Littérature scientifique sur le sujet « Rapport public sur les données relatives aux soins de santé »

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Articles de revues sur le sujet "Rapport public sur les données relatives aux soins de santé"

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Green, David A. « A Reanalysis of “The Town with No Poverty : The Health Effects of a Canadian Guaranteed Annual Income Field Experiment” ». Canadian Public Policy 48, no 4 (1 décembre 2022) : 539–48. http://dx.doi.org/10.3138/cpp.2021-025.

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Résumé :
Dans « The Town with No Poverty: The Health Effects of a Canadian Guaranteed Annual Income Field Experiment » (publié dans Canadian Public Policy/Analyse de politiques en 2011), la professeure Evelyn Forget analyse les effets sur la santé communautaire et l’éducation de l’expérience MINCOME, réalisée au Manitoba dans les années 1970, qui portait sur le revenu annuel minimum garanti. Réévaluant les données sur les visites à l’hôpital utilisées dans Forget (2011), je soutiens que les données relatives de la communauté traitée de Dauphin présentent, avant l’intervention, des tendances négatives statistiquement significatives par rapport aux communautés de contrôle. La tendance préexistante, combinée à des périodes de préanalyse et de traitement courtes, remet sérieusement en question l’utilité de ces données qui, dans la mesure où elles sont réellement utilisables, montreraient plutôt les effets positifs de l’expérience MINCOME sur les visites à l’hôpital dans un contexte normalisé. J’en conclus que les données de la MINCOME ne soutiennent pas l’affirmation qu’un revenu annuel minimum garanti réduit le cout des soins de santé.
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Kambondji Bukaya, Jean Pierre. « Accès aux services de l’Hôpital Pédiatrique de Kalembe Lembe (Kinshasa, République Démocratique du Congo) par la population ». Revue Congolaise des Sciences & ; Technologies 3, no 1 (31 mars 2024) : 54–59. http://dx.doi.org/10.59228/rcst.024.v3.i1.68.

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Résumé :
Cette étude tente d’analyser l’accès aux services de l’Hôpital Pédiatrique de Kalembelembe afin d’identifier les facteurs qui prédisposent l’accès aux services de santé de cette formation. Il poursuit comme objectif d’identifier les facteurs de l’accès aux soins de santé offerts par les services de l’Hôpital Pédiatrique de Kalembelembe à la population de Kinshasa afin de contribuer à l’amélioration du rôle et de la place de cet établissement dans l’offre de soins de la ville de Kinshasa. Nous avons mené une enquête par échantillonnage aléatoire et stratifié, en ce qui concerne les facteurs prédisposant l’accès à l’hôpital. Les données ont été traitées suivant différentes techniques, à savoir : le système d’information géographique pour la production des cartes et l’analyse des corrélations. L’examen des indices relatifs à la fréquentation des malades par commune nous a édifiés sur les origines géographiques de recrutement, notamment les différentes zones de santé de la ville province de Kinshasa. Il ressort de nos investigations que les possibilités financières, la proximité de l’hôpital par rapport à la résidence, la qualité de soins due à la compétence du personnel soignant sont autant des facteurs qui prédisposent à l’accès aux soins de santé de l’Hôpital Pédiatrique de Kalembelembe. Le faible accès aux soins de santé pédiatrique constitue un problème majeur de santé publique. Pour y remédier, il revient au gouvernement central d’implanter des formations médicales pédiatriques basées sur les besoins plutôt que sur le revenu de façon à réduire les disparités d’utilisation, à assurer un accès juste afin d’aboutir à une répartition équitable, contraintes liées aux coûts des services médicaux sanitaires.
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Belzak, Lisa, et Jessica Halverson. « Synthèse des données probantes - La crise des opioïdes au Canada : une perspective nationale ». Promotion de la santé et prévention des maladies chroniques au Canada 38, no 6 (juin 2018) : 255–66. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.38.6.02f.

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Résumé :
Introduction Cette recension offre un panorama à l'échelle nationale de ce que l’on savait, en décembre 2017, au sujet de la crise des opioïdes au Canada, en matière de décès et de méfaits liés à la consommation d’opioïdes et en matière de facteurs de risque potentiels. Méthodologie Nous avons examiné tous les rapports de surveillance et les rapports épidémiologiques sur les opioïdes destinés au public ayant été publiés par les ministères de la Santé des provinces et des territoires et les bureaux des coroners en chef ou des médecins légistes. Nous avons également examiné les publications de nos partenaires fédéraux ainsi que les rapports et les articles sur le sujet publiés jusqu'à décembre 2017. Nous avons synthétisé les données en comparant les taux de mortalité et de morbidité liés à la consommation d’opioïdes dans les provinces et les territoires aux taux observés à l’échelle nationale afin de déceler d’éventuelles tendances à l’échelle régionale. Résultats La crise des opioïdes touche toutes les régions du pays, mais certaines sont plus durement atteintes que d’autres. En effet, depuis 2016, les taux de décès et d’hospitalisations apparemment liés à la consommation d’opioïdes sont plus élevés dans les provinces de l’Ouest que sont la Colombie-Britannique et l’Alberta, ainsi qu’au Yukon et dans les Territoires du Nord-Ouest. À l’échelle nationale, la plupart des décès apparemment liés à la consommation d’opioïdes sont survenus chez des hommes et ils ont touché en plus grande proportion les 30 à 39 ans. Les données disponibles laissent penser qu'il existe des différences régionales en matière de résultats de santé en fonction de l'âge et du sexe, en particulier lorsque des opioïdes synthétiques sont en cause. Toutefois, des différences relevant des méthodes de collecte et des exigences relatives à la déclaration des données peuvent jouer sur l’interprétation et la comparabilité des résultats. Conclusion Ce rapport relève des lacunes en ce qui concerne certaines données et certains domaines, auxquelles il faudra remédier en menant des études plus approfondies pour mieux comprendre la crise nationale des opioïdes. L’Agence de la santé publique du Canada va continuer de travailler en étroite collaboration avec les provinces, les territoires et ses partenaires nationaux pour affiner et normaliser les processus de collecte de données à l’échelle nationale, mener des études spécifiques et améliorer l’échange d’information, afin que l’on dispose de meilleures données sur lesquelles se fonder pour élaborer des mesures de santé publique et prévenir les décès et les méfaits liés aux opioïdes.
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Cameron, Christine, Cora L. Craig, Fiona C. Bull et Adrian Bauman. « Les guides d’activité physique du Canada : leur publication a t-elle eu un effet?Cet article est tiré d’un supplément intitulé Advancing physical activity measurement and guidelines in Canada : a scientific review and evidence-based foundation for the future of Canadian physical activity guidelines (Favoriser les lignes directrices et la mesure de l’activité physique au Canada : examen scientifique et justification selon les données probantes pour l’avenir des lignes directrices de l’activité physique canadienne) publié par Physiologie appliquée, nutrition et métabolisme et la Revue canadienne de santé publique. On peut aussi mentionner Appl. Physiol. Nutr. Metab. 32 (Suppl. 2F) ou Can. J. Public Health 98 (Suppl. 2). » Applied Physiology, Nutrition, and Metabolism 32, S2F (décembre 2007) : S179—S188. http://dx.doi.org/10.1139/h07-160.

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Résumé :
Le but de cette étude est d’analyser l’atteinte des objectifs visés par les Guides d’activité physique canadiens, les impacts attendus dans un premier temps (prise de conscience, savoir, croyance, intention prochaine de devenir actif, les premiers pas sur le plan comportemental) et les niveaux de pratique d’activité physique de la population. L’analyse est basée sur les résultats recueillis auprès des individus éligibles âgés de 18 ans et plus (n = 8892) dans l’enquête 2003 Physical Activity Monitor (PAM). Cette enquête est une étude transversale réalisée au moyen d’entretiens téléphoniques auprès d’un échantillon représentatif. On a aussi analysé les tendances à long terme auprès des échantillons représentatifs d’individus âgés de 12 ans et plus dans l’Enquête nationale sur la santé de la population et l’Enquête sur la santé des collectivités canadiennes. Le taux de rétention des directives de toutes sortes en matière d’activité physique est très faible (4 %), mais la connaissance de l’existence des guides est plus importante (37 %). La connaissance, facilitée ou non par l’intervieweur, des directives est plus importante chez les femmes et chez les individus à haut revenu ; de plus, cette connaissance augmente avec le niveau de scolarité. On a associé par la suite les comportements tels « à la recherche de l’information » et « en démarrage d’action » à la connaissance, avec ou sans l’aide de l’intervieweur, des directives et initiatives. Les croyances relatives aux bienfaits de l’activité physique et le désir de faire de l’activité physique ont aussi été associés à la connaissance facilitée par l’intervieweur à propos des directives. La connaissance de l’existence des Guides, la connaissance à propos de la quantité d’activité physique requise pour atteindre les objectifs identifiés dans le Guide, l’intention de faire de l’activité physique, rechercher de l’information, démarrer une action ont été associés à la rubrique « suffisamment actif ». Les Guides véhiculent de bonnes directives et des recommandations pertinentes afin d’inclure l’activité physique en matière de santé publique. Mais le faible taux de rétention des directives chez les personnes interviewées, nous indique la nécessité d’un programme de communication bien coordonné et disposant des fond nécessaires afin de promouvoir ces directives, il est impératif d’établir une collaboration avec des partenaires gouvernementaux et non gouvernementaux, des organismes municipaux et scolaires, au travail et dans les loisirs et dans des systèmes de santé publique et de soins de santé.
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Sonia, Bénédicte. « Pratiques Liées aux Représentations Sociales des Excréments Humains chez les Populations des Quartiers Défavorisés du District d’Abidjan en Côte d’Ivoire ». European Scientific Journal, ESJ 17, no 32 (30 septembre 2021) : 166. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2021.v17n32p166.

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Résumé :
La gestion des excréments humains révèle des pratiques à risque pour l’environnement en général et pour la santé des populations en particulier. D’où l’intérêt de cette étude dans les quartiers défavorisés où les difficultés en assainissement sont plus accentuées. La présente recherche s’inscrit dans le cadre d’une approche mixte. Pour ce faire, les méthodes et les techniques correspondant à l’approche qualitative et quantitative ont été utilisées pour collecter les données. Il s’agit, de la grille d’observation, du guide d’entretien et du questionnaire. L’objectif est d’analyser les représentations sociales des excréments humains dans les quartiers défavorisés du District d’Abidjan précisément à bougounisso, sagbé antenne, gbebouto, grand campement, tofiato et zimbabwé. La théorie des représentations sociales développée par Bourdieu a été mobilisée à cet effet. Elle a permis de mettre en exergue les représentations sociales des excréments humains chez les populations des quartiers défavorisés. Les résultats ont montré que la gestion des excréments humains est animée par un ensemble d’idéologie qui se résume en des croyances, des tabous et des sanctions. Il ressort que les différentes définitions des excréments humains se rapportent à la saleté, à l’impureté, aux déchets. Ils sont associés à tout ce qui est synonyme de mal, maladie, malédiction, malheur. Les croyances en rapport avec la gestion des excréments humains sont observées sur le plan religieux et culturel. Ce sont des dispositions relatives au choix du lieu de défécation et des règles d’hygiènes que le croyant doit observer. Les tabous concernent les lieux publics où il est défendu de déféquer. The management of human excreta reveals risky practices for the environment in general and for the health of populations in particular. Hence the interest of this study in disadvantaged neighborhoods where sanitation difficulties are more accentuated. This research subscribe to a mixed approach. To be done, the methods and techniques corresponding to the qualitative and quantitative approach were used to collect the data. These are observation grid, the interview guide and the questionnaire. The objective is to analyse the social representations of human excreta in disadvantaged neighborhoods of the District of Abidjan specifically in bougounisso, sagbé antenne, gbebouto, grand campement, tofiato and zimbabwé. The theory of social representations developed by Bourdieu was used for this purpose. It has made it possible to highlight the social representations of human excreta among populations in disadvantaged neighborhoods. The results showed that in traditional societies the management of human faeces is driven by a set of ideologies that boil down to beliefs, taboos and sanctions developed around human faeces and the act of defecation. It appears that the different definition of human excreta relate to dirt, impurity and waste. They are associated with everything that is synonymous with evil; disease, curse, misfortune. Beliefs related to the management of human excreta are observed on a religious and cultural level. These provisions relating of the choice of the place of defecation and the rules of hygiene that the believer must observe. The taboos refers to public places where defecation is forbidden.
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Tessier, Sarah, Victor Tsang et Spencer Martin. « Assessing Hospital Pharmacists’ Scope of Clinical Practice in Ontario ». Canadian Journal of Hospital Pharmacy 77, no 2 (10 avril 2024). http://dx.doi.org/10.4212/cjhp.3491.

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Résumé :
Background: Expansion of the scope of pharmacists’ activities in hospital is associated with reductions in adverse events and drug- related readmissions. However, the breadth of hospital pharmacists’ clinical activities varies widely across Ontario due to provisions in the provincial Public Hospitals Act. Few data exist defining expanded scope in institutions across Ontario. Objectives: The primary objective was to describe the scope of practice of hospital pharmacists in Ontario who were undertaking expanded clinical activities based on policies or medical directives. The secondary objectives included determining benefits, limitations, facilitators, and barriers associated with implementing these activities. Methods: A survey was sent to the pharmacy leadership of Groups A and B public hospitals across Ontario. The survey contained quantitative and qualitative questions focused on 3 domains of expanded-scope activities: adaptation, discontinuation, and renewal of medication orders; prescriptive authority; and drug monitoring. Results: Of 56 hospitals invited, 46 (82%) submitted a survey response, with 1 exclusion (due to no response on some mandatory questions). The most common expanded-scope activity was independent performance of therapeutic drug monitoring (71%, 32/45). Pharmacists had the authority to independently adapt, discontinue, or renew inpatient medication orders in 60% (27/45) of hospitals, and could independently initiate medication orders in 20% (9/45). Barriers to implementing expanded-scope activities included limited time and staffing. Facilitators included proactive leadership, demonstrated clinical value, and strong rapport with other health care providers. Conclusions: Many institutions in Ontario have established polices to expand pharmacists’ clinical activities, but there is a great deal of variability in scope of practice. Advocacy at the provincial level to unify scope of practice will help to optimize patient outcomes. Keywords: pharmacist scope of practice, hospital pharmacy, expanded scope, Ontario RÉSUMÉ Contexte : L’expansion du champ d’activité des pharmaciens à l’hôpital est associée à une réduction des événements indésirables et des réadmissions liées aux médicaments. Cependant, l’étendue des activités cliniques des pharmaciens d’hôpitaux en Ontario varie considérablement en raison des dispositions de la Loi sur les hôpitaux publics de l’Ontario. Il existe peu de données définissant une portée élargie dans les établissements de l’Ontario. Objectifs : L’objectif principal consistait à décrire le champ d’exercice des pharmaciens d’hôpitaux en Ontario qui entreprenaient des activités cliniques élargies en fonction de politiques ou de directives médicales. Les objectifs secondaires comprenaient la définition des avantages, des limites, des facilitateurs et des obstacles associés à la mise en œuvre de ces activités. Méthodes : Un sondage a été envoyé aux responsables des pharmacies des hôpitaux publics des groupes A et B de l’Ontario. Il comprenait des questions quantitatives et qualitatives axées sur 3 domaines d’activités liés à une portée élargie : l’adaptation, l’interruption et le renouvellement des ordonnances de médicaments; le pouvoir prescriptif; et la surveillance des médicaments. Résultats : Sur 56 hôpitaux invités, 46 (82 %) ont soumis une réponse au sondage, avec 1 exclusion (en raison de l’absence de réponse à certaines questions obligatoires). L’activité à portée élargie la plus courante était la réalisation indépendante de la surveillance thérapeutique des médicaments (32/45, 71 %). Les pharmaciens avaient la capacité d’adapter, d’interrompre ou de renouveler de manière indépendante les ordonnances de médicaments pour les patients hospitalisés dans 60 % (27/45) des hôpitaux, et pouvaient les initier de manière indépendante dans 20 % (9/45) des hôpitaux. Les obstacles à la mise en œuvre d’activités à portée élargie comprenaient le manque de temps et de personnel. Les éléments facilitant la mise en œuvre d’activités à portée élargie comprenaient le leadership proactif, la valeur clinique démontrée et les relations solides avec les autres prestataires de soins de santé. Conclusions : De nombreux établissements en Ontario ont établi des politiques liées à l’expansion des activités cliniques des pharmaciens, mais il existe une grande variabilité dans le champ d’exercice. Le plaidoyer au niveau provincial pour unifier le champ de pratique contribuera à optimiser les résultats pour les patients. Mots-clés : champ d’exercice des pharmaciens, pharmacie hospitalière, champ d’exercice
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Boidart, Arnaud, Martin Darveau, Nicole Déry et Marie-Claude Racine. « Real-World Budget Impact of Listing a Biosimilar of Rituximab ». Canadian Journal of Hospital Pharmacy 73, no 1 (20 février 2020). http://dx.doi.org/10.4212/cjhp.v73i1.2953.

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Résumé :
ABSTRACTBackground: The approval of new biosimilars by national health agencies is expected to generate significant cost savings for health care systems. This is particularly the case with the biosimilar of rituximab approved for the Canadian market in 2019. However, several uncertainties remain regarding utilization of this agent.Objectives: To determine the proportion of total annual drug expenses for each indication for rituximab in the hospital setting and to determine potential savings related to introduction of a biosimilar.Methods: A budget impact analysis was performed through 3 real-world scenarios, based on data obtained from a large university teaching hospital for a 12-month period.Results: This study involved data for 420 patients. Annual expenses for rituximab for all indications represented 7.7% of total annual drug spending for the hospital, of which 5.0% was related specifically toindications approved by Health Canada. More than 6% of the annual drug expenses was attributable to the use of rituximab for oncologic indications, including 1.8% for uses not approved by Health Canada.Overall, each 10% reduction in the price of a biosimilar of rituximab (relative to the reference rituximab) would result in annual savings of about 0.8% of total drug expenses in the hospital if a biosimilar was used for all real-world indications, whether approved by Health Canada or not.Conclusions: The introduction of a biosimilar of rituximab to the Canadian market would generate significant savings. To properly assess the potential savings that this agent could generate in the limited budget environment of a hospital, it seems important to consider all of the indications for which it could be used.RÉSUMÉContexte : On s’attend à ce que l’approbation de medicaments biosimilaires par les agences de santé nationales génèrent des économies importantes pour les systèmes de soins de santé. C’est particulièrement lecas pour le biosimilaire du rituximab approuvé pour le marché canadien en 2019. Cependant, plusieurs incertitudes demeurent quant à son utilisation.Objectifs :Déterminer la proportion des dépenses pour chaque indication du rituximab par rapport à la dépense totale annuelle en medicaments dans un contexte hospitalier et déterminer les économies potentielles liées à l’introduction d’un biosimilaire.Méthode : Une analyse d’impact budgétaire a été réalisée à partir de trois scénarios basés sur des données obtenues dans un grand centre hospitalier universitaire sur une période de 12 mois.Résultats : Cette étude a examiné les données de 420 patients. Les dépenses annuelles relatives au rituximab, toutes indications confondues, représentaient 7,7 % des dépenses annuelles totales de l’hôpital. De cellesci, 5 % étaient liées en particulier aux indications approuvées par Santé Canada. Plus de 6 % des dépenses annuelles en médicaments étaient imputables à l’utilisation du rituximab à des fins oncologiques, y compris 1,8 % pour des utilisations que Santé Canada n’a pas approuvées. De manière générale, chaque réduction de 10 % du prix d’un produit biosimilaire du rituximab (parent du rituximab référence) entraînerait des économies annuelles d’environ 0,8 % du total des dépenses en médicaments dans cet hôpital si les produits biosimilaires étaient utilisés pour toutes les indications, qu’elles soient approuvées ou non par Santé Canada.Conclusions : L’introduction d’un biosimilaire du rituximab sur le marché canadien engendrerait des économies importantes. L’évaluation adéquate des économies générées par un biosimilaire pour un hôpital ayant un budget limité nécessite la prise en compte de toutes les indications pour lesquelles il pourrait être utilisé.
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Leclerc, Véronique, Alexandre Tremblay et Chani Bonventre. « Anthropologie médicale ». Anthropen, 2020. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.125.

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Résumé :
L’anthropologie médicale est un sous-champ de l’anthropologie socioculturelle qui s’intéresse à la pluralité des systèmes médicaux ainsi qu’à l’étude des facteurs économiques, politiques et socioculturels ayant un impact sur la santé des individus et des populations. Plus spécifiquement, elle s’intéresse aux relations sociales, aux expériences vécues, aux pratiques impliquées dans la gestion et le traitement des maladies par rapport aux normes culturelles et aux institutions sociales. Plusieurs généalogies de l’anthropologie médicale peuvent être retracées. Toutefois, les monographies de W.H.R. Rivers et d’Edward Evans-Pritchard (1937), dans lesquelles les représentations, les connaissances et les pratiques en lien avec la santé et la maladie étaient considérées comme faisant intégralement partie des systèmes socioculturels, sont généralement considérées comme des travaux fondateurs de l’anthropologie médicale. Les années 1950 ont marqué la professionnalisation de l’anthropologie médicale. Des financements publics ont été alloués à la discipline pour contribuer aux objectifs de santé publique et d’amélioration de la santé dans les communautés économiquement pauvres (Good 1994). Dans les décennies qui suivent, les bases de l’anthropologie médicale sont posées avec l’apparition de nombreuses revues professionnelles (Social Science & Medicine, Medical Anthropology, Medical Anthropology Quarterly), de manuels spécialisés (e.g. MacElroy et Townsend 1979) et la formation du sous-groupe de la Society for Medical Anthropology au sein de l’American Anthropological Association (AAA) en 1971, qui sont encore des points de références centraux pour le champ. À cette époque, sous l’influence des théories des normes et du pouvoir proposées par Michel Foucault et Pierre Bourdieu, la biomédecine est vue comme un système structurel de rapports de pouvoir et devient ainsi un objet d’étude devant être traité symétriquement aux autres systèmes médicaux (Gaines 1992). L’attention portée aux théories du biopouvoir et de la gouvernementalité a permis à l’anthropologie médicale de formuler une critique de l’hégémonie du regard médical qui réduit la santé à ses dimensions biologiques et physiologiques (Saillant et Genest 2007 : xxii). Ces considérations ont permis d’enrichir, de redonner une visibilité et de l’influence aux études des rationalités des systèmes médicaux entrepris par Evans-Pritchard, et ainsi permettre la prise en compte des possibilités qu’ont les individus de naviguer entre différents systèmes médicaux (Leslie 1980; Lock et Nguyen 2010 : 62). L’aspect réducteur du discours biomédical avait déjà été soulevé dans les modèles explicatifs de la maladie développés par Arthur Kleinman, Leon Eisenberg et Byron Good (1978) qui ont introduit une distinction importante entre « disease » (éléments médicalement observables de la maladie), « illness » (expériences vécues de la maladie) et « sickness » (aspects sociaux holistes entourant la maladie). Cette distinction entre disease, illness et sickness a joué un rôle clé dans le développement rapide des perspectives analytiques de l’anthropologie médicale de l’époque, mais certaines critiques ont également été formulées à son égard. En premier lieu, Allan Young (1981) formule une critique des modèles explicatifs de la maladie en réfutant l'idée que la rationalité soit un model auquel les individus adhèrent spontanément. Selon Young, ce modèle suggère qu’il y aurait un équivalant de structures cognitives qui guiderait le développement des modèles de causalité et des systèmes de classification adoptées par les personnes. Au contraire, il propose que les connaissances soient basées sur des actions, des relations sociales, des ressources matérielles, avec plusieurs sources influençant le raisonnement des individus qui peuvent, de plusieurs manières, diverger de ce qui est généralement entendu comme « rationnel ». Ces critiques, ainsi que les études centrées sur l’expérience des patients et des pluralismes médicaux, ont permis de constater que les stratégies adoptées pour obtenir des soins sont multiples, font appel à plusieurs types de pratiques, et que les raisons de ces choix doivent être compris à la lumière des contextes historiques, locaux et matériaux (Lock et Nguyen 2010 : 63). Deuxièmement, les approches de Kleinman, Eisenberger et Good ont été critiquées pour leur séparation artificielle du corps et de l’esprit qui représentait un postulat fondamental dans les études de la rationalité. Les anthropologues Nancy Scheper-Hughes et Margeret Lock (1987) ont proposé que le corps doit plutôt être abordé selon trois niveaux analytiques distincts, soit le corps politique, social et individuel. Le corps politique est présenté comme étant un lieu où s’exerce la régulation, la surveillance et le contrôle de la différence humaine (Scheper-Hughes et Lock 1987 : 78). Cela a permis aux approches féministes d’aborder le corps comme étant un espace de pouvoir, en examinant comment les discours sur le genre rendent possible l’exercice d’un contrôle sur le corps des femmes (Manderson, Cartwright et Hardon 2016). Les premiers travaux dans cette perspective ont proposé des analyses socioculturelles de différents contextes entourant la reproduction pour contrecarrer le modèle dominant de prise en charge médicale de la santé reproductive des femmes (Martin 1987). Pour sa part, le corps social renvoie à l’idée selon laquelle le corps ne peut pas être abordé simplement comme une entité naturelle, mais qu’il doit être compris en le contextualisant historiquement et socialement (Lupton 2000 : 50). Finalement, considérer le corps individuel a permis de privilégier l’étude de l’expérience subjective de la maladie à travers ses variations autant au niveau individuel que culturel. Les études de l’expérience de la santé et la maladie axées sur l’étude des « phénomènes tels qu’ils apparaissent à la conscience des individus et des groupes d’individus » (Desjarlais et Throop 2011 : 88) se sont avérées pertinentes pour mieux saisir la multitude des expériences vécues des états altérés du corps (Hofmann et Svenaeus 2018). En somme, les propositions de ces auteurs s’inscrivent dans une anthropologie médicale critique qui s’efforce d’étudier les inégalités socio-économiques (Scheper-Hughes 1992), l’accès aux institutions et aux savoirs qu’elles produisent, ainsi qu’à la répartition des ressources matérielles à une échelle mondiale (Manderson, Cartwright et Hardon 2016). Depuis ses débuts, l’anthropologie médicale a abordé la santé globale et épidémiologique dans le but de faciliter les interventions sur les populations désignées comme « à risque ». Certains anthropologues ont développé une perspective appliquée en épidémiologie sociale pour contribuer à l’identification de déterminants sociaux de la santé (Kawachi et Subramanian 2018). Plusieurs de ces travaux ont été critiqués pour la culturalisation des pathologies touchant certaines populations désignées comme étant à risque à partir de critères basés sur la stigmatisation et la marginalisation de ces populations (Trostle et Sommerfeld 1996 : 261). Au-delà des débats dans ce champ de recherche, ces études ont contribué à la compréhension des dynamiques de santé et de maladie autant à l’échelle globale, dans la gestion des pandémies par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), qu’aux échelles locales avec la mise en place de campagnes de santé publique pour faciliter l’implantation de mesures sanitaires, telles que la vaccination (Dubé, Vivion et Macdonald 2015). L’anthropologie a contribué à ces discussions en se penchant sur les contextes locaux des zoonoses qui sont des maladies transmissibles des animaux vertébrés aux humains (Porter 2013), sur la résistance aux antibiotiques (Landecker 2016), comme dans le cas de la rage et de l’influenza (Wolf 2012), sur les dispositifs de prévention mis en place à une échelle mondiale pour éviter l’apparition et la prolifération d’épidémies (Lakoff 2010), mais aussi sur les styles de raisonnement qui sous-tendent la gestion des pandémies (Caduff 2014). Par ailleurs, certains auteur.e.s ont utilisé le concept de violence structurelle pour analyser les inégalités socio-économiques dans le contexte des pandémies de maladies infectieuses comme le sida, la tuberculose ou, plus récemment, l’Ébola (Fassin 2015). Au-delà de cet aspect socio-économique, Aditya Bharadwaj (2013) parle d’une inégalité épistémique pour caractériser des rapports inégaux dans la production et la circulation globale des savoirs et des individus dans le domaine de la santé. Il décrit certaines situations comme des « biologies subalternes », c’est à dire des états de santé qui ne sont pas reconnus par le système biomédical hégémonique et qui sont donc invisibles et vulnérables. Ces « biologies subalternes » sont le revers de citoyennetés biologiques, ces dernières étant des citoyennetés qui donnes accès à une forme de sécurité sociale basée sur des critères médicaux, scientifiques et légaux qui reconnaissent les dommages biologiques et cherche à les indemniser (Petryna 2002 : 6). La citoyenneté biologique étant une forme d’organisation qui gravite autour de conditions de santé et d’enjeux liés à des maladies génétiques rares ou orphelines (Heath, Rapp et Taussig 2008), ces revendications mobilisent des acteurs incluant les institutions médicales, l’État, les experts ou encore les pharmaceutiques. Ces études partagent une attention à la circulation globale des savoirs, des pratiques et des soins dans la translation — ou la résistance à la translation — d’un contexte à un autre, dans lesquels les patients sont souvent positionnés entre des facteurs sociaux, économiques et politiques complexes et parfois conflictuels. L’industrie pharmaceutique et le développement des technologies biomédicales se sont présentés comme terrain important et propice pour l’analyse anthropologique des dynamiques sociales et économiques entourant la production des appareils, des méthodes thérapeutiques et des produits biologiques de la biomédecine depuis les années 1980 (Greenhalgh 1987). La perspective biographique des pharmaceutiques (Whyte, Geest et Hardon 2002) a consolidé les intérêts et les approches dans les premières études sur les produits pharmaceutiques. Ces recherches ont proposé de suivre la trajectoire sociale des médicaments pour étudier les contextes d’échanges et les déplacements dans la nature symbolique qu’ont les médicaments pour les consommateurs : « En tant que choses, les médicaments peuvent être échangés entre les acteurs sociaux, ils objectivent les significations, ils se déplacent d’un cadre de signification à un autre. Ce sont des marchandises dotées d’une importance économique et de ressources recelant une valeur politique » (traduit de Whyte, Geest et Hardon 2002). D’autres ont davantage tourné leur regard vers les rapports institutionnels, les impacts et le fonctionnement de « Big Pharma ». Ils se sont intéressés aux processus de recherche et de distribution employés par les grandes pharmaceutiques à travers les études de marché et les pratiques de vente (Oldani 2014), l’accès aux médicaments (Ecks 2008), la consommation des produits pharmaceutiques (Dumit 2012) et la production de sujets d’essais cliniques globalisés (Petryna, Lakoff et Kleinman 2006), ainsi qu’aux enjeux entourant les réglementations des brevets et du respect des droits politiques et sociaux (Ecks 2008). L’accent est mis ici sur le pouvoir des produits pharmaceutiques de modifier et de changer les subjectivités contemporaines, les relations familiales (Collin 2016), de même que la compréhensions du genre et de la notion de bien-être (Sanabria 2014). Les nouvelles technologies biomédicales — entre autres génétiques — ont permis de repenser la notion de normes du corps en santé, d'en redéfinir les frontières et d’intervenir sur le corps de manière « incorporée » (embodied) (Haraway 1991). Les avancées technologiques en génomique qui se sont développées au cours des trois dernières décennies ont soulevé des enjeux tels que la généticisation, la désignation de populations/personnes « à risque », l’identification de biomarqueurs actionnables et de l’identité génétique (TallBear 2013 ; Lloyd et Raikhel 2018). Au départ, le modèle dominant en génétique cherchait à identifier les gènes spécifiques déterminant chacun des traits biologiques des organismes (Lock et Nguyen 2010 : 332). Cependant, face au constat que la plupart des gènes ne codaient par les protéines responsables de l’expression phénotypique, les modèles génétiques se sont depuis complexifiés. L’attention s’est tournée vers l’analyse de la régulation des gènes et de l’interaction entre gènes et maladies en termes de probabilités (Saukko 2017). Cela a permis l’émergence de la médecine personnalisée, dont les interventions se basent sur l’identification de biomarqueurs personnels (génétiques, sanguins, etc.) avec l’objectif de prévenir l’avènement de pathologies ou ralentir la progression de maladies chroniques (Billaud et Guchet 2015). Les anthropologues de la médecine ont investi ces enjeux en soulevant les conséquences de cette forme de médecine, comme la responsabilisation croissante des individus face à leur santé (Saukko 2017), l’utilisation de ces données dans l’accès aux assurances (Hoyweghen 2006), le déterminisme génétique (Landecker 2011) ou encore l’affaiblissement entre les frontières de la bonne santé et de la maladie (Timmermans et Buchbinder 2010). Ces enjeux ont été étudiés sous un angle féministe avec un intérêt particulier pour les effets du dépistage prénatal sur la responsabilité parentale (Rapp 1999), l’expérience de la grossesse (Rezende 2011) et les gestions de l’infertilité (Inhorn et Van Balen 2002). Les changements dans la compréhension du modèle génomique invitent à prendre en considération plusieurs variables en interaction, impliquant l’environnement proche ou lointain, qui interagissent avec l’expression du génome (Keller 2014). Dans ce contexte, l’anthropologie médicale a développé un intérêt envers de nouveaux champs d’études tels que l’épigénétique (Landecker 2011), la neuroscience (Choudhury et Slaby 2016), le microbiome (Benezra, DeStefano et Gordon 2012) et les données massives (Leonelli 2016). Dans le cas du champ de l’épigénétique, qui consiste à comprendre le rôle de l’environnement social, économique et politique comme un facteur pouvant modifier l’expression des gènes et mener au développement de certaines maladies, les anthropologues se sont intéressés aux manières dont les violences structurelles ancrées historiquement se matérialisent dans les corps et ont des impacts sur les disparités de santé entre les populations (Pickersgill, Niewöhner, Müller, Martin et Cunningham-Burley 2013). Ainsi, la notion du traumatisme historique (Kirmayer, Gone et Moses 2014) a permis d’examiner comment des événements historiques, tels que l’expérience des pensionnats autochtones, ont eu des effets psychosociaux collectifs, cumulatifs et intergénérationnels qui se sont maintenus jusqu’à aujourd’hui. L’étude de ces articulations entre conditions biologiques et sociales dans l’ère « post-génomique » prolonge les travaux sur le concept de biosocialité, qui est défini comme « [...] un réseau en circulation de termes d'identié et de points de restriction autour et à travers desquels un véritable nouveau type d'autoproduction va émerger » (Traduit de Rabinow 1996:186). La catégorie du « biologique » se voit alors problématisée à travers l’historicisation de la « nature », une nature non plus conçue comme une entité immuable, mais comme une entité en état de transformation perpétuelle imbriquée dans des processus humains et/ou non-humains (Ingold et Pálsson 2013). Ce raisonnement a également été appliqué à l’examen des catégories médicales, conçues comme étant abstraites, fixes et standardisées. Néanmoins, ces catégories permettent d'identifier différents états de la santé et de la maladie, qui doivent être compris à la lumière des contextes historiques et individuels (Lock et Nguyen 2010). Ainsi, la prise en compte simultanée du biologique et du social mène à une synthèse qui, selon Peter Guarnaccia, implique une « compréhension du corps comme étant à la fois un système biologique et le produit de processus sociaux et culturels, c’est-à-dire, en acceptant que le corps soit en même temps totalement biologique et totalement culturel » (traduit de Guarnaccia 2001 : 424). Le concept de « biologies locales » a d’abord été proposé par Margaret Lock, dans son analyse des variations de la ménopause au Japon (Lock 1993), pour rendre compte de ces articulations entre le matériel et le social dans des contextes particuliers. Plus récemment, Niewöhner et Lock (2018) ont proposé le concept de biologies situées pour davantage contextualiser les conditions d’interaction entre les biologies locales et la production de savoirs et de discours sur celles-ci. Tout au long de l’histoire de la discipline, les anthropologues s’intéressant à la médecine et aux approches de la santé ont profité des avantages de s’inscrire dans l’interdisciplinarité : « En anthropologie médical, nous trouvons qu'écrire pour des audiences interdisciplinaires sert un objectif important : élaborer une analyse minutieuse de la culture et de la santé (Dressler 2012; Singer, Dressler, George et Panel 2016), s'engager sérieusement avec la diversité globale (Manderson, Catwright et Hardon 2016), et mener les combats nécessaires contre le raccourcies des explications culturelles qui sont souvent déployées dans la littérature sur la santé (Viruell-Fuentes, Miranda et Abdulrahim 2012) » (traduit de Panter-Brick et Eggerman 2018 : 236). L’anthropologie médicale s’est constituée à la fois comme un sous champ de l’anthropologie socioculturelle et comme un champ interdisciplinaire dont les thèmes de recherche sont grandement variés, et excèdent les exemples qui ont été exposés dans cette courte présentation.
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Penm, Jonathan, Neil J. MacKinnon, Derek Jorgenson, Jun Ying et Jennifer Smith. « Need for Formal Specialization in Pharmacy in Canada : A Survey of Hospital Pharmacists ». Canadian Journal of Hospital Pharmacy 69, no 5 (31 octobre 2016). http://dx.doi.org/10.4212/cjhp.v69i5.1590.

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Résumé :
<p><strong>ABSTRACT</strong></p><p><strong>Background: </strong>The Blueprint for Pharmacy was a collaborative initiative involving all of the major pharmacy associations in Canada. It aimed to coordinate, facilitate, and be a catalyst for changes required to align pharmacy practice with the health care needs of Canadians. In partial fulfilment of this mandate, a needs assessment for specialist certification for pharmacists was conducted.</p><p><strong>Objective: </strong>To conduct a secondary analysis of data from the needs assessment to determine the perceptions of hospital pharmacists regarding a formal certification process for pharmacist specialties in Canada.</p><p><strong>Methods: </strong>A survey was developed in consultation with the Blueprint for Pharmacy Specialization Project Advisory Group and other key stakeholders. It was distributed electronically, in English and French, to Canadian pharmacists identified through national and provincial pharmacy organizations (survey period January 15 to February 12, 2015). Data for hospital pharmacists were extracted for this secondary analysis. Multivariable logistic regression analyses were conducted to characterize those respondents who supported the certification process and those intending to become certified if a Canadian process were introduced.</p><p><strong>Results: </strong>A total of 640 responses were received from hospital pharmacists. Nearly 85% of the respondents (543/640 [84.8%]) supported a formal certification process for pharmacist specialization, and more than 70% (249/349 [71.3%]) indicated their intention to obtain specialty certification if a Canadian process were introduced. Respondents believed that the main barriers to developing such a system were lack of reimbursement models, the time required, and lack of public awareness of pharmacist specialties. They felt that the most important factors for an optimal certification process were a consistent definition of pharmacist specialty practice and consistent recognition of pharmacist specialty practice across Canada. Multiple regression analysis showed that female respondents were more likely to support a formal certification process (odds ratio [OR] 2.6, 95% confidence interval [CI] 1.2–5.7). Also, those who already specialized in pharmacotherapy were more likely to support mandatory certification (OR 2.6, 95% CI 1.1–6.1).</p><p><strong>Conclusions: </strong>Hospital pharmacists who responded to this survey overwhelmingly supported certification for pharmacist specialization in Canada. Questions remain about the feasibility of establishing a pharmacist specialization system in Canada.</p><p><strong>RÉSUMÉ</strong></p><p><strong>Contexte : </strong>Le Plan directeur pour la pharmacie était un projet collaboratif auquel participaient les plus importantes associations canadiennes de pharmacie. Il cherchait à coordonner, faciliter et catalyser les changements nécessaires pour harmoniser la pratique de la profession avec les besoins en soins de santé des Canadiens. Une évaluation des besoins pour un système de certification des pharmaciens spécialistes a été menée dans le cadre de ce projet.</p><p><strong>Objectif : </strong>Réaliser une analyse secondaire des données recueillies lors de l’évaluation des besoins afin de cerner les opinions des pharmaciens d’hôpitaux en ce qui touche au mécanisme formel de certification pour les spécialités en pharmacie au Canada.</p><p><strong>Méthodes :</strong>Un sondage a été mis au point en consultation avec le Groupe consultatif sur le projet de spécialisation en pharmacie, sous l’égide du Plan directeur pour la pharmacie, et d’autres parties prenantes clés. Le sondage a été transmis par voie électronique, en anglais et en français, aux pharmaciens canadiens grâce aux organismes de pharmacie provinciaux et nationaux (l’enquête a eu lieu du 15 janvier au 12 février 2015). Cette analyse secondaire a porté sur le sous-ensemble des données relatives aux pharmaciens d’hôpitaux. Des analyses de régression logistique multivaria - ble ont été réalisées afin d’offrir un portrait des répondants qui sont partisans d’un mécanisme de certification et de ceux qui ont signalé leur intention d’obtenir la certification si un processus canadien était mis en place.</p><p><strong>Résultats : </strong>Au total, on a obtenu 640 réponses de pharmaciens d’hôpitaux. Près de 85 % des répondants (543/640 [84,8 %]) appuyaient un mécanisme formel de certification pour la spécialisation en pharmacie et plus de 70 % (249/349 [71,3 %]) ont indiqué leur intention d’obtenir une certification de spécialiste si un processus canadien était mis en place. Les répondants croyaient que les principaux obstacles au développement d’un tel système étaient l’absence de modèles de remboursement, le temps nécessaire et l’ignorance du public en matière de spécialités en pharmacie. Selon eux, un processus de certification optimal reposerait principalement sur une définition uniforme de la pratique spécialisée pour les pharmaciens et une reconnaissance systématique de la pratique spécialisée pour les pharmaciens partout au Canada. Une régression multiple a montré que les répondantes étaient plus enclines à appuyer un processus formel de certification (risque relatif approché [RRA] de 2,6, intervalle de confiance [IC] à 95 % de 1,2–5,7). De plus, les répondants déjà spécialisés en pharmacothérapie étaient plus susceptibles d’être partisans d’une certification obligatoire (RRA de 2,6, IC à 95 % de 1,1–6,1).</p><p><strong>Conclusions : </strong>Les pharmaciens d’hôpitaux ayant répondu à ce sondage appuyaient presque tous un mécanisme de certification pour la spécialisation en pharmacie au Canada. Par contre, certaines questions demeurent à propos de la viabilité d’un système de spécialisation en pharmacie au Canada.</p>
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Thèses sur le sujet "Rapport public sur les données relatives aux soins de santé"

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Ghannad, Mona. « Suboptimal reporting practices in biomedical research ». Electronic Thesis or Diss., Université Paris Cité, 2021. http://www.theses.fr/2021UNIP5241.

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Résumé :
Des pratiques de recherche responsables et des rapports équitables sont un élément de l'intégrité de la recherche. Des articles publiés dans The Lancet ont illustré le problème du gaspillage au cours des différentes étapes de la recherche, à savoir la conception, la réalisation et le compte rendu. Étant donné qu'une grande partie de ce gaspillage est évitable, il est nécessaire de développer et de mettre en œuvre des remèdes. Parmi ceux-ci, l'interprétation et la présentation précises des résultats dans les données publiées sont essentielles afin d'éviter de produire des études trompeuses et de gaspiller des ressources précieuses. L'objectif principal de ce projet de thèse était d'identifier et de documenter les pratiques de présentation sous-optimales dans les rapports publiés et de suggérer des stratégies privilégiées pour les surmonter. Nous avons enquêté sur la présence du ‘spin’, catégorisée comme une représentation erronée et une surinterprétation des résultats d'études sur les biomarqueurs du cancer de l'ovaire (chapitre 1), et analysé les pratiques qui facilitent le spin (chapitre 2). Nous avons ensuite évalué l'association entre les caractéristiques déclarées des essais et les estimations de l'effet du traitement dans les essais randomisés sur la thérapie à la testostérone chez les hommes (chapitre 3). À ce jour, la littérature biomédicale ne fait état d'aucune intervention visant à atténuer ou à réduire la prévalence du spin. Dans cette étude, nous avons développé une intervention éditoriale spécifique pour réduire le spin et avons mené un essai contrôlé randomisé à deux bras en groupes parallèles pour évaluer son impact. Nous avons mené cette étude en collaboration avec BMJ Open, une revue médicale générale (chapitre 4). Alors que les projets précédents se concentraient sur les problèmes liés aux rapports et aux déficiences méthodologiques des articles publiés, nous nous sommes également intéressés à la culture de publication. Les défis qui menacent la validité et la crédibilité des rapports publiés vont au-delà de l'atténuation du spin des articles publiés. Par exemple, des entités connues sous le nom de revues et d'éditeurs "prédateurs" envahissent le monde de l'édition savante, mais on sait peu de choses sur les articles qu'elles publient. Nous avons examiné près de 2000 études biomédicales provenant de plus de 200 revues considérées comme susceptibles d'être prédatrices, en enregistrant leurs plans d'étude et leurs caractéristiques épidémiologiques et de rapport (chapitre 5). La publication d'articles dans des revues scientifiques n'est pas exclusivement destinée à la communauté scientifique et au progrès académique ; elle a également pour but de diffuser les résultats scientifiques au public. Des mesures alternatives, telles que les scores Altmetric, ont été développées pour mesurer l'attention que les publications reçoivent des médias d'information sociale et des blogs, dans le but d'évaluer la fréquence à laquelle les articles de revues et autres résultats scientifiques sont discutés et utilisés dans le monde. Les facteurs liés au mode de vie et leur association avec la santé et la longévité ont toujours suscité un grand intérêt de la part du public, et génèrent une attention considérable de la part des médias sociaux et d'information. Nous nous sommes demandés si le haut niveau d'intérêt pour les interventions et les différences alimentaires est un phénomène persistant, et avons effectué une analyse des scores Altmetric des études nutritionnelles, par rapport à d'autres interventions en évaluant plus de 300 articles publiés dans des revues médicales en 2019 avec un score Altmetric de plus de 50 (chapitre 6). Le dernier chapitre (chapitre 7) fournit un résumé des résultats et met en évidence des stratégies potentielles pour éviter ces problèmes et ces lacunes dans le processus de publication, dans le but ultime d'augmenter la confiance et la valeur des rapports publiés de la recherche clinique
Responsible research practices and fair reporting is an element of research integrity. Articles published in The Lancet illustrated the problem of waste during various stages of research encompassing design, conduct and reporting. Given that much of this waste is avoidable, there is a need to develop and implement remedies. Of these, accurate interpretation and presentation of results in published data is essential in order to avoid producing misleading studies and waste valuable resources. The overarching aim of this PhD project was to identify and document suboptimal reporting practices in published reports and to suggest preferred strategies to overcome these. We investigated the presence of spin, further categorized as misrepresentation and overinterpretation of study findings in ovarian cancer biomarkers (Chapter1), and analyzed practices that facilitate spin, such as suboptimal design features and inadequate reporting of methods (Chapter2). We then evaluated the association between reported trial characteristics (e.g., related to study design, sample size, sequence generation, blinding, funding and conflict of interest) and treatment effect estimates in randomized trials of testosterone therapy in men (Chapter3). Having documented the level of spin in previous study, it was also relevant to develop and evaluate the effectiveness of an intervention that guides authors to reduce spin in their published articles. To estimate the effect of the intervention compared to the usual peer-review process on reducing spin in the abstract of biomedical study reports, we conducted a two-arm, parallel-group RCT in a sample of primary research manuscripts submitted to BMJ Open (Chapter4). In the intervention group, authors received short instructions as part of the decision letter alongside the peer reviewers’ comments to check for and remove spin in the abstract of their revised manuscript. In the control group, the authors received recommended editorial revisions and reviewers’ comments in their usual manner. Where the previous projects focused on issues in the reporting and methodological deficiencies in published articles, we also focused on the publication culture. Challenges that threaten the validity and credibility of published reports span beyond attenuating spin in published articles. For example, entities that have become known as ‘predatory’ journals and publishers are permeating the world of scholarly publishing, yet little is known about the articles they publish. We examined nearly 2000 biomedical studies from more than 200 journals thought likely to be predatory, recording their study designs and their epidemiological and reporting characteristics (Chapter5). Publication of articles in scientific journals is not exclusively for the scientific community and academic progress; it also serves the purpose of disseminating scientific findings to the public. Alternative metrics, such as Altmetric scores, have been developed to measure the attention publications receive from social news media and blogs, in an attempt to measure how often journal articles and other scholarly outputs are discussed and used around the world. Lifestyle factors and their association with health and longevity have always been of great public interest, and generate significant attention from social and news media. We wondered whether the high level of interest in dietary interventions and differences is a persisting phenomenon, and performed an analysis of the Altmetric scores of nutritional studies, relative to other interventions by evaluating more than 300 articles published in medical journals in 2019 with an Altmetric score of more than 50. This project is reported in Chapter6. The final chapter, Chapter7, provides a summary of the findings and highlights potential strategies to avoid these problems and deficiencies in the publishing process, with the ultimate goal of increasing confidence and value in published reports of clinical research
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