Articles de revues sur le sujet « Somesthésique »

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1

Pillot-Loiseau, Claire. « Evolution et prise en compte des représentations et ressentis d’apprenants de la prononciation du français ». SHS Web of Conferences 78 (2020) : 07008. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/20207807008.

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Résumé :
Dans cette étude exploratoire à caractère psychophonétique, les représentations et ressentis de la prononciation du français de 98 apprenants ont été étudiés. Après l’analyse des résultats d’un questionnaire proposé à cette population avant et après une période d’exposition en France de 3 mois, comprenant une formation phonétique, nous exposons les implications pédagogiques conséquentes de ces résultats à des fins formatives. Notre population a une représentation plus positive de la prononciation, de la musique, des voyelles puis des consonnes françaises après 3 mois. Les sensations somesthésiques au niveau de la bouche et de l’énergie articulatoire ne sont pas aussi positives : les termes négatifs dominent, même après les 3 mois, de façon cependant moindre. Ceci invite l’enseignant à privilégier ce travail somesthésique et corporel dans la formation de ces personnes, ainsi que, notamment, une meilleure connaissance de ces individus au travers de la verbalisation et du dialogue.
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2

Tranier, S., B. Chevallier, D. Lemaigre, F. Liot, B. Lagardère et J. P. Gallet. « Potentiel évoqué somesthésique du membre inférieur chez le nouveau-né prématuré ». Neurophysiologie Clinique/Clinical Neurophysiology 20, no 6 (décembre 1990) : 463–79. http://dx.doi.org/10.1016/s0987-7053(05)80103-0.

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3

Zeid Belhabib, Aboubaker, Rachida Hantala, Mourad Zamoum et Athmane Chaouch. « Étude des PES dans l’évaluation de la réorganisation corticale somesthésique après lésions nerveuses post-traumatiques ». Neurophysiologie Clinique/Clinical Neurophysiology 47, no 3 (juin 2017) : 190–91. http://dx.doi.org/10.1016/j.neucli.2017.05.014.

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4

Zennou-Azogui, Y., N. Catz, K. Sadlaoud, D. Sauvajon et C. Xerri. « Plasticité fonctionnelle dans l’hémisphère controlatéral à une atteinte ischémique du cortex somesthésique chez le rat. Approche en imagerie optique extrinsèque ». Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation 33 (septembre 2014) : A169. http://dx.doi.org/10.1016/j.annfar.2014.07.283.

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5

Hamon, M. « La douleur pour les nuls ». European Psychiatry 30, S2 (novembre 2015) : S1. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.014.

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Résumé :
Selon l’International Association for the Study of Pain (IASP), la douleur est « une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable, associée à une lésion tissulaire réelle ou potentielle, ou décrite en ces termes ». D’après cette définition, la douleur correspond à la fois à un phénomène perceptif et à un vécu subjectif, et une intrication étroite existe entre ces composantes. De fait, les voies nerveuses qui conduisent les messages nociceptifs se projettent non seulement sur des structures cérébrales qui intègrent les paramètres physicochimiques de la sensation douloureuse (thalamus, cortex somesthésique) mais aussi sur celles qui en évaluent l’impact émotionnel aversif et déclenchent des réponses neurovégétatives, cognitives et comportementales adaptées ou non (aire parabrachiale latérale, noyau central de l’amygdale, hypothalamus, insula) . Cette organisation anatomique est en rapport avec les données cliniques qui attestent d’une forte co-morbidité entre les douleurs chroniques et des désordres affectifs tout particulièrement . Alors que les douleurs aiguës (nociceptives) et les douleurs chroniques inflammatoires mettent en jeu des mécanismes neurobiologiques bien connus aujourd’hui, les douleurs chroniques neuropathiques, ou de type neuropathique (par ex. : fibromyalgie), sont toujours l’objet d’intenses investigations . Leur prévalence est élevée (7 % de la population générale), et les traitements disponibles n’ont qu’une efficacité et une tolérabilité limitées. Certains antidépresseurs sont prescrits en première intention, mais leur NNT (« number needed to treat ») reste élevé (NTT = 4–6), même pour une réduction effective de la sensation douloureuse de seulement 30 %. En réalité, la prescription d’antidépresseurs ne résulte que d’observations empiriques, et le développement de traitements véritablement adaptés et efficaces ne pourra se faire qu’au prix d’une connaissance approfondie des mécanismes neurobiologiques en cause. À cet égard, les études actuelles qui portent sur l’impact des interactions neurone-glie , de modifications épigénétiques induites au cours de la prime enfance et/ou l’adolescence, et/ou d’altérations affectant le microbiote semblent très prometteuses.
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6

Grebot, Elisabeth, et Benjamin Paty. « Sous-capacités d'imagerie et suggestibilité. Le rôle de trois sous-capacités (vivacité, contrôle, stabilité) d'imagerie (visuelle, auditive et somesthésique) dans deux dimensions de la suggestibilité (idéationnelle et motrice non volontaire) ». Bulletin de psychologie Numéro 479, no 5 (2005) : 549. http://dx.doi.org/10.3917/bupsy.479.0549.

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Jaafari, N. « AFPBN – Insight et empathie en psychiatrie ». European Psychiatry 30, S2 (novembre 2015) : S90—S91. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.390.

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Résumé :
L’insight et l’empathie sont deux notions fondamentales en psychiatrie. Fondamentales, certes, mais difficiles à étudier lorsqu’on tente de les interroger de façon conjointe. En effet, à première vue, l’empathie et l’insight semblent s’opposer au point de vue phénoménologique mais aussi différer au point de vue neurofonctionnel. L’insight et l’empathie renvoient tout d’abord à des phénomènes, sinon contraires, du moins inverses. L’insight est un terme anglais sans équivalence en français, traduit par le terme d’« introvision » ou « voir à l’intérieur de » (« insight into »). En psychiatrie, il renvoie à la conscience qu’a le patient de son trouble, c’est-à-dire à la conscience qu’a le patient de lui-même comme sujet malade et de cette maladie comme étant la sienne. L’objet intentionnel de l’insight est, donc, le Soi en relation à sa pathologie. L’empathie est la traduction de l’allemand « Einfu - hlung » qui signifie « sentir [fu - hlen] dans [ein] ». L’empathie consiste en un processus mental de décentrement ou de transposition de soi dans autrui par lequel nous pouvons vivre et éprouver ce que l’autre vit et éprouve, comprendre le contenu de son expérience mais tout en maintenant la distinction entre soi et autrui. L’objet intentionnel de l’empathie est, par conséquent, autrui. Ainsi, l’insight et l’empathie semblent-ils renvoyer à deux phénomènes dont le mouvement intentionnel est inverse : « voir à l’intérieur de soi » et « sentir dans autrui ». De la même manière, du point de vue psychobiologique et neurofonctionnel, leurs bases neurales sont aussi distinctes : l’insight ferait plutôt intervenir l’insula alors que l’empathie mettrait en jeu un réseau cérébral très largement distribué au sein duquel la jonction temporopariétale aurait un rôle prépondérant. Mais l’empathie et l’insight sont-ils autant exclusifs l’un de l’autre que ce qu’une première approche pourrait laisser penser ? En effet, si l’empathie repose sur un décentrement de soi dans autrui qui permet d’adopter la perspective d’autrui, l’insight semble aussi reposer sur une forme de décentrement de soi par rapport à soi, permettant de prendre une perspective objective sur soi-même. C’est-à-dire de se voir soi-même comme autrui nous verrait de son point de vue. L’insight, dans sa dimension métacognitive, serait-il possible sans le développement des capacités empathiques de décentrement ? Inversement, comment le décentrement de soi dans autrui dans l’empathie qui repose sur des codages complexes du corps propre dans l’espace serait-il possible sans l’insight somesthésique ? En outre, certaines données de neuro-imagerie récentes montrent l’implication de l’insula dans l’empathie. Et on connaît l’implication de la jonction temporopariétale dans la conscience du Soi corporel. Sommes-nous alors face à des paradoxes ? Comment peut-on aller plus loin dans la compréhension de ces deux concepts ? Ces phénomènes peuvent-ils être étudiés en recherche translationnelle et être modélisés chez l’animal en vue d’une meilleure étude physiopathologique ? Quel serait le comportement empathique d’un animal par rapport à un autre en difficulté ? Que nous disent les premiers résultats en neuroscience psychiatrique (issus d’études réalisées dans le cadre d’un travail collaboratif entre l’unité de recherche clinique au centre hospitalier Henri-Laborit à Poitiers et l’équipe du Pr Alain Berthoz au Collège de France ? Nous espérons que ce symposium et les différents échanges formels et informels que nous y aurons nous permettront de clarifier l’interrelation de ces deux concepts.
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Praline, Julien, Hélène-Marie Lanoiselee, Grégoire Du Passage et Steve Remer. « Potentiels évoqués somesthésiques dans les polyradiculonévrites inflammatoires chroniques ». Neurophysiologie Clinique/Clinical Neurophysiology 46, no 2 (avril 2016) : 91. http://dx.doi.org/10.1016/j.neucli.2016.05.063.

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Olivié, X. « Somesthésie et déficiences du schéma corporel ». Neurophysiologie Clinique/Clinical Neurophysiology 42, no 6 (décembre 2012) : 399. http://dx.doi.org/10.1016/j.neucli.2012.09.042.

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Boisseau, N., F. M.A.rtin, E. Couadau, E. Lhubat, G. Slepchenko, C. Dolisi, M. Raucoules et D. Grimaud. « R442 Effets du sévoflurane vs propofol sur les potentiels évoqués somesthésiques ». Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation 17, no 8 (janvier 1998) : 1031. http://dx.doi.org/10.1016/s0750-7658(98)80558-3.

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Dogui, M., N. Mrizak, M. Yacoubi, B. Ben Hadj Ali et J. Paty. « Potentiels évoqués somesthésiques du trijumeau chez des travailleurs manipulant le trichloréthylène ». Neurophysiologie Clinique/Clinical Neurophysiology 21, no 2 (mai 1991) : 95–103. http://dx.doi.org/10.1016/s0987-7053(05)80064-4.

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Lanoiselée, Hélène-marie, Julien Praline, Steeve Remer et Bertrand de Toffol. « Potentiels Evoqués Somesthésiques pour le diagnostic de polyradiculonévrites inflammatoires démyélinisantes chroniques ». Revue Neurologique 171 (avril 2015) : A22—A23. http://dx.doi.org/10.1016/j.neurol.2015.01.045.

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Facchini, Justine, Guillaume Rastoldo, David Péricat, Isabelle Watabe, Yoh’i Zennou-Azogui, Brahim Tighilet et Christian Xerri. « La neurotomie vestibulaire unilatérale induit un remodelage des cartes corticales somesthésiques ». Neurophysiologie Clinique 49, no 6 (décembre 2019) : 451. http://dx.doi.org/10.1016/j.neucli.2019.10.121.

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El Kharroussi, M., V. Ibanez, W. Ben Jelloun, M. Hugon et F. Mauguière. « Potentiels évoqués somesthésiques : Interférences et masquage perceptif des afférences cutanées chez l'homme ». Neurophysiologie Clinique/Clinical Neurophysiology 26, no 2 (janvier 1996) : 85–101. http://dx.doi.org/10.1016/0987-7053(96)83149-2.

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Coste, Bertrand. « Prix Nobel de physiologie ou médecine 2021 ». médecine/sciences 38, no 1 (janvier 2022) : 96–98. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2021248.

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Résumé :
David Julius, 65 ans, professeur à l’université de Californie à Los Angeles (UCLA), et Ardem Patapoutian, 54 ans, professeur à l’institut de recherche Scripps à la Jolla (Californie), ont reçu le prix Nobel de physiologie ou médecine 2021 pour « leurs découvertes des récepteurs de la température et du toucher ». Leurs travaux sur la somesthésie, un sens global qui nous renseigne sur les forces physiques s’exerçant au sein de notre organisme et sur notre peau, ont permis de répondre à une question fondamentale : comment les stimulations thermiques et mécaniques sont-elles converties en signaux électriques dans le système nerveux ? Ces travaux ont conduit à l’identification des canaux ioniques qui sont à l’interface entre notre corps et son environnement.
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Bimar-Blanc, M. C., J. M. DeJode et J. Bimar. « Effets de l'isoflurane et de l'halothane sur les potentiels évoqués auditifs et somesthésiques ». Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation 7, no 4 (1988) : 279–88. http://dx.doi.org/10.1016/s0750-7658(88)80029-7.

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Boulard, G., et M. P. Benetier. « Effets de l'isoflurane et de l'halothane sur les potentiels évoqués auditifs et somesthésiques ». Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation 8, no 4 (janvier 1989) : 386. http://dx.doi.org/10.1016/s0750-7658(89)80089-9.

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Lille, F., B. Petit, S. Margules, C. Mazel et R. Roy-Camille. « Potentiels évoqués somesthésiques au cours des interventions orthopédiques sur le rachis de l'adulte ». Neurophysiologie Clinique/Clinical Neurophysiology 23, no 2-3 (mai 1993) : 179–92. http://dx.doi.org/10.1016/s0987-7053(05)80229-1.

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Giraud, P., et F. Mauguière. « Potentiels évoqués somesthésiques dans la polyarthrite rhumatoïde avec atteinte radiologique du rachis cervical ». Neurophysiologie Clinique/Clinical Neurophysiology 27, no 1 (janvier 1997) : 33–50. http://dx.doi.org/10.1016/s0987-7053(97)89868-1.

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Salhi, Hayet, Philippe Corcia, Steeve Remer et Julien Praline. « Place des potentiels évoques somesthésiques dans le diagnostic des polyradiculonévrites inflammatoires démyélinisantes chroniques ». Revue Neurologique 168 (avril 2012) : A126. http://dx.doi.org/10.1016/j.neurol.2012.01.323.

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Xerri, Christian. « 1.2. Plasticité des représentations somesthésiques et illusions perceptives : le paradoxe du membre fantôme ». Intellectica. Revue de l'Association pour la Recherche Cognitive 36, no 1 (2003) : 67–87. http://dx.doi.org/10.3406/intel.2003.1677.

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El Kharroussi, M., D. Françon, W. Ben Jelloun et M. Hugon. « Potentiels évoqués somesthésiques : morphologie et relations interaréales SI-MI chez le singe (Papio papio) ». Neurophysiologie Clinique/Clinical Neurophysiology 26, no 5 (janvier 1996) : 279–99. http://dx.doi.org/10.1016/s0987-7053(97)85096-4.

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El Kharroussi, M., D. Françon, W. Benjelloun et M. Hugon. « Potentiels évoqués somesthésiques proprioceptifs et cutanés chez le babouin : Cycles d'excitabilité et inhibitions GABAergiques ». Neurophysiologie Clinique/Clinical Neurophysiology 27, no 2 (avril 1997) : 89–108. http://dx.doi.org/10.1016/s0987-7053(97)85662-6.

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Lemaitre, A., D. Rodriguez et M. Mayer. « Étude des potentiels évoqués somesthésiques au cours du syndrome de la démarche en danseuse ». Neurophysiologie Clinique/Clinical Neurophysiology 27, no 2 (avril 1997) : 160. http://dx.doi.org/10.1016/s0987-7053(97)85707-3.

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Chomienne, Loïc, Cédric Goulon, Gaëtan Parseihian et Lionel Bringoux. « Perception de la verticale en présence d’indices d’orientation visuels ou sonores : vers une dépendance allocentrée ? » Movement & ; Sport Sciences - Science & ; Motricité, no 108 (2020) : 33–37. http://dx.doi.org/10.1051/sm/2019036.

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Résumé :
L’étude de la perception de la verticale initiée par Witkin et Asch (1948) a abouti au concept de dépendance à l’égard du champ, distinguant les individus dans leur propension à être influencés par l’inclinaison d’un cadre visuel sur le jugement de la direction gravitaire (i.e., verticale subjective [VS]). Depuis, cette dépendance est souvent considérée comme révélatrice d’une sensibilité préférentielle aux informations visuelles par rapport à d’autres modalités sensorielles (e.g., vestibulaires ou somesthésiques). Ce travail pilote vise à reconsidérer la notion de dépendance à l’égard du champ dans la perception spatiale. Nous faisons l’hypothèse que des informations d’orientation issues d’un même cadre de référence centré sur l’environnement (i.e., référentiel allocentré) puissent conduire à une distinction comparable entre participants, quelle que soit la modalité sensorielle considérée. Face à deux scènes allocentrées (visuelle et sonore), 23 participants ont été testés sur une tâche d’ajustement de la VS. Nos résultats montrent une forte corrélation entre les ajustements dans les deux conditions sensorielles où la scène allocentrée était inclinée. Ceci suggère que les individus peuvent se différencier dans le traitement des informations spatiales issues d’un même cadre de référence, et ce de la même façon quelle que soit la modalité sensorielle permettant de relayer ces informations.
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Sonnet, ML, D. Perrot, D. Floret, Y. Bouffard, J. Godard, P. Garde et J. Motin. « Les potentiels évoqués somesthésiques (PESp) et auditifs (PEAp) précoces dans les comas anoxiques : valeur pronostique ». Neurophysiologie Clinique/Clinical Neurophysiology 23, no 2-3 (mai 1993) : 227–36. http://dx.doi.org/10.1016/s0987-7053(05)80232-1.

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van Rijckevorsel-Harmant, K. « P3 après stimulations auditives et somesthésiques chez des patients atteints de la maladie de Huntington ». Neurophysiologie Clinique/Clinical Neurophysiology 22, no 1 (mars 1992) : 17–25. http://dx.doi.org/10.1016/s0987-7053(05)80004-8.

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Pruvost-Robieux, Estelle, Rabab Debs, Thierry Maisonobe, Tanya Stojkovic, Timothée Lenglet et Julie Zyss. « Ganglionopathie héréditaire avec toux chronique : phénotype clinique et aspects neurophysiologiques ; étude avec Potentiels Évoqués Somesthésiques ». Neurophysiologie Clinique 48, no 4 (septembre 2018) : 242. http://dx.doi.org/10.1016/j.neucli.2018.06.058.

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Pierrat, V., P. Eken, P. Trulliert, C. Duquennoy et LS De Vries. « Potentiels évoqués somesthésiques chez des nouveau-nés prématurés porteurs d'un retard de croissance intra-utérin ». Archives de Pédiatrie 3, no 12 (décembre 1996) : 1291. http://dx.doi.org/10.1016/s0929-693x(97)85966-0.

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Guérit, JM, P. Baele, M. de Tourtchaninoff, L. Soveges et R. Dion. « Le suivi par potentiels évoqués somesthésiques des patients adultes subissant un arrêt circulatoire sous hypothermie profonde ». Neurophysiologie Clinique/Clinical Neurophysiology 23, no 2-3 (mai 1993) : 193–208. http://dx.doi.org/10.1016/s0987-7053(05)80230-8.

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Chéliout-Héraut, F., MC Durand, E. Desterbecq, O. Dizien et J. de Lattre. « Apport des potentiels évoqués visuels, auditifs et somesthésiques dans le diagnostic d'une carence en vitamine B12 ». Neurophysiologie Clinique/Clinical Neurophysiology 27, no 1 (janvier 1997) : 59–65. http://dx.doi.org/10.1016/s0987-7053(97)89870-x.

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Aron, Olivier, Laurent Koessler, Sophie Colnat-Coulbois, Jean-Pierre Vignal, Louis Maillard et Louise Tyvaert. « Intérêt des potentiels évoqués somesthésiques intracrâniens pour le mapping fonctionnel du cortex sensorimoteur : étude de cas ». Neurophysiologie Clinique/Clinical Neurophysiology 47, no 3 (juin 2017) : 187–88. http://dx.doi.org/10.1016/j.neucli.2017.05.006.

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Baton, O., X. de Kérangal, J. L. Renard, Y. Diraison et B. Baranger. « Monitorage cérébral par potentiels évoqués somesthésiques en chirurgie carotidienne. À propos d'une série de 141 carotides opérées ». Journal des Maladies Vasculaires 32, no 3 (juillet 2007) : 148–51. http://dx.doi.org/10.1016/j.jmv.2007.05.002.

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Borrissov, B., O. Langeron, F. Lille, A. Gomola, G. Saillant, B. Riou et P. Viars. « Effets de l'association propofol-sufentanil sur les potentiels évoqués somesthésiques au cours de la chirurgie du rachis ». Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation 14, no 4 (janvier 1995) : 326–30. http://dx.doi.org/10.1016/s0750-7658(05)80598-2.

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Chéliout-Héraut, F., T. Masri-Zada, G. Loubert, J. Pasteryer et J. de Lattre. « Intérêt des potentiels évoqués somesthésiques (PES) et moteurs (PEM) chez les patients ayant un trauma du rachis ». Neurophysiologie Clinique/Clinical Neurophysiology 27, no 2 (avril 1997) : 148–49. http://dx.doi.org/10.1016/s0987-7053(97)85680-8.

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Decocq, P., H. Sequeira, E. Bocquet et J. Honoré. « Somesthésie mandibulaire et posture anti-gravitaire : étude stabilométrique des effets de cales de désocclusion ». Neurophysiologie Clinique/Clinical Neurophysiology 44, no 5 (novembre 2014) : 507–8. http://dx.doi.org/10.1016/j.neucli.2014.09.047.

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Seror, P. « Les potentiels évoqués somesthésiques et les potentiels évoqués moteurs étagés dans l'étude de la conduction nerveuse périphérique proximale ». Annales de Chirurgie de la Main et du Membre Supérieur 14, no 3 (janvier 1995) : 182–91. http://dx.doi.org/10.1016/s0753-9053(05)80318-7.

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Grapperon, J., F. Vidal, D. Bruschera, E. Cantais, L. Salinier, O. Costes et B. Palmier. « Les potentiels évoqués cognitifs, auditifs et somesthésiques dans les comas : valeur pronostique pour l’éveil et la réintégration socioprofessionnelle ». Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation 23, no 2 (mars 2004) : 102–8. http://dx.doi.org/10.1016/j.annfar.2003.12.018.

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Laureau, E., M. D. Lamblin, R. Mandel, A. Martinot, F. Leclerc et P. Derambure. « Valeur pronostique des signes cliniques et electrophysiologiques (électroencéphalographie, potentiels évoqués somesthésiques précoces) dans le coma anoxo-ischémique de l’enfant ». Neurophysiologie Clinique/Clinical Neurophysiology 42, no 4 (juin 2012) : 252. http://dx.doi.org/10.1016/j.neucli.2012.04.011.

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André-Obadia, N., P. Garassus et F. Mauguière. « Exploration par les potentiels évoqués moteurs (PEM) des tumeurs intrarachidiennes : corrélations avec les données des potentiels évoqués somesthésiques (PES) ». Neurophysiologie Clinique/Clinical Neurophysiology 26, no 4 (septembre 1996) : 236–46. http://dx.doi.org/10.1016/s0987-7053(96)85005-2.

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Pistarini, C., E. Brignoli, S. Malaguti et A. Contardi. « Importance des potentiels évoqués somesthésiques (PES) corticaux pour le pronostic de récupération de la sensibilité chez les blessés médullaires ». Annales de Réadaptation et de Médecine Physique 39, no 6 (janvier 1996) : 372–73. http://dx.doi.org/10.1016/0168-6054(96)86964-9.

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Jacquesson, T., S. Moucharrafie, N. Obadia et M. Sindou. « Monitorage combiné des potentiels évoqués somesthésiques (PES) et des potentiels évoqués moteurs (PEM) pour la chirurgie des tumeurs intramédullaires. Vidéo présentation ». Neurochirurgie 55, no 4-5 (octobre 2009) : 533. http://dx.doi.org/10.1016/j.neuchi.2009.08.140.

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El Kharroussi, M., D. Françon, W. Ben Jelloun et M. Hugon. « Potentiels évoqués somesthésiques chez le babouin : Localisation intracorticale et nature étudiées par pharmacologie et analyse des puits et sources de courants ». Neurophysiologie Clinique/Clinical Neurophysiology 26, no 3 (janvier 1996) : 143–57. http://dx.doi.org/10.1016/0987-7053(96)89625-0.

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Pérennou, D., M. Enjalbert, E. Viel, J. Pélissier et JJ Eledjam. « Neurolyse chimique à l'alcool du nerf tibial : y a-t-il des effets indésirables sur la somesthésie ? » Annales de Réadaptation et de Médecine Physique 39, no 6 (janvier 1996) : 416. http://dx.doi.org/10.1016/0168-6054(96)87060-7.

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Cheliout-Héraut, F., O. Daunois, JC Pouliquen et J. de Lattre. « Intérêt des potentiels évoqués somesthésiques dans la surveillance de la chirurgie du rachis chez l'enfant et l'adolescent : à propos de 110 cas ». Neurophysiologie Clinique/Clinical Neurophysiology 23, no 2-3 (mai 1993) : 163–78. http://dx.doi.org/10.1016/s0987-7053(05)80228-x.

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Ghariani, S., J. Spaey, L. Liard, R. Verhelst, G. El Khoury, P. Noirhomme, Y. d’Udekem, A. Matta, R. Dion et JM Guérit. « Sensibilité, spécificité et impact sur la stratégie chirurgicale du neuromonitorage peropératoire par potentiels évoqués somesthésiques en chirurgie vasculaire pratiquée avec arrêt circulatoire sous hypothermie profonde ». Neurophysiologie Clinique/Clinical Neurophysiology 28, no 4 (septembre 1998) : 335–41. http://dx.doi.org/10.1016/s0987-7053(98)80004-x.

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Szurhaj, William, Etienne Labyt, Jean‐Louis Bourriez, François Cassini, Luc Defebvre, Jean‐Jacques Hauser, Jean‐Daniel Guieu et Philippe Derambure. « Variations de l'activité des rythmes EEG en relation à un événement. Application à la physiologie et à la pathologie du mouvement ». Epileptic Disorders 3, SP1 (décembre 2001). http://dx.doi.org/10.1684/j.1950-6945.2001.tb00412.x.

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Résumé :
RÉSUMÉ La traduction la plus classique d'un événement répété sur l'électroencéphalogramme (EEG) est le potentiel évoqué dont la mise en évidence repose sur le moyennage de l'EEG. La condition nécessaire à cette technique est qu'il existe une relation de phase entre le stimulus et le potentiel évoqué par ce stimulus. La réactivité des rythmes EEG induite par un événement ne peut donc pas être mise en évidence par une simple technique de moyennage, cette réactivité ne survenant pas toujours à la même phase du signal. L'étude de cette réactivité est possible par la méthode des Désynchronisations et Synchronisations Liées à l'Événement (DLE/SLE) proposée par Pfurtscheller et Aranibar en 1977. Cette méthode consiste à mesurer l'évolution temporelle de la puissance du signal EEG dans une bande de fréquence donnée, avant, pendant, et après un événement. La DLE correspond à l'atténuation d'amplitude d'un rythme EEG en rapport avec un événement. Inversement, une augmentation d'amplitude en relation avec l'événement correspond à une SLE. Les DLE traduisent l'activation des aires corticales sous‐jacentes. Les SLE traduiraient en partie la mise au repos du cortex, et probablement également des phénomènes de réafférentation somesthésique. Cette méthode peut être appliquée à l'étude de nombreux processus: mnésiques, auditifs, attentionnels, anticipatoires et moteurs. Ainsi un mouvement volontaire auto‐commandé de la main dominante s'accompagne d'une DLE précoce des rythmes mu et bêta précédant le mouvement de respectivement 2 000 et 1 500 ms, enregistrée en regard de la région centrale contralatéral. Cette DLE devient bilatérale au début du mouvement et est maximale à la fin de celui‐ci. Elle est alors suivie d'une SLE des rythmes bêta. Nous montrons que ces phénomènes de DLE/SLE varient en fonction du type de mouvement, et permettent d'explorer les modifications de l'excitabilité corticale rencontrées au cours de la maladie de Parkinson et de l'épilepsie avec crises motrices.
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« Communications libres VIII : Potentiels évoqués somesthésiques ». Revue d&'apos;Electroencéphalographie et de Neurophysiologie Clinique 17 (mai 1987) : 203s. http://dx.doi.org/10.1016/s0370-4475(87)80028-x.

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Bloch, Béatrice. « TÉNUS LIENS TENUS ENTRE LES ARTS ». Relations intersémiotiques arts-littérature 6 (12 mars 2018). http://dx.doi.org/10.7202/1043745ar.

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Résumé :
Comment analyser les arts et faire apparaitre leurs relations ? Un parcours des liens entre les arts, formulé par Deleuze et Nancy, aboutit à fonder les relations interartistiques ou bien sur la somesthésie, ou bien sur le jeu de la métaphore qui fait circuler d’une sensorialité à l’autre par le langage. Nous présentons une expérience de réception de musique et de texte, menée auprès d’étudiants de troisième année en licence de lettres. Les étudiants ont choisi une musique et un texte qui leur apparaissaient semblables quant aux atmosphères que les deux oeuvres proposaient. Ils ont qualifié synthétiquement ces ressemblances. Ils ont ensuite affiné l’analyse musicale et textuelle pour chercher les points communs entre les caractères de ces oeuvres. Le but est de faire acquérir une méthode pour comparer les oeuvres mais aussi un vocabulaire et une aptitude à analyser les percepts dans tel ou tel domaine artistique. La méthode proposée permet à chaque étudiant de qualifier sa réception des oeuvres sur le plan de l’humeur et de la technique.
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