-C.I.F.R.E. au sein du B.E.T. LASA, est rattachée au laboratoire A.A.U.-CRESSON et à la chaire de recherche « Habitat du futur ». Nous sommes convaincus de l’importance de l’expérimentation pour répondre à l’ensemble de ces questions et intégrer l’écoute dans la pratique de l’architecture. C’est pourquoi nous testerons des outils concrets et appréhensibles par les acteur.ice.s d’un projet. Une analyse d’un projet à Villeurbanne (69), le macro-lot B, sera réalisée dès les premières phases de conception pour anticiper ses ambiances sonores et les modulations d’écoute qu’il pourrait apporter. La conception d’un prototype à échelle 1:1 d’ECHAfaudage SONore – ECHASON – visera à expérimenter ses futures ambiances depuis un logement ventilé naturellement et depuis ses espaces intermédiaires. N’ayant pas pu être réalisé dans sa taille maximale, ce seront finalement deux prototypes de dispositifs de ventilation naturelle intégrant un filtrage sonore qui ont été construits et expérimentés avec des acteur.ice.s du projet. Plusieurs bandes sonores anticipant des espaces intermédiaires du macro-lot B ont pu être expérimentées avec des futur.e.s habitant.e.s de ce projet. Les résultats obtenus ont permis d’aboutir à l’ébauche de trois cahiers des charges pour intégrer la dimension sonore dans les futurs concours d’architecture et d’urbanisme. La qualité de l’environnement sonore doit être intégrée à la conception des logements au même titre que les préoccupations sur l’ensoleillement, la qualité de l’air ou encore le confort d’été. Cela représente un enjeu social, économique et sanitaire. C’est en cela que ce travail défend l’idée d’une conception des logements par l’écoute qui ne se fasse plus uniquement de manière défensive ou corrective mais plutôt de manière créative et engagée
In architectural and urban theories and practices, in building regulations and labels, sound is approached primarily as a source of noise and nuisance, against which housing must be insulated. Despite this fact, repeated reports of a lack of sound quality in living spaces have revealed the inadequacy of this approach, and the need for complementary tools to address sound design.How can we introduce listening into the design of multi-family housing so that it meets the challenges of tomorrow's city and contributes to a good quality of life? Do intermediate spaces, located between the private and public spheres, play a major role in everyday perceptions? What can we learn from users' experience of sound in built architectural forms that might be of interest to future city listening?To answer this question, we're going to look at three categories of intermediate spaces in historic and contemporary architectural forms : transitional spaces (hall, inner courtyard, etc.), outdoor spaces around dwellings (shared terrace, roof, balcony, etc.) and the envelope of the building (double skin, window).To imagine the sounds of the city and housing in post-carbon urbanity, we're going to look at the sounds of sociability, the sounds of the natural landscape, technological sounds and the sounds of mobility. Looking ahead to a city with many climatic hazards, we imagine a diversity of uses and cultures, mixed-use programming, soft mobility (hybrid and electric motors in particular), proximity enhanced by density. With heatwaves on the horizon, we need to start thinking about ways on how cooling our homes. How can we live in density with the sounds of the outside world ? How can we cool a home with natural ventilation, while at the same time modulating the listening experience ?This thesis, carried out under an A.N.R.T.-C.I.F.R.E. contract within the B.E.T. LASA, is linked to the A.A.U.-CRESSON laboratory and the "Habitat of the Future" research chair. We are convinced of the importance of experimentation in answering all these questions and integrating the listening experience into the practice of architecture. That's why, throughout this work, we'll be experimenting with concrete tools that can be grasped by those involved in a project. An analysis of a project in Villeurbanne (69), the « macro-lot B », will be carried out in the early design phases to anticipate its sound ambiances and the listening modulations it could bring. The design of a 1:1 scale prototype of ECHASON - ECHAfaudage SONore - will be intended to experiment with its future environment of a naturally ventilated dwelling and from its intermediate spaces. As the project could not be carried out to its maximum size, two prototypes of natural ventilation systems incorporating sound filtration were built and tested with the project's actors. Several soundtracks anticipating the intermediate spaces of macro-lot B were tested with future residents of the project. The results led to the drafting of three specifications for integrating the sound dimension into future architectural and urban planning competitions. The quality of the sound environment must be integrated into housing design in the same way as concerns about sunlight, air quality and summer comfort. This represents a social, economic and health issue. In this perspective, this work defends the idea of designing housing through listening, not anymore in a defensive or corrective way, but rather in a creative and committed way
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Defrance, Camille Adrien. « Réguler les sonorités de l’espace public nocturne : le cas d’un quartier parisien en gentrification, Oberkampf ». Thesis, Paris 10, 2017. http://www.theses.fr/2017PA100022/document.

Texte intégral
Résumé :
Cette recherche traite des modes de régulation du bruit et des perceptions habitantes dans un quartier animé du centre ancien de Paris. Par bruit, il est question des sources sonores humaines et non mécaniques. L’analyse porte à la fois sur les négociations autour de l’espace public que de l’espace privé. Le point de départ de ce travail de thèse est la mise à l’agenda politique de la lutte contre les nuisances sonores nocturnes à Paris. Il intervient dans un débat sur l’aménagement des centres-villes, entre attractivité et résidentialité, qui est généralisable aux espaces festifs de la jeunesse dans les villes globalisées. Nous proposons d’étudier la politique de lutte contre le bruit à l’échelle de la ville mais plus particulièrement à l’échelle de quelques rues dites « festives » et à la façon dont les habitants se comportent vis-à-vis de leur environnement sonore. Compte tenu de la complexité du phénomène sonore et de la spécificité du terrain, notre démarche s’inscrit dans une approche pluridisciplinaire au carrefour de l’urbanisme, de la sociologie de l’action publique, de la sociologie de la gentrification, de l’histoire sociale, de l’anthropologie et de la psycho-acoustique. La méthodologie, elle-même plurielle, s’appuie notamment sur une campagne d’entretiens auprès des différents acteurs locaux (habitants, commerçants, élus etc.) sur la pratique des archives et sur des observations microsociologiques
This study deals with the different modes of noise control in a bustling neighbourhood of historical Paris city centre, busy by day and night, and with its resident’s perception of noise. Our definition of noise is restricted to human and non mechanical sound sources. Our analysis is concerned both with public and private space related arrangements. This thesis research started as a campaign against nighttime noise pollution was brought onto Paris political agenda. Our work comes up within a debate on city centre planning, between urban attractivity and residential comfort issues, which could be generalised to any lively nightlife areas attracting young crowds in globalised cities. We offer to examine the anti-noise pollution policy at the city level, and more specifically at the level of a few bustling streets, and to analyse the way the residents of these streets react to their sound environment. With regards to the complexity of the sound phenomenon and because of the specificity of the fieldwork, we have opted for a cross-circular approach at the intersection between urbanism, public action sociology, gentrification studies, social history, anthropology and psychoacoutics. Our methodology also relied on a number of tools such as a set of interviews with different local agents (residents, shopkeepers, elected representatives, etc.), archival research and micro-sociological observations
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Chapitres de livres sur le sujet "Sonorités urbaines"

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Marry, Solène. « Sonorités urbaines ». Dans La petite musique des territoires, 175–91. CNRS Éditions, 2014. http://dx.doi.org/10.4000/books.editionscnrs.24922.

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