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BORACCHI, STEFANO. « ENS INDIFFERENS. HEIDEGGER E DUNS SCOTO (1910 - 1917) ». Doctoral thesis, Università Cattolica del Sacro Cuore, 2017. http://hdl.handle.net/10280/20587.

Texte intégral
Résumé :
Il rapporto del giovane Heidegger con Duns Scoto viene analizzato con particolare riferimento alla tesi del 1916 "La dottrina delle categorie e del significato in Duns Scoto". Il pensatore scolastico viene indicato come fonte di primaria importanza per lo sviluppo dell'ontologia heideggeriana matura attraverso alcuni elementi chiave: l'univocità del concetto di essere, la razionalità di principio dell'individuo, la ricerca di un linguaggio descrittivo adatto alla filosofia. Carl Braig risulta uno degli autori il cui contributo determinò maggiormente in Heidegger l'interesse per i problemi dell'ontologia scotista.
The young Heidegger’s relationship to Duns Scotus is analysed with particular reference to the thesis on “Duns Scotus’s Doctrine of Categories and Meaning” (1916). The scholastic thinker is shown to be a source of primary importance for Heidegger’s mature ontology by the means of some key features: the univocity of the concept of Being, the basic intelligibility of the individual, the search for a descriptive language suitable for philosophy. Carl Braig turns out to be one of the authors who contributed the most to determine Heidegger’s interest in the problems of scotist ontology.
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BORACCHI, STEFANO. « ENS INDIFFERENS. HEIDEGGER E DUNS SCOTO (1910 - 1917) ». Doctoral thesis, Università Cattolica del Sacro Cuore, 2017. http://hdl.handle.net/10280/20587.

Texte intégral
Résumé :
Il rapporto del giovane Heidegger con Duns Scoto viene analizzato con particolare riferimento alla tesi del 1916 "La dottrina delle categorie e del significato in Duns Scoto". Il pensatore scolastico viene indicato come fonte di primaria importanza per lo sviluppo dell'ontologia heideggeriana matura attraverso alcuni elementi chiave: l'univocità del concetto di essere, la razionalità di principio dell'individuo, la ricerca di un linguaggio descrittivo adatto alla filosofia. Carl Braig risulta uno degli autori il cui contributo determinò maggiormente in Heidegger l'interesse per i problemi dell'ontologia scotista.
The young Heidegger’s relationship to Duns Scotus is analysed with particular reference to the thesis on “Duns Scotus’s Doctrine of Categories and Meaning” (1916). The scholastic thinker is shown to be a source of primary importance for Heidegger’s mature ontology by the means of some key features: the univocity of the concept of Being, the basic intelligibility of the individual, the search for a descriptive language suitable for philosophy. Carl Braig turns out to be one of the authors who contributed the most to determine Heidegger’s interest in the problems of scotist ontology.
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Cirami, Salvatore. « La «relatio transcendens» nel pensiero di Duns Scoto ». Doctoral thesis, Universita degli studi di Salerno, 2019. http://elea.unisa.it:8080/xmlui/handle/10556/4302.

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Résumé :
2017 - 2018
«Relatio transcendens» is a well-known topic among John Duns Scotus’ scholars. Indeed, Scotus was the very first thinker who made a quite extensive use of this notion throughout his works. However, research on this notion in Scotus’ thought has so far been fragmentary. The present work aims to offer a comprehensive view of «relatio transcendens» by providing a comparative analysis of the texts in which this phrase occurs over the entire production of the author. In order to provide a better understanding of the thought of Scotus on this topic, a historical survey of the evolution of the different theories of relation is offered in chap. 2. Then, chapter 3 presents Scotus’ general theory of relation. Three separate chapters offer an exegesis of the texts on «relatio transcendens» one for each of the following works: The Commentaries on Book I of the Sentences (chap. 4), The Commentaries on Book II of the Sentences (chap. 5), The Commentary on the Metaphysics (chap. 6). From this investigation, there emerges a univocal meaning of «relatio transcendens» throughout the various contexts in which it occurs. This notion denotes a relation whose foundation is being, and the terminus to which it proceeds is some being. Therefore, like other transcendental properties of being, this relation is called «transcendens» because of the transcendence of its foundation, that is, because it is outside any genus. Therefore, it would be preferable to place «relatio transcendens» alongside the other transcendental properties of being rather than considering it as a distinct class of relations opposed to the categorical ones. [abstract by Author]
XXXI ciclo
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Loiret, François. « Volonté et infini chez Duns Scot / ». Paris : Éd. Kimé, 2003. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb38957045q.

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Loiret, François. « Volonté et infini chez Duns Scot ». Université Marc Bloch (Strasbourg) (1971-2008), 2002. http://www.theses.fr/2002STR20009.

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Résumé :
Le présent travail vise à dégager l'articulation de la volonté et de l'infini en acte. Il s'agira de montrer comment seule une pensée de la volonté comme telle permet l'inscription d'un infini en acte, à partir de l'oeuvre du théologien écossais Jean Duns Scot. Il s'agira d'abord d'examiner dans une première partie comment Duns Scot s'efforce de penser la volonté comme volonté. Il l'arrache à son statut traditionnel d'appétit intellectuel et l'identifie à la rationalité. Une logique de la liberté sera dégagée comme logique de la puissance absolue, assurant une réhabilitation de la contingence. La seconde partie montrera comment Duns Scot déduit l'infini en acte de la volonté et comment la logique de la liberté est une logique de l'infini actuel. Cette logique de l'étant est subordonnée à celle de l'infini en acte. Elle demande à être comprise dans une étroite connexion avec le concept de toute-puissance. Avec Duns Scot se défait l'identification de la limite et s'opère une subversion du principe
This present work aims at bringing out the articulation between the will and the infinite in actuality. Our purpose is to show how only a conception of the will as such will allow the inscription of an infinite in actuality, from the works of Scottish theologian John Duns Scot. .
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Da, Costa Santos Rogério. « L'ontologie du contingent selon Jean Duns Scot : les origines du possible et la représentation en Dieu ». Paris 4, 1998. http://www.theses.fr/1998PA040012.

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Résumé :
Le présent travail cherche à éclaircir, à travers une analyse historique, le tournant imprimé par Duns Scot à la conception du possible au début du XIVème siècle. La première partie est caractérisée par l'analyse d'un problème précis : c'est en se connaissant soi-même (comme cause), que Dieu connait toutes les choses. Cette formule, dont l'origine est attribuée à Themistius et aussi à Denys l'aréopagite, a eu un essor fulgurant pendant tout le XIIIème siècle. Or, à la fin du XIIIème siècle cette formule semble être épuisée, et c'est là que l'on peut constater l'importance d'Henri de Gand dans ce processus. En effet, sous l'inspiration d’Avicenne, il a infléchi la connaissance divine vers des objets secondaires de l'entendement, auxquels il a attribué un être d'essence. Henri propose que les choses sont maintenant connues par dieu en elles-mêmes, c'est-à-dire, comme des objets qui s'opposent à la pensée divine en lui-même, donc objectivement. Mais c'est avec Duns Scot que la formule de Denys va souffrir son inflexion majeure, c'est-à-dire, au moment où il fait passer la représentation vers la sphère de la pensée divine elle-même. Ceci dit, cela impliquera tout un remaniement des notions, comme celles de l'exemplaire et de l'imitation, mais surtout, elle doit nous ouvrir sur une dimension radicale du possible, un possible qui n'est plus simplement le corrélatif d'une puissance. En effet, en passant par le crible de la représentation (divine et humaine), l'ontologie sera désormais fondée sur l'antériorité de la question : qu'est-ce que l'on peut penser ? Ceci signifie que le caractère de ce qui est pensable passera à constituer le premier registre de l'ontologie, car la question sur l'étant en tant qu'étant sera d'abord, et à partir d'ici, celle de l'étant comme pensée ou comme cogitable
This work is intended to elucidate, through an historical analysis, the modification caused by Duns Scotus in the apprehension of possible at the beginning of the fourteenth century. In part one, a precise problem is analyzed: is only knowing himself (as cause) that god can know all the things. This formulation, which origin is assigned to Themistius and also to pseudo-Dionysius, had a glaring propagation during all the thirteenth century. However, at the end of that century, it seems to be depleted, and it is in this moment that can be verified henry of Ghent's importance in this process. As a matter of fact, under the inspiration of Avicenna, he bent divine knowledge towards the secondary objects of understanding, to which he attributed an essential being. Henry proposes that things are, now, known by god in itselves, that is, as objects that are opposed to the divine understanding in himself, and therefore objectively. Nevertheless, is in Duns Scotus that the pseudo-Dionysius' formulation will suffer a major inflection, that is, at the moment in which he inserts representation in the field of proper divine understanding. Because of this, it will have a reordering of notions like pattern and imitation, but especially, this movement ends by liberates a radical dimension of possible, a possible that is not only the correlative of potentia. In fact, when the ontology passes into the representation sifter (human and divine representation) it will be grounded in the anteriority of the question: what can be thinked? This means that the character of this one can think will constitute the first record of ontology because the question about ens in quantum ens will be, initially and from now on, that of the being as cogitable or thinkable
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Irimescu, Ana. « De l'intuition au Moyen Age à la connaissance intuitive chez Duns Scot ». Thesis, Paris, EPHE, 2015. http://www.theses.fr/2015EPHE5073.

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Résumé :
Au Moyen Age, les théories physiologique, psychologique et philosophique de la perception se sont mutuellement influencées jusqu’à aboutir au modèle théorique de la cognition visuelle. Les définitions médiévales de la connaissance intuitive confirment d’ailleurs le « caractère visuel » de la métaphysique occidentale, ainsi que l’influence de l’optique sur l’épistémologie. Jean Duns Scot (1265-1308) est le premier philosophe qui se sert, de manière systématique, de la distinction entre deux modes cognitifs pré-discursifs et pré-judicatifs : abstractif et intuitif. Il donne ainsi une définition rigoureuse au concept d’intuition, qu’il applique de manière univoque à la connaissance du singulier immatériel et matériel. Avant lui, Matthieu d’Aquasparta (1237-1302) avait étendu le concept théologique d’intuition, utilisé traditionnellement pour expliquer la vision béatifique, à la problématique de la connaissance de soi. Il avait utilisé le terme intuitio pour désigner le rapport cognitif direct et immédiat de l’âme à ses propres actes, sans l’appliquer pour autant à la connaissance du singulier matériel. Pour Duns Scot, la connaissance de soi est directe et immédiate et intuitive et garantit la certitude dans le processus cognitifs, le fonctionnement de la mémoire, la conscience de soi et l’identité personnelle. L’intuition intellectuelle du singulier matériel constitue ainsi une des applications possibles de la distinction scotiste entre cognitio intuitiva et cognitio abstractiva, qui s’ajoute à celles représentées par la vision béatifique, la connaissance angélique et la connaissance auto-réflexive
In the Middle Ages, the physiological, psychological and philosophical theories of perception were mutually influenced to the point where they generated a theoretical model of visual cognition. The medieval definitions of intuitive knowledge confirm the “visual character” of the Western metaphysics, much like the influence of optics on epistemology. John Duns Scotus (1265-1308) is the first philosopher to use in a systematic manner the distinction between the two pre-discursive and pre-judgment cognitive modes: abstractive and intuitive. He also gives a rigorous definition for the concept of intuition that he applies univocally to the knowledge of both the immaterial and material singular. Before him, Matthew of Aquasparta (1237-1302) extended the theological concept of intuition, traditionally used to explain the beatific vision, to the problem of knowledge of the self. He employed the term intuitio to name the direct and immediate cognitive relation between the soul and its own acts, but without applying it to the material singular. For Duns Scotus, the knowledge of the self is direct, immediate, and intuitive and guarantees the certitude in the cognitive process, the operations of the memory, self-consciousness and personal identity. The intellectual intuition of the material singular constitutes yet another one of the possible applications of the Scotist distinction between cognitio intuitiva and cognitio abstractiva that adds to those represented by the beatific vision, the angelic knowledge and the self-knowledge
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Demange, Dominique. « Les Seconds analytiques au XIIIe siècle et la théorie de la connaissance de Jean Duns Scot ». Paris, EPHE, 2005. http://www.theses.fr/2005EPHE5019.

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Résumé :
Cette thèse porte sur la théorie de la connaissance scientifique du philosophe et théologien franciscain Jean Duns Scot (1265-1308). Au Moyen-âge, la source principale pour la théorie de la connaissance scientifique est le traité d’Aristote intitulé Seconds analytiques. La première partie de la thèse est consacrée à l’étude de l’interprétation des Seconds analytiques au treizième siècle, chez Robert Grosseteste (1168-1253), Albert Le Grand (1200-1280), Thomas d’Aquin (1224-1274), Gilles de Rome (1245-1316), Simon de Faversham (1260-1306) et Jean Duns Scot. La deuxième partie de la thèse porte sur les fondements de la théorie de la connaissance de Jean Duns Scot. Elle a essentiellement pour but de déterminer ses théories d’expérience et de l’évidence. Le concept d’objet apparaît comme le centre de la théorie scotienne de la connaissance : toute connaissance, toute science est pré-contenue causalement (« virtuellement incluse ») dans un objet. La théorie de l’objet est étudiée dans ses aspects noétiques, ses conséquences épistémologiques, et on établit enfin son importance pour la théorie de la vérité propositionnelle. La troisième partie porte sur la doctrine de la science de Duns Scot. Sont successivement étudiés les rapports entre sciences logique et métaphysique, la théorie de la subalternation et de la division des sciences spéculatives réelles, et la question des rapports entre métaphysique et théologie. En annexe de la thèse on trouvera la première traduction en langue française du livre VI des Questions sur la métaphysique de Duns Scot, livre qui contient des développements importants sur la théorie de la science et de la vérité
In this thesis we consider the theory of scientific knowledge of the Franciscan philosopher John Duns Scotus (1265-1308). In the Middle-Ages, the most important source for the theory of scientific knowledge is the aristotelician treatise Posterior analytics. The first part of the thesis is devoted to the study of the interpretation of the Posterior analytics in the thirteenth century, by Robert Grosseteste (1168-1253), Albert The Great (1200-1280), Thomas Aquinas (1224-1274), Giles of Rome (1245-1316), Simon of Faversham (1260-1306) and John Duns Scotus. The second part of the thesis considers the foundations of Scotus theory of knowledge. The main purpose is to determine Scotus theories of experience and evidence. The concept of ‘object’ appears to be the center of Scotus theory of knowledge: all knowledge, all science is causally pre-contained (‘virtually included’) in an object. The theory of object is studied in its noetical aspects, its epistemological consequences, and its importance fir the theory of propositional truth is demonstrated. The third part of the thesis is devoted to Scotus doctrine of science: we consider the relations between logical and metaphysical sciences, the theory of subalternation, the division of the theoretical real sciences, and the question of the relations between metaphysics and theology. The first French translation of book VI of Scotus’s Questions in metaphysics, which includes important material on theory of science and truth, is given as an appendix of the thesis
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Gilon, Odile. « Essentia indifferens : études sur l'antériorité, l'homogénéité et l'unité dans la métaphysique de Jean Duns Scot ». Doctoral thesis, Universite Libre de Bruxelles, 2009. http://hdl.handle.net/2013/ULB-DIPOT:oai:dipot.ulb.ac.be:2013/210227.

Texte intégral
Résumé :
Ce travail porte sur l'application et l'utilisation par Jean Duns Scot de la théorie de l'indifférence de l'essence, issue du péripatétisme arabe, et se donne pour enjeu d'en comprendre le fonctionnement conceptuel. Solution conjointe aux questions de la constitution ontologique des choses, des rapports entre le langage et la réalité et du mode d'appréhension des notions générales dans l'abstraction, la théorie de l'indifférence de l'essence sert de sous-bassement à la métaphysique de Duns Scot. C'est au moyen de cette théorie qu'il est possible, comme le montre cette recherche, de relire certains grands thèmes de la métaphysique scotiste: la théorie de la nature commune et de l'haeccéité, la connaissance abstractive (cognitio abstractiva), et la théorie de la non identité formelle. Le travail tente surtout de dégager le caractère proprement méthodologique de la théorie des trois états de l'essence (triplex status essentiae), répondant à la question du statut de l'essence indifférente, à celle des prédicats d'ordre supérieur et au problème de la séparation dans l'abstraction.
Doctorat en Philosophie
info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Salinas-Leal, Héctor-Hernando. « Dun Scot avant l'univocité de l'étant : études logiques, sémantiques et métaphysiques ». Paris, EPHE, 2014. http://www.theses.fr/2014EPHE5017.

Texte intégral
Résumé :
Ce travail comporte d’abord un effort thématique : celui de rendre visible autant que possible les thèses de Duns Scot avant l’univocité de l’étant à propos d’un certain nombre de sujets qui vont de la logique à la métaphysique (la détermination de l’objet de la science logique, de la nature de l’universel logique, du problème de la signification du nom commun, du traitement du statut logico-sémantique des catégories et, finalement, de l’objet de la métaphysique et de l’univocité de l’étant). Une deuxième dimension du travail montre bien que le projet de déceler les positions du jeun Duns Scot se heurte à la méthode scotiste de retoucher (dans des degrés divers) les textes de la première étape de sa pensée avec les développements d’un Scot plus mûr. Ce travail n’a pas pu donc contourner, comme un effet interne à la pensée de Scot, l’effort de contraster les solutions du début de sa carrière avec celles qui deviendront les siennes dans des étapes postérieures de sa pensée. Ceci est notamment manifeste dans la détermination du sujet de la métaphysique (dans le commentaire à Aristote) où l’on voit se construire un ensemble de thèses correspondant à une période avant l’univocité de l’étant où la substance tient le rôle de sujet de la métaphysique. Ces thèses seront profondément modifiées dans une rédaction postérieure introduite dans la structure de la question initiale, appartenant à un moment de la pensée de Scot après l’univocité de l’étant, où c’est Dieu qui tiendrait le rôle de sujet. Ce travail se situe donc autour de l’univocité scotiste dans son avant et dans son après et montre qu’il faut toujours en tenir compte pour toute interprétation de la pensée de Scot
This dissertation tries to establish Scotus’s positions before the univocity of being concerning some themes from logic to metaphysics (the determination of the object of logic as science, the nature of the logical universal, the problem of the common name meaning, the logico-semantical status of categories and, finally, the problem of the object of metaphysics and the univocity of being). Another dimension of this work shows that the project of establishing the young Scotus’s positions finds an obstacle in the own method of Scotus, who used to rework (with different levels of intensity) the texts of his first period of thought with the remarks of an older Scotus. This dissertation was not able to avoid the effort of comparing the solutions of the young Scotus with those of later moments of his thought. This is quite evident concerning the determination of the object of metaphysics (in Scotus commentary on Aristotle). There you can see a set of positions corresponding to a period of his thougth before the univocity of being, where substance is the object of metaphysics. These positions will be profoundly modified in a second draft introduced in the structure of the original question; this new set of positions belongs to a period of his thought after the univocity of being, where god, instead of substance, would be the object of metaphysics. This work is then situated around the univocity of being in his before and his after and it shows that it is always necessary to take this situation into account for all attempts to interpret Scotus’s thought
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Taïeb, Hamid. « La relation intentionnelle dans la tradition aristotélicienne : étude de la réception des textes d’Aristote sur les corrélats psychiques ». Paris, EPHE, 2014. http://www.theses.fr/2014EPHE5019.

Texte intégral
Résumé :
Ce travail a pour but d’identifier, dans la tradition aristotélicienne, un type particulier de relation entre les activités psychiques et leurs objets, une relation intentionnelle, exprimant la pure visée, et donc irréductible tant à une relation causale qu’à une relation de conformité (ou « aléthique ») des activités psychiques à la réalité. Après une étude des relations psychiques chez Aristote lui-même, le travail se tourne vers la réception de ses textes, plus précisément vers la réception de Catégories VII et, surtout, de Métaphysique Δ, 15. Durant l’Antiquité déjà, certains aristotéliciens – Alexandre d’Aphrodise, les néoplatoniciens – ont admis, sous l’autorité de Métaphysique Δ, 15, un concept de relation intentionnelle dans leur psychologie. Au Moyen-âge, de nombreux auteurs ont procédé de même. Alors que certains philosophes, à commencer par Thomas d’Aquin, ont réduit la dimension relationnelle du psychisme à la causalité exercée par la réalité sur l’activité psychique ou à la conformité de l’activité psychique à la réalité, d’autres, notamment Duns Scot, ont reconnu, sur la base de Métaphysique Δ, 15, un type de relation à l’objet n’exprimant rien d’autre que la pure visée. À la fin du 19e siècle, Brentano lisait Aristote de la même manière: la relation intentionnelle, irréductible à une relation causale ou à une relation de conformité, a ses origines en Métaphysique Δ, 15. En somme, ce travail analyse, d’Aristote à Brentano, les liens entre intentionnalité, causalité et vérité
The aim of this work is to identify, in the Aristotelian tradition, a specific type of relation between the psychic activities and their objects, an intentional relation, which expresses the pure aiming at, and thus which is irreducible both to a causal relation and to a relation of conformity (or « alethic relation ») from the psychic activities to reality. After a study of the psychic relations in Aristotle himself, the work turns to the reception of his texts, more precisely to the reception of Categories VII and, above all, of Metaphysics Δ, 15. Already during Antiquity, some Aristotelians – Alexander of Aphrodisias, the Neoplatonists – admitted, under the authority of Metaphysics Δ, 15, a concept of intentional relation in their psychology. In the Middle Ages, many authors proceeded similarly. Whereas some philosophers, starting with Thomas Aquinas, reduced the relational dimension of the psychic to the causality that reality exerts on the psychic activity or to the conformity of the psychic activity to reality, others, notably Duns Scotus, recognized, on the basis of Metaphysics Δ, 15, a type of relation which expresses nothing else than the pure aiming at. At the end of the 19th Century, Brentano read Aristotle in the same manner: the intentional relation, irreducible to a causal relation or to a relation of conformity, has its roots in Metaphysics Δ, 15. In sum, this work analyses, from Aristotle to Brentano, the links between intentionality, causality and truth
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Hernan, Rachael. « An Alternative Woman : Breaking From the Binary Options of Sir Walter Scott's Heroines and Their Successors in Historical Fiction ». Cleveland State University / OhioLINK, 2020. http://rave.ohiolink.edu/etdc/view?acc_num=csu1599610638064843.

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Picon, Marina. « Normes et objets du savoir dans les premiers essais leibniziens ». Thesis, Lyon, École normale supérieure, 2015. http://www.theses.fr/2015ENSL1058.

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Résumé :
La doctrine leibnizienne de la science repose-t-elle sur une théorie de la connaissance? Après avoir montré, dans des travaux préalables, qu’une telle dépendance ne se rencontre pas dans l’œuvre de la maturité, nous nous intéressons ici aux premiers écrits de Leibniz. La Nova Methodus discendae docendaeque Jurisprudentiae (1667) dresse, suivant l’exemple de Bacon, un inventaire raisonné des disciplines que doit réunir la nouvelle encyclopédie. Comme dans les projets leibniziens ultérieurs, cet inventaire est précédé de la distinction entre types de savoir en fonction des critères logiques selon lesquels les propositions se répartissent entre histoires, observations et théorèmes. Nous nous attachons en particulier à la définition de ceux-ci comme propositions « démontrables ex terminis ». Cette norme de la science étant posée, quels fondements in re Leibniz entend-t-il donner au savoir démonstratif ? Prenant pour fil conducteur sa polémique avec l’humaniste Marius Nizolius, nous étudions sa tentative pour fonder la validité des propositions de vérité éternelle sur des universaux subsistant indépendamment de l’existence des individus. Ce n’est cependant que dans les premiers écrits parisiens (1672-1673) que se dégage sa réponse définitive à ce problème : apparue d’abord comme un autre nom de la signification qu’« exprime » une définition, la notion d’idée y prend consistance en tant qu’archétype subsistant en Dieu. Les principaux traits de la théorie leibnizienne de la science sont ainsi fixés, indépendamment de toute « doctrine de l’entendement »
Does Leibniz’s doctrine of demonstrative knowledge rest upon a theory of cognition? Having shown in previous articles that such was not the case in his mature works, we now turn to his early writings. The Nova Methodus discendae docendaeque Jurisprudentiae (1667) contains a reasoned inventory of the disciplines that should constitute the new encyclopaedia. As in later projects, Leibniz precedes this inventory with a classification of the types of knowledge based on the logical criteria according to which propositions are divided in histories, observations and theorems. Particular attention is given to the definition of the latter as propositions « demonstrable ex terminis ».This norm of scientific necessity once defined, what real (in re) foundation does Leibniz give to demonstrative knowledge? Following the various threads offered by his polemic against the Italian humanist Marius Nizolius, we study Leibniz’s attempt to ground the validity of propositions of eternal truth on universals subsisting independently of the existence of individuals. But one has to wait until the first Paris writings (1672-1673) to see the emergence of his mature answer to that problem: first conceived after the model of the significatio which a definition « expresses », the notion of idea reaches its latter ontological status as an archetype subsisting in God’s mind. The principal features of Leibniz’s theory of demonstrative knowledge are thus in place, prior to and independently of what he will later call his « doctrine of the understanding »
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Jeffrey, Johnson Kirstin Elizabeth. « Rooted in all its story, more is meant than meets the ear : a study of the relational and revelational nature of George MacDonald's mythopoeic art ». Thesis, University of St Andrews, 2011. http://hdl.handle.net/10023/1887.

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Résumé :
Scholars and storytellers alike have deemed George MacDonald a great mythopoeic writer, an exemplar of the art. Examination of this accolade by those who first applied it to him proves it profoundly theological: for them a mythopoeic tale was a relational medium through which transformation might occur, transcending boundaries of time and space. The implications challenge much contemporary critical study of MacDonald, for they demand that his literary life and his theological life cannot be divorced if either is to be adequately assessed. Yet they prove consistent with the critical methodology MacDonald himself models and promotes. Utilizing MacDonald’s relational methodology evinces his intentional facilitating of Mythopoesis. It also reveals how oversights have impeded critical readings both of MacDonald’s writing and of his character. It evokes a redressing of MacDonald’s relationship with his Scottish cultural, theological, and familial environment – of how his writing is a response that rises out of these, rather than, as has so often been asserted, a mere reaction against them. Consequently it becomes evident that key relationships, both literary and personal, have been neglected in MacDonald scholarship – relationships that confirm MacDonald’s convictions and inform his writing, and the examination of which restores his identity as a literature scholar. Of particular relational import in this reassessment is A.J. Scott, a Scottish visionary intentionally chosen by MacDonald to mentor him in a holistic Weltanschauung. Little has been written on Scott, yet not only was he MacDonald’s prime influence in adulthood, but he forged the literary vocation that became MacDonald’s own. Previously unexamined personal and textual engagement with John Ruskin enables entirely new readings of standard MacDonald texts, as does the textual engagement with Matthew Arnold and F.D. Maurice. These close readings, informed by the established context, demonstrate MacDonald’s emergence, practice, and intent as a mythopoeic writer.
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Emanuele, Sorichetti. « Per actum et modum voluntatis. Giovanni Duns Scoto a confronto con Enrico di Gand sulla produzione dello Spirito Santo ». Doctoral thesis, 2019. http://hdl.handle.net/11393/282546.

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Résumé :
Il lavoro si colloca nell’ambito della ricostruzione delle dottrine trinitarie tra XIII e XIV secolo, con particolare riguardo all’elaborazione fornita da Giovanni Duns Scoto, a confronto con Enrico di Gand, suo principale (seppur indiretto) interlocutore. Il tema si concentra in particolare intorno alle teorie della spirazione per actum et modum voluntatis, alla luce del ruolo della volontà divina come principio produttivo dello Spirito Santo. La connessione tra questi due aspetti apre la strada ad un’ipotesi non pienamente esplorata dalla critica, in base alla quale la teologia trinitaria può fornire elementi indispensabili per la comprensione globale di una teoria della volontà. La prima sezione dell’indagine è dedicata al concetto di productio, in base all’assunzione da parte di Scoto ed Enrico di un «approccio emanazionale» alla Trinità. La «produzione» è capace per entrambi gli autori di illuminare la dinamica fondativa delle relazioni trinitarie, ma in modi sostanzialmente diversi: il Gandavense sembra conservare in divinis la struttura della produzione terrestre aristotelicamente intesa, considerando l’essenza divina come «quasi materia» per la costituzione della persona, mentre Scoto tenta di rimuovere ogni traccia di mutamento dalla produzione, attraverso la quale si può porre qualcosa nell’essere pur in mancanza di un supporto (quasi) materiale. Nella seconda parte, invece, si affronta il problema della volontà divina come principium productivum. Se in base al «modello psicologico» di derivazione agostiniana la volontà deve produrre lo Spirito Santo, in che senso essa può svolgere il ruolo di principium communicandi naturam? Le posizioni dei due autori sembrano distanziarsi di nuovo, non tanto in base alle loro opzioni dottrinali, ma piuttosto per via della loro impostazione metafisica: secondo Enrico la volontà per poter produrre deve connettersi, nel passaggio dall’atto essenziale (operativo) all’atto nozionale (produttivo), ad una qualche forma di «naturalità», mentre secondo Scoto essa, in virtù di una nuova impostazione trascendentale, per il solo fatto di essere collocata nel «modo» dell’infinità gode di un potere autonomo di produzione. Per i due filosofi medievali l’atto produttivo della volontà è ad un tempo libero e necessario; tuttavia, per il Gandavense lo è in virtù di una sorta di «necessità di natura» che si innesta sul principio libero, mentre per il Sottile resta la necessità, garantita dalla doppia infinità di soggetto volente e oggetto voluto nell’azione ad intra, ma la natura è completamente esclusa. Così, mentre nel pensiero di Enrico sembra non essersi ancora compiuto appieno il processo di «denaturalizzazione della volontà», con Scoto la facoltà volitiva si affranca definitivamente dal peso della natura (sia come inclinatio, sia come vis productiva ‘naturalisticamente’ intesa), tanto da configurarsi un principio pienamente autosufficiente, capace in divinis di comunicare una natura, ovvero di produrre liberamente e necessariamente, senza alcun supporto estrinseco, la terza persona della Trinità.
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Plouffe, Marc-Antoine. « La connaissance des notions premières selon Avicenne, Thomas d'Aquin et Jean Duns Scot ». Thesis, 2020. http://hdl.handle.net/1866/25489.

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Ce travail examine et analyse les positions d'Avicenne, Thomas d'Aquin et Duns Scot concernant la connaissance des notions premières, à la lumière de leurs arguments pour cette position et de leurs autres engagements théoriques, en particulier aristotéliciens. Chacun à sa façon, ces philosophes affirment que l'étant ou l'existant est ce premier concept. Ils lui donnent une primauté logique, au sens où l'étant est présupposé par nos autres concepts. Ils lui donnent aussi une primauté cognitive, au sens où il est le premier objet à être conçu par l'intellect.
This work reviews and analyzes a view shared by Avicenna, Thomas Aquinas, and John Duns Scotus concerning the primary notions, examining their arguments in the light of their other philosophical commitments, especially Aristotelian ones. Each in their own way, these philosophers claim that being is this primary notion. Being has a twofold priority. In the logical order, being is presupposed by all other notions. In the cognitive order, being is the first conceived by the intellect.
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Racette, Sylvain. « La connaissance chez Jean Duns Scot : le rôle de la nature commune et la position de l'auteur dans la querelle des Universaux ». Thèse, 2008. http://hdl.handle.net/1866/7535.

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