Littérature scientifique sur le sujet « Persan (langue) – Comparaison (grammaire) »

Créez une référence correcte selon les styles APA, MLA, Chicago, Harvard et plusieurs autres

Choisissez une source :

Consultez les listes thématiques d’articles de revues, de livres, de thèses, de rapports de conférences et d’autres sources académiques sur le sujet « Persan (langue) – Comparaison (grammaire) ».

À côté de chaque source dans la liste de références il y a un bouton « Ajouter à la bibliographie ». Cliquez sur ce bouton, et nous générerons automatiquement la référence bibliographique pour la source choisie selon votre style de citation préféré : APA, MLA, Harvard, Vancouver, Chicago, etc.

Vous pouvez aussi télécharger le texte intégral de la publication scolaire au format pdf et consulter son résumé en ligne lorsque ces informations sont inclues dans les métadonnées.

Articles de revues sur le sujet "Persan (langue) – Comparaison (grammaire)"

1

Lessan-Pezechki, Homa. « L’attribut persan sous le double éclairage de la grammaire arabe et de la grammaire européenne ». Scolia 16, no 1 (2003) : 135–48. http://dx.doi.org/10.3406/scoli.2003.1039.

Texte intégral
Résumé :
Le persan est une langue indo-européenne, mais elle a subi de profondes influences venues de l'arabe. La grammaire persane a beaucoup emprunté à la grammaire arabe, qu 'elle a, par ailleurs, contribué à édifier en la personne de Sibewejh, savant persan, et aussi un des plus grands grammairiens de la langue arabe. Plus récemment, la grammaire persane a subi des influences occidentales importantes, venant à la fois de la grammaire anglaise et de la grammaire française, qui ont exercé des pressions contradictoires sur la terminologie persanophone, du fait que la fonction attribut n 'est pas décrite avec les mêmes termes chez les anglophones et les francophones. Aujourd’hui, un effort profond est fait pour rajeunir la métalangue grammaticale du persan, en puisant dans le fond autochtone. Après une analyse de la fonction attributive qui rejoint celle de M. Maillard pour le français, et de M-E Almeida pour le portugais, nous proposons une terminologie nouvelle, inspirée de Kh. Farchidvard (1969) pour dénommer le prédicatif du sujet et le prédicatif de l'objet, à savoir, pardâzeye nahâh (prédicatif du sujet) et pardâzeye maf'ul (prédicatif de l’objet).
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
2

Bechraoui, Mohamed-Fadhel. « Les premières grammaires françaises à l’usage des Persans ». Historiographia Linguistica 40, no 1-2 (8 mars 2013) : 39–95. http://dx.doi.org/10.1075/hl.40.1-2.03bec.

Texte intégral
Résumé :
Résumé Après la tentative non aboutie d’Eugène Boré (1816–1891) en 1839, la première grammaire française à l’usage des Persans ne paraît qu’en 1882 sous le titre d’Orthographie française ou Règles de l’orthographe de la langue française simplifiée et rendues à leurs principes naturels. L’auteur, Jules Richard (1816–1891), n’y développe que la partie consacrée aux articulations et aux parties du discours et ne parvient jamais à publier l’intégralité de l’ouvrage qu’il avait rédigé à l’attention des élèves de l’école polytechnique de Téhéran et qui est censé contenir une partie propre à la syntaxe. Son fils Joseph Richard (1285 [1868/69] – 1354 [1935/36]) tentera de rectifier le tir en publiant la Nouvelle méthode pratique et facile pour apprendre la langue française (21894), une sorte de ‘méthode Ahn’ où la grammaire ne figure qu’en abrégé sous forme de définitions ou d’applications. L’Orthographie se caractérise spécialement par le nombre des questions théoriques discutées en notes entièrement rédigées en français, par le recours à des termes grammaticaux peu communs, par la traduction originale, en persan, de certains termes français, ainsi que par la neutralisation de certaines oppositions verbales dans la traduction des paradigmes du français.
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
3

Camugli Gallardo, Catherine. « Niveaux de langue et variations linguistiques dans la comparaison interlangue de tables du Lexique-Grammaire ». Lingvisticæ Investigationes. International Journal of Linguistics and Language Resources 28, no 2 (28 mars 2006) : 169–88. http://dx.doi.org/10.1075/li.28.2.02cam.

Texte intégral
Résumé :
The purpose of this study is to solve translation problems between French and Italian as they appear on the tables of the Lexique-Grammaire. These difficulties are originated by differences in speech level ; others stem from the specific usages of the Italian language (caused by regional variation, or due to specific cultural references). After reexamining the criteria traditionally used by the community of the Lexique-Grammaire, the author proposes returning to the criterium of frequency which enables one to draw a distinction between panregionalims and less extensive diatopic data and to identify specific dialectal variations. This encoding is complementary to the three usual layers of electronic dictionaries.
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
4

Toutain, Anne-Gaëlle. « La « grammaire nationale » de Damourette et Pichon : idiomologie et idéologie ». SHS Web of Conferences 46 (2018) : 04001. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/20184604001.

Texte intégral
Résumé :
Nous nous efforçons, dans cet article, de faire paraître le rôle joué par l’obstacle épistémologique de l’idiome dans la « grammaire nationale » de Damourette et Pichon. Nous montrons ainsi successivement la dépendance de la définition tout à la fois raciale et linguistique qu’ils donnent de la nation à l’égard d’une représentation de la langue en termes d’entité, et l’inscription de leur appréhension de la langue comme « pensée-langage » dans la problématique des rapports son/sens qui est corrélative de la définition traditionnelle du signe. Cette critique de l’élaboration linguistique de Damourette et Pichon est rendue possible par la comparaison avec l’élaboration saussurienne. Elle vise par ailleurs à faire paraître le caractère protéiforme de l’obstacle épistémologique de l’idiome, dont les enjeux sont cruciaux pour la linguistique et les sciences du langage contemporaines.
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
5

Hilwana, Aflia, Evi Eviyanti et Marice . « COMPARAISON DANS LE ROMAN NOTRE-DAME DE PARIS ». HEXAGONE Jurnal Pendidikan, Linguistik, Budaya dan Sastra Perancis 7, no 1 (9 octobre 2018) : 478. http://dx.doi.org/10.24114/hxg.v7i1.10931.

Texte intégral
Résumé :
Cette recherche a pour but de savoir l'utilisation des structures et des aspects comparés de la comparaison dans le roman Notre-Dame de Paris. On utilise la théorie de la comparaison de Poisson-Quinton (2003) qui explique qu'il existe trois structures de la comparaison en français : supériorité (utilisant le comparatif plus ... que), infériorité (utilisant le comparatif moins ... que) et égalité (utilisant le comparatif aussi ... que ouautant ... que) ainsi qu'il y a quatre aspects comparés de la comparaison : qualité (utilisant l'adjectif qualificatif), quantité (utilisant le nom), action (utilisant le verbe) et information (utilisant l'adverbe).La méthodede la recherché estdescriptive qualitative avec la technique de documentation.Le résultat de la recherche trouve que toutes les trois structures de la comparaison sont utilisées dans le roman avec la récapitulation suivante : supériorité (plus ... que) 48 fois, infériorité (moins ... que) 12 fois et égalité (aussi...que et autant ...que) 9 fois (aussi .. que 8 fois et autant ... que 1 fois). La structure supériorité est utilisée plus fréquemment car elle est la plus simple et la plus courante dans la langue écrite. Tandis que la structure égalité est utilisée plus rarement car elle est compliquée et n'est pas courante dans la langue écrite. Ensuite, on a également trouvé que tous les quatre aspects comparés de la comparaison sont utilisés dans le roman avec la récapitulation suivante : qualité (adjectif qualificatif) 54 fois, quantité (nom) 6 fois, action (verbe) 3fois et information (adverbe) 6 fois. La comparaison de la qualité est plus fréquente car c'est la fonction principale de la comparaison dans la grammaire française alors que la comparaison de l'action est plus rare car on comparemoins pas les activités entre des personnages du roman. L'histoire de Notre-Dame de Paris compare plus de qualités que d'actions. Mots clés: comparaison,roman, NotreDame de Paris.
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
6

Vân Lê, Kim. « Réactions aux approches d’enseignement utilisées — Indices révélateurs des véritables besoins des apprenants vietnamiens ». Articles 23, no 3 (10 octobre 2007) : 643–64. http://dx.doi.org/10.7202/031955ar.

Texte intégral
Résumé :
Résumé Cet article trace un portrait de l'enseignement du français, langue étrangère, au Vietnam. L'autrice expose d'abord son point de vue quant à la situation générale de l'enseignement du français dans ce pays; elle analyse ensuite les différentes approches qu'on y utilise pour enseigner le français; elle les situe au regard des attitudes et des comportements des apprenants. Une comparaison entre les approches contestées et celles non contestées, qui tient compte des réactions d'apprenants devant chaque approche, désigne non pas l'orientation communicative, mais l'absence de la grammaire explicite au sein de l'approche communicative comme la pierre d'achoppement de cette approche.
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
7

McLelland, Nicola. « Albertus (1573) and Ölinger (1574) : Creating the first grammars of German ». Historiographia Linguistica International Journal for the History of the Language Sciences 28, no 1-2 (2001) : 7–38. http://dx.doi.org/10.1075/hl.28.1-2.04mcl.

Texte intégral
Résumé :
SUMMARY This article adapts Linn’s ‘stylistics of standardization’ concept, which Linn (1998) has used to compare Norwegian and Faroese grammarians, to look at grammaticization processes in the first two grammars of German (Albertus 1573, Ölinger 1574). While both are clearly indebted to traditional Latin grammar and humanist ideals, these two grammars differ interestingly in the picture of the language that emerges from their metalanguage and structural principles. In his reflection on the language, his structuring and naming of linguistic phenomena and his attitudes to variation, Ölinger is the practical pedagogue, who imposes systematicity and aims for a one-to-one form-function relationship. Albertus on the other hand, though he too envisages his grammar being used for learning German, has a more cultural patriotic motivation, celebrating the richness and variety of German, worthy to be ranked alongside Latin, Greek and Hebrew. Albertus and Ölinger thus come up with quite different versions of the (as yet arguably non-existent) High German language. Each grammar yields a different subset of possible forms, reminding us that grammar-writing is always a task of creative construction.RÉSUMÉ Cet article prend comme point de départ la ‘stylistique de standardisation’ que Linn (1998) a utilisé dans sa comparaison d’un grammairien norvégien et d’un grammairien féroïen. Cette approche est adaptée ici pour permettre la comparaison des processus de grammaticisation dans les deux premières grammaires allemandes (Albertus 1573, Ölinger 1574). Tandis qu’Albertus et Ölinger doivent tous les deux beaucoup et à la grammaire latine traditionnelle et aux idéaux humanistes de l’époque, leurs grammaires diffèrent de manière intéressante en ce qui concerne l’image de la langue allemande que créent leur métalangage et leurs principes d’organisation. Dans ses réflexions sur la langue, dans la structure et la façon de nommer les phénomènes linguistiques, et dans son attitude envers la variation, Ölinger est le pédagogue pragmatique, qui cherche à imposer un système et à produire une relation unique entre forme et fonction. Albertus, pour sa part, s’il écrit lui aussi sa grammaire pour faciliter l’apprentissage de la langue, semble avoir une motivation patriotique, célébrant la richesse de l’allemand, digne d’être rangé à côté du latin, du grec et de l’hébreu. Albertus et Ölinger offrent donc deux versions différentes de la langue allemande — chaque grammaire produit un sous-ensemble de formes possibles, nous rappellant que la tâche d’écrire une grammaire est toujours un processus de ‘construction créative’.ZUSAMMENFASSUNG In diesem Artikel wird Linns Ansatz einer ‘Stilistik der Standardisierung’, den Linn (1998) für den Vergleich eines norwegischen und eines färörischen Grammatikers anwandte, auf Grammatisierungsprozesse in den beiden ersten deutschen Grammatiken (Albertus 1573, Ölinger 1574) angewandt. Während beide Grammatiken offensichtlich sowohl der traditionellen lateinischen Grammatik als auch humanistischen Idealen manches schulden, unterscheiden sie sich systematisch im Bild der Sprache, das aus ihrer Metasprache und ihrem Aufbau entsteht. In seiner Reflexion über die Sprache, in der Strukturierung und Benennung sprachlicher Phänomene, und in seiner Einstellung der Variation gegenüber, ist Ölinger durchweg der pragmatische Pädagoge, der ein System — und möglichst eine Eins-zu-eins-Form-Funktion-Beziehung — sucht und findet. Albertus, obwohl er seine Grammatik ebenfalls als Lehrtext konzipiert, geht eher von einer kulturpatriotischen Motivation aus, um den Reichtum der deutschen Sprache zu feiern — einer Sprache, die nicht weniger vollkommen sei als Lateinisch, Griechisch und Hebräisch. Albertus und Ölinger entwerfen also ziemlich verschiedene Versionen der (noch nicht wirklich existierenden) hochdeutschen Sprache — jede Grammatik läßt jeweils verschiedene Formen zu, und wir erkennen noch einmal, dass die Grammatikschreibung stets einen Prozess ‘kreativer Konstruktion’ darstellt.
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
8

Shevchenko, Natalya. « Comprendre le phénomène du suržyk ukrainien ». Varia, no 30 (1 juillet 2022) : 81–99. http://dx.doi.org/10.54563/lexique.693.

Texte intégral
Résumé :
Cette étude porte sur le phénomène linguistique bien répandu aujourd’hui en Ukraine qui est le suržyk, mélange de deux langues parlées dans le pays, à savoir l’ukrainien et le russe. A l’origine, le suržyk est un mélange ukrainien-russe qui apparaît au moment de l’expansion du russe en Ukraine au 18ème siècle, suite à des décrets tsaristes interdisant l’ukrainien en Ukraine de l’Est. C’est ensuite le résultat de l’urbanisation du pays avec les centres urbains majoritairement russophones et les villages majoritairement ukrainophones. Aujourd’hui, les locuteurs ne sont pas toujours conscients des intrusions étrangères dans leur langue mais selon les derniers sondages de l’Institut international de sociologie de Kyiv, entre 11% et 18% de la population ukrainienne parleraient ce mélange au quotidien. Les interférences entre le russe et l’ukrainien sont observées à tous les niveaux que ce soit le lexique, la grammaire, la phonétique ou la sémantique, mais le système lexical et la syntaxe y sont plus exposés que la phonologie ou la morphologie.Le présent article décrit les origines et la nature du phénomène. Une comparaison du suržyk avec d’autres systèmes linguistiques comme le pidgin ou le créole est également effectuée pour une meilleure compréhension et une systématisation du phénomène.
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
9

Samain, Didier. « Portrait du linguiste en jeune grammairien ». Recherches sémiotiques 34, no 1-2-3 (28 juillet 2016) : 137–56. http://dx.doi.org/10.7202/1037150ar.

Texte intégral
Résumé :
Après avoir rappelé en préambule deux acquis des études saussuriennes : l’importance de la diachronie dans la pensée de Saussure et sa cohérence conceptuelle depuis le Mémoire jusqu’au écrits tardifs et au CLG, l’article s’efforce de replacer l’oeuvre dans le contexte épistémologique de son époque. Il suggère que l’effet de discontinuité entre Saussure et la génération précédente fut pour une large part le résultat de malentendus chez les structuralistes mais aussi en Allemagne. La comparaison avec quelques oeuvres canoniques du courant néogrammairien met au contraire en évidence de nombreuses convergences entre Saussure et les linguistes de Leipzig : rôle de la synchronie, importance du sujet parlant, fonction différentielle des unités et surtout conception non substantielle de la langue. Il avance la thèse que le courant néogrammairien s’est caractérisé par la rencontre de deux univers théoriques apparentés par leur commune orientation formelle et empiriste, celui de la grammaire comparée et celui de la psychologie de tradition herbartienne. Il en est résulté une conception particulière du rapport entre élément et système, différente de toute forme d’holisme comme d’un quelconque atomisme. Les traits qui unissent Saussure à ses prédécesseurs immédiats reconduisent à la question rebattue de son originalité et du destin singulier du CLG. Quelques pistes sont proposées en conclusion.
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
10

Ferrari Bravo, Donatella. « La signification sémiotique du concept de ‘forme’ : Potebnja et alii ». Cahiers du Centre de Linguistique et des Sciences du Langage, no 46 (9 mai 2016) : 47–60. http://dx.doi.org/10.26034/la.cdclsl.2016.481.

Texte intégral
Résumé :
L’objet de mon exposé concerne le concept de forme élaboré par Potebnja et par d’autres philologues en rapport avec la catégorie de la sémioticité. Dans la théorie de Potebnja, la forme est l’élément central du mot, de l’œuvre littéraire et folklorique, vu qu’il considère comme isomorphes ces trois expressions de la verbalité. Potebnja identifie et décrit, avec de nombreuses variantes terminologiques, une structure triadique composée de la forme externe, le contenu, la forme interne ou représentation, ou signe interne du signifié. La forme, en particulier la «forme interne», est ce par quoi l’individu arrive à con- naître l’objet, à travers une comparaison entre ce qui est connu et ce qui est inconnu. Chez Potebnja, on peut mettre en évidence un autre concept de forme, moins impor- tant, peut-être au niveau purement linguistique, mais non moins significatif au niveau d’une théorie générale de l’art et de la narrativité : la forme conçue comme «toute prête», fixe, cons- tante, immuable qui, par son invariabilité, se transforme en canon ; les formules que se répè- tent représentent un gage de la continuité culturelle d’une communauté (tradition). C’est jus- tement à travers ce canon qu’on peu reconstruire le dépôt mémorial du vivre humain ; les «formes toutes prêtes» comme grammaire d’une culture. Si la «forme interne» de la structure du mot concerne le processus cognitif au niveau de la conscience individuelle, la «forme toute prête» porte sur l’aspect collectif, donc social. Si l’on voulait traduire ces deux aspects de la forme en termes saussuriens, on pour- rait dire que la forme interne correspond à la parole et la «forme toute prête» à la langue. On analyse comment ce dernier concept se révèle fondamental pour les théories des philologues russes, à commencer par le contemporain de Potebnja, Veselovskij, jusqu’à Propp, et Florens- kij, et on en souligne l’importance dans la poétique théorique, historique, structurale et théo- logique. Les deux significations du concept de forme peuvent être lus comme catégories sé- miotiques dans la mesure où le premier suppose que le mot est un signe, et le second repré- sente un pattern et appartient donc à la langue. De plus, on relève que les deux concepts présupposent que la langue est le modèle originaire de chaque phénomène culturel et anthropologique, c’est-à-dire, en termes mo- dernes, de chaque mécanisme sémiotique. Enfin, on portera un regard sur la question ontologique du signe linguistique.
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.

Thèses sur le sujet "Persan (langue) – Comparaison (grammaire)"

1

Atar, Sharghi Navid. « Analyse syntaxique comparée du persan et du français : vers un modèle de traduction non ambigüe et une langue controlée ». Electronic Thesis or Diss., Besançon, 2011. http://indexation.univ-fcomte.fr/nuxeo/site/esupversions/c6d7ac26-fae9-4da5-8861-87fbe23130d5.

Texte intégral
Résumé :
Cette étude consiste en une analyse comparée des unités syntaxiques (les syntagmes) et des constructions fondamentales du fiançais et du persan, en ayant un regard sur les Langues Contrôlées (LC) et les cas problématiques et ambigus pour la traduction.Après un passage sur l'histoire de ces langues et une brève présentation du système d 'écriture et phonétique du persan ,les classes de mots et leurs classifications traditionnelle et moderne sont comparées. Ensuite, les structures des syntagmes déterminant, nominal, adjectival, prépositionnel , adverbial et verbal et la nature de leurs composants, ainsi que les constructions fondamentales de la phrase de base dans ces deux langues sont analysées. Tout au long du parcours, en faisant quelques tests de traduction avec des étudiants persanophones, certains cas problématiques pour la traduction sont repérés et traités pour une langue contrôlée français-persan éventuelle. Dans la synthèse finale, sont rassemblées, les structures syntagmatiques et certaines instructions pour élaborer une LC concernant les langues française et persane
This study concerns a comparative analysis of the syntactic units (syntagms) and the fundamental constructions of French and Persian, with regards to Controlled Languages and problematic and ambiguous cases for translation.After a historical survey of these languages and a brief presentation of the writing and phonetic systems of Persian, the ward classes (parts of speech) and their traditional and modern classifications are compared. The structures of determinant, nominal, adjectival, prepositional, adverbial and verbal syntagms and the nature of their component, as well as the fundamental constructions of the basic sentence in thesetwo languages are then analysed. During the study, as a result of translation tests carried out by Persian students, some problematic cases for translation have been recognized and analysed for a potential French-Persian controlled language. ln the final synthesis, the syntagmatic structures and some instructions for developing a controlled language relating French and Persian languages have been assembled
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
2

Safa, Parivash. « L' expression de l'inchoativité en français et en persan ». Besançon, 1995. http://www.theses.fr/1995BESA1022.

Texte intégral
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
3

Mirzajan, Semsar Massoumeh. « Etude articulatoire et acoustique des sons du Fârsi parlé à Téhéran : comparaison avec le français ». Université Marc Bloch (Strasbourg) (1971-2008), 2004. http://www.theses.fr/2004STR20007.

Texte intégral
Résumé :
Au cours de ce travail, nous présentons une étude articulatoire et acoustique des sons du fârsi, et plus particulièrement des voyelles, en comparaison avec le système phonétique du français. Après un rappel historique et linguistique de l'évolution du persan, nous décrivons l'ensemble des sons du fârsi tel qu'on le parle actuellement à Téhéran. Puis, à partir d'une analyse spectrale, nous décrivons chaque voyelle dans différents contextes : voyelles isolées, voyelles dans des mots (en trois positions différentes), voyelles dans des phrases. Nous avons mesuré la durée vocalique et les formants. Nous avons ainsi pu établir le triangle vocalique acoustique du fârsi, un travail qui n'avait pas été réalisé auparavant. Pour finir, nous comparons les deux systèmes vocaliques du fârsi et du français. Notre étude, outre son intérêt scientifique descriptif, pourra peut-être aussi apporter des renseignements utiles pour l'enseignement du français aux Iraniens, ou du persan aux Français
Is presented here an articulatory and acoustic study of the sounds of Tehran Fârsi, in comparison with French sounds. First, we give historical survey of the evolution of Persian language, up to Fârsi spoken nowadays in Tehran. Then, using a spectral analysis, we describe each vowel in different contexts : isolated vowels, vowels in words (in 3 different positions), and vowels in sentences. Duration and formant values were measured. Hence, we establish the vowel acoustic triangle of Fârsi, a task that had not yet been carried out. Finally, we briefly compare the vocalic systems of Fârsi and French. This work, besides its scientific and descriptive interest, may give useful precisions for teaching French to Iranians or Persian to French
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
4

Lessan-Pezechki, Homa. « Système verbal et deixis en persan et en français : approche contrastive à partir d'un corpus littéraire constitué de trois oeuvres d'Albert Camus et de leurs traductions persanes ». Grenoble 3, 1997. http://www.theses.fr/1997GRE39005.

Texte intégral
Résumé :
Notre these comporte deux grandes parties. Dans le premier chapitre de la premiere partie, nous avons decrit le systeme verbal persan dans ses grandes lignes, puis nous avons expose les particularites des tiroirs separement. Dans le deuxieme chapitre, nous avons fait une approche contrastive en partant du francais pour aboutir au persan. Apres l'examen du systeme verbal, qui a des liens evidents avec la deixis, nous avons aborde le noyau dur de la deixis en examinant successivement la deixis spatiale, la deixis temporelle et la deixis personnelle dans le premier chapitre de la deuxieme partie, et dans le deuxieme chapitre, nous avons fait un examen approfondi des deictiques francais et de leurs traductions persanes
My thesis comprises two main sections. In the first chapter of the first section, i describe the outlines of persian verb system, and set out the particularities of each tense form separately. In the second chapter, i adopt a contrastive approach, staring from french and comparing with the situation in persian. After examining the verb system, which has obvious links with the notion of dexis, i examine the concept of deixis more closely. Dealing successively with spatial, temporal and finally personal deixis in the first chapter of the second section. In the second chapter, i make a detailed study of french deictics and of their translation into persian
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
5

Daei-Nasseri, Massoud. « Pratique du bilinguisme par des adolescents franco-persans vivant en France ». Strasbourg 2, 2002. http://www.theses.fr/2002STR20029.

Texte intégral
Résumé :
Cette thèse analyse les stratégies langagières utilisées par des adolescents franco-persans bilingues lors d'entretiens enregistrés. Après avoir fait un état de la question d'un certain nombre de théories de l'interlangue, des interférences et de l'alternance codique, on s'est attaché à l'étude du corpus, préalablement transcrit. On trouvera dans la thèse une analyse contrastive de différents aspects du système verbal en français et en persan, des prépositions, des adjectifs et de certains déterminants. Dans une seconde partie, on s'attache à mettre en évidence quelques caractéristiques de l'alternance codique et du code-mixing
This thesis analyses the linguistic strategies which are used by the French-Persian bilingual teenagers during recorded interviews. We first explained some theories on interlanguage, interferences and code-switching. Then, we attempted to study the corpus, wich was first transcribed. In this thesis, it will be found a contrastive analysis of various aspects of the verbal system of French and Persian, of the prepositions, the adjectives and of a number of prepositions. In the second part, we tried to develop some characteristics of the code-switching and code-mixing
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
6

Simon, Christel. « La syntaxe du comparatif en russe moderne ». Aix-Marseille 1, 1999. http://www.theses.fr/1999AIX10091.

Texte intégral
Résumé :
Trois constructions syntaxiques differentes utilisent le comparatif : la tournure comparative, la tournure confrontative et la tournure proportionnelle. Dans sa forme canonique, la tournure comparative comporte trois elements : le compare, le comparatif et l'echantil. La classification semantique des phrases a permis de montrer que l'echantil peut parfois etre reduit en surface a une simple variable ou s'effacer completement. L'echantil est introduit par un morpheme qui forme avec celui du comparatif un signifiant discontinu. L'ensemble "comparatif synthetique + genitif" et "comparatif + po sravneniju s + instrumental " permettent a la phrase de rester simple. A l'inverse, l'emploi du correlateurs tem a pour effet de rendre la phrase complexe. La tournure proportionnelle est toujours une phrase complexe qui comporte au minimum deux comparatifs. Elle s'inscrit dans les phrases correlatives grace aux morphemes tem. . . Tem. La tournure confrontative n'a pas besoin d'un comparatif pour exister. Cependant, lorsqu'elle a recours a une forme comparative, elle utilise presque exclusivement le comparatif lue se cette tournure ne se realise que par le biais de la phrase complexe. L'emploi ducomparatif est tres diversifie, il trouve aussi une place relativement importante dans la formation d'expressions phraseologiques. Le comparatif synthetique, bien qu'indeclinable, est plus utilise que le comparatif analytique. Il est present dans les trois tournures presentees et sa large latitude combinatoire en particulier dans la tournure comparative lui permet d'assumer (parfois, avec l'aide du prefixe po-, il est vrai) les memes fonctions syntaxiques que toute autre forme positive.
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
7

Miladi, Lidia. « Etude transformationnelle des verbes à complétive du polonais : comparaison avec le français ». Grenoble 3, 2004. http://www.theses.fr/2004GRE39006.

Texte intégral
Résumé :
"Cette thèse est une analyse systématique et exhaustive des structures à complétive du polonais (en comparaison avec le français), dans le cadre du modèle du "lexique-grammaire" développé par M. Gross et son équipe du LADL. L'application de la méthodologie de M. Gross (1968, 1975) a permis de classer environ 2100 formes verbales à complétive du polonais dans 17 classes syntactico-sémantiques. Là où n'existe qu'un seul complémenteur que en français, avec une différentiation sur le mode de la complétive (indicatif / subjonctif), deux complémenteurs de forme distincte ze et zeby1 sont observables en polonais. Les complétives du polonais sont introduites soit par to1 soit par la séquence : Prép+to1. De plus, 16 prépositions (de sens divers) sont susceptibles d'introduire une complémentation complétive (et/ou infinitive) en polonais alors que seules deux prépositions à et de, introduisent majoritairement les complémentations complétives ou infinitives prépositionnelles en français. To1 - introducteur d'une complétive en polonais, fait partie du complémenteur ze ou zeby1. Il est grammaticalisé et n'a donc pas de valeur autonome. Il peut être effacé sans entraîner le changement de sens de la phrase. Sa présence devant les complétives constitue une condition préalable de plusieurs transformations (susceptibles de s'appliquer sur ces constructions). Par ailleurs, il existe encore un autre morphème to. To2 est un pronom déictique qui sert d'une part à pronominaliser les complétives (ou les infinitives) et d'autre part, placé en tête de phrase, to2 assure l'extraction des complétives et des infinitives. Une corrélation entre to1 et to2 est observable : to1 trouve sa source dans to2. Seuls 381 verbes autorisent une réduction de la complétive à l'infinitive correspondante. La présence du marqueur d'infinitive de forme zeby2 est alors observable dans les constructions infinitives. "
This thesis is a systematic and exhaustive analysis of the substantive Polish structures (compared with the French language), as part of the "lexique-grammaire" model developped by M. Gross and his team at LADL. The application of M. Gross' method has permitted the classing of nearly 2100 substantive Polish verbs into 17 syntactical-semantic classes. Where only one subordinating conjunction (que) exists in French, with a differentiation on the substantive mood (indicative / subjunctive), two distinct forms of the subordinating conjunctions ze and zeby1 are observable in Polish. The Polish substantives are introduced either by to1 or by the sequence : Prép+to1. In addition, 16 prepositions (of various meanings) are able to introduce a complementary substantive (or infinitive) in Polish where as only two prepositions à and de introduce the substantive or prepositional infinitives in French. To1 - initiator of a substantive in Polish, belongs to the subordinating conjunction ze or zeby1. It is grammatisized and so has no autonomous value. It can be deleted without changing the meaning of the phrase. If it is used before the substantive, it forms a preliminary condition for several transformations (open to be applied in these constructions). Furthermore another morpheme exists : to. To2 is a deictic pronoun which serves on the one hand to pronominalise the substantives ( or the infinitives) and on the other hand when placed at the beginning of a phrase, it emphasizes the substantives and the infinitives. A correlation between to1 et to2 is noticeable : to1 originates from to2. Only 381 verbs allow a reduction from the substantive to the corrresponding infinitive. The presence of the infinitive marker of the from zeby2 is observable in the infinitive constructions
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
8

Rebotier, Aude. « Les Temps verbaux en allemand et en français et les phénomènes aspectuels : comparaison de deux systèmes ». Grenoble 3, 2005. http://www.theses.fr/2005GRE39039.

Texte intégral
Résumé :
Le français possède plus de temps verbaux que l'allemand à l'indicatif, et leur utilisation est plus variée. Les phénomènes aspectuels sont l'une des clefs qui expliquent ces différences. En français, les Temps du passé sont porteurs d'un aspect grammatical, qui interfère avec l'aspect lexical (mode d'action) : passé simple et passé composé imposent que le procès soit télique, l'imparfait demande un procès atélique ; le Temps contribue à sélectionner l'un des sens potentiels du GV. L'allemand qui ne possède cette opposition ni au Prétérit ni au Perfekt a un mode d'action plus marqué : les procès exprimés par les lexèmes verbaux (avec leurs compléments) ont des caractéristiques aspectuelles qui sont moins sujettes à des réinterprétations en contexte. Sur ce point, l'aspectualité allemande s'apparente à celle des langues slaves, sans toutefois former un système. Pour l'expression de l'avenir, l'allemand dispose d'une forme beaucoup moins employée que les Futurs français, werden + infinitif. En effet, le Présent français exerce généralement le même effet aspectuel que l'imparfait (le procès doit être atélique) ; inversement, en allemand, les procès téliques imposent un sens futural au Präsens, qui représente ainsi une concurrence plus forte pour le Futur. Le Futur allemand est limité aux emplois les plus typiques d'un Temps futur, ceux où le paradoxe lié à ce Temps est mis en valeur : le locuteur s'engage sur un fait qui par définition n'est pas encore avéré. En français, inversement, c'est l'emploi du Présent pour l'expression de l'avenir qui est plus spécialisé : il implique au moment de l'énonciation l'existence d'un plan ou d'un schéma qui prévoit le procès.
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
9

Ren, Xiaobo. « Syntaxe diachronique et synchronique des constructions passives en chinois : essai de comparaison avec les formes passives du français ». Paris 3, 1989. http://www.theses.fr/1989PA030139.

Texte intégral
Résumé :
En chinois contemporain, la forme passive standard est la suivante : "(sni) + bei (+ sn2-agent) + v (+ c)". Cette structure est attestee des le chinois medieval, au viiie siecle, mais elle devient la forme passive la plus courante seulement en chinois moderne, aux alentours des xive et xve siecles. Auparavant, en chinois archaique et en chinois medieval, d'autres constructions mettant en jeu d'autres marqueurs que bei sont utilisees pour l'expression du passif. Ce sont, pour l'essentiel, les formes en yu, les formes en wei. . . Suo, les formes en jian. Les diverses contraintes des formes passives aux niveaux syntaxique, semantique et communicatif expliquent pourquoi les formes actives n'ont pas toujours une forme passive correspondante et pourquoi certaines formes passives s'averent aller plus naturellement de soi que leurs formes correspondantes actives. Les differences degagees entre le chinois et le francais expliquent aussi pourquoi certaines passives sont obligatoirement interpretees par des formes actives dans l'autre langue, et pourquoi un choix s'impose toujours entre les degres syntaxique, semantique ou communicatif
In today's chinese, the common passive form is the following : "(np1) + bei (+ np2-agent) + v (+c)". This structure can already be found in medieval chinese (8th century a. D. ), but it only became the most current passive form in modern chinese, around the 14th and 15th centuries. In archaic chinese and in medieval chinese, other constructions with other marks than bei were used to express the passive form. They were essentially : i. E. Yu, wei. . . Suo and jian. Various constraints on the passive forms regarding syntax, semantics and communication as well, explain why all the active forms may not always have an exact corresponding passive form and why some passive forms are sometimes more natural than their corresponding active forms. The differences that arise between the chinese language and the french language, emphasize the fact that some passive forms in one language are adequately rendered by active forms in the other language, thus a choice has to be made between syntaxic, semantic and communicative levels
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
10

Muller, Claude. « La négation en français : syntaxe, sémantique et éléments de comparaison avec les autres langues romanes ». Paris 7, 1987. http://www.theses.fr/1987PA070036.

Texte intégral
Résumé :
La négation est définie par rapport à l'assertion, comme le rejet d'un présupposé pragmatique. Cette valeur fondamentale s'accompagne d'une valeur dérivée permettant la saisie d'informations: c'est la négation descriptive. Les operateurs de la négation syntaxique sont utilisables aussi bien avec les paraphrases métalinguistiques (avec les verbes-supports de l'assertion) qu'avec les operateurs de surface. La négation est encore exprimée par des opérateurs adaptés aux contextes (négations morphologiques); à l'inverse, le contexte peut s'adapter à la négation (polarité négative). La combinatoire ne pas vs. Non correspond respectivement à la négation ayant un verbe dans ses actants, et à la négation ayant incorporé son verbe-support, ce qui permet d'expliquer la gamme d'emplois de non. Les emplois de ne sans pas résultent soit de l'association négative, codifiée au dix-septième siècle, soit de survivances du système ancien. L'association négative (combinaison d'une négation et d'un opérateur dépendant) met en évidence le phénomène de non localisation de la négation, qui caractérise les langues romanes, avec cumul et absence de l'incorporation morphologique typique des langues germaniques. Elle est signalée en français par l'absence de pas et la présence de ne à l'écrit. Les négations explétives sont vues dans ce cadre comme des négations associées à un contexte de portée dominante équivalant à un terme positif avec une négation dépendante: d'où la caractérisation de ces constructions comme des associations négatives inverses. Les derniers chapitres examinent les modifications de déterminant en phrase négative, et la sémantique des questions négatives
Negation may be defined in relation to assertion, as a rejection of a pragmatic presupposition. This basic value is accompanied by a derived value allowing for information transmission : descriptive negation. Operators of syntactic negation can be used with metalinguistic paraphrases (using the 'support-verbs' of assertion) as well as with surface operators. Negation is also expressed by operators adapted to their lexical context (morphological negations); inversely, the context may adapt in function of the negation (negative polarity). The choice of ne pas vs. Non corresponds respectively to a negation containing a verb among its arguments and to a negation incorporating its 'support verb', which explains the wide application range of non. Uses of ne without pas result either from the negative association codified in the 17th century, or from survivals of the former system. The negative association (combination of a negation and a dependent operator) highlights the phenomenon of non localised negation characterising the romance languages, with absence of morphological incorporation of negation in negative words. It is indicated in french by the absence of pas and the simultaneous use of ne in written french. Negative expletives can be seen in this framework as negations associated with a dominant-scope context equivalent to a positive item with a dependent negation, hence the characterisation of these constructions as inverse negative associations. The last chapters deal with modifications of determiners in negative sentences, and with the semantics of negative questions
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.

Livres sur le sujet "Persan (langue) – Comparaison (grammaire)"

1

Hayedeh, Torabi, dir. Basic Persian : A grammar and workbook. New York : Routledge, 2012.

Trouver le texte intégral
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
2

Yousef, Saeed. Persian : A Comprehensive Grammar. Taylor & Francis Group, 2018.

Trouver le texte intégral
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
3

Persian : A Comprehensive Grammar. Taylor & Francis Group, 2018.

Trouver le texte intégral
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
4

Yousef, Saeed. Persian : A Comprehensive Grammar. Taylor & Francis Group, 2018.

Trouver le texte intégral
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
5

Yousef, Saeed. Persian : A Comprehensive Grammar. Taylor & Francis Group, 2018.

Trouver le texte intégral
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
6

Persian Language. Routledge, 2012.

Trouver le texte intégral
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
7

Persian Language. Taylor & Francis Group, 2011.

Trouver le texte intégral
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
8

Yousef, Saeed, et Hayedeh Torabi. Intermediate Persian : A Grammar and Workbook. Taylor & Francis Group, 2015.

Trouver le texte intégral
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
9

Ghahremani, Saeed, Saeed Yousef et Hayedeh Torabi. Intermediate Persian : A Grammar and Workbook. Taylor & Francis Group, 2013.

Trouver le texte intégral
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
10

Intermediate Persian : A Grammar and Workbook. Taylor & Francis Group, 2021.

Trouver le texte intégral
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
Nous offrons des réductions sur tous les plans premium pour les auteurs dont les œuvres sont incluses dans des sélections littéraires thématiques. Contactez-nous pour obtenir un code promo unique!

Vers la bibliographie