Articles de revues sur le sujet « Relations franco-britanniques »

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1

Razoux, Pierre. « Un siècle de relations militaires franco-britanniques ». Revue Historique des Armées 237, no 4 (2004) : 4–11. http://dx.doi.org/10.3406/rharm.2004.5653.

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2

Collins, Tony. « John Bull, Marianne and the oval ball. The Franco-British Divorce of 1931 ». Football(s). Histoire, culture, économie, société, no 3 (12 octobre 2023) : 49–66. http://dx.doi.org/10.58335/football-s.479.

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Résumé :
Le rugby a représenté un aspect non-négligeable des relations franco-britanniques tout au long du vingtième siècle. Ces relations sportives n’ont pas été de tout repos et ont porté les préjugés construits depuis la fin du xviiie siècle par les guerres entre les deux nations. Dès les années 1910-1920, les rugby unions britanniques font valoir de nombreux griefs à l’égard du rugby français. Les rugbymen français seraient soumis à leurs passions, brutaux et, surtout, pratiqueraient de manière presque ouverte le professionnalisme. Ces accusations provoquent l’éviction du quinze de France du Tournoi des Cinq nations en 1931. L’une des conséquences de cette exclusion est le développement du rugby à XIII en France. Malgré le retour des Bleus dans le Tournoi en 1947, les préjugés ont la vie dure mais le dirigeant français René Crabos évite habilement une nouvelle rupture. Désormais, les relations franco-britanniques en matière de rugby sont caractérisées par le déni et le partage d’intérêts bien compris.
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3

Ulrich-Pier, Raphaële. « Un modèle réduit des relations franco-britanniques : l'année 1935 ». Relations internationales N°117, no 1 (2004) : 55. http://dx.doi.org/10.3917/ri.117.0055.

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4

Llewellyn, Edward, et Catherine Colonna. « Points de vue sur les relations de défense franco-britanniques ». Revue Défense Nationale N° 834, no 9 (2 novembre 2020) : 9–20. http://dx.doi.org/10.3917/rdna.834.0009.

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5

Debonne, Nathalie. « Le charbon dans les relations franco-britanniques de 1945 à 1948. » Matériaux pour l'histoire de notre temps 18, no 1 (1990) : 20–22. http://dx.doi.org/10.3406/mat.1990.401611.

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6

Crouzet, François. « L'Entente cordiale : réalités et mythes d'un siècle de relations franco-britanniques ». Études anglaises 57, no 3 (2004) : 310. http://dx.doi.org/10.3917/etan.573.0310.

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7

Manase, Viviane. « Influences anglaises et paysages littoraux normands (XVIIIe-XIXe siècle) ». Études Normandes 3, no 1 (2017) : 40–50. http://dx.doi.org/10.3406/etnor.2017.3571.

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Résumé :
Si par le passé les conflits armés ont largement émaillé les relations franco-anglaises, il est indéniable qu’il a toujours existé une sorte de fascination réciproque entre les deux peuples, traduite par de multiples échanges économiques, techniques et culturels. La Normandie, un temps sous domination anglaise, est, du fait de sa proximité géographique avec l’Angleterre, la province française qui a sans doute le plus bénéficié des savoirs anglais, de sa culture, précocement, et parfois directement par des Britanniques installés sur place.
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8

Philpott, William. « Plus qu’un « simple soldat » : la France et la perspective d’un soutien militaire britannique avant 1914 ». Revue Historique des Armées 264, no 3 (1 août 2011) : 32–40. http://dx.doi.org/10.3917/rha.264.0032.

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Résumé :
Les études sur les relations militaires franco-britanniques avant 1914 portent le plus souvent sur la diplomatie et les rapports entre haut commandements. Cet article explore une nouvelle dimension. En effet, comment l’armée française a-t-elle évalué la capacité et le potentiel militaires des combattants venus d’outre-manche ? Après différentes recherches, il est possible d’avancer que les Français ont considéré l’armée professionnelle britannique comme une réelle force combattante, certes restreinte, mais capable de renforcer les troupes françaises dans la guerre contre l’Allemagne.
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Nye, John Vincent. « Les incidences des relations franco-britanniques sur le commerce du vin (1689- 1860) ». Cahiers d'Economie et sociologie rurales 30, no 1 (1994) : 79–94. http://dx.doi.org/10.3406/reae.1994.1393.

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Nicolas, Aude. « Les rapports franco-britanniques à travers la peinture militaire représentant la guerre de Crimée ». Revue Historique des Armées 264, no 3 (1 août 2011) : 19–31. http://dx.doi.org/10.3917/rha.264.0019.

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Résumé :
Cet article a pour objet d’analyser, par le biais de la peinture militaire, la variété des rapports entretenus entre Français et Britanniques lors de la campagne de Crimée (1854-1856). Une sélection d’œuvres signifiantes permet d’étudier et de montrer de part et d’autre, grâce aux artistes des deux nations, l’évolution de ces relations complexes suite à un rapprochement voulu par l’empereur Napoléon III et la reine Victoria, tous deux alliés aux côtés de l’Empire ottoman menacé par les vues expansionnistes du tsar Nicolas Ier. La majorité des peintres sont Français, les Britanniques ayant très peu représentés ce conflit en dehors du fait héroïque le plus marquant de leur armée : la charge de la brigade légère. Enfin, l’analyse de ces tableaux permet d’étudier le changement de mentalité progressif des officiers et des soldats des deux nations, ennemies pendant si longtemps et subitement rapprochées par la volonté de leurs souverains respectifs.
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Billant, Jacques. « La frontière franco-britannique à Calais : des évolutions opérationnelles permanentes pour faire face aux enjeux internationaux ». Administration N° 279, no 3 (4 octobre 2023) : 21–24. http://dx.doi.org/10.3917/admi.279.0021.

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Résumé :
Calais a toujours été au centre des grands enjeux internationaux entre le Royaume-Uni et l’Europe, en raison de sa situation géographique, mais aussi de ses liens historiques avec la Grande-Bretagne. Le premier enjeu est économique avec deux plateformes transmanche – le port de Calais et le Tunnel sous la manche – qui agissent comme un vrai poumon économique aux niveaux local et régional. Calais est également l’épicentre d’une forte pression migratoire, au cœur des politiques et des relations gouvernementales françaises et britanniques, et dont la physionomie est changeante (problématique des « small-boats », troubles à l’ordre public…). Le Brexit a par ailleurs complexifié la gestion de la frontière franco-britannique de Calais en imposant désormais des contrôles sur les marchandises et les voyageurs, tout en assurant le défi de la fluidité du trafic qui est la base du modèle économique local. Si les différents accords entre la France et le Royaume-Uni ont permis d’avoir une frontière juxtaposée spécifique à Calais et d’accompagner financièrement la lutte contre l’immigration clandestine, c’est bien toujours grâce à l’adaptation des services de l’État et à la bonne coopération franco-britannique sur le terrain – au plan opérationnel et sur le volet du renseignement – que ces défis frontaliers peuvent être relevés au quotidien.
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12

Williams, Glenn. « March to Victory ». Revue Historique des Armées 246, no 1 (1 janvier 2007) : 10–21. http://dx.doi.org/10.3917/rha.246.0010.

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Résumé :
En octobre 1781, la victoire de Yorktown allait assurer l’indépendance des États-Unis ; or cette victoire n’aurait pas été possible sans l’intervention de la France. Les deux pays ont pris conscience que la victoire de la flotte de l’amiral de Grasse à La Chesapeake a rendu possible le succès des armées alliées sur terre. Les relations entre le commandant chef américain, le général George Washington, et son homologue français, le comte de Rochambeau, étaient un modèle de coopération. La bravoure des soldats français et américains, organisant le siège, manœuvrant les armes, et prenant d’assaut les fortifications, ainsi que les efforts que firent les deux armées en Virginie à des moments critiques furent indiscutables. En août 1781, les alliés franco-américains étaient prêts à affronter les troupes britanniques à New York. En réalisant l’opportunité que constituerait un coup bien asséné en Virginie, les décisions des commandants alliés furent décisives. En quelques jours, les forces alliées se retirèrent du front et se repositionnèrent 400 miles plus loin, à un endroit où les ennemis étaient plus vulnérables. L’arrivée des forces coalisées provoqua alors la fin du conflit. À l’instar de la bataille, le plan logistique et l’exécution de la marche à la victoire à Yorktown constituent aussi un exemple de l’amitié franco-américaine et de l’alliance militaire qui a longtemps perduré.
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Tombs, Robert. « Ennemis héréditaires, alliés par nécessité ». Revue Historique des Armées 264, no 3 (1 août 2011) : 11–18. http://dx.doi.org/10.3917/rha.264.0011.

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Résumé :
Deux siècles après la bataille de Waterloo, les relations franco-britanniques peuvent être perçues comme une évolution de l’hostilité à l’alliance et finalement au partenariat. Mais il ne s’agit pas d’une évolution sans heurt et continue. Le rapprochement n’a pas été simple au XIXe siècle et au cours du XX e siècle, l’alliance ne résultait pas de la confiance et de l’affection que les politiques et les peuples des deux pays pouvaient se porter. De part et d’autre de la Manche, d’autres pays ou d’autres parties du monde semblaient plus importants que cela soit pour nouer des relations amicales, conflictuelles ou d’influences économiques et politiques. De fait, dans le passé, certains pays étaient contraints de nouer des partenariats ou des alliances car leur survie en dépendait. Aujourd’hui, la France et la Grande-Bretagne sont les seuls États européens à avoir encore une ambition mondiale. Pour parvenir à leurs fins, les deux pays aimeraient opter pour d’autres partenaires. Cependant, la réalité les rappelle à l’ordre et dans le monde des années 2010, ils ne peuvent compter que l’un sur l’autre. Ce qui pourrait être plus facile à accepter s’ils étaient plus oublieux de leurs affrontements et moins négligeant envers leurs alliances passées.
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Siméant-Germanos, Johanna. « Garbaye (Romain) – Émeutes vs Intégration. Comparaisons franco-britanniques . – Paris, Presses de Sciences Po, 2011 (Nouveaux débats. 24). 136 p. Bibliogr ». Revue française de science politique Vol. 61, no 6 (23 novembre 2011) : XII. http://dx.doi.org/10.3917/rfsp.616.1205l.

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Du Réau, Elisabeth. « Les relations franco-britanniques sous Georges Pompidou. Vers un axe Paris-Londres ? (Du sommet de La Haye à celui de Paris, 1969-1972) ». Cahiers Charles V 41, no 1 (2006) : 87–102. http://dx.doi.org/10.3406/cchav.2006.1482.

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Cross, Elizabeth. « India and the Compagnie des Indes in the Age of the French Revolution ». French Historical Studies 44, no 3 (1 août 2021) : 455–76. http://dx.doi.org/10.1215/00161071-9004979.

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Résumé :
Abstract This article examines the global history of the Age of Revolution through the lens of the Nouvelle Compagnie des Indes (1785–94). Established in the aftermath of the American Revolution, the company was not only a commercial entity but also an integral part of a diplomatic strategy for reestablishing the postwar Franco-British relationship. The geopolitical context of the Indian Ocean world forced French political and commercial actors to imagine forms of imperial and commercial power that frequently placed French interests under British protection, often in ways that provoked significant opposition in the metropole. Amid ideologies of competition, Anglophobia, and militarism, the case of the Nouvelle Compagnie des Indes reveals how both state and private actors struggled to promote wide-ranging commercial collaboration between France and Britain in the 1780s and 1790s in ways that often anticipated later partnerships between the two empires. Cet article examine l'histoire globale de l’ère de la Révolution française à travers le prisme de la Nouvelle Compagnie des Indes (1785–94). Etablie après la guerre d'indépendance américaine, la compagnie n’était pas seulement une entité commerciale, mais une partie intégrante d'une stratégie diplomatique pour rétablir les relations franco-britanniques. Le contexte géopolitique de l'océan Indien exigeait que les acteurs politiques et commerciaux français imaginent de nouvelles formes de pouvoir impérial et commercial. Celles-ci plaçaient fréquemment les intérêts français sous la protection britannique, souvent d'une manière qui provoquait de fortes résistances dans la métropole. Dans un contexte idéologique de compétition, d'anglophobie et de militarisme, le cas de la Nouvelle Compagnie des Indes révèle que des acteurs aussi bien étatiques que privés essayaient de promouvoir une vaste collaboration commerciale entre la France et la Grande-Bretagne dans les années 1780 et 1790, en anticipant souvent les partenariats ultérieurs entre les deux empires.
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Austen, Ralph. « Véronique Dimier, Le Gouvernement des Colonies : Regards Croisés Franco-Britanniques. Collection ‘Sociologie Politique’. Bruxelles : Éditions de l'Université Libre de Bruxelles, 2004. 288 pp. ISBN : 2-8004-1325-5. » Itinerario 29, no 3 (novembre 2005) : 123–25. http://dx.doi.org/10.1017/s0165115300010536.

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André, Valérie. « Introduction - Les relations franco-britanniques 1918-2018 : un siècle d’occasions manquées ? » Revue française de civilisation britannique XXVII, no 1 (4 janvier 2022). http://dx.doi.org/10.4000/rfcb.8494.

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Cary-Pernon, Niaz. « Punch Magazine, la construction européenne et une histoire illustrée des relations franco-britanniques de 1950 à 1992 ». Revue française de civilisation britannique XXVII, no 1 (4 janvier 2022). http://dx.doi.org/10.4000/rfcb.8737.

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Berthillot, Emilie. « Ennemis de toujours ou alliés d’un jour : les agents du SOE reconsidèrent les relations franco-britanniques de 1940 à 1945 ». Revue française de civilisation britannique XXVII, no 1 (4 janvier 2022). http://dx.doi.org/10.4000/rfcb.8602.

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