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1

Hanson, Julien. « Les protéines G : les transducteurs privilégiés des récepteurs à sept domaines transmembranaires ». Biologie Aujourd’hui 215, no 3-4 (2021) : 95–106. http://dx.doi.org/10.1051/jbio/2021011.

Texte intégral
Résumé :
Les récepteurs couplés aux protéines G ou RCPG sont les récepteurs membranaires les plus abondants de notre génome avec environ 800 membres. Ils jouent un rôle essentiel dans la plupart des phénomènes physiologiques et physiopathologiques. De plus, ils constituent 30 % des cibles de médicaments actuellement commercialisés et restent un réservoir important pour de nouvelles thérapies innovantes. Leurs principaux effecteurs sont les protéines G hétérotrimériques. Celles-ci sont composées de 3 sous-unités, α, β et γ qui, lors du couplage avec un RCPG, se dissocient en Gα et Gβγ pour activer de nombreuses voies de signalisation. Cet article décrit certaines des avancées récentes dans la compréhension du fonctionnement et du rôle des protéines G hétérotrimériques. Après une courte introduction sur les RCPG, l’historique de la découverte des protéines G est décrit succinctement. Ensuite, les mécanismes fondamentaux de l’activation, la signalisation et la régulation des protéines G sont passés en revue. Les nouveaux paradigmes qui concernent la signalisation intracellulaire, la reconnaissance spécifique des protéines G par les RCPG ainsi que la signalisation biaisée sont également abordés.
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2

Reiter, Eric. « Mécanismes d’action et rôles multiples des β-arrestines dans la biologie des récepteurs couplés aux protéines G ». Biologie Aujourd’hui 215, no 3-4 (2021) : 107–18. http://dx.doi.org/10.1051/jbio/2021010.

Texte intégral
Résumé :
La stimulation des récepteurs couplés aux protéines G (RCPG) induit des réponses biologiques à un large éventail de signaux extracellulaires. Les protéines G hétérotrimériques, qui sont recrutées aux RCPG actifs, conduisent à la génération de divers seconds messagers diffusibles. En plus des protéines G, seules deux familles de protéines présentent également la caractéristique remarquable de reconnaître la conformation active de la majorité des RCPG et de s’y lier : les kinases spécifiques des RCPG (GRK) et les β-arrestines. Ces deux familles de protéines ont initialement été identifiées en tant qu’acteurs clefs de la désensibilisation de l’activation des protéines G par les RCPG. Au fil des années, les β-arrestines ont été impliquées dans un nombre croissant d’interactions avec des protéines non réceptrices, élargissant le panel des fonctions cellulaires dans lesquelles elles sont impliquées. Il est maintenant bien établi que les β-arrestines, en échafaudant et en recrutant des complexes protéiques de manière dépendante de l’agoniste, régulent directement le trafic et la signalisation des RCPG. Des avancées remarquables ont été réalisées au cours des dernières années qui ont permis i) d’identifier des ligands biaisés capables, en stabilisant des conformations particulières d’un nombre croissant de RCPG, d’activer ou de bloquer l’action des β-arrestines indépendamment de celle des protéines G, certains de ces ligands présentant un intérêt thérapeutique ; ii) de mettre en évidence le rôle des β-arrestines dans la compartimentalisation de la signalisation des RCPG au sein de la cellule, en particulier depuis les endosomes, et, iii) de comprendre les détails moléculaires de leur interaction avec les RCPG et de leur activation grâce à des approches structurales et biophysiques.
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3

Vignais, ML. « Protéines JAK et STAT dans la signalisation cellulaire ». médecine/sciences 13, no 11 (1997) : 1277. http://dx.doi.org/10.4267/10608/546.

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4

Lahuna, Olivier, et Ralf Jockers. « Signalisation mitochondriale des récepteurs couplés aux protéines G ». Biologie Aujourd'hui 212, no 1-2 (2018) : 21–26. http://dx.doi.org/10.1051/jbio/2018024.

Texte intégral
Résumé :
Les récepteurs couplés aux protéines G (RCPG) forment la plus grande famille de récepteurs membranaires avec 800 membres chez l’Homme qui sont exprimés à la surface de la cellule où ils répondent à un large panel de stimuli extracellulaires. Des avancées récentes indiquent que les RCPG sont également exprimés dans des compartiments intracellulaires où ils remplissent des fonctions importantes. Dans cette revue, nous nous intéresserons à la localisation et à la fonction des RCPG exprimés dans les mitochondries.
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5

Ismail, Sadek, Véronique Gigoux et Daniel Fourmy. « Signalisation endosomale du récepteur du peptide insulinotrope dépendant du glucose (GIP) ». Biologie Aujourd'hui 212, no 1-2 (2018) : 13–19. http://dx.doi.org/10.1051/jbio/2018018.

Texte intégral
Résumé :
Les récepteurs couplés aux protéines G (RCPG) représentent la plus grande famille de récepteurs membranaires. Classiquement, il était admis que la signalisation des RCPG, résultant de leur couplage aux protéines G, provenait exclusivement du pool de récepteurs présents à la surface cellulaire et, qu’une fois internalisés, les RCPG devenaient « silencieux ». À l’heure actuelle, il existe des preuves expérimentales montrant que des RCPG internalisés continuent à produire un signal via les protéines G. Dans notre travail, nous avons démontré, qu’une fois internalisé et présent dans la membrane des endosomes précoces, le récepteur du peptide insulinotrope dépendant du glucose (RGIP) continue de stimuler la production d’AMPc et d’activer la protéine kinase-A (PKA). En plus de preuves indirectes montrant que les cinétiques de production d’AMPc et d’activation de la PKA sont dépendantes de l’internalisation du RGIP et de son trafic intracellulaire, nous avons identifié la forme active de Gαs dans les endosomes précoces contenant le RGIP et détecté un signal au moyen d’une sonde par RET d’AMPc démontrant une production d’AMPc à la surface des endosomes contenant le GIP.
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6

Guitton, Jeanne, Miriam Bekara et Marie-Pierre Golinelli-Cohen. « Les protéines Fe-S Wbl, de nouvelles cibles thérapeutiques pour lutter contre la tuberculose ». médecine/sciences 34, no 6-7 (juin 2018) : 612–14. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/20183406026.

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Résumé :
Pour la troisième année, dans le cadre du module d’enseignement « Physiopathologie de la signalisation » proposé par l’université Paris-sud, les étudiants du Master « Biologie Santé » de l’université Paris-Saclay se sont confrontés à l’écriture scientifique. Ils ont sélectionné 8 articles scientifiques récents dans le domaine de la signalisation cellulaire présentant des résultats originaux, via des approches expérimentales variées, sur des thèmes allant des relations hôte-pathogène aux innovations thérapeutiques, en passant par la signalisation hépatique et le métabolisme. Après un travail préparatoire réalisé avec l’équipe pédagogique, les étudiants, organisés en binômes, ont ensuite rédigé, guidés par des chercheurs, une Nouvelle soulignant les résultats majeurs et l’originalité de l’article étudié. Ils ont beaucoup apprécié cette initiation à l’écriture d’articles scientifiques et, comme vous pourrez le lire, se sont investis dans ce travail avec enthousiasme ! Deux de ces Nouvelles sont publiées dans ce numéro, les autres le seront dans les prochains numéros de m/s.
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7

Galés, Céline. « Plasticité des récepteurs couplés aux protéines G et signalisation ». médecine/sciences 28, no 10 (octobre 2012) : 883–85. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/20122810018.

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8

Alfandari, D., ,. H. Cousin, A. Gaultier et T. Darribère. « Les protéines de la famille ADAM : protéolyse, adhésion et signalisation. » médecine/sciences 15, no 10 (1999) : 1148. http://dx.doi.org/10.4267/10608/1229.

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Dupuis, DS, et PJ Pauwels. « Diversité de signalisation par les récepteurs couplés aux protéines G. » médecine/sciences 17, no 3 (2001) : 320. http://dx.doi.org/10.4267/10608/1919.

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Deutsch, J., et D. Busson. « Des récepteurs pour les protéines de signalisation de la famille Wnt, enfin ? » médecine/sciences 13, no 2 (1997) : 222. http://dx.doi.org/10.4267/10608/340.

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Raab, Sadia, et Tony Lefebvre. « L’acide gras synthase, une enzyme « multi-FASette » ». médecine/sciences 38, no 5 (mai 2022) : 445–52. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2022062.

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Résumé :
Chez les mammifères, les acides gras sont fournis par l’alimentation ou sont synthétisés de novo par l’acide gras synthase (FASN pour fatty acid synthase). Au-delà de son rôle clé dans le stockage de l’énergie, FASN est impliquée dans de nombreux processus biologiques. Elle participe activement à la synthèse des composants membranaires nécessaires à la division cellulaire, à la modification des protéines, à la signalisation et à la prolifération cellulaires. Dans cette revue, nous discutons des diverses fonctions physiologiques de FASN ainsi que de son implication dans les cancers, l’expression de cette enzyme lipogénique étant particulièrement élevée dans cette maladie.
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Kahn, A. « Voies de signalisation empruntant les petites protéines G p21(ras) : rôle de GAP ». médecine/sciences 8, no 4 (1992) : 388. http://dx.doi.org/10.4267/10608/3148.

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Pinçon-Raymond, Martine. « Les cadhérines : des protéines de structure et de signalisation des jonctions cellule-cellule ». Journal de la Société de Biologie 198, no 4 (2004) : 353–56. http://dx.doi.org/10.1051/jbio/2004198040353.

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Issad, Tarik, et Patrick Pagesy. « O-GlcNAc glycosylation des protéines et régulation de la signalisation cellulaire : implication en physiopathologie ». Biologie Aujourd'hui 208, no 2 (2014) : 109–17. http://dx.doi.org/10.1051/jbio/2014015.

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Bouvier, Michel. « Métaphores, nomenclature et nouveaux paradigmes de signalisation par les récepteurs couplés aux protéines G ». médecine/sciences 28, no 10 (octobre 2012) : 801–3. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/20122810002.

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Gachon, Frédéric. « Protéomique circadienne ». Biologie Aujourd'hui 212, no 3-4 (2018) : 55–59. http://dx.doi.org/10.1051/jbio/2018025.

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Résumé :
Les progrès récents des techniques de protéomique offrent de nouvelles perspectives pour la biologie circadienne, et en particulier la possibilité d’étudier des modifications post-traductionnelles telles que la phosphorylation et l’acétylation. En utilisant la protéomique in vivo sur des extraits totaux de foie de souris ou des extraits nucléaires, nous avons pu caractériser le protéome rythmique du foie avec une résolution sans précédent, et ainsi révéler de nouveaux processus rythmiques tels que la sécrétion des protéines, la synthèse des ribosomes, la réparation de l’ADN ou la polyploïdie. De plus, l’analyse des modifications post-traductionnelles a permis de mettre en évidence les voies de signalisation impliquées et les conséquences sur le métabolisme hépatique.
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Kraepiel, Yvan. « La signalisation multiforme des fleurs à destination des pollinisateurs ». Biologie Aujourd’hui 218, no 3-4 (2024) : 129–40. https://doi.org/10.1051/jbio/2024013.

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Résumé :
Le succès évolutif des angiospermes, qui composent la très grande majorité de la flore terrestre à l’échelle planétaire, dépend très largement de leurs interactions avec les pollinisateurs puisque près de 90 % des plantes à fleur sont pollinisées par des animaux. Ces interactions sont basées, d’une part sur les ressources nutritives produites dans les fleurs sous forme de nectar et de pollen, apportant essentiellement sucres et protéines respectivement et, d’autre part, sur les signaux émis par les fleurs que les pollinisateurs apprennent à associer à la présence de ressources. Les signaux visuels permettent aux animaux de localiser les fleurs à relativement grande distance puis, une fois à proximité, d’identifier précisément les fleurs contenant les ressources recherchées et le lieu de leur stockage. Cette signalisation visuelle repose essentiellement sur les couleurs des pétales dont les nuances, quasiment infinies, sont dues principalement à la grande diversité des anthocyanes, pigments de nature flavonoïde, et aux caroténoïdes. L’apprentissage des pollinisateurs s’appuie également sur des signaux olfactifs complexes formés par l’association de composés organiques volatils, souvent de nature terpénique, lipidique et phénolique, produits au niveau de tissus spécialisés en surface des organes floraux. Certaines espèces d’angiospermes attirent les insectes pollinisateurs sans produire de nectar grâce à des signaux mimant ceux d’espèces nectarifères, les phéromones sexuelles d’insectes femelles ou les odeurs des sites de ponte de certains insectes. Elles s’affranchissent, grâce à ces signaux trompeurs, de la dépense énergétique inhérente à la production de ressources florales. Les rôles des couleurs et des odeurs des fleurs sont décrits et étudiés depuis plusieurs décennies, mais, plus récemment, ceux d’autres signaux émis par les fleurs dans les interactions entre les plantes et leurs pollinisateurs ont été également mis en évidence. Ainsi, l’écho produit par les organes floraux ou par des structures végétales associées aux fleurs permet l’écholocalisation des ressources florales de certaines plantes par des chauves-souris nectarivores. Enfin, des interactions électriques entre les fleurs et les insectes pollinisateurs participent aussi de façon significative à l’apprentissage des insectes et à l’efficacité de leur recherche de nourriture.
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Boyer, Olivia, Géraldine Mollet et Guillaume Dorval. « Atteinte neurologique et syndrome néphrotique cortico-résistant ». médecine/sciences 39, no 3 (mars 2023) : 246–52. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2023029.

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Résumé :
Les études génétiques portant sur le syndrome néphrotique (SN) héréditaire ont permis d’identifier plus de 60 gènes impliqués dans le développement de formes monogéniques de SN cortico-résistant, isolé ou syndromique, ce dernier étant parfois associé à des troubles neurologiques. Au cours des dernières décennies, diverses études ont établi des liens entre la physiologie des podocytes et celle des neurones, tant sur le plan morphologique (diaphragme de fente et synapse) que fonctionnel (plateformes de signalisation). Des variants dans des gènes codant des protéines s’exprimant dans différents compartiments du podocyte et des neurones sont responsables de phénotypes associant des lésions rénales avec protéinurie à des troubles neurologiques centraux et/ou périphériques. L’objectif de cette revue est de se concentrer sur les syndromes génétiques associant une protéinurie et une atteinte neurologique et de présenter les dernières avancées dans la description de ces troubles neuro-rénaux.
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Seeneevassen, Lornella, Pierre Dubus, Caroline Gronnier et Christine Varon. « Hippo in Gastric Cancer : From Signalling to Therapy ». Cancers 14, no 9 (3 mai 2022) : 2282. http://dx.doi.org/10.3390/cancers14092282.

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Résumé :
The Hippo pathway is one of the most important ones in mammals. Its key functions in cell proliferation, tissue growth, repair, and homeostasis make it the most crucial one to be controlled. Many means have been deployed for its regulation, since this pathway is not only composed of core regulatory components, but it also communicates with and regulates various other pathways, making this signalisation even more complex. Its role in cancer has been studied more and more over the past few years, and it presents YAP/TAZ as the major oncogenic actors. In this review, we relate how vital this pathway is for different organs, and how regulatory mechanisms have been bypassed to lead to cancerous states. Most studies present an upregulation status of YAP/TAZ, and urge the need to target them. A focus is made here on gastric carcinogenesis, its main dysregulations, and the major strategies adopted and tested to counteract Hippo pathway disbalance in this disease. Hippo pathway targeting can be achieved by various means, which are described in this review. Many studies have tested different potential molecules, which are detailed hereby. Though not all tested in gastric cancer, they could represent a real interest.
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Taillandier, Daniel. « Contrôle des voies métaboliques par les enzymes E3 ligases : une opportunité de ciblage thérapeutique ». Biologie Aujourd’hui 215, no 1-2 (2021) : 45–57. http://dx.doi.org/10.1051/jbio/2021006.

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Résumé :
Depuis sa découverte, le Système Ubiquitine Protéasome (UPS) est reconnu pour son rôle majeur dans le contrôle de la plupart des voies métaboliques de la cellule. Outre son rôle primordial dans la dégradation des protéines, il intervient aussi dans l’adressage, la signalisation ou la réparation de l’ADN, ce qui en fait un acteur incontournable de l’homéostasie cellulaire. Bien que d’autres systèmes de contrôles existent dans la cellule, l’UPS est souvent considéré comme le chef d’orchestre. Au vu de son importance, toute dérégulation de l’UPS entraîne des désordres plus ou moins sévères pour la cellule et donc l’organisme. De fait, l’UPS est impliqué dans de nombreuses pathologies (cancer, maladie d’Alzheimer, de Huntington, etc.). L’UPS est composé de plus de 1000 protéines différentes dont les combinaisons permettent le ciblage fin de virtuellement toutes les protéines de l’organisme. L’UPS fait appel à une cascade enzymatique (E1, 2 isoformes ; E2 > 35 isoformes ; E3 > 800 isoformes) qui permet le transfert de l’ubiquitine, une petite protéine de 8,5 kDa, sur la protéine à cibler soit pour sa dégradation, soit pour modifier son activité. Ce signal d’ubiquitinylation est réversible et de nombreuses déubiquitinylases (DUB, ∼ 80 isoformes) jouent aussi un rôle important. Les enzymes E3 sont les plus nombreuses et leur fonction est de reconnaître la protéine cible, ce qui en fait des acteurs importants dans la spécificité d’action de l’UPS. La nature même des E3 et la complexité de leurs interactions avec différents partenaires offrent un champ d’investigation très large et donc des potentialités importantes pour le développement d’approches thérapeutiques. Sans être exhaustive, cette revue illustre les différentes stratégies ayant déjà été mises en œuvre pour lutter contre différentes pathologies (à l’exclusion des infections bactériennes ou virales).
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Bouvier, M., SA Laporte, M. Lagacé et MG Caron. « Échafaudages protéiques et signalisation modulaire via les récepteurs à sept domaines transmembranaires : au-delà des protéines G. » médecine/sciences 16, no 5 (2000) : 644. http://dx.doi.org/10.4267/10608/2054.

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Berto, Ludovic, Anaëlle Dumazer, Fanny Malhaire, Giuseppe Cannone, Vinothkumar Kutti Ragunath, Cyril Goudet et Guillaume Lebon. « Les avancées récentes dans le domaine de la biologie structurale des récepteurs couplés aux protéines G de la classe C : Le récepteur métabotropique du glutamate 5 ». Biologie Aujourd’hui 215, no 3-4 (2021) : 85–94. http://dx.doi.org/10.1051/jbio/2021013.

Texte intégral
Résumé :
La classe C des Récepteurs Couplés aux Protéines G (RCPG) comprend plusieurs membres aux fonctions physiologiques importantes comme par exemple les récepteurs des principaux neurotransmetteurs excitateurs (glutamate) et inhibiteurs (GABA) du système nerveux, les récepteurs des goûts umami et sucré et les récepteurs sensibles au calcium. Ces récepteurs possèdent une architecture moléculaire particulière, caractérisée par la présence d’un large domaine extracellulaire (ECD) relié à un domaine membranaire composé de 7 hélices transmembranaires (7TM). De plus, ils forment tous des dimères obligatoires, la dimérisation étant fondamentale pour leur fonction. La fixation d’agoniste dans l’ECD induit l’activation du récepteur. L’activité des agonistes peut être modulée de manière allostérique par des modulateurs positifs (PAM) ou négatifs (NAM), se liant au domaine 7TM. Il est important de comprendre comment les changements de conformation induits par la liaison des agonistes au sein du domaine extracellulaire sont transmis au domaine transmembranaire mais aussi de comprendre les bases structurales et moléculaires de la régulation allostérique des récepteurs de la classe C. Les progrès récents de la microscopie électronique en conditions cryogéniques (cryoEM) ont permis des avancées sans précédent dans le décryptage des bases structurelles et moléculaires des mécanismes d’activation des RCPG de classe C, et notamment du récepteur métabotropique du glutamate de type 5 (mGlu5). Le glutamate entraîne une fermeture et un changement d’orientation des domaines extracellulaires qui induit un mouvement important entre les sous-unités, rapprochant les 7TM et stabilisant la conformation active du récepteur. La diversité de conformations inactives pour les récepteurs de la classe C était inattendue mais propice à une activation possible par des PAM. Ces derniers stabilisent une conformation active des 7TM, indépendante des changements conformationnels induits par les agonistes, représentant un mode alternatif d’activation des récepteurs mGlu. Nous présentons et discutons ici les caractérisations structurales récentes des récepteurs de classe C, en soulignant les résultats qui rendent cette famille de récepteurs unique. La compréhension de la base structurelle de la signalisation des dimères de mGlu représente une réalisation historique et ouvre la voie à l’analyse de la signalisation des dimères de RCPG en général. Ces analyses structurales devraient également ouvrir de nouvelles voies pour la conception de médicaments ciblant cette famille de récepteurs qui sont aussi des cibles thérapeutiques.
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Vidal, Michel, Wang Qing Liu, Brunile Gril, Franck Assayag, Marie-France Poupon et Christiane Garbay. « Nouvelle approche thérapeutique du cancer. Interruption des voies de signalisation dérégulées par inhibition des interactions inter-protéiques : exemple de la protéine Grb2 dans la signalisation induite par les protéines à activité tyrosine kinase ». Journal de la Société de Biologie 198, no 2 (2004) : 133–37. http://dx.doi.org/10.1051/jbio/2004198020133.

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Grazziotin-Soares, D., et J. P. Lotz. « Un sous-groupe de cancer gastrique positif au virus d’Epstein-Barr (EBV) identifié pour sa sensibilité à l’immunothérapie ». Oncologie 21, no 1-4 (janvier 2019) : 69–72. http://dx.doi.org/10.3166/onco-2019-0030.

Texte intégral
Résumé :
Plusieurs études ont montré une association entre l’infection par le virus d’Epstein-Barr (EBV) et la survenue de nombreux cancers chez l’homme, dont certains carcinomes gastriques. Le potentiel oncogénique de l’EBV a été largement exploré, mais les mécanismes précis de la carcinogenèse ne sont pas complètement compris. Les protéines virales codées par EBV sont connues pour notamment déréguler des voies de signalisation de la réponse aux dommages de l’ADN (DDR). Cette inactivation du DDR entraîne alors un accroissement de l’instabilité génomique qui favoriserait la transformation cellulaire pour générer des cellules malignes. Dans un article récemment publié dans la revueNature Medicine, une caractérisation moléculaire des tissus tumoraux et de l’ADN tumoral circulant (ADNtc) provenant de patients non sélectionnés atteints de cancer gastrique métastatique, traités par pembrolizumab, a été réalisée. Ces travaux ont montré que, dans la cohorte étudiée, une forte corrélation pouvait être établie entre la positivité de PD-L1, EBV(+) et MSI-H. Ces résultats suggèrent que le cancer gastrique EBV(+) pourrait être, à l’instar des tumeurs MSI-H, une cible à fort potentiel pour observer un bénéfice clinique de l’immunothérapie. Ainsi, le statut EBV pourrait servir, en clinique, de biomarqueur pour identifier les patients atteints de cancer gastrique, pouvant bénéficier ou non d’une immunothérapie. Au-delà de leur intérêt clinique, ces travaux ouvrent également la voie vers une meilleure caractérisation des mécanismes moléculaires sous-tendant ce phénomène.
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Froger, Nicolas. « Potentialités thérapeutiques des neurostéroïdes en psychiatrie ». Biologie Aujourd’hui 213, no 3-4 (2019) : 131–40. http://dx.doi.org/10.1051/jbio/2019023.

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Résumé :
Les neurostéroïdes constituent une famille de molécules synthétisées par le cerveau, représentée par les hormones stéroïdes elles-mêmes, mais également par certains de leurs précurseurs et métabolites. Ils ont des propriétés neuroactives en stimulant des voies de signalisation non génomiques, spécifiques des neurones. Trois types de neurostéroïdes ont été identifiés selon les voies qu’ils activent, à savoir (i) les neurostéroïdes inhibiteurs, (ii) les neurostéroïdes excitateurs et (iii) les neurostéroïdes microtubulaires. Les neurostéroïdes inhibiteurs activent les récepteurs ionotropiques GABA-A, tandis que les neurostéroïdes excitateurs inhibent les courants GABAergiques et stimulent la neurotransmission glutamatergique (soit directement en activant les récepteurs NMDA, soit indirectement via la stimulation des récepteurs sigma-1). Enfin, les neurostéroïdes microtubulaires sont capables de se lier aux protéines associées aux microtubules, comme MAP2, pour favoriser la croissance des microtubules, et in fine la plasticité neuronale. En regard de leurs actions pharmacologiques, certains neurostéroïdes ont fait l’objet d’études cliniques pour le traitement de maladies psychiatriques. C’est le cas de l’alloprégnanolone, le principal neurostéroïde inhibiteur, qui a montré une efficacité dans le traitement de la dépression du post-partum et de l’anxiété. Contrairement à leurs dérivés sulfatés qui n’ont jamais été testés en clinique, la DHEA (déhydroépiandrostérone) et la prégnénolone ont montré des effets antidépresseurs et antipsychotiques. Cependant, la surproduction éventuelle d’hormones provoquée par leur métabolisation a conduit à développer des dérivés de synthèse non métabolisables. C’est le cas du composé MAP4343, un dérivé de la prégnénolone, qui a montré des effets de type antidépresseur dans différents modèles animaux. Il fait actuellement l’objet d’un développement clinique pour le traitement de la dépression.
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Benhamou, Nicole, et Patrice Rey. « Stimulateurs des défenses naturelles des plantes : une nouvelle stratégie phytosanitaire dans un contexte d’écoproduction durable. » Article de synthèse 92, no 1 (25 septembre 2012) : 1–23. http://dx.doi.org/10.7202/1012399ar.

Texte intégral
Résumé :
Après avoir été longtemps dépendante des pesticides, l’agriculture mondiale est aujourd’hui frappée par un courant qui favorise des pratiques plus durables et plus respectueuses de l’environnement. Pour répondre à ces nouvelles exigences, les agriculteurs doivent se tourner vers l’exploitation et la rentabilisation des ressources naturelles par le biais de pratiques agricoles combinant la performance et la protection des cultures à un moindre coût écologique. Dans ce contexte, le développement de molécules biologiques capables de stimuler les défenses naturelles des végétaux (SDN) est une stratégie qui attire de plus en plus l’attention. Une molécule SDN est un éliciteur susceptible de déclencher une série d’évènements biochimiques menant à l’expression de la résistance chez la plante. La perception du signal par des récepteurs membranaires spécifiques et sa transduction par diverses voies de signalisation conduisent à la synthèse et à l’accumulation synchronisée de molécules défensives parmi lesquelles certaines jouent un rôle structural alors que d’autres exercent une fonction antimicrobienne directe. Les barrières structurales contribuent à retarder la progression de l’agent pathogène dans les tissus de la plante et à empêcher la diffusion de substances délétères telles des enzymes de dégradation des parois ou des toxines. Les mécanismes biochimiques incluent, entre autres, la synthèse de protéines de stress et d’inhibiteurs de protéases ainsi que la production de phytoalexines, des métabolites secondaires ayant un fort potentiel antimicrobien. Les progrès remarquables accomplis ces dernières années en termes de compréhension des mécanismes impliqués dans la résistance induite chez les plantes se traduisent aujourd’hui par la commercialisation d’un nombre de plus en plus important de SDN capables de stimuler le « système immunitaire » des plantes en mimant l’effet des agents pathogènes.
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Marie-Claire, C. « Existe-t’il une signature moléculaire de la réponse au lithium dans le trouble bipolaire ? » European Psychiatry 29, S3 (novembre 2014) : 558. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.367.

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Résumé :
Bien que le lithium soit le traitement de première ligne pour la prévention des rechutes dans le trouble bipolaire seuls 30 % des patients sont de bons répondeurs. Ainsi, un sous-groupe important des patients, traités avec du lithium, présente des taux élevés de rechute. En l’absence de marqueurs cliniques prédictifs de réponse il reste difficile de prédire avec précision quels patients répondront en évitant de les soumettre à de longues périodes de traitements au lithium. L’identification de biomarqueurs prédictifs est donc un enjeu majeur pour améliorer la prise en charge des patients bipolaires. Le mécanisme d’action du lithium est complexe car il exerce une action inhibitrice ou activatrice sur plusieurs voies de signalisation cellulaires. L’ensemble de ces cibles et effecteurs contribuent aux effets neuroprotecteurs dans le cerveau et de stabilisation de l’humeur et complexifient la compréhension de la réponse prophylactique au lithium. Les études visant à identifier une corrélation entre la réponse au lithium et des mutations de gènes ont produit des résultats controversés. Afin de mieux comprendre la variabilité de la réponse au lithium, une approche complémentaire aux études génétiques, consiste à étudier les effets moléculaires induits par un traitement aigu ou chronique au lithium. Il a ainsi été montré que le lithium module les niveaux d’expression de gènes au niveau des ARN messagers, des protéines aussi des miRNA dans plusieurs modèles in vivo et in vitro. Ces études ouvrent de nouvelles voies de recherche pour identifier des biomarqueurs de la réponse prophylactique au lithium pouvant être transférés en clinique afin d’éviter de longues périodes de traitement inefficace au lithium et élaborer des stratégies de traitement plus personnalisées.
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Perron, H. « La voie des rétrovirus humain endogènes, un espoir thérapeutique dans la schizophrénie ». European Psychiatry 30, S2 (novembre 2015) : S25. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.077.

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Résumé :
Les psychoses majeures telles la schizophrénie sont des troubles complexes qui peuvent impliquer des interactions multiparamétriques comprenant des facteurs génétiques et environnementaux comme des infections. Des études successives ont montré une association entre la schizophrénie et les rétrovirus endogènes humains (HERV). Les HERVs sont des composants du génome humain qui représentent 8 % de l’ADN chromosomique. Depuis plus d’une décennie, une famille spécifique de HERV, HERV-W, a été associée à la schizophrénie. Or, une fois activée, l’expression HERV-W peut être à l’origine de la production d’une protéine d’enveloppe (HERV-W Env) aux propriétés pro-inflammatoires et cytopathogènes via une très haute affinité pour le toll-like receptor 4 (TLR4). Ainsi la sécrétion de cette « toxine endogène » ou sa présentation à la surface des cellules productrices, induit une forte activation des voies de signalisation TLR4 dans les cellules du système immunitaire ou du tissu cérébral (microglie, en particulier). Une transcription élevée des gènes HERV-W a été rapportée dans des études effectuées sur différentes populations de patients schizophrènes en Europe, en Amérique du Nord et en Chine. Les antigènes de capside et d’enveloppe des protéines HERV-W ont été mis en évidence dans des échantillons de sang de patients schizophrène corrélant avec le dosage de CRP (marqueur d’inflammation), ceci, dans la sous-population des patients ayant une CRP positive. Par ailleurs, on a montré que certains Herpesviridae (CMV, HSV…), le virus influenza ou le parasite Toxoplasma gondii, qui sont des facteurs positivement associés à un risque plus élevé de développer une schizophrénie, avaient la capacité d’activer des éléments de la famille HERV-W dans certaines cellules. Les études expérimentales ainsi effectuées, démontrent que des facteurs environnementaux peuvent induire une modification de l’expression de ces éléments génétiques et, ainsi, induire une production auto-entretenue de protéine pathogène codée par certaines copies HERV-W. Différentes études ont aussi montré un effet potentiel de HERV-W Env sur le développement et le fonctionnement neuronal, via la dérégulation de neurorécepteurs (NMDA/DRD3) ou de facteurs comme le BDNF. D’autres paramètres de ces interactions complexes ont aussi été mis en évidence, comme certains profils immunogénétiques (HLA/génotype TLR4 susceptibles aux infections), un faible contrôle épigénétique (infections périnatales), des toxiques (cannabis ?) ou des stress particuliers. La résultante de ces interactions multiples, peuvent permettre de relayer les effets des facteurs environnementaux au niveau d’une expression génique HERV-W anormale codant pour une protéine immuno- et neurotoxique. Ainsi, HERV-W pourrait constituer un élément pivot dans la pathogenèse de la maladie, une fois activé au niveau du génome de certaines cellules. Par conséquent, notre hypothèse est qu’un événement infectieux ou inflammatoire majeur au cours de la grossesse, peut déclencher l’activation des éléments de HERV-W dans l’embryon ou le nouveau-né. L’activation de ces HERVs qui peuvent rétrotransposer dans le génome affecté, pourrait provoquer des modifications de l’ADN telles qu’observées ultérieurement chez les malades atteints de schizophrénie (CNV, microdélétions ou réarrangements génétiques, etc.). Un remaniement du génome HERV-W et d’éléments « génétique mobiles » associés, pourrait causer une expression aberrante HERV-W et conduire à un développement neurologique anormal, dans un contexte général de neurotoxicité inflammatoire. Des conditions de stress particulières et/ou des infections secondaires avec des agents neurotropes tels que, par exemple, le cytomegalovirus (CMV) ou le virus de l’herpès simplex de type 1 (HSV-1), pourraient alors venir augmenter ou réactiver l’expression des éléments modifiés de HERV-W modifiés ou dérégulés. Ceci conduirait à atteindre un seuil d’expression qui déclencherait des épisodes neuro-inflammatoires et/ou neurotoxiques à l’origine d’une symptomatologie psychotique aiguë. L’existence d’anticorps neutralisant cette toxine endogène, dont une IgG4 humanisée est actuellement développée en phase II d’essais cliniques pour d’autres pathologies neuro-inflammatoires, suggère que des études précliniques sont nécessaires pour étayer des stratégies de traitement spécifiques analogues. Une telle approche innovante ciblant une protéine endogène qui agirait en amont de la cascade pathogénique responsable de l’évolution de la maladie schizophrénique, pourrait la neutraliser et, potentiellement, réduire puis prévenir la survenue d’épisodes psychotiques ainsi que les conséquences neuropathologiques induites.
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GAGAOUA, Mohammed, Claudia TERLOUW et Brigitte PICARD2. « Apport de la protéomique à la découverte de biomarqueurs pour l’étude de la couleur de la viande bovine ». INRAE Productions Animales, 23 novembre 2021. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2021.34.3.4899.

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Résumé :
Cette synthèse s’intéresse à l’apport de l’analyse protéomique et à la découverte de biomarqueurs pour mieux comprendre les mécanismes sous-jacents à la variabilité et la stabilité de la couleur de la viande bovine. L’analyse intégrative des données protéomiques de la littérature révèle les principales signatures moléculaires et les mécanismes biologiques à l’origine de la couleur de la viande bovine. Une fouille de données des études protéomiques récentes sur la couleur de la viande a permis d’agréger 79 protéines biomarqueurs potentiels issues de 13 études. Les protéines sont associées à 6 processus biologiques interconnectés : métabolisme énergétique, réponses au stress cellulaire et oxydant, structure, voies de signalisation, protéolyse et apoptose. Avec un seuil d’identification dans au moins 3 études, 27 protéines ont été présélectionnées parmi lesquelles la β-énolase, la peroxiredoxine 6, la protéine de stress HSP27, la phosphoglucomutase 1, la superoxyde dismutase 1 et la μ-calpaïne ont été identifiées par au moins 5 études comme jouant un rôle significatif dans les variations de la couleur de la viande bovine.
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Boirie, Yves, et Fabrizio Andréelli. « Protéines et santé : des apports nutritionnels à la signalisation cellulaire des pathologies ». Médecine des Maladies Métaboliques, octobre 2024. http://dx.doi.org/10.1016/j.mmm.2024.10.001.

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« Un complexe de protéines dérégule la voie de signalisation RAS/MAPK, à l’origine de cancers ». Actualités Pharmaceutiques Hospitalières 6, no 24 (novembre 2010) : 5. http://dx.doi.org/10.1016/s1769-7344(10)70298-5.

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Kow, Chia Siang, Dinesh Sangarran Ramachandram et Syed Shahzad Hasan. « Effect of JAK Inhibitors on the Risk of Death in Patients with Moderate to Severe COVID-19 : A Systematic Review and Meta-Analysis of Randomized Controlled Trials ». Canadian Journal of Hospital Pharmacy 77, no 2 (12 juin 2024). http://dx.doi.org/10.4212/cjhp.3493.

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Résumé :
Background: The pathophysiology of COVID-19 involves a signalling pathway based on the Janus kinases (JAKs) and the signal transducer and activator of transcription (STAT) family of proteins. As such, there has been growing interest in exploring JAK inhibitors as potential therapeutic agents for this disease. Objective: To provide a comprehensive summary of the efficacy of JAK inhibitors in the treatment of COVID-19 through a systematic review and meta-analysis. Data Sources: A systematic literature search was conducted in multiple electronic databases (PubMed, Scopus, and the Cochrane Central Register of Controlled Trials) and preprint repositories, without language restrictions, to identify relevant studies published up to December 31, 2023. Study Selection and Data Extraction: The primary outcome of interest was all-cause mortality. Randomized controlled trials (RCTs) investigating the administration of JAK inhibitors in patients with COVID-19 were included. Data Synthesis: Through the systematic literature search, a total of 20 RCTs meeting the inclusion criteria were identified. A random-effects model was employed to estimate the pooled odds ratio for death with administration of a JAK inhibitor relative to non-administration of such an agent, with 95% confidence interval. Meta-analysis of these trials revealed a significant reduction in mortality among patients with COVID-19 who received JAK inhibitors relative to those who did not receive these agents (pooled odds ratio 0.70, 95% confidence interval 0.58–0.84). Conclusions: The results of this systematic review and meta-analysis suggest that JAK inhibitors, specifically baricitinib, may address the urgent need for effective treatments in the ongoing COVID-19 pandemic by reducing the risk of death among affected patients. However, further research, including larger-scale RCTs, is needed to establish the efficacy and safety of other JAK inhibitors in the treatment of COVID-19 and to generate more robust evidence regarding their use in this specific patient population. Keywords: baricitinib, COVID-19, JAK inhibitor, mortality, ruxolitinib RÉSUMÉ Contexte : La physiopathologie de la COVID-19 implique une voie de signalisation basée sur les Janus kinases (JAK) et les protéines STAT (pour signal transducer and activator of transcription en anglais, soit, les protéines transductrices de signal et activatrices de transcription). C’est pourquoi l’étude des inhibiteurs de JAK en tant qu’agents thérapeutiques potentiels pour cette maladie suscite un intérêt croissant. Objectif : Fournir un résumé complet de l’efficacité des inhibiteurs de JAK dans le traitement de la COVID-19 grâce à une revue systématique et une méta-analyse. Sources des données : Une recherche systématique de la littérature a été menée dans plusieurs bases de données électroniques (PubMed, Scopus et le Cochrane Central Register of Controlled Trials) et dans les référentiels de prépublications, sans restrictions linguistiques, pour identifier les études pertinentes publiées jusqu’au 31 décembre 2023. Sélection des études et extraction des données : Le principal résultat d’intérêt était la mortalité, toutes causes confondues. Des essais contrôlés randomisés (ECR) portant sur l’administration d’inhibiteurs de JAK chez des patients atteints de COVID-19 ont été inclus. Synthèse des données : Grâce à la recherche documentaire systématique, un total de 20 ECR répondant aux critères d’inclusion ont été identifiés. Un modèle à effets aléatoires a été utilisé pour estimer le rapport de cotes groupé de décès avec l’administration d’un inhibiteur de JAK par rapport à la non-administration d’un tel agent, avec un intervalle de confiance de 95 %. La méta-analyse de ces essais a révélé une réduction significative de la mortalité chez les patients atteints de COVID-19 ayant reçu des inhibiteurs de JAK par rapport à ceux n’ayant pas reçu ces agents (rapport de cotes groupé 0,70, intervalle de confiance à 95 % 0,58-0,84). Conclusions : Les résultats de cette revue systématique et méta-analyse indiquent que les inhibiteurs de JAK, en particulier le baricitinib, pourraient répondre au besoin urgent de traitements efficaces dans le cadre de la pandémie de COVID-19 en cours en réduisant le risque de décès parmi les patients touchés. Cependant, des recherches supplémentaires, y compris des ECR à plus grande échelle, sont nécessaires pour établir l’efficacité et l’innocuité d’autres inhibiteurs de JAK dans le traitement de la COVID-19 et pour générer des éléments probants plus solides concernant leur utilisation dans cette population de patients en particulier. Mots-clés : baricitinib, COVID-19, inhibiteur de JAK, mortalité, ruxolitinib
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