Articles de revues sur le sujet « Pollution atmosphérique – Risques pour la santé »

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Bard, D., W. Kihal, S. Havard, G. Pedrono, C. Schillinger, D. Eilstein, C. Segala et D. Arveiler. « Le niveau socioéconomique influence-t-il les risques de la pollution atmosphérique pour la santé ? L’exemple de l’infarctus du myocarde, communauté urbaine de Strasbourg, 2000–2007 ». Revue d'Épidémiologie et de Santé Publique 61 (juin 2013) : S110. http://dx.doi.org/10.1016/j.respe.2013.03.014.

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DOUAFER, Louiza. « Le Premier Séminaire National sur : Biodiversité, Santé et Environnement : Enjeux du Développement Durable ». URBAN ART BIO 2, no 3 (29 janvier 2024) : 279. http://dx.doi.org/10.35788/uab.v2i3.108.

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Résumé :
Tout ce que le monde a réalisé en termes de progrès est remis en question sur le développement durable. C'est-à-dire, un développement qui, en plus des facteurs de croissance économique, d'équité et de cohésion sociale, prend en compte le facteur écologique de préservation et de valorisation de l'environnement. Ainsi, au-delà de l’émergence de maladies infectieuses, la dégradation des écosystèmes et la destruction de la biodiversité, combinées au dérèglement climatique global, peuvent avoir des effets directs et indirects sur la santé de l’Homme et de l’environnement. Ainsi, la dégradation des terres et la perte de biodiversité affectent la sécurité alimentaire en réduisant la productivité des terres agricoles. Les êtres humains sont au centre des préoccupations relatives au développement durable. Ils ont droit à une vie saine et productive, en harmonie avec la nature. La biodiversité est à l’origine de la vie sur terre. Elle rend des services à l’Homme qui lui apporte la santé et le bien-être. Elle est le socle de la médecine tra­ditionnelle et elle contribue à l’équilibre des écosystèmes. En fait, la conservation de la biodiversité et l'utilisation durable des ressources biologiques sont essentielles pour parvenir au développement durable. À titre, l’environnement est un déterminant majeur de la santé humaine et de la biodiversité, les facteurs environnementaux affectent également, à des degrés divers, la santé des animaux ou des végétaux et le fonctionnement des écosystèmes. La santé environnementale traite des dangers associés aux agents chimiques, biologiques et physiques présents dans l’environnement, de même que de leurs effets sur la santé de la population. À l’inverse, protéger l’environnement naturel procure des bénéfices pour les sociétés humaines, et permet de réduire les expositions aux pollutions, et ainsi de conserver la biodiversité. Actuellement, la pollution de l'environnement a atteint un niveau si alarmant qu'elle représente une grave menace pour l’Homme et l'environnement, la survie des autres organismes vivants, des perturbations dans les écosystèmes, la perte de ressources naturelles et de la biodiversité. En effet, les concepts de biodiversité, santé, et environnement se sont imposés comme des préoccupations majeures du développement durable, suite au constat de plus en plus flagrant de la responsabilité de l’Homme dans leur dégradation par la destruction et/ou le morcellement croissant des écosystèmes naturels. Par ses activités industrielles, agriculturales, économiques ou urbaines, mais aussi par le réchauffement climatique qu’il cause, l’Homme contribue à faire disparaître de nombreuses espèces vivantes et ainsi la dégradation de la qualité de l’environnement. Plus largement, la dégradation de la nature a également des répercussions économiques, sanitaires ou encore sociales. La pandémie de Covid-19 a été l’occasion brutale de prendre conscience des conséquences sanitaires des perturbations environnementales (la pollution atmosphérique) et de leur dimension planétaire, qui favoriserait la propagation du virus). D’ici peu, la destruction des écosystèmes, le dérèglement climatique, la perte de biodiversité et la diminution de la qualité de l’air et de l’eau pourraient compter parmi les premières causes de morbidité dans le monde. Il est donc essentiel d’appréhender désormais les questions de santé publique au prisme des enjeux environnementaux. La gestion de ces risques ne s’appuie plus seulement sur la crainte d’une pathologie mais sur l’angoisse que peut susciter l’avenir de l’humanité sur une planète mise en danger par une gestion trop techniciste et inéquitable. Ce sont bien les principes du développement durable qui sont ainsi convoqués. Et afin de répondre à cette problématique, Nous tenterons de rapprocher les grandes causes dégradant la biodiversité et l’environnement et la propagation des maladies. Donc, l’étude de la relation entre la biodiversité, l’environnement et notre santé, mérite en fait la plus grande rigueur. C'est le mérite de la présente manifestation de donner à penser correctement et trouver des solutions faces à ces problèmes.
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DONNARS, C., P. CELLIER et J. L. PEYRAUD. « Nouvelles de la recherche : expertise sur les flux d’azote liés aux élevages ». INRAE Productions Animales 25, no 4 (2 octobre 2012) : 389–92. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2012.25.4.3226.

Texte intégral
Résumé :
Une expertise scientifique collective conduite par l’Inra (INRA 2012) pointe l’importance des flux d’azote liés aux activités d’élevage et identifie des leviers pour limiter la pression sur l’environnement. Depuis une vingtaine d’années, les pollutions azotées font l’objet de diverses législations et plans d’action dans le cadre des politiques relatives à la qualité des eaux, de l’air et des écosystèmes. La transposition de la directive «Nitrates» (12 décembre 1991) fait actuellement l’objet d’un contentieux avec la commission européenne. C’est dans ce contexte que les ministères français en charge de l’Agriculture et de l’Ecologie ont sollicité l’Inra pour dresser un bilan de l’état des connaissances scientifiques sur les flux d’azote en élevage et leur devenir. L’objectif était de mettre à disposition des décideurs et des acteurs publics et privés les connaissances scientifiques actualisées et d’identifier des options permettant de réduire les pressions de l’azote sur l’environnement. 1/LA MÉTHODE D’EXPERTISE SCIENTIFIQUE COLLECTIVELe travail d’expertise a été porté par un collectif de 22 experts. Deux tiers d’entre eux appartiennent à l’Inra, un tiers à d’autres organismes de recherche (Irstea, CNRS, universités) dont deux experts des Pays-Bas (WUR) et un du Canada (Agriculture et Agroalimentaire Canada). Les sciences sociales ont fourni un quart de l’effectif d’experts, la zootechnie et l’approche systémique des systèmes d’élevage 40% et le complément regroupe des spécialistes des cycles biogéochimiques et de l’agronomie. La méthode a consisté à dresser un état des lieux critique des connaissances scientifiques publiées. Quelque 1360 références bibliographiques (2900 auteurs) ont été sélectionnées parmi les articles les plus récents (80% des sources sont postérieures à 1998) et relatifs ou transposables au cadre géographique français. L’analyse a privilégié l’échelle de l’exploitation agricole car c’est l’unité de référence des politiques agricoles et environnementales et des actions agronomiques. Cependant les informations scientifiques portent souvent sur un niveau infra : l’animal, l’atelier d’élevage, la parcelle, le bâtiment, la zone de stockage, etc., ou sur un niveau supra : le bassin versant, le paysage, les statistiques et modélisations nationales et internationales. Ces différents niveaux d’information ont permis d’approcher les variations entre productions et celles liées aux pratiques agricoles. 2 / L’EXPERTISE A MIS EN AVANT LE RÔLE MAJEUR DE L’ÉLEVAGE DANS LES FLUX D’AZOTE ET LES IMPACTS POTENTIELS 2.1 / Les flux d’azote en élevage et les fuites vers l’environnement sont élevésL’élevage utilise plus des trois quarts des quantités d’azote entrant dans les systèmes agricoles. Mais l’efficience, c’est-à-dire le rapport entre les sorties valorisées et les entrées d’azote, calculée au niveau de l’animal est globalement faible : souvent beaucoup moins de la moitié de l’azote ingéré se retrouve sous forme de protéines consommables, lait, œufs et viande. A l’échelle de l’exploitation d’élevage, une part de l’azote excrété dans les déjections est recyclée avec les effluents mais l’efficience reste néanmoins généralement inférieure à 50%. Le reste de l’azote se disperse dans l’environnement. L’élevage contribue ainsi pour environ la moitié aux pertes nationales de nitrates vers les eaux, et pour plus des trois quarts aux émissions nationales atmosphériques azotées, notamment sous forme d’ammoniac (et jusqu’à 90% si on tient compte du fait qu’une grande partie des engrais industriels est employée sur les cultures utilisées pour produire des aliments du bétail). L’azote se trouve de ce fait à la croisée de préoccupations croissantes en termes de compétitivité des filières animales et d’impacts sur l’environnement et sur la santé humaine. Ces impacts ont été récemment décrits dans une expertise européenne (European Nitrogen Assessment 2011). Ils interviennent au niveau de l’écosystème environnant (dépôts de NH3), de la région (NH3, NO3 -) et plus globalement dans le changement climatique (émissions de N2O). 2.2 / La question de l’azote ne se réduit pas à celles du nitrate, les émissions de NH3 constituent un enjeu fort Alors qu’en France, la question du nitrate a longtemps focalisé les débats, dans certains pays d’Europe du Nord, l’ammoniacest aussi de longue date au centre des préoccupations. D’abord étudié pour son rôle dans l’acidification et l’eutrophisation des milieux, l’ammoniac est aujourd’hui examiné dans le cadre de la pollution de l’air par les particules. Au niveau national, le premier contributeur d’émissions d’ammoniac est l’élevage bovin. 2.3 / Risques et impacts dépendent aussi de la sensibilité des territoires et de leur capacité d’épurationLes teneurs en nitrate des eaux ne dépendent pas seulement du niveau de surplus des bilans azotés mais aussi du climat, des types de sol, de la topographie et des modes d’occupation des sols : densité animale, part des terres agricoles dans les utilisations totales des surfaces, importance des prairies permanentes, etc. La présence majoritaire de prairies au sein des territoires réduit les risques de fuites de nitrate et d’émissions d’ammoniac. 3/LES FLUX D’AZOTE SONT AUSSI DÉTERMINÉS PAR DES CONSIDÉRATIONS ÉCONOMIQUES ET JURIDIQUES3.1 / La concentration spatiale des élevages a un rôle déterminant dans les impacts des pollutions azotéesLes plus fortes pressions azotées se situent dans les territoires de l’Ouest qui combinent productions de ruminants et de monogastriques. Les quantités d’azote contenues dans les effluents y dépassent parfois largement les capacités d’absorption des surfaces agricoles. Les territoires d’élevage plus extensifs connaissent des pressions azotées faibles. Cette hétérogénéité s’explique par la concentration géographique des filières animales, résultant principalement de facteurs économiques dont les moteurs relèvent des économies d’échelle et des économies d’agglomération qui sont liées à l’intensification et à la spécialisation des élevages ainsi qu’à leur concentration territoriale. La littérature scientifique pointe la difficulté de sortir d’une telle trajectoire, notamment parce que le fonctionnement technique et économique des acteurs des filières (producteurs d’intrants, éleveurs, transformateurs) est étroitement dépendant. 3.2 / L’encadrement juridique n’a pas permis d’atteindre les objectifs environnementaux La réglementation française a abouti à une multiplicité de zonages auxquels sont dédiés des normes, obligations ou programmes d’action volontaire. L’architecture d’ensemble est confuse et ses résultats critiqués de longue date. Parmi les difficultés rencontrées, la littérature pointe i) le caractère diffus des pollutions, qui, à la différence d’autres pays, n’a pas incité en France àune responsabilisation individuelle des éleveurs, ii) l’intégration de préoccupations économiques et sociales dans les politiques environnementales, iii) le suivi des objectifs environnementaux confié aux acteurs du développement agricole et les échelles administratives peu pertinentes vis-à-vis du réseau hydrographique. Enfin, la multiplicité des formes de pollution azotée pose la question de la cohérence d’ensemble des politiques, notamment entre les critères de la directive «Nitrates» et ceux la Convention de Genève sur la pollution atmosphérique (1979). 4/DE NOMBREUSES PISTES DE PROGRÈS EXISTENT QUI ENGAGENT PLUS OU MOINS EXPLOITANTS AGRICO- LES, TERRITOIRES ET FILIÈRES D’ÉLEVAGE4.1 / Améliorer les pratiques à l’échelle de l’exploitationLa littérature fournit de nombreuses pistes d’actions pour limiter les pertes d’azote dans l’exploitation (figure 1). Il est encore possible d’optimiser la nutrition azotée des animaux, cependant les gains escomptés sont modestes en regard des enjeux. La maîtrise de la chaîne de gestion des effluents ouvre plus de marges de manœuvre pour préserver l’azote organique et réduire les achats d’engrais minéraux. En effet, selon les modalités de gestion des effluents, les fuites vers l’environnement varient de 30 à 75% de l’azote rejeté par les animaux. Des innovations sont déjà disponibles pour le stockage et l’épandage, même si les incertitudes sur les facteurs de variation des émissions sont encore grandes. Il est enfin démontré que développer les prairies à base de légumineuses, les cultures intermédiaires pièges à nitrate (Cipan) et ajuster les rotations réduit les risques de lixiviation du nitrate. A l’échelle des systèmes, les modes de production à bas intrants (moins de fertilisants et d’aliments riches en protéines) améliorent l’efficience de l’azote et limitent donc les pertes vers l’environnement. Les indicateurs de type bilan d’azote à l’échelle de l’exploitation et de ses sous-systèmes (troupeau, gestion des effluents, sols et cultures) sont des outils adaptés pour identifier les sources d’inefficacité et rechercher les voies d’amélioration les mieux adaptées localement. De nombreux autres indicateurs approchent les niveaux d’émissions, de pollution ou les impacts, mais ne sont pas toujours d’usage facile. pour le document complet voir le pdf https://www6.inrae.fr/productions-animales/content/download/6365/88149/version/1/file/nouvelles+de+la+recherche.pdf
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Chaix, Basile, et Rémy Slama. « Changement climatique et santé : défis et opportunités pour la santé publique ». Questions de santé publique, no 45 (février 2023) : 1–8. http://dx.doi.org/10.1051/qsp/2023045.

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Résumé :
Au-delà de la déshydratation, de l’hyperthermie et d’effets sur les systèmes cardiaque, respiratoire, endocrinien, immunitaire et nerveux, les fortes chaleurs sont associées à une augmentation de la mortalité, des accidents au travail, des suicides, ainsi que des violences domestiques et agressions. Les îlots de chaleur urbains amplifient les effets sanitaires des vagues de chaleur. Les événements climatiques extrêmes entraînent notamment décès et traumatismes. Plus indirectement, le change- ment climatique induit une modification de la distribution géographique de maladies à vecteurs et de bactéries aquatiques. Les températures élevées et les événements extrêmes sont associés à une diminution des rendements agricoles, qui peut induire malnutrition et troubles de la croissance. Le changement climatique pourrait renforcer la prolifération d’algues toxiques, et il a des implications en termes d’allergies. Il impactera aussi la concentration atmosphérique de polluants, augmentera la fréquence des feux de forêts et des tempêtes de sable et de poussière, associés à des problèmes respiratoires. L’augmentation du niveau de la mer pourrait contribuer à des migrations climatiques de masse, induisant des problèmes de maladies infectieuses et de conflits. L’acidification des océans pourrait déstabiliser les économies reposant sur la pêche. Les mesures de lutte contre et d’adaptation au changement climatique concernent les secteurs de l’agriculture, de l’urbanisme, des transports, de l’énergie et de l’industrie, qui façonnent des déterminants majeurs de la santé (alimentation, activité physique, pollution atmosphérique et bruit, contaminants chimiques). La lutte contre le changement climatique constitue ainsi une fantastique opportunité pour améliorer la santé.
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Sow, Baïdy, Bertrand Tchanche, Ibrahima Fall, Saliou Souare et Aminata Mbow-Diokhane. « Pollution atmosphérique dans la ville de Dakar, Sénégal ». La Météorologie, no 116 (2022) : 048. http://dx.doi.org/10.37053/lameteorologie-2022-0013.

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Résumé :
La pollution atmosphérique est une menace pour la santé humaine et l'environnement avec des conséquences économiques et sociales considérables. Elle fait l'objet de nombreuses études à travers le monde, et en particulier dans les pays développés où des politiques de réduction des émissions de polluants sont progressivement mises en place. Les pays en développement, à l'instar du Sénégal, sont en retard et peinent à s'organiser pour préserver la qualité de l'air. L'absence de données relatives au suivi de la qualité de l'air et la faible prise en compte des émissions de polluants dans les secteurs des transports et de l'industrie ont amené le gouvernement du Sénégal à mettre en place en 2009 le centre de gestion de la qualité de l'air (CGQA). Les particules en suspension (PM10 et PM2.5) sont les polluants les plus importants observés à Dakar et leurs concentrations dépassent les seuils annuels fixés par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) (PM10 : 20 &#956;g m-3 et PM2.5 : 10 &#956;g m-3) avec un facteur de 6 à 9 pour les PM10 et un facteur de 2 à 5 pour les PM2.5. Comme conséquence, l'indice de la qualité de l'air (IQA) varie de mauvais (100 &#8804; IQA < 200) à très mauvais (IQA &#8805; 200) durant la saison sèche (novembre à mai) qui occupe la majeure partie de l'année. Les indices favorables, bon (IQA < 50) à moyen (50 &#8804; IQA < 100), sont obtenus durant la période de juin à octobre. En particulier l'IQA est en général bon durant la saison des pluies (août et septembre). Air pollution is a threat to human health and the environment with significant economic and social consequences. It is the subject of numerous studies throughout the world, and particularly in developed countries where policies to reduce pollutant emissions are being progressively implemented. Developing countries, like Senegal, are lagging behind and struggling to organize to preserve air quality. The lack of data on air quality monitoring and the low coverage of pollutant emissions in the transport sector and industry led the Government of Senegal to establish the Air Quality Management Center (CGQA0 : Centre de Gestion de la Qualité de l'Air) in 2009. PM10 and PM2.5 are the most important pollutants observed in Dakar and their concentrations exceed the annual thresholds set by the World Health Organization (WHO) (PM10 : 20 &#956;g m-3 and PM2.50 : 10 &#956;g m-3) with a factor of 6 to 9 for PM10 and a factor of 2 to 5 for PM2.5. As a result, the air quality index (AQI) varies from the bad (100 &#8804;AQI < 200) to the very bad (AQI&#8805;200) during the main dry season (November to May) part of the year. The favourable, good (AQI < 50) to moderate (50 &#8804; AQI < 100) indices are obtained during the period from June to October. In particular, the AQI is globally good during the rainy season (August to September).
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Host, S., E. Chatignoux, C. Leal et I. Grémy. « Exposition à la pollution atmosphérique de proximité liée au trafic : quelles méthodes pour quels risques sanitaires ? » Revue d'Épidémiologie et de Santé Publique 60, no 4 (août 2012) : 321–30. http://dx.doi.org/10.1016/j.respe.2012.02.007.

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Rozan, Anne. « Bénéfices de santé liés à la qualité de l'environnement. Peut-on négliger les coûts privés ? » Revue économique 51, no 3 (1 mai 2000) : 595–608. http://dx.doi.org/10.3917/reco.p2000.51n3.0595.

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Résumé :
Résumé Les évaluations des coûts sanitaires, réalisées jusqu'à présent en France, se basent sur les coûts « socialisés », c'est-à-dire les coûts de traitement et la perte de salaire. Or, le coût économique global de la maladie correspond à la somme du coût socialisé et du coût « privé », le coût privé représentant essentiellement le coût de la gêne. Nous montrons que, pour une évaluation complète, les méthodes du coût de la maladie et d'évaluation contingente sont parfaitement complémentaires. Nous les avons appliquées à l'évaluation des coûts liés à des pathologies bénignes dues à la pollution atmosphérique. Dans ce cas, le coût privé s'avère au moins aussi important que le coût socialisé. Négliger le coût privé entraîne une sous-estimation des coûts sanitaires, qui, dans une optique d'analyse coût-bénéfice, est susceptible d'en modifier les conclusions.
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Payment, P. « Effets sur la santé de la recroissance bactérienne dans les eaux de consommation / Health significance of bacterial regrowth in drinking water [Tribune libre, texte anglais et français] ». Revue des sciences de l'eau 8, no 3 (12 avril 2005) : 301–14. http://dx.doi.org/10.7202/705225ar.

Texte intégral
Résumé :
La présence de bactéries hétérotrophes dans les eaux de consommation (robinet filtrée sur unités domestiques ou embouteillées) constitue un problème difficile à résoudre car on connaît très mal leurs effets sur la santé humaine. Deux points de vue s'affrontent: l'une perçoit ces bactéries comme des bactéries sans aucune importance quel que soit leur nombre, l'autre suppose que certaines d'entre elles sont potentiellement pathogènes et que l'on ne doit pas leur permettre de se multiplier indûment dans l'eau de consommation. Ces bactéries hétérotrophes sont présentes partout et elles trouvent dans l'eau de consommation une niche écologique qui permet parfois leur croissance en grand nombre (e.g., nodules du réseau, tuyauterie des maisons, chauffe-eau, eaux embouteillées, filtre à charbon actif, etc.). Elles ne sont généralement pas d'origine fécale et ne peuvent donc pas servir d'indicateur de pollution fécale. De plus, les indicateurs fécaux tels les coliformes ou Escherichia coli ne peuvent servir à décrire ce groupe de bactéries. Des études réalisées aux États-Unis chez des familles consommant de l'eau filtrée sur filtres à usage domestiques n'ont pas mis en évidence d'effet sur la santé de concentrations élevées de bactéries hétérotrophes. D'autres études ont suggéré qu'une forte croissance de ces bactéries pouvait même être inhibitrice de la croissance des coliformes fécaux et de certaines bactéries pathogènes. Enfin, on a mis en évidence dans certains cas un effet inhibiteur de la présence de grand nombre de ces bactéries lors de l'énumération des bactéries indicatrices par filtration sur membrane. Au contraire, des études canadiennes récentes suggèrent que la présence de bactéries hétérotrophes en grand nombre pourrait avoir des effets sur la santé des consommateurs d'eau. Ces effets ont été observés lors de la prolifération de la flore bactérienne hétérotrophe dans les réservoirs d'unités de filtration par osmose-inversée. Enfin, des bactéries possédant des facteurs de virulence, et pouvant donc initier des maladies, ont été identifiées dans les eaux de consommation et posent le problème sous un angle nouveau. Les indicateurs dont nous disposons pour évaluer les effets sur la santé des eaux de consommation sont de plus en plus remis en question. Les indicateurs de pollution fécale étant inadéquats pour l'évaluation des risques sur la santé il faudra maintenant nous tourner vers d'autres méthodes pour la surveillance des risques associés à la consommation d'eau. n est très difficile avec les informations dont nous disposons maintenant, de définir si l'on doit réglementer le nombre de bactéries hétérotrophes ou si l'on doit tout simplement faire tous les efforts pour éviter les recroissances non-contrôlées.
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El Attaoui, Zuhair, Fatima Zohra Alaoui Sossi et Youssef El Khatori. « La gestion des risques menaçant la qualité de l’eau : application du PGSSE et la méthode HACCP ». SHS Web of Conferences 175 (2023) : 01037. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/202317501037.

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Résumé :
La gestion des risques est essentielle pour améliorer la qualité de l’eau et garantir la sécurité de l’approvisionnement en eau potable. Identification des sources de risque La première phase de la gestion des risques consiste à identifier les sources potentielles de contamination de l’eau. Il peut s’agir de pollution industrielle, de déversements accidentels, de rejets agricoles, d’infrastructures de traitement défaillantes, d’infiltrations de contaminants dans les sources d’eau, etc. Une analyse approfondie des différentes sources de risque permet de mieux comprendre les menaces qui pèsent sur la qualité de l’eau. Une fois les sources de risque identifiées, il est essentiel de procéder à une évaluation des risques. Il s’agit d’analyser la probabilité d’occurrence d’événements indésirables et l’impact qu’ils pourraient avoir sur la qualité de l’eau. Des outils tels que l’analyse des modes de défaillance, de leurs effets et de leur criticité (AMDEC) peuvent être utilisés pour évaluer les risques de manière systématique. Sur la base de l’évaluation des risques, des mesures préventives doivent être mises en place pour réduire la probabilité d’occurrence des événements indésirables. Il peut s’agir de mettre en oeuvre de bonnes pratiques agricoles, de réglementer les rejets industriels, d’inspecter régulièrement les installations de traitement de l’eau, de surveiller en permanence les sources d’eau, etc. L’objectif est de prévenir les sources potentielles de contamination et de minimiser les risques associés. Le contrôle régulier de la qualité de l’eau est un élément clé de la gestion des risques. Il s’agit de prélever des échantillons d’eau à différents stades du processus d’approvisionnement en eau et d’effectuer des tests pour détecter la présence de contaminants. La mise en place de systèmes de contrôle efficaces permet d’identifier rapidement les problèmes potentiels et de prendre les mesures correctives qui s’imposent. Malgré les mesures préventives, il est important de se préparer à d’éventuelles situations d’urgence. Les plans d’intervention d’urgence doivent comprendre des protocoles clairs et des mesures à prendre en cas de contamination de l’eau, afin de minimiser l’impact sur la santé publique. Il peut s’agir de plans d’alerte, de procédures de communication, de moyens de traitement alternatifs et d’une coordination avec les autorités compétentes. L’objectif de cet article est de réaliser une analyse des risques liés au processus de distribution de l’eau potable. En utilisant la méthode HACCP appliquée au sein du Laboratoire rattaché à la société de distribution d’eau au nord du Maroc, nous nous intéresserons aux principales causes des risques entachant ce processus, en nous basant sur les résultats du traitement des échantillons afin de garantir la sécurité et la qualité de l’eau potable dans la région de Larache et de contribuer aux efforts de protection de l’eau contre la détérioration de la qualité et de la quantité due à la pollution et aux déchets.
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Wolfgang, Yapo Toussaint, Gbagbo Tchape Aubin, Kpaibe Sawa Andre Philippe, Kouassi-Agbessi Therese Brah et Amin N’cho Christophe. « Qualité Physico-Chimique Et Bactériologique D’un Système Lotique En Milieu Rural : Cas De La Rivière Gbecheho De Moutcho (Agboville, Cote D’Ivoire) ». International Journal of Progressive Sciences and Technologies 40, no 1 (26 août 2023) : 184. http://dx.doi.org/10.52155/ijpsat.v40.1.5550.

Texte intégral
Résumé :
En vue d’offrir des éléments de base pour mieux apprécier la qualité des eaux de la rivière Gbecheho, nous avons procédé à une caractérisation physico-chimique et bactériologique des eaux de cette rivière. Pour ce faire, des données ont été collectées pendant la période de Novembre 2017 à Décembre 2018 au niveau de différents sites d’échantillonnage. Sur ces échantillons, les paramètres physico-chimiques classiques ont été déterminés par des méthodes électrochimiques, colorimétriques et l'analyse microbiologique a été réalisée par la technique de filtration membranaire.Les résultats ont montré que les eaux analysées sont faiblement minéralisées et contenaient toutes des germes indicateurs de pollution fécale. La non-conformité de ces eaux était liée à la turbidité, à la température, au fer total, au chlore résiduel, au nitrite et aux germes suivants :E coli, E faecalis, Coliforme totaux, Coliforme Thermo tolérants, Pseudomonas, Anaérobies sulfito-réducteurs. Ainsi, pour minimiser des éventuels risques sanitaires, l’adoption des mesures d’hygiène est à envisager en vue de préserver la santé des populations,.
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Marrone, Erica, Cristina Longo, Jennifer O’Loughlin, Paul J. Villeneuve, Michael Zappitelli, Gillian Bartlett-Esquilant et Tracie A. Barnett. « Association entre l’exposition annuelle à la pollution atmosphérique et la pression artérielle systolique chez des adolescents à Montréal (Canada) ». Promotion de la santé et prévention des maladies chroniques au Canada 43, no 4 (avril 2023) : 211–19. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.43.4.04f.

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Résumé :
Introduction Chez l’adulte, l’exposition chronique à la pollution atmosphérique est associée à une élévation de la pression artérielle, mais peu d’études ont porté sur ce lien chez les jeunes. Nous avons étudié l’association entre les concentrations ambiantes annuelles de polluants atmosphériques (particules fines [PM2,5] et dioxyde d’azote [NO2]) et la pression artérielle systolique (PAS) chez des adolescents à Montréal (Canada). Méthodologie Les participants étaient des élèves de 15 à 17 ans ayant fourni des données sur leur PAS et le code postal de leur lieu de résidence en 2004-2005 dans le cadre de l’étude sur la dépendance à la nicotine chez les adolescents (NICO). Les estimations annuelles de l’exposition résidentielle au NO2 et aux PM2,5 pour 2004, fournies par le Canadian Urban Environmental Health Research Consortium, ont été couplées au code postal du lieu de résidence des participants. La PAS a été jugée élevée lorsqu’elle était supérieure ou égale au 90e percentile ajusté pour l’âge, le sexe et la taille. Une régression logistique a servi à estimer les rapports de cotes et les intervalles de confiance (IC) à 95 % pour l’association entre chaque polluant et une PAS élevée, avec ajustement pour les variables de confusion pertinentes. Résultats L’échantillon comprenait 508 adolescents (âge moyen : 16,9 ans; 46 % étant de sexe masculin), dont 4 % avec une PAS élevée. Même si les estimations ne sont pas statistiquement significatives, des associations positives généralement modestes ont été constatées entre les concentrations de polluants et la PAS. Le rapport de cotes ajusté de la prévalence d’une PAS élevée était de 1,33 (IC à 95 % : 0,64 à 3,05) par augmentation de chaque intervalle interquartile (IIQ) de concentration résidentielle de PM2,5 (2,1 μg/m3). De même, le rapport de cotes ajusté de la prévalence d’une PAS élevée était de 1,17 (IC à 95 % : 0,47 à 2,70) par augmentation de chaque IIQ de concentration résidentielle de NO2 (10,2 ppb). Conclusion Les résultats corroborent l’existence d’un lien possible entre l’exposition aux polluants atmosphériques et l’élévation de la PAS chez les adolescents, ce qui justifie une analyse approfondie portant sur cet important problème de santé publique.
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Payment, P., et P. Hartemann. « Les contaminants de l'eau et leurs effets sur la santé ». Revue des sciences de l'eau 11 (12 avril 2005) : 199–210. http://dx.doi.org/10.7202/705338ar.

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Résumé :
La transmission des maladies par la voie hydrique est sous contrôle dans la majorité des pays industrialisés. Malgré tout des maladies épidémiques ou endémiques sont encore observées. Plusieurs microorganismes sont en émergence, et Cryptosporidium a été impliqué dans des épidémies importantes dans plusieurs pays. Le conrôle de ces maladies transmissibles par la voie hydrique requiert des autorités des nouvelles approches qui allient le contrôle des risques de cancer dûs aux sous-produits de la désinfection au contrôle des micro-organismes les plus résistants . Aux Etats-Unis, l'objectif proposé est l'absence de microorganismes dans l'eau potable. Cet objectif ne peut être contrôlé par les indicateurs usuels et l'on recommande donc un niveau de traitement équivalent. Le traitement est alors contrôlé en temps réel par des moyens physico-chimiques tels la turbidité ou la mesure des particules, et un contrôle a posteriori par de nouveaux indicateurs telles les spores des bactéries sporulantes aérobies. Le vieillissement des installations, des populations immunocompromises et une urbanisation grandissante sont autant de causes de l'émergence de nouvelles maladies infectieuses dont certaines transmissibles par la voie hydrique. La proportion des maladies gastro-intestinales qui est attribuable à l'eau de consommation est encore très grande et elle contribue à maintenir ces infections en circulation dans la population. Le dilemme du contrôle des risques de cancer dus aux sous-produits de la désinfection ne doit pas conduire à une réduction de l'efficacité des traitements, car le niveau de risque à partir duquel ont été fixées les concentrations maximales admissibles de ces sous-produits dans l'eau (10-6 cas de cancer par vie entière d'exposition) est bien plus faible que celui de contracter une maladie infectieuse d'origine hydrique en absence de traitement adéquat. La situation en matière de pathologies induites par la consommation d'eau est extrêmement contrastée selon les pays. En effet la transmission de maladies infectieuses par la voie hydrique a été maîtrisée dans la plupart des pays industrialisés par la mise en place d'installations de traitement et d'un contrôle sanitaire s'appuyant sur une réglementation abondante. A l'opposé la situation des pays en voie de développement reste souvent très mauvaise dans ce domaine et l'Organisation Mondiale de Santé estime que 1,5 milliards d'habitants ne disposent pas encore d'eau potable dont cent millions en Europe et que 30 000 morts journalières sont dues à l'absence d'une eau en quantité et qualité satisfaisantes (Ford et Colwell 1996). En revanche les pays développés voient la qualité chimique des eaux distribuées de plus en plus souvent mise en cause par les associations de consommateurs. Outre le progrès très rapide des techniques analytiques qui permet de découvrir la présence de traces dont on ne soupçonnait guère la présence dans l'eau du robinet, la pollution croissante de la ressource, les traitements de désinfection et le contact avec les matériaux des réseaux de distribution apportent des molécules dont la toxicité à moyen et long terme mérite d'être évaluée. La mise en oeuvre de traitements de désinfection dont l'utilité est indiscutable et l'effet sur la morbidité et la mortalité par pathologie infectieuse chez des populations desservies parfaitement significatif, s'accompagne de la formation de sous-produits. Certains de ceux-ci étant cancérigènes et/ou mutagènes en expérimentation de laboratoire et des études épidémiologiques ayant pu montrer une légère augmentation du risque de cancer dans la population, l'impact médiatique de cette information peut conduire à une mauvaise appréciation dans la gestion des risques pour la santé. Ainsi l'arrêt de la chloration pour éviter la formation de sous produits et quelques cas de cancers aurait conduit un pays d'Amérique du Sud a enregistrer une importante épidémie de choléra et des centaines de décès. Il n'est pas facile de gérer ce paradoxe entre sophistication du traitement lié à la pollution de la ressource entraînant la présence de sous produits de désinfection et la persistance d'éléments traces et de divers microorganismes dans une eau de qualité conforme aux critères de potabilité mais que le consommateur ne veut plus consommer. Dans cet article nous tenterons de faire le point sur le risque hydrique pour la santé lié d'une part aux contaminants biologiques et d'autre part aux contaminants chimiques. Sa meilleure connaissance est la clef d'une stratégie de gestion efficace et d'une reconquête du consommateur que la publicité a trop tendance à orienter vers les eaux embouteillées.
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Wanigaratne, S., E. Holowaty, H. Jiang, TA Norwood, R. Pietrusiak et R. Brown. « Estimation du risque de cancer lié à l'exposition au tritium dans le cadre des activités courantes de la centrale nucléaire de Pickering (Ontario) ». Maladies chroniques et blessures au Canada 33, no 4 (septembre 2013) : 278–89. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.33.4.06f.

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Résumé :
Introduction D'après les données dont nous disposons, les niveaux actuels des émissions de tritium provenant des réacteurs CANDU au Canada n'entraîneraient pas d'effets néfastes sur la santé. Toutefois, les études ne précisent pas les doses spécifiques au tritium, et reposent sur un petit nombre de cas. La présente étude avait pour but de déterminer si le tritium émis par la centrale nucléaire de Pickering, en Ontario, lors de ses activités courantes, est associé à un risque de cancer. Méthodologie Nous avons constitué une cohorte rétrospective en couplant les données sur les résidents de Pickering et de North Oshawa (1985) à celles sur les nouveaux de cas cancer (1985-2005). Nous avons examiné les cas de cancer tous sièges combinés, ainsi que les cas de leucémie, de cancer du poumon, de cancer de la thyroïde et de cancer infantile (6-19 ans) pour les sujets de sexe masculin et féminin, de même que les cas de cancer du sein chez la femme. Les estimations de la concentration de tritium reposaient sur un modèle de dispersion atmosphérique qui intégrait les caractéristiques des émissions annuelles de tritium et les données météorologiques. Chaque membre de la cohorte s'est vu assigner une estimation de la concentration de tritium, en fonction de son lieu précis de résidence. Une analyse des années-personnes a permis de déterminer si les cas de cancer observés étaient plus nombreux que prévus. Un modèle de régression des risques proportionnels de Cox a servi à établir si le tritium était associé à des cancers radiosensibles à Pickering. Résultats Une analyse des années-personnes a révélé que le nombre de cas de cancer chez les jeunes filles était significativement plus élevé que prévu (rapport standardisé d'incidence [RSI] = 1,99, intervalle de confiance [IC] à 95 % : 1,08 à 3,38). L'explication la plus plausible de cette observation est le recours à des comparaisons multiples. Les modèles de Cox ont révélé que le cancer du poumon chez la femme était significativement plus élevé à Pickering qu'à North Oshawa (RR = 2,34; IC à 95 % : 1,23 à 4,46) et que le tritium n'était pas associé à une augmentation du risque. La méthodologie améliorée de la présente étude nous permet de mieux comprendre les risques de cancer associés à une exposition à de faibles doses de tritium. Conclusion Les doses estimées de tritium n'ont pas été associées à une augmentation du risque de cancers radiosensibles à Pickering.
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Yapo, Wolfgang Toussaint, George Aubin Tchapé Gbagbo, Franck-Renaud Djedjro Meless, Philippe André Sawa Kpaibe, Thérèse Agbessi Kouassi et Christophe Ncho Amin. « Caractérisation des eaux d’ablutions utilisées dans les lieux d’aisance : cas des toilettes publiques de la commune de Yopougon (Abidjan) ». International Journal of Biological and Chemical Sciences 17, no 4 (19 septembre 2023) : 1765–77. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v17i4.37.

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Résumé :
Les eaux des toilettes publiques quelquefois utilisées pour des ablutions présentent de nombreux risques sanitaires pour les populations. L’objectif visé était de déterminer la qualité physico-chimique et bactériologique de ces eaux. Ainsi, des données ont été collectées afin d’évaluer les risques sanitaires liés à de telle pratique. Pour ce faire, des paramètres physico-chimiques classiques ont été déterminés par des méthodes électrochimiques et spectrophotométriques. Les paramètres bactériologiques ont été déterminés par la technique de filtration sur membrane. Il ressort de ces analyses que la plupart des échantillons d’eau analysées ne sont pas conformes aux normes. Les paramètres incriminés sont le chlore résiduel (0.09 mg/L), la turbidité (1,88 UNT), les E. coli (3 UFC/100 ml), les coliformes totaux (53 UFC/100 ml). Aussi, notons-nous une corrélation entre les paramètres physico-chimiques et bactériologiques impliquant le pH et les E. coli (r=0.46). De ce fait, l’eau d’ablution des latrines publiques est caractérisée principalement par son très faible degré de désinfection. Cela engendre le développement de germes indicateurs de pollution fécale caractérisés par les Escherichia coli constituant d’énormes risques sanitaires pour les populations. Une surveillance sanitaire de ces eaux servant d’ablution s’avère donc nécessaire pour préserver la santé des populations English title: Characterization of ablution water used in lavatories: Case of public toilets in the municipality of Yopougon (Abidjan) Water from public toilets sometimes used for ablutions presents many health risks for the population.The objective of this study is to determine the physico-chemical and bacteriological quality of ablution waterfrom public latrines in order to preserve the health of the population. Thus, data was collected to assess the healthrisks associated with such a practice. To do this, classical physico-chemical parameters were determined by electrochemical and spectrophotometric methods. The bacteriological parameters were determined by themembrane filtration technique. It appears from these analyzes that most of the water samples analyzed do notcomply with the standards. The parameters in question are residual chlorine (0.09 mg/L), turbidity (1.88 UNT),E. coli (3 CFU/100 ml), total coliforms (53 CFU/100 ml). Also, we note a correlation between the physicochemical and bacteriological parameters involving pH and E. coli (r=0.46). As a result, ablution water frompublic latrines is characterized mainly by its very low degree of disinfection. This leads to the development offaecal pollution indicator germs characterized by Escherichia coli constituting enormous health risks forpopulations. Sanitary monitoring of these waters used for ablution is therefore necessary to preserve the healthof the populations.
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Garnier, R., C. Pietin, A. Nicolas, A. Villa, G. Goupil, S. Gros-Daillon, A. Brasseur, J. Langrand et C. Legout. « Pollution aérienne par le perchloroéthylène des établissements de nettoyage à sec : quels risques pour la santé des riverains ? Résultats d’une enquête francilienne ». Toxicologie Analytique et Clinique 27, no 2 (juin 2015) : S28—S29. http://dx.doi.org/10.1016/j.toxac.2015.03.033.

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Nedellec, V., L. Mosqueron, H. Desqueyroux, J. Nicolas, G. Bruno et C. Liousse. « P43 - Impact de la pollution atmosphérique due au trafic routier sur la santé des enfants urbains en France : situation en 2000 et prévision pour 2010 ». Revue d'Épidémiologie et de Santé Publique 53, no 4 (septembre 2005) : 444. http://dx.doi.org/10.1016/s0398-7620(05)84665-6.

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Leandre, Konan Loukou, Kouadio Ahou Rosine, Essis Marie Laure, Kedote Marius, Fobil Julius et Tiembre Issaka. « Pollution de l’air et comportement à risque des employés de boulangerie à Abidjan (Côte d’Ivoire) ». European Scientific Journal, ESJ 18, no 24 (31 juillet 2022) : 90. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2022.v18n24p90.

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Résumé :
Dans le secteur de la boulangerie, les employés sont régulièrement exposés à la poussière de farine qui est nocive pour la santé. Cependant, les employés de boulangeries à Abidjan ne prennent pas assez de précautions à leurs postes de travail afin de réduire les risques auxquels ils sont exposés. L’objectif de cette étude est de mettre en exergue le comportement à risque des employés de boulangeries dans l’exercice de leurs activités à Abidjan. A travers une approche mixte, cette recherche s’est appuyée sur des techniques aussi bien quantitatives que qualitatives. Des entretiens semi-directifs et des questionnaires ont été réalisés avec les employés au sein de la boulangerie. À ces techniques, une observation directe a été effectuée au sein de la boulangerie sur le cadre de travail et le port des équipements de protection. La qualité de l’air a été mesurée à l’aide du Quest 3M EVM-7. Les résultats montrent que 35 boulangeries (87,5%) sur les 40 investiguées utilisent le gaz butane comme combustible. Les mesures de PM2,5 donnent des valeurs moyennes de 280 µg/m3 et 260 µg/m3 respectivement en zone de production et de vente. Ces mesures correspondent respectivement à 11 et à 10 fois la norme de l’OMS. Dans ce cadre de travail, (374/599, 62,4%) des employés pensent que ne pas porter les équipements de protection individuelle ne constitue pas un risque pour leur santé. De plus ces boulangeries adoptent un système de nettoyage qui met en suspension la poussière de farine, impactant ainsi la qualité de l’air. La sensibilisation sur les risques sanitaires liés à la pollution de l’air dans les boulangeries est indispensable à l’adoption de bonnes pratiques professionnelles par les employés de ces structures. In the bakery sector, employees are regularly exposed to flour dust which is harmful to health. However, bakery workers in Abidjan do not take enough precautions at their workstations to reduce the risks to which they are exposed. The objective of this study is to highlight the risky behaviour of bakery workers in the exercise of their activities in Abidjan. Using a mixed-methods approach, this research relied on both quantitative and qualitative techniques. Semi-structured interviews and questionnaires were conducted with employees in the bakery. In addition to these techniques, direct observation was carried out in the bakery on the working environment and the wearing of protective equipment. Air quality was measured using the Quest 3M EVM-7. The results show that 35 bakeries (87.5%) out of the 40 investigated use butane gas as fuel. The PM2.5 measurements gave average values of 280 µg/m3 and 260 µg/m3 in the production and sales areas respectively. These measurements correspond to 11 and 10 times the WHO standard respectively. In this work environment, (374/599, 62.4%) of the employees believe that not wearing personal protective equipment does not constitute a risk to their health. In addition, these bakeries adopt a cleaning system that suspends flour dust, thus impacting air quality. Raising awareness of the health risks associated with air pollution in bakeries is essential for the adoption of good working practices by the employees of these facilities.
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Cloreil, EBOA MBONJO Franck, NGO BOUM-NKOT Suzanne, EBONJI SETH Rodrigue, NLEND YVON Bertil et TCHOUMBOUGNANG François. « Conditions to access of Drinking Water, Waterborne Diseases and Link with Socio-Environmental Aspects in Peri-Urban Areas Of Douala Littoral Cameroon, Sub-Saharan Africa ». International Journal of Progressive Sciences and Technologies 38, no 1 (20 avril 2023) : 170. http://dx.doi.org/10.52155/ijpsat.v38.1.5017.

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Résumé :
Les conditions d’accès à l’eau potable et le risque d’apparition de maladies hydriques dans les localités périurbaines de Dibombari, Bonaléa et Mbanga ont été étudiés. Des enquêtes ont été menées dans le cadre de cas de santé afin d’identifier les personnes souffrant de maladies d’origine hydrique; les ressources en eau consommées par ces individus ont été examinées dans leur environnement immédiat, puis leurs paramètres physico-chimiques in situ ont été mesurés à l’aide d’un multiparamètre portable Hanna HI98192. Les tests statistiques d’association du Chi2 et du Rho de Spearman couplés à des modèles de régression logistique binaire ont été utilisés pour prédire les risques d’apparition de maladies d’origine hydrique. Il est apparu que les maladies d’origine hydrique étaient significativement (P<0,05 et P<0,01) associées au traitement, à l’âge, au sexe, à l’assainissement et à la proximité des sources de pollution. Les personnes de plus de 15 ans et les femmes étaient les plus touchées par les maladies d’origine hydrique avec des proportions de 67,71% à Dibombari, 65,38% à Bonaléa et 64,19% à Mbanga. Du côté pédictif, les facteurs associés à un risque accru de maladie d’origine hydrique étaient l’âge (6,39[1,05 ;38,89] à Dibombari ; 4,88[1,07 ;30,33] à Bonaléa et 5,79[1,99 ;16,78] à Mbanga) et la distance aux sources de pollution (1,13[1,02 ;1,25] à Dibombari ; 1,22[1,01 ;1,33] à Bonaléa et 1,17[1,09 ;1,26] à Mbanga). Les facteurs de protection étaient: le type d’eau (0,80 [0,70 ; 0,90] à Dibombi) et le traitement (0,75 [0,65 ; 0,86] à Dibombari ; 0,76 [0,66 ; 0,89] à Bonaléa et 0,05 [0,007 ;0,38] à Mbanga) Il est conseillé aux acteurs du développement dans ces localités de mettre l’accent sur la protection des ressources en eau et l’assainissement car la santé des populations est en jeu.
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Mbog, Severin Mbog, Olivier T. Sosso Mayi, Dieudonne Bitondo et Innocent Ndoh Mbue. « Etat des lieux sur la gestion des déchets biomédicaux solides dans les formations sanitaires au Cameroun (Nord, Adamaoua, Est et Nord-Ouest) : Impacts Environnementaux et Sociaux ». Journal of the Cameroon Academy of Sciences 16, no 1 (13 octobre 2020) : 19–28. http://dx.doi.org/10.4314/jcas.v16i1.2.

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Résumé :
Les déchets biomédicaux (DBM) constituent un problème sanitaire et environnemental. Aussi, une étude a été menée pour élaborer un système de gestion des déchets biomédicaux dont la mise en oeuvre permettra d’améliorer la santé publique, tout en respectant les préoccupations environnementales, techniques et socioculturelles. Il s’agit d’une étude transversale descriptive qui s’est déroulée du 16 au 31 Janvier 2018. Un questionnaire soumis aux responsables des formations sanitaires (FOSA), chefs de services, surveillants de services et responsables de l’hygiène hospitalière et un entretien avec les personnels de soins et les opérateurs d’incinérateurs ont permis d’apprécier les mécanismes et les connaissances sur la gestion des DBM. Sur les 150 questionnaires distribués, 98 réponses ont été obtenues, soit un taux de réponse de 65,3 %. Un entretien avec 75 travailleurs directement impliqués dans la gestion des DBM et des observations sur la gestion des DBM au niveau des 86 services ont été réalisés. Les déchets tranchants et piquants et ceux de sang et de fluides étaient trouvés dans tous les services, à l’exception des pharmacies, les déchets pharmaceutiques dans 66 services, les déchets infectieux dans 49 services et les déchets anatomiques dans 11 services. Le tri des DBM était inadapté dans 83,5 % des FOSA et l’utilisation du système de codage par couleur inexistant dans les FOSA PBF et non PBF. Des boîtes de sécurité pour le recueil des objets tranchants et piquants étaient disponibles dans 62,5 % des FOSA PBF et leur utilisation effective dans 31,1 % d’entre eux. Ceux Dans la majorité des FOSA non PBF, un conditionnement inadapté était noté sous la forme d’une utilisation de bouteilles et poubelles en plastique po r le recueil et d’un remplissage des boîtes de sécurité avec des débordements. L’élimination des DBM était effectuée dans de vieux incinérateurs ou des fours artisanaux, avec d’importantes émanations de fumées dans 80% des FOSA. Les conditions de travail étaient jugées mauvaises par 81,3 % des travailleurs interrogés et les équipements de protection individuelle disponibles dans seulement 25,3 %des FOSA non PBF et à 65% dans les PBF. Les connaissances sur la gestion des DBM étaient jugées insuffisantes par 92,6 % des personnes interrogées et les risques sanitaires liés aux DBM connus par 90 %. Toutefois les impacts sur le plan sanitaire et environnemental a été plus relevé dans les FOSA non PBF à 70 % que chez les FOSA PBF à 30 %. A exception de l’Hôpital Régional de Bertoua qui faisant partie des FOSA PBF a présenté des impacts majeurs sur la santé et l’environnement. Mots clés Déchets biomédicaux, Gestion, Pollution, Risques, Environnement·
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MEDALE, F., et C. MICHEL. « Deuxième partie : Épidémiologie et modélisation des maladies infectieuses aquacoles ». INRAE Productions Animales 20, no 3 (7 septembre 2007) : 217. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2007.20.3.3458.

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Résumé :
Les moteurs de l'évolution des agents pathogènes, qu'il s'agisse des espèces sensibles, des vecteurs animaux ou des effets environnementaux incluant la pollution et le réchauffement climatique sont difficiles à appréhender. Il est donc important de générer des connaissances sur l’épidémiologie des maladies infectieuses aquacoles pour lesquelles il est difficile de contrôler le milieu d'élevage. Les connaissances épidémiologiques ainsi acquises peuvent alimenter des modèles dynamiques de transmission de ces maladies. Un premier article (Renault et al) présente les facteurs de risques d’apparition et d’émergence des maladies en aquaculture. Il souligne l’importance de générer des données pour améliorer la connaissance des facteurs d’épidémiologie descriptive impliqués dans l’apparition et la diffusion de maladies dues à des agents infectieux, en s’intéressant notamment aux interactions entre l’hôte, l’agent pathogène et l’environnement. Dans ce cadre, le développement d’études portant sur les effets de polluants et de facteurs physico-chimiques liés aux changements globaux chez différentes espèces d’intérêt aquacole est considéré comme une priorité. Un second article (Thébault et al) décrit l’intérêt potentiel de la modélisation pour l’étude de maladies infectieuses chez les poissons et les mollusques. La formulation précise des questions posées par une maladie infectieuse ouvre la voie à des formes de modélisation dynamique intégrant les caractéristiques de population de l'agent pathogène et les effets des actions de maîtrise éventuellement mises en œuvre. Parmi les retombées utiles de la modélisation, figurent l'évaluation anticipée des mesures de contrôle et l'identification en continu des lacunes pouvant subsister dans un corpus de données. Le manque de données issues aussi bien du terrain que de l'expérimentation est le principal frein au développement de tels modèles en infectiologie aquacole. Il ne faut évidemment pas attendre de la modélisation plus qu'elle ne peut donner. Néanmoins, l’expérience des élevages terrestres montre que la modélisation peut parfois contribuer à quelques améliorations, notamment en termes de gestion de la santé des élevages au quotidien ou d’aide à la décision.
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Rabearisoa, Andry Harinaina, Bertrand Manjolongo, Ravo Victoire Nasolomampionona, Hajandrainy Rabearisoa, Bruno Razanamparany et Nasolo Sedravola Randimbiarison. « Evaluation des Impacts Environnementaux et Sanitaires Liés aux Analyses Physico-Chimique et Bactériologique de la Rivière Matsiatra à Fianarantsoa, Madagascar ». European Scientific Journal, ESJ 19, no 36 (31 décembre 2023) : 206. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2023.v19n36p206.

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L’eau est une source de vie mais peut aussi être source de maladies, notamment dans les pays en développement, comme Madagascar. Les sites d'étude à Ankijana sont situés en dessous du pont de la route nationale RN4 et proches des sociétés BIONEX et QUIMPEX dans les coordonnées géographiques suivantes : longitude Est entre 47,08 et 47,20, latitude Sud entre -21,30 et -21,50. L'objectif principal de l'étude est d'évaluer les risques sanitaires et environnementaux liés à la qualité des eaux de rivière. Pour atteindre l'objectif, 23 échantillons ont été collectés en mars 2023. Des mesures in situ de température et de pH ont été effectuées, suivies d'analyses approfondies in vitro. Des paramètres physico-chimiques de l'eau de la rivière a été évaluée, incluant la conductivité électrique, les matières dissoutes, le chlorure, le chlorure de sodium, la turbidité et la demande biochimique en oxygène. La contamination fécale a été quantifiée par coliformes totaux et streptocoques fécaux, analysés par filtration sur membrane. Les effets de la qualité de l'eau ont été évalués à l'aide de techniques statistiques comme l'analyse en composantes principales. Ainsi, les résultats d’analyse ont montré que les eaux étudiées ont un pH moyen de 6,56, ce qui les rend acides. Les températures moyennes, les conductivités électriques, les teneurs en solides totaux dissous et les turbidités des eaux étudiées sont respectivement de 24,74°C, 24µS/cm, 12,65ppm et 36,8NTU. La teneur en chlorure (92,61mg/L), en chlorure de sodium (144,14mg/L) et en demande biochimique en oxygène (1,14 mg/L d’O2) des eaux étudiées sont faibles, ce qui indique de faible pollution chimique pendant la période de pluie. Les analyses microbiologiques ont révélé la présence de coliformes thermotolérants à une concentration moyenne de 11 ufc/100mL et de streptocoques fécaux à un niveau de 134 ufc/100mL dans les eaux étudiées indiquant une contamination fécale. Ainsi, la rivière comporte des risques pour la santé, résultant de la consommation d'eau et d'autres activités, notamment des loisirs, en raison des rejets industriels et domestiques, de l'utilisation de produits liés à la pêche et des déchets agricoles. Cette altération de la qualité de l'eau pourrait également entraîner la disparition de certaines espèces aquatiques. Water is a source of life, but it can also be a source of disease, especially in developing countries like Madagascar. The study sites in Ankijana are located below the bridge of the national road RN4 and near the BIONEX and QUIMPEX companies at the following geographic coordinates: longitude East between 47.08 and 47.20, latitude South between -21.30 and -21.50. The main objective of the study is to assess the health and environmental risks associated with the quality of river water. To do this, physicochemical (temperature, pH, electrical conductivity, total dissolved solids, chloride, sodium chloride, turbidity and biochemical oxygen demand) and microbiological (thermotolerant coliforms and fecal streptococci) analyses as well as principal component analysis were performed on 23 samples collected from the SP01, SP02 and SP03 sites. The results of the analysis showed that the waters studied have an average pH of 6.56, making them acidic. The average temperatures, electrical conductivities, total dissolved solids and turbidities of the waters studied are 24.74°C, 24µS/cm, 12.65ppm and 36.8NTU, respectively. The chloride (92.61mg/L), sodium chloride (144.14mg/L) and biochemical oxygen demand (1.14 mg/L of O2) contents of the waters studied are low, indicating low chemical pollution during the rainy season. Microbiological analyses revealed the presence of thermotolerant coliforms at an average concentration of 11 ufc/100mL and fecal streptococci at a level of 134 ufc/100mL in the waters studied indicating fecal contamination. Thus, the river poses health risks from water consumption and other activities, including recreation, due to industrial and domestic waste, the use of fishing-related products and agricultural waste. This deterioration of water quality could also lead to the extinction of some aquatic species.
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« Le nucléaire, un allié de la qualité de l’air ». Revue Générale Nucléaire, no 1 (janvier 2019) : 34–37. http://dx.doi.org/10.1051/rgn/20191034.

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Résumé :
Images de Beijing et Delhi dans la brume, pics de pollution atmosphérique en Europe et outre-Atlantique, le « smog », issu du développement industriel et des voitures, a la vie dure. Et son impact sur la santé, largement documenté, n’est plus à démontrer. Nucléaire et renouvelables, énergies bas carbone, constituent des outils puissants pour répondre à ce problème majeur de santé environnementale.
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Mallet, Vivien, Denis Quélo, Bruno Sportisse et Irène Korsakissok. « Polyphemus : une plate-forme multimodèles pour la pollution atmosphérique et l'évaluation des risques ». Pollution atmosphérique, N°196 (2007). http://dx.doi.org/10.4267/pollution-atmospherique.1493.

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Balducci, Franck, Olivier Grandamas et Denis Zmirou. « POLAIR : un logiciel pour l'évaluation de l'impact sanitaire d'une pollution atmosphérique ponctuelle Recherche financée par la Direction Générale de la Santé (1992-1993) ». Pollution atmosphérique, N°148 (1995). http://dx.doi.org/10.4267/pollution-atmospherique.4067.

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Athamena, Khaled. « Les bouches d’aération du métro algérois, une source d’énergie inexploitée et un potentiel architectural inexploré ». Débats et Perspectives | 2024, 2024. http://dx.doi.org/10.4000/11pdk.

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Résumé :
Cet article a pour objectif de mettre en lumière le potentiel énergétique des bouches d’aération du métro algérois de même que la pollution de l’air qu’elles peuvent engendrer. Le but étant de sensibiliser la communauté scientifique ainsi que celle des architectes et urbanistes aux bienfaits de ces enceintes souterraines et d’attirer leur attention sur les risques qu’elles peuvent engendrer sur la santé des usagers ainsi que sur la qualité de l’air des espaces publics algérois. Cette étude présente, par ailleurs, des solutions de mutation architecturale de ces bouches d’aération, aménagées le plus souvent au ras du sol, en « tours de ventilation » afin de limiter leur risque sanitaire, et fournit des pistes de réflexion sur leur intégration dans le paysage urbain algérois. Parmi les solutions proposées, l’architecture parasite représente une alternative novatrice pour optimiser le profit et l’intégration de ces tours de ventilation dans leur milieu urbain. Une proposition de conception de cette architecture est proposée. Elle a été entamée dans le cadre d’une expérience pédagogique sur une bouche de métro située à l’intérieur d’une friche urbaine localisée au quartier d’El-Hamma à Alger. Une proposition architecturale qui a permis d’allier « technicité », à travers la récupération de l’énergie aérodynamique et géothermique de la bouche d’aération, et « action parasite » à travers une architecture réversible. Cette dernière se démarque par son engagement, tantôt en faveur de la protection de l’environnement, tantôt pour dénoncer les approches brutales de démolition et militante d’une approche de mutation et de redynamisation des situations architecturale et urbaine en perte de vitalité.
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Pafadnam, Ibrahim, Nièssan Kohio, Wêpari Charles Yaguibou, Abdoul Karim Kagoné, Zacharie Koalaga et Pascal André. « Étude de la composition chimique des fluoroalkylamines utilisés en agriculture et en médecine dans le cadre de l’incinération par plasma entre 500 K et 20 000 K ». Journal International de Technologie, de l'Innovation, de la Physique, de l'Energie et de l'Environnement 8, no 1 (9 février 2023). http://dx.doi.org/10.52497/jitipee.v8i1.320.

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Résumé :
Les principes actifs contenant des composés organiques fluorés comme les fluoroalkylamines ou les molécules à base de pyrimidine sont prometteurs dans le domaine de l’agriculture (pesticides et herbicides) et de la pharmacologie (antibiotiques). L’utilisation massive de ces molécules aura pour conséquence une augmentation massive de déchets contenant ce type de molécules. Les pays développés ont des politiques contraignantes en matière de gestion de déchets ce qui n’est pas le cas dans les pays en voie de développement. Dans ces derniers, nous assistons à une prolifération des aires de stockage et des éliminations à l’air libre des déchets parfois issus des pays développés. Ces pratiques ont d’énormes conséquences sur l’environnement comme la pollution de l’air, des sols et de l’eau et par conséquent sur la santé humaine. L’une des solutions déjà éprouvé sur des déchets solides serait l’utilisation de torches à plasma. Ces torches peuvent atteindre des températures élevées (5000 K à 20 000 K). Cependant, l’utilisation de ces moyens de traitement n’est pas sans danger puisque des molécules toxiques ou létales pourraient être produites. Afin d’appréhender ces difficultés nous proposons d’étudier l’influence de l’air sur la composition chimique d’un plasma à base de fluoroalkylamines (trifluoroéthylamine : C2H4F3N, nonafluoropentylamine : C5H4F9N, …), à la pression atmosphérique et à l’équilibre thermodynamique local (E.T.L), dans une gamme de températures allant de 500 K à 20 000 K. Afin d’obtenir la composition chimique du plasma, nous utilisons la méthode de minimisation de l’énergie libre de Gibbs. Les résultats obtenus montrent que des espèces chimiques gazeuses dangereuses et toxiques comme CF2, CO, HCN et HF apparaissent aux basses températures avec de forte concentration.
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« Exploitation de lignite en Grèce. / Droit à la protection de la santé. / Droit à un environnement sain. / Pollution atmosphérique et changement climatique. Comité européen des droits sociaux. Décision sur le bien-fondé, 6 décembre 2006. Fondation Marangopoulos pour les droits de l'homme (FMDH) c/ Grèce ». Revue Juridique de l'Environnement 32, no 3 (2007) : 335–45. http://dx.doi.org/10.3406/rjenv.2007.4657.

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Tounsi, Gilles. « Approche Géospatiale de la Localisation des Stations-Services au Cameroun ». European Scientific Journal ESJ 25 (31 janvier 2024). http://dx.doi.org/10.19044/esipreprint.1.2024.p1.

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Résumé :
Le secteur pétrolier aval est animé par des opérateurs appelés « marketeurs ». Ceux-ci se déploient par la commercialisation des produits pétroliers tels que le super, le gasoil, le gaz domestique, le pétrole lampant, les lubrifiants et les huiles automobiles en construisant des infrastructures de distribution. Les différents emplacements des stations de distribution des produits pétroliers encore désignées « station-service » présentent plusieurs interrogations de par les objets spatiaux qui les entourent. La proximité des infrastructures de distribution d’avec les lieux publics exprime des positions antinomiques au regard de la législation sur les distances de ces équipements classés comme dangereux pour la santé humaine. Les marketeurs se doivent d’observer une distance de cinq cent (500) mètres entre deux stations et une distance de cent (100) mètres au minimum entre une station et les lieux fréquentés par le public. Des observations de terrain suivies des levés de coordonnées de géolocalisation de chaque structure de distribution de carburant restituent une cartographie des positions de chaque station-service en corrélation avec les linéaires des voies de communication. Des entretiens avec les sous-gérants dévoilent les services qu’abritent les distributeurs à carburant assorties des préférences d’implantation. Les résultats indiquent que les stations-services sont implantées en moyenne à trente (30) mètres des lieux publics. Cette proximité se caractérise par une concentration autour des stations-services des activités humaines et des maisons d’habitations les exposant davantage aux risques sanitaires tels que la pollution de l’air, l’inhalation des odeurs, les explosions et les incendies. The downstream oil sector is run by operators called “marketers”. These are deployed through the marketing of petroleum products such as super, diesel, domestic gas, kerosene, lubricants and automobile oils by building distribution infrastructures. The different locations of the petroleum product distribution stations, also called “filling-stations”, present several questions due to the spatial objects that surround them. The proximity of distribution infrastructures to public places expresses contradictory positions regarding the legislation on the distances of this equipment classified as dangerous for human health. Marketers must observe a distance of five hundred (500) meters between two stations and a distance of at least one hundred (100) meters between a station and places frequented by the public. Field observations followed by geolocation coordinate surveys of each fuel distribution structure provide a map of the positions of each filling-station in correlation with the lines of the communication routes. Interviews with submanagers reveal the services provided by fuel distributors along with location preferences. The results indicate that gas stations are located on average thirty (30) meters from public places. This proximity is characterized by a concentration around service stations of human activities and residential houses, exposing them more to health risks such as air pollution, inhalation of odors, explosions and fires.
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