Littérature scientifique sur le sujet « Préfixes et suffixes – Linguistique »

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Articles de revues sur le sujet "Préfixes et suffixes – Linguistique"

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Anastassiadis-Syméonidis, Anna. « Un dictionnaire multilingue de linguistique ». Meta 39, no 4 (30 septembre 2002) : 598–614. http://dx.doi.org/10.7202/001885ar.

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Résumé :
Résumé Cet article comprend trois parties. Dans la première, nous présentons un bref historique de la formation du corpus. L'opération, collective dès le départ, a commencé en 1971 et continue jusqu'à ce jour. Le corpus, actuellement sur PC, contient environ 13 000 articles différents, dont chacun comprend le terme grec accompagné de ses équivalents en anglais, français et allemand. La deuxième partie, consacrée au dictionnaire multilingue de linguistique, est constituée de trois sous-parties. Dans la première, après une courte exposition de quelques exemples du désordre terminologique régnant - à l'origine de cette tentative de normalisation - est présenté le public qui en sera le bénéficiaire et auquel le dictionnaire s'adresse. Dans la deuxième sous-partie, sont exposés les trois critères de sélection des vedettes, à savoir la fréquence d'usage, la répartition et les difficultés de traduction potentielles. Dans la troisième, enfin, est présentée la forme que revêtira le dictionnaire compte tenu d'un certain nombre de choix ayant trait à l'ordre alphabétique, à l'éclatement des homonymes, aux renvois, à l'indication de la catégorie grammaticale de la vedette et aux index à la fin du volume. La troisième partie comprend des réflexions nées des problèmes terminologiques auxquels nous nous sommes heurtés. Ainsi sont successivement présentés les critères d'adéquation des termes, quelques problèmes relatifs à la traduction de ceux-ci ainsi que leur forme. Dans la recherche des équivalents interlinguistiques, il est important de souligner la pérennité du signifiant malgré le changement du signifié, les correspondances interlinguistiques entre préfixes, suffixes et formants et deux cas problématiques, les faux amis et des cas de convergence et de divergence. Enfin, la forme des termes est examinée sous trois aspects, ceux de leur étymologie, des procédés déformation et de leur catégorie grammaticale.
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Pupier, Paul. « Une première systématique des évaluatifs en français ». Revue québécoise de linguistique 26, no 1 (30 avril 2009) : 51–78. http://dx.doi.org/10.7202/603144ar.

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Résumé :
RÉSUMÉLe présent article offre une description synthétique des évaluatifs en français. On commence par caractériser les évaluatifs ou expressions de valeur. Puisque les évaluatifs sont bipolaires et peuvent présenter une gradation dans leur évaluation, il est naturel de vérifier si leur répartition n’est pas identique à celle des antonymes de degré. En fait, elle en est indépendante dans une large mesure. La morphologie dérivationnelle fournit des corrélations plus fortes avec le marquage axiologique. D’abord, il n’existe pas de suffixe axiologiquement positif en français. Ensuite, les suffixes péjoratifs n’opèrent pas tous de la même façon : en gros, la valeur négative peut être introduite par le suffixe ou, au contraire, être héritée du radical. Pour ce qui est des préfixes, leur impact axiologique n’est pas déterminé entièrement par la négation qu’ils expriment. Il y a d’autres marqueurs de l’axiologie que les morphèmes : par exemple certaines constructions, comme la célèbreN de N. Au niveau lexical aussi, le jugement de valeur peut être présupposé ou impliqué par l’usage de certains mots. En axiologie, comme dans d’autres domaines de la linguistique, se pose le problème de la projection des valeurs élémentaires. Nous abordons ce problème à partir de quelques exemples. Enfin, nous reprenons la question de l’ironie, phénomème dont nous avions dû faire abstraction pour fonder nos intuitions axiologiques, et nous montrons que la valeur entre dans la définition même de l’énoncé ironique.
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Jacquesson, François. « L’affixe, la racine, et la linguistique analytique ». Histoire Epistémologie Langage 40, no 1 (2018) : 133–54. http://dx.doi.org/10.1051/hel/e2018-80008-0.

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Résumé :
Les termes de ‘racine’, ‘affixe’, puis ‘suffixe’ et ‘préfixe’ n’appartiennent pas au matériel lexical créé pendant l’Antiquité, mais comme celui de ‘scheva’ ou ‘shewa’, résultent de la découverte de la grammaire hébraïque par les grammairiens de langue latine, à la Renaissance. Ces mots nouveaux, dont on examine ici la naissance et le développement, nous semblent caractéristiques d’un nouveau type d’approche des langues. Pour la première fois, les grammairiens de langue latine sont confrontés à une tradition étrangère, vivante et prestigieuse. La tradition grammaticale hébraïque, qu’ils découvrent, leur fournit aussi un champ de réflexion et des outils d’analyse. De cette rencontre avec une langue et avec sa tradition critique, qui offre vaste matière à comparaisons, vont sortir des termes nouveaux et une perspective renouvelée sur l’analyse morphologique des langues.
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Corbin, Danielle. « Préfixes et suffixes : du sens aux catégories ». Journal of French Language Studies 11, no 1 (mars 2001) : 41–69. http://dx.doi.org/10.1017/s0959269501000138.

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Résumé :
On oppose d'ordinaire les propriétés des préfixes et des suffixes dans les langues indo-européennes en termes de différence de capacité catégorisatrice: contrairement aux suffixes, les préfixes sont réputés ne pas permettre de construire des unités appartenant à des catégories lexicales différentes de celle de leur base; en conséquence, ils n'auraient qu'un rôle sémantique dans les mots construits. On conviendra d'appeler conception dominante cette mise en corrélation de la capacité catégorisatrice des affixes et de leur nature positionnelle. Cette idée reçue se répète à l'envi dans les grammaires, ouvrages de vulgarisation, dictionnaires ou travaux plus théoriques. Sous sa forme dure, elle distingue strictement les deux classes, baptisant “exceptions” les affixes récalcitrants (cf., par exemple, en grammaire générative, Williams, 1981, père du principe de la “tête à droite” selon laquelle, à l'image de ce qui se passe en syntaxe, le constituant de droite (base, ou suffixe assimilé à une catégorie majeure) transmettrait notamment sa catégorie aux mots construits); dans une version plus douce, elle admet que la différence puisse ne pas être aussi tranchée, ce qui se traduit, en grammaire générative, par des tentatives de substitution au principe rigide de la “tête à droite” de principes plus relatifs, mais qui ne changent au fond pas grand chose.
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Dumas, Denis. « La transcription phonétique du dictionnaire Franqus ». Revue de l'Université de Moncton 37, no 2 (1 juin 2007) : 99–110. http://dx.doi.org/10.7202/015841ar.

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Résumé :
La transcription phonétique du dictionnaire Franqus obéit à deux principes : réalisme, d'abord, pour garantir sa représentativité et sa légitimité sociale ; économie, ensuite, pour assurer sa cohérence interne et contrer la redondance inutile. Seront ainsi notés tous les phénomènes distinctifs (p. ex. les voyelles longues historiques /E:, A/) à l'exclusion des variations automatiques comme l'affrication des dentales. Également tous les faits qui, sans être distinctifs, sont invariables, comme les semi-voyelles prévocaliques intramorphémiques (p. ex. pied, puis, fouine, etc., mots toujours monosyllabiques). La morphologie intervient de son côté, entre autres dans le traitement de schwa (en fonction de certains suffixes, comme -ment) et dans le comportement de certains préfixes (dis-, préfixes à finale ... o-). Une attention particulière est donnée aux schwas « paradoxaux » (qui devraient ou pourraient s'effacer mais ne le font pas) et à l'adaptation locale des anglicismes. Bref, la transcription intègre l'ensemble des faits de structure phonologiques, morphologiques et lexicaux au sens strict propres à cette variété de la langue.
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Dixon, R. M. W. « Internal reconstruction of tense-modal suffixes in Jarawara ». Diachronica 18, no 1 (31 décembre 2001) : 3–30. http://dx.doi.org/10.1075/dia.18.1.03dix.

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Résumé :
Summary Jarawara (from the small Arawá family in southern Amazonia) has a system of eleven tense-modal suffixes, which show irregular form; each consists of an initial part (of form -hV-) and a final part of one or two syllables; both parts mark gender of the pivot argument in the clause. An earlier stage of the paradigm, which was almost regular, is obtained by internal reconstruction. The method hinges on recognition that the vowel e plays a pervasive role in diachronic change, engendering various types of assimilation. In addition, what was the final syllable of the stem has — as the result of reallocation of morpheme and word boundaries — been reanalysed as the initial -hV- syllable of the suffix. Résumé Jarawara, langue amérindienne qui fait partie de la petite famille linguistique Arawá de l’Amazonie meridionale, présente onze suffixes de modalité e de temps, chacun avec une forme irregulière. Chaque suffixe comprend une partie initiale, de forme -hV-, et une partie finale, d’une ou de deux syllabes. Les deux parties lèvent une marque de concordance en genre avec l’argument-pivot de la phrase. En suivant la métodologie de reconstruction interne, on arrive à une étape antérieure du système qui était prèsque régulier. L’application de cette méthode est basée à une présupposition que la voyelle e avait joué un rôle préponderant dans les processus de changement diachronique, tout en occasionnant de differents types d’assimilation. En plus de ça, la syllabe finale de chaque radical serait reanalysée comme la syllable initiale -hV- du suffixe, en consequence des modifications des frontières de morphème et de mot. Zusammenfassung Jarawara (eine Sprache der kleinen Arawá-Sprachfamilie im südlichen Amazonien) besitzt ein System aus elf Suffixen, die Tempus/Modalität ausdrücken. Diese sind unregelmäßig in ihrer Form. Jede Form besteht aus einer Anfangskomponente der Form -hv- und einer ein- oder zweisilbigen Endkomponente. Beide Komponenten kennzeichnen das Genus desjenigen Arguments im Satz, das in der Topikalitätshierarchie am höchsten steht (‘the pivot argument’). Durch interne Rekonstruktion erhält man ein früheres Stadium des Paradigmas, das fast regelmäßig war. Die Rekonstruktionsmethode hängt entscheidend davon ab zu erkennen, daß der Vokal e im historischen Wandel eine überaus wichtige Rolle spielt und verschiedene Assimilationsprozesse auslöst. Außerdem wurde aufgrund einer Verschiebung von Morphem- und Wortgrenzen die letzte Silbe des Stamms als Anfangssilbe -hV- des Suffixes reanalisiert.
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Miller, D. Gary. « The Morphological Legacy of French ». Diachronica 14, no 2 (1 janvier 1997) : 233–64. http://dx.doi.org/10.1075/dia.14.2.03mil.

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Résumé :
SUMMARY A reexamination of a small portion of the morphological evidence reveals that there were no fewer than 100 hybrid derivatives (of the type French suffix on native base) prior to 1450 and at least 64 before 1400. Given that most of the texts are literary, those are fairly high numbers. Moreover, the more banal the hybrid, the more likely it was to be allowed to occur in literary texts. Not surprisingly, glossaries and other non-literary texts are rich in hybrids, implying that the application of French suffixes to non-French roots was not uncommon in colloquial ME. Bilingual selection initially yielded a treasury of diverse caiques and lexemes, but code-switching normally precluded hybrid formation. The reassertion of English was facilitated by greater convergence. Monolingual speakers of this contact language could not distinguish nativized French words from English, permitting overlapping domains and morphological transfer. RÉSUMÉ Un reexamen d'une partie limitee des evidences morphologiques revele qu'il n'y eut pas moins d'une centaine de derives hybrides (du type où un suffixe frangais se joint a une racine anglaise) anterieurs a 1450 et au moins 64 avant 1400. Etant donne que la plupart des attestations viennent de textes litteraires, ces chiffres correspondent a un taux assez eleve. D'ailleurs, plus Thybride etait banal, plus il etait apte a figurer dans des textes litteraires. On constate sans etonnement que les glossaires et les autres textes non-litteraires abondent en formations hybrides, ce qui implique que la jonction des suffixes frangais avec des racines anglaises ne fut pas rare en moyen-anglais popu-late. Au debut ce fut la selection bilingue qui produisit un tresor de lexemes divers et de caiques, tout en evitant des formations hybrides lesquelles, de toute maniere, ne sont pas typiques lorsqu'il y a alternance codique. C'est la convergence linguistique qui a ensuite facilite la resurgence de 1'anglais. Les locuteurs unilingues de cette langue de contact ne surent pas distinguer les formations frangaises naturalisees des formations anglaises, permettant ainsi le chevauchement des domaines et, par la, des transferts morphologiques. ZUSAMMENFASSUNG Eine frische Untersuchung eines kleinen Teilbereiches der morpholo-gischen Daten des Mittelenglischen zeigt, da6 vor 1450 nicht weniger als 100 Hybridisierungen existierten; vor 1400 lassen sich mindestens 64 belegen. Benicksichtigt man, daß die zugrundeliegenden Texte uberwiegend litera-risch sind, so sind diese Zahlen durchaus hoch. Daruberhinaus laBt sich beobachten, daB die Mischformen umso eher in literarischen Texten EinlaB fan-den, je banaler sie waren. Es uberrascht also nicht, daB Glossare und andere nichtliterarische Texte reichhaltig an Mischformen sind, was darauf schlieBen laBt, daB die Anheftung franzosischer Suffixe an nichtfranzosische Stamme im umgangssprachlichen Mittelenglisch nicht unublich war. Anfangs produ-zierte zweisprachige Selektion einen Reichtum von verschiedenen Lexemen und Lehniibersetzungen, Kodewechsel aber schloB typischerweise Hybridi-sierungen aus. Konvergenz erleichterte dann die Wiedererstarkung des Engli-schen. Einsprachige Sprecher dieser Kontaktsprache waren nicht in der Lage, vereinheimischte franzosische Worter von englischen auseinanderzuhalten, was Uberlagerungen und morphologischen Transfer erlaubte.
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Gandsman Ari, Vanthune Karine. « Génocide ». Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.098.

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Résumé :
Si le but premier de l'anthropologie est de faire de notre monde un endroit sans danger pour les différences humaines, tel que l’affirma Ruth Benedict, le génocide, qui a pour but ultime l'élimination systématique de la différence, pose un problème urgent pour la discipline. Au cours des dernières décennies, le rôle et les responsabilités éthiques de l'anthropologue vis-à-vis des groupes auprès desquels il mène ses recherches ont fait l’objet de nombreux débats –dont entre autres ceux conduits par Scheper-Hughes (1995), qui plaide pour un engagement militant des chercheurs au nom d’une responsabilité morale, et d’Andrade (1995), qui argue pour leur neutralité afin de préserver leur objectivité. Toutefois, dans le contexte du génocide, de tels débats n’ont pas leur place, l'anthropologue ne pouvant en être un observateur détaché. L’anthropologie du génocide n’est apparue que vers la fin des années 1990, avec la publication d’Annihilating Difference (2002) de Laban Hinton. Plus généralement, les anthropologues ne s'intéressèrent pas à la violence étatique avant leur intérêt croissant pour le discours et la défense des droits humains, à partir des années 1980. Dès lors, ils s’éloignèrent de l'étude à petite échelle de communautés relativement stables, pour se concentrer sur des objets de plus grande échelle comme l’État, les institutions ou les mouvements transnationaux. Ce changement d’approche eut pour effet de dé-essentialiser le concept de culture, complexifiant du même coup l’analyse des différences humaines et de leur construction et leur réification pour fins d’annihilation. Les approches anthropologiques du génocide en historicisent et contextualisent le concept, en en faisant remonter les origines aux lendemains de la Seconde Guerre mondiale, lorsque les atrocités commises par l'Allemagne nazie furent décrites par Winston Churchill comme « crime sans nom ». Raphael Lemkin, un juriste polonais-juif, inventa le néologisme en combinant genos, le préfixe grec pour « gens », avec cide, le suffixe latin pour « meurtre » (Power 2002). Il fut adopté par le droit international en 1948, via la Convention des Nations Unies sur la prévention et la répression du génocide, qui le définit comme une série d'actes « commis dans l’intention de détruire, ou tout ou en partie, un groupe national, ethnique, racial ou religieux, comme tel ». Bien que les anthropologues n’abordassent pas directement le génocide nazi, beaucoup furent impliqués dans ce dernier. L’anthropologue Germaine Tillion, qui fut internée dans le camp de concentration de Ravensbrück après avoir été capturée comme membre de la résistance française, en publia même une étude ([1945] 2015). Le mouvement d’autocritique de la discipline a amené nombre d’anthropologues à relire, au travers du prisme du génocide, la complicité de leurs prédécesseurs avec les projets coloniaux de l’époque. L'« ethnologie de sauvetage », par exemple, a été dénoncée comme ayant problématiquement eu pour prémisse la disparition inévitable et rapide des peuples autochtones. Nancy Scheper-Hughes (2001) a à ce titre analysé la relation ambivalente qu’eut Alfred L. Kroeber avec Ishi, alors présumé dernier survivant d’un peuple décimé. L'anthropologie biologique et physique a pour sa part été accusée d’avoir accordé une crédibilité scientifique à des idéologies racistes ayant légitimé des génocides, comme ce fut le cas en Allemagne nazie. Plus insidieux est le fait que des théories anthropologiques aient pu être appropriées par des promoteurs de discours de différenciation et d’haine raciale, comme par exemple les théories hamitiques, inspirées des études linguistiques et mythologiques de l’indo-européen, qui furent plus tard mobilisées pour justifier le génocide rwandais. La plupart des études anthropologiques contemporaines sur le génocide en examinent l’après. Les anthropologues se concentrent notamment sur la manière dont les génocides sont remémorés et commémorés, en particulier en termes de construction de « la vérité » dans le contexte de projets dits de « justice transitionnelle », ou en relation avec le legs à plus long terme de cette violence, qui peut toucher plusieurs générations. Ce type d’études se centre généralement sur l’expérience des victimes. Quelques travaux, néanmoins, étudient les origines des génocides, et portent alors leur regard sur leurs auteurs –comme ceux de Taylor (1999) sur le Rwanda, ou de Schirmer (1998) sur le Guatemala– et se penchent sur la question du passage à l’acte et de la responsabilité individuelle (Terestchenko 2005 ; Kilani 2014). Ce type d’études prend ce faisant très au sérieux le problème éthique de la représentation du génocide, tel que le décria Adorno, quand il qualifia de barbare l’écriture de poésie après Auschwitz. Si représenter le génocide se présente comme une injonction morale, demeure le danger de le mystifier ou de le normaliser. C’est pourquoi la plupart des anthropologues qui analysent ce phénomène essaient d’être fidèles à l’appel de Taussig (1984) d’« écrire contre le terrorisme ». Ils reconnaissent toutefois les limites de toute approche compréhensive de ce phénomène, le témoin idéal du génocide, comme l’ont souligné Levi (1989) et Agamben (1999), étant celui qui ne peut plus parler. La définition du génocide continue de faire l’objet de débats importants parmi ses spécialistes, dont les anthropologues. Si les cibles d’un génocide sont généralement perçues comme constituant un groupe ethnique ou religieux aux yeux de ses protagonistes, Lemkin avait initialement prévu d'y inclure les groupes politiques. Or ces derniers furent exclus de la définition de la Convention en raison d'objections soulevées notamment par l'Union soviétique, à l'époque engagée dans l’élimination des présumés opposants politiques au régime stalinien. De nombreux chercheurs continuent de plaider pour que la définition du génocide ne fasse référence qu’à la seule intention d'éliminer des personnes sur la base de leur présumée différence raciale. D'autres, cependant, s’opposent à cette restriction de la définition, suggérant au contraire de l’élargir afin d'y inclure les catastrophes écologiques, par exemple, ou la destruction systématique d'identités culturelles, telle que le projetât le système des pensionnats indiens au Canada (Woolford 2009). Si élargir le sens du génocide risque de diluer sa spécificité au point de le banaliser, reste qu’une définition trop stricte du phénomène peut faciliter la contestation d’allégations de génocide pour quantité de meurtres de masse –et dès lors entraver sa prévention ou punition. C’est pourquoi Scheper-Hughes (2002), par exemple, plaide plutôt pour la reconnaissance de « continuums génocidaires ». Selon elle, démontrer le potentiel génocidaire des formes de violence quotidienne et symbolique par le biais desquelles les vies de certains groupes en viennent à être dévaluées, peut contribuer à la prévention de ce type de violence de masse. Un autre sujet de controverse concerne le particularisme de l'Holocauste, tantôt conçu comme un événement historique singulier qui défie toute comparaison, ou comme un phénomène d’extermination de masse parmi d’autres ayant eu pour précurseurs des génocides antérieurs, comme le génocide arménien. Une autre question est de savoir si un génocide ne peut se produire que dans un contexte où ses victimes sont sans défense, ce qui rendrait dès lors l’utilisation de ce concept inadmissible dans des situations où les victimes ont eu recours à la violence pour se défendre. De nombreux travaux anthropologiques ont d’ailleurs remis en cause la nature exclusive des catégories de victime, d’auteur ou de spectateur dans des situations de violence extrême, et ce étant donnée la « zone grise » identifiée par Levi (1989) et discutée par Agamben (1999) –soit ce matériau réfractaire, dans des situations de violence de masse, à tout établissement d'une responsabilité morale ou légale, l’opprimé pouvant devenir l’oppresseur, et le bourreau, une victime. Ce faisant, la plupart rejettent une conceptualisation purement relativiste du génocide, et dénoncent la mobilisation de ce concept pour justifier des programmes politiques racistes ou anti-immigration – comme c’est aujourd’hui le cas en Amérique du Nord et en Europe, où certains groupes fascistes d’extrême droite revendiquent être les victimes d’un « génocide blanc » pour légitimer des politiques xénophobes. La question de qui a l’autorité de qualifier des actes de violence comme constituant un génocide, et au nom de qui, demeure –tel que le démontre Mamdani (2009) dans sa critique du mouvement « Sauver le Darfour ». Qualifier tout phénomène de violence de masse de « génocide » n'est pas qu’un acte de description. Il constitue d’abord et avant tout une action politique qui implique un jugement éthique.
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Thèses sur le sujet "Préfixes et suffixes – Linguistique"

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Montermini, Fabio. « Le système préfixal en italien contemporain ». Paris 10, 2002. http://www.theses.fr/2002PA100002.

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Résumé :
Cette thèse prend en compte le fonctionnement du système préfixal de à l'intérieur de la morphologie constructionnelle de l'italien. La préfixation a toujours été un procédé qui a eu des difficultés à trouver un placement précis à l'intérieur du composant morphologique, de même, il s'est toujours avéré difficile d'identifier des critères univoques pour établir avec certitude quels éléments peuvent être considérés à plein titres des préfixes, et finalement des unités globalement définies comme "préfixe" présentent des comportements très hétèrogènes, qui semblent évoquer la necessité d'une division interne de cette classe. .
This thesis takes into account the mechanisms by which the prefixal system within derivational morphology of Italien works. Prefixation as always been a proceed which encountered difficulties to find a precise collocation within the morphological component, moreover, it has always been difficult to identify univocal criteria to establish which elements may be fully considered as being prefixes, and finally units globally defined as "prefixes" show very heterogeneous behaviours, that seem to evoke the need for a supplementary internal division of this class. .
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Triquenot, Anne. « Incidence de la préfixation sur le comportement sémantique et syntaxique de verbes à potentiel spatial ». Paris 5, 2007. http://www.theses.fr/2007PA05H027.

Texte intégral
Résumé :
Le but de ce travail est d'analyser l'incidence de la préfixation sur le sens de verbes complexes appartenant à la catégorie sémantique des verbes de déplacement, construits en synchronie ou en diachronie sur une base verbale ou nominale, et d'observer ses répercussions sur leur comportement syntaxique. La première partie présente les verbes à analyser au niveau formel et sémantique, et ainsi, permet de définir les concepts relatifs à l'expression de la relation spatiale et à la préfixation. Dans une seconde partie, sont posés la méthodologie et le cadre théorique de l'analyse. Dans la dernière partie, après avoir identifié les traits de sens des verbes simples et complexes, nous examinons les structures syntaxiques dans lesquelles ils peuvent fonctionner ainsi que leurs compatibilités avec les prépositions. L'analyse montre l'influence de la structure sur le sens et corrélativement sur le comportement syntaxique, et révèle plusieurs types d'opérations préfixales
This work aims to analyse the incidence of prefixation on the meaning of complex verbs belonging to the semantic category of verbs of motion, constructed in synchrony and diachrony on a verbal or nominal base, and to observe its repercussions on the syntactical behaviour of these verbs. The first part presents the verbs to be analysed at a formal and semantic level and defines the concepts concerning the expression of spatial relations and prefixation. The second part sets out the methodology and the theoretical framework of the analysis. In the last part, after identifying the meaning features of simple and complex verbs, we examine the syntactical structures in which they may function and their compatibility with prepositions. The analysis brings out the influence of the structure on meaning and correlatively on syntactical behaviour, and reveals several types of prefixal operations
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Amiot, Dany. « L'antériorité temporelle dans la préfixation en français ». Lille 3, 1995. http://www.theses.fr/1995LIL30013.

Texte intégral
Résumé :
Plusieurs préfixes servent, en francais contemporain, à construire des mots qui s'interprètent avec un sens d'anteriorité temporelle : ante-, avant-, pré- et pro-. Les analyses - qui ont ete menées à partir du plus productif d'entre eux, le préfixe pré-, puis étendues, par comparaison, aux autres modes de préfixation- s'inscrivent dans le cadre théorique de la morphologie dérivationnelle de D. Corbin et proposent une réflexion sur les différentes opérations - morphologiques (types de bases, contraintes, integration paradigmatique, etc. ) et sémantiques (opérations de repérages, de localisation, structures d'axes,etc. ) qui doivent être postulées pour que puisse être construit ce sens d'anteriorité temporelle; le but poursuivi étant de proposer une micro-systematique de cette categorie de préfixes
In contemporary french, several prefixes can be used to construct words with a meaning of temporal anteriority : ante-, avant-, pre- and pro-. The present work centers on the most productive of them, the prefixe pre-, and other prefixes are studied by comparison with it. Within the framework of prof. D. Corbin's theory of derivational morphology, suggestions are made about what operations of a morphologic or semantic character should be postulated to construct a meaning of temporal anteriority; the operations concern type of bases, derivational constraints and paradigmatic integration on the one hand and semantic operations of localisation and the form of temporal axes on the other hand. The purpose of the these is to propose a micro-systematic analysis of this category of prefixes
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Tse, Kwok Keung. « Problèmes d'aspect en Chinois cantonais : étude de trois suffixes verbaux : -dzo, -dzi et ma:i ». Paris 7, 1988. http://www.theses.fr/1988PA070038.

Texte intégral
Résumé :
L'etude de l'aspect en cantonais s'appuie essentiellement sur les suffixes verbaux, car ceux-ci constituent les principaux supports de valeurs aspectuelles. Dans le cadre d'une demarche classificatoire (cette demarche caracterise les travaux precedents concernant les problemes d'aspect en cantonais), un suffixe verbal est considere comme marqueur d'une valeur aspectuelle definie : on etablit une liste de valeurs aspectuelles telles que "accompli", "non accompli", "progressif", "duratif", etc. , pour ensuite les associer a tel ou tel suffixe. Or, il se trouve que ces valeurs aspectuelles ainsi definies ne sont pas adequates pour rendre compte de la complexite semantique des suffixes. En effet, lorsqu'on examine l'emploi des suffixes verbaux dans de differents enonces, on constate qu'un suffixe peut donner lieu a des interpretations variees selon son entourage contextuel, et que ces interpretations ne sont pas toutes de nature aspectuelle. Dans le present travail, nous adoptons une autre demarche en considerant qu'un suffixe verbal est la trace d'une operation qui s'inscrit dans l'enchainement d'operations de determination liees a la constitution d'un enonce. . .
The study of aspect in cantonese is grounded essentially on the verbal suffixes, for they constitute the major supports of aspectual values. Within the framework of a classifying approach (this approach caracterizes the previous works dealing with problems of aspect in cantonese), a verbal suffixe is considered as an aspect marker indicating a certain aspectual value such as "completed action", "non-completed action", "progressive", "durative", etc. However, it turns out that this classifying approach is not adequate to account for the semantic complexity of the suffixes. As a matter of fact, a verbal suffixe can have different readings according to its contextual environments, and these readings are not all of aspectual nature. In the present work, we set out with a different approach in considering that a verbal suffixe is the trace of an operation which is related to other operations of determination in the formation of an utterance. .
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Jeanmaire, Guillaume. « Les relateurs coréens -go et -eo(-eso) : fonctionnement et valeurs interpropositionnels ». Paris 7, 2003. http://www.theses.fr/2003PA070006.

Texte intégral
Résumé :
Dans ce travail nous avons étudié le fonctionnement et les valeurs interpropositionnels de -go et -eo (-seo). A l'aide de critères sémantico-syntaxiques, nous avons identifié leurs valeurs respectives : listing, successon chronologique, maintien de l'état résultant et concomitance pour -go, relation causale, consécution logique, maintien de l'état résultant pour -eo (-seo). Au premier abord, -go et -eo (seo) semblent partager les mêmes valeurs, mais au terme de cette étude, il nous apparaît que -go relie P1 à P2 de manière contingente alors qu'avec -eo (-seo) l'événement de P1 est lié à celui de P2 par une relation logique. Après avoir répertorié les valeurs de -go et -eo (-seo), nous avons discerné et articulé les facteurs qui contribuent à leur apparition régulière. Il ressort que les valeurs de -go et -eo (-seo) dépendent de l'interaction de plusieurs facteurs, tels que notamment, le type de procès des phrases noyaux, la coréférentialité des sujets, la négation
In this study we have investigated the inter-clausal functions and values of -go and -eo(-seo). Using semantic and syntactic criteria we have identified their respective values : listing, chronological succession, maintenance of the resulting state and concomitance for -go, causal relation, logical consecution, maintenance of the resulting state and concomitance for -eo(-seo). At first sight, -go and -eo(-seo) share more or less the same values. Bur having completed this study it appears that -go links S1 and S2 in a contingent way whereas, with -eo(-seo) S1 is linked to S2 by a logical relation. After listing the values of -go and -eo(-eso) we have discerned and articulated the factors which contribute to their regular usage. It emerges that the values of -go and -eo(-eso) depend on the interaction of several factors such as, namely, the type of process of the core sentences, the co-referentiality of the subjects, the negative
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Galli, Hugues. « Echappée en morphologie dérivationnelle : approche épistémologique de la discipline avec application au préfixe français "en-." ». Université Marc Bloch (Strasbourg) (1971-2008), 2006. https://publication-theses.unistra.fr/restreint/theses_doctorat/2006/GALLI_Hugues_2006.pdf.

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Résumé :
Ce travail de morphologie dérivationnelle se compose de deux grandes parties. La première partie relève d’une réflexion épistémologique sur la discipline à partir des travaux effectués sur la formation des mots français aussi bien en France qu’à l’étranger, qui aboutit plus précisément à l’étude du mécanisme de la préfixation. La deuxième partie, qui se veut plus empirique et qui sert d’illustration à notre démarche théorique, analyse le préfixe français en- de façon diachronique puis synchronique tout en combinant les résultats. Ce type de préfixation ressort de la préfixation « spatiale » puisque le préfixe en- possède une instruction sémantique de mouvement vers l’intériorité qui, suite à une série d’opérations linguistiques avec la base du mot construit et d’autres mots, permet de dénoter un mouvement concret voire abstrait (le changement d’état)
This study in derivational morphology contains two parts : the first one is devoted to an epistemological investigation that takes place within linguistic analyses about words formation in France and in other countries, specifically focused on the prefixation process ; the second part of this issue, more empirical than the first one, is supposed to be an illustration of the theoretical purpose based on both diachronic and synchronic analysis and scan results comparison. This kind of prefixation ensues from the « spatial » prefixation, because the prefix en- possess a semantic instruction shift towards the word’s inside. After a series of linguistic operations with complex word’s stems, the semantic shift can be real or abstract (change of state)
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Moscovici, Vladimir. « -isc- / -esc- dans les langues romanes : évolution et diffusion d'un suffixe ». Toulouse 2, 2010. http://www.theses.fr/2010TOU20022.

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Van, Laer Sophie. « La préverberation en latin : étude des préverbes ad, in, ob, et per dans la poésie républicaine et augustéenne ». Paris 4, 2003. http://www.theses.fr/2003PA040182.

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Résumé :
Le préverbe peut être défini comme " le préfixe d'un verbe ". Il convient de l'appréhender comme un "élément de relation" mettant en rapport une "entité-située" et une "entité-repère" dans le cadre d'un procès. Une étude confrontative des préverbes ad-, in-, ob, et per- dans la classe des verbes de déplacement agentif permet de caractériser le signifié spécifique de chacun. Nous constatons notamment que ob- connaît une autre valeur que celle de "face-à-face" : le "recouvrement", qui semble plus proche du signifié originel du préverbe. D'autre part, la différence entre "approche" et "entrée" ne suffit pas à rendre compte de ce qui oppose ad- et in- : le premier souligne souvent la distance initiale entre entité-située et entité-repère, tandis que la "limite double" peut également s'appliquer à un accès aisé ou se colorer d'hostilité. Grâce à l'étude sémantique des préverbes, nous pouvons dégager quelques caractéristiques qui relèvent plus largement du préverbe : constitution de séries paradigmatiques, principe d'affinité sémantique, continuum entre "portée interne" et "portée externe", importance de la représentation géométrique prêtée au référent du repère. Un dernier questionnement porte sur les liens entre le préverbe et la base verbale. Il semble qu'il faille renoncer à prêter au préverbe d'un verbe inchoatif une valeur aspectuelle : c'est plutôt la portée de l'affectation du sujet par la transformation prédiquée qui est caractérisée par le préverbe. Dans la parasynthèse, l'élément préfixal apparaît comme un préverbe fonctionnel. Syntaxiquement, la duplication ne semble pas être une variante libre, mais trouve toujours une justification, qu'elle relève de l'expressivité ou des contraintes liées à la sémantique des rôles. N'étant ni une préposition ni un "co-verbe", le préverbe mérite largement une étude spécifique. La préverbation, procédé de création lexicale, s'inscrit alors dans la question plus générale de la modélisation du réel au travers de l'énoncé
The preverb can be defined as "the prefix of a verb". It is appropriate to apprehend it like an "element of relation" bringing into contact an "entity-located" and an "entity-landmark" within the framework of a process. A confrontative study of preverbs ad-, in-, ob and per- in the class of the verbs of agentive movement makes it possible to characterize the specific value of each one. We note in particular that ob- knows another value that the one of "face-to-face" : the "covering", which seems closer to original meaning of the preverb. In addition, the difference between "approach" and "entry" is not enough to return account of what opposes ad- and in- : the first one often underlines the initial distance between entity-located and entity-landmark, while the "double limit" can apply to an easy access or give a touch of hostility. Owing to the semantic study of the preverbs, we can establish some characteristics which concern more largely the preverb: constitution of paradigmatic series, semantic principle of affinity, continuum between "internal range" and "external range", importance of the geometrical representation lent to the referent of the landmark. A last questioning relates to the links between the preverb and the verbal base. It seems that it is necessary to give up lending to the preverb of an inchoative verb an aspectual value: it is rather the range of the assignment of the subject by the predicated transformation which is characterized by the preverb. In the parasynthesis, the prefixal element seems to be a functional preverb. Syntactically, duplication does not seem to be a free alternative, but always finds a justification, whether it concerns the expressivity whether the constraints related to the semantics of the roles. Not being neither a preposition nor a "co-verb", the preverb largely deserves a specific study. The preverbation, processus of lexical creation, fits then in the more general question of the modeling of reality through the language
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Martzloff, Vincent. « Les Thèmes de présent en yod dans l'épigraphie italique et en latin archaïque ». Lyon 2, 2006. http://theses.univ-lyon2.fr/documents/lyon2/2006/martzloff_v.

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Résumé :
Le présent travail porte sur les reflets du suffixe indo-européen * ye/o dans les langues italiques (qui regroupent le latin, le falisque, le sabellique, le vénète). Il vise à établir une chronologie relative des changements phonétiques et des phénomènes morphologiques mis en œuvre, afin de restituer la préhistoire du système verbal italique. On montre que le type prétendûment « semi-thématique » remonte à des présents formés à l’aide d’un suffixe thématique * ye/o. On se penche ensuite sur la scission entre le type capi? et le type audi?, qui est conditionnée par deux facteurs principaux, qui tiennent à la structure phonologique du radical : la loi de Sievers et l’ « effet Niedermann », tendance par laquelle les radicaux en sonante donnent lieu à des verbes de la quatrième conjugaison. Une nouvelle analyse du cadre d’application de la loi de Thurneysen et de la chute de yod intervocalique permet d’expliquer certaines anomalies du verbe italique (infinitif latin fier?, ombrien FUIEST, vénète +HOREIONTE). On traite les problèmes philologiques soulevés par plusieurs inscriptions sabelliques, et on prête une attention soutenue au témoignage du (sud-)picénien
The present thesis aims to explore the reflexes of the Proto-Indo-European verbal suffix * ye/o in the Italic languages (among them Latin, Faliscan, Sabellic, Venetic) and to set up a relative chronology of sound laws and morphological processes involved, in order to track down the prehistory of the Italic verbal system. It is argued that the so-called “semithematic” type can be derived from PIE thematic * ye/o presents. The study examines the split into a capio type and an audio type, due to two main factors depending on the phonological shape of the root : Sievers’ law and the “Niedermann effect”, a development according to which roots ending with a sonant regularly yielded verbs belonging to the fourth conjugation. A new analysis of the circumstances surrounding Thurneysen’s law and the loss of intervocalic yod contributes to explaining some morphological oddities of Italic verbs (Latin fier?, Umbrian FUIEST, Venetic +HOREIONTE). The philological problems raised by several Sabellic inscriptions are treated, and the South Picene evidence is subjected to close scrutiny
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Colombo, Omar. « L'apprentissage du lexique et des suffixes évaluatifs en italien LE : la production écrite et la compréhension orale à partir d'images chez des étudiants francophones ». Grenoble 3, 2009. http://www.theses.fr/2009GRE39048.

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Résumé :
Nous nous intéressons aux besoins langagiers de l'apprentissage des suffixes évaluatifs de l'italien actuel, en compréhension orale comme en production écrite. Le domaine est l'acquisition lexicale en italien langue étrangère. L'objet de recherche est la dérivation lexicale et surtout nominale. Nous nous positionnons sur le plan de l'apprentissage et du réemploi des noms suffixés par les évaluatifs. Nous considérons les aspects linguistiques, psycholinguistiques et didactiques pour dégager les besoins langagiers des apprenants d'italien LE et LC : l'apprentissage et l'emploi des noms suffixés par la morphologie évaluative. Nous voulons mettre en évidence les besoins d’un apprenant débutant (de niveau A1) et d'un apprenant intermédiaire/avancé (de niveau A2/B1). Le côté pédagogique pourra ainsi prendre sa place dans cette recherche : comment répondre pédagogiquement aux besoins et aux difficultés des étudiants ? Selon nos résultats, la catégorie syntaxique qui se prête le plus à l’évaluation est la nominale. À la différence du procédé diachronique (par ex. , pantaloncini " shorts " ) le procédé synchronique (omino " homme petit ") s'est avéré moins important car il peut être remplacé par des tournures syntaxiques (piccolo uomo). Les apprenants affichent leur connaissance des diminutifs -ino et -etto, employés de façon appropriée en ce qui concerne le sémantisme quantitatif (la petitesse), ce qui explique l'hypergénéralisation des formations X-ino et du suffixe -ino ; tandis que l’augmentatif - one est utilisé souvent de façon non appropriée, en confondant son sémantisme typique, la grandeur, avec son antonyme, la petitesse (par ex. , *pallone/*ballone " ballon" pour palloncino "petit ballon") ; le péjoratif —accio est employé rarement et parfois de manière non appropriée ; le recours non fréquent au cumul suffixal, à l'infixe et à l'allomorphe de la base affirment leur difficulté morphosémantique et de gestion cognitive pour des apprenants en italien LE.
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Livres sur le sujet "Préfixes et suffixes – Linguistique"

1

Berdagué-Boutet, Évelyne. L' apprentissage du vocabulaire médical et de l'anatomie. Issy-les-Moulineaux : Estem, 2005.

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2

Ramé, Alain. L' apprentissage du vocabulaire médical. Paris : Elsevier, 2005.

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3

Hoftijzer, J. The function and use of the imperfect forms with nun paragogicum in classical Hebrew. Assen, Netherlands : Van Gorcum, 1985.

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4

Sein Name allein ist hoch : Das Jhw-haltige Suffix althebräischer Personennamen untersucht mit besonderer Berücksichtigung der alttestamentlichen Redaktionsgeschichte. Lund : Gleerup, 1986.

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5

VARIANTY PRISTAVOCNYX GLAGOLOV NESOVER?ENNOGO VIDA V RUSSKOM JAZYKE. (Variants of Russian prefixed imperfectives). Editions Rodopi, 1993.

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Chapitres de livres sur le sujet "Préfixes et suffixes – Linguistique"

1

Dębowiak, Przemysław. « Contribution à l’étymologie des adjectifs romans signifiant ‘petit’ ». Dans Essays in the History of Languages and Linguistics : Dedicated to Marek Stachowski on the Occasion of His 60th Birthday, 175–90. Ksiegarnia Akademicka Publishing, 2017. http://dx.doi.org/10.12797/9788376388618.09.

Texte intégral
Résumé :
L’objectif de la contribution est de réunir et de comparer les données disponibles, ainsi que les informations principales concernant le sujet de l’origine des adjectifs portant le sens de ‘petit’ dans les langues romanes. Leur étymologie n’a pas été définitivement éclairée jusqu’à présent. Alors, on expose et commente les principales hypothèses étymologiques proposées dans la littérature linguistique et on regarde de plus près les données historiques accessibles, en commençant par le latin. On arrive à la conclusion selon laquelle la richesse des adjectifs romans signifiant ‘petit’ (sauf en corse et en roumain qui sont commentés séparément) s’est créée à travers des combinaisons spontanées d’éléments appartenant à deux groupes de morphèmes fort expressifs : 1) radicaux véhiculant l’idée de petitesse, 2) suffixes à fonction affective, émotionnelle et/ou diminutive. Les formes contemporaines des adjectifs analysés trahissent normalement leur ancien caractère composé. On remarque aussi que dans beaucoup de cas, un radical ou un suffixe particulier se répète sur des territoires compacts ou voisins, sans que les dérivés finaux qui y fonctionnent soient forcément construits des mêmes éléments. On conclut qu’afin d’expliquer correctement l’origine de tous les mots en question, il faut surtout regarder le problème d’une perspective comparative.
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