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Littérature scientifique sur le sujet « Réétalonnage »
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Articles de revues sur le sujet "Réétalonnage"
Beck, J., F. Grossenbacher, A. Akhavi, M. Pomedio, H. Marty, Z. Djerada et B. Digeon. « Réduction médicamenteuse d’une tachycardie supraventriculaire (TSV) soutenue chez un adolescent, avec dosage des anti-arythmiques pratiqué à l’occasion d’un réétalonnage des chromatographes du laboratoire ». Toxicologie Analytique et Clinique 29, no 2 (mai 2017) : S48—S49. http://dx.doi.org/10.1016/j.toxac.2017.03.065.
Texte intégralKennedy, Loraine. « Stratégies spatiales de l’État en Inde. Le réétalonnage de l’État au travers de la politique des zones franches ». EchoGéo, no 32 (17 juin 2015). http://dx.doi.org/10.4000/echogeo.14257.
Texte intégralJourdam-Boutin, Mathilde. « Restructuration scalaire et néolibéralisation des politiques publiques de logement au Cameroun : éprouver la théorie du réétalonnage scalaire dans un contexte autoritaire ». Métropoles, no 30 (7 juillet 2022). http://dx.doi.org/10.4000/metropoles.8660.
Texte intégralMasson, Dominique. « ESCALA GEOGRÁFICA E TRANSNACIONALIZAÇÃO : análise sobre movimentos sociais e de mulheres ». Caderno CRH 19, no 48 (10 mai 2007). http://dx.doi.org/10.9771/ccrh.v19i48.18866.
Texte intégralThèses sur le sujet "Réétalonnage"
GALIMBERTI, DEBORAH. « "Gouverner le développement économique des territoires : entre politique et société." Une comparaison des régions de Lyon et Milan (1970-2011) ». Doctoral thesis, Università degli Studi di Milano-Bicocca, 2015. http://hdl.handle.net/10281/89237.
Texte intégralLa thèse a pour objet les relations entre gouvernements locaux (et régionaux) et intérêts économiques et leur contribution respective à la construction politique des territoires. Ces derniers correspondent à un niveau intermédiaire de structuration des systèmes d’acteurs et des institutions. Ils peuvent aussi agir comme acteurs collectifs, c’est à dire développer des stratégies et une capacité politique propres. La thèse vise à mettre au jour les mécanismes soutenant la cristallisation et la stabilisation des systèmes d’acteurs à différents niveaux territoriaux. Cette problématique est explorée à partir d’une étude d’un domaine d’action publique territoriale, qui est typiquement partagé entre plusieurs niveaux de gouvernement : le développement économique. La thèse se concentre sur un horizon temporel qui va de la crise industrielle des années 1970 aux processus récents de métropolisation économique. Les données empiriques sont tirées d’une étude comparative de deux régions non-capitales en France et en Italie, Lyon et Milan, ayant fait face à une importante restructuration de leurs bases productives au cours de cette période. Ce travail démontre que la construction politique des territoires s’explique à la fois par la capacité d’action des gouvernements locaux et par la capacité de mobilisation des intérêts économiques. Il permet de déceler des différences durables entre les deux cas : ainsi dans le cas lyonnais et rhônalpin, les institutions publiques ont un rôle d’encadrement des processus de développement plus fort, alors que ce sont plutôt les intérêts économiques qui orientent les choix publics dans les cas milanais et lombard. Ces différences ont des répercussions sur les échelles de gouvernement : dans le cas français, la présence d’une institution de gouvernement puissante, en l’occurrence le gouvernement métropolitain, a contribué à fixer stablement les systèmes d’acteurs à cette échelle. En revanche, en Italie il n’est pas possible d’identifier une échelle dominante sur le temps long, en raison de la présence d’intérêts économiques multi-positionnés et de la prééminence de logiques politico-partisanes qui joue contre le renforcement des institutions publiques.