Littérature scientifique sur le sujet « Profil de charge dynamique aléatoire »

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Articles de revues sur le sujet "Profil de charge dynamique aléatoire"

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SARR, Mor, MohamedLemine CHEIKH, Sega GUEYE, M. Yacine BA, Khady LOUM, Malick NDIAYE, A. Mamour BA, Ousmane SOW, Senghane MBODJI et Gregoire SISSOKO. « DETERMINATION DE LA RESISTANCE SHUNT DUNE PHOTOPILE IRRADIEE (N+/P/P+) AU SILICIUM PLACEE SOUS CHAMP MAGNETIQUE ET SOUS ECLAIREMENT POLYCHROMATIQUE EN MODULATION DE FREQUENCE ». International Journal of Advanced Research 11, no 06 (30 juin 2023) : 783–95. http://dx.doi.org/10.21474/ijar01/17127.

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Résumé :
Lobjet de cette etude est de presenter une application de la technique de determination de la vitesse de recombinaison a la jonction initiant la situation de court-circuit dune photopile monofaciale au silicium, , sous eclairement polychromatique, sous irradiation et sous champ magnetique, en regime dynamique frequentiel. Apres la resolution de lequation de magneto-diffusion des porteurs minoritaires de charges en regime dynamique, les expressions de la densite des porteurs minoritaires de charge et de la densite de photocourant ont ete etablies. La densite des porteurs minoritaires de charge est etudiee en fonction de la profondeur dans la base de la photopile pour differentes valeurs de la frequence de modulation. La densite de photocourant est etudiee en fonction de la vitesse de recombinaison a la jonction pour differentes frequences de modulation. A partir du profil de variation de la densite de photocourant en fonction de la vitesse de recombinaison a la jonction, une technique de determination de la vitesse de recombinaison a la jonction initiant la situation de court-circuit est presentee. Les influences de la frequence de modulation, de lirradiation et du champ magnetique sur la vitesse de recombinaison a la jonction initiant la situation de court-circuit, sur le photocourant de court-circuit et sur la resistance shunt ont ete egalement etudiees.
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Holtzmann, J. « Vers une définition actualisée de la dépression résistante ». European Psychiatry 28, S2 (novembre 2013) : 42. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.106.

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Résumé :
La dépression unipolaire est une maladie fréquente et particulièrement sévère en termes de morbi-mortalité (prévisions OMS pour 2030). Cette sévérité est en partie liée au profil évolutif de la maladie et en particulier au caractère de résistance aux traitements antidépresseurs qu’elle peut comporter. On estime ainsi que la résistance peut atteindre jusqu’à 30 % des cas de dépression unipolaire (Thase, J Clin Psychiatry, 2011). Une prise en charge optimale des dépressions résistantes est donc indispensable mais nécessite au préalable une définition claire, consensuelle et utilisable en clinique. La définition de la résistance la plus utilisée prend en compte uniquement le nombre d’essais d’antidépresseurs (Thase, J Clin Psychiatry, 1997, 1998). Elle présente l’avantage de la simplicité mais comporte plusieurs limites. Il apparaît aujourd’hui nécessaire pour bien définir la résistance d’une dépression de déterminer les facteurs prédictifs cliniques et para-cliniques, le profil évolutif de la maladie, ainsi que le niveau de résistance actuel tout en ayant pris soin d’éliminer une pseudo-résistance. Cette notion de résistance s’inscrit ainsi complètement dans l’évolution du cours de la maladie et est caractérisée par son intensité et sa dynamique. Cette définition théorique peut permettre en la transposant à la pratique clinique de dégager une prise en charge adaptée, personnalisée et, de là, plus efficace pour chaque patient. Néanmoins, ce travail de définition et de suivi de la résistance n’est pas aisé dans la pratique clinique courante et le développement d’outils cliniques spécifiques allant au-delà de la simple quantification de la résistance pourrait faciliter cette démarche, ainsi que le recours à des centres spécialisés dédiés à cette problématique.
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Bravard, Jean-Paul. « Tectonique et dynamique fluviale du Würm à l’Holocène à la confluence Saône-Rhône (France) ». Paléoréseaux hydrographiques quaternaires : centenaire W.M. Davis 51, no 3 (30 novembre 2007) : 315–26. http://dx.doi.org/10.7202/033130ar.

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Résumé :
RÉSUMÉLes travaux classiques réalisés sur le cours aval de la Saône ont mis en évidence le fait que la nappe alluviale würmienne se trouve à une altitude inférieure à celle du cours d'eau actuel; elle est par ailleurs en position déprimée par rapport à la terrasse fluvio-glaciaire, considérée comme étant de même âge, qui se développe en rive gauche du Rhône sur le site de Lyon. L'interprétation communément admise privilégie le facteur tectonique qui serait responsable de la subsidence de la plaine de la Saône et de la surrection relative de la région de Lyon. Des observations nouvelles et la reprise d'observations anciennes négligées conduisent à proposer un schéma d'évolution postglaciaire sensiblement différent. La position déprimée des alluvions würmiennes de la Saône dans la région de Villefranche-sur-Saône correspondrait à un niveau d'érosion fluviatile tardiglaciaire (Alleröd) en relation avec un niveau de base rhodanien incisé par rapport au niveau actuel de la plaine alluviale. La réaccumulation holocène du Rhône, rapidement acquise, aurait provoqué une accumulation régressive de la Saône; un affluent du Massif central à forte charge. l'Azergues, a pu jouer un rôle dans l'établissement du profil en long de la Saône aval dans la deuxième moitié de l'Holocène et contribuer à créer un effet barrage ayant favorisé la sédimentation fine de la Saône dans son lit majeur. Cette forte contribution des processus fluviatiles à la mise en place du remplissage alluvial n'exclut pas celle des processus tectoniques qui ont très probablement joué un rôle important à l'échelle du Quaternaire. On propose ici de combiner les deux facteurs explicatifs en relativisant le rôle de la surrection dans le secteur de la confluence Rhône-Saône et de la subsidence sur la Saône aval depuis le maximum du Würm.
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Imasuen, J. A., L. O. Obatta, F. O. Imhankon et A. O. Atanda. « Haematological and lipid profile of rabbits fed ginger (Zingiber officinale) and turmeric (Curcuma longa) additives to correct crude oil induced antioxidant challenges ». Nigerian Journal of Animal Production 49, no 2 (8 mars 2022) : 101–11. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v49i2.3467.

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Résumé :
Environmental pollution is a major global problem, posing a severe risk to humans and animals and limited data are available on the haematology of farm animals with heavy metal contamination due to exposure to crude oil pollution. This study was therefore conducted to assess the blood profile of rabbits fed ginger and turmeric additives to correct crude oil induced antioxidant challenges. The experiment was conducted using 40 mature rabbits of mixed breeds and sexes, randomly assigned to five treatments in a completely randomized design. Contaminated feed contained 0.035% of crude oil. Treatment 1 was a basal diet with no contamination and no test additive. Treatment 2 was offered contaminated feed with no test additives. Treatment 3 and 4 were contaminated feeds with 5g/kg body weight of ginger and turmeric, respectively. Treatment 5 had contaminated feed with a mixture of ginger and turmeric at 2.5g/kg body weight. At the end of the feeding trial which lasted for 10 weeks, blood samples were collected through the ear vein, and used for haematological and plasma lipid analysis. The results showed that additives improved the white blood cell count as both controls (Treatments 1 and 2) had depressed and significantly lower (p>0.05) values from the treated groups. Lymphocyte percentage was significantly depressed in the positive control (19.03%), against the range of 73.85% - 86.80% obtained in the other treatments. Total cholesterol was highest in the negative control (45.00mg/dL) and least in Treatments 3 and 5 (28.00mg/dL). Triglyceride level was significantly higher (p<0.05) in Treatment 4 (98.00mg/dL) and least (24.00mg/dL) in Treatment 3. In conclusion, ginger, turmeric, and their combination were beneficial in correcting the effects of crude oil contaminated feed on the blood profile of rabbits. La pollution de l'environnement est un problème mondial majeur, posant un risque grave pour les humains et les animaux et des données limitées sont disponibles sur l'hématologie des animaux de ferme contaminés par des métaux lourds en raison de l'exposition à la pollution par le pétrole brut. Cette étude a donc été menée pour évaluer le profil sanguin des lapins nourris avec des additifs de gingembre et de curcuma pour corriger les défis antioxydants induits par le pétrole brut. L'expérience a été menée en utilisant 40 lapins matures de races et de sexes mélangés, assignés au hasard à cinq traitements dans une conception complètement aléatoire. La charge contaminée contenait 0,035 % de pétrole brut. Le traitement 1 était un régime de base sans contamination et sans additif d'essai. Le traitement 2 s'est vu proposer des aliments contaminés sans additifs d'essai. Les traitements 3 et 4 étaient des aliments contaminés avec 5 g/kg de poids corporel de gingembre et de curcuma, respectivement. Le traitement 5 avait des aliments contaminés avec un mélange de gingembre et de curcuma à 2,5 g/kg de poids corporel. À la fin de l'essai d'alimentation qui a duré 10 semaines, des échantillons de sang ont été prélevés dans la veine de l'oreille et utilisés pour l'analyse hématologique et des lipides plasmatiques. Les résultats ont montré que les additifs amélioraient le nombre de globules blancs car les deux témoins (traitements 1 et 2) avaient des valeurs déprimées et significativement inférieures (p> 0,05) des groupes traités. Le pourcentage de lymphocytes était significativement diminué dans le contrôle positif (19,03%), contre la plage de 73,85% - 86,80% obtenue dans les autres traitements. Le cholestérol total était le plus élevé chez le témoin négatif (45,00 mg/dL) et le moins élevé dans les traitements 3 et 5 (28,00 mg/dL). Le niveau de triglycérides était significativement plus élevé (p<0,05) dans le traitement 4 (98,00 mg/dL) et inférieur (24,00 mg/dL) dans le traitement 3. En conclusion, le gingembre, le curcuma et leur combinaison ont été bénéfiques pour corriger les effets du pétrole brut aliments contaminés sur le profil sanguin des lapins.
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FAVERDIN, P., et C. LEROUX. « Avant-propos ». INRAE Productions Animales 26, no 2 (16 avril 2013) : 71–76. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.2.3137.

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Résumé :
Le lait n’est pas tout à fait un aliment comme les autres puisqu’il est aussi produit par l’Homme. Cet aliment est indispensable à l’alimentation de l’enfant, car sa richesse nutritionnelle combinée à sa forme liquide en font une ration « tout en un » du jeune pendant ses premières semaines de vie. L’homme a très tôt domestiqué d’autres mammifères pour produire cet aliment nécessaire pour le jeune et l’a aussi intégré dans l’alimentation de l’adulte sous forme native ou après transformation. De fait, le lait est un des rares produits animaux avec l’oeuf qui est produit régulièrement et qu’il est possible d’obtenir sans tuer l’animal. Sa production fait pleinement partie de la fonction de reproduction et son prélèvement doit être géré pour ne pas handicaper le développement du jeune animal qui est également un élément d’avenir dans l’élevage. Les vaches laitières ont longtemps bénéficié de noms très personnalisés, voire de prénoms, jusqu’à ce que la traçabilité ne vienne proposer des identifiants plus proches du matricule de la sécurité sociale que des petits noms affectueux utilisés jusqu’alors. La traite est un moment particulier où l’éleveur se substitue au jeune pour prélever le lait plusieurs fois par jour. Tout ceci fait traditionnellement de l’élevage laitier un élevage qui associe étroitement l’homme et l’animal. Au commencement de la domestication et pendant longtemps, le principal défaut du lait a résidé dans sa faible aptitude à la conservation, nécessitant une consommation plutôt locale, le temps entre production et consommation devant rester le plus court possible. De fait, le développement de sa consommation dans les villes est récent et ne s’est pas fait sans quelques soucis (Fanica 2008). Bien entendu, les évolutions de l’industrie laitière et des transports ont permis de franchir ce double cap de la conservation et des distances, faisant en quelques décennies d’un produit local du peuple d’un terroir, riche d’identité, d’histoire et de culture (Faye et al 2010), un produit générique du commerce mondial qui s’échange entre continents suivant les règles de l’organisation mondiale du commerce et dont la demande augmente régulièrement. Ce passage du local au mondial ne s’effectue pas sans des changements radicaux des modes de production et de l’organisation des filières, avec des conséquences parfois importantes sur les territoires. La production de lait en France, pays traditionnel d’élevage bovin laitier, illustre parfaitement cette évolution et se trouve aujourd’hui à une période charnière. Riche d’une grande diversité de terroirs et de produits, la production française présente un profil original dont on ne sait pas aujourd’hui si c’est une force ou une faiblesse dans cette évolution. Depuis 1984, le système des quotas laitiers liés à la terre et non commercialisables en France a ralenti, comparativement aux pays voisins, l’évolution vers une spécialisation et une intensification des systèmes de production laitiers, mais il disparaîtra en 2015. Le contexte économique des prix des matières premières et du prix du lait devient beaucoup plus instable que par le passé. Le métier d’éleveur laitier, avec sa complexité, sa charge de travail importante, ses astreintes et la diminution de sa rémunération, devient moins attractif. La nécessaire prise en compte de l’impact de l’élevage sur l’environnement et plus globalement de la durabilité, constitue un nouveau défi qui est souvent vécu comme une contrainte supplémentaire. Cependant, les connaissances scientifiques et technologiques ont beaucoup progressé et offrent de nouveaux outils à l’élevage laitier pour construire une trajectoire originale dans cette évolution. Ce numéro spécial d’INRA Productions Animales se propose donc en quelques articles de faire un état des lieux des connaissances concernant la production laitière, ainsi que des nouveaux défis et des nouveaux outils qui s’offrent à la filière pour construire son avenir. Ce panorama n’est volontairement pas exhaustif et traitera prioritairement des vaches laitières avec cependant, lorsqu’il est apparu nécessaire, quelques exemples tirés de travaux réalisés chez les caprins. De même, il ne s’agit pas ici d’aborder la transformation du lait et les évolutions des nombreux produits transformés. Mais nous avons cherché à présenter un point sur un certain nombre de sujets en mettant en avant les avancées récentes et les défis scientifiques, techniques, économiques et organisationnels qui concernent la production laitière, en quatre grandes parties. La première plantera tout d’abord le décor du secteur laitier français. La deuxième présentera les nouvelles avancées des travaux sur la femelle laitière, la lactation et le lait. La troisième analysera les différents leviers que constituent la sélection génétique, la gestion de la santé, l’alimentation et la traite, pour mieux maîtriser la production de lait en élevage. Enfin, la dernière partie abordera des questions plus spécifiques concernant les systèmes d’élevage et leur futur. Le premier article de V. Chatellier et al fournit une analyse à la fois du bilan et des perspectives du secteur laitier français. Après une analyse du marché des produits laitiers au travers de la demande et de l’offre et des grandes stratégies des acteurs de la filière, cet article présente les spécificités françaises des exploitations laitières liées en particulier à la diversité des systèmes de production et des territoires. Cette double diversité se traduit également dans les écarts de productivité et des résultats économiques des exploitations dont la main-d’oeuvre reste majoritairement familiale, avec la question de son renouvellement qui se pose différemment selon les territoires. Enfin, à l’aune des changements importants de contexte qui se préparent avec la fin des quotas et les nouvelles relations qui se mettent en place entre producteurs et transformateurs, les auteurs étudient les différents scénarios qui en découlent et qui conduiront à l’écriture du futur du secteur laitier français dans les territoires et le marché mondial. La série d’articles sur l’animal et le lait débute par une approche systémique de l’animal laitier. La vache laitière est d’abord perçue au travers de sa fonction de production, et les modèles de prévision de la lactation se sont longtemps focalisés sur cette seule fonction. La notion d’animaux plus robustes et d’élevages plus durables (cf. Dossier « Robustesse... », Sauvant et Perez 2010) amène à revisiter cet angle d’approche pour l’élargir à ensemble des fonctions physiologiques en prenant mieux en compte les interactions entre les génotypes animaux et leurs environnements. La modélisation aborde cette complexité de deux façons contrastées, l’une plutôt ascendante en partant des mécanismes élémentaires et en les agrégeant, l’autre plutôt descendante, en partant de grandes propriétés émergeantes des principales fonctions et de leurs interactions, voire de leur compétition dans l’accès aux ressources nutritionnelles. La revue de Friggens et al aborde ainsi la question de la dynamique de partition des nutriments entre fonction physiologiques chez les vaches laitières en fonction du génotype en présentant plusieurs approches de modélisation. Cette revue s’attache à montrer l’intérêt de partir des propriétés émergeantes pour arriver à modéliser les réponses complexes (production, reproduction, composition du lait, état corporel…) d’une vache soumise à différentes conduites d’élevage au cours de sa carrière. Les outils de demain qui permettront d’optimiser la conduited’élevage face aux aléas économiques et climatiques dépendront de l’avancée de ces modèles et des connaissances scientifiques qui les sous-tendent. La fonction de lactation est la conséquence de nombreux mécanismes à l’échelle de l’animal, tout particulièrement au niveau de la glande mammaire. Le développement et le fonctionnement de cet organe caractérisé par sa cyclicité ont fait l’objet de nombreux travaux à l’Inra et dans de nombreuses équipes de recherches internationales. Il ne s’agissait pas ici de relater l’ensemble de ces travaux mais de consacrer un article aux dernières connaissances acquises sur les mécanismes de biosynthèse et de sécrétion des constituants du lait. L’article de Leroux et al présente les travaux sur la régulation de l’expression génique dans la glande mammaire avec un intérêt particulier pour les données acquises avec les nouveaux outils d’études globales de génomique expressionnelle. Ceux-ci apportent de nouvelles connaissances sur les effets des facteurs génétiques sur la biosynthèse et la sécrétion du lait, sur leur régulation nutritionnelle et sur l’interaction de ces facteurs. Ce dernier point constitue un champ d’investigation supplémentaire pour décrypter les secrets du fonctionnement mammaire avec notamment l’intervention de nouveaux acteurs que sont les petits ARN non codants (ou microARN) qui vient encore accroître la complexité du fonctionnement mammaire dans son rôle prépondérant lors de la lactation. Après avoir fait cet état des lieux des connaissances sur la biosynthèse et la sécrétion des constituants du lait au niveau de la glande mammaire, l’article de Léonil et al présente la complexité des fractions protéique et lipidique du lait et de leur assemblage en structures supramoléculaires. Ces structures finales sont sous la dépendance de la nature et de la variabilité des constituants, ellesmêmes dues aux polymorphismes des gènes responsables de leur synthèse. Ainsi, les auteurs font un état des lieux des connaissances sur la structure et le polymorphisme des gènes spécifiant les protéines coagulables du lait que sont les caséines pour arriver à l’organisation de ces dernières en micelles. Le rôle nutritionnel de ces protéines majeures du lait et leur fonction biologique sont revisitées à la lumière des connaissances croissantes sur les peptides bioactifs qu’elles contiennent. La fraction lipidique n’est pas en reste avec la présentation de sa complexité et de son organisation sous forme de globule gras ainsi que de son impact nutritionnel sur le consommateur. Enfin, la découverte récente, dans le lait, de petites particules (ou exosomes) véhiculant des protéines et des ARN ouvre de nouvelle voies d’investigation de l’impact du lait sur la santé du consommateur. La série d’articles consacrée aux leviers d’action dont disposent les éleveurs pour moduler la production laitière ainsi que la composition du lait débute par l’article de Brochard et al, qui retrace l’impact de la sélection génétique pour arriver aux apports de la sélection génomique des races bovines laitières. Un bref historique de la sélection génétique présente les progrès réalisés sur les caractères de production laitière mais aussi sur des caractères de robustesse (fertilité, mammites…) et permet ainsi de dresser le décor génétique des élevages français. L’avènement des outils de génomique grâce au séquençage du génome bovin a conduit à renouveler les perspectives de sélection des bovins laitiers (cf. Numéro spécial, «amélioration génétique" Mulsant et al 2011). La présentation brève de ces outils permet de mieux appréhender les retombées attendues. Les opportunités offertes par la sélection génomique sur les caractères laitiers sensu stricto se complètent et permettent également de proposer une sélection sur de nouveaux caractères. En effet, la prise en compte progressive d’autres caractères oriente la sélection vers une complexité accrue notamment grâce à l’établissement de nouvelles mesures phénotypiques. L’évolution vers une meilleure robustesse, une efficacité alimentaire optimisée mais aussi une empreinte environnementale réduite, sera d’autant plus envisageable que la sélection pourra s’appuyer sur des capacités de phénotypage de plus en plus fin et à grande échelle. Un autre facteur prépondérant dans l’élevage laitier concerne la gestion de la santé animale qui affecte, notamment, la durabilité des élevages sous l’angle socio-économique. Cette gestion complexe doit prendre en compte de nombreux paramètres tel que le nombre des traitements nécessaires, le temps passé, les pertes économiques directes à court et long terme, etc. Les infections ne touchent pas toutes directement la glande mammaire, mais en affectant l’animal, elles impactent la lactation, l’efficacité de production du troupeau et donc l’élevage. L’article de Seegers et al passe en revue sept maladies majeures classées en trois groupes affectant les bovins laitiers. Il présente les connaissances récentes acquises sur ces maladies et les perspectives qu’elles ouvrent pour mieux les maîtriser. Ces maladies ont bien souvent un impact économique fort sur les élevages et/ou sont transmissibles à l’Homme constituant ainsi des questionnements de recherche forts et pour lesquels les moyens d’actions sont aussi multiples que variés. De plus, les attentes sociétales visent à diminuer, autant que faire se peut, les intrants médicamenteux. L’alimentation est un levier de maîtrise de la production et de la composition du lait qui présente l’avantage d’avoir des effets rapides et réversibles. Bien que ce levier puisse également moduler la composition protéique du lait, l’impact prépondérant de l’alimentation sur la composition en acides gras du lait, dans le but de fournir aux consommateurs une qualité nutritionnelle du lait la plus favorable possible, a été mis en exergue par de nombreuses études. La détermination de la composition en acides gras des laits est de plus en plus précise, notamment du fait des nouvelles techniques qui permettent une meilleure caractérisation de ces profils. Outre l’impact de l’alimentation, les effets des apports nutritionnels chez le ruminant sur les teneurs en composés vitaminiques du lait sont également à prendre en compte dans la perspective de l’utilisation du lait comme source complémentaire naturelle de vitamines chez les sujets présentant une efficacité d’absorption réduite (tel que les jeunes ou à l’inverse les personnes âgées). L’article de Ferlay et al recense les principaux facteurs alimentaires (nature de la ration de base, supplémentation oléagineuse, différents types de suppléments lipidiques et leurs interactions) influençant la composition en acides gras et en vitamines du lait de vache. Enfin, la traite constitue un outil supplémentaire de pilotage des troupeaux en termes de production laitière mais aussi de qualité sanitaire, technologique et nutritionnelle du lait. De plus, une meilleure connaissance des effets des différentes pratiques de traite est cruciale dans le contexte actuel de gestion du travail dans les exploitations laitières (cf. Numéro spécial, « Travail en élevage », Hostiou et al 2012). Les moyens mis en oeuvre se situent à différents niveaux allant de la fréquence de traite aux systèmes de stockage des laits en passant par les réglages possibles ou les types de machines à traire. L’article de Guinard-Flament et al fait le point des connaissances actuelles sur les effets et les conséquences de modifications de la conduite des animaux à la traite. Il présente les effets de la fréquence de traite sur le niveau de production laitière et sur la composition du lait. Le contexte de la traite, avec les effets mécaniques de la machine à traire et celui du système de stockage, est également présenté dans ses multiples facettes pour souligner leur rôle prépondérant sur la qualité microbienne des laits. La conduite des vaches à la traite est également un moyen de gestion de la carrière d’une vache laitière à travers le pilotage de certaines phases du cycle de production (effets sur la reproduction et sur la durée de la lactation et leurs conséquences sur la santé de l’animal...). La dimension des systèmes d’élevage est dominée ces dernières années par la question environnementale, notamment depuis la parution du rapport de la FAO « Livestock’s long shadow » (Steinfeld et al 2006). L’élevage laitier, très consommateur de ressources de qualité, est concerné au premier rang par ce défi environnemental. Mais ces enjeux, peu perceptibles à l’échelle de l’élevage pourtant à l’origine de ces risques, sont difficiles à intégrer dans les objectifs des systèmes de production. L’article de Dollé et al sur les impacts environnementaux des systèmes bovins laitiers français apporte de nombreux éléments quantifiés sur les émissions des éléments à risque pour l’environnement par les élevages laitiers. Ces risques concernent bien entendu la qualité de l’eau, notamment via les excrétions d’azote et de phosphore, ce qui est connu depuis longtemps avec leurs impacts sur l’eutrophisation des cours d’eau et des côtes. Les risques liés à la qualité de l’air ont été pris en compte beaucoup plus récemment et concernent principalement les émissions d’ammoniac pouvant affecter la santé humaine et des gaz à effet de serre responsables du réchauffement climatique (cf. Dossier, « Gaz à effet de serre en élevage bovin : le méthane », Doreau et al 2011). Ensuite, l’article aborde la question de la biodiversité, auxiliaire de l’agriculture et des paysages, où l’élevage joue un rôle central au sein des territoires agricoles. L’article aborde pour finir la question de la quantification de ces impacts afin d’améliorer objectivement les performances environnementales des élevages et montre que performances environnementales et économiques en élevage laitier ne sont pas antinomiques. En guise de conclusion de ce numéro, J.L. Peyraud et K. Duhem se sont prêtés à un exercice d’analyse prospective des élevages laitiers et du lait de demain en reprenant certains des constats de l’article introductif, notamment sur la diversité des systèmes et des territoires, la restructuration rapide de la filière et la reconstruction du métier d’éleveur. La filière devra demain affronter la tension entre l’amélioration de la compétitivité et celle de la durabilité de l’élevage en tirant profit des innovations. La meilleure prise en compte des qualités nutritionnelles des produits et de l’évolution des demandes tout en améliorant l’intégration de l’élevage au sein des territoires constitue un double défi pour résoudre cette tension. L’analyse des auteurs prône cependant un maintien de la diversité et la complémentarité des systèmes dans une diversité de territoires pour mieux répondre aux enjeux de la société et des éleveurs. Ce numéro spécial montre combien la filière laitière est aujourd’hui plus que jamais à la croisée des chemins avec des défis économiques et sociétaux difficiles à relever dans un climat de plus en plus incertain. Entre diversité d'une part, et spécialisation et standardisation d'autre part, le chemin de la filière française reste complexe à définir. Les nombreuses évolutions des connaissances scientifiques permettent de disposer à court ou moyen terme de nouveaux outils pour relever ces défis. La sélection génomique pour disposer des animaux les plus adaptés à leur système, les modèles de prévision pour anticiper les aléas et leurs conséquences, les outils d’évaluation environnementale pour maîtriser les risques, les outils de monitoring et d’information des troupeaux d’élevage pour améliorer les conditions de travail et l’efficience des troupeaux, les possibilités de piloter la qualité des produits par les conduites d’élevage et en particulier l’alimentation, une meilleure connaissance des mécanismes de régulation de la lactation, la découverte de la richesse des constituants du lait et de leurs propriétés nutritionnelles et fonctionnelles sont autant d’atouts pour la filière pour affronter ces défis. A travers les articles de ce numéro, nous avons voulu illustrer quelques un de ces défis et des perspectives offertes par la recherche. L’enjeu sera de les mobiliser à bon escient dans le cadre de stratégies cohérentes. Cela nécessitera la collaboration de tous les acteurs de la recherche, de la formation, du développement et de la filière. A leur niveau, les articles de ce numéro, par les nombreuses signatures communes entre chercheurs, enseignants-chercheurs et ingénieurs de recherche-développement, témoignent de la vitalité des unités mixtes de recherche et des unités mixtes thématiques impliquées dans l’élevage laitier. De même, bon nombre de travaux relatés dans les articles de ce numéro sont le fruit de programmes de recherche co-financés et menés en collaboration étroite entre la recherche, les instituts technique et la filière. Nous y voyons un fort signe positif pour l'avenir de l'élevage laitier en France Cet avant-propos ne saurait s’achever sans remercier René Baumont et le comité de rédaction d’Inra Productions Animales pour l’initiative judicieuse de ce numéro spécial, mais aussi pour nous avoir aidés à mener à bien ce projet comprenant de nombreux auteurs, qui ont bien voulu se prêter à l’exercice difficile de la rédaction d’un article de synthèse qui conjugue la rigueur de l’information scientifique avec l’exigence de la rendre accessible à un large public. Ce numéro doit beaucoup aussi aux relectures constructives de nombreux collègues que nous remercions ici anonymement. Enfin, cet ouvrage doit aussi sa qualité à un travail remarquable d’édition technique assuré par Pascale Béraudque nous associons à ces remerciements. Nous avons eu la primeur de ces articles et nous espérons que vous partagerez l’intérêt que nous avons eu à leur lecture à la fois instructive, enrichissante et propice à nourrir notre réflexion pour le futur de la recherche-développement dans le domaine de l’élevage bovin laitier.Philippe FAVERDIN, Christine LEROUX RéférencesDoreau M., Baumont R., Perez J.M., (Eds) 2011. Dossier, Gaz à effet de serre en élevage bovin : le méthane. INRA Prod. Anim., 24, 411-474. Fanica P.O., 2008. Le lait, la vache et le citadin. Du XVIIe au XXe siècle. Editions Quae, Paris, France,520p. Faye B., Bonnet P., Corniaux C., Duteurtre G., 2010. Peuples du lait. Editions Quae, Paris France, 160p. Hostiou N., Dedieu B., Baumont R., (Eds) 2012. Numéro spécial, Travail en élevage. INRA Prod. Anim., 25, 83-220. Mulsant P., Bodin L., Coudurier B., Deretz S., Le Roy P., Quillet E., Perez J.M., (Eds) 2011. Numéro spécial, Amélioration génétique. INRA Prod. Anim., 24, 283-404. Sauvant D., Perez J.M., (Eds) 2010. Dossier, Robustesse, rusticité, flexibilité, plasticité, résilience… les nouveaux critères de qualité des animaux et des systèmes d'élevage. INRA Prod. Anim., 23, 1-102. Steinfeld H., Gerber P., Wassenaar T., Castel V., Rosales M., de Haan C., 2006. Livestock's long shadow: environmental issues and options. Food and Agriculture Organization of the United Nations,414p.
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Thèses sur le sujet "Profil de charge dynamique aléatoire"

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Zuo, Jian. « Développement de stratégies de gestion conjointe de la détérioration et de de l'énergie pour un système multi-piles à combustible PEM ». Electronic Thesis or Diss., Université Grenoble Alpes, 2022. http://www.theses.fr/2022GRALT077.

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Résumé :
Les systèmes de piles à combustible offrent une solution durable à la production d'énergie électrique dans le secteur des transports, même s'ils rencontrent encore des problèmes de fiabilité et de durabilité. Le recours à des systèmes multi-piles à combustible (MFC) au lieu de piles à combustible uniques est une solution prometteuse pour surmonter ces limitations en répartissant de manière optimale la demande de puissance entre les différentes piles tout en tenant compte de leur état de santé, au moyen d'une stratégie de gestion de l'énergie (EMS) efficace. Dans ce travail, différentes stratégies ont été développées pour des applications automobiles, avec l'objectif d'optimiser la durée de vie du système de piles à combustible.Le premier défi est de développer un modèle reliant la détérioration de chaque pile avec la puissance délivrée, de manière à être en mesure de prédire l'effet d'une allocation de charge sur la détérioration de chaque pile, et ainsi prendre une décision post-pronostic pertinente. Plusieurs modèles stochastiques de détérioration, allant du modèle classique de processus Gamma à des modèles plus complexes avec des effets aléatoires, sont développés et adaptés aux spécificités des piles à combustible. Sur la base de ces modèles, plusieurs stratégies de décision post-pronostic pour une MFC sont proposées et, pour chacune d'entre elles, le problème d'optimisation associé est formulé.Tout d'abord, sous un profil de charge constant, en prenant en compte dans le processus de décision à la fois la consommation totale de combustible et la détérioration attendue, une stratégie de gestion de l'énergie tenant compte de la détérioration est proposée pour un système constitué de trois piles à combustible. Le problème d'optimisation multi-objectif associé à cette stratégie est résolu à l'aide d'un algorithme évolutionnaire, ce qui permet d'obtenir les allocations de charge optimisées pour chacune des piles du système. La durée de vie moyenne obtenue dans le cadre de la stratégie proposée s'avère plus longue que celle résultant de stratégies classiques (Average Load, Daisy Chain).De plus, sous un profil de charge dynamique aléatoire, et en prenant en compte les phénomènes de détérioration dus à la fois au niveau et aux variations de la charge, une stratégie de prise de décision est proposée pour un système de deux piles à combustible. La prise de décision est réalisée à chaque événement de modification de la demande, et les allocations de charge optimales sont obtenues en minimisant la fonction objectif qui est estimée sur la base de la prévision de la détérioration future du système. Une étude de l'influence des charges dynamiques aléatoires sur les performances de la stratégie proposée montre que la durée de vie moyenne obtenue dans le cas d’une durée inconnue entre deux modifications de demande est proche de celle obtenue avec une durée d'événement connue, ce qui prouve la robustesse de la stratégie proposée. De plus, il est montré que la durée de vie moyenne du système est augmentée par rapport au cas avec une stratégie de charge moyenne, sur plusieurs modèles de détérioration stochastique différents.Enfin, une étude plus exploratoire ouvre des perspectives de recherche dans le cas où le système multi-piles est composé de trois piles, dont deux seulement fonctionnent en même temps. Pour optimiser la durée de vie des piles, tout en répondant à la demande de charge, le système de gestion de l’énergie doit également optimiser le démarrage et l'arrêt des différentes piles. En fait, l'optimisation du remplacement des piles est également nécessaire pour une tâche d'exploitation à long terme. Par conséquent, cette étude ouvre la voie à des approches de maintenance pour les systèmes multi-piles
Fuel cell systems offer a sustainable solution to electrical power generation in the transportation sector, even if they still encounter reliability and durability issues. Resorting to Multi-stack Fuel Cells systems (MFC) instead of single fuel cells is a promising solution to overcome these limitations by optimally distributing the power demand among the different stacks while taking into account their state of health, by means of an efficient Energy Management Strategy (EMS). In this work, different strategies have been developed for vehicle applications, with the objective of optimizing the fuel cell system lifetime.The first challenge is to develop a model linking the deterioration trend of each stack with the power delivered by the stack, so as to predict the effect of a load allocation on each stack deterioration, and thus make a relevant post-prognostics decision. Several stochastic deterioration models, from the classical Gamma process model to more complex models with random effects are developed and tailored to the fuel cell specificities. Based on these models, several post-prognostics decision-making strategies for an MFC are proposed and, for each of them, the associated optimization problem is formulated.First, under a constant load profile, taking into consideration both the expected whole fuel consumption and the expected deterioration in the decision-making process, a deterioration-aware energy management strategy is proposed for a three-stack fuel cell system. The multi-objective optimization problem associated to this strategy is solved using an evolutionary algorithm, giving the optimized load allocations among stacks. The average lifetime obtained under the proposed strategy is demonstrated to be larger than those resulting from the classical Average Load and Daisy Chain strategies.Furthermore, under a random dynamic load profile, taking into consideration the deterioration phenomena due to both the load magnitude and the load variations, an event-based decision-making strategy is built for a two-stack fuel cell system. The optimal load allocations are obtained by minimizing the objective function which is estimated based on the prevision of the future system deterioration. An investigation on the influence of the random dynamic loads on the proposed strategy performance shows that the average lifetime obtained with unknown event duration is close to that with known event duration, which proves the robustness of the proposed strategy. Moreover, it is shown that the average system lifetime is increased when compared to the case with an Average Load strategy, on several different stochastic deterioration models.Lastly, a more exploratory study opening research perspectives in the case where the multi-stack system is composed of three stacks, only two of which are operating at the same time. To optimize the lifetime of the stacks, while meeting the load demand, the EMS must also optimize the start and stop of the different stacks. In fact, the optimization of stack replacement is also required for a long-term operation task. Therefore, this study opens the way to maintenance approaches to multi-stack systems
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