Littérature scientifique sur le sujet « Second XIXe siècle »

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Articles de revues sur le sujet "Second XIXe siècle"

1

Charlap, Cécile. « La naturalisation de la ménopause ». Emulations - Revue de sciences sociales, no 15 (7 septembre 2018) : 49–72. http://dx.doi.org/10.14428/emulations.015.006.

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Résumé :
Cet article aborde le caractère historiquement situé de la ménopause et les différents paradigmes de pensée qui ont construit cette catégorie depuis le XIXe siècle. Que la pléthore sanguine, l’utérus ou les hormones soient convoqués dans l’étiologie des désordres de la ménopause, le genre marque les discours médicaux. Nous analyserons, dans un premier temps, l’invention de la ménopause au début du XIXe siècle en France comme fruit de l’assomption d’un modèle des deux sexes. Nous verrons que cette invention participe du genre, en ce qu’elle affermit une pensée dichotomique et essentialisante construisant une physiologie féminine troublée et à réguler. Nous montrerons, dans un second temps, que la conception hormonale du corps développée dans les années 1920 construit la ménopause comme déficience principielle. Le genre procède aujourd’hui d’une essentialisation du féminin à partir du prisme hormonal.
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2

Ferland, Rémi. « Rêver la Nouvelle-France au xixe siècle ». Tangence, no 90 (2 septembre 2010) : 71–87. http://dx.doi.org/10.7202/044341ar.

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Résumé :
L’histoire de la Nouvelle-France se rencontre, comme thème d’inspiration et référence motivante, dans la littérature québécoise du xixe siècle, le plus souvent sous une forme idéalisée, mais parfois avec la distance implicite d’une lecture au second degré, en dépit du peu de latitude idéologique alors accordé aux auteurs au regard du credo collectif. La présente étude propose un survol de cette représentation, ainsi que de ses contraintes dans trois romans publiés plus d’un siècle après le Régime français, mais profondément, encore que diversement, marqués par cette période, soit Pierre et Amélie d’Édouard Duquet (1866), Une horrible aventure de Vinceslas-Eugène Dick (1875) et Nicolas Perrot ou les Coureurs des bois sous la domination française de Georges Boucher de Boucherville (1889).
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Beaulieu, Étienne. « Chateaubriand et le cloître du temps. » Études littéraires 37, no 2 (11 octobre 2006) : 31–41. http://dx.doi.org/10.7202/013669ar.

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Résumé :
RésuméRomantique hanté par le classicisme de Massillon ou de Bossuet, exilé dans le siècle des révolutions mais se rêvant à l’époque de Louis XIV, Chateaubriand n’a d’ancrage que dans un Moyen Âge dont l’intertexte fait défaut. S’il n’a cessé de prendre le Grand Siècle pour modèle, il n’en demeure pas moins une ambiguïté irréductible dans son rapport au siècle classique, qui fait d’une part office d’écran sur lequel il peut projeter sa non-coïncidence au XIXe siècle, mais qui d’autre part, dans le sens second de l’expression, fait écran au Moyen Âge dans lequel il entend ancrer sa légende de façon tacite et aussi inaperçue que Rancé réformant la Trappe en regard des prescriptions médiévales de l’ordre cistercien.
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Nizard, Lucie. « Le rêve d’une légèreté perdue, ou le XVIIIe siècle au regard du second XIXe siècle ». Romantisme 187, no 1 (2020) : 122. http://dx.doi.org/10.3917/rom.187.0122.

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Picon, Antoine, et Konstantinos Chatzis. « La formation des ingénieurs français au siècle dernier. Débats, polémiques et conflits. » L’Orientation scolaire et professionnelle 21, no 3 (1992) : 227–43. http://dx.doi.org/10.3406/binop.1992.1402.

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Résumé :
L’évolution des écoles d’ingénieurs au siècle dernier, les débats qu’elles connaissent concernant la formation à donner à leurs élèves et le rôle qui doit être le leur dans la société, peuvent nous renseigner utilement sur certains traits caractéristiques de la profession d’ingénieur en France. Parmi ces traits figure le poids d’une formation initiale où la place des sciences est synonyme de prestige tandis qu’une initiation technique trop poussée tend à reléguer ceux qui la reçoivent parmi les cadres de second rang. La persistance de ce type de critère s’accompagne de tensions dont on peut là encore repérer l’émergence au XIXe siècle. Peut-être est-il temps de s’en affranchir définitivement aujourd’hui.
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Perru, Olivier. « diffusion des sciences au XIXe siècle et l’Église catholique ». Revue des questions scientifiques 190, no 1-2 (1 janvier 2019) : 151–80. http://dx.doi.org/10.14428/qs.v190i1-2.69473.

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Résumé :
Cet article compare deux auteurs catholiques du XIXe siècle, l’abbé Moigno et Mgr d’Hulst, qui donnèrent chacun leur vision du rapport entre la religion catholique et le développement des sciences au XIXe siècle. L’abbé François Moigno (1804-1884) est à situer dans le mouvement de diffusion des sciences qui prit de l’ampleur dans la seconde moitié du siècle. Il apparaît comme promouvant une sorte de pluridisciplinarité dans un contexte où, en fait, les disciplines scientifiques ne sont pas encore complètement mûres ni différenciées. S’il est moins engagé dans la diffusion des sciences, Mgr d’Hulst (1841-1896) s’efforça par sa réflexion et son action (l’organisation des congrès des scientifiques catholiques) d’améliorer la possible complémentarité entre sciences expérimentales, philosophie et théologie. À ce titre, il œuvra sans doute davantage dans un sens interdisciplinaire. Ces deux intellectuels se heurtèrent néanmoins à un obstacle méthodologique de taille : l’importance de l’apologétique. C’est ainsi qu’ils furent confrontés à la question de la « science catholique » héritée de la pensée de Lamennais. * * * This article compares two 19th-century Catholic authors, Abbot Moigno and Monsignor d’Hulst, who each imparted their views on the relationship between the Catholic religion and the expansion of science in the 19th century. Abbot François Moigno (1804-1884) was part of the popularization of science movement, which gained momentum in the second half of the century. He seems to promote a kind of multidisciplinary approach in a context where, in fact, scientific disciplines are not yet fully developed or differentiated. Although less committed to the dissemination of scientific knowledge, Mgr d’Hulst (1841-1896) endeavoured, through his thoughts and actions (organising congresses for Catholic scientists), to improve the possible complementarity between experimental science, philosophy and theology. As such, his work was probably more interdisciplinary. These two intellectuals nevertheless encountered a major methodological obstacle: the importance of apologetics. They were thus confronted by the question of « Catholic science » inherited from Lamennais’ thinking.
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Masoni, Giorgia, et Sylviane Tinembart. « Entre pédagogie et idéologie : deux Robinsonnades au cœur de la formation des futurs citoyens suisses ». Voyages éducatifs : histoires de textes et de pratiques pédagogiques, no 18 (19 octobre 2022) : 57–71. http://dx.doi.org/10.57086/sources.87.

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Résumé :
Entre pédagogie et idéologie : deux Robinsonnades au cœur de la formation des futurs citoyens suisses — Si Robinson Crusoé de Daniel Defoe fut un best-seller pour le lectorat du xviiie siècle, il devient le siècle suivant un ouvrage adapté à l’enfance et aux écoles primaires. Dans le cas de la Suisse, le roman est adapté aux divers contextes cantonaux et linguistiques : il se concrétise sous diverses formes et véhicule des messages idéologiques divers. Cette contribution vise ainsi à mettre en évidence les trajectoires de deux abrégés : le premier, datant du premier tiers du xixe siècle, est une réécriture de Robinson destinée à l’enfance et aux écoles vaudoises francophones ; le second, du début du xxe siècle, est introduit dans l’ouvrage officiel de lecture des écoles italophones du canton du Tessin. Dans le cas vaudois, l’ouvrage a pour objectif l’enseignement de la morale. Dans celui du Tessin, c’est la formation sociale du citoyen qui est visée.
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Simard, Jean. « Prêtres et religieux, collecteurs d’images ethnographiques ». Domaines d'action I (Canada français), no 24-25-26 (31 octobre 2013) : 290–302. http://dx.doi.org/10.7202/1019139ar.

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Résumé :
Dès le xviie siècle, des prêtres missionnaires venus de France, tels les jésuites Claude Chauchetière et Louis Nicolas, illustrent les moeurs et coutumes des peuples autochtones de la vallée du Saint-Laurent. Au xixe siècle, des prêtres séculiers et des oblats, particulièrement Norbert Blanchet, Albert Lacombe et Émile Petitot, utilisent à leur tour le crayon et le pinceau pour enseigner aux autochtones de l’Ouest canadien les bases de la foi catholique. Au xxe siècle, la photographie et le cinéma prennent la relève. Albert Tessier (1895-1976) et Maurice Proulx (1902-1988) sont prêtres tous les deux. Le premier utilise l’appareil-photo et la caméra pour saisir les moeurs paysannes et les beautés de son pays, la Mauricie. Le second filme la vie quotidienne des gens qui ont colonisé le vaste territoire de l’Abitibi à la période de la crise économique des années 1930.
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Schweitzer, Claudia, et Christelle Dodane. « Description de l’accent en français : des premiers grammairiens aux premiers phonéticiens (XVIe - début du XXe siècles) ». SHS Web of Conferences 78 (2020) : 09003. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/20207809003.

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Résumé :
L’accent est un phénomène complexe dont les composantes (hauteur, durée, intensité) sont difficilement séparables. Au cours des siècles, deux problèmes se sont posés : il a fallu définir et distinguer ces différentes composantes et décrire les particularités de l’accentuation française (particulièrement l’accent tonique, l’accent oratoire et l’accent secondaire), réputée difficile à analyser par rapport aux autres langues. Nous montrons dans cet article le chemin parcouru par les grammairiens à partir du XVIe siècle qui travaillaient uniquement sur la base de leur perception auditive des phénomènes prosodiques. Dans un second temps, nous exposons les travaux des premiers phonéticiens qui, grâce à la mise au point de la méthode graphique au cours de la deuxième moitié du XIXe siècle, ont réussi à visualiser les différents paramètres de l’accentuation et à décrire des phénomènes propres au français moderne tels que la désaccentuation et le déplacement emphatique de l’accent, l’existence d’un accent secondaire et la division du langage parlé en groupes de souffle et groupes d’intensité. Nous nous intéressons notamment aux effets de continuité et de rupture dans le passage de la méthode ancienne basée uniquement sur l’écoute à la méthode moderne combinant la perception et l’instrumentation.
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Wagnon, Sylvain. « La photographie de classe dans l’école française : une source sous-estimée de compréhension de l’histoire de l’école, interface entre sphères privée et publique (XIXe-XXIe) ». Encounters in Theory and History of Education 17 (29 novembre 2016) : 27–47. http://dx.doi.org/10.24908/eoe-ese-rse.v17i0.6342.

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Résumé :
Représentation d’un groupe d’élèves, la photo de classe est devenue depuis le milieu du XIXe siècle un “rituel scolaire”, une tradition et un usage qui mérite d’être étudié. Point aveugle de la recherche, source à l’interface de l’institution scolaire, des enseignants, des élèves et des parents, nous avons fait l’hypothèse que la photo de classe n’était pas seulement un témoin culturel mais un outil pour la compréhension des usages et des pratiques scolaires.Notre objectif est, en nous basant sur le corpus abondant des photos de classe du XIXe siècle à nos jours, d’utiliser l’analyse historique de la photo de classe non pas comme une illustration d’un contexte mais comme un élément de compréhension même de l’histoire de l’école Pour préciser notre réflexion nous proposons trois axes. Le premier nous amène à définir cet objet singulier qu’est la photo de classe. Dans un second temps nous nous attacherons à établir les contours juridique et symbolique de ce rituel scolaire fortement codifié depuis 1927. Dans un troisième temps nous nous interrogerons sur l’analyse même de cette photo pour comprendre si au-delà de la mise en scène photographique, l’institution scolaire a fait de la photo de classe un reflet voire un modèle de l’école.
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Thèses sur le sujet "Second XIXe siècle"

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Carnino, Guillaume. « L'invention de « la science » dans le second XIXe siècle : épistémologie, technologie, environnement, politique ». Paris, EHESS, 2011. http://www.theses.fr/2011EHES0071.

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Résumé :
La science, tout à la fois pure et appliquée, advient en remplacement de l'ancienne philosophie naturelle, à l'heure où se déploient en France les prémices de la seconde industrialisation. Le prestige de la science nouvelle se diffuse par des voies divergentes: les expositions universelles, la libre-pensée, la vulgarisation, les beaux-arts, l'enseignement, la législation technique. . . Cette réorganisation théorique et pratique de la connaissance s'effectue en lien extrêmement étroit avec les structures de l'industrie: les scientifiques proposent désormais, à partir d'études circonstanciées des savoir-faire artisanaux, des procédures reproductibles permettant d'assurer la bonne marche de la production. Parée de toutes les vertus, l'institution science verrouille idéologiquement toute possibilité d'inflexion du modèle progressiste qui fonde la IIIe République et selon lequel toute opposition aux transformations environnementales, technologiques et sociales en cours est dangereuse politiquement car passible d'une volonté réactionnaire d'un retour en arrière. Les résistances profanes à la science devenue sacrée sont alors exclues du champ politique car jugées erronées, tout comme le sont les opinions des religieux qui imaginaient pouvoir opposer la Bible à Galilée. L'important n'est alors pas d'essayer de définir épistémologiquement la science, mais bien davantage d'assumer le fait que cette institution est par essence contradictoire en elle-même (puisque issue d'un compromis au sein du social): toute tentative visant à la théoriser en tant que concept unifié et anhistorique ne fait que rejouer les enjeux propres aux circonstances qui l'ont vu naître
"Modern science", being both pure and applied, emerges in France at the very beginning of the second industrialization, and replaces the prior "natural philosophy". Its prestige expands through various activities: World fairs, freethinkers, popular science, arts & literature, school, patent rights. . . This practical and theoretical reorganization of knowledge , is firmly connected to the structure of industrial production: scientists study in details craftsmen's "know-how" to create reproducible procedures for manufacturing. Reputed neutral and objective, science ideologically binds the progressive base of the French Third Republic: thereafter, any opposition to environmental, technological or social changes catalysed by this new regime is treated as a dangerous attitude hiding reactionary thoughts secretly rooted in a backward political agenda. Secular resistance to sacred science is subsequently considered inaccurate and excluded from the political sphere, in the same way as the religious beliefs Galileo battled with are mocked as false. Therefore, science must not be any more considered as an epistemological question, but rather as a intrinsically contradictory institution (since it is issued from a social compromise): attempts to theorize it as unified and non-historical concept always trigger the same conflicts that prevailed to its birth
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Delattre, Alexandra. « A contretemps : le roman catholique français du second XIXe siècle : histoire et poétique ». Thesis, Nice, 2016. http://www.theses.fr/2016NICE2014.

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Résumé :
Le roman catholique tel que nous le connaissons est le fruit d’une illusion rétrospective. Nous avons voulu, dans cette thèse, montrer que l’on ne peut lire le roman du second XIXe siècle au prisme de sa popularité au XXe siècle. Le succès qu’il rencontre dans l’entre-deux-guerres est le fruit d’une évolution lente. Des auteurs comme Jules Barbey d’Aurevilly, Joris-Karl Huysmans ou Léon Bloy, n’ont été acceptés de leur temps ni par le monde laïque, ni par le monde catholique. Ils occupent une place inconfortable entre le « prophète romantique » et l’« intellectuel catholique ». Si le monde intellectuel chrétien du XXe siècle s’est servi de ces auteurs pour accréditer l’existence du genre, le roman catholique est loin, au XIXe siècle, de constituer une évidence. Nos recherches explorent en conséquence sa visibilité à cette époque. Basées sur un travail d’archives qui se fonde sur le dépouillement des journaux et bibliographies catholiques, elles ont permis de reconstituer les difficiles rapports du monde chrétien avec le roman. Cette approche archéologique contribue à restituer l’ampleur de la tentative de réforme par l’art qu’ont essayé de mener à bien Barbey d’Aurevilly, Huysmans et Bloy. Elle sert de fondement à un travail de poétique qui interroge, dans le cadre de l’évolution de l’écriture romanesque, le sens qu’il faut accorder à cette tentative de révolution esthétique
This dissertation explores the constitution of the Catholic novel as a genre in the second half of the 19th century. It aims to show how Jules Barbey d’Aurevilly, Joris-Karl Huysmans and Léon Bloy were misread, partly because of the success of the genre during the 20th century. The popularity of the 20th-century Catholic novelists such as Claude Mauriac or Georges Bernanos has indeed swept away the difficulties encountered by Catholic writers over the course of this anti-clerical period. This work invetigates the reception of the Catholic novel at that time. It is based on historical researches, especially the study of Christian "bibliographies", Catholic press and edition. This provides a better understanding of Barbey d’Aurevilly, Huysmans and Bloy’s conception of Catholic novel as an original theory of art
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Barillé, Claire. « Soigner et guérir : des hôpitaux pour les travailleurs parisiens dans le second XIXe siècle ». Paris 10, 2007. http://www.theses.fr/2007PA100198.

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Résumé :
Les hôpitaux parisiens connaissent un renouvellement de leurs fonctions à la fin du XIXe siècle. . L’architecture, les méthodes d’administration ainsi que les progrès médicaux sont quelques-uns des facteurs principaux de cette transformation. L’étude des publics qui se rendent à l’hôpital et des maladies responsables de l’hospitalisation permet de réévaluer la place de l’hôpital dans la ville. À la veille de 1914, les hôpitaux parisiens ne sont plus ce qu’ils étaient sous l’Ancien Régime : ils ont désormais une fonction médicale et sociale au service du plus grand nombre. L’évolution de l’hôpital va de pair avec les progrès de la médecine, preuve que les avancées médicales sont intégrées par une partie de la population, qui a désormais toute confiance dans l’institution hospitalière
Functions of hospitals in Paris change throughout second half of the nineteenth century. Architecture, management methods and medical progress are the main fields of this mutation. Studying hospitals publics and related diseases is a mean of revealing the increasing role of hospitals among the city of Paris. Before the first world war, hospitals are not anymore what they used to be in the Ancien Regime. They display yet a medical and social function for the masses. As the field of medicine moves forward, so does the use of hospitals, furnishing proof that such progress was understood by at least a part of the population, whose confidence in the institution that is the modern hospital grew concomitantly
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Kang, Sanghoon. « L'originalité de l'architecture religieuse au XIXe siècle en France : les églises parisiennes sous le Second Empire ». Paris 1, 2001. http://www.theses.fr/2001PA010586.

Texte intégral
Résumé :
L'apparition de la notion d'originalité, au XIXe siècle, en tant que critère décisif de la pratique artistique et de l'appréciation esthétique, signale un changement radical dans l'histoire de l'art et de l'architecture. Le Second Empire est une période où le phénomène de contrastes et l'influence réciproque entre tradition et modernité sont frappants. D'un côté, il existe une évolution lente avec un regard indulgent pour le passé et, dans ce cadre, la direction équivoque donnée par l'administration et par l'Académie exerce une influence sur les activités architecturales, et de l'autre, il y a un progrès rapide dans les domaines politiques, sociaux, scientifiques et économiques, dans lequel un rapport contradictoire se crée entre les bourgeois et les industriels, et l'originalité apparaît non pas comme manifestation plastique concrète de nouvelles formes architecturales, mais se traduit comme phénomène " réactionnaire " des architectes aux exigences nouvelles Cet aspect de contrastes ne se manifeste jamais aussi clairement qu'autour du développement de la conception de l'architecture religieuse, notamment celle des églises parisiennes sous le Second Empire, et l'on ne peut comprendre l'originalité des églises parisiennes qu'en tenant compte de l'ambivalence du rapport entre tradition et modernité, et du renversement du rapport traditionnel entre artiste et société
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Corne, Henriette. « Représentation de la haute société dans le roman français : romain mondain au XIXe siècle (Second Empire) ». Nice, 1985. http://www.theses.fr/1985NICE2015.

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Nizard, Lucie. « Poétique du désir féminin dans le roman de moeurs français du second XIXe siècle (1857-1914) ». Electronic Thesis or Diss., Paris 3, 2021. http://www.theses.fr/2021PA030078.

Texte intégral
Résumé :
La représentation du désir sexuel féminin dans le roman de mœurs du second XIXe siècle soulève des enjeux cruciaux : elle fait apparaître les paradoxes d’un second XIXe siècle écartelé entre des visions des femmes contradictoires, créatures hantées par la sexualité ou vierges-mères ; elle nous renseigne sur les processus de construction des genres masculins et féminins ; elle nous fait réfléchir aux scandales d’hier et d’aujourd’hui que suscitent le corps féminin désirant et les regards portés sur lui ; elle interroge la poétique de ce genre littéraire et ses prétentions à l’objectivité. Nos romans ambitionnent de tout dire du réel, revendiquant une rationalité scientifique. Et pourtant, ils se livrent lorsqu’ils abordent le désir féminin à un voilage stylistique, exigeant du lecteur un travail de décodage. Nous avons entrepris d’analyser ce voile de mots qui recouvre les corps féminins, afin de percer les ressorts de cette mauvaise foi. La méthode sociocritique permet de montrer les interactions entre nos romans et les différents discours sociaux de leur temps (médicaux, religieux, juridiques ou encore pédagogiques), et ainsi de faire apparaître un imaginaire social complexe et cohérent du désir féminin, dont le roman tout à la fois reconduit et déjoue les stéréotypes. Dans les textes littéraires, les théories scientifiques se muent en matériau poétique, et le double-sens devient un véritable art. Ces représentations érotiques obliques font des descriptions du désir féminin un terrain miné de sous-entendus, élaboré le plus souvent par et pour des hommes. Certains romans ménagent toutefois déjà une place à une parole et à un regard de désir au féminin, voire par-delà le genre
The representation of female sexual desire in the novel of manners of the second half of the 19th century raises critical issues – it highlights the paradoxes at play in the second half of the 19th century, torn between contradictory representations of women, as either sexually haunted creatures or virgin mothers ; it informs us about the construction of masculine and feminine gender roles ; it makes us reflect on the scandals, past and present, caused by the desiring female body and the gaze cast upon it ; it interrogates the poetics of this literary genre as well as its claims to objectivity. The ambition of the novels analysed here is a comprehensive account of reality, with a claim to scientific rationality. And yet, when they deal with female desire, they indulge in a form of stylistic veiling that requires the reader to unpack the meaning. The purpose of this thesis was to analyse this veil of words covering female bodies, in order to lay bare the mechanisms behind the mendacity. The socio-critical method makes it possible to show the interactions between the novels and the various social discourses of their time – medical, religious, legal or even pedagogical – and thus to reveal a complex and coherent social imagery of female desire, whose stereotypes the novel both upholds and thwarts. In literary texts, scientific theories morph into poetic material, and double entendre becomes an art. These oblique erotic representations turn the descriptions of female desire into a minefield of innuendo, mostly developed by and for men. Some novels, however, already make room for a female voice and gaze of desire, sometimes even beyond gender
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Léger, Celine. « La fabrique médiatique de l'événement au XIXe siècle : Jules Vallès, écrire et faire l'histoire (1857-1870) ». Thesis, Lyon, 2017. http://www.theses.fr/2017LYSES034/document.

Texte intégral
Résumé :
L’œuvre de Jules Vallès s’inscrit de manière exemplaire au confluent de l’histoire, de la presse et de la littérature. Elle entretient une proximité étroite avec les bouleversements de son temps. Elle apparaît donc comme un point d’optique idéal pour analyser l’écriture de l’événement. Or, en dehors de la Commune, l’événement en tant que tel reste un impensé dans la critique vallésienne. Entre 1857 et 1870, c’est-à-dire sous le Second Empire, qu’est-ce qu’un événement au sens fort du terme pour Vallès ? Bien au-delà des grandes dates communément admises, en quoi sa vision de ce qui fait ou ne fait pas événement le conduit à reconfigurer l’histoire de son époque ? Dans une optique assumée de démystification, le « grand événement » et le « fait notable » sont d’abord envisagés comme des artefacts culturels, repoussés mais aussi en partie reproduits par l’écriture vallésienne. Pourtant, loin de n’être qu’une construction artificielle – un leurre historique, littéraire et/ou médiatique – l’événement peut être un bouleversement effectif et concret. Il se définit alors par un impact destructeur, sa force créatrice au cœur du quotidien ou encore une virulence féconde qui serait l’apanage du langage. Ainsi, Vallès interroge l’ambiguïté qui caractérise la violence de son temps, selon que ses contemporains la subissent, y réagissent ou la réinvestissent par des moyens verbaux et artistiques. Mais les événements s’avèrent plus encore un outil métonymique au service d’une méthode heuristique qui explore avec efficacité l’histoire du XIXe siècle. (Re)vécus personnellement, ils structurent un autoportrait de l’écrivain-journaliste en clair-obscur. Ils permettent au reporter de témoigner sur le présent auprès du lecteur, résolument engagé dans les expériences restituées. Enfin, ils révèlent par induction une société difficile et injuste : se construit une histoire militante, qui déplace et subvertit les hiérarchies courantes, explique et remet en question les structures admises
The work of Jules Vallès falls within the confluence of history, literature and the media in an exemplary way. It sustains a narrow proximity to the upheavals of its time. It thus appears to present an ideal outlook from which to analyse the way of writing the event. Yet, apart from the Paris Commune, the event as such has been overlooked by Vallesian critics. Between 1857 and 1870, that is to say during the Second French Empire, what exactly constitutes an event in the fullest sense of the word for Vallès? Far beyond the historical dates generally deemed important, how does his vision of what makes or does not make an event lead him to reshape the history of his time?Assuming a deliberate perspective of demystification, the “major event” and the “notable factˮ are firstly considered cultural artefacts, both repudiated but also partly reproduced by Vallesian writing. And yet, far from being only an artificial construction – a historical, literary and/or media illusion – the event can be a real and concrete upheaval. Therefore, it can be defined by a destructive impact, its creative strength at the heart of everyday life, or by a fruitful virulence which would be the prerogative of language. Vallès, thus questions the ambiguity that characterizes the violence of his time, depending on whether his contemporaries react against it or reinvest it through verbal or artistic means. But the events turn out to be even more a metonymic tool serving a heuristic method that explores the history of the 19th century. Personally (re)lived, they structure a self-portrait of the writer-journalist in chiaroscuro. They thereby enable the reporter to testify on present events to the reader, resolutely committed to the experiences related. Finally, by induction they reveal a difficult and unfair society: thereby a militant history takes shape, shifting and subverting the common hierarchies, and explaining and reassessing the accepted structures
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Gautheron, Marie. « L’invention du désert : émergence d’un paysage, du début du XIXe siècle au premier atelier algérien de Gustave Guillaumet (1863-1869) ». Thesis, Paris 10, 2015. http://www.theses.fr/2015PA100039.

Texte intégral
Résumé :
Le désert n’a pas toujours été un paysage, et ne devient une notion géographique qu’à la fin du XIXe siècle. De l’époque médiévale au XIXe siècle, le désert désigne aussi bien un état moral, la déréliction, ou une pratique spirituelle, que tout espace concret sauvage ou abandonné. Ce travail s’intéresse à l’œuvre de jeunesse du peintre Gustave Guillaumet (1840-1887), qui contribue de façon significative à l’invention du désert ; œuvre dédiée à l’Algérie et au Sahara, où il séjourne à plusieurs reprises. Examinés dans une perspective génétique, cinq tableaux majeurs créés entre 1863 et 1869 sont confrontés à l’itinéraire artistique de Guillaumet, et à ses écrits (1879-1887/ 1888, Tableaux algériens). Cette analyse est éclairée par l’étude de la représentation du désert dans le contexte socio-politique, scientifique, intellectuel et artistique du corpus, depuis les débuts de la conquête et de la colonisation de l’Algérie, jusqu’à la fin du Second Empire, à travers l’investigation de sources croisées (philologie, littérature, travaux scientifiques, archives militaires, presse – peinture, photographie, presse et ouvrages illustrés). Cette enquête s’appuie sur une étude des sources de l’imaginaire du désert, de l’émergence d’une conception paysagère à la fin du XVe siècle, et de l’esthétisation des pays arides et des sociétés qui y vivent, à la fin du XVIIIe siècle - à la cristallisation de ce nouveau paysage, au XIXe siècle. Cette recherche forme l’hypothèse est que l’invention du désert est un palimpseste – la naissance du désert-paysage s’accompagnant, à la fin des années 1860, d’une rémanence de la conception ante-paysagère du désert. À travers l’étude d’une œuvre dans laquelle l’éloge des pays et des cultures traditionnelles de l’Algérie est indissociable de l’expression de la déréliction des populations et des paysages, cette thèse tente d’éclairer les sources des représentations contemporaines du désert
The desert has not always been equated with as landscape – not until the end of the 19th century was it viewed as a geographic notion. From the Middle Ages down to the 19th century the word “desert” covered a great many acceptations, including a moral state, dereliction, a particular spiritual practice – and any physical space in a state of wilderness or abandonment. This work looks into the early painting of Gustave Guillaumet (1840-1887), an artist instrumental in inventing the desert. Guillaumet’s work centered on Algeria and the Sahara, where he stayed several times. Five major paintings, dating from 1863-9, are analysed from a genetic approach; they are also compared with the painter’s own artistic evolution and with his writings (1879-1887/ Tableaux algériens). This work intersects with the study of the representation of the desert as a by-product of the socio-political, scientific, intellectual and artistic background to the paintings, which spanned the period from the early days of the conquest and of the colonisation of Algeria to the end of the Second French Empire. The many sources that thus came under scrutiny included philology, literature, scientific works, declassified military documents, the press, painting, photography and illustrated books and magazines. This investigative work rests on the study of the sources of the imaginary world of the desert, which encompass the emergence of a formalised conception of landscape at the end of the 15th century, the aesthetic approach to arid lands and to the communities that they sustained at the end of the 18th century, and the cristallisation of this novel landscape in the 19th century. This work hypothesises that the invention of the desert is a palimpsest, as the birth of the landscape-desert in the late 1860s coincided with the persistence of the pre-formalised conception of landscape. Through the study of a corpus that praises the regions and traditional cultures of Algeria while equally voicing the dereliction of communities and landscapes, this works aims at shedding light on the sources of the contemporary representations of the desert
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9

Yang, Yin-Hsuan. « Les salons caricaturaux au XIXe siècle : des origines à l'apogée ». Thesis, Paris 10, 2012. http://www.theses.fr/2012PA100004.

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Résumé :
Le Salon caricatural est le compte rendu comique composé de charges d’œuvres d’art exposées au Salon. Les premiers Salons caricaturaux apparaissent au début des années 1840, et c’est sous le Second Empire que ce genre de revue parodique atteint son apogée, obtenant un succès dans la presse satirique illustrée. Sous prétexte de faire rire, cette critique en images met en œuvre un moyen efficace de juger l’art, qui fonctionne en contrepoint de la critique d’art écrite. Les enjeux critiques que propose cette imagerie comique s’inscrivent en fait comme découlant des discussions sur les rapports entre l’image et le texte, ainsi que le révèlent les trois modèles de 1846. Sensibles à l’actualité artistique, les dessinateurs du Salon caricatural jouent souvent un rôle multiple, tantôt celui du railleur inoffensif, tantôt celui du critique sérieux, tantôt encore celui de l’artiste exposant. Dans les revues parodiques se reflètent non seulement la réaction caractéristique du public bourgeois, mais parfois aussi le goût personnel et les jugements esthétiques des dessinateurs eux-mêmes vis-à-vis des œuvres d’art contemporaines. Face à un art en pleine transition durant le Second Empire, le Salon caricatural prend part d’une manière active à la réception de l’art par une formule sarcastique qui traduit à la fois le dégoût pour l’école classique en voie de déclin et le rejet des formes novatrices, notamment Courbet et son réalisme. Cette version drolatique et insolite de l’histoire de l’art fournit aussi une nouvelle perspective à l’histoire de la critique d’art
The Salon caricatural was a comic review consisting of caricatures of art works exposed at the Salon. The first Salons caricaturaux appeared in the early 1840s, and it was under the Second Empire that this type of parodic review reached its height, obtaining success in the illustrated satirical press. Under the pretext of humor, this critique in images provided an efficient method of judging art, working in counterpoint to written art criticism. The critical issues proposed by this comical imagery were in fact the products of debates on the relationship between image and text, as the three 1846 models reveal. Conscious of contemporary artistic currents in art, Salon caricatural cartoonists often played multiple roles; at times inoffensive mocker, at times serious critic, and at times exposing artist. These parodic reviews reflected not only the characteristic reaction of the bourgeois public, but also on occasion the personal tastes and aesthetic judgments of the cartoonists themselves with respect to contemporary works of art. With art in a major period of transition during the Second Empire, the Salon caricatural actively participated in the reception of art through a sarcastic format that translated both the distaste for the declining classical school and the rejection of innovative forms, notably those of Courbet and his realism. This humorous and peculiar version of art history also provides a new perspective to the history of art criticism
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Vaxelaire, Marie-Emilie. « Mellerio dits Meller, histoire d’une maison de joaillerie parisienne au XIXe siècle (1830-1870) ». Paris 4, 2009. http://www.theses.fr/2009PA040082.

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Résumé :
Les Mellerio sont des joailliers français originaires d’Italie. Leurs ancêtres ont bénéficié du privilège de "porter et vendre du cristal taillé, de la quincaillerie et autres menues marchandises" dans tout le royaume de France, en vertu d’un décret royal octroyé en 1613 par la Régente Marie de Médicis. Bien que leur commerce de petite bijouterie prospère vers la fin du XVIIIe siècle c’est au début du XIXe siècle que les Mellerio se fixent définitivement à Paris. Leur maison connaît son apogée, entre la Monarchie de Juillet et le Second Empire, tant d’un point de vue économique qu’artistique. Elle réussit non seulement à s’adapter aux tendances du jour, mais aussi à les devancer. Par l’étude de cette maison familiale, nous abordons toutes les questions relatives à l’histoire, aux catégories, techniques et modes d’élaboration des bijoux, ainsi qu’à l’évolution stylistique et aux influences artistiques des Mellerio durant la période 1830-1870 qui fut la plus révélatrice et féconde pour leur maison
The Mellerios are French jewellers originally from Italy. Thanks to the grant of a royal decree by the Regent Marie de Medici in 1613, the Mellerios ancestors benefited from the following privilege to ‘wear and sell cut crystal, ironmongery and other trinkets’ throughout the French Kingdom. Even though their small jewellery business prospered around the end of the 18th Century, it was at the start of the 19th Century that the Mellerios were fully settled in Paris. Their business reached its peak, from an economic and artistic view point, between the July Monarchy and the Second Empire. Their business succeeded not only in adapting to the fashions of the day but in setting the trends. Studying this family business leads us to touch upon all questions relative to the history, the types, techniques and methods of designing jewellery, as well as the stylistic evolution and the artistic influences of the Mellerios throughout 1830 – 1870, the most revealing and productive period for their firm
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Livres sur le sujet "Second XIXe siècle"

1

Anceau, Eric. Les députés du Second Empire : Prosographie [sic] d'une élite du XIXe siècle. Paris : Champion, 2000.

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2

Le roman idéaliste dans le second XIXe siècle : Littérature ou "bouillon de veau" ? Paris : Classiques Garnier, 2011.

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3

Nicolas, Gilbert. Le grand débat de l'école au XIXe siècle : Les instituteurs du Second Empire. Paris : Belin, 2004.

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4

Nicolas, Gilbert. Le grand débat de l'école au XIXe siècle : Les instituteurs du Second Empire. Paris : Belin, 2004.

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5

La bourse dans le roman du second XIXe siècle : Discours romanesque et imaginaire social de la spéculation. Paris : Champion, 2007.

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6

Militants de l'utopie ? : Les fouriéristes dans la seconde moitié du XIXe siècle. [Dijon] : Presses du réel, 2010.

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7

Archéologie médiévale en France : Le second moyen âge, XIIe-XVIe siècle. Paris : La Découverte, 2008.

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8

Mattoso, Katia De Queirós. ETRE ESCLAVE AU BRÉSIL XVIÈ-XIXÈ SIÈCLES (SECONDE ÉDITION). Paris : Editions L'Harmattan, 1995.

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9

Benjamin Gastineau, ou, L'engagement d'un littérateur populaire de la seconde moitié du XIXe siècle. Paris : Honoré Champion éditeur, 2020.

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10

Yves, Chauvin, et Abbaye Saint-Serge et Saint-Bach (Angers, France), dir. Premier et second livres des cartulaires de l'abbaye Saint-Serge et Saint-Bach d'Angers (XIe et XIIe siècles). Angers : Presses de l'université d'Angers, 1997.

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Chapitres de livres sur le sujet "Second XIXe siècle"

1

Boudon, Jacques-Olivier. « Adolphe Franck et le paysage religieux sous le Second Empire ». Dans Adolphe Franck, philosophe juif, spiritualiste et libéral dans la France du XIXe siècle, 145–51. Turnhout : Brepols Publishers, 2012. http://dx.doi.org/10.1484/m.behe-eb.4.00792.

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2

Bates, David. « La “mutation documentaire” et le royaume anglo-normand (seconde moitié du XIe siècle — début du XIIe siècle) ». Dans Atelier de recherche sur les textes médiévaux, 33–49. Turnhout : Brepols Publishers, 2003. http://dx.doi.org/10.1484/m.artem-eb.3.53.

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3

Piron, Sophie. « Compléments indirects et circonstanciels dans la grammaire française au cours de la seconde moitié du XIXe siècle ». Dans Studies in the History of the Language Sciences, 205–18. Amsterdam : John Benjamins Publishing Company, 2016. http://dx.doi.org/10.1075/sihols.126.16pir.

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4

Riamond, Pierre-Jean. « Compositio et traditio : Écrire et transmettre en milieu cistercien dans la seconde moitié du XIIe siècle. L’exemple du Tractatus de spirituali aedificio, traité anonyme des années 1150-1170 ». Dans Les cisterciens et la transmission des textes (XIIe-XVIIIe siècles), 191–208. Turnhout : Brepols Publishers, 2018. http://dx.doi.org/10.1484/m.bhcma-eb.5.114619.

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5

Stoffella, Marco. « Gli atti di permuta nella Toscana occidentale tra VIII e XI secolo ». Dans Tauschgeschäft und Tauschurkunde vom 8. bis zum 12. Jahrhundert/L’acte d’échange, du VIIIe au XIIe siècle, 129–58. Köln : Böhlau Verlag, 2013. http://dx.doi.org/10.7788/boehlau.9783412211608.129.

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6

Aillet, Cyrille. « La construction des frontières interconfessionelles : le cas des chrétiens d’al-Andalus dans le sources juridiques (iie/viiie–vie/xiie siècle) ». Dans The legal status of ḏimmī-s in the Islamic West (second/eighth-ninth/fifteenth centuries), 167–97. Turnhout : Brepols Publishers, 2013. http://dx.doi.org/10.1484/m.relmin-eb.1.101817.

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7

Michetti, Raimondo. « Gli storici e il profetismo medievale : alcuni percorsi degli studi tra XIX e XX secolo ». Dans L’attente des temps nouveaux. Eschatologie et millénarismes et visions du futur du Moyen Âge au XXe siècle, 111–33. Turnhout : Brepols Publishers, 2002. http://dx.doi.org/10.1484/m.stmh-eb.3.2474.

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8

Jacquart, Danielle. « Les “Concordances” de Pierre de Saint-Flour et l’enseignement de la médecine à Paris dans la seconde moitié du XIVe siècle ». Dans Vocabulary of Teaching and Research Between Middle Ages and Renaissance, 172–83. Turnhout : Brepols Publishers, 1995. http://dx.doi.org/10.1484/m.civi-eb.4.00126.

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9

Malbos, Lucie. « Le roi, les grands et les évêques : alliés et compétiteurs dans la Norvège de la seconde moitié du XIe siècle ». Dans Coopétition, 321–33. Turnhout : Brepols Publishers, 2018. http://dx.doi.org/10.1484/m.hama-eb.5.114229.

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10

Polycandrioti, Ourania. « Échos des Lumières dans les manuels scolaires en Grèce (seconde moitié du xixe - début xxe siècle) ». Dans De l’Europe ottomane aux nations balkaniques : les Lumières en question, 107–14. Turnhout : Brepols Publishers, 2023. http://dx.doi.org/10.1484/m.memew-eb.5.134220.

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Actes de conférences sur le sujet "Second XIXe siècle"

1

Plet, Charles. « Littérature catholique, littérature (du) care ? Le second XIXe siècle en question ». Dans Pour une littérature du care. Fabula, 2022. http://dx.doi.org/10.58282/colloques.8280.

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2

Alonso de Armiño Pérez, Luis, Gonzalo Vicente-Almazán Pérez de Petinto et Vicent Cassany i Llopis. « Housing form and city form : Urban morphology and local identity ». Dans 24th ISUF 2017 - City and Territory in the Globalization Age. Valencia : Universitat Politècnica València, 2017. http://dx.doi.org/10.4995/isuf2017.2017.5772.

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Résumé :
Housing form and city form: Urban morphology and local identityKeywords (3-5): Building type, urban morphology, Valencia, housing, house floor-plan design This paper aims to analyse the processes of typological evolution of residential buildings in Valencia as a way to outline an 'affiliation' within the city's housing types, capable of endowing a local identity profile beyond European influences that began to generalise from mid-XIX century. The residential fabric of Valencia maintained a certain continuity/ intelligibility in its morphological evolution until the 1970s, in which the development of the 1966 PG marked a turning point, with the progressive incorporation of "modern" forms of housing, vaguely related to the diffusion of CIAM architectural principles. Nevertheless, a most substantial part of the city fabric, amounting to two-thirds of all residential buildings, was built before the 1966 PG, and therefore away from 'modern' housing practices. Most of this fabric, corresponding to neighbourhoods resulting from urban extension projects starting in the second half of the nineteenth century, is made out of serially-aggregated, multi-family buildings or 'houses of flats', forming perimeter blocks, whose profile still characterises visually the city's townscape. To a large extent, these 'houses of flats' are the result of a progressive codification of building prototypes that first appeared in the historic city, originating from the transformation of the traditional city-house. Initially, the transformation began with increasing the number of storeys, successively followed with processes of plot-aggregation, all combined with an horizontal division configuring new housing floor-plans. These processes progressively generated larger buildings, in which the plot shape and dimensions appear as determining instances. References (100 Word) ALONSO DE ARMIÑO, L. y PIÑON, J.L. (1986). La formazione del la Valencia moderna. Sutoria Urbana, (37), 89-114. AZAGRA, J. (1993). Propiedad inmueble y crecimiento urbano. Valencia 1800-1931. Madrid: Síntesis. BRIGUZ Y BRU, G. (1837). Escuela de Arquitectura Civil. Valencia: Joseph de Orga. HERMOSILLA, J. (1750). La architectura civil (manuscrito). DALY, M.C. (1864). L’architecture privée au XIXème siècle, sous Napoléon III MOLEY, C. (1999). Regard sur l’immeuble privé. Architecture d’un habitat 1880-1970. Paris: Le Moniteur. PIÑÓN, J.L. (1988). Los orígenes de la Valencia moderna PONS, A. y SERNA, J. (1992). La ciudad extensa. Valencia: Diputació de València. SANCHO, A. (1855). Mejoras materiales de Valencia. Valencia: Imprenta de José Mateu.
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