Littérature scientifique sur le sujet « Organisation Panafricaine de la Propriété intellectuelle »

Créez une référence correcte selon les styles APA, MLA, Chicago, Harvard et plusieurs autres

Choisissez une source :

Consultez les listes thématiques d’articles de revues, de livres, de thèses, de rapports de conférences et d’autres sources académiques sur le sujet « Organisation Panafricaine de la Propriété intellectuelle ».

À côté de chaque source dans la liste de références il y a un bouton « Ajouter à la bibliographie ». Cliquez sur ce bouton, et nous générerons automatiquement la référence bibliographique pour la source choisie selon votre style de citation préféré : APA, MLA, Harvard, Vancouver, Chicago, etc.

Vous pouvez aussi télécharger le texte intégral de la publication scolaire au format pdf et consulter son résumé en ligne lorsque ces informations sont inclues dans les métadonnées.

Articles de revues sur le sujet "Organisation Panafricaine de la Propriété intellectuelle"

1

Burg, A. « Gewetensvrijheid en Perestrojka ». Het Christelijk Oosten 42, no 4 (12 novembre 1990) : 234–50. http://dx.doi.org/10.1163/29497663-04204003.

Texte intégral
Résumé :
Liberté de conscience et perestroïka En Union Soviétique l’Eglise est officiellement séparée de l’E tat; de fait ,état’ implique ici ,société’. Le culte religieux est autorisé, mais uniquement à l’intérieur de l’église; par contre, dans la société toute activité religieuse est rigoureusement prohibée. Selon la constitut on l’Etat est a-religieux et non anti-religieux. Mais la réalité est souvent bien différente, car c'est l’athéisme militant qui forme la base du Parti Communiste et celui-ci dirige et oriente la société soviétique. Dès Ie début l’athéisme militant a été la religion d’Etat à laquelle tout citoyen ayant une fonction officielle devait adhérer. L’auteur de l’article explique comment les relations entre l’Eglise et l’E tat se sont développées: les décrets de 1918 et de 1929 concernant la séparation entre l’Eglise et l’E tat, les organisations religieuses et la liberté de conscience. Ensuite il s'arrête aux changements qui se déroulent depuis la perestroïka de Gorbachev et il constate une amélioration dans Ie domaine de l’appréciation intellectuelle de la religion et du renouveau spirituel de l’Eglise. Mais pour réaliser dans l’Eglise une vraie réorganisation structurelle, depuis la direction jusqu’ à la base, il faudra une nouvelle législation sur la liberté de conscience et les organisations religieuses. L’auteur analyse alors les pro j ets de loi qui depuis 1988 circulent en Occident et constate qu’ils contiennent des améliorations certaines par rapport aux textes antérieurs: reconnaissance juridique des organisations religieuses avec droit de propriété; droit d’enseignement religieux, etc. Cependant, Ie tout est encore trop vague et surtout la reconnaissance juridique de 1’Eglise comme organisation hiérarchique avec une doctrine et une structure législative n'est pas encore accordée. Aussi Ie 3 avril 1990 Ie Saint Synode a rendu publique une déclaration qui veut être la traduction d’une perestroïka ecclésiastique et qui adresse à l’Etat douze demandes essentielles pour l’avenir d’une Eglise libre. Le 5 juin, enfin, Ie quotidien Izvestia a publié Ie texte de loi, adopté en première lecture par Ie Soviet Suprême, afin que l’opinion publique puisse en débattre. L’Eglise a exprimé sa déception.
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
2

Nwabueze, Caroline Joëlle. « Challenges of Transnational Trademark Law Practice : The Case of Nigerian Companies’ Brands in OAPI States ». Revue générale de droit 45, no 1 (8 juillet 2015) : 321–47. http://dx.doi.org/10.7202/1032041ar.

Texte intégral
Résumé :
Nigeria industrial growth has turned the country into an indispensable economic support for its neighbours. Only for the case of Cameroon, Nigeria has been the leading supplier with respectively 22% and 17.8% of imports in 2011 and 2012 with trade amounting to 328 billion FCFA per annum. This results in part from Nigerian companies’ exportations in local markets. Nigerian trademarks related to cosmetics, furniture, electronics, and pharmaceutical goods abound in neighbouring countries. However, a strengthening of Nigerian companies in regional markets encompasses strategies to avoid infringing on the trademark rights. Such strategies should include the consideration of special trademarks features by different institutions of the intellectual property (IP) system in the relevant neighbour export markets. This is by the mere fact that the legal status of those goods, although physical property, relies mainly on the material law applicable, which is trademark in the present case. Because the principle of territoriality requires that trademark protection be sought in the place where the goods are sold—and trademark applications filed in each country in which protection is sought—, Nigerian companies planning to outsource some business activity in neighbour markets will seek compliance with trademarks norms applicable in the Organisation africaine de la propriété intellectuelle (OAPI) of which those countries—Benin, Cameroon, Chad, and Guinea—are part. The trade partnership between companies from a common law trademark background on one hand, and civil law intellectual property community on the other, inevitably raises some frictions and trademarks issues. This article analyses the trademark challenges arising from Nigerian companies’ business decision to enter OAPI markets and export goods and services. The article firstly underlines the issues to be taken into consideration, including registration and enforcement of the companies’ marks in OAPI. Then the paper simultaneously reviews the dissimilarities issues between the Nigerian Trademark Act and the OAPI Trademark System to which the Nigerian companies are confronted. If trademark protection makes it easier for an enterprise to access transnational markets, the establishment of a Trademark Community with neighbouring countries helps for sure national industries to establish partnerships with other firms for sustainable development in the areas such as production, marketing, distribution or delivery of goods and services. In light of the trademark harmonisation in the European Union internal market, the present paper concludes by recommending the creation of a Trademark Community in the West and Central African region between Nigeria and its neighbouring countries.
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
3

Motari, Marion, Jean-Baptiste Nikiema, Ossy M. J. Kasilo, Stanislav Kniazkov, Andre Loua, Aissatou Sougou et Prosper Tumusiime. « The role of intellectual property rights on access to medicines in the WHO African region : 25 years after the TRIPS agreement ». BMC Public Health 21, no 1 (11 mars 2021). http://dx.doi.org/10.1186/s12889-021-10374-y.

Texte intégral
Résumé :
Abstract Background It is now 25 years since the adoption of the Agreement on Trade-Related Aspects of Intellectual Property Rights (TRIPS) and the same concerns raised during its negotiations such as high prices of medicines, market exclusivity and delayed market entry for generics remain relevant as highlighted recently by the Ebola and COVID-19 pandemics. The World Health Organization’s (WHO) mandate to work on the interface between intellectual property, innovation and access to medicine has been continually reinforced and extended to include providing support to countries on the implementation of TRIPS flexibilities in collaboration with stakeholders. This study analyses the role of intellectual property on access to medicines in the African Region. Methods We analyze patent data from the African Regional Intellectual Property Organization (ARIPO) and Organisation Africaine de la Propriété Intellectuelle (OAPI) to provide a situational analysis of patenting activity and trends. We also review legislation to assess how TRIPS flexibilities are implemented in countries. Results Patenting was low for African countries. Only South Africa and Cameroon appeared in the list of top ten originator countries for ARIPO and OAPI respectively. Main diseases covered by African patents were HIV/AIDS, cardiovascular diseases, cancers and tumors. Majority countries have legislation allowing for compulsory licensing and parallel importation of medicines, while the least legislated flexibilities were explicit exemption of pharmaceutical products from patentable subject matter, new or second use of patented pharmaceutical products, imposition of limits to patent term extension and test data protection. Thirty-nine countries have applied TRIPS flexibilities, with the most common being compulsory licensing and least developed country transition provisions. Conclusions Opportunities exist for WHO to work with ARIPO and OAPI to support countries in reviewing their legislation to be more responsive to public health needs.
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.

Thèses sur le sujet "Organisation Panafricaine de la Propriété intellectuelle"

1

Ouedraogo, Peingdewiende Jean. « Protection des œuvres littéraires et artistiques dans l'environnement numérique dans l'espace OAPI ». Electronic Thesis or Diss., Lyon 2, 2024. http://www.theses.fr/2024LYO20024.

Texte intégral
Résumé :
Les technologies de l’information interrogent la propriété littéraire et artistique de façon permanente. Chaque changement technologique entraine d’importantes répercussions dans la manière de protéger les œuvres culturelles. C’est ainsi qu’avec le développement du numérique des années 2000, plusieurs législations ont été mises à jour en commençant par le droit international. L’accord de Marrakech adopté par l’OMC le 15 décembre 1994 et les deux traités de l’OMPI de 1996 à savoir le traité de l’OMPI sur le droit d’auteur et le traité de l’OMPI sur les interprétations et exécutions et les phonogrammes sont les fruits de ces mutations. Au niveau régional et national, on pourrait également citer le Digital Millénium Copyright Act de 1998 pour l’Amérique et la Directive européenne sur la société de l’information de 2001 pour ce qui est de l’Union Européenne. Tenant compte de ces changements au niveau international et dans les ordres juridiques voisins, le législateur africain a opéré une révision de l’Accord communautaire le 15 décembre 2015. Cette révision prend cependant insuffisamment en compte les préoccupations suscitées par la technologie numérique. L’exemple le plus emblématique est l’occultation des influences de l’Intelligence artificielle sur la propriété littéraire et artistique. Cette thèse vise donc à proposer des solutions pour parachever l’adaptation du droit OAPI de sorte qu’il soit à jour des standards internationaux et tienne compte des développements du droit régional dont la construction est initié par l’Union Africaine avec la mise en place de l’Organisation Panafricaine de la Propriété Intellectuelle. (OAPI). Cette étude touchant à la fois le droit matériel et le système institutionnel de l’OAPI a eu pour objectif de renforcer davantage la sécurité des intérêts des titulaires de droits et ceux des utilisateurs de leurs œuvres de sorte à rendre le cadre communautaire africain plus équilibré et sécurisé
Information technologies are constantly questioning literary and artistic property. Each technological change has important implications for the way cultural works are protected. Thus, with the development of digital technology in the 2000s, several pieces of legislation have been updated, starting with international law. The Marrakesh Agreement adopted by the WTO on December 15, 1994, and the two WIPO treaties of 1996, namely the WIPO Copyright Treaty and the WIPO Performances and Phonograms Treaty, are the fruits of these changes. At the regional and national level, we could also mention the Digital Millennium Copyright Act of 1998 for the Americas and the European Directive on the Information Society of 2001 for the European Union. Taking into account these changes at the international level and in neighbouring legal orders, the African legislator revised the Community Agreement on 15 December 2015. However, this revision does not sufficiently take into account the concerns raised by digital technology. The most emblematic example is the concealment of the influences of Artificial Intelligence on literary and artistic property.This thesis therefore aims to propose solutions to complete the adaptation of OAPI law so that it is up to date with international standards and takes into account the developments of regional law whose construction is initiated by the African Union with the establishment of the Pan-African Intellectual Property Organization. (PAIPO). The objective of this study, which touched on both the substantive law and the institutional system of OAPI, was to further enhance the security of the interests of right holders and those of the users of their works, so as to make the African community framework more balanced and secure
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
2

Johnson-Ansah, Ampah. « L'épuisement des droits de propriété industrielle dans l'espace OAPI (Organisation Africaine de la Propriété Intellectuelle) ». Phd thesis, Université de Strasbourg, 2013. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-01061170.

Texte intégral
Résumé :
L'organisation africaine de la propriété intellectuelle (OAPI) a consacré la théorie de l'épuisement des droits depuis sa révision de 1999. Elle en a posé les conditions légales. On découvre que ses conditions, qui sont une limitation du droit exclusif de commercialisation des titulaires, n'en préservent pas moins la quintessence. À travers une mise en circulation limitée au territoire national pour la marque et au territoire régional pour le brevet, le législateur a fait partiellement échec au libre commerce des produits protégés. L'existence des zones de libre-échange peut néanmoins contribuer à élargir le domaine de l'épuisement qui deviendra alors communautaire dans l'UEMOA et la CEMAC. L'encadrement de l'épuisement des droits est rigide mais maîtrisé. Il est cohérent avec le principe de départ qui est la protection des droits de propriété industrielle. Aussi l'épuisement international est-il tout simplement rejeté, alors même qu'il aurait pu constituer un moyen de régulation de la libre circulation des produits protégés. Néanmoins, il faut relativiser ce rôle et se tourner vers une véritable quête de transfert de technologie qui est le seul moyen de transformer le sort de la propriété industrielle sur le continent africain.
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
3

Matip, Nicole Florence. « L'organisation africaine de la propriété intellectuelle et l'accord relatif aux aspects de droits de propriété intellectuelle qui touchent au commerce ». Lyon 3, 2006. http://www.theses.fr/2006LYO33044.

Texte intégral
Résumé :
L'accord de Bangui est la loi nationale de propriété industrielle de chacun des 16 États membres de l'OAPI. Il s'agit du Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Congo, Côte d'Ivoire, Gabon, Guinée, Guinée Bissau, Guinée équatoriale, Mali, Mauritanie, Niger, République centrafricaine, Sénégal, Tchad, Togo. Sous la formulation de 1977, l'accord de Bangui n'était pas conforme à l'ADPIC
The trade of Bangui us the national law of sixteen OAPI members : Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Congo, Côte d'Ivoire, Gabon, Guinée, Guinée Bissau, Guinée équatoriale, Mali, Mauritanie, Niger, République centrafricaine, Sénégal, Tchad, Togo. In 1977, the trade of Bangui was not conform that's trip. Reset the trade of Bangui was revisited in 1999. Now the importation is assimiled at local exploitation
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
4

Klemet-Nguessan, N. Kouamé. « La propriété intellectuelle et les négociations commerciales de l'Uruguay Round ». Nice, 1995. http://www.theses.fr/1995NICE0025.

Texte intégral
Résumé :
La propriété intellectuelle est depuis le lancement de l'Uruguay Round au nombre des préoccupations des acteurs du commerce international. Le système international de protection s'est en effet révélé inapte à répondre adéquatement aux défis posés par l'apparition des nouvelles technologies ainsi que les différents nés entre états du fait de l'application des règles conventionnelles classiques. Tel est le contexte international qui a favorise la promotion du GATT comme cadre approprié de protection des droits de propriété intellectuelle. L’articulation des droits de propriété intellectuelle au système du GATT soulevait toutefois des difficultés tenant non seulement aux particularismes de ce système, mais aussi au fondement de la compétence du GATT à investir une matière qui a jusque-là relevé du champ de compétence quasi exclusive de l'OMPI. L’accord relatif aux aspects de droits de propriété intellectuelle qui touchent au commerce international, résultat des négociations du cycle d'Uruguay constitue sans conteste une amélioration du système conventionnel traditionnel. Il ne règle cependant pas tous les problèmes. L’organisation mondiale du commerce qui succède au GATT aura à faire face a un certain nombre de défis pour s'affirmer comme l'instance de régulation du commerce mondial.
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
5

Mba, Rose Chantal. « La protection des inventions en droit de L'OPAI : Organisation Africaine de la Propriété Intellectuelle ». Lyon 3, 2004. http://www.theses.fr/2004LYO33011.

Texte intégral
Résumé :
L'OAPI organise la protection et l'exploitation des inventions. Pour la protection, l'Accord de Bangui prévoit une alternative entre le Brevet d'invention et le CEMU exigeant des conditions différentes et délivrés par l'OAPI selon une procédure centralisée et déclenchée par le dépôt d'une demande de titre. Valables dans l'ensemble des Etats membres, ils ont une durée de vingt ans pour le brevet et huit ans pour le CEMU, maintenus en vigueur par le paiement des annuités par leur titulaire; Et cette validité est contestable devant les tribunaux civils nationaux. Ils confèrent à leurs titulaires un droit exclusif et une obligation d'exploiter l'invention protégée. L'obligation d'exploiter est sanctionnée par l'octroi, par le juge, des licences non volontaires que pour les inventions brevetées. Pour les licences contractuelles à conclure par écrit, il est prévu un contrôle juridictionnel a posteriori des clauses limitant les droits conférés par le titre ou non nécessaires à leur maintien.
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
6

Bizitou, Prosper. « Le nouveau régime de protection des dessins ou modèles industriels dans le cadre de l'accord de Bangui de 1977 créant l'organisation africaine de propriété industrielle ». Paris 2, 1986. http://www.theses.fr/1986PA020032.

Texte intégral
Résumé :
Ce nouveau regime est contenu dans l'annexe iv a l'accord signe a bangui le 2 mars 1977(relatif a la creation d'une organisation africaine de la propriete intellectuelle constituant revision de l'accord relatif a la creation d'un office africain et malgache de la propriete industrielle). La loi nouvelle, comme l'ancienne, exclut de son champ d'application les dessins ou modeles industriels purement techniques ou fonctionnels et admet le cumul avec le droit d'auteur. Elle donne de la nouveaute une definition a la fois objective et relative et reconnait a l'enregistrement un cractere attributif de droit, en meme temps qu'elle instaure un droit de possession personle anterieure, et supprime le depot secret. La duree de protection est reduite a 15ans avec une possibilite de restauration. De plus, une obligation d'exploiter, sanctionnee par la licence obligatoire, est prevue. Mais, certaines dispositions de ce regime, dont le rapprochement avec celui des brevets d'invention est sensible, ne peuvent manquer de poser des problemes quant a l'application du cumul de la loi specifique avec celle sur le droit d'auteur.
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
7

Tébili, Zézé Odette. « Les marques de l'Organisation Africaine de la Propriété Intellectuelle (OAPI) : étude comparée des droits français, communautaire, africain ». Toulouse 1, 2007. http://www.theses.fr/2007TOU10059.

Texte intégral
Résumé :
Par rapport aux nombreux signes d'artisans identifiés autrefois sur les objets et les corps humains, ces marques de l'Organisation Africaine de la Propriété Intellectuelle (l'OAPI), véritables instruments de conquête de la clientèle, sont définies comme des signes visibles servant à distinguer les produits et services d'une personne physique ou morale, de ceux des concurrents, par l'annexe III de l'Accord de Bangui révisé le 24 février 1999, en vigueur le 28 mars 2002. . Parmi les divers titres délivrés dans ce système africain autrefois francophone, à législation uniforme, pour les seize États membres, les marques, semblent réduites aux fonctions symboliques et uniquement conçues pour les pays développés dans certaines mentalités africaines. Certes, la protection des signes par un droit écrit est assez récente car née avec l'industrialisation en Europe. Mais, qu'en est-il réellement des marques de produits ou de services puisque les sociétés africaines en profondes mutations, vivent une économie de marché qui ne peut se développer, créer des richesses nationales et des emplois que si les agents économiques confrontent leurs aptitudes sur les marchés ? Il suffit de voir l'usage des marques dans les sociétés africaines et leur installation progressive dans toutes les couches sociales. Les consommateurs potentiels devraient être plus sensibilisés dans un langage adapté au leur. Moyen qui semble efficace pour mieux faire respecter les marques, l'escortant de sanctions effectives contre les atteintes. Inutile de multiplier donc les réformes législatives. Cette thèse vise donc à répondre aux questions de savoir si la protection des droits exclusifs des titulaires en conflit apparent avec les intérêts communautaires des tiers, peut être parmi les facteurs socioéconomiques et industriels en faveur du développement de l'Afrique ?
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
8

Ihrai, Othman. « La protection juridique des créations immatérielles à l'ère de l'économie numérique ». Nice, 2009. http://www.theses.fr/2009NICE0028.

Texte intégral
Résumé :
Dans le cadre de la Mondialisation et du développement des TIC, la protection des créations immatérielles est devenue une question universelle. Cependant le droit international de la propriété intellectuelle est largement inspiré d’un long processus enclenché dans les premiers pays industrialisés. Aussi les pays en développement, qui eux-mêmes n’ont pas toujours des intérêts convergents, remettent en cause certaines de ses dispositions. Ainsi pour tenter d’appréhender le problème dans toute sa complexité, il est nécessaire, dans une démarche comparative d’examiner les mécanismes de protection aux trois niveaux, international, régional et national, qui s’imbriquent, en fixant notre attention sur des études de cas significatifs. La protection des créations immatérielles s’inscrit au plan interne dans le cadre du droit privé, pénal et civil mais aussi dans le cadre du droit commercial, du droit des affaires, etc. Au plan international, elle relève du droit privé international. Le champ du droit d’auteur ne cesse de s’étendre du fait du développement de la société du savoir et de l’innovation. Aussi accorderons-nous un intérêt particulier aux droits d’auteur plus qu’aux droits des brevets, car d’une part, il nous semble plus gravement menacé par le développement des TIC et d’autre part, parce que la propriété industrielle jouit d’une protection plus ancienne, plus efficace, quoique de plus en plus aisément contournée. D’aucuns se demandent si la simplification de la protection ne contribuerait pas à une meilleure protection. La complexité des mécanismes de protection est, semble-t-il, à la source des difficultés que rencontre le droit de la propriété intellectuelle pour s’adapter aux contraintes nouvelles. Ne faudrait-il pas assouplir ces droits, les rendre plus flexibles en les restreignant à l’objet spécifique du droit, ce qui permettrait une protection plus ciblée et donc plus efficace ? Le problème se pose donc de la nature de la protection des droits d’auteur. Nous savons que ceux-ci jouissent, au plan interne, de la protection civile et pénale. Mais la protection des créations immatérielles est aussi une affaire économique, sociale et culturelle. Est-il possible d’utiliser des moyens annexes de protection pour compléter le droit pénal et civil ? Faut-il ici, en accord avec ceux qui souhaitent une dépénalisation du droit des affaires, envisager des sanctions para pénales ? Enfin comment transposer de manière efficace les mécanismes de protection mis en place aux niveaux international et régional ?
In the context of globalization and ICT development, protection of intangible creations has become a universal issue. But the international law of intellectual property is largely inspired by a long process initiated in the first industrialized countries. Developing countries, who do not always have convergent interests, are questioning some of its provisions. So, to try to understand the problem in all its complexity, it is necessary, using a comparative approach, to examine the mechanisms of protection at the three levels, international, regional and national. Because there is much overlap between these levels we will focus our attention on the study of a few significant cases. The protection of intangible creations falls, internally, within the scope of private law, criminal law and civil law, but it also concerns commercial law, business law, etc. . . Internationally, this protection fits international private law. The scope of copyright continues to expand due to the development of knowledge society and innovation. Thus, we will pay particular attention to copyright rather than to patent rights, because, first, it seems more seriously threatened by the development of ICT and, secondly, because industrial property enjoys an older, and more effective protection, though more easily circumvented. Some wonder if the simplification of protection would not contribute to better protection. The complexity of mechanisms of protection is, apparently, at the source of the difficulties faced by the law on intellectual property in its adaptation to new constraints. Should we not relax these rights, making them more flexible by restricting them to the specific object of the law, which would allow for a better targeted and a more effective protection? The question then becomes centered on copyright protection. We know that, internally, copyright enjoys the protection of civil and criminal law. But the protection of intangible creations raises also economic, social and cultural issues. Is it possible to use ancillary means of protection to complement criminal and civil law? Is it possible, in agreement with those who call for a decriminalization of business law, to consider quasi-criminal penalties? Finally, can we effectively implement protection mechanisms at international and regional levels?
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
9

Ruzek, Vincent. « Communautarisation et mondialisation du droit de la propriété intellectuelle ». Thesis, Rennes 1, 2014. http://www.theses.fr/2014REN1G009.

Texte intégral
Résumé :
L’internationalisation du droit de la propriété intellectuelle, initiée à la fin du XIXe siècle, a pris depuis la fin du XXe siècle une toute nouvelle tournure avec son inclusion dans le champ des disciplines commerciales multilatérales. La signature de l’accord ADPIC marque en effet l’émergence d’une véritable gouvernance mondiale de la propriété intellectuelle : l’ambition affichée par l’OMC est d’encadrer, substantiellement parlant, la marge de manœuvre des membres dans la mise en place de leurs politiques de protection. Bien qu’initié plus tardivement, la communautarisation du droit de la propriété intellectuelle revêt désormais une portée considérable : outre une conciliation effective des régimes nationaux de protection avec les principes cardinaux du traité, d’importantes directives d’harmonisation ont été édictées, et des titres européens de protection ont même été créés dans certains secteurs. Notre étude a pour vocation de montrer comment la communautarisation, au-delà de son rôle traditionnel de source du droit, officie comme un indispensable vecteur de structuration de la position européenne vis-à-vis de la mondialisation du droit de la propriété intellectuelle. Dans son versant ascendant tout d’abord – du local au global –, le vecteur communautarisation joue un rôle de mutualisation des objectifs à promouvoir sur la scène internationale. L’enjeu n’est autre que celui de façonner une gouvernance mondiale de la propriété intellectuelle qui corresponde au système d’intérêts et de valeurs de l’Union, conformément aux objectifs ambitieux assignés par le Traité. Ce processus de mutualisation n’a toutefois rien d’automatique : d’importantes contraintes institutionnelles – malgré plusieurs révisions du Traité et la progression graduelle de l’harmonisation en interne – contrarient l’émergence d’une véritable politique européenne extérieure intégrée. Mais c’est précisément à l’aune de ces contraintes qu’il convient d’apprécier la portée des accomplissements de l’UE, qui a su s’imposer comme un acteur central de la gouvernance mondiale du droit de la propriété intellectuelle. Dans son versant descendant ensuite – du global au local –, le vecteur communautarisation s’accompagne d’une montée en puissance du juge de Luxembourg dans l’arbitrage des situations d’interactions normatives fréquentes et complexes entre le droit de l’Union et le droit international de la propriété intellectuelle. L’étude systématique de la résolution par la Cour de ces interactions normatives montre combien celle-ci s’attache à préserver l’autonomie de l’ordre juridique de l’Union, en ménageant une marge d’appréciation significative dans la mise en œuvre des obligations découlant de la mondialisation du droit de la propriété intellectuelle. Cette marge d’appréciation est mise à profit pour assurer la défense d’un modèle européen original en construction, tirant parti des flexibilités du cadre normatif mondial
The internationalization of IP Law, initiated at the end of the 19th century, has taken since the end of the 20th century a brand new twist with its inclusion in the field of multilateral trade disciplines. The signing of the TRIPS agreement marks the emergence of a global IP governance. Indeed, the ambition displayed by the WTO is to supervise the margin of maneuver of its Members in implementing their policies. Although Communitization of IP law started much later, it now has a considerable scope: national protection regimes have been conciliated with the cardinal principles of the Treaty, some important harmonization directives have been enacted, and various European titles of protection have even been created. Our study is designed to show how Communitization, beyond its traditional role of source of law, officiates as a necessary and efficient vector for structuring the European position towards the Globalization of IP Law. In its ascendant side first -- from Local to Global, the Communitization vector plays a role of merging the objectives to be promoted on the international scene. The issue at stake is to shape an IP global framework that corresponds to the system of interests and values of the EU, in accordance with the far-reaching objectives assigned by the Treaty. This merging process is, however, not automatic. In spite of several amendments to the Treaty and of the progress of internal harmonization, various institutional constraints thwart the emergence of a fully integrated external European policy in the field of IP. But it is precisely in light of these constraints that the scope of the achievements of the EU, which in now recognized as a central actor in the global IP governance, must be appreciated. In its down side then -- from Global to Local, the Communitization vector is accompanied by a rise of the European Court of Justice in arbitrating complex normative interactions between national, EU and International IP Laws. A systematic analysis of the resolution by the ECJ of these normative interactions reveals its determination to safeguard the autonomy of the EU legal order, by arranging for significant discretion in implementing international commitments. This margin of appreciation is used to defend an original European model under construction, taking advantage of the flexibilities of the global normative framework
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
10

Belaiche, Raphael. « Le nouveau droit des relations commerciales multilatérales : l'OMC et l'immatériel ». Montpellier 1, 2000. http://www.theses.fr/2000MON10006.

Texte intégral
Résumé :
Une étude d'ensemble des " nouveaux domaines " du droit des relations commerciales multilatérales issu du cycle d'Uruguay implique non seulement d'aborder la question des règles matérielles en tant que telles et de leur lien avec les anciennes règles et pratiques du GATT, mais aussi de considérer plus généralement toutes les transformations qui ont affecté le droit des relations commerciales multilatérales dans son ensemble. L'apparition des "nouveaux domaines ", les services et les aspects des droits de propriété intellectuelle qui touchent au commerce, et des instruments juridiques qui se saisissent d'eux, A. G. C. S et accord sur les ADPIC, ne pose pas seulement la question de l'impact de cette ouverture sur le système commercial multilatéral en son entier, et de la " reformulation " du droit des relations commerciales multilatérales qui en est résultée ; elle doit être située dans une évolution globale. Il s'agit de voir que le " domaine immatériel " du droit des relations commerciales multilatérales deviendra un objet d'étude pertinent à condition seulement que l'on éclaire suffisamment les tenants et les aboutissants du système juridique au sein duquel il se constitue, et si l'on montre tout à la fois l'unité matérielle de ce système et la portée de sa " reformulation ". Les nouveaux domaines s'insèrent maintenant dans le système commercial multilatéral considéré comme un système de règles matérielles appuyé sur une logique institutionnelle et sur une certaine conception de la responsabilité internationale des états. Notre étude s'intéresse donc aux éléments fondamentaux du système commercial multilatéral : son histoire, sa logique et son esprit ; elle porte ensuite son attention sur les "nouveaux domaines immatériels ".
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.

Livres sur le sujet "Organisation Panafricaine de la Propriété intellectuelle"

1

Organization, African Intellectual Property. Why an African organisation for intellectual property ? [Yaoundé, Cameroon] : African Intellectual Property Organization, 1990.

Trouver le texte intégral
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
2

Organisation africaine de la propriété intellectuelle. O.A.P.I. : Un modèle réussi de coopération. Yaoundé, Cameroun : O.A.P.I., 1999.

Trouver le texte intégral
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
3

Kamagne, Rose Chantal S. Mba N. La protection des inventions en droit de l'OAPI : Organisation africaine de la propriété intellectuelle. Lille : ANRT, Atelier national de reproduction des thèses, 2005.

Trouver le texte intégral
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
4

Tsakadi, Ayawa C. L'accès à l'exploitation des droits de propriété industrielle par la voie contractuelle dans les pays de l'Oapi : Organisation Africaine de la propriété intellectuelle. Lille : A.N.R.T, Université de Lille III, 1999.

Trouver le texte intégral
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
5

Organisation africaine de la propriété intellectuelle. Instructions administratives. Yaoundé] : Organisation africaine de la propriété intellectuelle, 2005.

Trouver le texte intégral
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
6

1975-, De Beer Jeremy, Centre for International Governance Innovation. et International Development Research Centre (Canada), dir. Implementing the World Intellectual Property Organization's development agenda. Ottawa : Wilfrid Laurier University Press, 2009.

Trouver le texte intégral
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
7

1975-, De Beer Jeremy, Centre for International Governance Innovation. et International Development Research Centre (Canada), dir. Implementing the World Intellectual Property Organization's development agenda. Ottawa : Wilfrid Laurier University Press, 2009.

Trouver le texte intégral
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
8

Mbem, Stéphanie Ngo. Les enjeux de la protection des dessins et modèles industriels dans le développement en Afrique : Le cas des pays membres de l'Organisation africaine de la propriété intellectuelle (OAPI). Paris : L'Harmattan, 2008.

Trouver le texte intégral
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
9

Accord portant revision de l'accord de Bangui du 02 mars 1977 instituant une organisation Africa : Ne de la propriété intellectuelle : signé à Bangui, le 24 février 1999. [Cotonou] : Editions SOKEMI, 2008.

Trouver le texte intégral
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
10

(Editor), Daniel Wüger, et Thomas Cottier (Editor), dir. Genetic Engineering and the World Trade System : World Trade Forum. Cambridge University Press, 2008.

Trouver le texte intégral
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.

Chapitres de livres sur le sujet "Organisation Panafricaine de la Propriété intellectuelle"

1

Schneider, Marius, et Vanessa Ferguson. « OAPI ». Dans Enforcement of Intellectual Property Rights in Africa. Oxford University Press, 2020. http://dx.doi.org/10.1093/oso/9780198837336.003.0003.

Texte intégral
Résumé :
On 13 September 1962 in Libreville, Gabon, twelve Heads of State and Government adhered to the Agreement on the creation of the African and Malagasy Office of Industrial Property (OMAPI). The departure of Madagascar, the attribution of new competences in the area of copyright, and the need to interlink intellectual property with development soon created a need for a revised agreement. This led to the revision of the agreement in Bangui, Central African Republic on 2 March 1977 and to the creation of the African Intellectual Property Organization (OAPI, an acronym of Organisation Africaine de la Propriété Intellectuelle). A new revision of the agreement took place on 24 February 1999 to ensure the conformity of the agreement to the dispositions of the Agreement on Trade-Related Aspects of Intellectual Property Rights (TRIPS), to which all the Member States are party. This new agreement entered into force on 28 February 2002. Today the OAPI has seventeen Member States and represents more than 100 million inhabitants.
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
Nous offrons des réductions sur tous les plans premium pour les auteurs dont les œuvres sont incluses dans des sélections littéraires thématiques. Contactez-nous pour obtenir un code promo unique!

Vers la bibliographie