Littérature scientifique sur le sujet « Platon (0427?-0348? av. J.-C.). Timée – Appréciation »

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Thèses sur le sujet "Platon (0427?-0348? av. J.-C.). Timée – Appréciation"

1

Arli, Merve. « La matière, l'âme et le monde dans la critique aristotélicienne du Timée de Platon ». Electronic Thesis or Diss., Paris 1, 2021. http://www.theses.fr/2021PA01H205.

Texte intégral
Résumé :
Cette étude vise à examiner la lecture du Timée de Platon par Aristote. Conformément à cet objectif, les nombreuses questions abordées dans le Timée sont reprises dans les principaux domaines d'études d'Aristote, au fur et à mesure de sa lecture : l’univers, la nature, la matière, l’âme, le mouvement. Nous avons accordé donc une large place à l’analyse de chacune de ces notions. Il s’agit de comparer le Timée tel qu’Aristote le présente et le texte de Platon, pour analyser et exposer la manière dont Aristote se rapporte à Platon dans l’élaboration de sa propre philosophie. Ces références sont parfois de l’ordre de la citation ; parfois aussi de l’ordre de la critique explicite, mais aussi implicite, quand le texte aristotélicien s’appuie sur ce que Platon a déjà exprimé sans le citer, ni le critiquer ouvertement. Selon l’idée soutenue dans cette étude, le Stagirite ne procède pas systématiquement à une lecture littérale du Timée. Lorsqu’il critique Platon, ce n’est pas toujours afin de confirmer sa propre position philosophique. Cette lecture est avant tout un travail de distinction entre les concepts essentiels tels que la matière, le lieu, etc. Ce faisant, il systématise la pensée de Platon, lequel s'appuyait sur le discours vraisemblable portant sur la genesis du cosmos
This dissertation aims to examine Aristotle’s reading of Plato's Timaeus. In accordance with this objective, many questions on universe, nature, matter, soul, movement, already addressed in the Timaeus, are re-raised in the main areas of Aristotle’s studies. We therefore devote a great deal of attention to the analysis of each of these concepts. It deals with the comparison between the Timaeus as Aristotle presents it and the text of Plato, in order to analyze and expose the way in which Aristotle relates to Plato in the development of his own philosophy. These references are sometimes in the order of citation; sometimes also of the order of explicit criticism, but also implicit, when the Aristotelian text is based on what Plato has already expressed without citing it, nor criticizing it openly. According to the idea held in this study, the Stagirite does not systematically read the Timaeus literally. When he criticizes Plato, it is not always in order to confirm his own philosophical position. We have shown that this reading is above all a work of distinction between essential concepts such as matter, place, etc. In doing so, Aristotle systematizes Plato's thought, which was based on the likely account about the genesis of the cosmos
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2

Thein, Karel. « Le lien intraitable : enquête sur le temps dans la République et le Timée de Platon ». Paris, EHESS, 1995. http://www.theses.fr/1995EHES0307.

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Résumé :
Le temps n'est pas seulement un theme discute dans les dialogues de platon, mais aussi ce qui porte, voire exige toute activite philosophique. L'homme et meme son ame qui est censee etre immortelle, ne possedent aucun moyen de s'arracher du temps. Avant toute thematisation explicite du temps, la philosophie se presente demblee comme un effort de maitriser et de regulariser le temps humain, celui que vivent les hommes dans les cites. Ce temps du devenir qui oscille sans cesse entre la croissance et la destruction, est a l'oppose du temps regulier des mouvements celestes. C'est entre ces deux domaines que se constitue la philosophie comme leur lien. Or si la republique et le timee de platon nous permettent de comprendre la constitution et le role de ce lien; ils nous apprennent egalement l'impossibilite d'une reconciliation finale des deux temporalites irreductiblement differentes. Aucune philosophie ne saurait remplacer la politique en tant qu'art de rapports entre les hommes
The time is not only one of the topics discussed in the dialogues of plato, but also that which bears and even requires the philosophical activity. The man, and even his soul that is considered to be immortal, have no means to releve themselves from time. Before making the time an object of its inquiry, the philosophy presents itself as an effort to cope with the time of men's lives in the cities. The time of becoming, oscillating ceaselessly between the growth and the destruction, is an opposed pole to the regular time of the motions of heavenly bodies. In between these two realms, the philosophy constitutes itself as their bond. If plato's republic and timaeus permit us to understand the constitution and the role of this bond, they teach us equally the impossibility of a final reconciliation of these two irreducobly different temporalities. No philosophy can replace the politics as the art of relation between the men
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3

Morvan, Thomas. « Recherches sur la dimension poétique et sur la structure mathématique du Timée-Critias de Platon ». Paris 1, 1999. http://www.theses.fr/1999PA010562.

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Résumé :
Ces recherches sur le Timée-Critias sont la mise à l'épreuve d'hypothèses sur l'écriture philosophique telle que l'a conçue Platon, son initiateur. Ces hypothèses veulent donner l'idée précise d'un art d'écrire mathématiquement réglé, disposant théoriquement et pragmatiquement des moyens adéquats, et sachant reprendre, dans un cadre de conceptualisation ainsi mathématise, un ensemble de figures et de valeurs poétiques signifiantes. L'art d'écrire serait, dans cette hypothèse, de conjoindre le poétique et le mathématique pour donner à la vie philosophique une représentation miniature virtuelle, séminale, et la possibilité d'une reproduction future dans un acte de lecture. On se sera donc appuyé, pour développer cette idée, sur un examen des textes ou Platon donne à penser et son rapport effectif à l'écriture et sa position dans le problème technique de l'art d'écrire comme dans celui, politique, de la communication de la pensée ; à savoir, les lettres et le Phèdre. Ces recherches renouent d'une part avec la tradition de lecture néoplatonicienne, non pas pour reprendre littéralement le contenu du commentaire, mais la qualité d'un rapport au texte à commenter. D'autre part, elles veulent se tester comme interprétation pertinente sur des sortes d' "expériences cruciales" pour la lecture. Avec le Timée-Critias, présenté ici comme banc d'essai, l'épreuve-test consiste dans la difficulté qui embarrasse un lecteur moderne : l'apparent inachèvement du discours de Critias
These researches about the work of Plato, the Timaeus-Critias, such as he conceived it, are meant to confirm some of the hypothesis about his philosophical writing. These hypothesis want to give a definite idea of a writing art mathematically adjusted, theoretically and practically feasible, and a writing art which is able to integrate, on this base, some poetic,traditional and meaningful figures. In such an hypothesis, the art consists in joining the poetic and the mathematic as well, in order to allow the philosophical practice to become a virtual performance, so that the miniatured and seminal dialogue of his text can reproduce itself in the activity of reading, in the reader himself. Thus, these researches command to consider the many texts in which plato gives some informations about his own relation with a piece of writing, and takes position in the technical problem of the writing art or the political problem of the communication of thoughts (the letters and the phaedrus). On the one hand, this work revives the tradition of neoplatonician reading, not the content of them, but the way of considering a text. On the other hand, it wants to test itself as a relevant interpretation with + crucial experiments ; of reading. The Timaeus-Critias is here a relevant test for the reader of today to meet with the difficulty of the seamly incompletion of critias speech
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Dufour, Richard. « Le traité "Du Monde" de Plotin (II, 1) ». Paris 1, 2001. http://www.theses.fr/2001PA010547.

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Résumé :
Depuis plusieurs années, de nouvelles traductions commentées de certains traités de Plotin sont apparues en France. Notre travail s'inspire de ce regain d'intérêt pour le fondateur du néoplatonisme. À notre tour, nous avons choisi d'offrir une introduction, une traduction et un commentaire d'un traité des Ennéades. Notre choix s'est arrêté sur un écrit qui a été négligé jusqu'ici: le traité Sur le Monde ou Sur le Ciel (II, 1 [40]). Dans les Ennéades, Il, 1 est l'un des seuls traités exclusivement consacrés à la cosmologie. En ces pages, Plotin nous livre sa vision de l'univers et surtout celle qu'il a du ciel. En effet, Plotin croit que les astres se composent uniquement de feu, alors que les vivants qui peuplent la terre contiennent quatre éléments, à savoir la terre, l' eau, l' air et le feu. Étant des dieux, les vivants célestes possèdent un meilleur corps que ceux d'ici-bas et ils évoluent dans une région supérieure. Bref, le ciel et tout ce qu'il contient n'a aucune commune mesure avec les vivants qui se trouvent sous la lune. Afin de défendre sa position, Plotin fait un appel constant aux enseignements de Platon. Le traité 40 devient ainsi une sorte d'exégèse du Timée. Plotin tente à chaque instant de rattacher ses doctrines à re dialogue. Or, cela ne va pas sans difficultés. En effet, Platon n ' a jamais soutenu que le ciel se compose uniquement de feu. Il croit au contraire que les quatre éléments entrent dans la constitution des astres. Tout au long du traité 40, nous assistons donc à une confrontation, celle d'un interprète néoplatonicien qui tente de lire dans le Timée une théorie qui ne s 'y trouve pas. D'une page à l' autre, les limites de toute exégèse se dessinent de manière frappante.
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5

Lendja, Ngnemzue Ange Bergson. « Platon, Lemaître et la question cosmologique ». Paris 1, 2008. http://www.theses.fr/2008PA010544.

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Résumé :
Le démiurge de Platon et l'atome primitif de Lemaître sont deux intuitions inédites, que la thèse considère comme des artifices théoriques d'astronomie antiobservationnelle. La genèse de ces artifices renvoie à la thématisation présocratique de l'unité cosmique (1ère partie), principe matériel dans son éclosion ionienne, et principe abstrait dans l'école pythagoricienne (chap. 1 er). Platon institutionnalise les formes intelligibles et platonise les présocratiques (mathématisation du principe quadruple d'Empédocle et dépassement de la controverse être/devenir qui opposa éphésiens et éléates) (chap. 2). Lemaître, contemporain d'Einstein, est tributaire d'une unité cosmique marquée par la gravitation relativiste, qui disqualifie le système classique ayant, en son temps, déclassé le mouvement et les substances aristotéliciens (chap. 3). La théorisation (2ème partie) montre comment Platon fait du démiurge le concept axial de son astronomie géométrique, qui adjoint le monde sensible en devenir aux formes intelligibles, en n'en gardant que la trame (khora). L'univers est conforme aux normes mathématiques (proportion, symétrie, etc. ) (Chap. 4). La perspective dynamique de Lemaître émerge contre le modèle stationnaire d'Einstein/De Sitter, aristotélicien en son fond (Chap. 5). Au bout, deux configurations apparaissent (3ème partie) : sphérique et homogène, l'univers de Platon repose sur le triangle, figure fondamentale dont les combinaisons forment des enveloppes avec quatre polyèdres réguliers: tétraèdre, octaèdre, icosaèdre, hexaèdre. L'« âme du monde» en assure la dynamique (Chap. 6). D'interprétation quantique, la singularité cosmique de Lemaître développe le modèle d'un univers issu de l'explosion (big bang) d'un atome primitif : l’isotope du neutron (Chap. 7).
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Mannker, Nathan Michel. « Questions à propos de Marx : apparence et réalité ». Paris 8, 1997. http://www.theses.fr/1997PA081259.

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Résumé :
" toute plus-value quelle qu'en soit la tonne particuliere - profit, interet, rente, etc. - est en substance la materialisation d'un travail non paye " dit marx dans "le capital". Tout le systeme capitaliste fonctionnant sur cette base est donc construit a partir de la spoliation de la force de travail physique ou intellectuelle, c'est-a- dire que son existence meme implique cette premiere manifestation de la lutte de classes qui se perpetue ainsi continuellement, ce que j'ai appele le sens unique de la lutte de classes. Les conditions materielles ont une repercussion certaine sur les conditions ideelles, mais il n'existe aucun rapport d'automaticite, la subjectivite intervenant pour interpreter les conditions materielles d'une facon plus ou moins rationnelle ou irrationnelle. Dans sa critique de hegel, marx a tendance a minimiser l'autonomie de l'idee. Le role du comportement humain est insuffisamment pris en compte. Qu'il y ait des processus, des tendances s'effectuant en dehors de la volonte humaine, c'est incontestable, mais ils ont affaire non seulement a leurs propres contradictions pouvant en entraver l'evolution, mais aussi a l'intervention humaine pas toujours apte a en degager ce qui a forme de necessite, puisque c'est l'interet et la passion qui l'orientent dans le hasard des situations. Ainsi, necessite, interet, passion, hasard, constituent ce que je nomme une sorte de quatuor animant le mouvement des diverses societes humaines et les rapports de tous ordres qui les regissent. L'incapacite humaine a tout connaitre, a tout comprendre, a tout realiser sans faille, nous renvoie a ce que j'ai appele les restes platoniciens du " timee ". Elle est insuffisamment prise en compte par marx et est ignoree par l'interpretation stalinienne du marxisme- leninisme, " doctrine infaillible "
" any surplus value, in whatever form - profit, interest, income, etc. - is, in substance, the materialisation of " unpaid work ", as marx declares in " das kapital ". The whole capitalist system is thus built on the plunder of the strength of physical or intellectual work. In other words, its very existence implies this primary manifestation of a self-perpetuating class struggle which i have called the one-way class struggle. Material conditions have a decisive impact on conceptual conditions but there is no automatic link between them as subjectivity intervenes in the rational or irrational interpretation of material conditions. In his critique of hegel, marx tends to minimise the autonomy of the idea. The role of human behaviour is insufficiently considered. Undeniably, some processes and trends occur outside human will but they are subject both to their own contradictions liable to hamper their evolution and to the action of humans who are more or less capable of identifying essential necessities since self-interest and passion guide us in random situations. Thus, necessity, self-interest, passion and chance constitute what i have called a sort of quartet which is the prime mover of all different human societies and the relations that govern them. The human incapacity to know everything, to understand everything, to achieve everything is a reference to what i have called the platonic vestige of " timee ". This human inability is insufficiently considered by marx and is completely ignored by the stalinian interpretation of marxism-leninism, known as the " infaillible doctrine "
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7

Dufossé, Colette. « Théories et vocabulaire de la vision dans les mondes grec et latin du IVe au XIIe siècle ». Paris, EPHE, 2013. http://www.theses.fr/2013EPHE4024.

Texte intégral
Résumé :
Dans l’Antiquité tardive, les théories de Platon et d’Aristote traitant du déplacement de la lumière (solaire ou oculaire) forment la base du discours sur la vision. L’approche néoplatonicienne des commentateurs grecs d’Aristote, influencée par la géométrie et la physiologie, est transmise à l’Occident latin, plus marqué cependant par le Timée de Platon – accessible en traduction, contrairement à l’oeuvre d’Aristote. Pour expliquer la formation de l’image dans l’âme de l’observateur, le monde grec combine des éléments issus d’Aristote et de Galien. L’Occident centre sa réflexion sur l’intériorité du sujet : la théorie augustinienne des trois visions élargit la théorie visuelle jusqu'à en faire une théorie de la pensée. Elle est ensuite redéfinie au XIIe siècle sous l’influence de la classification boécienne des puissances de l’âme. La propagation de la lumière est un élément essentiel de la vision. À partir de la métaphore du Dieu-lumière, les Pères grecs développent un discours métaphysique marqué par la physique aristotélicienne. Jean Scot Érigène le transmet au monde latin, où il vient conforter la théorie augustinienne de la vision. Au XIIe siècle, l'étude du Timée permet de transformer cette métaphysique en une optique physique originale. Alors qu’en grec les continuités avec le vocabulaire antique dominent, un lexique latin spécialisé semble se constituer, en partie sous influence grecque et en partie grâce à une réflexion autonome. Ce lexique, témoin de l’importance de la réflexion sur l’optique dans le monde latin durant le haut Moyen Age, est ensuite repris dans les traductions du XIIe siècle qui renouvellent la connaissance de cette discipline en Occident
During the late Antiquity, the theories of Plato and Aristotle about the solar or ocular light's movements are the basis of the theory of vision. The neoplatonic approach of the greek commentators to Aristotle, influenced by geometry and physiology, has been passed on to the Latin Occident, which was actually closer to Platon's Timaeus – available in traduction, unlike Aristotle's workIn order to explain the formation of the image in the observer's soul, the Greeks combine elements of Aristotle and Galen. The Occident focuses on the subject's interiority: the Augustinian theory enlarge the visual theory to create a thought's one. Then it's redefined during the twelth century under the influence of Boece's classification of the soul's forces. The propagation of light is a crucial element of vision. From the God-light's metapher, the Greek fathers developp a metaphysical speech influenced by Aristotle's physic. John Scotus Eriugena passes it on to the Latin world, where it comforts the Augustinian theory of vision. During the twelth century, this metaphysics changes to physics (optics) by means of the Timaeus' studies. Whereas in greek there is a continuity with the antique vocabulary, a specialised lexicon tends to appear in latin, through the greek and an autonomous thought, respectively. This lexicon, testimonial of the powerfull reflexion on optic during the early Middle Ages, is used in the twelth century's translations, which renew the knowing of this discipline in Occident
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González, Rendón Diony. « Cicero Platonis Aemulus : une étude sur le De Legibus de Cicéron ». Thesis, Paris 4, 2017. http://www.theses.fr/2017PA040009.

Texte intégral
Résumé :
Cette thèse étudie la réception de la philosophie de Platon à Rome au cours du premier siècle av. J.-C., en s´attachant plus particulièrement à la façon dont Marco Tulio Cicéron interprète, étudie, traduit et imite l´œuvre du philosophe grec. Nous y analysons également la réception qu´en font les stoïciens étant donné que le platonisme romain et plus concrètement celui que Cicéron connait, est tributaire des enseignements des maîtres stoïciens de Rome.Cette réception sera le point de départ pour comprendre comment Cicéron imite et émule le style et le contenu des dialogues de Platon et cela afin de rendre compte des différences et des similitudes entre leurs doctrines philosophiques. Cette thèse permettra de révéler l´influence que la philosophie de Platon a eu sur la configuration de la pensée et du langage philosophique à Rome ainsi que sur celle du domaine religieux et de celui de la législation romaine.Le De Legibus de Marco Tulio Cicéron sera l´œuvre-pivot de notre recherche. Ce dialogue n´a pas été exclusivement rédigé en tant qu´une imitation du style et du contenu des Lois de Platon; en effet, son contenu reflète non seulement l´importance qu´a eu le dialogue platonicien en tant que modèle dans l´élaboration des dialogues philosophiques de Cicéron, mais plus exactement celle de sa perspective politique et philosophique telle qu´elle est exposée dans le De Oratore, De Re Publica et le De Legibus.C´est à partir du langage que nous aborderons le processus d´imitation et d´émulation, c´est-à-dire que dans un premier temps, nous analyserons la façon dont Cicéron traduit l´œuvre de Platon. Nous observerons ensuite comment Cicéron adopte la structure rhétorique du dialogue platonicien. Finalement, nous présenterons la notion de loi naturelle comme élément grâce auquel nous montrerons l´empreinte du platonisme contenu dans le De Legibus. Il est pertinent de souligner que ce platonisme cicéronien a été marqué par un dialogue constant entre les différentes traditions stoïciennes, académiciennes et péripatéticiennes tout autant que par les disputes contre les épicuriens et les griefs nourris par une réalité romaine déchirée par une crise politique et spirituelle
The following dissertation examines the reception of Plato’s philosophy in Rome, with special focus on how Marcus Tullius Cicero, between the years I to C. approximately, receives, studies, translates and imitates the work of the Greek philosopher. Furthermore, it analyses the way in which the Stoics received Plato’s philosophy, considering the fact that Roman Platonism, and that of Cicero in particular, was communicated by the Stoic teachers of Rome.This reception will be the starting point in order to comprehend Cicero’s imitation and emulation of the style andcontent in the dialogues of Plato, and to perceive similarities as well as dissimilarities in his philosophic doctrines. This dissertation will highlight the influence that Plato’s philosophy exerted on the development of the thoughts and philosophic language of Rome, as well as its contribution to Roman religion and legislation.The point of reference for this paper is the De Legibus by Marcus Tullius Cicero. The dialogue was not composedexclusively as an imitation of the style and content of Plato’s The Laws; instead, it reflects the importance of the Platonic dialogue as a model for the philosophic dialogues which Cicero formed, specifically the political and philosophical proposition that Cicero presents in De Oratore, De Re Publica and De Legibus.The process of imitation and emulation will be addressed from a linguistic perspective. In other words, an analysis ofhow Cicero translates the work of Plato will be followed by an observation of how Cicero adapts the rhetorical structure of the Platonic dialogue. Finally, the paper will discuss the notion of the natural law as an element through which it is possible to demonstrate the Platonism that encompasses Cicero’s De Legibus. It is also worth mentioning that Cicero’s Platonism was characterized by the continuous interchange with the various Stoic, Academics and Peripatetic traditions, the disputes with Epicureans, and the objections of a Roman society immersed in a political and spiritual crisis
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