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Sommaire

  1. Articles de revues
  2. Thèses
  3. Chapitres de livres
  4. Actes de conférences

Littérature scientifique sur le sujet « Prurit chronique »

Auteur : Grafiati
Publié le 11 janvier 2025

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Articles de revues sur le sujet "Prurit chronique"

1

Lorette, Gérard. « Prurit chronique diffus ». La Presse Médicale Formation 1, no 1 (mars 2020) : 94–96. http://dx.doi.org/10.1016/j.lpmfor.2020.03.001.

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2

Ben Afia, L., N. Ben Salah, D. Afli, M. Korbi, Y. Soua, I. Lahouel, M. Youssef, H. Bel Hadj Ali et J. Zili. « Prurit chronique : rôle des endocrinopathies ». Annales d'Endocrinologie 85, no 5 (octobre 2024) : 518. http://dx.doi.org/10.1016/j.ando.2024.08.452.

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3

Lanot, Antoine, Diane Kottler et Clémence Béchade. « Prurit associé à la maladie rénale chronique ». Néphrologie & ; Thérapeutique 17, no 7 (décembre 2021) : 488–95. http://dx.doi.org/10.1016/j.nephro.2021.07.002.

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4

Misery, L. « Le prurit : de la physiopathologie à la thérapeutique ». Douleur et Analgésie 34, no 2 (juin 2021) : 123–27. http://dx.doi.org/10.3166/dea-2021-0160.

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Résumé :
Le prurit se définit comme une sensation désagréable conduisant au besoin de se gratter. Il s’agit donc d’une sensation bien distincte de la douleur, mais dont le retentissement est équivalent. Prurit et douleur se différencient non seulement par l’induction de réactions différentes (grattage, retrait), mais aussi par des effets plutôt opposés de la chaleur et du froid ou surtout des opiacés. Les traitements sont très différents. Dans la peau et certaines muqueuses, il existe des récepteurs spécifiques du prurit (pruricepteurs), puis il existe des voies spécifiques conduisant le signal « prurit » jusqu’à différentes régions du cerveau. Ces voies sont partagées avec celles de la douleur ou non. Les mécanismes de sensibilisation périphérique et centrale au prurit sont de mieux en mieux compris, avec comme conséquences cliniques le prurit chronique, l’allokinésie et l’hyperkinésie. La douleur peut inhiber le prurit en activant des interneurones. Elle peut parfois coexister avec le prurit, en particulier en cas de prurit neuropathique. Les causes de prurit sont le plus souvent dermatologiques, mais d’autres causes sont aussi possibles : rénales, hépatiques, endocriniennes, métaboliques, hématologiques, paranéoplasiques, neurologiques, psychiques, iatrogènes ou mixtes. Jusqu’à présent, la prise en charge du prurit était décevante. Les antihistaminiques sont assez rarement efficaces. Les gabapentinoïdes peuvent être utilisés. Les progrès récents de la recherche ouvrent de nouvelles voies : κ-agonistes, μ-antagonistes, anti-IL31, anti-IL4/13, inhibiteurs de NK1, anti-Jak, etc. Une structuration en réseau de centres antiprurit s’inspirant de l’organisation des centres antidouleur serait probablement très utile.
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5

Bellakhal, S., E. Gharbi, I. Abdelaali, B. Ben Kaab, T. Jomni et M. H. Douggui. « Prurit chronique : un symptôme fréquent aux étiologies multiples ». La Revue de Médecine Interne 38 (décembre 2017) : A149. http://dx.doi.org/10.1016/j.revmed.2017.10.087.

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6

Ben Afia, L., N. Ben Salah, K. Hanin, D. Afli, M. Korbi, H. Belhadjali et J. Zili. « Profil des pathologies systémiques associées au prurit chronique ». La Revue de Médecine Interne 45 (décembre 2024) : A480. http://dx.doi.org/10.1016/j.revmed.2024.10.115.

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7

Krima, H., N. Ben Salah, Y. Soua, M. Korbi, H. Belhadjali et J. Zili. « Dermatite de contact au henné entraînant un prurit chronique ». Annales de Dermatologie et de Vénéréologie - FMC 4, no 8 (décembre 2024) : A144. http://dx.doi.org/10.1016/j.fander.2024.09.089.

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8

Ben Yahia, W., A. Aounallah, L. Boussafara, W. Saidi, C. Belajouza, M. Denguezli, N. Ghariani et R. Nouira. « Profil étiologique du prurit chronique dans un service de dermatologie ». La Revue de Médecine Interne 36 (juin 2015) : A78. http://dx.doi.org/10.1016/j.revmed.2015.03.024.

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9

Daadaa, N., A. Souissi, B. Ben Kaab, M. H. Douggui, M. K. Zouaghi et M. Mokni. « Prurit au cours de l’insuffisance rénale chronique : caractéristiques et facteurs associés ». Annales de Dermatologie et de Vénéréologie 147, no 12 (décembre 2020) : A304. http://dx.doi.org/10.1016/j.annder.2020.09.454.

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10

Ficheux, A. S., E. Brenaut, C. Taieb et L. Misery. « Association du prurit et d’autres sensations cutanées pathologiques avec la toux chronique ». Annales de Dermatologie et de Vénéréologie - FMC 2, no 8 (novembre 2022) : A92. http://dx.doi.org/10.1016/j.fander.2022.09.108.

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Plus de sources

Thèses sur le sujet "Prurit chronique"

1

Najafi, Peyman. « Mécanismes centraux du prurit chronique : imagerie cérébrale fonctionnelle et structurelle ». Thesis, Brest, 2020. http://www.theses.fr/2020BRES0004.

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Résumé :
Malgré les progrès récents enregistrés dans le domaine de la démangeaison, les mécanismes centraux sous-jacents et toutes les possibles perturbations causées par certaines pathologies sont relativement peu connues. Il est possible d’induire une démangeaison par simple visionnage d’une tierce personne en train de se gratter. On appelle cela le prurit contagieux dont le mode d’activation est connu pour mettre en jeu un réseau neuronal similaire à celui observé dans le prurit pathologique ou chimiquement induit. Nous avons recruté 15 volontaires sains, 14 patients psoriasiques et 2 urticaire auxquels nous avons diffusé ces vidéos tout en enregistrant leurs activités cérébrales par IRMf. Nous avons également mesuré la connectivité structurale par tenseur de diffusion pour les deux groupes. Nos résultats démontrent que le réseau cérébral qui prend en charge l’information de démangeaison dans notre cerveau est plus connecté chez les patients psoriasiques que chez les volontaires sains pour des niveaux de démangeaison induits équivalents. Par ailleurs, l’augmentation de la connectivité structurale reflète que les aspects perceptivo-moteur du grattage et de son contrôle induisent des changements à long terme sur la connectivité cérébrale des patients
Despite recent advances in studying itch, central mechanisms underlying its perception and any possible disruption to them caused by pathologies are relatively unknown. Herein we have studied central mechanism of itch perception in two pathologies Psoriasis and Urticaria (to a smaller degree), while comparing them to a healthy control group. For this goal 14 psoriasis patients, 15 healthy control and 2 Urticaria subjects were recruited. Itch was mentally induced in subjects during their MRI session by videos showing others scratching themselves; a phenomenon known as contagious itch. fMRI, DTI and anatomical images were acquired during this study. Our results show that parts of the brain network that is tasked with itch perception is more interconnected in psoriatic patients compared to healthy volunteers for equivalent levels of induced itch. In addition, the increase in structural connectivity reflects that the perceptual-motor aspects of scratching and its hyperactivity can induce long-term changes in patients' brain’s white matter microstructure
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2

Roque, Cunha Ferreira Bárbara Isabel. « Prurit psychogène ». Electronic Thesis or Diss., Brest, 2024. http://www.theses.fr/2024BRES0058.

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Résumé :
Le prurit psychogène est un diagnostic distinct chez les patients souffrant de prurit chronique et concerne les patients sans dermatose primaire ou une affection systémique liée au prurit chez qui des facteurs psychogènes sont identifiés. Ces patients peuvent présenter un stress psychique, une dynamique psychosociale ou une psychopathologie qui pourraient être à l’origine du prurit. Le groupe français de psychodermatologie a proposé des critères pour le diagnostic : 3/3 obligatoires et au moins 3/7 optionnels. Alors que les classifications disponibles ne permettent pas d’identifier les caractéristiques psychologiques et la psychopathologie associées, aucune étude prospective n’a été réalisée jusqu’à présent sur ce sujet. Nous avons donc fait une étude avec des patients diagnostiqués avec un prurit psychogène, en les comparant avec des patients souffrant de prurit chronique dû à d’autres étiologies. Certaines caractéristiques psychosociales liées au prurit psychogène permettent de le différencier des autres types de prurit, en particulier, des scores plus élevés d’alexithymie, d’anxiété, d’expériences dissociatives, sur l’échelle de stress de Holmes et Rahe les derniers 24 mois et de certaines stratégies de coping dysfonctionnelles. L’analyse des données souligne l’importance de considérer la présence d’une dynamique psychologique liée au contexte socio-familial du patient, renforçant la pertinence d’une approche psychodermatologique appliquée au prurit chronique et permettant d’identifier cette population de patients, dont l’approche thérapeutique devrait donner la priorité à l’approche du lien entre cette dynamique psychosociale et l’évolution des symptômes
Psychogenic pruritus is a distinct diagnosis in patients with chronic pruritus which refers to patients without a primarydermatosis or systemic disorder related to pruritus in whom psychogenic factors are identified. These patients may present with psychological stress, a psychosocial dynamic and psychopathology that could be at the origin of pruritus. The French psychodermatology group has proposed criteriafor diagnosis : 3/3 mandatory and at least 3/7 optional. As the available classifications do not allow for the identification of associated psychological characteristics and psychopatholoy, no prospective studies have yet been conducted on this subject. A prospective study was performed on patients diagnosed with psychogenic pruritus, compraing themwith patients suffering from chronic pruritus due to other disorders. There are some psychosocial characteristics associated with psychogenic pruritus, allowing it to be differentiated from other types of chronic pruritus, in particular, higher scores of alexithymia, anxiety and dissociative experiences, as welle as higher scores on the Holmes and rabe stress scale the last 24 mo,nths and certain dysfunctional coping strategies. Analysis of the data underlines the importance of considering the rpesence of a psychological dynamic linked to the patient’s socio-familial context, reinforcing the relevanceof a psychodermatological approach applied to chronic pruritus, making it possible to identify this population of patients, whose therapeutic approach should give priority to addressing the link between these psychosocial dynamics and the evolution of symptoms
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Chapitres de livres sur le sujet "Prurit chronique"

1

Pride, Howard B., et Mercedes E. Gonzalez. « Lichen Simplex Chronicus and Prurigo ». Dans Harper's Textbook of Pediatric Dermatology, 42.1–42.8. Oxford, UK : Wiley-Blackwell, 2011. http://dx.doi.org/10.1002/9781444345384.ch42.

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2

Hall, Anthony. « Lichen Simplex Chronicus, Prurigo Nodularis, Picker’s Nodule ». Dans Atlas of Male Genital Dermatology, 53–56. Cham : Springer International Publishing, 2018. http://dx.doi.org/10.1007/978-3-319-99750-6_17.

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3

Lynch, Peter J. « Vulvar Pruritus and Lichen Simplex Chronicus ». Dans Obstetric and Gynecologic Dermatology, 157–66. Elsevier, 2008. http://dx.doi.org/10.1016/b978-0-7234-3445-0.10016-5.

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4

« Lichen simplex chronicus and prurigo nodularis ». Dans Pediatric Dermatology and Dermatopathology, 219–20. CRC Press, 2001. http://dx.doi.org/10.1201/b14322-76.

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5

Brinster, Nooshin K., Vincent Liu, A. Hafeez Diwan et Phillip H. McKee. « Lichen Simplex Chronicus and Prurigo Nodularis ». Dans Dermatopathology, 29–30. Elsevier, 2011. http://dx.doi.org/10.1016/b978-1-4160-9976-5.10017-3.

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6

« Pruritus in Lichen Simplex Chronicus and Lichen Amyloidosis ». Dans Itch, 288–91. CRC Press, 2004. http://dx.doi.org/10.1201/b14233-31.

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Actes de conférences sur le sujet "Prurit chronique"

1

Georgieva, F. G. « PRURITUS IN LICHEN SIMPLEX CHRONICUS : PSYCHOLOGY OR PHYSIOLOGY ». Dans The 4th Global Virtual Conference. Publishing Society, 2016. http://dx.doi.org/10.18638/gv.2016.4.1.745.

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