Littérature scientifique sur le sujet « Politique du logement – Lyon (Rhône ; agglomération) »

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Thèses sur le sujet "Politique du logement – Lyon (Rhône ; agglomération)"

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Ferrand, Nicolas. « Approche morphologique de l'urbanisation : Lyon et son agglomération de 1945 à 2005 : données, outils et méthodes ». Lyon 3, 2010. https://scd-resnum.univ-lyon3.fr/out/theses/2010_out_ferrand_n.pdf.

Texte intégral
Résumé :
Le développement de l’agglomération lyonnaise a fait l’objet de nombreuses études, depuis 1945, dans le cadre de travaux universitaires, d’ouvrages spécialisés et de documents d’urbanisme et de planification. Ces productions ne permettent cependant pas de connaitre les processus à l’oeuvre à l’échelle la plus fine, sur l’ensemble du territoire de l’agglomération. Le sujet revêt un caractère exploratoire important. Il repose sur l’identification et la mobilisation d’ungrand nombre d’archives hétérogènes, souvent conservée avec des lacunes, dans plusieurs lieux différents. Les données recueillies sont extrêmement diverses : dossiers administratifs, cartes anciennes, photographies aériennes, statistiques, etc. Un des enjeux de cette recherche est l’intégration de ces données dans un ensemble cohérent, grâce à un Système d’Information Géographique. La constitution de bases de données a permis l’identification de la grande majorité des unités pavillonnaires et collectives réalisées dans la communauté urbaine de Lyon, depuis 1945. Elles offrent la possibilité de connaitre, à l’échelle parcellaire, la dynamique de l’urbanisation dans l’ensemble du Grand Lyon, à partir de nombreux éléments quantitatifs et qualitatifs nouveaux. Cet outil est destiné à être utilisé et développé. Les données et la méthodologie mise en oeuvre sont réutilisables par d’autres acteurs, sans problème de compatibilité. Elles peuvent aboutir à la réalisation d’un observatoire du développement urbain, mis à jour en temps réel
The development of the Lyon metropolitan area has been the subject of numerous studies since 1945, as part of academic studies, specialized publications and planning documents. These references do not however know the processes at work across the finest scale on the entire territory of the city. The subject has an exploratory dimension. It is based on the identification and mobilization of a large number of heterogeneous archives, often kept with gaps in different locations. The data collected are extremely diverse: administrative records, old maps, aerial photographs, statistics, etc. . . One of the challenges of this research is to integrate these data into a coherent whole, with a Geographical Information System. The creation of databases has allowed the identification of the vast majority of detached housing units and buildings conducted in the urban community of Lyon, since 1945. They offer the possibility to know, at field scale, the dynamics of urbanization throughout the Greater Lyon, from many new qualitative and quantitative elements. This tool is intended to be used and developed. The data and methodology can be reused by others, without compatibility problems. They can lead to the creation of an observatory of urban development, updated in real time
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Maurice, Romain. « Politiques foncières locales et dynamiques de promotion immobilière : le marché du logement neuf dans l'agglomération lyonnaise ». Thesis, Grenoble, 2014. http://www.theses.fr/2014GRENH027/document.

Texte intégral
Résumé :
Comment les politiques foncières influent sur le développement de logements neufs dans une communauté urbaine telle que le Grand Lyon ? Comment contribuent-elles à réorganiser les coûts induits par la construction de logements neufs et, plus largement, par l'aménagement de nouveaux espaces bâtis ? Pour répondre à ces questions, la première partie de ce travail analyse la structuration des dynamiques de promotion immobilière, à partir de l'identification des stratégies, des intérêts et des actions d'un acteur pivot, le promoteur de logements (qui peut-être un promoteur immobilier, un bailleur social ou un particulier). La seconde partie du travail explore l'impact des politiques foncières sur les acteurs de marché étudiés en première partie. Nous définissions le terme « politiques foncières » au sens large, en y incluant aussi bien l'action foncière, le droit des sols et la fiscalité foncière. Nous montrons dans cette thèse que les collectivités publiques locales disposent d'outils forts pour répartir les coûts et les bénéfices tirés d'une opération de promotion immobilière entre les propriétaires initiaux des terrains, les acquéreurs de logements et la collectivité (donc les contribuables). L'ensemble du processus de régulation des dynamiques de promotion immobilière peut s'analyser comme un jeu de création et de transfert d'incertitude. Dans un contexte dans lequel les collectivités sont poussées à présenter leurs projets à l'avance, leurs capacités à agir directement par l'action foncière sont relativement limitées, à moins de très gros efforts financiers. Pour retrouver des marges de manœuvre pour influer sur les modes de production de logements, les collectivités locales réintroduisent de l'incertitude, par différents moyens : préemption ou menace de préemption de terrains, prise de position sur des parcelles de blocage, et surtout, introduction d'une règle de droit des sols souple, qui oblige à un « examen concerté préalable » des demandes de permis de construire et de permis d'aménager entre le pétitionnaire et la collectivité. Toutefois, de telles pratiques ne fonctionnent que si les promoteurs de logements ont les moyens de supporter cette incertitude. Par conséquent, elles reposent sur le dynamisme des marchés immobiliers. Ainsi, dans l'état actuel des choses, la reconstruction de la ville sur la ville par des immeubles de qualité, mais aussi le financement d'équipements publics, de logements sociaux, d'espaces verts, etc., ne fonctionnent qu'à condition d'accepter une hausse des prix immobiliers. Ce mode de régulation des dynamiques d'aménagement et de promotion immobilière permet de créer une ville de qualité, mais qui apparait aussi particulièrement excluante pour tous les ménages non solvables aux prix immobiliers atteints. Ceci à pour conséquence d'inciter à multiplier les dispositifs spécifiques d'aides à l'accès au logement (que ce soit dans le parc locatif social ou privé, et pour l'accession à la propriété), qui bénéficient à de nombreux ménages, mais n'empêchent cependant pas que nombre d'entre eux se retrouvent « en marge » de la ville, en l'occurrence, en périphéries plus ou moins lointaines des agglomérations
How land policies are affecting new housing developments in Lyon agglomeration? How do they contribute to reorganize the costs generated by the development of new housing and, more broadly, by the development of new spaces? The first part of this work analyses the housing development dynamics, which contributes to shape the actions of the different actors implicated in new housing markets. The second part of the thesis explores the impact of land policies on market actors identified and studied in the first part. We define the term “land policies” in a broad sense, which include the purchase, the management and the selling of land by public authorities, but also the zoning and the land taxation policies. This work shows that in a context in which local public authorities have to present their urban strategies and projects in advance, their capacities to directly manage land development is limited, unless they invest massive amounts of public funds. Nevertheless, they use other ways to reintroduce uncertainty for housing developers and land owners, and therefore, be in capacity to be the actor who is in capacity to manage this uncertainty. One of the major tools to reach this goal is the use of some forms of discretionary zoning. However, such practices only work when housing developers can support this uncertainty, which mainly is the case in dynamic housing markets. This means that the way local authorities are today managing housing development allows to finance and build a city of quality, but also that public authorities have to multiply specific housing aids (whether in the social or non-social rental sector, or to support homeownership), which benefit to many households but also leave many others in “the edges of the city”, i.e., in many cases, far in the outskirts
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Abdel, Salam Nadyah. « Le Logement d'abord, une innovation institutionnelle ? : Une tentative de transformation des politiques sociales de l'habitat pour mettre fin au sans-abrisme ». Electronic Thesis or Diss., Université Côte d'Azur, 2023. http://www.theses.fr/2023COAZ2040.

Texte intégral
Résumé :
Le Logement d'abord se présente comme une voie alternative pour mettre fin au sans-abrisme. Ses promoteurs cherchent à réorienter le système d'assistance aux personnes sans-abri afin qu'elles puissent vivre directement dans un logement personnel stable, avec un soutien adapté à leurs choix et besoins. Cette nouvelle doctrine circule depuis les années 1990 dans les pays occidentaux où elle fait l'objet de débats, d'adaptations et de réappropriations qui alimentent un corpus doctrinal qui n'est pas figé. En France, elle inspire une stratégie nationale pour refonder le système d'hébergement en privilégiant l'accès au logement au plus tôt. Elle s'incarne aussi dans des dispositifs expérimentaux tels que le programme Un chez soi d'abord qui accompagne en logement des personnes sans-abri avec un long parcours de rue et des troubles psychiatriques sévères.La recherche interroge la consistance de ce programme de changement et son issue, ainsi que la place respective du logement social et de l'hébergement dans ce système d'action en reconfiguration. Elle s'appuie sur une enquête ethnographique de quatre ans (2017-2020) auprès des acteurs impliqués dans le déploiement du Logement d'abord dans la métropole lyonnaise, en lien avec les acteurs et institutions actifs au niveau national et supranational.. Le Logement d'abord est abordé comme une nouvelle catégorie d'action publique à interroger et un processus d'innovation institutionnel à enquêter. Pour prendre tout son sens, il est resitué dans le champ plus vaste des politiques sociales de l'habitat auxquelles il participe.La première partie de la thèse présente une socio-histoire de l'émergence du Logement d'abord en France et dans les différents pays où la doctrine se forge, circule et oriente l'action publique. Elle décrit les modalités de formation de cette doctrine à partir de ses foyers d'inspiration nord-américain et finlandais, en montrant l'interpénétration des niveaux d'action publique, le rôle des réseaux de promotion à l'international et le renforcement mutuel des processus de diffusion. En Europe, la doctrine évolue ainsi d'une approche ciblée visant les situations jugées les plus complexes, à une approche extensive et transformative pour mettre fin au sans-abrisme. Sa diffusion participe d'un mouvement de contestation des différentes formes d'emprise institutionnelle qui traverse l'ensemble de l'offre sociale et médico-sociale.La deuxième partie de la thèse se centre sur la démarche engagée dans la métropole lyonnaise. Elle analyse le contexte socio-institutionnel qui conduit à un arbitrage politique local en faveur du Logement d'abord, ainsi que les inflexions apportées à l'ambition initiale au fil de l'action. Les épreuves de la mise en œuvre conduisent à des hybridations entre hébergement et logement qui transforment la proposition initiale. Loin de conduire au retrait de l'hébergement, le Logement d'abord en renouvelle plutôt les contours et les formes. Le processus d'innovation institutionnel se poursuit sous la bannière d'une politique de l'hospitalité afin de dépasser les limites d'une acceptation trop restrictive du logement et du droit à l'habiter. La troisième partie de la thèse traite des apprentissages et des déplacements qui résultent de ces explorations. Au travers de deux expérimentations, elle donne à voir les coopérations entre institutions nécessaires pour qu'une vie autonome soit possible, en logement ordinaire ou dans des formes alternatives d'habitat, non pas sous la responsabilité d'une seule institution mais avec le soutien d'une pluralité d'entre elles. Elle met aussi en évidence les limites d'une action publique supplétive qui ne permet pas de compenser durablement des institutions en retrait faute de moyens
Housing First is presented as an alternative way to end homelessness. Its promoters seek to reorient the system of assistance to homeless people so that they can live directly in stable personal housing, with support adapted to their choices and needs. This new doctrine has been circulating since the 1990s in Western countries, where it has been debated, adapted and re-appropriated, feeding a non-fixed doctrinal corpus. In France, it inspires a national strategy to overhaul the temporary accommodation system, prioritizing access to ordinary housing as quickly as possible. This is also embodied in experimental projects such as the program Un chez soi d'abord, which provides housing for homeless people with long street histories and psychiatric disorders.The research questions the coherence of this change program, its outcome as well as the respective place of social housing and accommodation in this reconfigured action system. It is based on a four-year (2017-2020) ethnographic survey of actors involved in the deployment of Housing First in the Lyon metropolitan area, in conjunction with actors and institutions active at national and supranational levels. Housing First is approached as a new category of public action to question and an institutional innovation process to investigate. To be fully meaningful, it needs to be seen in the wider context of the social housing policies to which it contributes.The first part of the thesis presents a socio-history of the emergence of Housing First in France and in the different countries where the doctrine is forged, circulates and guides public action. It describes the way in which it was formed from its North American and Finnish sources of inspiration, showing the interpenetration of levels of public action, the role of international promotion networks and the mutual reinforcement of diffusion processes. In Europe, the doctrine is evolving from a approach targeting situations deemed to be the most complex, to a global and transformative approach to ending homelessness. Its diffusion is part of a movement to protest the different forms of institutional control which permeate the entire social and medico-social offer. The second part of the thesis focuses on the approach adopted in the Lyon metropolitan area. It analyzes the socio-institutional context that led to a local political decision in favor of Housing First, as well as the changes made to the initial ambition. The difficulties of implementation lead to hybridizations between accommodation and housing which transform the initial proposal. Far from leading to the withdrawal of accommodation, Housing First is leading to a renewal of its contours and forms. The process of institutional innovation continues under the banner of a policy of hospitality to overcome the limits of an overly restrictive acceptance of housing and the right to inhabitThe third part of the thesis deals with the learning and changes that result from these explorations. Through two experiments, it shows the cooperation between institutions necessary to make independent living possible, in ordinary housing or in alternative forms of housing, not under the responsibility of a single institution but with the support of several between them. It also highlights the limits of supplementary public action, which is not enough to compensate in the long term for institutions that are failing due to a lack of resources
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Maiga, Mamadou. « Politique du logement et offre d'habitat adapté dans l'agglomération lyonnaise : pratiques d'acteurs et recompositions socio-spatiales (1945-1995) ». Lyon 2, 2000. http://theses.univ-lyon2.fr/sdx/theses/lyon2/2000/maiga_m.

Texte intégral
Résumé :
"L'objet de cette thèse est d'analyser l'évolution de l'offre de logements spécifiques dans l'agglomération lyonnaise et de rechercher, dans les pratiques d'acteurs développées autour de cette "politique du sous-logement", des éléments d'appréciation de la situation actuelle de l'offre en direction des populations défavorisées. Dans un premier temps, l'analyse des conditions historiques de constitution du parc spécifique montre que les différentes formes prises par cette offre, de la reconstruction d'après-guerre aux logements adaptés des années 1990, sont à chaque fois officiellement mobilisées en vue d'assurer de manière temporaire les besoins des populations en difficulté de logement, en attendant que les mécanismes de relance de la construction ou de régulation des marchés locaux leur permettent l'accès à un logement banal. L'analyse de l'offre spécifique montre cependant que non seulement elle n'a pas joué ce rôle de transit vers le parc normal, mais que l'instrumentalisation des dispositifs et la subordination des modalités de sa production aux intérêts des différents acteurs locaux, en ont surtout fait un moyen de régulation et de gestion de la place des populations défavorisées dans l'espace urbain. Dans un second temps et sur la base de cet état des lieux, l'analyse du parc de logements d'insertion qui se constitue depuis la loi Besson montre que si les références fondamentales de ce renouveau ne sont pas en rupture avec l'histoire du logement spécifique, les pratiques se sont par contre fortement renouvelées avec notamment l'apparition de nouveaux acteurs et l'intégration des compétences de construction et d'action sociale. Les compromis du système d'acteurs constitué autour de sa mise en uvre ont abouti à la constitution d'un parc qui, au-delà de sa faiblesse quantitative par rapport aux besoins et aux objectifs, semble de plus en plus répondre d'abord aux stratégies patrimoniales des opérateurs, au détriment parfois des principes et des bénéficiaires. "
The object of this thesis is to analyse the evolution of the specific housing supply in the conglomeration of Lyon and to look for appreciation elements of the current supply system directed to low income households. In the first time, the historical analysis of specific housing shows that the various forms of production (from post-war to the 1990's) have been formulated to respond temporarly the demand coming from low income population, waiting for public real estate policies allowing this population to have access to standard housing. The analysis of this specific production shows however that the temporary housing did not play its role of transit. In addition, the instrumentalisation of tools and the domination of local actors interests' over the defined modalities had made this type of housing a means of regulation and management of the targeted population in the urban area. In the second time and on the basis of this inventory, the analysis of the adapted housing which constitutes since the Besson's law (1990) shows the continuation of the previous policy. However the practices have been renewed with particularly the appearance of new actors and the integration of operational and social welfare competences. The local actors' system set up for the implementation of this policy has been obliged to undergo some compromises. The resulted housing seems, beyond its quantitative shortcoming with regard to fixed objectives, to respond more to the patrimonial strategies of the operators to the detriment of principles and beneficiaries
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Thimonier-Rouzet, Emmanuel. « L' efficacité du découpage territorial : contribution méthodologique pour déterminer des territoires d'expertise adaptés de la métropole lyonnaise ». Lyon 3, 2009. https://scd-resnum.univ-lyon3.fr/in/theses/2009_in_thimonier-rouzet_e.pdf.

Texte intégral
Résumé :
L’espace français est aujourd’hui organisé de façon telle qu’on dispose d’un grand nombre de découpages territoriaux pour l’exercice des pouvoirs politiques et administratifs de la Collectivité : les territoires de compétences ou territoires du pouvoir. Pour appréhender les repères et tendances démo-économiques, l’espace français est également découpé en territoires statistiques appelés territoires de l’information ou territoires du savoir mis au point par l’INSEE. Mais les activités économiques ne se préoccupent guère de ces territoires et se développent là où elles y trouvent des intérêts. Ainsi, ces différentes divisions territoriales ne sont pas (plus) adaptées à l’observation et à l’étude de toute thématique d’aménagement telles que, par exemples, les déplacements de personnes ou l’immobilier de bureaux. Le Consultant et le Chercheur spécialisés en aménagement sont de plus en plus confrontés à cette difficulté d’adaptabilité du territoire à la thématique à expertiser. Cette thèse professionnelle leur apporte, ainsi qu’aux acteurs appelés à se pencher régulièrement sur cette problématique de territoires à géométrie et à temporalité variables (la Collectivité, l’Entreprise, les agences de développement économique et d’urbanisme, etc. ), une réponse méthodologique – un outil d’aide à la décision – leur permettant de déterminer un territoire d’expertise adapté à chaque thématique. Par cette contribution méthodologique et par l’étude de territoires d’observation et de planification urbaines mis en place par la Collectivité pour pallier cette difficulté, cette thèse montre le rôle déterminant joué par l’Entreprise dans la production du territoire de la Métropole lyonnaise
The French area is organised in such a way that a great number of territorial divisions are available for the use of community political and administrative powers : the competences territories or power territories. To apprehend the demo-economic graduations and trends, the French area is also divided in statistical territories named information territories or knowledge territories set up by the INSEE. But economic activities do not care much about these territories and develop where they find benefits. Therefore, these several territorial divisions are not (no longer) adapted to the observation and study of planning issues such as, for example, people mobility or corporate real estate. The planning researcher and the consultant are increasingly confronted to the difficulty of territory adaptability to the issue to analyse. This professional thesis brings them and those interested in the issue of geometrical and temporality changing territories (Community, Business, economic development and town planning companies, etc. ) a methodological answer – a decision helping tool – allowing them to determine a valuable territory adapted to every topic. With this methodological contribution and the study of the observation and planning territories set up by the community to handle this difficulty, this thesis exposes the determinant part played by the private business in the process of the lyonnaise metropolis
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Ghibaudi, Paul-Emmanuel. « Le citoyen et le politicien : étude ethnopolitologique en agglomération lyonnaise ». Lyon 2, 2000. http://theses.univ-lyon2.fr/documents/lyon2/2000/ghibaudi_pe.

Texte intégral
Résumé :
"La vie sociale est ainsi faite : lorsque deux personnes se rencontrent, elles peuvent parler de la pluie ou du beau temps, mais il arrive aussi qu'elles parlent politique", pour reprendre l'expression courante. Politiser n'est pas un travail objectif, consistant à évoquer des sujets qui seraient par définition "politiques" et dont les architectes seraient eux-mêmes, par définition, des "acteurs politiques". La politisation est une construction sociale engageant une multiplicité d'acteurs autour d'une multiplicité de représentations sociales mettant en scène des clivages. Cette conflictualité résulte elle-même de la construction sociale de problèmes générateurs de logiques de résolution et de dynamiques de mobilisation contradictoires. La politisation a ainsi pour rôle de gérer, de médiatiser sur une scène de débat, les tensions sociales latentes. Mieux comprendre la politisation dans la France d'aujourd'hui impliquait donc de mesurer le rôle de chaque type d'acteurs participant à ce travail complexe de construction sociale et de réhabiliter l'homme de la rue, longtemps ignoré mais pourtant à la source de nombreux processus de politisation dans son environnement quotidien. Comprendre la politisation impliquait aussi de situer les processus actuels par rapport à une histoire sociale au cours de laquelle les formes du rapport au politique ont constamment évolué. Si longtemps un ordre social institutionnalisé lourd a prévalu, dictant le rapport de chaque acteur au politique en fonction de la position de sa catégorie sociale au sein de cet ordre, les grandes mutations socio-économiques des dernières décennies ont déréglé ces systématismes en désagrégeant ces catégories traditionnelles. Dans le même temps, la politique institutionnelle incarnée par les grands partis de gouvernement a perdu la ferveur de ses grands débats idéologiques houleux d'antan au profit d'un professionnalisme gestionnaire oeuvrant pour l'économie de la cité et cherchant à rassembler les citoyens de toutes les opinions, oubliant par là même de politiser. Toutes les bases d'une crise de la politisation institutionnalisée ont ainsi été posées. Face à l'institution, la démocratie reprend ses droits et le citoyen élabore les nouvelles bases d'une conflictualité radicale, comme pour signifier à ses élus qu'on ne peut ignorer les clivages dans une société complexe composée d'une multiplicité d'acteurs et de groupes aux représentations divergentes. Les acteurs politiques extrémistes plus proches de ces visions radicales s'en trouvent désormais valorisés dans l'opinion publique. Le citoyen que les mutations socio-économiques ont chassé des catégories sociales traditionnelles semble désormais mener la danse en condamnant et en affaiblissant les modèles partisans nationaux correspondant à l'ancien ordre institutionnel et dont les schémas de représentation ne correspondent plus aux siens. Ce citoyen marginalisé parvient difficilement à élargir le champ de son rapport au politique, ramenant le débat à une échelle plus proche de lui. Seules quelques catégories professionnelles stables semblent assurer la défense des anciens modèles partisans nationaux. Une autre forme de médiation de la conflictualité semble donc vouloir prendre naissance, mais sans l'écran d'un système politicien et d'une cité élargie où ce système puisse s'épanouir.
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Purenne, Anai͏̈k. « L'action publique par le bas : les transports urbains de la communauté urbaine de Lyon ». Cachan, Ecole normale supérieure, 2003. http://www.theses.fr/2003DENS0006.

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Caubel, David. « Politique de transports et accès à la ville pour tous ? Une méthode d'évaluation appliquée à l'agglomération lyonnaise ». Phd thesis, Université Lumière - Lyon II, 2006. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00080103.

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Résumé :
Les outils d'évaluation, utilisés en France pour éclairer les décideurs sur les politiques de transports en milieu urbain, n'intègrent pas pleinement la dimension sociale de ces politiques. Or, cet enjeu devient primordial. En s'appuyant sur l'approche théorique de Amartya Sen, l'objectif de notre thèse est de construire une méthode d'évaluation permettant de rendre compte de cette dimension, en termes d'égalité des chances d'accès aux activités de reproduction sociale. Pour ce faire, nous construisons un outil identifiant, au niveau infra-communal, les groupes sociaux et les quartiers riches ou pauvres de l'espace urbain. Puis, nous construisons un indicateur d'accessibilité à un panier de biens. Cet indicateur mesure, pour un mode de déplacement donné, pour chaque service du panier de biens et depuis le lieu de résidence, le temps maximal d'accès au nombre d'activités pour 1 000 habitants. Cet indicateur prend en compte les différents sous-systèmes de l'espace urbain.

La méthode est déclinée sur l'agglomération lyonnaise. Nous montrons, tout d'abord, l'existence entre les individus et entre les quartiers d'inégalité de chances d'accès au panier de biens en 1999. Ces inégalités procèdent principalement d'un inégal accès à l'automobile (trois fois plus performante que les transports collectifs en termes de temps d'accès au panier de biens), mais aussi de la répartition hétérogène des activités et de la qualité de l'offre en transports collectifs. L'évolution de la localisation des activités entre 1990 et 1999 met en évidence une aggravation des inégalités d'accès entre les quartiers pauvres et les quartiers riches. Tout se passe comme si les populations aisées façonnaient la division fonctionnelle du sol et la localisation des activités, au détriment des populations les plus fragiles. Nous montrons enfin qu'une amélioration forte de l'offre en transports collectifs a des impacts limités qui souvent peinent à compenser les pertes d'accessibilité dues à l'évolution de la localisation des activités.
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Gil, Garcia Carlos. « Gouvernement et gouvernance urbaine, une approche comparative de la politique locale de l'environnement : la ville d'Aguascalientes, Mexique et de l'agglomération urbaine de Lyon, France ». Paris 3, 2006. http://www.theses.fr/2006PA030142.

Texte intégral
Résumé :
Ce travail analyse la construction de l’action publique urbaine environnementale dans la ville d’Aguascalientes au Mexique et dans l’agglomération urbaine de Lyon en France, sur une période de douze années (1990-2002). L’objectif est d’expliquer la construction de l’action publique qui se trouve à la base des politiques urbano-environnementales des deux villes. A cette fin, a été mise en évidence une série de convergences autour de la construction des politiques urbaines environnementales de ces villes. On a retenu celles qui ont exercé des effets dans la mutation de l’action publique locale, notamment celles qui s’orientent vers les aspects de construction de la participation sociale autour des réseaux de soutien des politiques environnementales ; de l’adaptation d’un discours de la communauté urbaine (dans le cas de Lyon) qui remet en question l’articulation d’un référentiel de la politique environnementale ; et enfin sur les aspects de la gouvernance urbaine qu’inclut l’urbain environnemental comme axe d’analyse. En même temps, ces mutations ont conduit vers un processus d’institutionnalisation des politiques environnementales qui, dans les cas de l’agglomération lyonnaise s’est déroulé sur le terrain de la gouvernance urbaine-environnementale, tandis qu’à Aguascalientes, les transformations s’inscrivaient dans orientations d’une politique visant l’adaptation d’instruments de gestion environnementale et de normativité environnementale internationale. Ce travail a essayé de montrer comment l’action publique opère sur le terrain urbain environnemental dans les villes d’Aguascalientes et de Lyon. A la fin de cette recherche, il s’avère que, sur les dynamiques de politiques de ces villes, l’environnement commence à acquérir un véritable poids dans la mise en œuvre des politiques
The main purpose of this work is to examine the process of the development of urban environmental public action in the city of Aguascalientes in Mexico and the urban agglomeration of Lyon in France during a twelve-year period (1990-2003). We explain the public policy analysis and the main characteristics in the development of urban environmental public policy in both cities. We also emphasize discussions of the different perspectives of the urban context, for example the urban governance approach and the urban regime approach. We explain how this concept helps us to understand new trends in public policy analysis. Using the case study method, we conduct an evaluation of these cities' urban environment public policy. We “reconstruct” this policy by tracking different sources of information and replicating the public policy process under different dynamics. We focus on the different trends in which actors and organisations implement urban environment policies. Most evidence shows that both governments have refocused their policies by adopting supranational methods of policy process or by repositioning environmental issues as the main focus in the management of the cities through the use of urban planning approaches. We also observed that in both cities there are many coincidences in the outcomes of the policies, particularly in the quest to become global cities by introducing innovations in the treatment of the urban environment. Our main conclusions are based on the new trends in the construction of urban policies in both cities as evident in the adoption of a global vision that can be detected in the policy design. An additional conclusion addresses the advanced processes by which problem resolution and advocacy coalitions are developed in these cities
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Linossier, Rachel. « La territorialisation de la régulation économique dans l'agglomération lyonnaise (1950-2005) : politiques, acteurs, territoires ». Phd thesis, Université Lumière - Lyon II, 2006. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00356525.

Texte intégral
Résumé :
Cette thèse analyse le processus d'ancrage de la politique économique dans l'agglomération lyonnaise, sur une échelle de temps d'une cinquantaine d'années. Le travail privilégie une approche pluridisciplinaire et diachronique de l'action publique territoriale en faveur du développement économique, à partir d'une double lecture économique et politique de la théorie de la régulation. Celle-ci met en évidence le nouveau statut actif du territoire en matière de développement économique, ainsi que le rôle du système d'acteurs local dans la conduite de la politique à partir de la notion de la gouvernance. L'hypothèse centrale de ce travail réside dans l'existence d'une dynamique de territorialisation de l'action publique qui s'accompagne d'une prise en charge politique de la défense de l'intérêt des entreprises par le niveau local depuis la survenue de la crise.
Les Trente Glorieuses correspondent à une période de forte croissance économique, durant laquelle l'Etat central organise la régulation économique sur le territoire national et met en place les leviers financiers, opérationnels et spatiaux nécessaires à son organisation. Cette politique économique étatique s'inscrit dans le cadre du Plan et repose sur le principe de l'économie dirigée, consacrant la prise en charge du portage de l'intérêt des entreprises par les pouvoirs publics centraux au nom de l'intérêt général. Elle accorde une place importante au volet spatial de l'intervention publique, notamment à travers l'aménagement du territoire et l'urbanisme. Elle est déclinée dans l'agglomération lyonnaise de façon relativement autoritaire par la technocratie étatique, qui met en œuvre les objectifs industriels et tertiaires de développement économique des grands groupes nationaux par le biais de la politique des métropoles d'équilibre. Le rôle traditionnel des organismes patronaux et des acteurs économiques locaux dans la conduite de la régulation économique territoriale est passablement remis en question et éclipsé par l'attitude hégémonique des services de l'Etat. La création de la Communauté urbaine de Lyon et de ses bras exécutants opérationnels (Atelier d'urbanisme, Société d'économie mixte d'aménagement) renforce d'autant plus la mainmise étatique sur l'expertise et la conduite politique en matière d'intervention économique.
Avec la pérennisation de la crise économique à partir de 1975, l'Etat se décharge progressivement de la responsabilité de la politique économique sur le niveau local. Son action a toutefois permis de moderniser et de développer la base économique lyonnaise, grâce à l'aménagement de vastes zones industrielles dans les communes de banlieue et au lancement d'un important programme d'immobilier de bureaux autour du centre directionnel de la Part Dieu à Lyon. Le relatif échec de l'intervention centrale sur le territoire local, destinée à promouvoir les intérêts des grands groupes industriels et tertiaires nationaux, favorise cependant la réémergence des acteurs économiques et des structures patronales dans la gestion économique de l'agglomération lyonnaise, aux côtés des autorités publiques communautaires. Ceux-ci se chargent notamment de reprendre en main la défense de l'intérêt des entreprises, en introduisant la culture managériale et stratégique dans la conduite de la régulation économique territoriale.
Ce processus de territorialisation de l'action économique est confirmé et renforcé par la Décentralisation depuis les années 1980. La période récente est ainsi marquée par la montée en puissance politique et institutionnelle des pouvoirs publics locaux dans la gestion économique de l'agglomération lyonnaise. Celle-ci résulte d'une mutation profonde du cadre référentiel qui guide l'organisation de la régulation économique à l'échelle des territoires. La concurrence et la compétitivité économique se déplacent en effet de l'échelle nationale au niveau des territoires locaux, parallèlement à l'affirmation de la mondialisation économique. Elles deviennent les valeurs centrales dans la définition des nouvelles politiques urbaines. Cette évolution majeure du contexte d'ensemble se traduit par l'appropriation politique de l'impératif économique par les autorités lyonnaises, qui en font l'enjeu dominant de la politique de développement territoriale de la métropole. Les importantes évolutions de l'organigramme du Grand Lyon reflètent également le développement de la compétence économique au sein des services techniques communautaires et la volonté politique d'affirmer le rôle des pouvoirs publics locaux en matière de régulation économique territoriale.
Le management stratégique et la démarche de projet sont érigés en modalités privilégiées de la conception comme de la mise en œuvre de la politique économique locale. Appliquées à la planification territoriale, à l'urbanisme et à l'aménagement de l'espace, ils permettent une instrumentalisation renforcée de ces champs d'action publique au service de l'impératif de développement économique. Ils favorisent plus globalement une logique d'intégration fonctionnelle des politiques urbaines locales à des fins de compétitivité économique du territoire. La recherche de transversalité et de mise en cohérence des volets urbain et économique de l'intervention de la collectivité bute cependant sur les tentations d'intervention trop stratégiques et spécialisées des services économiques communautaires, qui souffrent d'une relative inadéquation entre leurs ambitions d'action sur les filières économiques ou le volet technologique, et leurs réelles capacité d'expertise ou d'action sur le territoire local.
Sur un plan plus politique, l'émergence du Grand Lyon au centre du système d'acteurs local de la régulation économique contraint les organismes à vocation économique à reconsidérer leur positionnement dans la défense et la promotion de l'intérêt des entreprises par le biais de l'action publique territoriale. La gouvernance économique lyonnaise est en effet dominée par les autorités communautaires, qui tendent à tisser des liens plus nombreux et directs avec le monde des entreprises, et à prendre en charge de façon plus ou moins explicite et légitime l'intérêt économique des acteurs privés.
Pour chacune des deux grandes périodes – 1950-1980 et 1980-2005 –, la démonstration combine donc trois angles d'analyse : le fonctionnement de l'économie les référentiels qui guident l'action publique ; les modalités techniques et opérationnelles de mise en œuvre de la politique économique ; l'organisation politique et institutionnelle du système d'acteurs et le mode de gouvernement de la régulation. Une attention particulière est en outre portée aux relations entre les sphères politique et économique, ainsi qu'au rôle du niveau local par rapport à celui de l'Etat central. L'objectif de ce travail est de mettre en évidence la prise de leadership politique du Grand Lyon au sein du système d'acteurs local en matière de régulation économique territoriale. L'intégration du portage de l'intérêt des entreprises par les pouvoirs publics locaux se réalise au détriment du rôle historique des acteurs économiques et au risque de la représentation démocratique. Elle interroge les limites de l'engagement de l'intérêt général local dans le jeu de la concurrence économique et de la course à l'attractivité selon la nouvelle logique libérale.
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