Littérature scientifique sur le sujet « Réfugiés – Discrimination »

Créez une référence correcte selon les styles APA, MLA, Chicago, Harvard et plusieurs autres

Choisissez une source :

Consultez les listes thématiques d’articles de revues, de livres, de thèses, de rapports de conférences et d’autres sources académiques sur le sujet « Réfugiés – Discrimination ».

À côté de chaque source dans la liste de références il y a un bouton « Ajouter à la bibliographie ». Cliquez sur ce bouton, et nous générerons automatiquement la référence bibliographique pour la source choisie selon votre style de citation préféré : APA, MLA, Harvard, Vancouver, Chicago, etc.

Vous pouvez aussi télécharger le texte intégral de la publication scolaire au format pdf et consulter son résumé en ligne lorsque ces informations sont inclues dans les métadonnées.

Articles de revues sur le sujet "Réfugiés – Discrimination"

1

Topaloğlu, Hakan, et Murat Özdemir. « Teachers’ Experiences on Refugee Education and Their Views on Refugees’ Social Inclusion : Case of Turkey ». Alberta Journal of Educational Research 69, no 4 (12 décembre 2023) : 439–58. http://dx.doi.org/10.55016/ojs/ajer.v69i4.72810.

Texte intégral
Résumé :
This study had two aims: first, to reveal the experiences of educators who work with refugee students in Samsun (Turkey); and second, to divulge the views these teachers have on the social inclusion of refugees. The research was designed using a case study approach; 18 individuals participated in the research, who were selected from 12 schools within the criterion sample. A semi-structured interview form was utilized to collect data, which were analyzed using a content analysis approach. Some participants indicated that some refugee students were indifferent toward their lessons, would act in violent ways at school, experienced academic inadequacies, and possessed language and communication issues. Other teacher-participants pointed out that refugee students suffered from discrimination at school. In a general sense, the participants had a positive attitude towards refugee social inclusion, and they believed that refugees should be given employment opportunities; but refugees should also learn about Turkish culture and values. The study concluded that an equal distribution of refugees across schools and residential areas is necessary and that organizing events where refugees and Turkish citizens can join together provides the whole society with opportunities to learn about multiculturalism, which in turn can accelerate social inclusion. Keywords: Refugee, immigrant, social inclusion, discrimination, access to education. Cette étude avait deux objectifs : premièrement, révéler les expériences des éducateurs qui travaillent avec des étudiants réfugiés à Samsun (Turquie) ; et deuxièmement, rendre compte des points de vue de ces enseignants sur l'inclusion sociale des réfugiés. La recherche a été conçue selon une approche d'étude de cas ; 18 personnes ont participé à la recherche et ont été sélectionnées dans 12 écoles de l'échantillon de référence. Un formulaire d'entrevue semi-structurée a été utilisé pour collecter les données, qui ont été analysées à l'aide d'une méthode d'analyse de contenu. Certains participants ont indiqué que certains étudiants réfugiés étaient indifférents à leurs cours, agissaient de manière violente à l'école, présentaient des lacunes scolaires et avaient des problèmes de langue et de communication. D'autres enseignants-participants ont souligné que les étudiants réfugiés souffraient de discrimination à l'école. D'une manière générale, les participants avaient une attitude positive à l'égard de l'inclusion sociale des réfugiés, et ils pensaient qu’on devrait offrir aux réfugiés des possibilités d'emploi, mais que ceux-ci devaient aussi apprendre la culture et les valeurs turques. L'étude conclut qu'une répartition égale des réfugiés dans les écoles et les zones résidentielles est nécessaire et que l'organisation d'événements où les réfugiés et les citoyens turcs peuvent se rencontrer donne à l'ensemble de la société l'occasion d'apprendre le multiculturalisme, ce qui à son tour peut accélérer l'inclusion sociale. Mots clés : réfugié, immigrant, inclusion sociale, discrimination, accès à l'éducation.
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
2

Gaudreau, Julie. « Quel droit à l’égalité pour les non-citoyens ? Réflexion inspirée de l’affaire Charkaoui ». Les Cahiers de droit 49, no 2 (3 avril 2009) : 205–35. http://dx.doi.org/10.7202/029646ar.

Texte intégral
Résumé :
Dans l’affaire Charkaoui, la Cour suprême du Canada a conclu que des aspects du régime des certificats de sécurité, prévu par la Loi sur l’immigration et la protection des réfugiés, étaient inconstitutionnels en vertu des articles 7, 9 et 10 c) de la Charte canadienne des droits et libertés mais non discriminatoires à l’égard des non-citoyens au sens de l’article 15. L’auteure pose un regard critique sur la décision d’écarter l’application de cet article en l’espèce et suggère, après avoir examiné la jurisprudence de la Cour suprême en matière d’interdiction de la discrimination fondée sur la citoyenneté, une interprétation restrictive des privilèges du citoyen canadien mais large du droit à l’égalité lorsque les intérêts personnels essentiels des non-citoyens sont en jeu.
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
3

Wilkinson, Lori. « Six nouvelles tendances de la recherche sur le racisme et l’inégalité au Canada ». Cahiers de recherche sociologique, no 39 (29 avril 2011) : 109–40. http://dx.doi.org/10.7202/1002379ar.

Texte intégral
Résumé :
Au Canada anglais, la recherche sur l’inégalité et la discrimination ethniques a été très productive. Des comportements racistes, ségrégationnistes et discriminatoires, documentés ou non, affectent encore, à des degrés variables, plusieurs institutions canadiennes. Plusieurs groupes ethniques, les Autochtones en particulier, ont attiré progressivement l’attention sur les diverses inégalités qui continuent de miner les groupes marginaux dans la société canadienne. Le Metropolis Project a non seulement fourni des renseignements à tous les niveaux de gouvernements quant aux contributions apportées par les nouveaux arrivants et les réfugiés, mais il a mis en lumière leurs difficultés. Cet essai analyse six des plus récents courants d’étude sur l’inégalité ethnique, à savoir : le capital social et culturel, la thèse de l’intersectionnalité, le racisme démocratique, le « nouveau » racisme, la théorie critique des races et la législation sur l’égalité. Bien que cette liste soit loin d’être exhaustive, elle souligne les recherches les plus prometteuses.
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
4

MacLean, Michael J. « A. Wister and G. Gutman (eds.). Health systems and aging in selected Pacific Rim countries : Cultural diversity and change. Vancouver : Gerontology Research Centre, Simon Fraser University, 1998. » Canadian Journal on Aging / La Revue canadienne du vieillissement 18, no 1 (1999) : 107–10. http://dx.doi.org/10.1017/s071498080000965x.

Texte intégral
Résumé :
RÉSUMÉTout comme le Canada, les pays en bordure du Pacifique doivent adapter leurs systèmes de santé aux changements démographiques. Le nombre croissant de personnes âgées dans ces pays engendre des défis importants sur ce plan. Health Systems and Aging in Selected Pacific Rim Countries: Cultural Diversity and Change examine ces changements et ces défis. Le livre présente un examen avisé des similitudes et des défis propres à l'Australie, au Japon, à la Corée, à Hong Kong, à la Chine et au Canada, en ce qui a trait aux soins de santé des aînés. Le livre souligne la relation complexe entre un système de soins de santé et une démographie tous deux en transformation en examinant les questions de la langue, des responsabilités familiales, de l'isolement, des soins accordées par la collectivité, de la promotion de la santé, des systèmes de guérison traditionnels par rapport à la médecine moderne, de la discrimination à l'égard des très vieilles personnes et enfin des besoins des autochtones et des réfugiés âgés. Wister et Gutman présentent une analyse attendue et documentée de plusieurs questions propres à certains pays du Pacifique qui sauront intéresser les étudiants, les gérontologues et les analystes de politiques au Canada et à l'étranger.
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
5

Caron, Roxane, et Dominique Damant. « Le féminisme postcolonial à l’épreuve ». Nouvelles pratiques sociales 26, no 2 (23 mars 2015) : 142–56. http://dx.doi.org/10.7202/1029267ar.

Texte intégral
Résumé :
S’appuyant sur les résultats d’une recherche qualitative portant sur l’expérience d’exil de femmes palestiniennes réfugiées dans un camp au Liban, cet article présente certains défis rencontrés lors de l’opérationnalisation des résultats. Un cadre féministe postcolonial étant pertinent pour analyser les réalités de ces femmes, on verra qu’il peut toutefois créer une représentation dichotomique des expériences des femmes. Ainsi, dans cet article, nous montrons comment, à l’aide de la matrice de domination de Patricia Hill Collins (2000), il est possible d’éviter les analyses binaires en révélant plutôt les réalités (et discriminations) complexes des réfugiées palestiniennes.
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
6

Young, Marta. « Acculturation, identité et bien-être : l’ajustement de réfugiées somaliennes ». Santé mentale au Québec 21, no 1 (11 septembre 2007) : 271–90. http://dx.doi.org/10.7202/032391ar.

Texte intégral
Résumé :
RÉSUMÉ L'étude cerne les liens entre Vacculturation et l'ajustement psychologique de 94 femmes réfugiées de Somalie. Le mode d'acculturation préféré au niveau du groupe est l'intégration. Les Somaliennes qui ont vécu le plus longtemps au Canada s'identifient plus comme Canadiennes et perçoivent plus de discrimination contre elles et contre les Somaliens en général. De plus, l'endossement du mode d'acculturation par intégration implique un refus des autres modes comme l'assimilation, le rejet et la marginalisation. D'importants liens sont aussi établis entre l'âge, le désir de faire partite de la société canadienne et la santé mentale. En particulier, les jeunes femmes se distinguent du groupe car elles ont tendance à avoir un plus haut degré de dépression. Aussi, les réfugiées qui ont émigré pour des raisons politiques désirent retourner en Somalie et sont moins satisfaites de leur vie au Canada.
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
7

D’Orsi, Cristiano. « Legal protection of refugee children in Africa : positive aspects and shortcomings ». African Human Rights Yearbook / Annuaire Africain des Droits de l’Homme 3 (3 mars 2022). http://dx.doi.org/10.29053/2523-1367/2019/v3a15.

Texte intégral
Résumé :
ABSTRACT Despite the legal measures that have been put in place for their protection, refugee children in Africa remain at risk. Africa is the first continent in the world where every persecuted individual has the right ‘to seek and obtain asylum in other countries’ (article 12(3) of the African Charter on Human and Peoples’ Rights). In Africa, refugee children are at risk mostly because the continent lacks a clear definition of ‘sovereignty’. African countries interpret the adjective ‘sovereign’ to their own advantage, in terms of the rights and responsibilities imposed on foreigners - including refugees - entering their territory. Although the overall treatment of refugee children has over the last decades improved in Africa, they nonetheless remain a vulnerable category of persons. If refugee children are targeted because they are ‘foreigners’, such discrimination could be curbed and even eradicated through the education of the youth. The various international treaties that African nations have adopted (in particular, the Convention on the Rights of the Child and the African Charter on the Rights and Welfare of the Child) provide an important legal umbrella for the protection of refugee children. However, in many instances, the bulk of the protection is still carried out by NGOs. Consequently, there is still a long way to go before African refugee children will be treated with the dignity that is due to all the children in the world, irrespective of their origin. TITRE ET RÉSUMÉ EN FRANCAIS: Protection juridique des enfants réfugiés en Afrique: développements positifs et faiblesses RÉSUMÉ: Les enfants réfugiés en Afrique demeurent en danger en dépit des mesures juridiques adoptées par les Etats pour les protéger. L’Afrique est le premier continent au monde où toute personne persécutée a le droit de « demander et obtenir l’asile dans d’autres pays » (article 12(3) de la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples). En Afrique, la principale menace des enfants réfugiés émane du fait que le continent n’a pas de définition claire de la notion de « souveraineté ». Les pays africains interprètent l’adjectif « souverain » à leur profit, en mettant l’accent sur les droits et les responsabilités imposés aux étrangers qui franchissent leur frontière - dont les réfugiés. Bien que le traitement global des enfants réfugiés se soit amélioré au cours des dernières décennies en Afrique, ils demeurent néanmoins une catégorie de personnes vulnérables. Si les enfants réfugiés sont ciblés parce qu’ils sont des « étrangers », cette discrimination future pourrait être enrayée voire éliminée grâce à l’éducation des jeunes. Les différents traités internationaux que les pays africains ont adoptés (en particulier la Convention relative aux droits de l’enfant et la Charte africaine des droits et du bien-être de l’enfant) constituent un important cadre juridique pour la protection des enfants réfugiés. Cependant, dans de nombreux cas, l’essentiel de la protection est toujours assuré par les ONG. Par conséquent, un chemin important reste encore à parcourir pour que les enfants réfugiés africains soient traités avec la dignité qui est due à tout enfant, quelle que soit son origine.
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
8

Mazou, Miriam. « Des journalistes admis à une audience à huis clos dans un procès contre le fils d’un conseiller fédéral ». medialex, 4 novembre 2020. http://dx.doi.org/10.52480/ml.19.9.

Texte intégral
Résumé :
Les juges de Mon-Repos ont considéré que la durée de conservation de six mois prévue par l’art. 15 al. 3 aLSCPT apparaît proportionnée, même s’agissant des données « secondaires ». Le Tribunal fédéral a considéré qu’un article dans lequel l’auteur conteste la version officielle du massacre de Srebrenica ne réalisait pas les éléments constitutifs de l’infraction de discrimination raciale (art. 261bis CP). Notre Haute Cour a encore jugé, se basant sur les articles 16 al. 3, 17 et 30 al. 3 Cst. féd. (liberté d’information, des médias et principe de publicité des jugements) qu’un tribunal pouvait transmettre à un journaliste un jugement non caviardé. Des journalistes accrédités peuvent être admis à une audience pénale à huis clos dans un procès contre le fils d’un conseiller fédéral. Le Tribunal pénal fédéral a jugé que la publication sur Facebook de vidéos et de photos violentes pouvait entrer dans le champ d’application de l’article 135 CP (représentation de la violence). De même, la publication sur Twitter d’une photographie montrant un politicien rendant visite à des enfants réfugiés avec un texte indiquant qu’il « expose sans honte sa #pédophilie dans les médias » est attentatoire à l’honneur. En outre, le Tribunal fédéral a considéré que, même dans le cadre d’une publication satirique, l’utilisation récurrente et acharnée de propos injurieux à l’égard d’une personnalité politique ne pouvait être admise et pouvait être constitutive d’injure (177 CP). Notre Haute Cour a en outre jugé que la large couverture médiatique d’une affaire pénale pouvait constituer un préjudice grave pour la personnalité du prévenu acquitté. Enfin, le journaliste qui a voté électroniquement deux fois a été libéré, par le Tribunal fédéral, de l’infraction de fraude électorale.
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
9

White, Bob. « Interculturalité ». Anthropen, 2018. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.082.

Texte intégral
Résumé :
L’interculturalité —le contact entre acteurs sociaux de diverses provenances — a toujours existé. Selon le contexte, l’interculturalité peut être plus ou moins problématique (par exemple dans les situations de crise humanitaire liées à l’arrivée massive de réfugiés) et plus ou moins problématisée (par exemple dans les États qui reconnaissent l’existence de multiples communautés religieuses ou linguistiques). D’abord il est important de distinguer entre l’interculturalité et l’interculturalisme, l’idéologie pluraliste qui vise à renforcer l’harmonisation des relations en contexte pluriethnique (White 2018). Selon plusieurs observateurs, l’interculturalisme serait une réponse aux paradigmes dominants du multiculturalisme et de l’assimilationnisme (Wood et Landry 2008). Cependant, il est important de rappeler que l’interculturalisme n’est pas monolithique. Effectivement, les critiques de l’interculturalisme au Québec démontrent que cette idéologie n’a jamais fait l’objet de consensus (Rocher et White 2014). Dans un deuxième temps il faut constater qu’il y a plusieurs courants théoriques et philosophiques qui s’inspirent de la pensée interculturelle (Emongo 2014). L’anthropologie a gardé ses distances de ce vaste champ de savoir, mais peu d’anthropologues savent que l’anthropologie a eu beaucoup d’influence aux de?buts de la recherche sur la communication interculturelle, notamment à travers la personne de Edward T. Hall. Dans les anneés 1960 et 1970, le champ de la sociolinguistique interactionniste (inspiré en grande partie par les travaux de John J. Gumperz, 1989) a développé des modèles pour expliquer comment les écarts dans la communication en contexte pluriethnique contribuent à la discrimination des personnes immigrantes et des minorités racisées. Dans les années 1980, l’anthropologie américaine dite « postmoderne » a produit un certain nombre d’ethnographies « dialogiques » (White 2018), mais ces travaux ont été limités dans leur influence à l’échelle disicipinaire. Le virage phénoménologique en anthropologie dans les année 1990 a, quant à lui, permis une certaine réflexion autour de la notion d’intersubjectivité, mais l’anthropologie n’a jamais développé une théorie globale de la communication interculturelle, ce qui est surprenant étant donné que les fondements du savoir anthropologique se construisent à partir d’une série de rencontres entre cultures (White et Strohm 2014). La pensée interculturelle n’a jamais eu de véritable foyer disciplinaire, même si plusieurs disciplines ont développé des expertises sur l’analyse des dynamiques de la communication interculturelle (notamment communications, psychologie, éducation, gestion). Au sein des champs de recherche qui revendiquent une approche interculturelle, il y a un grande diversité d’approches, de concepts et de finalités. Gimenez (2018) propose une distinction entre l’utilisation de la pensée culturelle comme projet politique, comme méthode et comme cadre d’analyse. Il y a plusieurs éléments que l’on pourrait identifier avec une « épistémologie de l’interculturel » (Emongo 2014) et plusieurs thèmes qui reviennent fréquemment dans la littérature sur les dynamiques interculturelles, dont trois qui méritent une attention spéciale: la bidirectionnalité, les préjugés, les compétences. Au préalable, précisons qu’on ne peut pas réduire l’étude des dynamiques interculturelles à l’étude des immigrants ou de l’immigration. Pour des raisons évidentes, les contextes de migration transnationale soulèvent régulièrement des problématiques et des préoccupations interculturelles, par exemple sur le vivre-ensemble en contexte pluriethnique (Saillant 2016). Du point de vue interculturel, néanmoins, ce n’est pas la « culture » des groupes minoritaires qui devrait nous intéresser (puisque les groupes majoritaires sont « porteurs de culture » aussi), mais le contact entre personnes de différentes origines. Autrement dit, pour la recherche interculturelle, ce n’est pas la diversité qui est intéressante mais plutôt ce qui arrive en contexte de diversité. La notion de bi-directionnalité—c’est-à-dire l’influence mutuelle entre les groupes d’ici et d’ailleurs—permet de comprendre que mettre l’accent sur les groupes minoritaires ou personnes issues de l’immigration peut renforcer des préjugés à leur égard et que trop souvent les groupes majoritaires sous-estiment l’impact de leurs propres traditions sur le contact avec les personnes issues de l’immigration. La notion des préjugés est centrale à toute tentative d’expliquer les dynamiques interculturelles. Généralement compris comme des fausses idées sur les personnes d’autres groupes, les préjugés en situation interculturelle se rapprochent de formulations souvent rencontrées dans la théorie herméneutique. Selon Gadamer (1996) les préjugés ne sont pas négatifs en soi, puisque, en tant que pré-savoir, ils seraient à la base de la compréhension humaine. La pensée herméneutique permet de comprendre le lien entre préjugés et traditions et du coup de faire la distinction entre les traditions qui agissent comme forme d’autorité et celles qui permettent la transmission du savoir du groupe (White 2017). La pensée herméneutique part du principe que tous les êtres humains ont des préjugés et que les préjugés sont aussi une forme de savoir (parfois valide, parfois fausse). De ce point de vue les préjugés ne sont pas problématiques en soi, mais dans la mesure où ils peuvent être à a source d’incompréhension ou de discrimination (puisque non pas validés). Puisque les préjugés restent souvent dans l’ordre de l’implicite, le développement des compétences interculturelles consiste à rendre les préjugés implicites afin de réduire leur impact dans les différents contextes de la communication. Il existe une vaste littérature sur la notion des compétences en contexte interculturel, notamment dans les domaines qui s’intéressent à l’utilisation des outils interculturels pour faire de la médiation ou de la résolution des conflits. Pour tenir compte de la complexité des compétences interculturelles, il est important de définir les différentes catégories de compétences : savoir (des connaissances sur un sujet), savoir-faire (des connaissances sur les méthodes ou les façons de faire), savoir-être (les habilités sociales ou interpersonnelles). Dans la littérature sur le sujet, il y a souvent une confusion entre les compétences culturelles (c’est-à-dire l’ouverture aux différences culturelles et le savoir sur les différents groupes ethnoculturels) et les compétences interculturelles. Ces dernières doivent être comprises non pas comme un savoir sur l’autre mais plutôt comme des habilités de communication dans les contextes pluriethniques. Les approches qui se basent sur les compétences culturelles ont été critiquées parce qu’elles se limitent aux compétences par la sensibilisation de la différence et ne considèrent pas l’apprentissage de compétences communicationnelles (Gratton 2009). Les critiques des approches interculturelles sont nombreuses. Certaines partent de l’idée que la pensée interculturelle est fondée sur une fausse prémisse, celle qui présume l’existence d’entités culturelles fixes (Dervin 2011). Se basant sur les théories constructivistes, ces critiques montrent que l’identité culturelle est socialement construite et ne peut donc être réduite à une essence ou à des catégories figées. Plusieurs courants de la pensée interculturelle utilisent la notion de culture dans le sens large du terme (par exemple « culture professionnelle » ou « culture organisationnelle ») afin d’éviter les pièges de l’essentialisme, sans pour autant négliger le fait que l’utilisation de l’interculturel peut facilement tomber dans les généralisations et renforcer les stéréotypes sur les catégories culturelles. D’autres critiques de la pensée interculturelle réagissent au recours à l’utilisation ce cette notion dans le but de servir les besoins d’intégration des groupes dominants. De ce point de vue, l’interculturalisme serait une version « soft » de l’assimilationisme puisqu’il vise l’intégration des groupes minoritaires au sein d’un groupe majoritaire. Les critiques les plus radicales s’inspirent des approches orientées vers la lutte contre la discrimination (anti-racisme, droits humains). Selon cette perspective, le fait de parler des différences entre les personnes ou les groupes ne serait admissibleque dans la mesure où il permettrait de mettrela lumière sur l’impact de la discrimination sur les groupes vulnérables. Le simple fait de parler des différences entre les groupes peut, en effet, renforcer les stéréotypes et contribuer à la stigmatisation des groupes minoritaires. Cette critique nécessite plus de recherche et de réflexion puisque d’un point de vue interculturel, le fait de ne pas nommer les différences peut aussi renforcer la discrimination à l’égard des populations vulnérables.
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
10

D'adesky, Jacques. « Subalternité ». Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.056.

Texte intégral
Résumé :
Forgée au départ par Antonio Gramsci (Liguori 2016) la notion de « subalterne », définie comme relation de subordination, renvoie au départ de l’année 1988, aux subaltern studies qui proposent sous l’instigation de l’historien Ranajit Guha (1997) d’analyser la place et les groupes subalternes dans l’histoire moderne de l’Inde. Ces études accorderont une place importante à l’analyse des discours pour y appréhender les voix bâillonnées des individus appartenant aux groupes se situant à la base de la pyramide sociale, considérés comme les agents du changement social et politique. Elles développeront une critique de l’historiographie nationaliste et anti-coloniale dans le même temps qu’elles essaieront de restituer la capacité des « sans-voix » marginalisés comme les paysans pauvres, les femmes, les intouchables, et d'autres voix. De nos jours, les subaltern studies sont englobées par les théories postcoloniales qui émergent dans les années 1990 en Asie du Sud. Celles-ci questionnent la perspective du colonisateur sur les colonisés et accusent la pensée occidentale d’imposer, aux élites intellectuelles et aux classes populaires des pays du Sud, une conception éloignée des réalités locales. Cette hégémonie intellectuelle tend donc à limiter l’expression des subalternes et à en réduire la diversité issue d’un grand nombre de communautés locales, ce qui a des conséquences désastreuses sur la communication Nord-Sud. Les subaltern studies, portées à l’origine par des intellectuels d’Asie du Sud (Guha et Spivak 1988), se déploient notamment vers le Nord, nommément dans l’espace anglo-saxon, mais également dans les pays de l’Amérique latine. Dans ce dernier champ, elles ont contribué, entre autres, à mettre en exergue, les effets négatifs de la mondialisation. Les travaux critiques d’Edgardo Lander et d’Aníbal Quijano (2005) se concentrent sur l’analyse de la colonialité du pouvoir et du savoir, ainsi que sur la critique de l’eurocentrisme, compris comme une perspective binaire et dualiste de la connaissance qui est venue à s’imposer mondialement de manière hégémonique au fur et à mesure de l’expansion européenne sur la planète. Au Brésil, à travers le prisme de la critique postcoloniale, Claudia Miranda (2006), se penche, sur les discours des intellectuels afrodescendants, jugés en situation de subalternité, qui se mettront en évidence à l’occasion de la lutte pour la démocratisation et de la mise en œuvre des politiques publiques d’action positive en faveur de l’accès des Noirs à l’enseignement supérieur. La production d’études subalternes dans le monde francophone est, quant à elle, récente et moins abondante. Néanmoins, il faut mentionner l’existence dans ce champ de courants de pensée antérieurs qui participent bien avant les années 1980 à la critique de la situation des colonisés en Afrique et dans les départements d’outre-mer. Citons à ce titre, les critiques effectuées par les chantres de la négritude que sont Léopold Sédar Senghor (1964, 1977), Aimé Césaire (2004[2004]) ou encore Frantz Fanon (2001[1952]) même si celles-ci ne viennent pas à s’appuyer expressément sur la notion de « subalternité ». C’est dans cette large perspective que la « subalternité » découle de deux phénomènes historiques : la décolonisation et la mondialisation. Même s’ils ne sont pas concomitants, leurs effets politiques, économiques et sociaux impliquent différents groupes subalternes au Nord comme au Sud, notamment les réfugiés, les émigrés, les minorités ethniques ou sexuelles opprimées, voire les femmes soumises aux diktats de cultures machistes. Après avoir été adopté et enrichi par des penseurs du Sud, le terme est aujourd’hui devenu un concept adapté aux deux hémisphères. Outre la restriction au droit à la parole — donc au pouvoir d’énonciation —, ce qui rapproche les subalternes du Nord et du Sud, c’est leur bas niveau de revenu, qui les prive d’aisance matérielle; leur qualité de vie, leur bien-être et leurs libertés qui sont donc moindres que ceux des autres groupes nationaux. Ces restrictions les enferment dans la spirale décrite par Amartya Sen (2010) : la limitation de la liberté économique réduit les libertés sociales, ce qui entraîne une nouvelle perte de liberté économique. Ce cercle vicieux affaiblit les subalternes, les opprime et les maintient dans un silence qui réduit leur capacité d’action. La liberté de parole libère une énergie et une puissance singulières pour dénoncer et abolir les servitudes. Participer aux débats et aux décisions collectives suppose l’existence d’une reconnaissance mutuelle fondée sur la liberté d’expression et la perception d’une égale dignité. L’égalité de parole découle précisément de l’expérience de l’égale dignité, comme, par exemple, dans la reconnaissance d’une même qualité d’honneur chez les anciens Spartiates ou d’une même valeur chez les citoyens athéniens, et dans l’usage de la palabre chez les sages et chefs de villages africains. Pour les groups subalternes, la liberté de parole est donc une arme de libération contre les discours qui les ignorent et contre les pratiques et les dispositifs qui les réduisent au silence. Face à l’immédiatisme du journalisme et de l’économie, l’anthropologie a, sur ce thème, l’avantage du temps de la réflexion, de l’enquête approfondie et de la comparaison. L’étude ethnographique, la reconstruction des récits de vie et l’analyse de discours permettent une nouvelle approche des relations politiques, sociales et culturelles Nord-Sud. Habitués à la prise de distance face à leur propre culture, les anthropologues sont particulièrement bien outillés pour porter un regard neuf sur les pratiques de discrimination et d’exclusion et le sentiment d’abandon vécu par les groupes subalternes (difficultés de se faire entendre et voir leurs problèmes pris en charge par les pouvoirs publics) dans les pays du Nord comme du Sud. Rien d’extraordinaire donc à ce que les anthropologues, d’où qu’ils soient, viennent à s’emprunter concepts et arguments et à communiquer davantage.
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.

Thèses sur le sujet "Réfugiés – Discrimination"

1

Kortam, Marie. « Jeunes du centre, jeunes de la périphérie : discours contre la violence : études de cas : banlieues en France et camp de réfugiés palestiniens au Liban ». Paris 7, 2011. http://www.theses.fr/2011PA070009.

Texte intégral
Résumé :
Ma thèse sur le discours contre la violence des jeunes réfugiés palestiniens et français vise d'un côté l'identification des processus de ces violences subies et de l'autre, les stratégies violentes ou non que ces jeunes déploient à l'échelle individuelle et/ou collective pour survivre et trouver une place dans la société. Les questions qt font l'objet de cette recherche sont les suivantes : Pourquoi parle t-on des violences? Que veut dire violences ? Toutes les violences sont-elles à égalité ? À quel moment agit-on avec violence ? Précisons qu'il ne s'agit pas ici de comprendre les causes ou la genèse de la notion de violence, mais bien de s'interroger sur le problème que pos l'existence même des violences comme phénomène social. Dans ce travail, je considère les violences comme un conflit au même titre que les autres conflits. Elles s'en distinguent cependant par la présence de deux facteurs qui peuvent aller ensemble dans une même situation de violence, soit le recours à la force comme moyen d'imposer sa volonté, soit le pouvoir étatique ou politique ultime dans une société. En effet, les violences mettent aux prises des groupes sociaux ou des individus qui contestent, revendiquent, résistent ou se disputent le pouvoir. Même si parfois on peut identifier une cause ou une conjoncture immédiate particulière à un acte de violence, celle-ci ne permet d'expliquer ou de prévoir avec certitude l'éclatement des violences. L'explication des violences doit être envisagée en termes de processus, comme la discrimination, la ségrégation, la marginalisation, le racisme ou la dépolitisation, au lieu de mettre l'accent sur les causes qui ne constituent en fait que l'étape initiale de ce processus
My thesis "discourse against violence of young Palestinians refugees and French people" aims two objectives Firstly, the identification of the processes of this undergone violence. Secondly, the violent strategies or not which these young people display in the individual and\or collective scale to survive or to find a place in the society. The questions which are the object of this research are the following ones: why we talk about violence? What we mean when we use the term of violence? 1s all the violence is equal? At what moment do we act with violence? Let us specify that it is not a question here of understanding the causes or the genesis of the notion of violence, but to wonder about the problem which puts the existence of the violence as the social phenomenon. In this research, I consider the violence as a conflict in the same way as the other conflicts. They distinguish themselves from it however by the presence of two factors which can go together to the same situation of violence, either the recourse to the strength as the means to impose its will, or the ultimate state or political power in a society. Indeed, the violence puts in the grips of the social groups or the individuals who take issue, claim, resist or quarrel the power. Even if sometimes we can identify a cause or a particular immediate situation with an act of violence, this one allows to explain or to plan with certainty the explosion of the violence. The explanation of the violence must be envisaged in terms of process, like discrimination, segregation, marginalization, racism or depolitisation, instead of emphasizing the causes which constitute in fact only the initial stage of this process
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
2

Flores, Maya Agustín. « Pour une éthique humanimaliste : Concilier la revendication des vies animales et la crise humanitaire des réfugiés ». Electronic Thesis or Diss., Université Côte d'Azur, 2022. http://www.theses.fr/2022COAZ2015.

Texte intégral
Résumé :
La présente étude compare les propositions éthiques de deux mouvements sociaux contemporains : la cause animale et la cause des réfugiés en Europe. D'un côté, les militants et les penseurs animalistes prônent l'insertion de l'animal dans la sphère de considération morale en soulignant que le respect des vies animales nous amènera vers l'abolition de toutes sortes de souffrance et d'exploitation, à savoir celle des animaux et celle des hommes. D'un autre côté, le naufrage des bateaux dans la Méditerranée illustre l'indifférence des dirigeants européens et d'une partie de la société civile envers les réfugiés qui, selon l'esprit des traités internationaux, incarnent l'image de la vulnérabilité humaine. L'indifférence envers ces individus, sans oublier la chasse dont ils sont victimes, leur emprisonnement et la privation de leurs droits fondamentaux, aura comme conséquence leur métamorphose en une figure biopolitiquement ambiguë : l'humanimal. Malgré sa physicalité anthropomorphe, sa parole et son visage humain, l'humanimal est un être vivant dont le statut est plus proche de celui des animaux que celui des hommes. Une proximité qui remet en question la nécessité de politiser la cause animale afin de garantir le respect des animaux, puisque l'exclusion de l'humanimal est précisément basée sur des critères politiques. Plus qu'une critique des propos éthiques des animalistes, ce travail souhaite penser la cause animale à l'aide de l'humanimal et arrêter ainsi la machine anthropogénique qui s'est caractérisée, depuis ses origines, par l'inclusion d'une vie dans la sphère de considération morale conjointe à l'expulsion d'une autre vie. Rapprocher l'humanimal de l'animal représente une opportunité pour penser autrement l'être que l'épistémologie occidentale, depuis l'Antiquité, a jugé comme une possession appartenant seulement à l'homme. La conclusion de ce travail vise à exposer quelques éléments permettant la construction d'une nouvelle perspective éthique où les « différences » ne constitueront pas un motif de discrimination, et surtout un moyen de justifier l'oppression des autres. Dans notre terminologie, il s'agit de s'ouvrir aux autres manières de concevoir l'« être » pour construire une éthique humanimaliste, c'est-à-dire une éthique transcendant toutes les frontières géopolitiques et biopolitiques
This study compares the ethical proposals of two contemporary social movements: the animal cause and the cause of refugees in Europe. On the one hand, activists and animalist thinkers advocate the inclusion of animals in the sphere of moral consideration by emphasizing that respect for animal lives will lead us towards the abolition of all kinds of suffering and exploitation, to wit that of animals and that of men. On the other hand, the sinking of boats in the Mediterranean Sea illustrates the indifference of European leaders and part of civil society towards refugees who, according to the spirit of international treaties, embody the image of human vulnerability. The indifference towards these individuals, without forgetting the hunting of which they are victims, their imprisonment, and the deprivation of their fundamental rights, will result in their metamorphosis into a biopolitically ambiguous figure: the humanimal. Despite its anthropomorphic physicality, its speech, and its human face, the humanimal is a living being whose status is closer to that of animals than that of men. A proximity that calls into question the need to politicize the animal cause to guarantee respect for animals, since the exclusion of the humanimal is precisely based on political criteria.More than a criticism of the ethical statements of animalists thinkers, this work wishes to think the animal cause with the help of the humanimal and thus stop the anthropogenic machine which has been characterized, since its origins, by the inclusion of a life in the sphere of moral consideration together with expulsion of another life. Bringing the humanimal closer to the animal represents an opportunity to think differently the being that Western epistemology, since Antiquity, has considered as a possession belonging only to man. The conclusion of this work aims to expose some elements allowing the construction of a new ethical perspective where “differences” will not constitute a reason for discrimination, above all a means to justify the oppression of the others. In our terminology, it is a question to be open to other ways of conceiving the “being” to build a humanimalist ethics, that is to say an ethics that transcends all geopolitical and biopolitical borders
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
3

Korsakoff, Alexandra. « Vers une définition genrée du réfugié : étude de droit français ». Thesis, Normandie, 2018. http://www.theses.fr/2018NORMC018.

Texte intégral
Résumé :
Cette thèse se donne pour objet de tester, dans le contexte spécifique du droit français, la véracité et la pérennité des critiques féministe puis genrée de la définition du réfugié consistant à dénoncer la non-prise en compte des persécutions subies par les femmes et les minorités sexuelles dans le cadre de l’élection audit statut. Et c’est un constat mitigé qui ressort de l’étude car, en dépit des nombreuses pressions internationales et européennes invitant à une analyse genrée de la notion, ces critiques héritées des années 1980 apparaissent, dans une large mesure, encore d’actualité. Certes, le phénomène d’exclusion des persécutions liées au genre qu’elles dénonçaient s’est quelque peu affaibli, en ce que les persécutions subies par les femmes et les membres des minorités sexuelles ne sont, par principe, plus exclues du champ de la définition du réfugié. Mais il n’existe cependant toujours pas de volonté, politique ou juridictionnelle, visant à les intégrer pleinement dans l’analyse. En effet, les efforts consentis pour leur prise en compte se révèlent encore insuffisants, laissant demeurer des obstacles subtils à leur intégration, des obstacles d’autant plus délicats à identifier et à surmonter
The purpose of this thesis is to test, in the specific context of French law, the veracity and durability of feminist and gendered review of the refugee definition, which consists in denouncing the failure to take into account persecutions suffered by women and sexual minorities in the election process. It is a mixed conclusion that emerges from the study because, despite the numerous international and European pressures calling for a gendered analysis of the concept, these criticisms inherited from the 1980s still appear, to a large extent, to be relevant. Admittedly, the exclusion of gender-related persecution that they denounced has somewhat weakened, because persecutions suffered by women and members of sexual minorities are no longer excluded, as a matter of principle, from the scope of the refugee definition. However, there is still no political or jurisdictional will to fully integrate them into the analysis. Indeed, the efforts made to take them into account are still insufficient, leaving subtle obstacles to their integration, obstacles that are all the more difficult to identify and overcome
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
4

Dolezalek, Katharina. « Equal yet different : why should beneficiaries of subsidiary protection have the same rights as refugees ? : a comparative study between Canada, Germany, Hungary, and the EU ». Thèse, 2018. http://hdl.handle.net/1866/21351.

Texte intégral
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.

Livres sur le sujet "Réfugiés – Discrimination"

1

Whitaker, Reginald. Double Standard : The secret history of canadian immigration. Toronto : Lester & Orpen Dennys Ltd, 1987.

Trouver le texte intégral
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
2

Young, Margaret. Revendications du statut de réfugié fondées sur le sexe. Ottawa, Ont : Bibliothèque du Parlement, Service de recherche, 1994.

Trouver le texte intégral
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
3

Canada. Status of Women Canada. et Canada Condition féminine Canada, dir. Gendering immigration/integration : policy research workshop proceedings and a selective review of policy research literature 1987-1996 = : Immigration et intégration tenant compte des rapports sociaux entre les sexes : actes de l'atelier sur la recherche en matière de politiques et analyse sélective de la documentation sur la recherche en matière de politiques 1987-1996. Ottawa, Ont : Status of Women Canada = Condition féminine Canada, 1998.

Trouver le texte intégral
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
4

Canada. Library of Parliament. Research Branch., dir. Gender-related refugee claims. [Ottawa] : Library of Parliament, Research Branch, 1994.

Trouver le texte intégral
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
5

Amnesty International. Etats-Unis : Le paradoxe américain. Paris : Les éd. francophones d'Amnesty international, 1998.

Trouver le texte intégral
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
6

Whitaker, Reginald. Double standard : The secret history of Canadian immigration. Toronto : Lester & Orpen Dennys, 1987.

Trouver le texte intégral
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
7

Citizens of nowhere : From refugee camp to Canadian campus. Toronto : Doubleday Canada, 2010.

Trouver le texte intégral
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
8

F, Hones Donald, dir. American dreams, global visions : Dialogic teacher research with refugee and immigrant families. Mahwah, N.J : L. Erlbaum Associates, 2002.

Trouver le texte intégral
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
9

1981-, Mason Robert, dir. Cultures in refuge : Seeking sanctuary in modern Australia. Farnham : Ashgate, 2012.

Trouver le texte intégral
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
10

Foreigners, refugees, or minorities ? : Rethinking people in the context of border controls and visas. Burlington, VT : Ashgate Pub. Co., 2012.

Trouver le texte intégral
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
Nous offrons des réductions sur tous les plans premium pour les auteurs dont les œuvres sont incluses dans des sélections littéraires thématiques. Contactez-nous pour obtenir un code promo unique!

Vers la bibliographie