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TSIROULNIKOV, K., H. REZAEI, E. BONCH-OSMOLOVSKAYA, P. NEDKOV, A. GOUSTEROVA, V. CUEFF, A. GODFROY et al. « Utilisation des microorganismes dans l’hydrolyse des amyloïdes et des farines animales ». INRAE Productions Animales 17, HS (8 juin 2020) : 109–15. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2004.17.hs.3636.

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Résumé :
A la suite de l’interdiction des farines animales en alimentation animale, il est nécessaire de mettre au point des procédés simples et économiques pour les valoriser et les décontaminer vis-à-vis de la présence possible de prion pathogène. L’usage des microorganismes est une solution possible. Aussi, des collections de microorganismes capables de croître sur la kératine ou sur des farines animales et sécrétant des protéases capables de dégrader la PrPsc contenue dans les farines animales ont été criblées. Ceci a permis de découvrir trois souches de bactéries thermophiles, isolées de différentes sources chaudes réparties sur la planète, qui sont capables de dégrader la protéine prion infectieuse PrPsc et de croître sur un milieu composé de farines animales. Leur activité protéolytique, de type chymotrypsique pour l’essentiel, est maximale à la température de 60 à 80°C et focalisée sur certaines liaisons peptidiques qui sont nombreuses sur la protéine prion. Leur action découpe ainsi la protéine prion en morceaux plus courts inoffensifs. Les perspectives sont de mettre en oeuvre ces microorganismes thermophiles dont le patrimoine protéolytique permettrait la dégradation des farines animales, actuellement incinérées, et les protéines prions qu’elles renferment.
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Laurent, M. « Les maladies à prions : l'hypothèse de la "protéine seule" et ses conséquences dynamiques ». médecine/sciences 12, no 6-7 (1996) : 774. http://dx.doi.org/10.4267/10608/818.

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MOUDJOU, M., E. SABUNCU, D. VILETTE, A. LEDUR et H. LAUDE. « Approche immunochimique de la structure de la protéine cellulaire PrPc ovine. Caractérisation d’anticorps discriminant les glycoformes et les allèles de la protéine Prion chez le mouton ». INRAE Productions Animales 17, HS (20 décembre 2004) : 51–53. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2004.17.hs.3627.

Texte intégral
Résumé :
Les Encéphalopathies Spongiformes Transmissibles (EST) sont des maladies neurodégénératives caractérisées par l’accumulation dans le cerveau d’une forme anormale de la protéine prion, la PrP. La PrP cellulaire est une glycoprotéine membranaire qui a deux sites de glycosylation. La susceptibilité des moutons à la tremblante, la plus répandue des EST, est sous le contrôle d’un polymorphisme génétique en position 136, 154 et 171 de la protéine PrP. Différents travaux ont montré que l’efficacité de la conversion de la PrP normale (PrPc) en PrP anormale (PrPsc) pouvait être influencée à la fois par son degré de glycosylation et par sa séquence primaire en acides aminés. Au cours de notre travail de production d’anticorps monoclonaux dirigés contre la PrP ovine, nous avons obtenu de nouveaux anticorps discriminants les différentes formes glycosylées de la PrP. Parmi ces anticorps, nous avons montré que certains présentent une affinité différentielle vis-à-vis des allèles de la PrP, essentiellement en position 171. Cette position est connue pour jouer un rôle majeur dans le contrôle de la résistance (Arginine, R171) et de la sensibilité (Glutamine, Q171) des moutons à la tremblante. Ces anticorps représentent de nouveaux outils pour étudier la relation entre le niveau de glycosylation de la PrPc et sa capacité à être convertie en PrPsc. Ils nous permettront également une analyse plus fine du profil électrophorétique des différentes glycoformes de la PrP anormale dans le cadre du typage de souches de prions. Enfin, ces anticorps peuvent être utilisés pour le génotypage rapide des moutons en vue d’une sélection d’animaux résistants à la tremblante et pour la compréhension des bases moléculaires de la résistance à la tremblante conférée par la présence de l’Arginine en position 171 de la PrP.
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ELSEN, J. M., et J. M. AYNAUD. « Introduction au numéro hors série Encéphalopathies spongiformes transmissibles animales ». INRAE Productions Animales 17, HS (19 décembre 2004) : 5–6. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2004.17.hs.3613.

Texte intégral
Résumé :
Les agents des encéphalopathies spongiformes transmissibles (ESST) sont responsables de maladies neurodégénératives fatales chez l’homme (maladie de Creutzfeldt-Jakob, insomnie fatale familiale, syndrome de Gerstmann-Straussler-Scheinker, Kuru) et chez les animaux (tremblante ovine et caprine, encéphalopathie spongiforme bovine, encéphalopathie spongiforme féline, encéphalopathie transmissible du vison, dépérissement chronique des cervidés. L’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) est une maladie nouvelle apparue en 1985 au Royaume-Uni, puis s’est propagée ensuite dans les autres pays européens et en particulier en France (premier cas identifié en 1990). La tremblante des ovins est en revanche connue depuis plus de deux siècles en Europe. Elle se distingue de l’ESB par sa contagiosité et la distribution de la protéine prion pathologique PrPsc dans les tissus périphériques. L’agent de l’ESB est transmissible des bovins à l’homme chez lequel il provoque une forme particulière (variant) de la maladie de Creutzfeldt-Jakob. En revanche, l’agent de la tremblante ovine semble sans danger pour l’homme. Jusqu’en 1992, date du premier rapport réalisé à la demande du ministre de la recherche, Hubert Curien, par une commission de 9 chercheurs présidée par Dominique Dormont, les recherches poursuivies en France sur les ESST étaient le fait d’un petit réseau informel qui a été à l’origine d’un premier programme de recherches piloté par l’INSERM. L’annonce faite le 20 mars 1996 par les autorités du Royaume-Uni que 10 britanniques venaient de succomber à une variante de la maladie de Creutzfeldt-Jakob liée à l’ESB, entraîne une crise de confiance sans précédent des consommateurs. Interpellée, la communauté scientifique incluant l’INRA est alors brutalement placée devant un ensemble de questions nouvelles qui l’oblige à recentrer sa stratégie en termes d’expertise collective. La mise en place à cette occasion, du comité interministériel d’experts sur les ESST animé par Dominique Dormont (et auquel 8 chercheurs INRA participaient) a été un facteur très important dans la mobilisation de la communauté scientifique française et en particulier de l’INRA (voir à ce sujet l’analyse critique du fonctionnement de ce comité interministériel faite par Jacqueline Estades et Elisabeth Rémy dans l’ouvrage « l’expertise en pratique : les risques liés à la vache folle et aux rayonnements ionisants », 249 pages, L’Harmattan éditeur, Novembre 2003). Depuis 1993, les chercheurs INRA du département de génétique animale réfléchissaient aux conditions de développement de projets de recherche nouveaux sur les maladies à prions et en particulier sur la tremblante ovine qui sévissait de façon spectaculaire dans un troupeau ovin expérimental (domaine INRA de Langlade). Les chercheurs concernés de ce département ont eu un rôle moteur dans la mobilisation ultérieure des autres départements. En effet, à partir de l’automne 1996, des chercheurs INRA appartenant à 6 départements de recherche différents (génétique animale, santé animale, physiologie animale, transformation des produits animaux, hydrobiologie et faune sauvage, économie et sociologie rurale) ont décidé de s’engager dans des projets de recherche centrés sur les maladies à prions. Cet intense effort de mobilisation s’est accompli essentiellement par mobilité thématique (et non pas à la faveur de recrutements nouveaux), ce qui a représenté pour chacun des chercheurs engagés un effort personnel de remise en cause l’obligeant à repartir de zéro dans un domaine totalement nouveau, en abandonnant des recherches où chacun avait acquis un positionnement national et international. Cette mobilisation collective importante a été favorisée par trois facteurs différents : - l’exceptionnelle demande sociétale résultant d’une crise de confiance sans précédent touchant à la fois le consommateur et le citoyen, - l’ensemble des nombreuses questions nouvelles posées par la problématique « prions » qui a profondément excité la curiosité et l’intérêt des chercheurs de disciplines différentes, - et, enfin, la mise en place rapide de nouveaux moyens financiers, à la faveur d’une série d’appels d’offres successifs (INRA en interne, interministériels, GIS Prions, Union Européenne) qui ont exercé un effet incitatif puissant. Dans ce contexte nouveau, les objectifs prioritaires de l‘INRA ont été les suivants : - tout d’abord, créer les conditions optimales pour la mise au point des différents outils indispensables au développement des recherches sur les ESST : . les souris transgéniques pour les infections expérimentales,. les lignées de cultures cellulaires pour la propagation in vitro du prion,. les anticorps monoclonaux anti protéine prion (PrP),. les techniques immunocytohistochimiques pour identifier la protéine prion pathogène PrPsc dans les tissus infectés,. les méthodes de génotypage à grande échelle du gène PrP chez les ovins,. les approches épidémiologiques adaptées,. et surtout toute la logistique appropriée pour la manipulation des prions en toute sécurité au laboratoire et dans les animaleries (souris et gros animaux). - parallèlement, organiser des instances nouvelles pour la coordination (comité d’action incitative programmée, bureau permanent des recherches ESST) et l’animation scientifique interdisciplinaire (séminaires réguliers) de façon à assurer les meilleures conditions pour favoriser les échanges entre les équipes et la cohérence des projets entre eux. - et, enfin, mettre en place des moyens nouveaux en termes de ressources humaines (redéploiements, recrutements). Plus d’une vingtaine d’équipes INRA se sont engagées depuis 1996. A partir des nouveaux outils mis à disposition des différentes équipes, les recherches se développent et les résultats obtenus ont été présentés et discutés lors des séminaires organisés en 1998, 2000 et 2003. Ces résultats ont été valorisés par un nombre important de publications et ont été concrétisés au niveau des applications par la mise au point de tests rapides de diagnostic des ESST (contribution au test Biorad pour l’ESB, convention avec l’Institut Pourquier pour la tremblante ovine) ainsi que par un plan ambitieux de contrôle génétique et d’éradication de la tremblante dans les troupeaux ovins français. Dans le domaine de la biosécurité du retraitement des farines animales, un brevet a été pris en mars 2004. A l’issue du dernier séminaire, la direction scientifique Animal et Produits Animaux a décidé de valoriser l’ensemble des résultats obtenus et des connaissances en découlant, par la réalisation de ce numéro hors-série. L’objectif était de présenter au plus grand nombre l’ensemble des avancées scientifiques et des axes de recherche actuels sur les prions, menés dans les différentes disciplines. Ce numéro hors-série de la revue « Productions Animales » comprend 7 chapitres structurés autour des questions nouvelles que les chercheurs se sont attachés à résoudre : les animaux modèles, la caractérisation des souches et la nature de l’agent, la protéine prion cellulaire, la pathogénie des ESST, la variabilité de la résistance aux ESST et enfin l’épidémiologie et la lutte contre les ESST. En outre à la fin du numéro, figurent des annexes présentant successivement : la liste des publications scientifiques réalisées à partir des résultats obtenus, la liste des séminaires scientifiques organisés en interne, et enfin la liste des 18 projets scientifiques européens dans le domaine des ESST, impliquant des équipes INRA comme coordinateur ou comme partenaire, illustrant ainsi leur positionnement international.
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Comoy, E. E., N. Jaffré, J. Mikol, V. Durand, S. Luccantoni-Freire, E. Correia, C. Jas-Duval et al. « Induction d’une maladie neurologique transmissible sans accumulation de protéine du prion chez des primates inoculés avec des dérivés sanguins contaminés : un nouveau risque transfusionnel lié aux prions ? » Transfusion Clinique et Biologique 20, no 3 (juin 2013) : 267. http://dx.doi.org/10.1016/j.tracli.2013.04.052.

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SARRADIN, P., et H. LAUDE. « Diversité des souches d’Encéphalopathie Spongiforme Transmissible chez les ruminants : enjeux, bilan et perspectives ». INRAE Productions Animales 17, HS (19 décembre 2004) : 13–20. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2004.17.hs.3617.

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Résumé :
Les Encéphalopathies Spongiformes Transmissibles (EST) ou maladies à prion se caractérisent par l’accumulation dans le tissu nerveux d’une forme anormalement repliée d’une protéine cellulaire de l’hôte, la PrPc. Cette isoforme anormale, ou PrPsc, supposée responsable des désordres neurodégénératifs observés, est aussi assimilée par de nombreux auteurs à l’agent transmissible lui-même, lequel serait alors dépourvu de génome et se propagerait de manière épigénétique. Un phénomène au coeur des recherches sur les EST est l’existence de variants phénotypiques, ou souches. Les souches de prions peuvent être différenciées entre elles sur une base biologique, par la nature des manifestations anatomo-pathologiques engendrées lors de leur propagation chez un même hôte, en particulier une lignée pure de souris, et sur une base biochimique, par le profil moléculaire de la PrPsc présente dans le cerveau des individus atteints. Le déterminisme biologique et moléculaire de cette diversité et la dynamique évolutive qu’elle suggère demeurent largement incompris. De ce fait, la caractérisation des souches qui infectent les espèces naturellement atteintes par les EST constitue une tâche relativement ardue, au demeurant essentielle à la compréhension de l’épidémiologie de ces maladies, à leur contrôle sur le terrain et à la protection de la santé humaine. Les recherches menées à l’INRA visent à documenter la diversité des souches d’EST chez les petits ruminants par typage des isolats de tremblante naturelle, et à mieux comprendre le déterminisme de cette diversité. Elles ont également pour objectif l’amélioration des méthodes actuelles de typage en termes de rapidité et de fiabilité, notamment à travers le développement de souris transgéniques plus réceptives à la transmission que les souris conventionnelles.
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LEPAGE, C., H. RABESONA, S. KOZIN, A. BLOND, T. HAERTLE, P. DEBEY et S. REBUFFAT. « Approche physicochimique de la structure de la protéine prion PrPc : Plasticité conformationnelle de peptides de la région 121-170 (H1-S2) de la protéine prion ovine ». INRAE Productions Animales 17, HS (20 décembre 2004) : 39–44. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2004.17.hs.3624.

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Résumé :
Le passage de la forme non pathogène de la protéine prion normalement présente chez l’individu sain (PrPC) vers la forme pathogène (PrPSc) se traduit par une augmentation de la proportion de feuillet bêta dans la protéine, favorisant son agrégation, la formation de fibrilles et la résistance à la protéinase K. La structure tridimensionnelle de PrPC, déterminée pour quatre espèces, est extrêmement conservée. Elle comporte un segment désordonné et très flexible à l’extrémité N-terminale et une partie globulaire, constituée de deux brins bêta (S1, S2) et de trois hélices alpha (H1 à H3) associés par des boucles (L1 à L5). Le fragment de la protéine correspondant à l’hélice H1 se structure en hélice de façon autonome. En revanche, le peptide comportant la région H1-L3- S2 (PrPH1-L3-S2) montre, comme la protéine, une capacité à adopter différentes conformations. Ces résultats contribuent à proposer l’hélice H1 comme l’un des motifs structuraux de la protéine capables d’initier la transconformation, c’est-à-dire la transformation de la protéine prion normale en protéine prion pathogène. Le rôle clé de l’hélice H1 dans la transconformation a été étayé par une série d’études physicochimiques, détaillées dans l’article, réalisées à l’aide d’une série de peptides de tailles variées (9 à 33 résidus, séquence ovine) ciblés sur la région [133-165] qui comporte la succession des motifs structuraux L2-H1-L3-S2. Les principaux résultats de cette étude montrent la grande stabilité de l’hélice H1, en particulier en présence de la boucle L2 ou des deux boucles L2 et L3. L’absence de la boucle L2 et la présence du brin bêta S2 sont en revanche des facteurs de déstabilisation de l’hélice H1. La boucle L2 pourrait d’ailleurs jouer un rôle tout particulier comme le suggère l’observation d’une interaction entre cette boucle et la protéine PrPC. Une telle interaction pourrait être mise en jeu dans les mécanismes intervenant dans l’interaction protéine prion saine/protéine prion pathogène impliquée dans la propagation de la maladie. Ces résultats, qui devront être confirmés et développés, conduisent à proposer la boucle L2 et le feuillet S2 comme deux régions assurant la «régulation» de la stabilité de l’hélice H1, qui apparaît comme une région clef dans les processus de conversion pathogène.
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JOLY, J. S., V. NGUYEN et F. BOURRAT. « Conservation des ’prions’ chez les Vertébrés ». INRAE Productions Animales 14, no 2 (16 avril 2001) : 91–96. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2001.14.2.3728.

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Résumé :
Le terme prion a tendance à être utilisé pour désigner un nombre de plus en plus vaste de protéines souvent très divergentes. L’état actuel des connaissances permet de conclure à l’existence de ’prions’ potentiellement pathogènes chez les Mammifères uniquement. Des protéines de la même famille ont été trouvées chez les Oiseaux et les Tortues. Enfin, aucun homologue des ’prions’ n’a pu être mis en évidence chez les Poissons, en dépit de recherches approfondies. Une révision de la nomenclature de ces molécules semble donc s’imposer, à des fins de précision scientifique et d’information claire du public.
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GATTI, J. L., J. L. VILOTTE, M. OLLIVIER-BOUSQUET et M. ELOIT. « Recherche d’une rôle physiologique pour la protéine prion cellulaire (PrPc) ». INRAE Productions Animales 17, HS (20 décembre 2004) : 55–60. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2004.17.hs.3628.

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Résumé :
De nombreuses études sont menées pour élucider le mécanisme de la transformation de la protéine prion normale (PrPc) en protéine pathogène résistante aux protéases (PrPres) et pour comprendre comment l’accumulation de cette PrPres peut induire les dégénérescences nerveuses observées lors des Encéphalopathies Spongiformes Transmissibles (EST). Cependant, la protéine prion est une protéine ubiquitaire présente dans de nombreux tissus autres que le tissu nerveux et le rôle cellulaire «normal» joué par cette PrPc est très controversé et reste encore une énigme. Différentes équipes INRA utilisent leurs compétences en physiologie pour établir la présence et les voies de sécrétions de la protéine prion normale dans différents organes. Ces études se font en utilisant des modèles animaux et cellulaires classiques, mais aussi des souris où le gène codant pour la protéine prion est supprimé (PrP-/-) ou sa quantité sur-exprimée par introduction de multiples copies de ce gène. Ceci permettra d’une part d’étudier le ou les rôles possibles de cette protéine dans les différents tissus et fluides biologiques (protection contre le stress oxydatif, transport de métaux, signalisation cellulaire, etc.), d’autre part de rechercher si lors de l’infection, de la protéine prion pathogène est retrouvée dans certains de ces fluides biologiques tels que le lait et le sperme. En effet, si les études passées n’ont jamais montré de protéine prion pathogène dans ces fluides, des travaux utilisant des méthodes plus sensibles sont nécessaires pour confirmer ces résultats.
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Lehmann, Sylvain. « La Protéine du Prion ». Journal de la Société de Biologie 196, no 4 (2002) : 309–12. http://dx.doi.org/10.1051/jbio/2002196040309.

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Petit, G. « L’alpha synucléine, une protéine prion ? » Revue Neurologique 170 (avril 2014) : A235. http://dx.doi.org/10.1016/j.neurol.2014.01.534.

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REZAEI, H., J. GROSCLAUDE, F. EGHIAIAN, T. HAERTLE, M. MARDEN, M. KNOSSOW et P. DEBEY. « Lien entre type génétique et résistance des ovins à la Tremblante : une approche structurale et physico-chimique ». INRAE Productions Animales 17, HS (20 décembre 2004) : 45–50. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2004.17.hs.3626.

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Résumé :
Le polymorphisme génétique de la protéine prion ovine associé à des degrés divers de résistance ou de sensibilité à la tremblante ouvre une voie féconde pour comprendre le lien entre les propriétés structurales de la protéine et le mécanisme du développement de la pathologie. Les travaux menés par les équipes de l’INRA, en collaboration avec d’autres équipes nationales, ont apporté des renseignements inattendus sur la stabilité et la convertibilité des variants naturellement rencontrés dans les troupeaux européens. Les mécanismes, au niveau atomique, sous-tendant ces caractéristiques ont pu être explicités par la détermination cristallographique de la structure tri-dimensionnelle de la protéine ovine, apportant en même temps une première information expérimentale sur la structure de la protéine pathologique. Des formes intermédiaires de repliement, sous forme d’oligomères solubles, ont pu être isolées in vitro, et se sont révélées neurotoxiques, ouvrant de nouvelles pistes de recherche vers les déterminants respectifs de la mort neuronale et de la réplication du prion.
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LANTIER, F., D. MARC, P. SARRADIN, P. BERTHON, R. MERCEY, F. EYCHENNE, O. ANDREOLETTI, F. SCHELCHER et J. M. ELSEN. « Le diagnostic des encéphalopathies spongiformes chez les ruminants ». INRAE Productions Animales 17, HS (20 décembre 2004) : 79–85. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2004.17.hs.3632.

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Résumé :
Le diagnostic des Encéphalopathies Spongiformes Transmissibles (EST) des ruminants est aujourd’hui basé sur la mise en évidence de l’isoforme pathologique, résistante à la protéinase K, de la protéine PrP, la PrPres. La PrPres peut être mise en évidence in situ, à l’aide de techniques immunohistochimiques ou, bien après extraction et traitement à la protéinase K, par des techniques immunochimiques (western blot, Enzyme Linked ImmunoSorbent Assay). Si le diagnostic de routine des encéphalopathies spongiformes animales a fait de gros progrès ces dernières années, il demeure un diagnostic post-mortem qui n’est applicable qu’aux tissus nerveux d’animaux suffisamment âgés pour permettre la formation de dépôts de PrPres dans le système nerveux central. La biopsie d’amygdales offre une possibilité de diagnostic ante-mortem chez les seuls animaux dont le tissu lymphoïde présente une accumulation de PrPres, les ovins génétiquement sensibles et la chèvre. Deux voies de développement des tests sont poursuivies actuellement : d’une part la mise au point d’un diagnostic sanguin précoce basé sur la détection de PrPres ou d’un autre marqueur spécifique de l’incubation d’une EST, et d’autre part des tests permettant de distinguer entre elles les souches de prion, notamment la souche Encéphalopathie Spongiforme Bovine (ESB). Ces évolutions constitueraient un progrès considérable pour notre compréhension des modes de transmission des EST et pour l’efficacité de la prophylaxie sanitaire.
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Cazaubon, Sylvie, Pedro Viegas et Pierre-Olivier Couraud. « Fonctions de la protéine prion PrPc ». médecine/sciences 23, no 8-9 (août 2007) : 741–45. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/20072389741.

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Bousset, Luc, et Ronald Melki. « Protéines prions : propriétés de repliement et d’agrégation ». médecine/sciences 21, no 6-7 (juin 2005) : 634–40. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2005216-7634.

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Chebassier, C., S. Mouillet-Richard, J. L. Laplanche, O. Kellermann et J. M. Launay. « Une fonction de signalisation pour la protéine Prion ». Pathologie Biologie 49, no 3 (janvier 2001) : 191–93. http://dx.doi.org/10.1016/s0369-8114(01)00127-4.

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Liautard, Jean-Pierre, Maria-Teresa Alvarez-Martinez, Cécile Féraudet et Joan Torrent. « La protéine prion : structure, dynamique et conversionin vitro ». médecine/sciences 18, no 1 (janvier 2002) : 62–69. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/200218162.

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Liautard, JP. « Les prions sont-ils des protéines chaperonnes mal repliées ? » médecine/sciences 8, no 1 (1992) : 55. http://dx.doi.org/10.4267/10608/3042.

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Hauw, Jean-Jacques, Stéphane HaÏk et Jean-Philippe Brandel. « Prions et transconformation protéique : une perspective historique ». Bulletin de l'Académie Nationale de Médecine 199, no 6 (juin 2015) : 787–96. http://dx.doi.org/10.1016/s0001-4079(19)30881-7.

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Dreyfus, JC. « Un variant de protéine-prion dans une maladie génétique ». médecine/sciences 5, no 6 (1989) : 429. http://dx.doi.org/10.4267/10608/3997.

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Alain, Mangé, et Lehmann Sylvain. « Nouveaux aspects de la biologie de la protéine prion ». médecine/sciences 18, no 12 (décembre 2002) : 1267–75. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/200218121267.

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Dupuis, Luc, et Jean-Philippe Loeffler. « Protéine cellulaire du prion : au-delà des encéphalopathies spongiformes ». médecine/sciences 19, no 8-9 (août 2003) : 783–85. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/20031989783.

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Rachidi, W., J. Riondel, H. M. McMahon et A. Favier. « La protéine du prion et le cuivre : un lien mystérieux ». Pathologie Biologie 53, no 4 (mai 2005) : 244–50. http://dx.doi.org/10.1016/j.patbio.2003.10.003.

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Gharbi, M., M. Akrout et B. Zouari. « [Food intake during and outside Ramadan] ». Eastern Mediterranean Health Journal 9, no 1-2 (2 avril 2003) : 131–40. http://dx.doi.org/10.26719/2003.9.1-2.131.

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Résumé :
Nous avons exploré l’effet du jeune durant la mois de ramadan sur les habitudes alimentaires d’un groupe de 130 adultes en bonne santé, Pendant le ramadan, il y a une augmentation de la ration énergetique totale chez les étudiants et les parents, du fait d’un apport protéique et lipidique mais non glucidique, par rapport à l’alimentation pendant le reste de l’année. Le repas de rupture du jeune couvre à lui seul 65 % de la ration énergétique, 74 % de la ration lipidique, 71 % de la ration protéique et 56 % de la ration glucidique. Ces résultats montrent que le comportement alimentaire pendant le ramadan peut contribuer à l’amélioration de l’état nutritionnel des personnes à risque de carence nutritionnelle
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25

Maddelein, Marie-Lise. « Les agrégats amyloïdes de la protéine prion HET-s sont infectieux ». médecine/sciences 18, no 12 (décembre 2002) : 1187–89. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/200218121187.

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26

Adle-Biassette, H., C. Verney, H. Budka, M. C. Dauge, L. Choudat, F. Razavi, P. Gressin et D. Henin. « L’expression de la protéine Prion cellulaire au cours du développement chez l’homme ». Annales de Pathologie 24 (novembre 2004) : 133. http://dx.doi.org/10.1016/s0242-6498(04)94117-x.

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27

Genoud, Nicolas. « Maladies à prion : la protéine saine se lie à la forme pathogène ». médecine/sciences 19, no 12 (décembre 2003) : 1195–96. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/200319121195.

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Schneider, Benoît, Mathéa Pietri, Myriam Ermonval, Sophie Mouillet-Richard et Odile Kellermann. « Contrôler l’équilibre redox cellulaire : une fonction ubiquitaire pour la protéine prion cellulaire ? » médecine/sciences 20, no 1 (janvier 2004) : 21–23. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/200420121.

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29

Lehmann, Sylvain, et Ollivier Milhavet. « Protéine du prion cellulaire et forme scrapie : laquelle sera la plus toxique ? » médecine/sciences 20, no 5 (mai 2004) : 514–15. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2004205514.

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30

Brigitte, Madly, et Fabrice Chrétien. « La structure de la protéine prion et la relation avec son infectiosité ». médecine/sciences 21, no 10 (octobre 2005) : 806–7. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/20052110806.

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31

MANFREDI, E., et T. ÅDNØY. « Génétique des caprins laitiers ». INRAE Productions Animales 25, no 3 (25 août 2012) : 233–44. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2012.25.3.3212.

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Résumé :
Cette revue bibliographique couvre deux aspects de la génétique des caprins laitiers : la variabilité génétique des caractères et l’améliorationgénétique. La majorité des connaissances sur le déterminisme génétique des caractères chez les caprins est issue de l’approche«polygénique» car les outils génériques de la génétique moléculaire sont encore limités dans cette espèce. Toutefois, nous discutonsici surtout les résultats sur quelques gènes bien étudiés en caprins, comme ceux des caséines, de la protéine prion et du cornage.Pour l’amélioration génétique, nous rappelons des principes généraux des méthodes de sélection avec ou sans données moléculaires,avant de discuter les programmes de sélection caprine actuels et leurs perspectives.
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Lehmann, S. « Le rôle de la protéine du prion dans les encéphalopathies spongiformes transmissibles humaines. » médecine/sciences 12, no 8-9 (1996) : 949. http://dx.doi.org/10.4267/10608/852.

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33

Lasmézas, CI, JP Deslys, D. Dormont et S. Weiss. « Une première étape dans l'identification de récepteurs cellulaires de la protéine du prion. » médecine/sciences 14, no 5 (1998) : 595. http://dx.doi.org/10.4267/10608/1098.

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Goggin, Kevin, et Xavier Roucou. « La protéine prion ne se fait pas prier pour faire des agrégats moléculaires ». médecine/sciences 22, no 12 (décembre 2006) : 1013–14. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/200622121013.

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Mouillet-Richard, S., et O. Kellermann. « Les pistes pour débusquer le rôle de la protéine prion dans les cellules neuronales. » médecine/sciences 17, no 3 (2001) : 402. http://dx.doi.org/10.4267/10608/1937.

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Langevin, C., A. Le Dur, S. Maillet, M. Labetoulle, H. Laude et V. Beringue. « 029 Distribution cérébrale de la protéine prion pathologique après infection intraoculaire avec différentes souches ». Journal Français d'Ophtalmologie 28 (mars 2005) : 154. http://dx.doi.org/10.1016/s0181-5512(05)74425-9.

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Ballan, Guillaume, Olivier Flabeau, Frédéric Bourdain, Julia Potenza De Saulty, Stephane Haik, Stéphanie Bannier et Emmanuel Ellie. « La méthode « Real-Time Quaking Induced Conversion » pour la protéine prion, un examen à connaître ». Revue Neurologique 176 (septembre 2020) : S5—S6. http://dx.doi.org/10.1016/j.neurol.2020.01.062.

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38

Basset-Leobon, C., E. Uro-Coste, K. Peoc’h, S. Haïk, V. Sazdovitch, O. Andreotti, O. Rigal, J.-J. Hauw et M. B. Delisle. « Maladie de Creutzfeldt-Jakob associée à une mutation R58H du gène de la protéine prion ». Revue Neurologique 161, no 12 (décembre 2005) : 1233. http://dx.doi.org/10.1016/s0035-3787(05)85205-1.

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Kahn, A. « Dernière heure : Quel est le rôle physiopathologique de la protéine prion PrPsc dans l'encéphalopathie spongiforme bovine ? » médecine/sciences 13, no 2 (1997) : 287. http://dx.doi.org/10.4267/10608/362.

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Peoc’h, K., et S. Lehmann. « Protéine 14-3-3 : place de sa détection dans le diagnostic des maladies à prion humaines ». EMC - Biologie Médicale 9, no 3 (2014) : 1–9. https://doi.org/10.1016/s2211-9698(14)59250-3.

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ELSEN, J. M., F. BARILLET, J. VU TIEN KHANG, F. SCHELCHER, Y. AMIGUES, J. L. LAPLANCHE, J. P. POIVEY et F. EYCHENNE. « Génétique de la sensibilité à la tremblante ovine : recherches en cours et perspectives ». INRAE Productions Animales 10, no 2 (7 avril 1997) : 133–40. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1997.10.2.3989.

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Résumé :
Dans plusieurs espèces (homme, souris, mouton), la sensibilité aux encéphalopathies spongiformes subaiguës transmissibles (ESST) est largement contrôlée par le génotype de l’hôte. Une part majeure de la variabilité génétique observée vient d’un gène, dont plusieurs arguments permettent de penser qu’il s’agit du gène Prn-pcodant pour la protéine prion PrP, qui pourrait, selon certains auteurs, être l’agent causal de ces pathologies ou être associé à ce dernier. L’analyse moléculaire de la structure du gène Prn-p chez le mouton montre la ségrégation d’allèles différant les uns des autres par une mutation ponctuelle. Une sélection pour la résistance à la tremblante, basée sur des analyses en laboratoire du gène Prn-p, est donc envisageable dans cette espèce. La mise en place d’une telle sélection pose cependant plusieurs problèmes théoriques et pratiques : les animaux résistants pourraient-ils constituer un réservoir d’infection ? Les animaux résistants à une souche de tremblante pourraient-ils se révéler sensibles à une autre ? Le coût de cette sélection est-il acceptable ? Comment l’organiser au mieux ?
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Dreyfus, JC. « Une mutation de la protéine prion, fréquente chez les Juifs d'origine libyenne atteints de la maladie de Creutzfeldt-Jakob ». médecine/sciences 7, no 6 (1991) : 626. http://dx.doi.org/10.4267/10608/4422.

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Adle-biassette, H., A. Monier, P. Gressens, C. Verney et D. Hénin. « Expression de la protéine prion cellulaire (PRPC) dans les cellules microgliales/macrophagiques du système nerveux au cours du dévelopement ». Annales de Pathologie 26 (novembre 2006) : 152. http://dx.doi.org/10.1016/s0242-6498(06)78504-2.

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DUCROT, C., J. CABARET, S. TOUZEAU, D. ABRIAL, C. JACOB, H. QUIQUAMPOIX, J. GROSCLAUDE et L. GRUNER. « Epidémiologie de la tremblante et de l’Encéphalopathie Spongiforme Bovine en France ». INRAE Productions Animales 17, HS (20 décembre 2004) : 67–76. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2004.17.hs.3630.

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Résumé :
Après avoir brossé un tableau des connaissances actuelles sur les sources de contamination et les voies de transmission des Encéphalopathies Spongiformes Transmissibles (EST), l’article présente l’éventail des travaux réalisés à l’INRA sur la résistance de l’agent pathogène dans le milieu extérieur, les sources d’infection, les voies de transmission et la dynamique de la maladie dans les populations animales, en matière de tremblante et d’Encéphalopathie Spongiforme Bovine (ESB). Ces travaux sont menés en collaboration avec de nombreuses équipes nationales et internationales, à travers des projets scientifiques nationaux et européens. Trois approches complémentaires sont poursuivies. Des travaux expérimentaux portent sur la rémanence et la dispersion de la protéine prion dans le sol, ainsi que sur le rôle possible des nématodes parasites dans la contamination des animaux. Des études épidémiologiques de terrain sont conduites pour analyser les facteurs de transmission de la tremblante, relatifs aux rongeurs, acariens du foin, parasites, pratiques d’élevage au sens large et voisinage, et de l’ESB, focalisées sur le rôle de l’alimentation. Enfin, divers modèles mathématiques basés sur les données de terrain permettent de simuler le devenir à long terme des épidémies de tremblante et d’ESB selon différents scénarii, ou de tester certaines hypothèses biologiques quant aux sources de contamination. Les encadrés apportent des éclairages et des résultats sur plusieurs de ces études.
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N. J., Anyanwu, Egbuawa C. E. et Ekette I. E. « An Assessment and Nutritional Quality of the Varieties of Roughage Feeds Sold in Selected Livestock Markets in Owerri and Port Harcourt Cities in Nigeria ». Nigerian Journal of Animal Production 50, no 4 (9 octobre 2024) : 28–34. https://doi.org/10.51791/njap.v50i4.8014.

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Résumé :
Roughages are an indispensable component in ruminant nutrition because a proper balance of fibre and readily available carbohydrates is essential for efficient rumen function. Unlike feeds high in starches and sugars that digest very quickly with the attendant risk of bloating, fibrous feeds digest much slowly and provide the proper environment for rumen digestion. Fibrous feeds ensure higher quality of milk by increasing the contents of milk fat. This study was aimed at assessing the varieties and nutritional quality of roughage feeds sold for ruminant feeding in selected livestock markets in cities of Port Harcourt and Owerri. The study involved visits to the different markets and engagement of the traders in a face to face interview using structured questionnaires. The results of a survey of four markets in each of the cities revealed that groundnut haulms, cowpea haulms, cowpea husks, sorghum grain husks, sorghum brewers’ grain (dusa) are feed materials on sale. The socioeconomic characteristics of the dealers revealed that 90% of them were youths aged between 21 to 50 years with limited education Samples of some of the feed materials identified were subjected to proximate analysis and revealed dry matter range of 85.00-89.51% with sorghum grain husks (sorghum tops) having the lowest DM content and sorghum brewers grain having the highest. Groundnut haulms were the most common and had the highest crude protein content while sorghum grain husks (chaff) had the lowest crude protein content with values of 11.90 and 4.90%, respectively. Ether extract ranged from 0.41-5.5%, crude fibre ranged from 4.1% in sorghum brewers’ grain to 33.40% in cowpea haulms. Sorghum brewers’ grain had the lowest percentage ash with 4.23 and groundnut haulms had the highest value of 8.30%. There was absence of standard packaging of the roughage feeds on sale in the market. The feeds of variable particle lengths and sizes were packaged in grain sacs of variable nature, and without a product label. Conclusively, groundnut haulms had highest aggregate demand and also commanded highest market price followed by cowpea haulms. The proximate analysis also revealed marginally higher contents of crude protein for the groundnut haulms. Prices of the roughage feeds were greatly influenced by quality and cost of transportation since supplies came from the northern part of Nigeria. The market could be improved by standard packaging of the roughage feed materials in line with international best practices. Les aliments fibreux sont un composant indispensable dans la nutrition des ruminants car un équilibre adéquat entre les fibres et les glucides facilement disponibles est essentiel pour un bon fonctionnement du rumen. Contrairement aux aliments riches en amidons et en sucres qui se digèrent très rapidement avec le risque de ballonnement qui en découle, les aliments fibreux se digèrent beaucoup plus lentement et fournissent l’environnement adéquat pour la digestion du rumen. Les aliments fibreux garantissent une qualité supérieure du lait en augmentant la teneur en matières grasses du lait. Cette étude visait à évaluer les variétés et la qualité nutritionnelle des aliments fibreux vendus pour l’alimentation des ruminants dans certains marchés de bétail des villes de Port Harcourt et Owerri. L’étude a impliqué des visites dans différents marchés et l’engagement des commerçants dans des entretiens en face à face à l’aide de questionnaires structurés. Les résultats d’une enquête sur quatre marchés dans chacune des villes ont révélé que les fanes d’arachide, les fanes de niébé, les cosses de niébé, les cosses de sorgho, les grains de brasseur de sorgho (dusa) sont des matériaux d’alimentation en vente. Les caractéristiques socioéconomiques des commerçants ont révélé que 90 % d’entre eux étaient des jeunes âgés de 21 à 50 ans avec une éducation limitée. Des échantillons de certains des matériaux d’alimentation identifiés ont été soumis à une analyse proximale et ont révélé une teneur en matière sèche allant de 85,00 à 89,51 %, les cosses de sorgho ayant la teneur en MS la plus basse et les grains de brasseur de sorgho ayant la plus haute. Les fanes d’arachide étaient les plus courantes et avaient la teneur en protéines brutes la plus élevée tandis que les cosses de sorgho avaient la teneur en protéines brutes la plus basse avec des valeurs de 11,90 et 4,90 %, respectivement. L’extrait éthéré variait de 0,41 à 5,5 %, la fibre brute variait de 4,1 % dans les grains de brasseur de sorgho à 33,40 % dans les fanes de niébé. Les grains de brasseur de sorgho avaient le pourcentage de cendres le plus bas avec 4,23 et les fanes d’arachide avaient la valeur la plus élevée de 8,30 %. Il n’y avait pas d’emballage standard des aliments fibreux en vente sur le marché. Les aliments de longueurs et tailles de particules variables étaient emballés dans des sacs à grains de nature variable, et sans étiquette de produit. En conclusion, les fanes d’arachide avaient la plus forte demande globale et commandaient également le prix de marché le plus élevé, suivies des fanes de niébé. L’analyse proximale a également révélé des contenus légèrement plus élevés de protéines brutes pour les fanes d’arachide. Les prix des aliments fibreux étaient fortement influencés par la qualité et le coût du transport puisque les approvisionnements provenaient du nord du Nigéria. Le marché pourrait être amélioré par un emballage standard des matériaux d’alimentation fibreux conformément aux meilleures pratiques internationales.
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V. O., Adelowo, Oshibanjo D. O., Okpara J. O., Adediran O. A. et David F. « Quality and physicochemical characteristics of quails eggs obtained from quail hens fed diets containing graded levels of African black olive (Canarium schweinfurthil) leaf meal ». Nigerian Journal of Animal Production 49, no 6 (11 septembre 2023) : 57–67. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v49i6.3854.

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Résumé :
The poultry industry in the developing countries is facing some challenges one of which is increase in the cost of feed because of high prices of protein and energy sources. The incorporation of leaf meal is primarily expected to serve as alterative to protein and energy sources which could reduce the use of expensive protein-rich feed ingredients in broiler rations and, hence, reduce the cost of feeds. Therefore, this study seeks to evaluate the quality and physicochemical characteristics of quails eggs obtained from quail hens fed diets containing graded levels of African black olive (Canarium schweinfurthil) leaf meal. A total of 200 quail hens was used for this study. The hens were fed five dietary treatments with inclusion of African black olive leaf meal (ABOLM); Treatment (1), control, Treatment (2) 2.5%. ABOLM Treatment (3) 5.0%. ABOLM, Treatment (4) 7.5%. ABOLM and Treatment (5) 10.0%. ABOLM. There was no significant difference in yolk weight, yolk diameter, yolk ratio and yolk index. Yolk height was significantly higher in 2.5% African black olive leaf meal (ABOLM) (8.20 mm) with least yolk height in 10.0% ABOLM. Yolk colour was higher in Treatment 3 with lowest yolk colour in 2.5% ABOLM. Yolk PH was significantly higher in 5.0% ABOLM compared to other treatments. Oxidative rancidity was significantly higher in 7.5% ABOLM with least value obtained in 10.0% ABOLM. There were no significant differences obtained in all the parameters measured for the egg albumen characteristics. There was no significant difference in egg weight, length and width, yolk colour, albumen weight, height, length shape index and egg surface area. Yolk weight, yolk diameter, yolk ratio and oxidative rancidity were higher at day 5 with least value obtained at day 0. Meanwhile, day 0 was significant higher in yolk height, yolk index, albumen ratio and index, haugh unit, albumen and yolk PH. No significant differences were obtained in egg weight, length and width while shape index was significantly different with control at day 0 having the highest score (81.84) with least shape index in 5.0% Atili-based diet at day 5 (75.00). In all the yolk parameters measured, yolk ratio significantly differed in 2.5% and 7.5% ABOLM at day 5 respectively (31.67 %) with least yolk ratio obtained in 7.5% ABOLM at day 0 (21.48%). There was no significant difference observed in haugh unit, egg surface area, albumen and yolk PH. Where as, 2.5% ABOLM was significantly higher in oxidative rancidity at day 5 (1.05mg/g) with least oxidative rancidity in the same treatment at day 0. From the results obtained, quails can be fed up to 10.0% Atili leaf meal and their eggs kept to 10 days without any adverse effect on their quality. L'industrie de la volaille dans les pays en développement est confrontée à certains défis dont l'un est l'augmentation du coût des aliments en raison des prix élevés des protéines et des sources d'énergie. L'incorporation de farine de feuilles devrait principalement servir d'alternative aux sources de protéines et d'énergie qui pourraient réduire l'utilisation d'ingrédients alimentaires riches en protéines coûteux dans les rations de poulets de chair et, par conséquent, réduire le coût des aliments. Par conséquent, cette étude vise à évaluer la qualité et les caractéristiques physicochimiques des œufs de caille obtenus à partir de poules de caille nourries avec des régimes contenant des niveaux gradués de farine de feuilles d'olive noire africaine (Canarium schweinfurthil). Un total de 200 poules cailles a été utilisé pour cette étude. Les poules ont reçu cinq traitements diététiques avec inclusion de farine de feuilles d'olivier noir africain (FFONA); Traitement (1), témoin, Traitement (2) 2,5 %. Traitement FFONA (3) 5,0%. ABOLM, traitement (4) 7,5 %. FFONA et Traitement (5) 10,0 %. FFONA. Il n'y avait pas de différence significative dans le poids du jaune, le diamètre du jaune, le rapport de jaune et l'indice de jaune. La hauteur du jaune était significativement plus élevée dans la farine de feuilles d'olive noire africaine (ABOLM) à 2, 5% (8, 20 mm) avec la hauteur de jaune la plus faible dans FFONA à 10, 0%. La couleur du jaune était plus élevée dans le traitement 3 avec la couleur du jaune la plus faible dans l'ABOLM à 2,5 %. Le pH du jaune était significativement plus élevé dans FFONA à 5,0 % par rapport aux autres traitements. Le rancissement oxydatif était significativement plus élevé dans l'ABOLM à 7,5 %, la valeur la plus faible étant obtenue dans l'ABOLM à 10,0 %. Il n'y avait pas de différences significatives obtenues dans tous les paramètres mesurés pour les caractéristiques de l'albumine d'œuf. Il n'y avait pas de différence significative dans le poids, la longueur et la largeur des œufs, la couleur du jaune, le poids de l'albumen, la taille, l'indice de forme de la longueur et la surface des œufs. Le poids du jaune, le diamètre du jaune, le rapport du jaune et le rancissement oxydatif étaient plus élevés au jour 5 avec la plus petite valeur obtenue au jour 0. Pendant ce temps, le jour 0 était significativement plus élevé en hauteur du jaune, indice du jaune, rapport et indice d'albumen, unité haugh, albumen et PH du jaune. Aucune différence significative n'a été obtenue dans le poids, la longueur et la largeur des œufs, tandis que l'indice de forme était significativement différent, le témoin au jour 0 ayant le score le plus élevé (81,84) avec le moins d'indice de forme dans un régime à base d'Atili à 5,0 % au jour 5 (75,00). Dans tous les paramètres de jaune mesurés, le rapport de jaune différait significativement dans 2,5 % et 7,5 % FFONA au jour 5 respectivement (31,67 %) avec le moins de rapport de jaune obtenu dans 7,5 % FFONA au jour 0 (21,48 %). Aucune différence significative n'a été observée dans l'unité haugh, la surface de l'œuf, l'albumen et le pH du jaune. Alors que 2,5 % de FFONA présentaient un rancissement oxydatif significativement plus élevé au jour 5 (1,05 mg/g) avec un rancissement oxydatif moindre dans le même traitement au jour 0. D'après les résultats obtenus, les cailles peuvent être nourries avec jusqu'à 10,0 % de farine de feuilles d'Atili et leur oeufs conservés jusqu'à 10 jours sans aucun effet néfaste sur leur qualité.
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Mwengi, Aiko Ikonso, Bienvenu Kambashi Mutiaka, Jean de Dieu Minengu Mayulu, Sylvain Shomba Kinyamba, Jérôme Bindelle, Rudy Caparros Megido, Lucille Gretry, Olivier Luminet et Apollinaire Biloso Moyene. « Représentations sociales de la consommation d’insectes en République Démocratique du Congo : est-ce une habitude alimentaire ou le résultat de contraintes économiques ? » Revue Africaine d’Environnement et d’Agriculture 7, no 2 (24 juillet 2024) : 67–82. http://dx.doi.org/10.4314/rafea.v7i2.8.

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Résumé :
Description de l’étude. La consommation d’insectes en République démocratique du Congo (RDC) semble être culturelle et ne varierait que selon l'emplacement, la population d'insectes et le groupe ethnique. Elle ferait partie intégrante de l’identité culturelle des Congolais.Objectif. L’étude vise à analyser les représentations sociales de la consommation d’insectes en RDC afin de comprendre les déterminants.Méthodes. Les données ont été collectées auprès de 308 ménages moyennant un questionnaire commun et un guide d’entretien pour le focus group, de juillet 2018 à mars 2019.Résultats. Les résultats de l’étude ont montré que les personnes enquêtées ont des perceptions positives sur les insectes. Ainsi, 95,1 % des répondants considèrent les insectes comme un aliment potentiel et une excellente source de protéines et de lipides. Par ailleurs, une partie de personnes interviewées ont des perceptions négatives sur les insectes telles que vecteurs des maladies, ravageurs de cultures etc. Diverses raisons justifient l’intérêt accordé à la consommation des insectes par la majorité des répondants : le goût (78,9 %), la valeur nutritive (76,6 %), les habitudes alimentaires (43,8 %), la disponibilité sur les marchés 26,4 %. L'analyse du test d’indépendance de la consommation d’insectes et quelques caractéristiques sociodémographiques indique que l’état matrimonial, le genre du chef de ménage, le prix sur les marchés, les habitudes alimentaires, la disponibilité des insectes sur les marchés et la valeur nutritive des insectes sont des facteurs influençant la consommation d'insectes par la population de la partie ouest de la RDC.Conclusion. La consommation d'insectes est influencée par les pratiques culturelles de la population enquêtée. Cependant, la saisonnalité de la production naturelle des insectes, la hausse des prix pendant les périodes de rareté et leur collette dans la nature, selon la densité aléatoire des plantes hôtes, représentent les principales contraintes liées aux variations de consommation des insectes. Compte tenu de l'importance économique, écologique et nutritionnelle des insectes comestibles, il convient de recourir à courte terme aux pratiques durables de récolte des insectes afin de préserver leur l'environnement, particulièrement les plantes hôtes. Il s’agit à long terme en parallèle d’envisager leur domestication. Description of the subject. Insect consumption in the Democratic Republic of Congo (DRC) appears to be cultural and would vary only by location, insect population, and ethnic group. It would be an integral part of the cultural identity of the Congolese.Objectives. This study aims to analyze the social representations of insect consumption in the DRC in order to understand the determinants.Methods. Data was collected from 308 households using a common questionnaire and an interview guide for the July 2018 and March 2019 focus groups.Results. The results of the study showed that the people surveyed have positive perceptions about insects. Thus, 95.1% of respondents consider insects as a potential food and an excellent source of proteins and lipids. Furthermore, some of the people interviewed have negative perceptions of insects as vectors of diseases, crop pests, etc. Various reasons justify the interest given to the consumption of insects by the majority of respondents: taste (78.9 %), nutritional value (76.6 %), eating habits (43.8 %), availability on the markets 26.4 %. The analysis of the test of independence of insect consumption and some socio-demographic characteristics indicates that marital status, gender of the head of household, market price, food habits, availability of insects in markets and the nutritional value of insects are factors influencing the consumption of insects by the population of the western part of the DRC.Conclusion The consumption of insects is influenced by the cultural practices of the surveyed population. However, the seasonal nature of the natural production of insects, the rise in prices during periods of scarcity and their collect in nature, according to the random density of host plants, represent the main constraints linked to variations in insect consumption. Given the economic, ecological and nutritional importance of edible insects, it is advisable to resort in the short term to sustainable insect harvesting practices in order to preserve their environment, particularly the host plants. In the long term, it is also a question of considering their domestication.
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Obadire, F. O., A. U. Abubakar, A. O. Osofowora, I. M. Aliyu, K. O. Ibiyowe, I. Ejiofor et A. I. Aliyu. « Growth performance and carcass characteristics of broiler chickens fed four differently processed roselle seed meals (Hibiscus sabdariffa) as partial replacement for soybean meal ». Nigerian Journal of Animal Production 49, no 1 (25 février 2022) : 224–38. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v49i1.3421.

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Résumé :
The constant increment in the prices of conventional protein feed sources have prompted the search for alternative locally feed resources with minimal competition between man and livestock without any deleterious effect on health of the animal. A 56-day feeding trial was conducted to determine the effect of feeding four differently processed roselle seed meals as partial replacement for soybean meal in broiler chicken's diet. One hundred and fifty (150), one day -old (Yammfy, +AA) broiler chicks were randomly allotted to five (5) dietary treatments comprising three replicates and ten chicks per replicate. The experimental diets were formulated with differently processed Roselle Seed Meal [DPRSM] in the diets of broiler chicks at 15% inclusion levels irrespective of the processing methods. The treatments were designated as T1, T2 T3, T4 and T5 as control diet (no roselle seed meal), fermented roselle seed meal (FRSM), boiled roselle seed meal (BRSM), lye roselle seed meal (LRSM) and enzyme roselle seed meal i.e (enzyme + raw roselle seed) (ERSM) respectively. Data obtained were subjected to Analysis of Variance [ANOVA] at 5% level of probability. Feed and water were supplied ad libitum for eight weeks of the experiment. Data were generated for final body weight, total feed intake, daily feed intake (DFI), total weight gain, daily weight gain (DWG), feed conversion ratio and carcass traits. Results of the analysis for growth performance revealed significant (P< 0.05) influence of differently processed roselle seed meal [DPRSM] on final weight gain, total weight gain, daily weight gain, total feed intake, daily feed intake and feed conversion ratio for starter phase. Birds fed control diets and fermented roselle seed meal recorded the higher (P < 0.05) final weight gain, total weight gain and daily weight gain. Also, birds fed control diets recorded the highest total feed intake and daily feed intake which were statistically similar to birds fed fermented roselle seed meal while bird on other processed roselle seed meal recorded the least statistically similar values of TFI% and DFI respectively. Birds fed fermented roselle seed meal recorded the best FCR while birds on boiled roselle seed meal recorded the least value. The result at the finisher phase revealed significant (P< 0.05) effect of processed Roselle seed on DWG and FCR while other growth parameters were not affected (P>0.05) for the treatment imposed. Birds fed control diet and fermented Roselle seed meal had the highest DWG (31.48g and 30.13g). Closely followed were birds fed boiled and lye roselle seed meal (27.94g and 28.78g) while birds fed enzyme roselle seed meal recorded the least value(26.40g). The best FCR was obtained with birds fed control diet, fermented and lye Roselle seed meal. However, the carcass measurements were significantly (p< 0.05) influenced for all the parameters measured except for liver, kidney lungs and shanks. Birds on control diets, fermented and lye processed Roselle seed meal recorded the highest of all these parameters. It was concluded that fermented and lye roselle seed meal at 15% inclusion could be used to partially replace soybean meal in both starter and finisher broiler formulation as it compared favorably with soybean meal for better growth performance and without any detrimental effect on the experimental birds. L'augmentation constante des prix des sources d'alimentation en protéines conventionnelles a suscité la recherche d'alternatives ressources alimentaires localement avec une concurrence minimale entre l'homme et le bétail sans effet délétère sur la santé de l'animal. Un essai d'alimentation de 56 jours a été effectué pour déterminer l'effet de l'alimentation de quatre repas de graines de roselle traitées différemment comme remplacement partiel du repas de soja dans le régime alimentaire du poulet de poulet. Cent cinquante (150), une journée de poulet-pous poussins de gril à cinq (5) traitements diététiques comprenant trois réplicats et dix poussins par réplication. Les régimes expérimentaux ont été formulés avec un repas de graines de roselle traité différemment [RGRTD] dans les régimes de poussins de poulets à gril à 15% de niveaux d'inclusion indépendamment des méthodes de traitement. Les traitements ont été désignés comme T1, T2 T3, T4 et T5 en tant que régime de contrôle (pas de repas de graines de Roselle), repas de graines de roselle fermentés (RGRF), repas de graines de roselle à la boue (RGRB), Repas de graines de Roselle (RGR) et graines de roselle enzymatique Repas, c'est-à-dire (enzyme + graines de roselle brut) (EGRB) respectivement. Les données obtenues ont été soumises à une analyse de la variance [ANOVA] à 5% de probabilité de probabilité. L'alimentation et l'eau ont été fournies publicitaires de Libitum pendant huit semaines de l'expérience. Les données ont été générées pour le poids final, l'apport alimentaire total, la consommation quotidienne d'alimentation (CQA), le gain de poids total, le gain de poids quotidien (GPQ), le ratio de conversion d'alimentation et les traits de carcasse. Les résultats de l'analyse des performances de la croissance ont révélé une influence significative (p <0,05) de la farine de graines de roselle traitées différemment [FGRTD] sur le gain de poids final, le gain de poids total, le gain de poids quotidien, l'apport alimentaire total, l'apport d'alimentation quotidienne et le rapport de conversion d'alimentation pour le démarreur phase. Doits de contrôle de la Fed des oiseaux et repas de semences de roselle fermentés enregistré le gain de poids supérieur (p <0,05), le gain de poids total et le gain de poids quotidien. En outre, les régimes de contrôle de la Fed des oiseaux ont enregistré l'admission totale totale d'alimentation et une prise d'alimentation quotidienne statistiquement similaire à celle des oiseaux nourris à la farine de graines de roselle fermentée tandis que l'oiseau sur un autre repas de graines de roselle transformé a enregistré respectivement les mêmes valeurs statistiquement similaires de TFI% et de DFI. Oiseaux Feed Fermenté RoselleSeed Repas enregistré le meilleur FCR tandis que les oiseaux sur la farine de graines de roselle bouillie ont enregistré la moindre valeur. Le résultat de la phase de finition a révélé un effet significatif (P <0,05) des graines de roselle transformées sur DWG et FCR, tandis que d'autres paramètres de croissance n'ont pas été affectés (p> 0,05) pour le traitement imposé. Un régime de contrôle de la commande des oiseaux et un repas de semences de roselle fermenté présentait le plus haut dwg (31,48 g et 30.13g). Suivi étroitement des oiseaux nourris à la farine de graines de la chaurée et de la lyeRoselle (27,94 g et 28,78 g) tandis que les oiseaux nourris à l'enzyme de graines de roselle ont enregistré la moindre valeur (26.40g). Le meilleur FCR a été obtenu avec un régime alimentaire de contrôle des oiseaux, fermenté et lyeRoselle Graine. Cependant, les mesures de la carcasse étaient significativement (p <0,05) influencées pour tous les paramètres mesurés à l'exception du foie, des poumons de reins et des tiges. Oiseaux sur les régimes de contrôle, fermenté et lonité Roselle Roselle Repas ont enregistré le plus haut de tous ces paramètres. Il a été conclu que le repas de graines de la Roselle fermenté et la lye à 15% d'inclusion pourrait être utilisé pour remplacer partiellement la farine de soja dans la formulation de chalameurs de démarrage et de finition, car elle comparée favorablement au farine de soja pour une meilleure performance de croissance et sans effet néfaste sur les oiseaux expérimentaux.
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MORAND-FEHR, P. M., R. BAUMONT et D. SAUVANT. « Avant-propos : Un dossier sur l’élevage caprin : pourquoi ? » INRAE Productions Animales 25, no 3 (25 août 2012) : 227–32. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2012.25.3.3210.

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Résumé :
Un dossier d’INRA Productions Animales consacré à l’élevage caprin en 2012 peut surprendre. Représentant moins de 1% du produit brut de l’Agriculture Française, cet élevage largement ancré dans son environnement socioculturel local et dans la tradition de terroirs variés, évoque encore, mais de moins en moins, des images du passé comme celle de la «vache du pauvre» ou de la grandmère gardant trois chèvres au bord du chemin. Cet élevage s’est en effet marginalisé au XIXème siècle et dans la première moitié du XXème siècle dans les pays qui s’industrialisaient, notamment en Europe où l’effectif caprin ne représente plus actuellement que 2% du total mondial. De nombreux arguments ont milité pour éditer ce dossier, d’abord la rapide transformation de l’élevage caprin à la fin du XXème siècle et plus encore dans ces premières années du XXIème siècle, ensuite des travaux originaux conduits récemment sur l’espèce caprine, qui sont venus combler le retard important que cette espèce avait accumulé en matière de recherches agronomiques et vétérinaires. A l’échelle mondiale, l’élevage caprin est celui dont les effectifs ont le plus augmenté au cours de ces vingt dernières années (FAOSTAT 2010) : 4ème troupeau mondial avec plus de 900 millions de têtes (470 millions en 1975) derrière les bovins, les ovins et les porcins ; d’après les prévisions, il deviendrait le 3ème autour de 2015. Nombreuses sont les explications à cette situation un peu paradoxale, mais deux sont souvent avancées par les experts. Cette progression actuelle des effectifs caprins s’observe presque exclusivement dans les pays en développement et dans certains pays émergents. Elle serait surtout due aux difficultés que rencontre le maintien de l’élevage des autres espèces domestiques dans ces zones, dans certains cas du fait de l’appauvrissement des éleveurs et des acteurs des filières animales. Cette progression tient aussi au fait que le marché des caprins a une réalité essentiellement locale et que, dans ces conditions, il n’est pas exposé aux crises internationales que le marché des produits des autres espèces a pu subir au cours des quarante dernières années. En Europe, les effectifs caprins sont restés assez stables : 12,5 M de têtes au total, 1,3 M en France dont 1,1 M de femelles laitières âgées de plus d’un an. La France possède le troisième troupeau (10% des effectifs européens), assez loin derrière la Grèce (37%) et l’Espagne (22%). Il convient de noter la progression importante des effectifs caprins en Roumaine et aux Pays-Bas au cours de la dernière décennie. L’élevage caprin européen, et particulièrement l’élevage français, s’est fortement spécialisé en production laitière puisque 75 à 93% environ du produit brut des ateliers caprins en France provient du lait. En effet, la marge brute que dégage la production de chevreaux de boucherie est réduite en raison des coûts des aliments d’allaitement et des aléas liés à la mortalité périnatale. Des avancées dans les techniques d’élevage, notamment dans les domaines de l’alimentation et de la génétique, ont permis des améliorations assez rapides des performances des femelles laitières. La production laitière moyenne des 240 000 chèvres inscrites au contrôle laitier en 2010 était de 842 kg de lait sur une durée moyenne de lactation de 274 jours avec un taux protéique de 32,3 g/kg de lait et un taux butyreux de 37,0 g/kg de lait. Le plus intéressant à noter, c’est qu’en dix ans la production laitière annuelle au contrôle laitier a progressé de 90 kg, le taux protéique de 1,6 g/kg et le taux butyreux de 2,5 g/kg (Institut de l’Elevage 2012). La France est le premier producteur européen de lait de chèvre avec 30% du lait produit. Plus de 80% de ce lait est transformé en fromages. Même si la consommation présente quelques signes d’essoufflement actuellement, l’augmentation de la production de lait de chèvre depuis plus de trente ans et en conséquence celle des fromages a en général été bien absorbée par la demande, en progression malgré quelques périodes tendues. Ce résultat est dû notamment à de nouveaux produits de qualités rhéologique et organoleptique bien adaptées pour conquérir de nouveaux marchés, à l’utilisation de technologies avancées en matière fromagère et à la bonne image de ce fromage (produit festif et de qualité) auprès des consommateurs. Le secteur caprin en France a suivi l’évolution générale des productions animales : mécanisation du travail, simplification des techniques pour réduire le coût de production et pour améliorer l’efficacité du travail, augmentation rapide de la taille des unités de production. Plus de 35% de chèvres laitières appartiennent à des unités de plus de 350 têtes et la production est de plus en plus concentrée dans une région, le Poitou-Charentes, qui produit plus de 50% du lait de chèvre en France et en transforme encore plus. Bref, cette évolution et ces résultats, malgré un contexte qui tend à devenir de moins en moins favorable, s’expliquent par de multiples raisons, entre autres, la mise en place d’une filière bien organisée, des éleveurs motivés et le plus souvent passionnés par leur métier et une coopération étroite et efficace entre la recherche et le développement tant au niveau national que régional. Cette coopération exemplaire a débuté dès les années 1955-1965 avec des pionniers comme G. Ricordeau, à qui l’on doit la mise en évidence du gène sans corne expliquant le taux élevé d’infertilité en caprins, facteur qui a longtemps freiné le développement caprin (Ricordeau 2008) et J.-M. Corteel, qui a beaucoup travaillé sur la mise au point des techniques d’insémination artificielle (Leboeuf 2013). Ils ont su gagner la confiance des éleveurs, même parfois de petites unités. Ce lien s’est poursuivi et développé ensuite grâce à la création de la section caprine de l’Institut technique ovin et caprin (ITOVIC), mais aussi par des relations directes et personnelles entre chercheurs et responsables du développement ou par des réunions informelles autour de certains problèmes que rencontraient les éleveurs.Cette coopération a très bien résisté dans les années 1980, d’une part, aux nouvelles demandes des éleveurs qui donnaient la priorité aux questions socio-économiques suite à la première crise du prix du lait de chèvre en 1981 et, d’autre part, aux évolutions de la politique de l’INRA, qui face aux nouveaux enjeux scientifiques et technologiques, a été conduit à considérer comme moins prioritaire certaines recherches appliquées intéressant le développement. Ainsi, malgré l’évolution des problématiques scientifiques et des relations entre le monde de la recherche et du développement, mais aussi face au développement rapide de la recherche caprine dans les pays émergents, la recherche caprine en France est toujours très active. Un sondage bibliométrique montre que le nombre de publications avec «dairy goat» en mot-clé, de 250 à 300 par an dans les années 1980-1990, s’est accru nettement au début des années 2000 pour se situer actuellement vers les 700 publications par an. Au cours des dix dernières années, les pays qui ont le plus contribué à ces publications ont été la France, donc l’INRA, suivie par les USA, l’Italie et l’Espagne, eux-mêmes suivis par le Brésil, le Mexique et la Turquie. Ce dossier de la revue INRA Productions Animales a donc pour objectif d’illustrer le dynamisme des recherches menées en France sur les caprins, s’il était encore nécessaire de le faire. Le choix des six thèmes de recherche retenus pour constituer ce numéro n’a pas été aisé en raison du nombre de thèmes possibles. L’ambition de ce dossier n’étant pas d’être exhaustif, la rédaction de la revue et son comité se sont mis d’accord pour ne pas retenir de sujets dans les domaines où les publications ont déjà été nombreuses. C’est le cas, par exemple, de la traite des chèvres laitières (Le Du 1989, Marnet et al 2001), du polymorphisme de la caséine alpha chez les caprins (Grosclaude et al 1994, Manfredi et al 1995) ou encore de la reproduction caprine. INRA Production Animales a en effet déjà publié des articles exhaustifs sur la neuro-endocrinologie de la reproduction chez le caprin (Chemineau et Delgadillo 1994), sur le comportement sexuel de cette espèce (Fabre-Nys 2000), sur la production et la conservation de semence de bouc (Leboeuf et al 2003) et récemment sur la maîtrise de la reproduction de l’espèce caprine (Leboeuf et al 2008). Il a été proposé de sélectionner des thèmes novateurs ou riches en résultats récents, qui intéressent le développement de l’élevage caprin en France, mais aussi de portée internationale. Dans ces conditions, il a d’abord été retenu trois thèmes représentant des dimensions basiques de l’élevage : génétique, pathologie, alimentation avec des articles faisant le point sur les dernières avancées dans chaque secteur, et trois autres thèmes originaux et porteurs d’avenir, le pâturage des chèvres laitières hautes productrices, les apports de la modélisation pour comprendre le fonctionnement du troupeau de chèvres laitières et les techniques rationnelles d’élevage caprin en milieu tropical. Le premier article de Manfredi et Ådnøy (2012) sur la génétique des caprins laitiers, est un travail franco-norvégien illustrant la collaboration continue sur ce thème entre les deux pays depuis près de 50 ans. Il fait le point sur les études de génétique polygénique relatives à la production et à la composition du lait. Il traite de l’approche moléculaire qui démarre en caprins et surtout répond à la question d’actualité sur ce que nous pouvons attendre dans les années futures de la sélection génomique en caprins. Le deuxième article de Hoste et al (2012) sur la pathologie caprine, a réuni des spécialistes de l’INRA, des écoles vétérinaires, de l’Anses et de l’Institut de l’Elevage. Il fait le point sur les recherches en cours et leurs applications concernant diverses pathologies infectieuses d’actualité dans le secteur caprin. Ainsi il passe en revue les principales pathologies provoquées par les prions et les virus, par les agents bactériens et la question des parasites gastro-intestinaux. L’article évoque aussi le projet de la mise en place d’un observatoire des maladies caprines en France. Il se termine par une réflexion intéressante soulignant la proximité des agents pathogènes en ovins et caprins et les différences dans les processus morbides chez ces deux espèces. Il en conclut que des études originales sur caprins sont tout à fait fondamentales pour appréhender certains mécanismes pathogéniques. L’article suivant de Sauvant et al (2012) se propose d’actualiser les recommandations alimentaires des caprins publiées en 2007, pour répondre à une demande du développement. Les avancées dans ce domaine proviennent notamment d’une approche modélisée de la connaissance des nombreuxfacteurs de variation du poids vif, de la production laitière et de la composition de lait. Les lois de réponse plus précises aux apports d’aliments concentrés, les nouvelles lois de réponse concernant la sécrétion des acides gras du lait ainsi que les excrétions d’azote et de méthane, ainsi que les valeurs repères applicables sur le terrain concernant le comportement alimentaire, l’acidose et les besoins en eau sont les principales nouveautés. L’alimentation représente, rappelons-le, 70% en moyenne du prix de revient du litre de lait de chèvre. Parmi les trois articles plus spécifiques sur des sujets originaux, figure l’article de Lefrileux et al (2012) sur l’aptitude des chèvres hautes productrices de lait à valoriser les prairies temporaires au pâturage. Il répond à des demandes variées, notamment la demande sociétale pour une conduite d’élevage plus écologique. Or, peu d’information existe sur ce sujet, d’une part, en raison de la diminution de ce mode d’alimentation à cause des problèmes parasitaires rencontrés et, d’autre part, car la chèvre a la réputation d’être une mauvaise utilisatrice du pâturage et d’avoir un comportement très affirmé pour sélectionner son ingéré. Les auteurs montrent qu’il est possible d’obtenir des performances laitières de 1000 – 1100 kg de lait par an et par chèvre avec des régimes alimentaires où plus de 50% des besoins énergétiques sont couverts par le pâturage. L’étude du fonctionnement du troupeau caprin est un sujet qui a déjà été développé à l’INRA (Santucci et al 1994) mais, au cours de ces dernières années, elle a fait l’objet d’avancées importantes grâce à l’utilisation de la modélisation. L’article de Puillet et al (2012) présente un simulateur de fonctionnement du troupeau caprin laitier permettant de tenir compte de la variabilité individuelle des carrières animales et d’étudier comment les conduites de l’alimentation et de la reproduction mises en œuvre par l’éleveur, modulent les performances du troupeau. De tels outils sont appelés à l’avenir à avoir diverses applications au niveau du terrain pour les agents de développement, par exemple pour quantifier le risque biologique associé à certaines conduites d’élevage. Le Centre INRA des Antilles-Guyane travaille depuis plus de 50 ans sur l’amélioration des systèmes de production caprine en milieu tropical (Alexandre et al 1997). Alexandre et al (2012) présentent dans le dernier article de ce numéro une synthèse sur la situation de l’élevage caprin en zone tropicale. Rappelons que 95% des caprins vivent en milieu tropical. A travers leur grande expérience du sujet, ces auteurs proposent des voies d’amélioration très prometteuses grâce à l’apport d’intrants bien réfléchi techniquement et économiquement, à l’utilisation de l’effet mâle en reproduction et à une complémentation à base d’aliments non conventionnels. Les six articles de ce numéro ne doivent pas occulter les autres recherches sur les caprins effectuées par l’INRA ou d’autres organismes. Comme il n’est pas possible d’être exhaustif, citons simplement quelques exemples qui peuvent intéresser le développement : la maîtrise de la reproduction femelle sans utilisation d’hormones pour répondre aux cahiers des charges de certains produits caprins labellisés (Brice et al 2002) ; la monotraite, technique qui a priori séduit les éleveurs en permettant une réduction de charge de travail (Komara et Marnet 2009) ; les risques d’acidose en liaison avec le comportement alimentaire des chèvres laitières, trouble métabolique encore fréquent avec certainstypes de régimes et dont les conséquences économiques peuvent être importantes (Desnoyers et al 2009) ; l’évaluation des systèmes de production caprine (Bossis et al 2008, Toussaint et al 2009) sans oublier les travaux de technologie laitière réalisées par l’ITPLC sur le fromage de chèvre (Raynal-Ljutovac et al 2007a). Il faut noter aussi le début d’études sur le bien-être des caprins (Servière et Morand-Fehr 2012) et le besoin de travaux sur les lactations longues (14 - 20 mois),technique qui séduit de plus en plus d’éleveurs. Nous devons aussi signaler deux documents importants, l’un sur la qualité du lait de petits ruminants (Haenlein et al 2007) et l’autre sur la production et la qualité de la viande caprine (Mahgoub et al 2011) dans lesquels les travaux de recherches français sur l’influence des systèmes d’alimentation sur la qualité du lait de chèvre (Morand-Fehr et al 2007), sur la stabilité à la chaleur de ce lait (Raynal-Ljutovac et al 2007b) et sur la composition lipidique du chevreau (Morand-Fehr et al 2011) sont présentés. Il nous reste à souhaiter que la lecture de ce numéro apporte une somme d’informations originales à tous les lecteurs cherchant à prendre connaissance des dernières avancées de la recherche caprine et que la recherche caprine se maintienne et se développe à l’avenir en France pour répondre aux demandes de la filière, mais aussi en milieu tropical où les caprins jouent un rôle socio-économique essentiel pour certaines populations rurales.
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DUCROT, C. « Chapitre 2 : La protéine prion cellulaire (PrPc) : propriétés et rôle physiologique ». INRAE Productions Animales 17, HS (20 décembre 2004). http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2004.17.hs.3623.

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Résumé :
Les propriétés et le rôle physiologique de la protéine prion sont encore mal connus, de même que la façon et les raisons pour lesquelles la protéine prion normale est transformée en protéine prion pathogène. Ces différentes questions sont importantes, à la fois pour comprendre les mécanismes moléculaires à l’origine des encéphalopathies spongiformes transmissibles et pour rechercher des possibilités de thérapie. C’est la raison pour laquelle divers types de travaux sont conduits sur ces questions, utilisant différentes approches. L’article de Lepage et al. est basé sur l’approche physicochimique de la structure de la protéine prion. L’objectif de ces travaux est de rechercher les domaines de la protéine prion qui pourraient avoir un rôle clé dans la transconformation de la protéine normale en protéine pathogène, tant pour induire que pour réguler ce processus. L’article de Moudjou et al. est basé sur une approche immunochimique. Des anticorps monoclonaux ont été mis au point, avec des affinités particulières pour certaines régions de la protéine prion PrP. Ainsi certains anticorps reconnaissent différentes formes glycosylées de la protéine et discriminent les allèles de la PrP associés à la susceptibilité des moutons à la tremblante. Ces réactifs offrent des perspectives dans plusieurs domaines, notamment dans l’étude du rôle de la glycosylation dans la capacité de la protéine prion à être convertie en protéine pathogène et dans l’analyse fine des profils glycotypiques de la protéine anormale, dans le cadre du typage moléculaire des souches de prions. Ces anticorps peuvent également être utilisés comme moyen de génotypage rapide des moutons. Enfin, l’article de Gatti et al. analyse le rôle physiologique de la protéine prion cellulaire. Des travaux ont été entrepris pour établir la présence et les voies de sécrétion de la protéine prion normale dans différents organes et tissus de l’organisme, ainsi que son rôle, en utilisant différents modèles animaux et cellulaires.
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