Littérature scientifique sur le sujet « Philosophie de l'homme – Humanité »

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Articles de revues sur le sujet "Philosophie de l'homme – Humanité"

1

BOUSSAKA, ABDELGHANI. « From the Philosophy of Violence to the Philosophy of Revolution : Hebert Marcuse as a Case Study ». Milev Journal of Research and Studies 1, no 2 (31 décembre 2015) : 175–94. http://dx.doi.org/10.58205/mjrs.v1i2.1162.

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Résumé :
Cette étude vise à illustrer précisément la relation dialectique entre laviolence et la révolution, ainsi le rôle de la révolution à changer lasituation social autant que la société se transfère de la situation statiqueau situation dynamique, mettant en exergue également l’attitude de lapensée philosophique vers la violence et la révolution comptant, en effet,sur un point de vue d’un philosophe occidental.Quant aux résultats conclus de cette étude destinés à distinguercatégoriquement entre la violence légale et illégale , ainsi la réalité de larévolution menant à une société nouvelle Entrez le texte à traduireici...Aussi essayer de mettre en évidence le moderne l'homme qui estdevenu une dimension, lorsque confiné et sa consommation et donc notredroit de modifier les alkogito cartésien « je pense donc je suis » à "jeconsomme donc je suis" comme la société industrielle de tuer tous lesdésirs et instincts humains et perdu le sens de l'art et de beauté, desvaleurs et lui faire vivre une seule dimension, être ici la révolutionglobale qui n'a changé et retourne à son humanité.
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2

Galey, Jean-Claude. « Les angles de l'Inde ». Annales. Histoire, Sciences Sociales 41, no 5 (octobre 1986) : 969–98. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1986.283327.

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Résumé :
S'il est vrai que l'identité des civilisations reste liée dans une large mesure à une problématique des origines, les perspectives d'analyse que mobilisent à son propos les disciplines dominantes des sciences de l'Homme et de la Société sont encore loin du bel unisson rêvé par leurs protagonistes. D'Alembert, dans son discours préliminaire à la Grande Encyclopédie, marquait déjà la discordance, classant les premières dans la philosophie et les secondes dans l'histoire. La distinction de deux domaines au sein d'un même intitulé continue aujourd'hui d'en porter témoignage. A la paléontologie et à la préhistoire s'opposerait alors la sociologie. Celle-ci, partie de la multiplicité et de l'observation les découperait pour constituer des typologies et remonter ensuite jusqu'à des formes élémentaires. Celles-là, guidées par des échantillons directeurs exhumeraient de leurs chantiers de fouilles les traces interrompues du passé, reconstruisant les itinéraires et les empreintes d'une humanité initiale pour laisser à l'archéologie et à l'histoire le soin d'établir les liens avec des périodes moins reculées dont les trajets recoupent rarement ceux qu'elles avaient relevés.
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BEYA MALENGU, Bertin. « Ubuntu : une philosophie humaniste africaine à l’heure de la mondialisation ». Cahiers des Religions Africaines 2, no 4 (20 décembre 2021) : 76–89. http://dx.doi.org/10.61496/inqd3966.

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Résumé :
Résumé La mondialisation est un phénomène pluriel, ambigu et prédateur. D’où l’urgente nécessité de son humanisation. Et Ubuntu, comme philosophie humaniste africaine, est une alternative à une mondialisation prédatrice parce qu’il nous invite à faire l’humanité ensemble et à habiter la terre ensemble. Mots clés : Ubuntu, humanité, mondialisation, philosophie humaniste
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4

MPUKU LAKU, Félicien. « Ubuntu et ses enjeux existentiels ». Cahiers des Religions Africaines 2, no 4 (20 décembre 2021) : 11–27. http://dx.doi.org/10.61496/bbzc6795.

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Résumé :
Résumé Concept polysémique, polyforme et transversal, Ubuntu traduit l’«humanité-lien », l’humanité vraie, le fait d’être homme. Il renvoie à plusieurs vertus et valeurs. Il est le symbole d’humanité partagée. Ubuntu est considéré comme le coffre-fort qui renferme les principales valeurs positives pour un être humain. Son enseignement se résume dans un proverbe africain : « mon humanité est liée inextricablement à la vôtre » ou « nous appartenons au même faisceau de vies ». Grâce à l’éducation, cette pensée, philosophie, vision du monde, sagesse de vie ou culture peut imprégner toutes les dimensions de l’existence humaine. Mots-clés : ubuntu, enjeux existentiels, humanité vraie, solidarité, culture de l’excellence.
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5

Retaillé, Denis. « Géographie, philosophie du monde de l'homme. » Géographes associés 1, no 1 (1986) : 16–24. http://dx.doi.org/10.3406/geoas.1986.1657.

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6

Retaillé, Denis. « Géographie, philosophie du monde de l'homme ». Cahiers de sociologie économique et culturelle 4, no 1 (1985) : 155–64. http://dx.doi.org/10.3406/casec.1985.1523.

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7

Vandermeersch, Léon. « Philosophie des cultures et droits de l'homme ». Le Débat 153, no 1 (2009) : 180. http://dx.doi.org/10.3917/deba.153.0180.

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8

Coupland, Robin. « Humanity : What is it and how does it influence international law ? » International Review of the Red Cross 83, no 844 (décembre 2001) : 969–89. http://dx.doi.org/10.1017/s156077550018349x.

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Résumé :
Résumé Pour I'auteur, le principe de l'humanité inclut la possibilité et la volonté de réduire la capacité de se livrer à la violence armée et d'en limiter les effets sur la sécurité et la santé. L'humanité ainsi interprétée englobe l'humanitarisme, la moralité, le développement, les droits de l'homme et la sécurité humaine. À ce titre, elle est une des principales sources du droit international en général et du droit international humanitaire en particulier. Dans cet article, l'auteur décrit les conséquences du lien étroit qui existe entre humanité et droit international.
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9

KABASELE MUKENGE, André. « Editorial : Ubuntu, une philosophie à se réapproprier ». Cahiers des Religions Africaines 2, no 4 (20 décembre 2021) : 5–10. http://dx.doi.org/10.61496/dhau8028.

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Résumé :
Ce numéro 4 de la nouvelle série des Cahiers des Religions Africaines rassemble des études consacrées à la culture et à la philosophie ubuntu. Ces textes répondent au projet de recherche lancé par le Centre d’Etudes des Religions Africaines (CERA) pour cerner la notion d’ubuntu, en déceler les contours, en décrypter les axes et les terrains d’application, en relever les défis, voire les limites. Comme nous l’écrivions en son temps, ubuntu n’est pas seulement un concept ou une notion ; il est fondamentalement une culture, une philosophie, une éthique, voire une théologie. De ce point de vue, il peut devenir le soubassement de toute action humaine qui vise l’excellence, qui promeut la dignité humaine pour soi et pour les autres ; qui valorise la solidarité, le vivre-ensemble, la réconciliation, et même la bonne gouvernance. Il s’agit, à vrai dire, d’une matrice pour la construction d’une humanité à créer collectivement.
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Bimbenet, Étienne. « La chasse sans prise ” : Merleau-Ponty et le projet d'une science de l'homme sans l'homme ». Les Études philosophiques 60, no 1 (1 mars 2002) : 0. http://dx.doi.org/10.3917/leph.021.0239.

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Résumé :
L’association systématique des sciences humaines au discours philosophique s’accomplit, dans l’œuvre de Merleau-Ponty, selon un dispositif original. Philosophie et sciences humaines se rencontrent ici autour du caractère problématique de l’humain, tel que Descartes l’avait défini. Le problème de l’union de l’âme et du corps revient alors à la philosophie sous la forme d’une antinomie, opposant le point de vue subjectif de la réflexion et le point de vue objectif du savoir empirique, et y induit un questionnement de type ontologique. Mais ce même problème traverse les sciences humaines, et y prend la forme d’une crise qui les affecte de l’intérieur : parce qu’elles visent un être qui est à la fois l’objet d’un savoir positif, et le sujet fondateur de ce savoir, ces sciences sont vouées à une instabilité et à une critique perpétuelle de leurs propres principes. À l’ontologie interrogative répond ainsi l’autocritique du scientifique, selon une configuration à laquelle l’œuvre de Foucault nous aura rendu familiers. Mais alors que Les mots et les choses décident finalement, sous le chef de la “ mort de l’homme ”, d’en finir avec un dispositif jugé stérile, le même dispositif trouve chez Merleau-Ponty à s’enraciner dans l’être, et à s’attester phénoménologiquement à travers une pensée de l’avènement.
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Thèses sur le sujet "Philosophie de l'homme – Humanité"

1

Bimbenet, Étienne. « Nature et humanité dans l'oeuvre de Merleau-Ponty ». Clermont-Ferrand 2, 2001. http://www.theses.fr/2001CLF20007.

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Résumé :
Dans ce travail, l'auteur tente de reconstituer l'ensemble de l'itinéraire de Merleau-Ponty depuis la question de l'humain, envisagé dans son rapport au vivant on aurait pu croire qu'une telle question donnerait lieu, dans l'oeuvre de Merleau-Ponty, à la mise en place d'une thématique anthropologique ; or il en va tout autrement. Car, si comme le philosophe en acquit tôt la conviction, la spécificité de l'être humain ne fait pas alternative avec son inscription dans une continuité naturelle ; si tout au contraire c'est la filiation naturelle de l'homme qui peut seule rendre compte efficacement de sa spécificité ; alors la thématique anthropologique le cède à une philosophie et plus prodondément à une ontologie de la nature, seule capable de restituer à notre humanité ce qui lui revient en propre. C'est donc moins de l'homme que parle Merleau-Ponty, que de la nature qui fait l'homme. Or, le philosophe n'acquiert que progressivement les moyens de faire droit à une telle idée ; c'est ce cheminement, avec ses progrès et ses remises en cause, que suit l'auteur, pour finalement faire éclater le paradoxe d'une humanité sans l'homme, rendue à l'efficacité de ces pouvoirs naturels. On notera par ailleurs l'importance accordée, tout au long du travail, à différentes sciences humaines (psychologie, psychanalyse, linguistique), que Merleau-Ponty en effet ne cesse d'intégrer à son discours proprement philosophique
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2

Barrera, Guillaume. « L'homme à définir : recherches sur la figure de l'homme dans l'oeuvre de Montesquieu en général, et dans l'Esprit des lois en particulier ». Paris, EHESS, 2000. http://www.theses.fr/2000EHES0116.

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3

Alombert, Anne. « Simondon et Derrida face aux questions de l'homme et de la technique : ontogenèse et grammatologie dans le moment philosophique des années 1960 ». Thesis, Paris 10, 2020. http://faraway.parisnanterre.fr/login?url=http://bdr.parisnanterre.fr/theses/intranet/2020/2020PA100085/2020PA100085.pdf.

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Résumé :
La thèse poursuit deux objectifs principaux. D’abord, confronter les projets d'ontogenèse et de grammatologie respectivement proposés par G. Simondon en 1958 et J. Derrida en 1967 en les resituant dans leur contexte historico-théorique et en explicitant leurs enjeux épistémologiques (il s’agit dans les deux cas d'"excéder" les présupposés métaphysiques de la tradition philosophique occidentale et d’inventer une nouvelle relation entre discours philosophique et savoirs positifs). Puis, évaluer les conséquences théoriques de ces deux gestes concernant les questions philosophiques de l’homme et de la technique (il s'agit dans les deux cas de rompre avec une conception « humaniste » de l'homme et « instrumentale » de la technique, et de repenser la relation entre vie, technique et esprit). Il s’agit enfin de confronter ces pensées au contexte technique actuel et d’ouvrir de nouvelles perspectives pour penser les enjeux anthropologiques et sociaux des transformations technologiques contemporaines
The aim of this work is twofold. First, we focus on the projects of ontogenesis and grammatology, formulated by G. Simondon in 1958 and by J. Derrida in 1967, we situate them in their theoretical context and we evaluate their metaphysical and epistemological stakes (we try to show that a new way of thinking is appearing, after the end of Western metaphysics) ;Secondly, we focus on the theoretical consequences of Simondon’s and Derrida’s thought, particularly on the questions of human and technics (we try to show that they both open a way beyond humanism and reductionism by rethinking the links between life, technics and mind or spirit). We finally try to revive Simondon’s and Derrida’s reflections in the contemporary technical context, in order to open new perspectives on the anthropological and social consequences of the current digital transformations
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4

Federau, Alexander. « Philosophie de l'Anthropocène : interprétations et épistémologie ». Thesis, Dijon, 2016. http://www.theses.fr/2016DIJOL006.

Texte intégral
Résumé :
Depuis plusieurs décennies, une partie de la communauté scientifique observe et dénonce l’ampleur des changements environnementaux anthropogéniques. Un concept récent est issu de ces inquiétudes, qui cristallise l’idée d’une transformation planétaire durable : c’est l’Anthropocène, la proposition de définir une époque géologique nouvelle, faisant suite à l’Holocène, et qui affirme que l’homme est désormais une force géologique. Ce travail avance que l’Anthropocène pousse le dualisme moderne entre la nature et l’homme dans ses derniers retranchements. Dans la première partie, les débats actuels des géologues autour de l’Anthropocène sont examinés, ainsi que les concepts précurseurs à l’Anthropocène. Les multiples dimensions de la « force géologique » sont présentées, ainsi que les conséquences pour la protection de l’environnement. La seconde partie est interprétative. Une typologie des différentes lectures de l’Anthropocène est donnée. Les modalités de la collaboration nécessaire entre les sciences naturelles et les sciences humaines sont examinées. La question du dépassement du dualisme est analysée, en particulier par le renouvellement du rapport au temps que l’Anthropocène impose. Enfin, il est montré en quoi l’Anthropocène nous demande d’adapter nos représentations planétaires. Il n’existe pas de consensus sur la signification de l’Anthropocène, qui est une bénédiction pour les uns, l’annonce d’une catastrophe pour les autres. La thèse offre un regard philosophique et une interprétation originaux sur une question controversée d’une grande actualité
For several decades, part of the scientific community has observed and denounced the magnitude of the anthropogenic environmental change. A recent concept has emerged from these concerns, which crystallises the idea of a lasting planetary transformation: the Anthropocene, the proposal to define a new geological epoch that ends the Holocene, and in which the human being has become a geological force. This work assumes that the Anthropocene brings modern dualism between man and nature to its extreme limits. In the first part, the actual debates from geologists on the Anthropocene are discussed, as well as the precursors. The multiple dimensions of the Ôgeological forceÕ are presented, as well as the consequences for the protection of nature. The second part is interpretative. A typology of different understandings of the Anthropocene is given. The modalities of interdisciplinary work between natural and social sciences are examined. The question of how it is possible to overcome modern dualism is analysed. A special question is to understand how the Anthropocene gives a new meaning to our understanding of time. Finally, it is shown how and why the Anthropocene asks us to adapt our planetary representations. There is no consensus on the meaning of the Anthropocene, which is a blessing for some, the announcement of a disaster for others. The thesis offers a philosophical look and original interpretation on a controversial issue of great news
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Grassadonio, Guido. « Lucien Goldmann : pour un marxisme humaniste. De l’anthropologie paradoxale à l’autogestion ouvrière ». Thesis, Paris Sciences et Lettres (ComUE), 2018. http://www.theses.fr/2018PSLEH158.

Texte intégral
Résumé :
Lucien Goldmann, 1913-1970, a été une figure importante du débat sur le rapport entre le marxisme et l'humanisme à partir des années 1950 jusqu'à sa disparition.Ce travail vise, d'abord, à montrer les véritables fondements philosophiques de son humanisme marxiste, à la fois critique de Sartre et irréductible adversaire d'Althusser et de l'école structuraliste. Au cœur de cette pensée est une anthropologie paradoxale inspirée tant par Pascal et sa conception du pari, que par le Faust de Goethe et l'idée de la nécessité du « passage par le mal », voire du compromis éthique/politique. Dialectique et pari pascalien composent en Goldmann une seule unité philosophique, dont ce travail a essayé de décrire les passages les plus importants.Dans un deuxième temps, on a cherché à décrire le travail sociologique proposé par Goldmann dans la reconstruction historique des majeures formes de résistance humaniste (parfois politique, parfois seulement culturelle) à la société capitaliste réifiée et réifiante : du roman à l'autogestion ouvrière, en passant par l'histoire du mouvement socialiste.Finalement, ce travail essaie aussi de mettre en lumière la dernière proposition politique de Goldmann, c'est-à-dire celle d'un nouveau socialisme, fondé sur le concept d'autogestion ouvrière et caractérisé par la non abolition du marché libre.À l'intérieur de tout ce parcours, une grande importance est donnée aux confrontations des idées goldmaniennes et celles d'autres auteurs, de Bloch à Balibar, en passant par Fromm, Althusser et Mallet. L'objectif est celui de montrer comment certaines des propositions de l'auteur sont toujours à la hauteur du débat actuel
Lucien Goldmann, 1913-1970, was an important figure in the debate on the relation between Marxism et Humanism, from the 1950's until the day of his death.The purpose of this work is to show, first of all, his philosophical foundations of his Marxist humanism, that is simultaneously a critic of Sartre and an irreducible enemy of Althusser and all the structuralist school. The heart of his thought is a paradoxical anthropology inspired by Pascal and his conception of wager, but also by Goethe's Faust and the idea of the necessity of a «passage through evil» or an ethical/political compromise. Dialectic and pascalian wager compose in Goldmann's view one philosophical unity, which this work has tried to describe its most important moments.In the second part, we tried to describe the Goldmann's sociological work of historical reconstruction of most important form of (sometimes political, sometimes only cultural) humanist resistance: from novel to worker’s self-government, passing by the history of socialist movement.Finally, this work is also to highlight Goldmann's thought, that of a new socialism based on the concept of worker automation and characterized by the non-abolition of the free market, and it's confrontation with other authors, like Bloch, Balibar, Fromm, Althussser and Mallet. The objective is to show how some statement of the author can be useful to today debate
Lucien Goldmann, 1913-1970, è stato una figura importante all'interno del dibattito sul rapporto fra marxismo e umanesimo tra gli anni '50 fino alla sua scomparsa.Questo lavoro mira, per prima cosa, a mostrare le vere basi filosofiche del suo umanesimo marxista, contemporaneamente critico di Sartre e irriducibilmente nemico d'Althusser e di tutta la scuola strutturalista. Come cuore di tale pensiero troviamo un'antropologia paradossale ispirata tanto da Pascal e dalla sua concezione del "pari", tanto dal Faust di Goethe, con l'idea della necessità di un "cammino attraverso il male", ovvero di un compromesso etico/politico. Dialettica e scommessa pascaliana compongono nell'autore una sola unità filosofica, di cui questo lavoro prova a descriverne i passaggi principali.In un secondo momento, si è provato anche a descrivere il lavoro sociologico proposto da Goldmann nel tentativo di ricostruire le forme principali di resistenza umanista (sia politica, sia meramente culturale) alla società capitalista reificata e reificante: dal romanzo fino all'autogestione operaia, passando per la storia del movimento socialista.In fine, questo lavoro prova pure a descrivere l'ultima proposta politica di Goldmann, ovvero quella di un nuovo socialismo, fondata sul concetto di autogestione operaia e caratterizzato dalla non abolizione le libero mercato.All'interno di questo percorso, una grande importanza è data al confronto tra le idee goldmanniane e quelle di altri autori, come Bloch, Balibar, Fromm, Mallet e Althusser. Lo scopo è quello di mostrare come certe proposte dell'autore siano ancora all'altezza del dibattito attuale
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Fauvel, Guillaume. « La démocratie face à la condition posthumaine : la réponse transhumaniste à l'énigme de l'humanité des hommes ». Electronic Thesis or Diss., Rennes 1, 2022. http://www.theses.fr/2022REN1G001.

Texte intégral
Résumé :
Le transhumanisme promeut un modèle d’humanité intégralement soumis à la seule puissance technoscientifique qui se trouve elle-même orientée par l’idéologie néolibérale. La figure de « l’homme augmenté » ou « posthumain » se constitue sur la réduction de l’humain à ce qui dans sa condition est le plus « gouvernable », le plus docile, le plus facile à diriger et à adapter aux besoins d’efficacité et de performativité économique. Le transhumanisme devient ainsi le support de création et de conditionnement d’une nouvelle subjectivité disposée à se laisser conduire selon les exigences d’une société de marché. Le « posthumain » permettrait d’atteindre l’objectif ultime d’une dépolitisation totale des individus et de la société au profit d’une économisation intégrale des individus et de la société. Prise dans cette sotériologie transhumaniste, l’humanité des hommes n’apparaît plus comme une énigme (aínigma), comme ce que les hommes peuvent “laisser entendre de leur humanité” quand ils sont libres d’en questionner perpétuellement le sens qui renvoie à une Idée indéfinissable et donc essentiellement énigmatique [Robert Legros]. Lorsque l’énigme de l’humanité des hommes fait signe vers la condition politique [Hannah Arendt], elle constitue le moteur d’une démocratie toujours à venir [Jacques Derrida], invitant les hommes à s’approprier librement l’agir politique comme instrument de problématisation du sens de l’humain. Problématisation éminemment politique qui permet aux individus de refuser toute forme de normalisation aliénante de leur existence.En mobilisant les outils de la Théorie critique, de la philosophie politique, des théories de la démocratie et de l’histoire des idées politiques, l’enjeu de cette thèse réside dans l’analyse du mouvement transhumaniste à l’aune d’une domination de l’idéologie néolibérale qui dissimule le fait que l’utopie d’une posthumanité n’est que l’illusion idéologique d’une démocratie qui aura définitivement épuisé son énergie utopique en même temps qu’elle aura cessé de maintenir l’énigme de l’humanité des hommes comme la source politique d’une émancipation véritable
Transhumanism promotes a model of humanity that is entirely subject to the sole techno-scientific power that is itself oriented by neoliberal ideology. The figure of the "augmented man" or "posthuman" is constituted on the reduction of the human to what in its condition is the most "governable", the most docile, the easiest to direct and to adapt to the requirements of efficiency and economic performativity. Transhumanism thus becomes the support for the creation and conditioning of a new subjectivity willing to let itself be led according to the demands of a market society.The "posthuman" would allow to reach the ultimate objective of a total depoliticization of the individuals and the society to the profit of an integral economization of the individuals and the society. Taken in this transhumanist soteriology, the humanity of the men does not appear any more like an enigma, like what the men can “let understand of their humanity” when they are free to question perpetually the sense of it which refers to an indefinable Idea and thus essentially enigmatic [Robert Legros]. By mobilizing the tools of Critical Theory, political philosophy, theories of democracy and the history of political ideas, the stake of this thesis lies in the analysis of the transhumanist movement in the light of a domination of the neoliberal ideology which hides the fact that the utopia of a posthumanity is only the ideological illusion of a democracy which will have definitively exhausted its utopian energy at the same time as it will have ceased to maintain the enigma of the humanity of the men as the political source of a true emancipation
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Ambririki, Hamidani-Attoumani. « Ordre et justice chez Jean-Jacques Rousseau ». Phd thesis, Université Charles de Gaulle - Lille III, 2009. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00982990.

Texte intégral
Résumé :
Il s'agit d'examiner les rapports solidaires mais paradoxaux entre ordre et justice, chez Rousseau, en tenant compte de la variété des contextes dans lesquels les deux concepts entrent en rapport, notamment dans les domaines de la nature et de la société. D'une manière générale, l'ordre semble prééminent dans l'œuvre rousseauiste. Mais sans la justice, la valeur positive de l'ordre se retourne en valeur négative. L'ordre est alors injuste, ou encore, l'ordre apparent masque un désordre réel. Les rapports entre les deux concepts dépendent donc du point de vue adopté : ontologique et métaphysique, ou bien critique et évaluatif. L'interdépendance de ces concepts est encore compliquée par leur polysémie. L'ordre se présente sous forme naturelle, sociale et individuelle, et la justice obéit à un double paradigme : un paradigme naturel et un paradigme rationnel. Cependant, ces deux modèles ont leurs limites. Pour résoudre le problème posé par l'existence d'un ordre injuste, Rousseau combine égalité et inégalité, et propose une théorie de l'éducation de l'individu à la justice.
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Ambririki, Hamidani-Attoumani. « Ordre et justice chez Jean-Jacques Rousseau ». Phd thesis, Lille 3, 2009. https://theses.hal.science/tel-00982990.

Texte intégral
Résumé :
Il s'agit d'examiner les rapports solidaires mais paradoxaux entre ordre et justice chez Rousseau, dans leurs contextes, généralement dans la nature et la société, puisque l'ordre semble prééminent dans l'œuvre rousseauiste mais sans la justice, sa valeur est négative. Les rapports entre les deux concepts dépendent donc du point de vue adopté. L'interdépendance de ces concepts est encore compliquée par leur polysémie. L'ordre se présente sous forme naturelle, sociale et individuelle, et la justice obéit à un double paradigme : un paradigme naturel de la justice et un paradigme rationnel de la justice. Cependant, ces deux modèles ont leurs limites. Pour résoudre le problème de l'ordre injuste, Rousseau combine donc égalité et inégalité, et propose la théorie de l'éducation de l'individu juste
It is an examination of the interdependent links but paradoxall betwen order and justice in Rousseau, in their context, in nature and society in general, since order seems a preeminent element in rousseauist work but without justice, its value is negative. The relationship between the two concepts thus depends on the adopted point of view. The interpedence of these concepts is still complicated by their polysemia. Order appears under a natural, social and individual form, and justice obeys a double paradigm : a natural paradigm of justice and a rational paradigm of justice. However, the both models are limited. To resolve the problem of unfair order, Rousseau thus combines equality and injustice, and proposes the theory of fair individual education
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Delpla, Isabelle. « Autrui : de l'expérience au concept ». Clermont-Ferrand 2, 1995. http://www.theses.fr/1995CLF20071.

Texte intégral
Résumé :
Face à la profusion d'expériences et de problèmes, on peut douter que la position d'autrui comme être et comme problème soit légitime. Etre multiplie et changeant, objet de réflexion fuyant, autrui serait-il pas une illusion ? Cette diversité même de l'expérience et du problème dessine une alternative entre le renoncement de la pensée face à un être si réfractaire à la catégorisation, et à l'assignation du problème d'autrui parmi les faux problèmes. Déroute du concept ou leurre, autrui ne serait pas un objet de pensée. En ce cas, toute pensée de l'intersubjectivité, de la communication, de l'altérité et de l'extériorité serait menacée. Que serait cette 2e ou 3e personne, partout présupposée, jamais rencontrée ? A quelles conditions autrui est-il un objet de pensée ? A quelles conditions la relation à autrui est-elle essentielle ? Le présent travail, de philosophie générale et non d'histoire de la philosophie, qui se voudrait une tentative pour dégager des prolégomènes à une pensée d'autrui, s'est fixé un triple but de clarification, de critique et d'articulation. Si autrui peut être un objet de pensée, c'est seulement en intégrant la difficulté posée par la diversité des expériences et des problèmes. Le problème, l'expérience et le concept d'autrui ne peuvent être posés que par une convergence entre perspectives différentes, qui se ressemblent par air de famille, se recoupent et se cristallisent en un noyau central. Il n'y a ni expérience, ni catégories cruciales. Le problème d'autrui est à entrées multiples. Autrui n'est pas l'autre, mais un autre parmi les autres. Cet entrelacement de perspectives multiples a été étudié dans une 2e partie à travers l'analyse du principe de charité qui nous enjoint de reconnaître autrui comme rationnel (principe situé à l'articulation du théorique et du pratique, du logique et de l'anthropologique) et dans une 3e partie par une réflexion sur la plasticité de la relation à autrui et par une hypothèse de polyphonie
The difficulty of translating the word "autrui" in english gives an hint of the problem dealt with in this dissertation. "autrui" is not only the epistemological problem of other minds nor the only category of otherness, whereas there is no problem of other people or of other persons in english speaking philosophy. Our problem is precisely to find the unity o f those different problems (theoretical or ethical, for instance) not related in analytic philosophy, to think the other as someone who thinks, who feels, knows, and as well desires, wants or imagines. But confronted with a multiplicity of experiences ans problems, it is doubtfull that "autrui" is an objet of thought. Is not he an illusion, a false problem o r even a false solution for theory of communication, of exteriority and intersubjectivity? under which conditions the ot her is an object of thought? under which conditions the intersubjectice relation is essential? this work of general philosophy, and not of history of philosophy, wants to be an atempts to outlines prolegomens to a thought of the other, with a triple goal of clarification, critics and linking. The problem, the experience and the concept of the other can only be thought by a convergence of differents perspectives, that looks the same by a family ressemblance, and crystaliz e in a central core. There is no crucial experience or category. Autrui is not the other, mais another among others. This intertwining of different perperctives is studied in a second part by an analysis of the principle of charity of quine and davidson, and by the plasticity of the interpretation and the idea of polyphony (as the ideea that many voices resound in each voice so that it is impossible to separate the thought of the other and mine
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Aqelsaravani, Zahra. « L'homme, l'humain et l'humanisme dans les oeuvres d'Albert Camus ». Thesis, Bordeaux 3, 2014. http://www.theses.fr/2014BOR30032.

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Résumé :
Albert Camus a lui-même distingué trois phases dans son Œuvre : celle de l’absurde : (la prise de conscience du non-sens de la vie conduit Camus à l’idée que l’homme est « libre de vivre sans appel », « quitte à payer les consciences de ses erreurs » et doit épuiser les joies de cette terre. La vie accepte le non-sens du monde et trouve le bonheur au sein même de l’absurde. Camus affirme que l’absurde n’est ni dans l’homme ni dans le monde, mais dans leurs présences communes, dans leur « confrontations » et le définit comme « l’indifférence à l’avenir et la passion d’épuiser tout ce qui est donné »), celle de la révolte : (la révolte est considérée par lui comme la seule position tenable face à l’absurde. Elle figure avec la liberté et la passion, comme une solution valable et capable d’assurer la justice. Elle seule peut assurer une action affective capable de dépasser la stérilité et l’angoisse créées par l’absurde), celle de l’amour : (Camus entend par là, l’amour de l’homme, tel qu’il est, avec ses forces et son intelligence et aussi avec ses limites et ses faiblesses. Camus exprime son affection et sa solidarité envers l’homme. Ce n’est plus seulement un humanisme classique qui s’affirme, plus seulement une position morale, mais une position d’homme sensible. Camus recherche encore à s’approcher de ces « quelques choses », de cette « part obscure » qui est en tout homme, et en lui-même en particulier). Cette étude interroge sur la remarquable prose camusienne qui touche au premier plan la question de l’Homme qui progresse et modifie au fil des années ; l’attachement au service d’une justice relative aux hommes dont l’idée n’est pas séparable de celle du bonheur ; l’adhésion à une éthique humaine et humaniste qui n’est que pour pousser l’esprit humaine à la perfection. Son art n’est pas « une réjouissance solitaire ». Camus formule son exigence envers l’Homme car l’art est le moyen de l’expression d’une communion entre les hommes
Albert Camus himself distinguished three phases in his work: that of the absurd (awareness of non-meaning of life led Camus to the idea that man is ‘’ free to live without appeal’’, take a risk to pay the consciences of his errors and must exhaust the joys of this earth. Life accepts the non-sense of the world and finds happiness in even the absurd. Camus says that the absurd is not in man nor in the world, but in their common presences, in their ‘’ confrontation’’ and defines it as ‘’ indifference to the future and the passion to exhaust all that is given’’), that of the revolt: (revolt is considered by him as the only tenable position to face the absurd. It appears with the freedom and passion, as a valid solution and capable of ensuring justice. It alone can assure emotional action capable of overcoming unproductiveness and anxiety created by the absurd), that of the love (Camus meant here the love of man as he is, with its forces and intelligence as well as its limitations and weaknesses. Camus expresses his affection and solidarity towards man. This is not only a classical humanism which expresses itself, not just a moral position, but the position of a sensitive man. Camus still tries to approach these ‘’ few things’’ this ‘’obscure part’’ which is in every man, and himself in particular. This study examines the remarkable prose of Camus that concerns the issue of man, who progresses and changes over the years; attachment to the service of justice, relating to man whose idea is not separable from that of happiness; adherence to human and humanist ethics which are pushing the human mind to perfection. His art is not ‘’ a solitary joy’’. Camus formulates his expectation from man because art is the way of expression of communion between people
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Livres sur le sujet "Philosophie de l'homme – Humanité"

1

L'homme nomade. Paris : Librairie générale française, 2005.

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2

Hassine, Khadija Ksouri Ben. Question de l'homme et théorie de la culture chez Ernst Cassirer. Paris : L'Harmattan, 2007.

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3

Question de l'homme et théorie de la culture chez Ernst Cassirer. Paris : L'Harmattan, 2007.

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4

L'homme de Vésale dans le monde de Copernic : 1543. Paris : Laboratoires Delagrange, 1991.

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5

Notre humanité : D'Aristote à l'homme neuronal. [Paris] : Fayard, 2010.

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6

Humanité de l'homme, divinité de Dieu. Paris : Éditions du Cerf, 2006.

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7

L'homme, à quel prix ? Paris : La Martinière, 2012.

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8

Philosophie de l'homme. Paris : Beauchesne, 1985.

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9

Lacroix, Michel. Ma philosophie de l'homme. Paris : Robert Laffont, 2015.

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10

L'homme en quête d'humanité. Paris : Presses de la Renaissance, 2007.

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Chapitres de livres sur le sujet "Philosophie de l'homme – Humanité"

1

Rudolph, Martin. « Homo Mensura-Philosophie ». Dans The Paideia Archive : Twentieth World Congress of Philosophy, 107–11. Philosophy Documentation Center, 1998. http://dx.doi.org/10.5840/wcp20-paideia199816324.

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Résumé :
Philosophische Anthropologie teilt sich in Europa seit der Zeit der alten Griechen in zwei Richtungen: die theologische (deus mensura) und die anthropologisch-medizinische (homo mensura)-Platon und Demokrit, Kant und La Mettrie. Für beide Richtungen steht Paideia (Lernen, Formen, Bilden, Kultur, Humanität) in Zentrum der Philosophie. Für homo-mensura-Philosophie entscheidend ist Analepse (ungefiltertes Aufnehmen) im Gegensatz zur Paralipse (filterndes Auslassen). La Mettrie ist ein wichtiger Vertreter der homo-mensura-Philosopphie (l'homme machine-l'homme mesure). Als 'Darwinist' (100 Jahre vor Darwin), für den das Gehirn die mabsetzende lebendige 'Maschine' ist, ist er Vorläufer einer evolutionären Philosophie. Homo-mensura-Philosophie ist (wie Thukydides, einer ihrer Vertreter, sagt) ein ‘Besitz für immer.'
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2

Neschke, Ada. « Nature de l'homme, nature du droit ». Dans Humanité, humanitaire, 53–77. Presses de l'Université Saint-Louis, 1998. http://dx.doi.org/10.4000/books.pusl.19342.

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3

« Références ». Dans Philosophie et droits de l'homme, 133–34. Presses Universitaires de France, 1990. http://dx.doi.org/10.3917/puf.bourg.1990.01.0133.

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4

« B. Création primitive de l'homme à l'image de Dieu ». Dans Monothéismes et Philosophie, 38–56. Turnhout : Brepols Publishers, 2002. http://dx.doi.org/10.1484/m.mon-eb.4.000539.

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5

« Deuil impossible et incorporation. La lecture derridienne du « Verbier de l'homme aux loups » ». Dans Monothéismes et Philosophie, 147–55. Turnhout : Brepols Publishers, 2005. http://dx.doi.org/10.1484/m.mon-eb.4.000596.

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6

Domenech, Jacques. « La Mettrie (1709-1751) : le bonheur de l'homme machine ». Dans Histoire raisonnée de la philosophie morale et politique, 440–46. La Découverte, 2001. http://dx.doi.org/10.3917/dec.caill.2001.01.0440.

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7

Cefaï, Daniel. « Le désintérêt pour l'intérêt : droits de l'homme et démocratie ». Dans Histoire raisonnée de la philosophie morale et politique, 721–33. La Découverte, 2001. http://dx.doi.org/10.3917/dec.caill.2001.01.0721.

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8

Vandenberghe, Frédéric. « Georg Simmel (1858-1918), Max Weber (1864-1920), Max Scheler (1874-1928) et la tradition sociologique allemande : grandeur et misère de l'homme économique ». Dans Histoire raisonnée de la philosophie morale et politique, 614–21. La Découverte, 2001. http://dx.doi.org/10.3917/dec.caill.2001.01.0614.

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9

Nascimento, Maria das Graças S. « Lumières et Histoire ». Dans The Paideia Archive : Twentieth World Congress of Philosophy, 136–42. Philosophy Documentation Center, 1998. http://dx.doi.org/10.5840/wcp20-paideia199811254.

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Résumé :
Chez Rousseau, la fonction du législateur qui crée les états se ressemble, parfois, á celle de l'écrivain politique. Les deux tâches se développent, toutefois, dans des niveaux différents. Le premier fonde les états particuliers, tandis que le deuxième élabore les principes du droit politique, condition de possibilité de la légitimité de tous les états empiriquement donnés. Ainsi, la tâche de l'érivain politique nous indique, chez Rousseau, la place destinée à la philosophie politique, qui ne peut être confondue avec un programme concret d'action, mais comme un code de principes auxquels les hommes d'action devront se tourner, afin de bien conduire les affaires de l'état. Outre cela, il faut penser aussi au precepteur qui, quand il s'agit de l'éducation publique, aura un rôle bien défini pour promouvoir une transformation radicale de l'homme, d'un tout parfait, indépendant, dans l'état de nature, en une partie du corps colectif, pour faire de l'homme un citoyen. Ce que Rousseau nous montre c'est que le législateur, aussi bien que l'écrivain politique, devront agir sur l'opinion publique, voir, sur les moeurs, sans violence, car l'art d'agir sur l'opinion publique ne tient point à la violence.
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Meira do Nascimento, Mílton. « Le Legislateur et L’Ecrivain Politique Chez Rousseau ». Dans The Paideia Archive : Twentieth World Congress of Philosophy, 173–79. Philosophy Documentation Center, 1998. http://dx.doi.org/10.5840/wcp20-paideia199841753.

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Résumé :
Chez Rousseau, la fonction du législateur qui crée les états se ressemble, parfois, á celle de l'écrivain politique. Les deux tâches se développent, toutefois, dans des niveaux différents. Le premier fonde les états particuliers, tandis que le deuxième élabore les principes du droit politique, condition de possibilité de la légitimité de tous les états empiriquement donnés. Ainsi, la tâche de l'érivain politique nous indique, chez Rousseau, la place destinée à la philosophie politique, qui ne peut être confondue avec un programme concret d'action, mais comme un code de principes auxquels les hommes d'action devront se tourner, afin de bien conduire les affaires de l'état. Outre cela, il faut penser aussi au precepteur qui, quand il s'agit de l'éducation publique, aura un rôle bien défini pour promouvoir une transformation radicale de l'homme, d'un tout parfait, indépendant, dans l'état de nature, en une partie du corps colectif, pour faire de l'homme un citoyen. Ce que Rousseau nous montre c'est que le législateur, aussi bien que l'écrivain politique, devront agir sur l'opinion publique, voir, sur les moeurs, sans violence, car l'art d'agir sur l'opinion publique ne tient point à la violence.
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