Articles de revues sur le sujet « Petites phrases »

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1

Krieg-Planque, Alice. « Les « petites phrases » : un objet pour l’analyse des discours politiques et médiatiques ». Communication & ; langages N° 168, no 2 (1 juin 2011) : 23–41. http://dx.doi.org/10.3917/comla.168.0023.

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Résumé :
Résumé Ce texte s’emploie à caractériser les « petites phrases » en tant qu’objet pour l’analyse des discours politiques et médiatiques, dans le cadre plus large d’une étude des faits de communication dans leur dimension discursive. Les « petites phrases » sont appréhendées sous plusieurs aspects, dont les termes sont explicités : caractéristiques de l’expression « petite phrase » elle-même ; dimension énonciative du phénomène ; déterminants génériques et sémiotiques façonnés par les médias ; intégration des contraintes par les politiques et les communicants ; caractéristiques qui favorisent la reprise et la circulation des énoncés ; appréciation par les acteurs sociaux eux-mêmes du phénomène des « petites phrases ».
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2

Lecarme, Jacques. « Petites phrases, gros dégâts ». Médium 32 - 33, no 3 (2012) : 275. http://dx.doi.org/10.3917/mediu.032.0275.

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3

Boyer, Henri, et Chloé Gaboriaux. « Splendeurs et misères des petites phrases ». Mots, no 117 (5 juillet 2018) : 9–17. http://dx.doi.org/10.4000/mots.23160.

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4

Maingueneau, Dominique. « Sur une petite phrase « de » Nicolas Sarkozy ». Communication & ; langages N° 168, no 2 (1 juin 2011) : 43–56. http://dx.doi.org/10.3917/comla.168.0043.

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Résumé :
Résumé Dans cet article, les petites phrases sont abordées d’un point de vue énonciatif. Après avoir rappelé que la petite phrase fait partie de la catégorie plus générale des « aphorisations », c’est-à-dire d’énonciations qui n’obéissent pas à la logique du texte et du genre de discours, l’auteur introduit le concept de « panaphorisation » pour désigner le fonctionnement spécifique des aphorisations dans la configuration médiatique actuelle où l’ensemble des médias sont interconnectés. Ce phénomène est ensuite illustré par l’étude d’une petite phrase attribuée à N. Sarkozy : « Zapatero n’est pas très intelligent ». Le fonctionnement de cette aphorisation diverge considérablement de celui de l’énonciation première, en l’occurrence une interaction orale au cours d’un repas, reconstituée par des témoins. La complexité des données linguistiques, l’instabilité des interprétations entrent en tension avec les contraintes de l’aphorisation. En dernière instance, le locuteur de cette aphorisation, son « aphoriseur », est un être discursif construit et stabilisé par les médias auquel est attribué l’ethos associé à l’aphorisation.
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5

Krieg-Planque, Alice, et Caroline Ollivier-Yaniv. « Poser les « petites phrases » comme objet d’étude ». Communication & ; langages N° 168, no 2 (1 juin 2011) : 17–22. http://dx.doi.org/10.3917/comla.168.0017.

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6

Ollivier-Yaniv, Caroline. « Les « petites phrases » et « éléments de langage » ». Communication & ; langages N° 168, no 2 (1 juin 2011) : 57–68. http://dx.doi.org/10.3917/comla.168.0057.

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Résumé :
Résumé Cet article analyse les usages des termes métalinguistiques « petites phrases », « formules » et « éléments de langage » dans le discours de spécialistes du maniement des signes et des discours, en l’espèce des écrivants de cabinets ministériels. Leurs emplois témoignent de la fabrication d’énoncés par des spécialistes, en anticipant leurs conditions de réception. Ils manifestent également la très grande difficulté à prévoir la sélection et la reprise des énoncés par les journalistes ainsi que, de manière plus générale, l’impossibilité du contrôle de la circulation et de la transformation des discours politiques dans les médias. Ces termes apparaissent caractéristiques des interdépendances entre professionnels de la communication et journalistes.
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McCallam, David. « Les « petites phrases » dans la politique anglo-saxonne ». Communication et langages 126, no 1 (2000) : 52–59. http://dx.doi.org/10.3406/colan.2000.3040.

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8

Leroux, Pierre, et Philippe Riutort. « Les émissions de divertissement : de nouveaux lieux de valorisation des petites phrases ? » Communication & ; langages N° 168, no 2 (1 juin 2011) : 69–80. http://dx.doi.org/10.3917/comla.168.0069.

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Résumé :
Résumé Les auteurs analysent les relations entre transformation des formats médiatiques et circulation des formules politiques. Les politiques ont dû s'adapter à la montée d'émissions de divertissement, d'abord conçues en opposition au débat politique, puis progressivement transformées pour favoriser la circulation des formules. D'abord marginalisées lorsqu'elles commencèrent à inviter des personnalités politiques, ces émissions, devenues « conversationnelles », ont peu à peu pris place parmi les tribunes recherchées par le personnel politique de premier plan. L' « informalisation » des situations ne signifie donc pas improvisation : face à des interlocuteurs spécialisés à l'affût des petites phrases, les invités politiques s'emploient à devancer ces attentes implicites.
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9

Mathieu, Romain. « Les petites phrases comme instrument des négociations électorales. L’exemple de la gauche radicale ». Mots, no 117 (5 juillet 2018) : 55–70. http://dx.doi.org/10.4000/mots.23324.

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Silletti, Alida Maria. « Les "petites phrases" de la campagne présidentielle de Marine Le Pen : quel type d'information ? » Colloquium 9788855130974 (juin 2023) : 103–21. http://dx.doi.org/10.7359/097-2023-sila.

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Résumé :
This research deals with the electoral campaign for 2022 presidential elections in France. Starting from the distinction between the French expressions “mésinformation”, “désinformation” and “information malveillante”, it aims at analysing Marine Le Pen’s argumentation during her campaign and the type of information which is spread via social media, namely Twitter. In particular, attention will be paid to a video published in the Twitter counter-profile “Sans lui” in order to examine its sound bites. Methodological framework is based on the analysis of digital discourse (Paveau 2016; Lacaze 2021, among others) and on French political and media discourse (Krieg-Planque 2009, 2011; Amossy 2014; Charaudeau 2020, 2022; Maingueneau 2021; Wahnich 2022, among others). The results of this analysis show that sound bites used by Marine Le Pen mostly express disinformation and malevolent information. This result is in line with populist rhetoric by Marine Le Pen and her party and, more in general, with the “crisis of truth” (Charaudeau 2020) that characterizes contemporary times.
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Brasart, Patrick. « Petites phrases et grands discours (Sur quelques problèmes de l'écoute du genre délibératif sous la Révolution française) ». Mots 40, no 1 (1994) : 106–12. http://dx.doi.org/10.3406/mots.1994.1913.

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Pautrot, Jean-Louis. « Je vais passer pour un vieux con et autres petites phrases qui en disent long by Philippe Delerm ». French Review 87, no 2 (2013) : 252–53. http://dx.doi.org/10.1353/tfr.2013.0371.

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Vinay, Gianfranco. « Vue sur l’atelier de Salvatore Sciarrino (à partir de Quaderno di Strada et Da Gelo a Gelo)* ». Circuit 18, no 1 (29 avril 2008) : 15–20. http://dx.doi.org/10.7202/017903ar.

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Résumé :
Résumé Dans l’atelier musical de Salvatore Sciarrino il y a très peu d’outils : des carnets, des papiers quadrillés, des papiers à musique, une gomme et des crayons. Les papiers quadrillés lui servent pour rédiger des diagrammes permettant de fixer et de contrôler le déroulement des figures sonores et des images musicales. Passage essentiel pour la création d’oeuvres instrumentales ou vocales, fondées sur des principes aptes à dramatiser l’agencement, la combinaison et la mise en résonance de ces figures dans l’espace sonore. Après ce travail préliminaire, le compositeur élabore la partition utilisant les signes traditionnels pour rendre ses partitions aussi claires et «universelles» que possible, expliquant dans une table des notes techniques la manière précise de réaliser les effets sonores et les procédés typiques de sa musique. Étant donné que Sciarrino façonne lui-même les textes de ses oeuvres vocales et théâtrales, cousant ensemble des phrases et des mots extraits de textes de différents auteurs, les carnets ne contiennent pas seulement des esquisses, des réflexions ou des titres d’oeuvres futures, mais aussi des citations recueillies un peu partout et des textes en cours d’élaboration adaptés à ses besoins poétiques, musicales et dramaturgiques. La nécessité de rendre les textes ductiles à son traitement vocal est un des buts principaux de cette élaboration semblable à un trope en creux. La concision et l’abolition des complexités syntaxiques facilitent le travail de fragmentation du texte en syntagmes, lesquels peuvent ainsi s’habiller des petites écailles sonores de ses figures mélodiques.
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Guduric, Snezana. « Petite contribution à la syntaxe contrastive de la phrase simple en langues indoeuropéennes : Les structures syntaxiques fondamentales en Serbe et en Français ». Juznoslovenski filolog 78, no 2 (2022) : 625–45. http://dx.doi.org/10.2298/jfi2202625g.

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Résumé :
Dans cet article sont trait?s d?abord le concept de la phrase en g?n?ral et ensuite les constructions fondamentales selon lesquelles les phrases simples sont structur?es en serbe et en fran?ais. Partant de la litt?rature pertinente portant sur les deux langues trait?es, nous avons opt? pour l?approche de V. Ruzic, qui s?appuie principalement sur la th?orie d?pendancielle de Tesni?re (th?orie de la valence) pour d?crire les mod?les fondamentaux des phrases simples avec le verbe conjugu? en serbe, et sur la proposition de mod?les fondamentaux de Peytard et Genouvrier (reprise par D. Tocanac-Milivojev), qui est bas?e sur une approche formelle-structuraliste de la mod?lisation de la phrase simple pr?dicative. Ind?pendamment des approches et de la terminologie diff?rentes utilis?es dans la description des structures syntaxiques fondamentales dans les deux langues, notre analyse a montr? qu?elles sont essentiellement identiques et peuvent ?tre r?duites ? sept mod?les. De plus, les deux langues op?rent ?galement avec des structures syntaxiques ? un ?l?ment (sans pr?dicat), dans lesquelles on retrouve des mots appartenant aux m?mes classes (le plus souvent il s?agit des noms, des adjectifs, des adverbes et des particules dont certaines (par exemple DA. / OUI. NE. / NON.) appartiennent ? la classe des adverbes dans la grammaire fran?aise.
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Deias, Damien. « La reconnaissance sociale de la dénomination « petite phrase » ». SHS Web of Conferences 138 (2022) : 01005. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/202213801005.

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Résumé :
De nombreux énoncés politiques sont qualifiés de « petite phrase » dans les médias, permettant une mise en circulation et en spectacle de la parole. Les sciences du langage se sont emparées de cet objet discursif et mettent notamment en lumière les rôles multiples que joue cette dénomination. Notre étude rend compte de ces travaux et les prolonge en présentant les résultats d’un questionnaire mené en juillet 2021 et visant à évaluer et comprendre la reconnaissance de la dénomination « petite phrase » auprès d’usagers de la langue. Il s’agit de mesurer l’écart entre la reconnaissance de la dénomination par les professionnels des médias et les usages de la langue, de repérer les glissements sémantiques et ce faisant d’explorer l’importance de la dénomination des objets discursifs.
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Freeman Regalado, Nancy. « Le porcher au palais : Kalila et Dimma, le Roman de Fauvel, Machaut et Boccace ». Analyses 31, no 2 (12 avril 2005) : 119–32. http://dx.doi.org/10.7202/501238ar.

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Résumé :
Une petite phrase à résonance politique se retrouve dans cinq textes datant de 1313 à 1359 : " Porchier mieus estre ameroie que Fauvel torchier " ( Kalila et Dimna, le Roman de Fauvel du BNF Ms. Fr. 146, le Confort d'ami et une complainte de Machaut, et " Griselda " du Décameron de Boccace). La circulation transtextuelle de la petite phrase révèle le monde de la chancellerie médiévale où se brassent la littérature et la politique et où on s'interroge sur le fondement moral du pouvoir. Elle dénonce l'abus de pouvoir, le mauvais conseiller, et la corruption de la cour en même temps qu'elle fige une parole fuyante qui éclaire toute une époque
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Seoane, Annabelle. « La « petite phrase » : une catégorisation méta-agissante en discours ». Mots, no 117 (5 juillet 2018) : 91–106. http://dx.doi.org/10.4000/mots.23431.

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Frédéric, Junger. « La «petite phrase» sur Twitter, une forme brève de communication politique ». EPISTÉMÈ 21 (30 juin 2019) : 69–95. http://dx.doi.org/10.38119/cacs.2019.21.4.

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Willemart, Philippe. « La Jouissance Singulière de Swann et la Petite Phrase de Vinteuil ». Língua e Literatura 15 (19 décembre 1986) : 163. http://dx.doi.org/10.11606/issn.2594-5963.lilit.1986.113997.

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Leßmann, Benedikt. « Die Werkstatt der „petite phrase“ : Henze, Schlöndorf und Prousts Un amour de Swann ». Die Musikforschung 75, no 4 (14 décembre 2022) : 352–83. http://dx.doi.org/10.52412/mf.2022.h4.3070.

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Benazzouz, Abdelnour. « l'exercice politique à l'exercice journalistique ou quand le média détourne la formule ». Langues & ; Parole 7 (26 décembre 2022) : 229–40. http://dx.doi.org/10.5565/rev/languesparole.118.

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Résumé :
Ce travail s’intéresse à la notion de formule en politique et de son détournement par des CIC (Chaines d’Information en Continu). Il s’appuie principalement sur le traitement descriptif d’un corpus de variantes du célèbre vocable-formule « la fracture sociale » que nous rapprochons dans un second temps de la notion de petite phrase (formule qui choque). Notre objectif est de faire voir comment s’opère le détournement et quelle lecture socio-politique il revêt à l’aune de l’élection présidentielle en France d’Avril 2022.
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Deias, Damien. « La République au-delà d’une petite phrase : réception de l’énoncé « La République, c’est moi ! » ». Mots, no 133 (1 décembre 2023) : 61–78. http://dx.doi.org/10.4000/mots.32481.

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Jamaali, Saaleh K. « APPLYING COMMUNITY UNDERSTANDING TO AID IN THE PRESERVATION OF CONVENTIONAL ALLEGIANCES ». International Journal of Social Sciences & ; Economic Environment 4, no 2 (30 décembre 2019) : 01–06. http://dx.doi.org/10.53882/ijssee.2019.0402001.

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Résumé :
According to this research, the lingual unit is used to express local wisdom and preserve culturally significant values by explaining how its forms and functions are used. Petatah-petitih must be re-disclosed in order for the information it contains to be valid throughout time and not just during the lifetime of Sunan Gunung Jati. Recognizing and putting into practice the high cultural values helps to build up the character of the next generation. Studies of cultural values petatah-petitih Sunan Gunung Jati use anthropological theoretical characters to study linguistic units. The research paradigm used in this study is qualitative. The findings revealed that words, phrases, sentences, and meanings are all forms of lingual units that express local wisdom. Second, the lingual unit that expresses local wisdom has three functions: teachings about life outlook, advice, and prohibition. Keywords: Traditions and customs, linguistics, environmental protection
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Lobo, Carlos. « Le maniérisme épistémologique de Gilles ChâteletRelativité et exploration de l’a priori esthétique chez Husserl selon Weyl et Châtelet ». Revue de Synthèse 138, no 1-4 (9 janvier 2017) : 279–313. http://dx.doi.org/10.1007/s11873-000-0000-13.

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Résumé :
Résumé Les variations de Gilles Châtelet Sur une petite phrase de Riemann, montrent que loin de constituer une variante de la « philosophie baroque » telle que la définit Deleuze, son maniérisme épistémologique le rapproche étonnamment de l’attention aux « modes de données » et aux « modes de visée » caractéristique de la phénoménologie transcendantale. Comme Hermann Weyl, il voit à l’œuvre dans la phénoménologie husser-lienne un approfondissement de l’esthétique transcendantale kantienne, en la tenant pour une approche philosophique pertinente et ajustée à la science de son temps (en particulier à la théorie de la relativité restreinte et générale).
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Kwietniewska, Małgorzata. « L’enfant merveilleux chez Héraclite d’Ephèse ». Revista Archai, no 30 (7 décembre 2020) : e03034. http://dx.doi.org/10.14195/1984-249x_30_34.

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Résumé :
Dans la phrase marquée DK22 B52, Héraclite décrit un enfant jouant avec de petits objets (pessoi). Le garçon a tout un royaume à sa disposition et il est identifié lui-même avec l’éon. Ce célèbre fragment a été interprété de nombreuses manières par les philologues classiques et les philosophes. De nos jours, il est le plus souvent considéré comme une métaphore de la vie humaine. L’enfant, qui ne connaît pas encore les règles de la vie sociale, introduit dans cette vie des éléments de hasard et de jeu insouciant. Cependant, lorsqu’on compare la phrase d'Héraclite avec des récits de l’Inde ancienne, on peut reconnaître en lui le motif mythologique de l’acte de création – Dieu créant et gouvernant le monde. Dans ce contexte gouverner signifie établir des droits mathématiques fondamentaux – les mêmes droits que ceux appliqués aux observations astronomiques et à la recherche scientifique dans son ensemble. L’hypothèse, selon laquelle l’ancienne culture indoeuropéenne a affecté – à travers l’Inde – Héraclite, permet de mieux comprendre la pensée de ce philosophe qui sait combiner harmonieusement des éléments de science, de religion et d’art. L'hypothèse indienne explique également l’aura de sublimité et de sainteté qu’on retrouve chez les penseurs de l’Antiquité tardive qui ont sauvé la phrase d’Héraclite et l’ont transmise à la littérature occidentale.
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Maurer, Bruno. « Mieux articuler « linguistique » et l’évaluation des « niveaux de langue » : construction d’une grille de descripteurs dans le Canton de Vaud ». SHS Web of Conferences 138 (2022) : 06015. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/202213806015.

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Résumé :
Les évaluations de niveaux de langue jouent un rôle croissant pour l’accès à différents droits. Ce ne sont pas simplement les organismes certificateurs qui doivent être en mesure d’en organiser pour délivrer des certificats, mais des institutions de formation qui doivent aussi attester de niveaux. Le Canton de Vaud (Suisse) a rassemblé des professionnels de la formation linguistique pour aller vers une harmonisation des pratiques. Cette communication montre que les échelles de descripteurs du CECR sont soit trop générales soit trop spécifiques et dans les tous les cas, insuffisamment fondées sur des observables linguistiques pour servir de guide à l’élaboration de tests et à leur notation. Elle montre en quoi cela pose de réels problèmes aux petites institutions et aux différents acteurs du Canton, avec les malentendus qu’entrainent des divergences d’appréciation de niveaux de langue. Un nouvel outil est présenté, plus nettement articulé sur des descripteurs linguistiques, le mot étant pris au sens large, de la linguistique de phrase à la linguistique de l’énonciation.
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Wiskus, Jessica. « On the Petite Phrase of Proust and the Experience of Empathy : Exploring the Rhythmical Structure of Music ». Journal of the British Society for Phenomenology 50, no 3 (28 mars 2019) : 264–77. http://dx.doi.org/10.1080/00071773.2019.1594040.

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Castellana, Mario. « « Sur une petite phrase de Riemann » Aspects du débat français autour de la Reasonable Effectiveness of Mathematics ». Revue de Synthèse 138, no 1-4 (9 janvier 2017) : 195–229. http://dx.doi.org/10.1007/s11873-000-0000-10.

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Résumé :
Résumé Le thème d’une nature particulière des mathématiques comme connaissance a été au cœur du débat épistémologique français du xxe siècle, et ce, à partir des œuvres de Maximilien Winter, Gaston Bachelard, Albert Lautman jusqu’à Alain Connes et Gilles Châtelet. Pour le saisir au plus près, il convient d’avoir à l’esprit qu’il est le fruit d’une analyse constante et d’un approfondissement des indications données par Bernhardt Riemann sur le rapport étroit entre mathématiques et physique qui caractérisera toute la pensée physique du xxe siècle. Ce qui a conduit à l’existence d’une littérature très riche mais peu étudiée qui a cherché à clarifier sur le plan épistémique le sens rationnel de l’efficacité des mathématiques dans l’exploration du réel physique, problématisée sous le titre de The Unreasonable Effectiveness of Mathematics. Cette problématique cruciale constitue l’un des apports les plus originaux de la philosophie des sciences française, sans équiva-lent dans la tradition anglo-saxonne. Prendre acte de l’existence de cette épistémologie de la physique mathématique devrait permettre de couper court à la polémique soulevée récemment en France quant à l’existence ou la non-existence d’une philosophie des sciences spécifi-quement française.
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Turin, Gaspard. « Plonger du bord de la langue. Maîtrise et déprise énonciatives chez Pascal Quignard ». Tangence, no 115 (1 mai 2018) : 119–30. http://dx.doi.org/10.7202/1045147ar.

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Résumé :
Cet article propose d’interroger les limites de la phrase quignardienne à partir de certaines formes récurrentes : brachylogies, sommaires, asyndètes, les « bienfaits du fragment » dans l’attaque — globalement, un travail syntaxique instruisant sa propre disjonction. Par cette cartographie des formes disjonctives, on observe un effet paradoxal d’imprévisibilité ou d’indécidable — c’est, en somme, la rhétorique du traité : « pas de but, pas de stratégie, pas de conscience » (Petits traités i). Cette rhétorique est paradoxale, parce qu’elle est mise au service d’un discours extrêmement maîtrisé dans son dessein général — une maîtrise que l’on constate dans la lecture de Quignard par le monde universitaire, qui se sert généralement des outils d’analyse présents dans le texte. Sans contester cette maîtrise, cette étude propose de la lire autrement.
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LAVAUD, Martine. « « Les trois marches de marbre rose », ou la petite phrase du romantisme Gautier archéologue de la « génération Musset » ». Romantisme 147, no 1 (2010) : 69. http://dx.doi.org/10.3917/rom.147.0069.

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Gauthier, Jean-Marc. « Quand le texte fondateur devient fondement meurtrier ». Thème 1, no 2 (16 mars 2009) : 79–100. http://dx.doi.org/10.7202/602392ar.

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Résumé :
RÉSUMÉLa lettre tue, mais l’Esprit vivifie. Cette petite phrase, lettre autorisée au coeur du texte fondateur qu’est la Bible, nous invite à porter un regard critique sur le type de rapport à ce texte lui-même. Que fonde le texte reçu comme fondateur? Qu’en est-il du rapport au fondement quand la lecture se fait mortifère et que le texte tue, littéralement? Comment lire ce texte pour qu’il vivifie? Certains exemples historiques de lectures mortifères du texte fondateur sont envisagées pour montrer comment peut devenir meurtrière l’autorité accordée à certains textes. Puis un texte longtemps ostracisé (Jn 7,53-8,11) retient l’attention comme mise en scène d’une résistance à l’utilisation accusatrice du fondateur-texte. Ce qui amène à revoir certaines approches du ou des textes fondateurs et à proposer des critères pour une herméneutique vivifiante.
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Starets, Moshé. « The complementizer C with the WH-word quo in a Franco-Ontarian vernacular of south-western Ontario ». Journal of French Language Studies 12, no 1 (mars 2002) : 55–71. http://dx.doi.org/10.1017/s0959269502000145.

Texte intégral
Résumé :
In this article, we will examine the Complementizer Phrase (CP) involving the element quo in the oral expression of a small French community in the south-western tip of the province of Ontario in Canada, in an area historically known as La Petite-Côte (LPC) where French has been spoken for three centuries now. We will examine the various types of sentences in LPC that feature a CP: free relatives, partial direct questions, indirect questions and full relatives. The Complementizer in LPC can be simple or composite; it is more complex than its standard French (SF) counterpart. We will examine the various allomorphs of each one of these Complementizers. Contrary to Standard French, LPC French, like colloquial French and other French Canadian vernaculars, allows doubly filled CP. The aim of this article is to contribute to the descriptive information available about French Canadian varieties.
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Bouvier, Mathieu. « La danse, parole d’avant les mots ? » Enfances & ; Psy N° 98, no 4 (7 décembre 2023) : 39–51. http://dx.doi.org/10.3917/ep.098.0039.

Texte intégral
Résumé :
La danse est-elle un « langage du corps » ou bien forme-t-elle ce que Antonin Artaud appelait une « parole physique » ou « parole d’avant les mots » ? Les phrasés du geste dansé n’énoncent pas d’autre discours que celui de la sensation, dans ses déploiements intensifs et ses débrayages en figuralités (simulations perceptives, ressemblances, physionomies). Ce que la danse formule, c’est d’abord un chant du tonus, expression retrouvée des « affects de vitalité » en quoi consistait, dans la petite enfance, notre « dialogue tonique » avec les mouvements du monde et du vivant. C’est à partir des réponses mimétiques que l’enfant adresse aux mouvements du monde que l’on peut comprendre l’intuition profonde de Walter Benjamin, lorsqu’il postulait une liaison génétique entre le geste et la parole : un même don mimétique de « produire et distinguer la ressemblance » qui est la matrice expressive du langage. La pratique et le spectacle de la danse restent l’un des meilleurs sites d’expérience de ce don mimétique, quand le geste y est parlant.
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Faghiri, Pegah, et Juliette Thuilier. « Ordre des compléments postverbaux en français : poids et accessibilité discursive ». SHS Web of Conferences 46 (2018) : 14008. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/20184614008.

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Résumé :
Dans le domaine postverbal, l’ordre des compléments du verbe est relativement libre (Paul donnera un livre à chacun / Paul donnera à chacun un livre). Nous cherchons à déterminer quels sont les facteurs qui influencent le choix d’un ordre par rapport à l’autre. Nous nous intéressons en particulier à deux facteurs : le poids grammatical et l’accessibilité discursive. En ce qui concerne le poids, nous soulevons la question de sa définition : cette notion doit-elle être définie en termes de complexité syntaxique ou de longueur ? L’accessibilit é discursive, définie comme le caractère donné ou nouveau des référents, a été mentionnée comme un facteur pertinent dans certains travaux sur le français (Blinkenberg 1928, Berrendonner 1987), mais aucune étude empirique n’a permis de montrer son rôle dans le domaine postverbal. A partir d’une étude expérimentale de complétion de phrases, nous montrons que ces deux facteurs expliquent en partie l’ordre choisi par les locuteurs. Les résultats obtenus permettent d’affirmer que le poids grammatical doit être défini en termes de longueur des constituants et de complexité syntaxique (dans la lignée de Wasow et Arnold 2005, sur l’anglais), et de montrer que l’effet de complexité est plus important que celui de la longueur. De plus, le statut donné ou nouveau des référents a un effet significatif sur le choix des locuteurs, mais cet effet est de petite taille en comparaison à celui du poids grammatical.
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Sholomon-Kornblit, Irit. « Pour une analyse rhétorique et argumentative de la petite phrase : le cas de « la culture n’est pas une marchandise comme les autres » (1993-1999) ». Mots, no 117 (5 juillet 2018) : 19–33. http://dx.doi.org/10.4000/mots.23215.

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Rahmatullaili, Isna, et Rini Syahdiana Putri. « SELOKO ADAT ULUR ANTAR SERAH TERIMA ADAT PADA PERNIKAHAN ADAT MELAYU JAMBI : KAJIAN BENTUK DAN FUNGSI ». Jurnal Dinamika Sosial Budaya 24, no 1 (13 mai 2022) : 47. http://dx.doi.org/10.26623/jdsb.v24i1.3495.

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Résumé :
<em>The purpose of this study is to describe the form and function of Jambi Malay customs seloko. Seloko adat here is a custom seloko contained in the procession of customary stir between custom handover at the traditional marriage of Jambi Malay. The method used in this research is descriptive-qualitative. The data of this research are word unit, phrase, clause, sentence, text of the ceremony of repetition between the handover of customary marriage of Fortuna Mazka and the text of seloko in the Customary Principles of Sepucuk Jambi Sembilan Lurah (2001). The two texts are reconstructed philologically (critical edition) as the study material.The results of this study indicate that seloko adat ulur between handover of Jambi Malay custom has five forms: (1) kato adat or kato undang (2) kias word (3) kato penyelo (4) petatah- petitih and (5) pantun. Each form has a typology of rhyme, array, stanza, and conventional formulas. Seloko adat ular between the hand-over of Jambi Malay customary has various functions: (1) informational, (2) expressive, (3) directive, (4) aesthetic, and (5) fatik. These functions are firmly attached to each form of the shell, with Jambi's diction and local ideology</em>
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Yasin, Ikhsan Fatah. « Keadilan Substantif dalam Ultra Petita Putusan Mahkamah Konstitusi ». Justicia Islamica 15, no 1 (29 décembre 2018) : 13–26. http://dx.doi.org/10.21154/justicia.v15i1.1252.

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Résumé :
The Constitutional Court to be the constitutional goalkeeper, there is not anything contrary against constitution. The Constitutional Court has four authorities and one duty, the authority of the Constitutional Court first and foremost is judicial review the law against Constitution. According to Constitutional Court law, the Decision of judicial review is accepted, rejected and unacceptable. The decision is acceptable if the applicant's request is grounded in the state memorandum filed for which there is no binding legal force. However, in its development, they performed ultra petite by raising the difference to the granted decision, the Constitutional Court with conditionallyconstitutional, conditionally unconstitutional and added phrase. Amendment of constitutional court law, expressly the Constitution Law is prohibited to add the phrase, then enforced by the Constitutional Court. The judge at the Constitutional Court considered that in keeping with the constitution the institution could not be confined by law and that the judge was ordered to uphold justice rather than enforce the law. This article research decision of Constitutional Court Conditionally Constitutional and adds a phrase to find whether in the decision it is really to enforce justice which accuracy cannot be realized if it simply removes the petitioned article. From the results of the study, the authors found that it does give the constitution and cannot be applied if it only provides without interpretation and adds phrases.Mahkamah Konstitusi dibentuk untuk menjadi penjaga gawang konstitusi, supaya tidak ada satupun yang melanggar konstitusi. Mahkamah konstitusi dilekati dengan empat kewenangan dan satu kewajiban, kewenangan Mahkmah Konstitusi yang pertama dan paling utama adalah menguji Undang-Undang terhadap Undang-Undang Dasar 1945. Dalam UU No. 24 tahun 2003 tentang Mahkamah Konstitusi, Putusan yang dihasilkan dalam perkara pengujian undang-undang adalah dikabulkan, ditolak, dan tidak dapat diterima. Putusan dikabulkan jika permohonan pemohon beralasan sehingga kemudian pasal yang dimohonkan dinyatakan tidak mempunyai kekuatan hukum mengikat. Namun dalam perkembanganya Mahkamah Konstitusi melakukan ultra petita dengan memunculkan variasi terhadap putusan yang dikabulkan, Mahkamah Konstitusi memperkenalkan putusan konstitusional bersyarat, tidak konstitusional bersyarat dan penambahan frasa. Sehingga dalam perubahan UU No. 24 tahun 2003, dengan tegas dinyatakan Mahkamah Konsitusi dilarang menambahkan frasa, kemudian pasal tersebut juga dibatalkan oleh Mahkamah Konstitusi.Hakim di Mahkamah Konsitusi beranggapan bahwa dalam menjaga konstitusi kewenangan Mahkamah Konsitusi tidak boleh dikungkung oleh undang-undang dan bahwa hakim diperintahkan untuk menegakkan keadilan bukan menegakkan undang-undang. Tulisan ini meneliti putusan-putusan Mahkamah Konsitusi yang konstitusional bersyarat dan menambahkan frasa untuk menemukan apakah dalam putusan tersebut benar-benar untuk menegakan keadilan yang mana keadilan tersebut tidak bisa terwujud jika hanya menghapuskan pasal yang dimohonkan. Dari hasil penelitian, penulis menemukan bahwa putusan tersebut memang memberikan keadilan bagi pemohon dan keadilan tersebut tidak bisa terwujud jika Mahkamah Konstitusi hanya membatalkan tanpa memberikan tafsir dan menambahkan frasa terhadap pasal yang dimohonkan.
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Chevalier, Jean-Marie. « Sur « ce que presque tout le monde a à la bouche » : la théorie de la signification de Peirce à la lumière d’une petite phrase de Jean de Salisbury ». Philosophie N° 159, no 4 (18 septembre 2023) : 52–67. http://dx.doi.org/10.3917/philo.159.0052.

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French, French. « Le développement du théâtre francophone au Québec à la fin du dix-neuvième siècle : le rôle de Louis-Honoré Fréchette (1839-1908) ». Voix Plurielles 18, no 1 (2 mai 2021) : 62–71. http://dx.doi.org/10.26522/vp.v18i1.2731.

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Résumé :
Dans la quatrième de couverture de l’ouvrage de Jean-Claude Germain intitulé La double vie littéraire de Louis Fréchette (2014), on lit cette petite phrase : « Louis Fréchette ! Ce nom fait partie de l’inconscient collectif des Québécois : on l’a donné à des rues, des écoles, des bibliothèques ». Fréchette (1839-1908) est sans doute l’un des quelques noms qui sont parvenus jusqu’à nous de la littérature canadienne-française du dix-neuvième siècle. Bien qu’on le connaisse plutôt pour ses poèmes et pour ses contes, Fréchette a été aussi dramaturge. Il a écrit et adapté plusieurs textes pour la scène, qui ont eu connu une large diffusion et une bonne réception au Canada. Ses pièces ont été publiées dans de grandes maisons d’édition de l’époque comme Beauchemin. Elles ont été représentées tant par des amateurs que par des troupes professionnelles dans de grandes salles de théâtre au Québec. On pense, entre autres, à Félix Poutré (1871), au Retour de l’exilé (1880), à Papineau (1880) et à Veronica (1974, publication posthume). Un fait intéressant : Félix Poutré devient la pièce la plus jouée par des amateurs canadiens et franco-américains au dix-neuvième siècle (Germain 63). Cet article porte sur le théâtre de Fréchette, plus précisément sur les modes de production de ses pièces (texte et représentation) et leurs réceptions. Je tenterai de répondre aux questions suivantes : comment Fréchette procède-t-il au théâtre (la fable, l’intrigue, la structure, etc.) ? Où se situe-t-il par rapport à la tradition théâtrale et culturelle au Québec au dix-neuvième siècle ? Comment les productions de ses pièces sont-elles perçues par le public et par la critique ?
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Dixon, R. M. W. « Internal reconstruction of tense-modal suffixes in Jarawara ». Diachronica 18, no 1 (31 décembre 2001) : 3–30. http://dx.doi.org/10.1075/dia.18.1.03dix.

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Résumé :
Summary Jarawara (from the small Arawá family in southern Amazonia) has a system of eleven tense-modal suffixes, which show irregular form; each consists of an initial part (of form -hV-) and a final part of one or two syllables; both parts mark gender of the pivot argument in the clause. An earlier stage of the paradigm, which was almost regular, is obtained by internal reconstruction. The method hinges on recognition that the vowel e plays a pervasive role in diachronic change, engendering various types of assimilation. In addition, what was the final syllable of the stem has — as the result of reallocation of morpheme and word boundaries — been reanalysed as the initial -hV- syllable of the suffix. Résumé Jarawara, langue amérindienne qui fait partie de la petite famille linguistique Arawá de l’Amazonie meridionale, présente onze suffixes de modalité e de temps, chacun avec une forme irregulière. Chaque suffixe comprend une partie initiale, de forme -hV-, et une partie finale, d’une ou de deux syllabes. Les deux parties lèvent une marque de concordance en genre avec l’argument-pivot de la phrase. En suivant la métodologie de reconstruction interne, on arrive à une étape antérieure du système qui était prèsque régulier. L’application de cette méthode est basée à une présupposition que la voyelle e avait joué un rôle préponderant dans les processus de changement diachronique, tout en occasionnant de differents types d’assimilation. En plus de ça, la syllabe finale de chaque radical serait reanalysée comme la syllable initiale -hV- du suffixe, en consequence des modifications des frontières de morphème et de mot. Zusammenfassung Jarawara (eine Sprache der kleinen Arawá-Sprachfamilie im südlichen Amazonien) besitzt ein System aus elf Suffixen, die Tempus/Modalität ausdrücken. Diese sind unregelmäßig in ihrer Form. Jede Form besteht aus einer Anfangskomponente der Form -hv- und einer ein- oder zweisilbigen Endkomponente. Beide Komponenten kennzeichnen das Genus desjenigen Arguments im Satz, das in der Topikalitätshierarchie am höchsten steht (‘the pivot argument’). Durch interne Rekonstruktion erhält man ein früheres Stadium des Paradigmas, das fast regelmäßig war. Die Rekonstruktionsmethode hängt entscheidend davon ab zu erkennen, daß der Vokal e im historischen Wandel eine überaus wichtige Rolle spielt und verschiedene Assimilationsprozesse auslöst. Außerdem wurde aufgrund einer Verschiebung von Morphem- und Wortgrenzen die letzte Silbe des Stamms als Anfangssilbe -hV- des Suffixes reanalisiert.
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Marie-Laure, Florea. « Alice Krieg-Planque et Caroline Ollivier-Yaniv (coord.), « Les "petites phrases" en politique », Communication et Langages 168 ». Semen, no 34 (1 novembre 2012). http://dx.doi.org/10.4000/semen.9776.

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Gomez, Leticia. « Sous ma roche par C. Duguay Mallet ». Deakin Review of Children's Literature 5, no 2 (23 octobre 2015). http://dx.doi.org/10.20361/g27k5k.

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Résumé :
Duguay Mallet, Chantal. Sous ma roche. Bouton d’or arcadie. Collection : Étagère poussette. Acadie (Canada), 2015. Imprimé.Sous ma roche c’est l’histoire d’un entomologiste en herbe qui va à la rencontre des insectes. Il y découvre de petites créatures bien connues telles que la fourmi ou encore le forficule.Ce petit livre est très ludique et cela n’a rien d’étonnant quand on sait que Chantal Duguay Mallet est enseignante de la petite enfance, dramaturge pour la jeunesse et auteur de deux albums illustrés. Ses talents de dessinatrice lui ont aussi valu la chance de publier ses dessins dans le magazine Rocket Science, en France et par dessus tout elle travaille également comme aide-libraire. Ainsi, on comprend mieux pourquoi, Sous ma roche est un petit bijou qui fera sourire les jeunes lecteurs et atténuera peut-être l’entomophobie de leurs parents.Ce livre est un outil pédagogique idéal pour enseigner aux enfants quelques noms d’insectes très communs, rencontrés dans n’importe quel jardin canadien. Pour que le jeune lecteur retienne ce nouveau vocabulaire, l’auteur utilise de courtes phrases où chaque insecte rime avec un autre mot ce qui rythme le récit. Les illustrations de Danica Brine sont particulièrement bien faites et se marient à merveille avec le texte.Sous ma roche est donc une excellente introduction aux sciences naturelles et invite même le jeune lecteur à explorer son jardin puisque l’histoire se termine ainsi : "Et toi… qu’est-ce qu’il y a sous ta roche ?"Note : 4 étoilesAuteur de la critique : Leticia GomezLeticia étudie au Campus Saint-Jean depuis trois ans où elle effectue un baccalauréat en éducation secondaire avec une majeure en littérature. Elle écrit également des critiques littéraires pour le Franco, un journal francophone local.
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Abiven, Karine. « La formule dans la chanson d’actualité au xviie siècle : figement linguistique et politisation du vers ». Fabula-Lht : La Littérature en formules, no 30 (18 décembre 2023). http://dx.doi.org/10.58282/lht.3895.

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Resume :À partir d’un exemple de « petite phrase » chantée pendant la Fronde (contre le Prince de Condé), cet article traite de la circulation de contenus médiatiques versifiés au milieu du xviie siècle. La spécificité de l’énonciation chantée suggère que ces formules ont pu servir de lien pour un groupe social oppressé (en l’occurrence la population parisienne assiégée, en 1649). Pour rendre compte de la nébuleuse de discours imprimés, manuscrits, oraux par laquelle se construit le discours d’actualité, le concept d’intertextualité s’avère moins adapté que celui d’interdiscursivité. La question de la littérarité du genre de discours qu’est la chanson est aussi posée, qui dépend des usages qui en furent faits au cours de l’histoire.
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Brandt, Per Aage. « La petite machine de la musique suivi de Le sens et le temps. Supplément sur le rythme ». Revista Acta Semiotica, 29 juin 2022, 128–45. http://dx.doi.org/10.23925/2763-700x.2022n3.58401.

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Résumé :
La pensée même est un flux rythmique, rythmé par la présence mentale successive des contenus conceptuels. La perception, d’autre part, c’est-à-dire la formation de percepts gestaltiques, constitue un autre flux rythmé par les périodes nécessaires à la formation amodale du « vécu ». Ces deux rythmes sont à la base des rythmes qui nous permettent de créer des expressions à rythme proprioceptif et liés à des contenus, devenus les signifiés de ces expressions. Les deux rythmes superposés sont ainsi articulés en phrases offrant des « paquets de sens » et fondant la communication sémiotique dans notre espèce comme moyen de partager et de développer collectivement les types de « paquets » que nous appelons des discours, développement qui commence par la musique, au sens large, et qui finit dans le langage et l’écriture. Le rythme précède et fonde le sens.
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Søgaard, Anders. « Can machines be trustworthy ? » AI and Ethics, 4 octobre 2023. http://dx.doi.org/10.1007/s43681-023-00351-z.

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Résumé :
AbstractAI regulators promote ‘trustworthy AI’, but what exactly does trustworthy AI mean, and what does it have to do with trust? Many philosophers argue that the phrase is a contradiction of terms. Trust, unlike reliance, is said to be a uniquely human relationship involving direct responsiveness or intent. I argue that the objective of trustworthy AI can be real trust in the general sense of Karen Jones and others, and very similar to the kind of trust we place in institutions. The idea that trustworthiness does not apply to machines, stems from a petitio principii fallacy. We show how to escape this fallacy, providing a better and less anthropomorphic definition of trustworthiness. We briefly discuss how transparency modulates trustworthiness on our revised definition, as well as a possible challenge from intentionality.
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Dobson, James, et Scott Sanders. « Distant Approaches to the Printed Page ». Digital Studies/le champ numérique (DSCN) Open Issue 2022 12, no 1 (5 mai 2022). http://dx.doi.org/10.16995/dscn.8107.

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Résumé :
Laurence Sterne’s novel – The Life and Opinions of Tristram Shandy, Gentlemen – includes a tongue-and-cheek moment that prefigures distant reading. Near the end of the sixth volume, the narrator represents uncle Toby’s story as a meandering line with unexpected twists and predictable turns. The narrator’s precise line is inserted between two paragraphs. Its shape reminds the reader of the book’s tangential plot. But it also brings the reader back to the material contours of the story. It is a story that comes into being from the organization of lines and paragraphs on the printed page. The narrator’s precise line exists as a material object, in the middle of page 407 in volume 6 of the 1762 Lynch edition. The line gestures towards the physical space that it inhabits. In order to interpret its contours, the reader should also take into account the shape, organization and size of the printed page.This type of material analysis is under-represented in computational humanities, the majority of which has addressed segmented objects at the level of the book—actually, at the level of collections of books. The most common category of this text segmentation procedure is natural to literary scholars: the separation of individual works from within a larger collection of texts. Other categories or types of text segmentation might include the segmentation and parcellation of a longer text into its component chapters or automated algorithmically-defined procedures that ignore chapter and paragraph boundaries to cut a text or collection of texts into equally sized units of words. Segmentation enables comparison of textual objects to determine smaller effects—signals that within the larger stream of words might otherwise be lost.There has been some interest in examining individual sentences. Sarah Allison, Marissa Gemma, Ryan Heuser, Franco Moretti, Amir Tevel, and Irena Yamboliev argue that “style” exists at the level or scale of the sentence. Thematic units, however, as Mark Algee-Hewitt, Ryan Heuser, and Franco Moretti argue, might be best captured at the level of the paragraph. Sentences and paragraphs are two different units of segmentation that are both connected with linear, human reading practices. However, segmenting a text into paragraphs rids us of information about the appearance of the paragraph and its relation to the rest of the page remains occluded. Where, for example, does a particular paragraph appear in the space of the page? Are there gaps between paragraphs? Are there printed ornaments, illustrations or annotations? When digital humanists erase the footnotes from Walter Scott’s novels, the marginalia from Bunyan’s Pilgrim’s Progress and the irreverent experimental pages from Tristram Shandy, they lose the page-level context with which these texts are presented. Le roman Vie et Opinions de Tristram Shandy gentilhomme de Laurence Sterne inclut un momentironique qui préfigure la lecture à distance. Vers la fin du sixième tome, le narrateur décrit l’histoire de l’once Toby comme une ligne sinueuse avec des rebondissements inattendus et des tournures prévisibles. Les lignes précises du narrateur sont insérées entre deux paragraphes. Sa forme rappelle la tangente de l’intrigue au lecteur. Mais aussi, elle rappelle le lecteur du contour matériel de l’histoire. C’est une histoire qui voit le jour à partir d’une organisation de lignes et paragraphes sur des pages imprimées. Les lignes précises du narrateur existent en tant qu’objet matériel, dans le milieu de la page 407 du volume six de l’édition Lynch de 1762. Cette ligne fait signe à l’espace physique que celle-ci habite. Afin d’interpréter ces contours, le lecteur doit alors tenir compte de la forme, de l’organisation et de la grosseur de la page. Ce type de matériel d’analyse est sous-représenté dans le domaine des humanités informatiques, dont la majorité s’adresse à des objets segmentés au niveau du livre – et même au niveau des collections de livres. La catégorie la plus commune de cette procédure segmentée est naturelle pour les spécialistes littéraires&nbsp;: la séparation de travaux individuels au sein de collections de textes plus larges. D’autres catégories ou types de textes segmentés peuvent inclurent la division et le morcellement d’un texte long dans son chapitre ou des procédures algorithmiques définies et automatisées qui ignorent les limites de chapitre ou paragraphe et coupent un texte ou une collection de textes en unités de mots de la même taille. Cette division permet la comparaison d’objets textuels pour déterminer de plus petits effets – des signaux qui seraient autrement perdus dans le flux de mots plus large. Il y a de l’intérêt pour examiner les phrases individuelles. Sarah Allison, Marissa Gemma, Ryan Heuser, Franco Moretti, Amir Tevel et Irena Yamboliev soutiennent que le «&nbsp;style&nbsp;» existe au niveau ou à l’échelle de la phrase. Toutefois, comme Mark Algee-Hewitt,Ryan Heuser et Franco Moretti soutiennent, les unités thématiques pourraient être mieux capturées au niveau du paragraphe. Les phrases et paragraphes sont deux unités de segmentation différentes qui sont toutes deux connectées aux pratiques humaines de lecture linéaire. Cependant, diviser un texte en paragraphes nous enlève l’information sur l’apparence du paragraphe et les relations au reste de la page demeurent obstruées. Par exemple, où est-ce qu’un paragraphe particulier apparait sur la page? Est-ce qu’il y a des espaces entre les paragraphes? Est-ce qu’il y a des décorations, illustrations ou annotations imprimées sur la page? Lorsque les humanités numériques effacent les notes de bas de page de romans de Walter Scott, les notes marginales de&nbsp;Le Voyage du pèlerin de Bunyan et les pages expérimentales impertinentes de Tristam Shandy, ils perdent le contexte au niveau de la page dans lequel ces textes sont présentés.&nbsp;
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Fuller, Glen. « The Getaway ». M/C Journal 8, no 6 (1 décembre 2005). http://dx.doi.org/10.5204/mcj.2454.

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Résumé :
From an interview with “Mr A”, executive producer and co-creator of the Getaway in Stockholm (GiS) films: Mr A: Yeah, when I tell my girlfriend, ‘You should watch this, it’s good, it’s a classic, it’s an old movie’ and she thinks it’s, like, the worst. And when I actually look at it and it is the worst, it is just a car chase … [Laughs] But you have to look a lot harder, to how it is filmed, you have to learn … Because, you can’t watch car racing for instance, because they are lousy at filming; you get no sensation of speed. If you watch the World Rally Championship it looks like they go two miles an hour. The hardest thing [of the whole thing] is capturing the speed … I want to engage with the notion of “speed” in terms of the necessary affects of automobility, but first I will give some brief background information on the Getaway in Stockholm series of films. Most of the information on the films is derived from the interview with Mr A carried out over dinner in Stockholm, October 2004. Contact was made via e-mail and I organised with the editors of Autosalon Magazine for an edited transcription to be published as an incentive to participate in the interview. Mr A’s “Tarantino-style” name is necessary because the films he makes with Mr X (co-creator) and a small unnamed group of others involve filming highly illegal acts: one or two cars racing through the streets of Stockholm evading police at sustained speeds well over 200 km/h. Due to a quirk in Swedish traffic law, unless they are caught within a certain time frame of committing driving offences or they actually admit to the driving offences, then they cannot be charged. The Swedish police are so keen to capture these renegade film makers that when they appeared on Efterlyst (pron: ef-de-list; the equivalent of “Sweden’s Most Wanted”) instead of the normal toll-free 1-800 number that viewers could phone to give tips, the number on the screen was the direct line to the chief of Stockholm’s traffic unit. The original GiS film (2000) was made as a dare. Mr A and some friends had just watched Claude Lelouch’s 1976 film C’était un Rendez-vous. Rumour has it that Lelouch had a ten-minute film cartridge and had seen how a gyro stabilised camera worked on a recent film. He decided to make use of it with his Ferrari. He mounted the camera to the bonnet and raced through the streets of Paris. In typical Parisian style at the end of the short nine minute film the driver parks and jumps from the Ferrari to embrace a waiting woman for their “rendezvous”. Shortly after watching the film someone said to Mr A, “you don’t do that sort of thing in Stockholm”. Mr A and Mr X set out to prove him wrong. Nearly all the equipment used in the filming of the first GiS film was either borrowed or stolen. The Porsche used in the film (like all the cars in the films) was lent to them. The film equipment consisted of, in Mr A’s words, a “big ass” television broadcast camera and a smaller “lipstick” camera stolen from the set of the world’s first “interactive” reality TV show called The Bar. (The Bar followed a group of people who all lived together in an apartment and also worked together in a bar. The bar was a “real” bar and served actual customers.) The first film was made for fun, but after Mr A and his associates received several requests for copies they decided to ramp up production to commercial levels. Mr A has a “real job” working in advertising; making the GiS films once a year is his main job with his advertising job being on a self-employed, casual basis. As a production team it is a good example of amateurs becoming semi-professionals within the culture industries. The GiS production team distributes one film per year under the guise of being a “documentary” which allows them to escape the wrath of Swedish authorities due to further legal quirks. Although they still sell DVDs from their Website, the main source of income comes from the sale of the worldwide distribution rights to British “powersports” specialist media company Duke Video. Duke also sells a digitally remastered DVD version of Rendezvous on their Website. As well as these legitimate distribution methods, copies of all six GiS films and Rendezvous are available on the internet through various peer-to-peer file-sharing networks. Mr A says there isn’t much he can do about online file sharing besides asking people to support the franchise if they like the films by buying the DVDs. There are a number of groups making films for car enthusiast using similar guerilla film production methods. However, most of the films are one-offs or do not involve cars driven at such radical speeds. An exception was another Swedish film maker who called himself “Ghostrider” and who produced similar films using a motorbike. Police apprehended a man who they alleged is “Ghostrider” in mid-2004 within the requisite timeframe of an offence that had been allegedly committed. The GiS films alongside these others exist within the automotive cultural industry. The automotive cultural industry is a term I am using to describe the overlap between the automotive industry and the cultural industries of popular culture. The films tap in to a niche market of car enthusiasts. There are many different types of car enthusiasts, everything from petite-bourgeois vintage-car restorers to moral panic-inducing street racers. Obviously the GiS films are targeted more towards the street racing end of the spectrum, which is not surprising because Sweden has a very developed underground street racing scene. A good example is the Stockholm-based “Birka Cup”: a quasi-professional multi-round underground street-racing tournament with 60,000 SEK (approx. AUD$11,000) prize money. The rules and rankings for the tournament are found on the tournament Website. To give some indication of what goes on at these events a short teaser video clip for the 2003 Birka Cup DVD is also available for download from the Website. The GiS films have an element of the exotic European-Other about them, not only because of the street-racing pedigree exemplified by the Birka Cup and similar underground social institutions (such as another event for “import” street racers called the “Stockholm Open”), but because they capture an excess within European car culture normally associated with exotic supercars or the extravagant speeds of cars driven on German autobahns or Italian autostradas. For example, the phrase “European Styling” is often used in Australia to sell European designed “inner-city” cars, such as the GM Holden Barina, a.k.a. the Vauxhall Corsa or the Opel Corsa. Cars from other regional manufacturing zones often do not receive such a specific regional identification; for example, cars built in Asian countries are described as “fully imported” rather than “Asian styling”. Tom O’Dell has noted that dominant conception of automobility in Sweden is different to that of the US. That is, “automobility” needs to be qualified with a national or local context and I assume that other national contexts in Europe would equally be just as different. However, in non-European, mainly post-colonial contexts, such as Australia, the term “European” is an affectation signaling something special. On a different axis, “excess” is directly expressed in the way the police are “captured” in the GiS films. Throughout the GiS series there is a strongly antagonist relation to the police. The initial pre-commercial version of the first GiS film had NWA’s “Fuck the Police” playing over the opening credits. Subsequent commercially-released versions of the film had to change the opening title music due to copyright infringement issues. The “bonus footage” material of subsequent DVDs in the series represents the police as impotent and foolish. Mr A describes it as a kind of “prank” played on police. His rationale is that they live out the fantasy that “everyone” wishes they could do to the police when they are pulled over for speeding and the like; as he puts it, “flipping the bird and driving off”. The police are rendered foolish and captured on film, which is an inversion of the normative traffic-cop-versus-traffic-infringer power relation. Mr A specifies the excess of European modernity to something specific to automobility, which is the near-universal condition of urbanity in most developed nations. The antagonism between the GiS drivers and the police is figured as a duel. The speed of the car(s) obviously exceeds what is socially and legally acceptable and therefore places the drivers in direct conflict with police. The speed captured on film is in part a product of this tension and gives speed a qualitative cultural dimension beyond a simple notion from rectilinear physics of speed as a rate of motion. The qualitative dimension of speed as been noted by Peter Wollen: Speed is not simply thrilling in itself, once sufficiently accelerated, but also enables us to enter exposed and unfamiliar situations, far removed from the zones of safety and normality – to travel into space, for instance, beyond the frontiers of the known. (106) Knowledge is subsumed by the dialect of road safety: “safety” versus “speed”. Knowledge takes on many forms and it is here that speed gains its complexity. In the high-school physics of rectilinear motion speed refers to a rate. Mr A discusses speed as a sensation (“thrill” in the language of Wollen) in the quote at the beginning of the essay. If the body develops sensations from affects and percepts (Deleuze and Guattari 179-83), then what are the affects and percepts that are developed by the body into the sensation of speed? The catchphrase for the GiS films is “Reality Beats Fiction By Far!” The “reality” at stake here is not only the actuality of cars traveling at high speeds within urban spaces, which in the vernacular of automotive popular culture is more “real” than Hollywood representations, but the “reality” of automobilised bodies engaging with and “getting away” from the police. Important here is that the police serve as the symbolic representatives of the governmental institutions and authorities that regulate and discipline populations to be automobilised road users. The police are principally symbolic because one’s road-user body is policed, to a large degree, by one’s self; that is, by the perceptual apparatus that enables us to judge traffic’s rates of movement and gestures of negotiation that are indoctrinated into habit. We do this unthinkingly as part of everyday life. What I want to suggest is that the GiS films tap into the part of our respective bodily perceptual and affective configurations that allow us to exist as road users. To explain this I need to go on a brief detour through “traffic” and its relation to “speed”. Speed serves a functional role within automobilised societies. Contrary to the dominant line from the road safety industry, the “speed limit” we encounter everyday on the road is not so much a limit, but a guide for the self-organisation of traffic. To think the “speed limit” as a limit allows authorities to imagine a particular movement-based threshold of perception and action that bestows upon drivers the ability to negotiate the various everyday hazard-events that constitute the road environment. This is a negative way to look at traffic and is typical of the (post)modernist preoccupation with incorporating contingency (“the accident”) into behavioural protocol and technical design (Lyotard 65-8). It is not surprising that the road safety industry is an exemplary institution of what Gilles Deleuze called the “control society”. The business of the road safety industry is the perpetual modulation of road user populations in a paradoxical attempt to both capture (forecast and study) the social mechanics of the accident-event while postponing its actualisation. Another way to look at traffic is to understand it as a self-organising system. Ilya Prigogine and Robert Herman modeled vehicle traffic as two flows – collective and individual – as a function of the concentration and speed of vehicles. At a certain tipping point the concentration of traffic is such that individual mobility is subsumed by the collective. Speed plays an important role both in the abstract sense of a legislated “speed limit” and as the emergent consistency of mobile road users distributed in traffic. That is, automotive traffic does not move at a constant speed, but nominally moves at a consistent speed. The rate and rhythms of traffic have a consistency that we all must become familiar with to successfully negotiate the everyday system of automobility. For example, someone simply walking becomes a “pedestrian” in the duration of automobilised time-space. Pedestrians must embody a similar sense of the rate of traffic as that perceived by drivers in the cars that constitute traffic. The pedestrian uses this sense of speed when negotiating traffic so as to cross the road, while the driver uses it to maintain a safe distance from the car in front and so on. The shared sense of speed demands an affective complicity of road-user bodies to allow them to seamlessly incorporate themselves into the larger body of traffic on a number of different registers. When road users do not comply with this shared sense of speed that underpins traffic they are met with horn blasts, rude figure gestures, abuse, violence and so on. The affects of traffic are accelerated in the body and developed by the body into the sensations and emotions of “road rage”. Road users must performatively incorporate the necessary dispositions for participating with other road users in traffic otherwise they disrupt the affective script (“habits”) for the production of traffic. When I screened the first GiS film in a seminar in Sweden the room was filled with the sound of horrified gasps. Afterwards someone suggested to me that they (the Swedes) were more shocked than I (an Australian) about the film. Why? Is it because I am a “hoon”? We had all watched the same images heard the same sounds, yet, the “speeds” were not equal. They had experienced the streets in the film as a part of traffic. Their bodies knew just how slow the car was meant to be going. The film captured and transmitted the affects of a different automobilised body. Audiences follow the driver “getting away” from those universally entrusted (at least on a symbolic level) with the governance of traffic – the police – while, for a short period, becoming a new body that gets away from the “practiced perception” (Massumi 189) of habits that normatively enable the production of traffic. What is captured in the film – the event of the getaway – has the potential to develop in the body of the spectator as the sensation of “speed” and trigger a getaway of the body. Acknowledgement I would like to acknowledge the generous funding from the Centre for Cultural Research and the College of Arts, Education and Social Sciences, University of Western Sydney, in awarding me the 2004 CCR CAESS Postgraduate International Scholarship, and the support from my colleagues at the Advanced Cultural Studies Institute of Sweden where I carried out this research as a doctoral exchange student. References Deleuze, Gilles. “Postscript on Control Societies”. Negotiations. Trans. Martin Joughin. New York: Columbia UP, 1995. Deleuze, Gilles, and Felix Guattari. What Is Philosophy? Trans. Graham Burchill and Hugh Tomlinson. London: Verso, 1994. Getaway in Stockholm series. 21 Oct. 2005 http://www.getawayinstockholm.com>. Lyotard, Jean François. The Inhuman: Reflections on Time. Trans. Geoffrey Bennington and Rachel Bowlby. Stanford, California: Stanford UP, 1991. Massumi, Brian. “Parables for the Virtual: Movement, Affect, Sensation”. Post-Contemporary Interventions. Eds. Stanley Fish and Fredric Jameson. Durham, London: Duke UP, 2002. O’Dell, Tom. “Raggare and the Panic of Mobility: Modernity and Everyday Life in Sweden.” Car Culture. Ed. Daniel Miller. Oxford: Berg, 2001. 105-32. Prigogine, Ilya, and Robert Herman. “A Two-Fluid Approach to Town Traffic.” Science 204 (1979): 148-51. Wollen, Peter. “Speed and the Cinema.” New Left Review 16 (2002): 105–14. Citation reference for this article MLA Style Fuller, Glen. "The Getaway." M/C Journal 8.6 (2005). echo date('d M. Y'); ?> <http://journal.media-culture.org.au/0512/07-fuller.php>. APA Style Fuller, G. (Dec. 2005) "The Getaway," M/C Journal, 8(6). Retrieved echo date('d M. Y'); ?> from <http://journal.media-culture.org.au/0512/07-fuller.php>.
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