Littérature scientifique sur le sujet « Réduction de clauses »

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Articles de revues sur le sujet "Réduction de clauses"

1

NKWENKA NYANDA, Patrick geoffroy. « Déterminants et effets économiques de l’inflation dans la CEMAC ». Journal of Academic Finance 12, no 1 (23 juin 2021) : 187–203. http://dx.doi.org/10.59051/joaf.v12i1.427.

Texte intégral
Résumé :
Objectif : L’objectif de ce papier est de déterminer les sources et les effets économiques de l’inflation dans la CEMAC. Méthodologie : Les données analysées proviennent de la Banque Mondiale (World Development Indicator, 2017). L’étude couvre les périodes 1977-1994, 1995-2016 et 1977-2016. Deux équations (une équation de l’inflation et une équation de la croissance) sont estimées par la Méthode des Moments Généralisés (MMG) d’Arellano et Bond (1991). Résultats : Il ressort des résultats obtenus que l’inflation ne favorise pas l’activité économique et provient principalement des échanges avec l’extérieur. Originalité/pertinence : Cette étude analyse l’inflation sous deux aspects (les déterminants et les effets économiques). Elle met en évidence le phénomène d’inflation importée dont la maitrise permettrait d’améliorer la situation économique des pays de la CEMAC. Par ailleurs, l’étude identifie les clauses de la Zone de Libre Echange Continentale Africaine, entrée en vigueur en 2021, comme un facteur qui pourrait constituer entre autres une solution palliative à la réduction de ladite inflation.
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2

Jobin, Pierre-Gabriel. « Coup d’oeil sur les multiples facettes de l’intervention du juge dans le contrat ». Les Cahiers de droit 47, no 1 (12 avril 2005) : 3–11. http://dx.doi.org/10.7202/043878ar.

Texte intégral
Résumé :
Le tribunal peut intervenir dans les contrats de plusieurs manières : annulation d’une clause ou diminution de ses effets, réduction des obligations d’une partie, autorisation ou refus de l’exercice de la sanction d’une faute contractuelle et condamnation à des dommages-intérêts. Ces pouvoirs sont graduellement apparus avant la réforme du Code civil, et ils ont été renforcés par celle-ci. Il s’agit tantôt de faire respecter une liberté ou un droit fondamental, tantôt d’assurer plus de souplesse dans les sanctions de la faute ou encore de faire régner un minimum d’équité dans les relations contractuelles. D’une certaine manière, ces grands pouvoirs affaiblissent la force obligatoire des contrats et la stabilité contractuelle et déjouent les attentes légitimes des parties. Toutefois, une nouvelle culture contractuelle conciliant ces valeurs opposées est en train de s’implanter.
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Thèses sur le sujet "Réduction de clauses"

1

Vallade, Vincent. « Contributions à la résolution parallèle du problème SAT ». Electronic Thesis or Diss., Sorbonne université, 2023. http://www.theses.fr/2023SORUS260.

Texte intégral
Résumé :
Cette thèse présente des contributions multiples et orthogonales à l'amélioration de la résolution parallèle du problème de satisfiabilité booléenne (ou problème SAT). Une instance du problème SAT est une formule propositionnelle de forme particulière (la forme normale conjonctive est la plus courante) représentant, en général, les variables et les contraintes d'un problème du monde réel, tel que la planification multi-contraintes, la vérification matérielle et logicielle ou la cryptographie. La résolution du problème SAT consiste à déterminer s'il existe une affectation des variables qui permet de satisfaire la formule. Un algorithme capable de fournir une réponse à ce problème est appelé un solveur SAT. Une vision simplifiée d'un solveur SAT est un algorithme qui va parcourir l'ensemble des combinaisons de valeurs possibles pour chaque variables jusqu'à trouver une combinaison rendant la formule vrai (la formule est SAT). Si le solveur a parcouru l'ensemble des combinaisons possibles sans trouver de solution la formule est donc UNSAT. Évidemment, cet algorithme a une complexité exponentielle, en effet le problème SAT est le premier problème à avoir été déterminé NP-complet. De nombreux algorithmes et heuristiques ont été développés pour accélérer la capacité de résolution de ce problème, principalement dans un contexte séquentiel. L’omniprésence de machines multi-cœurs a encouragé des efforts considérables dans la résolution parallèle du problème SAT. Cette thèse s’inscrit dans le prolongement de ces efforts. Les contributions apportées par cette thèse se concentrent sur la qualité du partage de l'information entre les différents travailleurs d'un solveur SAT parallèle. Une première contribution présente une méthode efficace pour mettre en œuvre un algorithme asynchrone de réduction de la taille de l'information partagées. Une deuxième contribution combine les informations extraites de la structure particulière de la formule propositionnelle avec les informations extraites dynamiquement pendant la résolution du problème par le solveur afin de créer un filtre qui maximise la qualité de l'information partagée. Enfin, une dernière contribution porte sur l'intégration d'un composant permettant de déterminer de manière probabiliste la valeur de vérité des variables permettant de rendre une formule satisfaisable. L'appel de ce composant lors du processus de résolution permet de guider plus rapidement le solveur vers une solution (si une solution existe)
This thesis presents multiple and orthogonal contributions to the improvement of the parallel resolution of the Boolean satisfiability problem (or SAT problem). An instance of the SAT problem is a propositional formula of a particular form (the conjunctive normal form is the most common) representing, in general, the variables and constraints of a real-world problem, such as multi-constraint planning, hardware and software verification or cryptography. Solving the SAT problem involves determining whether there is an assignment of variables that satisfies the formula. An algorithm capable of providing an answer to this problem is called a SAT solver. A simplified view of a SAT solver is an algorithm that will traverse the set of possible combinations of values for each variable until it finds a combination that makes the formula true (the formula is SAT). If the solver has gone through all the possible combinations without finding a solution, the formula is UNSAT. Obviously, this algorithm has an exponential complexity, indeed the SAT problem is the first problem to have been determined NP-complete. Many algorithms and heuristics have been developed to accelerate the solving capacity of this problem, mainly in a sequential context. The ubiquity of multi-core machines has encouraged considerable efforts in the parallel resolution of the SAT problem. This thesis is a continuation of these efforts. The contributions made by this thesis focus on the quality of information sharing between the different workers of a parallel SAT solver. A first contribution presents an efficient method to implement an asynchronous algorithm for reducing the size of the shared information. A second contribution combines the information extracted from the particular structure of the propositional formula with the information extracted dynamically during the resolution of the problem by the solver in order to create a filter that maximizes the quality of the shared information. Finally, a last contribution deals with the integration of a component allowing to determine in a probabilistic way the truth value of the variables allowing to make a formula satisfiable. The call of this component during the solving process allows to guide the solver more quickly towards a solution (if a solution exists)
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2

Maloberti, Jérôme. « Improving inductive logic programming with constraint satisfaction techniques : applications to frequent query discovery ». Paris 11, 2005. http://www.theses.fr/2005PA112139.

Texte intégral
Résumé :
Le travail presente vise a l'integration d'algorithmes de problemes de satisfaction de contraintes (psc) en programmation logique inductive (pli) et en fouille de donnees relationnelles. Cette integration est fondee sur le fait que le test de theta-subsomption, intensivement utilise pour evaluer des hypotheses et des requetes relationnelles, est equivalent a un psc. Trois algorithmes sont presentes : django, un algorithme de theta-subsomption qui combine des procedures (forward checking, coherence par arc, ordonnancement dynamique des variables) et des heuristiques (first fail principle) classiques en psc, jivaro, base sur django, permet la reduction d'une clause en utilisant la theta-subsomption de cette clause sur elle-meme, et jimi, construit sur jivaro et django, recherche iterativement les motifs frequents dans une base de donnees en datalog. Les psc et la theta-subsomption ayant tous les deux une complexite dans le pire cas exponentielle, django est evalue en utilisant le cadre de la transition de phase, qui a ete initialement decouverte dans les psc (cheeseman et kanefsky 1991), giordana et saitta (2000) ayant montre que la transition de phase etait egalement presente den pli. Dans ce cadre experimental, le probleme est deplace d'une analyse dans le pire cas, vers une analyse statistique. Des experimentations sur des problemes de grande taille artificiellement engendres ainsi que des problemes reels, montrent une amelioration sur l'etat de l'art d'un ou plusieurs ordres de grandeur
The work presented aims at a principled integration of constraint satisfaction problems (csp) algorithms for inductive logic programming (ilp) and relational data-mining, based on the fact that the theta-subsumption test, intensively used for assessing relational hypotheses and queries, is equivalent to a csp problem. Three algorithms are presented: django, which combines prominent csp procedures (forward checking, arc consistency, dynamic variable ordering) and heuristics (first fail principle) to achieve theta-subsumption, jivaro, built on the top of django, achieves clause reduction by exploiting the theta-subsumption of the clause by itself, and jimi, built on the top of jivaro and django, ensures a non-redundant search for frequent queries in a datalog database. Csp and theta-subsumption both have an exponential worst casecomplexity, thus django is evaluated after the so-called phase transition framework, which has been imported from the csp (cheeseman and kanefsky 1991) to the ilp setting by giordana and saitta(2000). In this framework, the focus is shifted from a worst-case complexity analysis to a statistical complexity analysis. Experiments on large-size artificial, and real-world datasets, show an improvement on the state of the art by two or more orders of magnitude
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3

Signat, Carine. « Le pouvoir discrétionnaire du juge et l'inexécution du contrat : étude de droit comparé franco-allemande ». Thesis, Paris 2, 2014. http://www.theses.fr/2014PA020050.

Texte intégral
Résumé :
La question de la mesure du pouvoir du juge s’impose lorsqu’on souhaite comparer l’étendue des pouvoirs du juge dans différents ordres juridiques donnés. Or force est de constater que les pouvoirs du juge sont appréhendés sous diverses notions dans les systèmes juridiques nationaux : il est fait tour à tour référence au pouvoir souverain d’appréciation du juge du fond, au pouvoir facultatif du juge, à son pouvoir modérateur, discrétionnaire, arbitraire. Toute la difficulté de la comparaison réside dans l’absence d’un instrument de mesure uniforme. A l’échelle supranationale, le terme anglais « Judicial discretion » constitue souvent le point de départ de discussions et d’analyses comparatives sur les pouvoirs du juge. Cette notion à forte coloration doctrinale sert de critère de mesure de l’ampleur des pouvoirs du juge dans les systèmes juridiques respectifs. On entend par pouvoir discrétionnaire le pouvoir donné au juge de choisir entre deux ou plusieurs décisions également conformes à la légalité. Le critère du libre choix est au cœur de la notion du pouvoir discrétionnaire du juge. Le pouvoir discrétionnaire constitue ainsi la forme la plus libre du pouvoir exercé par le juge. Bien qu’elle fasse office de dénominateur commun, la notion de pouvoir discrétionnaire est diversement entendue en droits français et allemand. Il en va ainsi en particulier à propos des notions-cadre et standards : ces derniers confèrent-ils au juge un pouvoir discrétionnaire ? Les réponses divergent d’un système à l’autre, ce qui a un impact sur l’image qu’on se fait des pouvoirs du juge. Une fois ces malentendus dissipés, reste à déterminer la part faite à ce pouvoir dans les suites de l’inexécution du contrat : exécution forcée en nature, délai d’exécution et révision, résolution
How to measure a judge’s power? This question is necessary, when it comes to comparing the extent of the powers of a judge in various given jurisdictions. It has tobe noted, that the powers of a judge are gathered under diverse notions in national legal systems: successively, references are made to the sovereign judicial authority of the judge, the unfettered discretion of the lower courts, the authority to modify the legal situation, the discretionary power, the arbitrary power. The challenge in the comparison lies in the absence of a uniform measuring tool. On a supranational level,the English term“Judicial discretion”is very frequently the starting point for discussions and comparative analyses regarding the judge’s power. This notion serves as criteria to measure the extent of the judge’s powers in the respective legal systems. Discretionary power means the power given to the judge to choose between different decisions that are all conformable to law. The criterion of freedom of choice is in the center of the judge’s discretionary power. The discretionary power is the most powerful authority of the judge. It is common sense that the judge has a discretionarypower but the meaning of this term is differently interpretated by the national law,especially by the German and French law systems. This applies especially to the standards provisions or“open-textured”provisions : do they grant the judge a discretionary power? The answers vary from one system to the other, which has an impact on the image one has on the judge’s powers. Once these misunderstandings are dispelled, it remains to determine the proportion this power has in the consequences of the non-performance of contract: specific performance, delay inexecution, revision and termination
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Rapports d'organisations sur le sujet "Réduction de clauses"

1

Dufour, Quentin, David Pontille et Didier Torny. Contracter à l’heure de la publication en accès ouvert. Une analyse systématique des accords transformants. Ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche, avril 2021. http://dx.doi.org/10.52949/2.

Texte intégral
Résumé :
Cette étude porte sur une des innovations contemporaines liées à l’économie de la publication scientifique : les accords dits transformants, un objet relativement circonscrit au sein des relations entre consortiums de bibliothèques et éditeurs scientifiques, et temporellement situé entre 2015 et 2020. Ce type d’accords a pour objectif affiché d’organiser la transition du modèle traditionnel de l’abonnement à des revues (souvent proposées par regroupements thématiques ou collections) vers celui de l’accès ouvert en opérant une réaffectation des budgets qui y sont consacrés. Notre travail d’analyse sociologique constitue une première étude systématique de cet objet, fondée sur la recension de 197 accords. Le corpus ainsi constitué inclut des accords caractérisés par la coprésence d’une composante d’abonnement et d’une composante de publication en accès ouvert, même minimale (« jetons » de publication offerts, réduction sur les APC...). En conséquence, ont été exclus de l’analyse les accords portant uniquement sur du financement centralisé de publication en accès ouvert, que ce soit avec des éditeurs ne proposant que des revues avec paiement par l’auteur (PLOS, Frontiers, MDPI...) ou des éditeurs dont une partie du catalogue est constitué de revues en accès ouvert. L’accord le plus ancien de notre corpus a été signé en 2010, les plus récents en 2020 – les accords ne commençant qu’en 2021, même annoncés au cours de l’étude, n’ont pas été retenus. Plusieurs résultats se dégagent de notre analyse. Tout d’abord, on note une grande diversité des acteurs impliqués avec 22 pays et 39 éditeurs, même si certains consortiums (Pays-Bas, Suède, Autriche, Allemagne) et éditeurs (CUP, Elsevier, RSC, Springer) en ont signé beaucoup plus que d’autres. Ensuite, la durée des accords, comprise entre une et six années, révèle une distribution très inégalitaire, avec plus de la moitié des accords (103) signés pour 3 ans, ainsi qu’une faible proportion pour 4 ans ou plus (22 accords). Enfin, en dépit d’appels répétés à la transparence, moins de la moitié des accords (96) ont un texte accessible au moment de cette étude, sans qu’on puisse observer une tendance récente à une plus grande disponibilité. L’analyse montre également des degrés d’ouverture très variables, allant d’une simple information sur le répertoire ESAC en passant par la mise à disposition d’un format annotable jusqu’à l’attribution d’un DOI et d’une licence de réutilisation (CC-BY), en incluant le détail des sommes monétaires. Parmi les 96 accords disponibles, dont 47 signés en 2020, 62 ont fait l’objet d’une analyse en profondeur. C’est à notre connaissance la première analyse à cette échelle, sur un type de matériel non seulement inédit, mais qui était auparavant soumis à des clauses de confidentialité. Fondée sur une lecture minutieuse, l’étude décrit de manière fine leurs propriétés, depuis la matérialité du document jusqu’aux formules financières, en passant par leur morphologie et l’ensemble des droits et devoirs des parties. Les contenus des accords sont donc analysés comme une collection dont nous cherchons à déterminer les points communs et les variations, à travers des codages explicites sur certaines de leurs caractéristiques. L’étude pointe également des incertitudes, et notamment leur caractère « transitionnel », qui demeure fortement discuté. D’un point de vue morphologique, les accords montrent une grande diversité en matière de taille (de 7 à 488 pages) et de structure. Néanmoins, par définition, ils articulent tous deux objets essentiels : d’une part, les conditions de réalisation d’une lecture d’articles de revues, sous forme d’abonnement, mêlant des préoccupations d’accès et de sécurité ; d’autre part, les modalités de publication en accès ouvert, articulant la gestion d’un nouveau type de workflow à toute une série d’options possibles. Parmi ces options, mentionnons notamment le périmètre des revues considérées (hybrides et/ou accès ouvert), les licences disponibles, le degré d’obligation de cette publication, les auteurs éligibles ou le volume d’articles publiables. L’un des résultats les plus importants de cette analyse approfondie est la mise au jour d’un découplage presque complet, au sein même des accords, entre l’objet abonnement et l’objet publication. Bien entendu, l’abonnement est systématiquement configuré dans un monde fermé, soumis à paiement qui déclenche des séries d’identification des circulations légitimes tant du contenu informationnel que des usagers. Il insiste notamment sur les interdictions de réutilisation ou même de copie des articles scientifiques. À l’opposé, la publication en accès ouvert est attachée à un monde régi par l’accès gratuit au contenu, ce qui induit des préoccupations de gestion du workflow et des modalités d’accessibilité. De plus, les différents éléments constitutifs de ces objets contractuels ne sont pas couplés : d’un côté, les lecteurs sont constitués de l’ensemble des membres des institutions abonnées, de l’autre, seuls les auteurs correspondants (« corresponding authors ») sont concernés ; les listes de revues accessibles à la lecture et celles réservées à la publication en accès ouvert sont le plus souvent distinctes ; les workflows ont des objectifs et des organisations matérielles totalement différentes, etc. L’articulation entre les deux objets contractuels relève uniquement d’une formule de distribution financière qui, outre des combinaisons particulières entre l’un et l’autre, permet d’attribuer des étiquettes distinctes aux accords (offset agreement, publish & read, read & publish, read & free articles, read & discount). Au-delà de cette distribution, l’étude des arrangements financiers montre une gamme de dispositions allant d’une prévisibilité budgétaire totale, donc identique aux accords d’abonnement antérieurs, à une incertitude sur le volume de publication ou sur le montant définitif des sommes échangées. Les modalités concrètes de calcul des montants associés à la publication en accès ouvert sont relativement variées. S’il existe effectivement des formules récurrentes (volume d’articles multiplié par un prix individuel, reprise de la moyenne des sommes totales d’APC des années précédentes...), le calcul des sommes en jeu est toujours le résultat d’une négociation singulière entre un consortium et un éditeur scientifique, et aboutit parfois à des formules originales et complexes. À ce titre, l’espace des possibles en matière de formules financières n’est jamais totalement clos. Par ailleurs, la volonté des consortiums d’opérer une « transformation » de leurs accords vers la publication à coût constant renvoie à des définitions diversifiées du « coût » (inclusion ou non des dépenses d’APC préexistantes) et de la constance (admission ou pas d’une « inflation » à 2 ou 3%). De plus, nous n’avons observé aucune disposition contractuelle permettant d’anticiper les sommes en jeu au-delà de l’horizon temporel de l’accord courant. La grande diversité des accords provient d’une part des conditions initiales des relations entre consortiums et éditeurs scientifiques – les sommes dépensées en abonnement étant le point de départ des nouveaux accords –, d’autre part des objectifs de chaque partie. Même si cette étude excluait volontairement les négociations, les accords portent des traces de ces objectifs. Ainsi, de nombreux accords sont de nature explicitement expérimentale, quand certains visent un contrôle budgétaire strict, ou d’autres ambitionnent, dans la période plus récente, la publication du plus grand nombre possible d’articles en accès ouvert. C’est dans ce dernier cas qu’on touche à l’ambiguïté des attentes générales sur les accords transformants. En effet, pour les consortiums, la dimension « transformante » consiste essentiellement à transférer les sommes traditionnellement allouées à l’abonnement vers la publication en accès ouvert. Mais l’objectif n’est jamais de transformer le modèle économique des revues, c'est-à-dire de faire basculer des revues sous abonnement ou hybrides en revues entièrement en accès ouvert. D’ailleurs, aucune clause ne vise une telle fin – à l’exception du modèle d’accord proposé par l’éditeur ACM. Du côté des éditeurs, et notamment de Springer, le caractère cumulatif des accords nationaux passés vise à projeter un monde de la publication où l’accès ouvert devient de fait quantitativement très dominant, sans pour autant modifier de manière pérenne le modèle économique de leurs revues. Notre étude montre que les accords transformants actuels ne permettent pas d’assurer de manière durable une transition de l’économie de la publication vers l’accès ouvert, dans la mesure où ils n’offrent pas de garantie sur le contrôle des dépenses ni sur la pérennité de l’ouverture des contenus. L’avenir des relations entre consortium et éditeur demeure largement indéterminé.Cette étude porte sur une des innovations contemporaines liées à l’économie de la publication scientifique : les accords dits transformants, un objet relativement circonscrit au sein des relations entre consortiums de bibliothèques et éditeurs scientifiques, et temporellement situé entre 2015 et 2020. Ce type d’accords a pour objectif affiché d’organiser la transition du modèle traditionnel de l’abonnement à des revues (souvent proposées par regroupements thématiques ou collections) vers celui de l’accès ouvert en opérant une réaffectation des budgets qui y sont consacrés. Notre travail d’analyse sociologique constitue une première étude systématique de cet objet, fondée sur la recension de 197 accords. Le corpus ainsi constitué inclut des accords caractérisés par la coprésence d’une composante d’abonnement et d’une composante de publication en accès ouvert, même minimale (« jetons » de publication offerts, réduction sur les APC...). En conséquence, ont été exclus de l’analyse les accords portant uniquement sur du financement centralisé de publication en accès ouvert, que ce soit avec des éditeurs ne proposant que des revues avec paiement par l’auteur (PLOS, Frontiers, MDPI...) ou des éditeurs dont une partie du catalogue est constitué de revues en accès ouvert. L’accord le plus ancien de notre corpus a été signé en 2010, les plus récents en 2020 – les accords ne commençant qu’en 2021, même annoncés au cours de l’étude, n’ont pas été retenus. Plusieurs résultats se dégagent de notre analyse. Tout d’abord, on note une grande diversité des acteurs impliqués avec 22 pays et 39 éditeurs, même si certains consortiums (Pays-Bas, Suède, Autriche, Allemagne) et éditeurs (CUP, Elsevier, RSC, Springer) en ont signé beaucoup plus que d’autres. Ensuite, la durée des accords, comprise entre une et six années, révèle une distribution très inégalitaire, avec plus de la moitié des accords (103) signés pour 3 ans, ainsi qu’une faible proportion pour 4 ans ou plus (22 accords). Enfin, en dépit d’appels répétés à la transparence, moins de la moitié des accords (96) ont un texte accessible au moment de cette étude, sans qu’on puisse observer une tendance récente à une plus grande disponibilité. L’analyse montre également des degrés d’ouverture très variables, allant d’une simple information sur le répertoire ESAC en passant par la mise à disposition d’un format annotable jusqu’à l’attribution d’un DOI et d’une licence de réutilisation (CC-BY), en incluant le détail des sommes monétaires. Parmi les 96 accords disponibles, dont 47 signés en 2020, 62 ont fait l’objet d’une analyse en profondeur. C’est à notre connaissance la première analyse à cette échelle, sur un type de matériel non seulement inédit, mais qui était auparavant soumis à des clauses de confidentialité. Fondée sur une lecture minutieuse, l’étude décrit de manière fine leurs propriétés, depuis la matérialité du document jusqu’aux formules financières, en passant par leur morphologie et l’ensemble des droits et devoirs des parties. Les contenus des accords sont donc analysés comme une collection dont nous cherchons à déterminer les points communs et les variations, à travers des codages explicites sur certaines de leurs caractéristiques. L’étude pointe également des incertitudes, et notamment leur caractère « transitionnel », qui demeure fortement discuté. D’un point de vue morphologique, les accords montrent une grande diversité en matière de taille (de 7 à 488 pages) et de structure. Néanmoins, par définition, ils articulent tous deux objets essentiels : d’une part, les conditions de réalisation d’une lecture d’articles de revues, sous forme d’abonnement, mêlant des préoccupations d’accès et de sécurité ; d’autre part, les modalités de publication en accès ouvert, articulant la gestion d’un nouveau type de workflow à toute une série d’options possibles. Parmi ces options, mentionnons notamment le périmètre des revues considérées (hybrides et/ou accès ouvert), les licences disponibles, le degré d’obligation de cette publication, les auteurs éligibles ou le volume d’articles publiables. L’un des résultats les plus importants de cette analyse approfondie est la mise au jour d’un découplage presque complet, au sein même des accords, entre l’objet abonnement et l’objet publication. Bien entendu, l’abonnement est systématiquement configuré dans un monde fermé, soumis à paiement qui déclenche des séries d’identification des circulations légitimes tant du contenu informationnel que des usagers. Il insiste notamment sur les interdictions de réutilisation ou même de copie des articles scientifiques. À l’opposé, la publication en accès ouvert est attachée à un monde régi par l’accès gratuit au contenu, ce qui induit des préoccupations de gestion du workflow et des modalités d’accessibilité. De plus, les différents éléments constitutifs de ces objets contractuels ne sont pas couplés : d’un côté, les lecteurs sont constitués de l’ensemble des membres des institutions abonnées, de l’autre, seuls les auteurs correspondants (« corresponding authors ») sont concernés ; les listes de revues accessibles à la lecture et celles réservées à la publication en accès ouvert sont le plus souvent distinctes ; les workflows ont des objectifs et des organisations matérielles totalement différentes, etc. L’articulation entre les deux objets contractuels relève uniquement d’une formule de distribution financière qui, outre des combinaisons particulières entre l’un et l’autre, permet d’attribuer des étiquettes distinctes aux accords (offset agreement, publish & read, read & publish, read & free articles, read & discount). Au-delà de cette distribution, l’étude des arrangements financiers montre une gamme de dispositions allant d’une prévisibilité budgétaire totale, donc identique aux accords d’abonnement antérieurs, à une incertitude sur le volume de publication ou sur le montant définitif des sommes échangées. Les modalités concrètes de calcul des montants associés à la publication en accès ouvert sont relativement variées. S’il existe effectivement des formules récurrentes (volume d’articles multiplié par un prix individuel, reprise de la moyenne des sommes totales d’APC des années précédentes...), le calcul des sommes en jeu est toujours le résultat d’une négociation singulière entre un consortium et un éditeur scientifique, et aboutit parfois à des formules originales et complexes. À ce titre, l’espace des possibles en matière de formules financières n’est jamais totalement clos. Par ailleurs, la volonté des consortiums d’opérer une « transformation » de leurs accords vers la publication à coût constant renvoie à des définitions diversifiées du « coût » (inclusion ou non des dépenses d’APC préexistantes) et de la constance (admission ou pas d’une « inflation » à 2 ou 3%). De plus, nous n’avons observé aucune disposition contractuelle permettant d’anticiper les sommes en jeu au-delà de l’horizon temporel de l’accord courant. La grande diversité des accords provient d’une part des conditions initiales des relations entre consortiums et éditeurs scientifiques – les sommes dépensées en abonnement étant le point de départ des nouveaux accords –, d’autre part des objectifs de chaque partie. Même si cette étude excluait volontairement les négociations, les accords portent des traces de ces objectifs. Ainsi, de nombreux accords sont de nature explicitement expérimentale, quand certains visent un contrôle budgétaire strict, ou d’autres ambitionnent, dans la période plus récente, la publication du plus grand nombre possible d’articles en accès ouvert. C’est dans ce dernier cas qu’on touche à l’ambiguïté des attentes générales sur les accords transformants. En effet, pour les consortiums, la dimension « transformante » consiste essentiellement à transférer les sommes traditionnellement allouées à l’abonnement vers la publication en accès ouvert. Mais l’objectif n’est jamais de transformer le modèle économique des revues, c'est-à-dire de faire basculer des revues sous abonnement ou hybrides en revues entièrement en accès ouvert. D’ailleurs, aucune clause ne vise une telle fin – à l’exception du modèle d’accord proposé par l’éditeur ACM. Du côté des éditeurs, et notamment de Springer, le caractère cumulatif des accords nationaux passés vise à projeter un monde de la publication où l’accès ouvert devient de fait quantitativement très dominant, sans pour autant modifier de manière pérenne le modèle économique de leurs revues. Notre étude montre que les accords transformants actuels ne permettent pas d’assurer de manière durable une transition de l’économie de la publication vers l’accès ouvert, dans la mesure où ils n’offrent pas de garantie sur le contrôle des dépenses ni sur la pérennité de l’ouverture des contenus. L’avenir des relations entre consortium et éditeur demeure largement indéterminé.
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