Articles de revues sur le sujet « Non-Hôte »

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Vo Thanh, Tan, Valentina Kirova et Roxane Daréous. « L’organisation d’un méga-événement sportif et l’image touristique de la ville hôte ». Méga-événements sportifs 33, no 1 (14 juin 2016) : 87–98. http://dx.doi.org/10.7202/1036722ar.

Texte intégral
Résumé :
Cette recherche s’attache à comprendre en profondeur comment et pourquoi un méga-événement sportif peut influencer l’image touristique perçue de la ville hôte dans le contexte particulier des Jeux olympiques (JO) de Londres en 2012, via le concept de transfert d’image. En cohérence avec les objectifs exploratoires, cette recherche de nature qualitative repose sur l’analyse d’une série d’entretiens semi-directifs réalisés auprès des résidents et touristes dans la période précédant les JO en 2012. Son apport essentiel est d’affirmer la pertinence du concept de transfert d’image pour étudier l’influence de l’image de l’événement sur l’image touristique de la ville hôte. Les résultats suggèrent aussi que l’image de l’événement est en mesure d’affecter non seulement les associations existantes, mais également de créer de nouvelles associations à l’image touristique de la ville hôte.
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2

Kupferman, Lucien. « La construction passive ense faire ». Journal of French Language Studies 5, no 1 (mars 1995) : 57–83. http://dx.doi.org/10.1017/s0959269500002507.

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Résumé :
AbstractLa construction passive ense faireest (devenue) sémantiquement indépendante de la construction causative réfléchie qui lui est homonyme. Comme dans les passifs enêtre, l'argument externe du prédicat auquel elle s'attache n'est pas représenté, et comme dans les passifs non verbaux porte le rôle Agent. Comme pourse-moyen le prédicat-hôte doit comprendre un argument interne, et est préférentiellement perfectif. Contrairement à ce qui est parfois affirmé, le réfèrent du sujet structural n'est ni nécessairement responsable du procès, ni obligatoirement humain, et l'action décrite par le prédicat-hôte n'est pas toujours violente. Bref, la construction passive ense fairea gagné sa place parmi les passifs.
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3

Molnar, Tim. « Hospitality and the Hôte : Revealing Responsibility Through Found Poetry ». LEARNing Landscapes 4, no 1 (1 avril 2010) : 157–73. http://dx.doi.org/10.36510/learnland.v4i1.369.

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Résumé :
This work provides insight into the experience of a group of Aboriginal and non-Aboriginal educators and their sense of responsibility. This involves discussions concerning the use of found poetry as well as how found poetry aided in fashioning an interpretation of educator’s experience of the hôte: a guest-host who accommodates and negotiates the difference of others and self.
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Saez, Frédérique. « C-Quand et hôtes non verbaux : entre syntaxe et sémantique ». SHS Web of Conferences 46 (2018) : 14004. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/20184614004.

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Résumé :
La présente communication se propose d’examiner un phénomène fréquent mais peu décrit du français contemporain. Il s’agit des cas où un constituant introduit par quand parait entrer dans la dépendance d’un constituant autre que le verbe. D’un point de vue sémantique, il parait délicat de douter du rapport entre cet hôte non canonique du C-quand et le C-quand, mais d’un point de vue syntaxique, les liens sont parfois très ténus, voire difficiles à montrer. Nous examinerons donc ces phénomènes d’un point de vue syntaxique et sémantique, espérant ainsi contribuer à une meilleure compréhension des phénomènes d’intégration des constructions verbales.
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Green, Nancy L. « Juifs et Noirs aux États-Unis. La rupture d'une « alliance naturelle » ». Annales. Histoire, Sciences Sociales 42, no 2 (avril 1987) : 445–64. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1987.283394.

Texte intégral
Résumé :
Aux États-Unis comme ailleurs, l'étude de l'immigration ne saurait se limiter à celle des degrés et des moyens de l'assimilation des nouveaux venus dans la société hôte. Si l'idéal du « melting pot » — aujourd'hui contesté — suppose l'intégration de toutes les composantes de la population, il reste que le milieu d'accueil comme les immigrants forment des ensembles hétérogènes. La notion de « pluriethnicité » devient d'autant plus complexe qu'il s'agit non seulement d'interactions entre autochtones et immigrants, mais des relations interimmigrés où chaque protagoniste est pris lui-même dans des stratégies diverses d'intégration, d'identification ou simplement de survie vis-à-vis de la société globale.
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Poirier, Patrick. « À Demeure ». Études françaises 38, no 1-2 (18 août 2004) : 145–64. http://dx.doi.org/10.7202/008397ar.

Texte intégral
Résumé :
Résumé La lecture est une responsabilité qui exige l’invention d’un lieu de rencontre. Le lecteur est d’abord un hôte. C’est à cette possibilité, c’est à cette exigence que s’ouvre Demeure. Maurice Blanchot, c’est du moins ce que donne à penser le geste extrêmement significatif par lequel Jacques Derrida, en ces pages, reproduit intégralement L’instant de ma mort. Ce serait là le secret de l’archive : Demeure se donnant non seulement à lire comme un témoignage, mais également comme un engagement à garder l’archive comme son secret, hébergeant dès lors L’instant de ma mort comme « l’aveu d’un secret demeuré secret ». Il y va de l’amitié comme d’une responsabilité pour l’avenir.
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7

Benaroyo, Lazare. « Les recherches de Theodor Kocher sur l'étiologie de l'ostéomyélite et de la strumite aiguës ». Gesnerus 49, no 2 (27 novembre 1992) : 151–60. http://dx.doi.org/10.1163/22977953-04902004.

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Résumé :
Theodor Kocher démontre expérimentalement en 1879 que ¡’ostéomyélite aiguë est une maladie infectieuse causée par un microorganisme non spécifique, le microcoque. Il montre que Vinfection de la moelle osseuse est consécutive à une dissémination hêmatogène d’une infection locale, cutanée ou muqueuse. La forme clinique et pathologique que prend la maladie dépend, selon lui, non seulement de la virulence du microcoque, mais également de la qualité du terrain sur lequel ce dernier se développe. Il suggère la même année que la strumite aiguë (l’inflammation du goitre) a, par analogie, la même étiologie que l’ostéomyélite ; il ne fournit cependant pas de preuves expérimentales à l’appui de cette hypothèse. Nous pouvons ainsi constater qu’à l’aube des années 1880, Kocher a défini de manière originale l’infection comme le produit d’une interaction entre un microorganisme et son hôte. L’influence exercée par ses idées sur ses contemporains atteste qu’il a stimulé les recherches sur l’étiologie des maladies infectieuses.
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Rousseau, Phillip. « De la dérive ethnographique ». II- L’espace du terrain. Réflexions théoriques et épistémologiques, no 61 (12 décembre 2017) : 73–90. http://dx.doi.org/10.7202/1042369ar.

Texte intégral
Résumé :
Ce texte relève une série d’embrouilles méthodologiques qui découlent d’une expérience de terrain à l’UNESCO – j’y étais en fonction de suivre les négociations menant à l’adoption de la Convention visant la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles en 2005. Une mauvaise synchronisation entre l’anthropologue et son terrain est à la source d’un premier constat qui laissait perplexe : s’approcher de la Convention semblait constamment mener à se détourner de l’institution hôte (UNESCO). Face à un objet aussi peu coopératif à se laisser cerner sous les traits disciplinaires, j’en viens d’abord à me demander dans quelle mesure la recherche pouvait être considérée comme un terrain. J’expose aussi comment, à partir d’une posture instable – un pied dans le terrain, l’autre non – l’objet tendait à se décliner d’une manière préalablement insoupçonnée.
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Labroussaa, Fabien, Vincent Baby, Sébastien Rodrigue et Carole Lartigue. « La transplantation de génomes ». médecine/sciences 35, no 10 (octobre 2019) : 761–70. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2019154.

Texte intégral
Résumé :
Le développement de la génomique synthétique (GS) a permis l’élaboration d’outils et de méthodes innovantes permettant la synthèse, l’assemblage et la modification génétique précise de chromosomes bactériens complets. La raison principale de ce succès, ayant abouti à la création de la première cellule synthétique quasi-minimale JCVI-syn3.0, est l’utilisation de la levure Saccharomyces cerevisiae comme hôte temporaire d’accueil et de modification de ces génomes. Cependant, une autre technique a joué un rôle considérable dans le succès retentissant de ces travaux : la transplantation de génomes bactériens (TG). Cette technique, encore mal comprise, permet d’installer des génomes complets naturels ou synthétiques dans un contexte cellulaire favorable à leur expression et donner la vie. Une meilleure compréhension du processus de TG permettrait d’élargir l’ensemble des techniques de GS, appliquées actuellement quasi exclusivement à l’étude des mycoplasmes, à de nombreuses autres bactéries d’intérêt, y compris des bactéries génétiquement non-modifiables à ce jour.
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Labouret, Mathilde, Ulrich Meinzer et Émilie Viennois. « Microbiote et miARN intestinaux ». médecine/sciences 39, no 5 (mai 2023) : 437–44. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2023065.

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Résumé :
L’arthrite juvénile idiopathique (AJI) est une maladie inflammatoire chronique caractérisée par la présence d’une ou plusieurs arthrites (inflammations des articulations) chez l’enfant. Les mécanismes exacts responsables de son développement restent inconnus. Pour de nombreuses maladies inflammatoires, un dialogue altéré entre le microbiote intestinal et son hôte est un élément clé de leur physiopathologie. Les micro-ARN (miARN) fécaux, de petits ARN non codants synthétisés par l’hôte que l’on retrouve dans les fèces, semblent jouer un rôle important dans ce dialogue. Dans l’AJI, si la présence d’une dysbiose et d’une modification du profil des miARN présents dans le sang, dans les cellules et les articulations ont été établies, les spécificités des miARN fécaux des patients n’ont pas été étudiées. Nous discutons, dans cette revue, l’intérêt d’une étude concomitante des miARN fécaux et du microbiote intestinal ches les patients atteints d’AJI, un concept qui apparaît essentiel pour la compréhension de la physiopathologie de cette maladie.
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Mougeot, G., G. Coutris, F. Lancastre, J. P. Ouaghlissi et J. Bolognini-Treney. « Modification de la survie et de la réceptivité chez le Mollusque, hôte intermédiaire deSchistosoma mansonipar inoculation d’hémolymphe provenant de Mollusques sensibilisés ou non ». Annales de Parasitologie Humaine et Comparée 62, no 2 (1987) : 123–31. http://dx.doi.org/10.1051/parasite/1987622123.

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MORGAVI, D., W. J. KELLY, P. H. JANSSEN et G. T. ATTWOOD. « La (méta)génomique des microorganismes du rumen et ses applications à la production des ruminants ». INRAE Productions Animales 26, no 4 (18 août 2013) : 347–62. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.4.3163.

Texte intégral
Résumé :
La viande et le lait produits par les ruminants sont d'importants produits agricoles qui représentent une source importante de protéines pour les humains. La production des ruminants a une valeur économique considérable et un impact sur la sécurité alimentaire de nombreuses régions du monde. Cependant, le secteur fait face à des défis majeurs en raison de la diminution des ressources naturelles et de la conséquente hausse des prix, mais également en raison de la prise de conscience grandissante de l'empreinte écologique laissée par les ruminants d'élevage. Une particularité des ruminants est la digestion prégastrique des aliments par les microbes du rumen. Une meilleure connaissance du microbiome du rumen et de ses fonctions aura pour conséquence une amélioration de l'efficacité de la digestion des aliments et une réduction de la production de méthane entérique, contribuant ainsi à relever les défis de la durabilité. Le progrès des technologies de séquençage d'ADN et de la bioinformatique accroît notre connaissance des écosystèmes microbiens complexes, y compris du tractus gastro-intestinal des mammifères. L'application de ces techniques à l'écosystème du rumen a permis d'étudier la diversité microbienne sous différentes conditions alimentaires et de production. Par ailleurs, le séquençage des génomes de différentes espèces bactériennes et d’archées isolées du rumen fournit des informations détaillées sur leur physiologie. La métagénomique, utilisée principalement pour comprendre les mécanismes enzymatiques impliqués dans la dégradation des polyosides structurels des végétaux, commence à offrir de nouvelles connaissances en permettant de contourner les limitations imposées par la culture des espèces microbiennes et ainsi de permettre l’accès à la totalité de la communauté. Ces approches permettent non seulement de caractériser la structure de la communauté microbienne du rumen, mais aussi d'établir un lien entre celle-ci et les fonctions du microbiome du rumen. Les premiers résultats obtenus grâce à ces technologies à haut débit ont également montré que le microbiome du rumen est bien plus complexe et diversifié que le caecum humain. Par conséquent, le catalogage de ses gènes exigera des efforts de séquençage et bioinformatiques considérables, mais constitue néanmoins un objectif réaliste. Un catalogue des gènes microbiens du rumen est nécessaire pour comprendre la fonction du microbiome et son interaction avec l'animal hôte et ses aliments. De plus, il fournira une base pour les modèles d'intégration microbiome-hôte et bénéficiera aux stratégies cherchant à diminuer l'action polluantes des ruminants et à les rendre plus robustes et rentables.
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Lecomte, C., et E. Thibout. « Analyse, dans deux types d'olfactomètres, du comportement de quête des femelles deDiadromus pulchellus en présence d'odeurs du phytophage-hôte et du végétal attaqué ou non ». Entomophaga 31, no 1 (mars 1986) : 69–78. http://dx.doi.org/10.1007/bf02390921.

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Gaur, Hari, Jack Beane et Roland Perry. « The influence of root diffusate, host age and water regimes on hatching of the root-knot nematode, Meloidogyne triticoryzae ». Nematology 2, no 2 (2000) : 191–99. http://dx.doi.org/10.1163/156854100509088.

Texte intégral
Résumé :
Abstract The root-knot nematode, Meloidogyne triticoryzae, produces three kinds of unhatched second stage juveniles (J2): i) those that hatch freely in water, ii) those that require stimulus from rice root diffusate (RRD), and iii) those that do not hatch even in the presence of RRD. The proportion of these three types varies with generation, with the final generation produced on senescing plants having a large proportion of unhatched J2 of the third type, which is likely to equate with diapause. Dilution of RRD reduced its hatching activity and there is no evidence of the presence of inhibitors in the diffusate. The hatching response of M. triticoryzae may be modified additionally by the growing conditions: submergence of infected plants may have delayed hatch, possibly by causing anoxybiosis in unhatched J2, and thereby delayed the appearance of the second and third generations of the nematodes. Le nématode Meloidogyne triticoryzae produit trois types de juvéniles de 2ème stade (J2) non encore éclos: i) ceux qui éclosent d’eux-même dans l’eau; ii) ceux qui requièrent le stimulus produit par le diffusat radiculaire de riz (RRD); enfin iii) ceux qui n’éclosent pas même en présence de RRD. La proportion de ces trois types varie avec la génération du nématode, la dernière génération, produite sur un hôte sénescent, contenant une grande proportion de J2 non éclos de type 3, ce fait représentant l’équivalent d’une diapause. La dilution du RRD diminue l’éclosion et aucune évidence d’inhibiteurs n’a été relevée dans le diffusat. Chez M. triticoryzae l’éclosion peut de plus être modifiée par les conditions de croissance de l’hôte; ainsi la submersion des plants infestés peut retarder l’éclosion, l’anoxybiose ainsi induite affectant vraisemblablement les J2 non éclos et retardant de ce fait l’apparition des deuxième et troisième générations du nématode.
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SAULNIER, D., Y. REYNAUD, I. ARZUL, L. MIOSSEC, F. LE ROUX et C. GOARANT. « Émergence de maladies chez les organismes d’intérêt aquacole : quelques scénarios illustrés d’exemples ». INRAE Productions Animales 20, no 3 (7 septembre 2007) : 207–12. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2007.20.3.3456.

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Résumé :
Selon l’Office International des Epizooties (OIE) une maladie émergente désigne une maladie grave récemment reconnue, dont la cause peut, ou non, avoir déjà été établie, et qui est susceptible de se propager au sein d’une population ou entre des populations, par exemple à l’occasion d’échanges internationaux d’animaux aquatiques et/ou de produits d’animaux aquatiques. Si les maladies émergentes qui affectent la santé humaine ont été très étudiées, celles qui touchent les organismes marins et les organismes aquacoles d’intérêt économique en particulier sont en revanche peu documentées. C’est en restreignant l’émergence aux seules maladies infectieuses que seront présentés de façon non exhaustive quelques scénarios de l’émergence des maladies chez les organismes d’intérêt aquacole en les illustrant par trois exemples disponibles dans la littérature scientifique : l’un relatif à l’apparition d’un agent pathogène chez un nouvel hôte avec le cas de l’herpesvirus de la carpe Koï, l’autre à l’évolution d’un agent pathogène existant avec le cas de la vibriose à Vibrio nigripulchritudo sévissant dans les élevages de crevettes pénéides de Nouvelle-Calédonie et enfin le dernier lié à l’introduction d’un pathogène préexistant avec le cas de Bonamia ostreae infectant l’huître plate Ostrea edulis. Les causes d’émergence de maladies sont multiples et font intervenir de façon intercurrente l’agent pathogène, l’environnement, l’hôte ou les espèces hôtes et des facteurs anthropiques. Dans le milieu marin, ces causes sont bien souvent méconnues. Dans ce contexte le développement des réseaux de surveillance et des techniques de diagnostic revêtent un intérêt considérable afin d’anticiper, de prévenir et/ou d’intervenir sur l’émergence des maladies en limitant leur conséquences sanitaires, écologiques et politiques.
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Barnes, Leslie. « Linda Lê, On Writing and Not Writing ». PORTAL Journal of Multidisciplinary International Studies 15, no 1-2 (23 août 2018) : 20–30. http://dx.doi.org/10.5130/portal.v15i1-2.5722.

Texte intégral
Résumé :
Linda Lê has noted that writing shapes her identity more than any origins or affiliations, a knowledge which she claims allows her to occupy with ease the illegitimate spaces between homeland and adopted country, between belonging and unbelonging. But Lê’s work regularly stages the encounter between writing and not writing – juxtaposing the writer and the blank page, inspiration and silence – and figures the act of writing as a symbiotic relationship between a parasite and its host. This paper will examine these themes in two of Lê’s novels: Un si tendre vampire (1987) and Conte de l’amour bifrons (2005). Focusing on the figure of l’oiseau de mauvais augure and drawing on the dialogues between Lê and the silenced writers to whom she looks for inspiration in her nonfiction essays, I will present the inability to write not as the opposite of literary inspiration, but as it's double. The double is an equally recurrent image in Lê’s writing, often represented by the figure of Janus, or the God of beginnings and endings. I will suggest that the bird of ill omen is another Janus figure, the (imagined) presence who embodies both inspiration and its loss, and who is the necessary double within each writer. Linda Lê prétend qu’écrire lui est plus cher que les origines or l’appartenance à une telle communauté, une attitude qui, selon elle, lui permet d’occuper aisément les espaces illégitimes entre le pays natal et le pays adopté, entre appartenir et non-appartenir. Mais dans ses écrits, elle met régulièrement en scène la rencontre entre écrire et ne pas écrire – juxtaposant l’écrivain et la page blanche, l’inspiration et le silence – et elle représente l’acte d’écrire comme un rapport symbiotique entre un parasite et son hôte. Dans cet article nous examinons ces thèmes dans deux romans de Lê : Un si tendre vampire (Table Ronde, 1987) et Conte de l’amour bifrons (Christian Bourgois, 2005). En nous penchant sur le personnage de l’oiseau de mauvais augureet en faisant appel aux dialogues dans ses essais de non-fiction entre l’auteur et les écrivains réduits au silence qui l’inspirent, nous suggérons que ne pas écrire n’est pas l’opposé d’écrire, mais son double. Le double est également omniprésent dans l’œuvre de Lê, souvent représenté par Janus Bifrons, le dieu des commencements et des fins. Dans son exploration métatextuelle du travail de l’écrivain, Lê dramatise la possibilité de ne pas écrire, paradoxalement garantissant l’acte d’écrire.
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MULSANT, P. « Glossaire général ». INRAE Productions Animales 24, no 4 (8 septembre 2011) : 405–8. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2011.24.4.3273.

Texte intégral
Résumé :
Allèle : une des formes alternatives d'un locus. Dans une cellule diploïde, il y a deux allèles pour chaque locus (un allèle transmis par chaque parent), qui peuvent être identiques. Dans une population, on peut avoir plusieurs allèles pour un locus.Annotation structurale : repérage des coordonnées des diverses structures dans le génome, telles que les gènes.Annotation fonctionnelle : renseignements sur les fonctions des séquences, le plus souvent pour les gènes.BAC : Bacterial Artificial Chromosome. Vecteur de clonage permettant l’obtention de clones bactériens contenant un grand fragment d’ADN génomique (taille > 100 kb*). Les BAC assemblés en contigs* sont à la base des cartes physiques du génome.Carte cytogénétique : carte des chromosomes. Réalisée par localisation visuelle (FISH*) au microscope de fragments d’ADN sur les chromosomes au stade métaphase de la mitose.Carte d’hybrides irradiés : réalisée en testant par PCR la présence ou l’absence de fragments d’ADN dans une collection de clones d’hybrides irradiés (RH*). Deux fragments d’ADN sont proches sur le génome s’ils sont trouvés fréquemment dans les mêmes clones.Carte génétique : obtenue par l’étude de la ségrégation dans des familles ou des populations, de marqueurs polymorphes, soit moléculaires, soit phénotypiques, deux séquences étant d’autant plus proches qu’elles sont souvent transmises ensemble lors de la méiose.Clonage positionnel : stratégie visant à identifier un gène responsable de l’expression d’un phénotype en utilisant des informations de position sur le génome.Contig : ensemble de clones (le plus souvent des BAC*) ou de lectures de séquence ordonnés grâce à des informations sur leur parties chevauchantes.Cosmide : vecteur de clonage permettant l’obtention de clones bactériens contenant des fragments d’ADN génomique de taille avoisinant les 50 kb*.CNV : Copy Number Variation ; polymorphisme du génome correspondant à la variation du nombre de copies d’une séquence, pouvant dans certains cas contenir un ou plusieurs gènes.Déséquilibre gamétique : pour deux loci quelconques, c'est le fait que la fréquence des haplotypes* estimée pour tous les gamètes est différente de celle attendue à partir du produit des fréquences alléliques de chaque locus. Synonyme : déséquilibre de liaison. Contraire de : équilibre gamétique.Dominance : qualificatif de l’effet d'un allèle, dont une copie suffit à l'expression du phénotype* approprié. L’allèle A est dominant sur l’allèle a si l’hétérozygote* Aa a le même phénotype* que l’homozygote AA.EST : Expressed Sequence Tag : séquences étiquettes (partielles) de transcrit, obtenues par séquençage aléatoire d’ARN.Evaluation génomique : évaluation de la valeur génétique d’individus d’après leurs génotypes pour un ensemble de loci distribués sur le génome, d’après des équations établies à partir des performances d’individus de référencephénotypés et génotypés.Expression génique : études visant à estimer le niveau de production (expression) des gènes en fonction d’états physiologiques ou de tissus différents.Exon : fraction de la partie codante d’un gène eucaryote. Les gènes des organismes eucaryotes sont le plus souvent fractionnés en plusieurs séquences d’ADN dans le génome, les exons, séparés entre eux par d’autres séquences (introns*).FISH : Fluorescent In Situ Hybridisation. Hybridation de sondes d’ADN marquées à l’aide d’un fluorochrome, sur des chromosomes au stade métaphase de la mitose. Permet la réalisation de la carte cytogénétique.Fingerprinting : technique permettant d’estimer très grossièrement la similarité entre des séquences d’ADN sans les séquencer, par la comparaison des longueurs de bandes produites par des enzymes de restriction coupant l’ADN à des sites précis.Fosmide : vecteur de clonage permettant l’obtention de clones bactériens contenant des fragment d’ADN génomique de taille déterminée et égale à 40 kb*.FPC : FingerPrint Contig* ; contig* de clones (généralement des BAC*) ordonnés par la technique du fingerprinting, afin d’obtenir une carte physique du génome.Génotype 1 : constitution génétique d'un individu. 2. Combinaison allélique* à un locus particulier, ex: Aa ou aa.Haplotype : combinaison allélique spécifique pour des loci appartenant à un fragment de chromosome défini.Héritabilité au sens strict : proportion de la variance phénotypique due à la variabilité des valeurs génétiques = proportion de la variance phénotypique due à la variance génétique additive.Hétérozygote : individu ayant des allèles non identiques pour un locus* particulier ou pour plusieurs loci. Cette condition définit l’ «hétérozygotie». Contraire de: homozygote.Homologues : séquences similaires en raison d’une origine évolutive commune.Hybride irradié : cellule hybride obtenue par fusion entre cellules hôte d’une espèce et donneuse d’une autre espèce, contenant une fraction aléatoire du génome de l’espèce donneuse, après cassures par irradiation, reconstitution aléatoire de chromosomes ou insertion dans des chromosomes de la cellule hôte et rétention partielle. Deux séquences proches sur le génome sont en probabilité dans les mêmes clones RH*, tandis que deux séquences distantes ont une probabilité faible d’être conservées ensemble.IBD : pour identity by descent. Identité entre deux chromosomes (ou parties de chromosomes), liée à leur descendance d’un même chromosome ancestral.Indel : Insertion – deletion ; polymorphisme de présence ou absence d’un ou plusieurs nucléotides.Intron : séquence non-codante dans les gènes, séparant les exons, qui codent pour une protéine.Kb : kilobase ; séquence de mille paires de bases (pb*).Locus (pl. : loci) : Site sur un chromosome. Par extension, emplacement d’un gène ou d’un marqueur génétique sur un chromosome.Marqueur génétique : séquence d'ADN dont le polymorphisme est employé pour identifier un emplacement particulier (locus) sur un chromosome particulier.Mate-pair : séquences appariées (1 à 10 kb* de distance), produites en circularisant les fragments d’ADN, puis par séquençage à travers le point de jointure.Mb : mégabase ; séquence d’un million de paires de bases (pb*) de longueur.Orthologues : séquences homologues* entre deux espèces.Paired-end : séquences appariées produites par la lecture des deux extrémités de courts fragments d’ADN (moins de 500 pb*) dans le cas des nouvelles technologies de séquençage.Paralogues : séquences homologues* résultat de la duplication d’une séquence ancestrale dans le génome. Il s’agit de deux (ou plus) séquences similaires par homologie dans un même génome.Pb : paire de base ; unité de séquence d’ADN, représentée par une base et sa complémentaire-inverse sur l’autre brin.Phénotype : caractère observable d'un individu résultant des effets conjugués du génotype et du milieu.Phylogénomique : utilise les méthodes de la génomique et de la phylogénie. Par la comparaison de génomes entiers, permet de mettre en évidence des pertes et gains de gènes dans les génomes, ainsi que leur variabilité moléculaire, afin (entre autres buts) d’aider à prédire leur fonctions.Plasmide : vecteur de clonage permettant l’obtention de clones bactériens contenant des fragment d’ADN génomique de taille allant de 500 pb* à 10 kb* environ.Polymorphisme d'ADN : existence de deux ou de plusieurs allèles* alternatifs à un locus.Puce à ADN ou puce pangénomique : Système permettant pour un individu le génotypage simultané de très nombreux marqueurs génétiques (de quelques milliers à quelques centaines de milliers).QTL : abréviation de locus à effets quantitatifs (de l’anglais Quantitative Trait Locus).Récessivité : qualificatif de l’effet d'un allèle, où l'homozygotie* est nécessaire pour l'expression du phénotype* approprié. opposé de : dominance*.RH : Radiation Hybrid (hybride irradié*)Sanger (méthode de) : méthode de séquençage publiée en 1977 (Sanger et al 1977) et encore utilisée de nos jours avec les séquenceurs à électrophorèse capillaire.Scaffold : ensemble de contigs* de séquence reliés entre eux par des informations apportées par des lectures appariées (mate-pairs* ou paired-ends*).Sélection assistée par marqueurs (abréviation : SAM) : utilisation d’un jeu restreint de marqueurs de l'ADN pour améliorer la réponse à la sélection dans une population : les marqueurs sont choisis comme étroitement liés à un ou plusieurs loci cibles, qui sont souvent des loci à effets quantitatifs ou QTL*.SNP : polymorphisme d'un seul nucléotide à une position particulière de la séquence d’ADN (abréviation de l’anglais Single Nucleotide Polymorphism).Supercontig : nom alternatif pour les scaffolds*.WGS : Whole Genome Shotgun ; production de lectures de séquence d’un génome entier de manière aléatoire.
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Silvain, Jean-François, Alain Kermarrec, Orville Marti, Alvin Simmons et Bernard Lalanne-Cassou. « Ectoparasitic nematodes (Aphelenchoidoidea : Acugutturidae) of Lepidoptera and Blattodea in Guadeloupe ». Nematology 2, no 6 (2000) : 669–84. http://dx.doi.org/10.1163/156854100509538.

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Résumé :
AbstractA total of 935 Lepidoptera, primarily moths of the family Noctuidae, were collected during two surveys (1985-86 and 1996) in Guadeloupe and examined for the presence of ectoparasitic nematodes, Noctuidonema Remillet & Silvain, or Vampyronema Hunt (Aphelenchoidoidea: Noctuidonematinae). Nematodes were found on 24 of 84 species of Noctuidae, two of four species of Sphingidae and one of ten species of Geometridae. New host records are reported for 19 species of Lepidoptera in Guadeloupe and one in the United States. Noctuidonema occurred more frequently on the Noctuidae than on other families of Lepidoptera. More infested moths, particularly males, were collected from xerophilic habitats than from mesophilic-hygrophilic habitats, and more were collected during the dry season than during the rainy season. A total of 94 Blattodea (Periplaneta americana L.) were collected in 1996-97 from French Guiana, Guadeloupe, Mexico, and Saint Lucia, and were examined for the presence of Acugutturus parasiticus Hunt, an ectoparasite of that species. A. parasiticus, previously known only from P.americana from Saint Lucia, was found again on that island, as well as in Guadeloupe, but not on P. americana collected from French Guiana or Mexico. The host list of Insecta (Lepidoptera and Blattodea) parasitised by ectoparasitic nematodes of the family Acugutturidae is emended and updated. At present, 69 species of Lepidoptera in 43 genera, 12 sub-families, and six families are known as hosts of Noctuidonema or Vampyronema. With the single exception of Spodoptera litura (F.) in East Java, all Lepidoptera species reported as hosts of ectoparasitic nematodes occur in the Americas or the Fiji islands. No systematic search has been conducted for ectoparasitic nematodes on Lepidoptera in tropical Africa or Asia. The importance of these nematodes in the ecology of Lepidoptera and Blattodea is largely unknown. Noctuidonema diabolia is transferred to the genus Vampyronema as Vampyronema diabolia n. comb. Nématodes (Aphelenchoidoidea: Acugutturidae) ectoparasites de Lepidoptera et de Blattodea en Guadeloupe - Un total de 935 Lépidoptères, principalement des papillons de la famille des Noctuidae, ont été capturés au cours de deux études (1985-86 et 1996) en Guadeloupe et examinés pour détecter la présence du nématodes ectoparasites, Noctuidonema Remillet & Silvain ou Vampyronema Hunt (Aphelenchoidoidea: Noctuidonematinae). Des nématodes ont été trouvés sur 24 des 84 espèces de Noctuidae, deux des quatre espèces de Sphingidae, et une des dix espèces de Geometridae. Ils ont été trouvés chez 19 espèces de Lépidoptères non signalés précédemment comme hôtes de nématodes ectoparasites en Guadeloupe, et chez une nouvelle espèce hôte aux EtatsUnis. Noctuidonema a été trouvé plus fréquemment sur les Noctuidae que sur d'autres familles de Lépidoptères. Davantage de papillons infestés (surtout des mâles) ont été capturés dans les habitats xérophiles que dans les habitats méso- et hygrophyles, de même plus de papillons infestés ont été capturés pendant la saison sèche que pendant la saison des pluies. Un total de 94 blattes (Periplaneta americana) ont été capturés en 1996-97 en Guadeloupe, en Guyane française, au Mexique et à Sainte Lucie et ont été examinées pour détecter la présence d'A. parasiticus, un nématode ectoparasite de cette espèce. A. parasiticus, précédemment décrit uniquement sur P.americana à Sainte Lucie, a été trouvé à nouveau sur cette île et également en Guadeloupe. Par contre, cette espèce n'a pas été trouvée sur P.americana au Mexique ni en Guyane française. La liste des insectes parasités par les nématodes ectoparasites de la famille des Acugutturidés est modifiée et mise à jour. Actuellement, 69 espèces de Lépidoptères dans 43 genres, 12 sous-familles et six familles sont connues comme hôtes de Noctuidonema. A l'exception de Spodoptera litura (F.) trouvé dans l'est de l'île de Java, toutes les espèces de Lépidoptères signalées comme hôtes de Noctuidonema ou de Vampyronema se trouvent en Amérique ou aux îles Fidji. Aucune recherche systématique n'a été entreprise pour rechercher les nématodes ectoparasites des Lépidoptères en Afrique tropicale ou en Asie et l'importance de ces nématodes dans l'écologie des Lépidoptères est en grande partie inconnue. On a transfer Noctuidonema diabolia au genre Vampyronema comme Vampyronema diabolia n. comb.
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Lacan, Camille. « Comment la préférence envers les lettres du nom influence le choix d’un pair dans l’économie P2P ». Recherche et Applications en Marketing (French Edition), 5 septembre 2023. http://dx.doi.org/10.1177/07673701231188612.

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Cette recherche examine et étend la compréhension du name-letter effect – ou préférence implicite de l’individu envers les lettres de son nom (PLN) – lors du choix d’un pair au sein de l’économie P2P. En s’appuyant sur la cognition implicite du consommateur, une étude est conduite sur un échantillon de grande taille pour améliorer la validité interne et externe, qui ne sont pas clairement établies dans la littérature existante. Cette recherche met en évidence l’influence de la PLN dans les choix réels des consommateurs et révèle qu’il s’agit d’un antécédent important du choix d’un pair. Les consommateurs sur Airbnb préfèrent significativement réserver un logement auprès d’un hôte dont le prénom ressemble au leur (sur la base d’initiales communes ou de lettres non ordonnées communes) plutôt qu’à tout autre hôte. La PLN augmente avec le nombre de lettres partagées, dans le cas d’un logement du premier niveau de prix et lorsque la proximité avec l’hôte est élevée. Ces résultats indiquent le rôle majeur de cette préférence implicite envers la similarité des noms et induisent d’importantes implications pratiques et éthiques pour le marketing de la personnalisation des systèmes de recommandation.
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Cornish, Francis. « Anaphoriques en première mention : « Épiphénomène », ou modèle pour le fonctionnement de l’anaphore ? » Journal of French Language Studies, 6 novembre 2023, 1–22. http://dx.doi.org/10.1017/s0959269523000224.

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RÉSUMÉ Deux manifestations d’anaphoriques fonctionnant « sans antécédent » (l’exophore et l’anaphore indirecte) sont analysées afin de mettre en évidence le fonctionnement véritable de l’anaphore. Nous verrons ainsi la manière dont ceux-ci réalisent une référence dépendante, non par le biais d’un élément particulier de leur co-texte (un « antécédent » conventionnel), mais plutôt en fonction d’une représentation discursive déjà installée en mémoire de travail. Celle-ci aura été évoquée dans l’interaction par les participants dans un événement communicatif, et sera supposée saillante au moment du renvoi. Seront examinées dans ce sens les contributions des valeurs de genre portées par des pronoms anaphoriques, les propriétés intrinsèques de ceux-ci, la pertinence des « noms de base » pour les pronoms employés ainsi, puis le rôle de la prédication « hôte » dans son ensemble. Ainsi « libérés » de la contrainte d’une mise en relation préalable avec un « antécédent » textuel, leur contribution à la gestion et à l’évolution du discours sera plus aisément perceptible.
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Vignoles, Philippe, Philippe Hourdin, Daniel Rondelaud et Gilles Dreyfuss. « Répartition des métacercaires de quatre Digènes dans des cressonnières naturelles traversées par de l’eau courante ». Tome 29 | 2020, no 29 (11 décembre 2020). http://dx.doi.org/10.25965/asl.1056.

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Plusieurs espèces de Digènes utilisent le mollusque Galba truncatula comme hôte intermédiaire pour le développement de leurs formes larvaires. Les cercaires, qui sont émises par la limnée, s’enkystent sur diverses plantes aquatiques comme le cresson. Si la liste de ces plantes hôtes est assez bien connue à l’heure actuelle, aucune information n’est, par contre, disponible sur la dispersion et la distribution de ces cercaires par rapport à l’espèce de la plante hôte. Des investigations ont donc été réalisées pendant trois années dans 14 cressonnières naturelles situées dans des rigoles de drainage superficiel et traversées par de l’eau courante. Dans chaque rigole, la population de G. truncatula vivait autour de l'émergence d'une source, tandis que la cressonnière était située plus en aval sur le cours même de la rigole. Cinq espèces végétales ont été récoltées au début du mois d'avril et examinées au stéréomicroscope pour y trouver des métacercaires. Des kystes appartenant à quatre Digènes : Calicophoron daubneyi, Fasciola hepatica, Notocotylus sp. et un Echinostomatidé non identifié ont été observés sur ces plantes. La plupart d’entre eux ont été observés sur Nasturtium officinale (243 sur 48,7 kg de feuilles et de tiges égouttées), suivis par Helosciadium nodiflorum (164 sur 33,4 kg). Sur les autres espèces végétales, il y avait peu de larves : de 18 à 25 par espèce. La plupart des cercaires de F. hepatica, de Notocotylus sp. et de l’Echinostomatidé se sont enkystées sur les feuilles supérieures et la zone des tiges situées juste sous la surface de l’eau, tandis que celles de C. daubneyi se sont fixées sur les feuilles basales et le collet des plantes. De plus, les plantes, sur lesquelles la plupart des cercaires se sont enkystées, poussaient dans la partie la plus en amont de chaque cressonnière (habituellement sur les premiers 50 cm de longueur). Lorsque l'eau courante dans les cressonnières était plus rapide, la distribution des métacercaires était plus limitée et leur nombre était inférieur à celui observé dans les stations alimentées par un lent débit d'eau. Les plantes qui poussent sur la section la plus en amont d'une cressonnière située dans une rigole de drainage superficiel sont les plus utilisées par les cercaires des quatre Digènes pour leur enkystement. La vitesse du courant d'eau affecte le nombre et la distribution des métacercaires dans une cressonnière.
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Nizeyimana, Jean Baptiste, Jean Marie Mabée et Jean Marie Zongo. « Étude des conditions de depistage clinique et les effets psycho socioeconomique des personnes porteuses de l’elephantiasis des jambes. cas de l’arrondissement de guidiguis cas de la region de l’extreme-nord cameroun de 2017-2020 ». RUFSO Journal of Social Sciences and Engineering 26, no 03 (7 juillet 2021). http://dx.doi.org/10.55272/rufso.rjsse.26.3.1.

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La filariose lymphatique, communément appelée éléphantiasis, est une maladie tropicale négligée. L’infection se produit lorsque les parasites filaires responsables de la maladie sont transmis à l’homme par des moustiques. Généralement contractée dans l’enfance, cette infection provoque une altération non apparente du système lymphatique. Les manifestations visibles, douloureuses et gravement dé-figurantes de la maladie, à savoir le lymphœdème, l’éléphantiasis et la tuméfaction du scrotum, n’apparaissent que plus tard dans la vie et peuvent entraîner un handicap permanent. Outre ce handicap physique, la maladie a des répercussions négatives sur la santé mentale, la vie sociale et la situation financière des patients, contribuant à leur stigmatisation et à leur pauvreté. En 2018, 893 millions de personnes dans 49 pays vivaient dans des zones où une chimio prévention était nécessaire pour mettre un terme à la propagation de l’infection. Selon les estimations initialement établies sur la filariose lymphatique dans le monde, 25 millions d’hommes étaient atteints d’hydrocèle et plus de 15 millions de personnes souffraient de lymphœdème. Au moins 36 millions de personnes continuent de présenter ces manifestations chroniques de la maladie. L’élimination de la filariose lymphatique permet de prévenir des souffrances inutiles et contribue à la réduction de la pauvreté. La filariose lymphatique résulte de l’infestation par des nématodes (vers) parasites appartenant à la famille des Fil arides. Ces vers filaires, d’apparence filiforme, sont de 3 types : Wuchereria bancrofti, qui est responsable de 90 % des cas ; Brugia malayi, qui est à l’origine de la plupart des cas restants ; Brugia timori, qui provoque aussi la maladie dans certains cas. Les vers adultes se logent dans les vaisseaux lymphatiques et altèrent les fonctions du système lymphatique. Ils ont une longévité d’environ 6 à 8 ans et, au cours de leur vie, produisent des millions de microfilaires (larves immatures) qui circulent dans le sang. Les moustiques sont infestés par les microfilaires lorsqu’ils piquent un hôte infecté et ingèrent son sang. Les microfilaires se développent à l’intérieur du moustique jusqu’à devenir des larves infestantes. Lorsqu’une nouvelle personne est piquée par le moustique fecté, les larves matures du parasite sont déposées sur sa peau et peuvent alors s’introduire dans son organisme. Les larves migrent ensuite vers les vaisseaux lymphatiques où elles parviennent à maturité, perpétuant ainsi le cycle de transmission. La filariose lymphatique est transmise par différents types de moustiques, notamment les moustiques Culex, largement répandus dans les zones urbaines et semi-urbaines, les moustiques Anopheles, essentiellement présents dans les zones rurales, et les moustiques Aedes, que l’on trouve principalement dans les îles du Pacifique où la maladie est endémique.
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Singleton, Michael. « Culte des ancêtres ». Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.092.

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Les plus observateurs de la première génération de missionnaires, de militaires et de marchands européens à avoir sillonné l’Afrique des villages avaient souvent remarqué qu’à proximité de la maisonnée tôt le matin leur vénérable hôte versait dans un tesson de canari, parfois logé à l’intérieur d’un modeste édicule, un peu de bière ou y laissait un morceau de viande tout en s’adressant respectueusement à un interlocuteur invisible. La plupart de ces ethnographes amateurs de la première heure ont automatiquement conclu qu’il s’agissait d’un rite d’offrande sacrificielle accompli par un prêtre sur l’autel d’un petit temple où étaient localisés des esprits d’ancêtres (qu’on distinguait des purs esprits ancestraux). A leurs yeux judéo-chrétiens et gréco-latins, ce culte répondait à une religiosité primitive axée autour de la croyance dans la survie (immatérielle) des âmes (immortelles) qui, implorées en prière par les vivants, pouvaient, grâce à Dieu, venir en aide aux leurs. The medium is the message En inventoriant et analysant ainsi le phénomène en des termes sacrés on ne pouvait pas tomber plus mal ou loin d’une plaque phénoménologique qu’en l’absence in situ de la dichotomie occidentale entre le naturel et le surnaturel, on ne saurait même pas décrire comme « profane ». Emportés par des préjugés ethnocentriques peu problématisés, même des anthropologues occidentaux ou occidentalisés (mais y en a-t-il d’autres ?), ont désigné comme « le culte religieux des esprits ancestraux » une philosophie et pratique indigènes qui, au ras des pâquerettes phénoménologiques, ne représentaient que l’expression conceptuelle et cérémonielle des rapports intergénérationnels tels que vécus dans un certain mode historique de (re)production agricole. Préprogrammés par leur héritage chrétien, même s’ils n’y croyaient plus trop, les premiers observateurs occidentaux de la scène africaine se sont sentis obligés d’y localiser une sphère du sacré et du religieux bien distincte d’autres domaines clôturés par leur culture d’origine dont, entre autres, l’économique, le social ou le politique. Je parle des seuls Européens à l’affut savant et non sectaire des traits univoques d’une religiosité universelle qu’ils estimaient relever d’une nature religieuse censée être commune à tous les hommes. Car il faut passer sous le silence qu’ils méritent les Occidentaux qui, en laïques rabiques ou croyants fondamentalistes traitaient ce qu’ils voyaient de stupidités sauvages voire de superstitions sataniques. Néanmoins, faisons écho du meilleur des ethnographes ecclésiastiques qui ont cru bon de voir dans le phénomène des relents soit d’une Révélation Primitive (Uroffenbarung) soit des jalons vers la vraie Foi. Car en filigrane dans le mânisme (un terme savant renvoyant aux mânes des foyers romains) ils pensaient pouvoir lire la croyance en le monothéisme et en l’immortalité individuelle ainsi que le pendant de l’intercession médiatrice entre les Saints voire des Ames du Purgatoire et Dieu – autant de dogmes du XIXe siècle auxquels désormais peu de Chrétiens critiques souscrivent et qui, de toute évidence ethnographique n’avaient aucun équivalent indigène. L’anthropologie n’est rien si ce n’est une topologie : à chaque lieu (topos) sa logique et son langage. Or, d’un point de vue topographique, le lieu du phénomène qui nous préoccupe n’est ni religieux ni théologique dans le sens occidental de ces termes, mais tout simplement et fondamentalement gérontologique (ce qui ne veut pas dire « gériatrique » !). En outre, son langage et sa logique relèvent foncièrement de facteurs chronologiques. A partir des années 1950, je me suis retrouvé en Afrique venant du premier Monde à subir les conséquences sociétales d’un renversement radical de vapeur chronologique. Depuis l’avènement de la Modernité occidentale les acquis d’un Passé censé absolument parfait avaient perdu leur portée paradigmatique pour être remplacés par l’espoir d’inédits à venir – porté par les résultats prometteurs d’une croissance exponentielle de la maitrise technoscientifique des choses. Au Nord les jeunes prenant toujours davantage de place et de pouvoir, les vieillissants deviennent vite redondants et les vieux non seulement subissent une crise d’identité mais font problème sociétal. C’est dire que dans le premier village africain où en 1969 je me suis trouvé en « prêtre paysan » chez les WaKonongo de la Tanzanie profonde j’avais d’abord eu mal à encaisser la déférence obséquieuse des jeunes et des femmes à l’égard de ce qui me paraissait la prépotence prétentieuse des vieux. Les aînés non seulement occupaient le devant de la scène mais se mettaient en avant. Toujours écoutés avec respect et jamais ouvertement contredits lors des palabres villageois, ils étaient aussi les premiers et les mieux servis lors des repas et des beuveries. Un exemple parmi mille : en haranguant les jeunes mariés lors de leurs noces il n’était jamais question de leur bonheur mais de leurs devoirs à l’égard de leurs vieux parents. Mais j’allais vite me rendre compte que sans le savoir-faire matériel, le bon sens moral et la sagesse « métaphysique » des aînés, nous les jeunes et les femmes de notre village vaguement socialiste (ujamaa) nous ne serions pas en sortis vivants. Les vieux savaient où se trouvaient les bonnes terres et où se terrait le gibier ; ils avaient vécu les joies et les peines de la vie lignagère (des naissances et des funérailles, des bonnes et des mauvaises récoltes, des périodes paisibles mais aussi des événements stressants) et, sur le point de (re)partir au village ancestral tout proche (de rejoindre le Ciel pour y contempler Dieu pour l’Eternité il n’avait jamais été question !) ils étaient bien placés pour négocier un bon prix pour l’usufruit des ressources vitales (la pluie et le gibier, la fertilité des champs et la fécondité des femmes) avec leurs nus propriétaires ancestraux. En un mot : plus on vieillit dans ce genre de lieu villageois, plus grandit son utilité publique. Si de gérontocratie il s’agit c’est à base d’un rapport d’autorité reconnu volontiers comme réciproquement rentable puisque dans l’intérêt darwinien de la survie collective et aucunement pour euphémiser une relation de pouvoir injustement aliénant. La dichotomie entre dominant et dominé(e) est l’exception à la règle d’une vie humaine normalement faite d’asymétries non seulement acceptées mais acceptables aux intéressé(e)s. Les WaKonongo ne rendaient pas un culte à leurs ancêtres, ils survivaient en fonction d’un Passé (personnifié ou « fait personne » dans les ainés et les aïeux) qui avait fait ses preuves. Pour être on ne saurait plus clair : entre offrir respectueusement les premières calebasses de bière aux seniors présents à une fête pour qu’ils ne rouspètent pas et verser quelques gouttes du même breuvage dans un tesson pour amadouer un ancêtre mal luné et fauteur de troubles et qu’on a fait revenir du village ancestral pour l’avoir à portée de main, n’existe qu’une différence de degré formel et aucunement de nature fondamentale. Dans les deux cas il s’agit d’un seul et même rapport intergénérationnel s’exprimant de manière quelque peu cérémonieuse par des gestes de simple politesse conventionnelle et aucunement d’une relation qui de purement profane se transformerait en un rite religieux et profondément sacré. Pour un topologue, le non-lieu est tout aussi éloquent que le lieu. Dans leurs modestes bandes, les Pygmées vivent entièrement dans le présent et dans l’intergénérationnel acceptent tout au plus de profiter des compétences effectives d’un des leurs. Il ne faut pas s’étonner qu’on n’ait trouvé chez eux la moindre trace d’un quelconque « culte des ancêtres ». Cultivant sur brûlis, allant toujours de l’avant de clairière abandonnée en clairière défrichée les WaKonongo, voyageant légers en d’authentiques nomades « oubliaient » leurs morts derrière eux là où des villageois sédentaires (à commencer par les premiers de l’Anatolie) les avaient toujours lourdement à demeure (ensevelis parfois dans le sous-sol des maisons). Le passage d’un lieu à un lieu tout autre parle aussi. Quand le savoir commence à passer sérieusement à la génération montante celle-ci revendique sa part du pouvoir et de l’avoir monopolisés jusqu’alors par la sortante. En l’absence d’un système de sécurité sociale dépassant la solidarité intergénérationnelle du lignage cette transition transforme souvent la portée intégratrice de la gérontocratie en une structure pathogène. Aigris et inquiets par cette évolution, les vieux que j’ai connu au milieu des années 1980 dans des villages congolais, de bons et utiles « sorciers » s’étaient métamorphosés en vampires anthophages. Dans des contextes urbains des pays où l’Etat est faible et la Famille par nécessité forte, l’enracinement empirique du phénomène bien visible au point zéro du petit village d’agriculteurs sédentaires, se trouve parfois masqué par des expressions fascinantes (tels que, justement, les ancêtres superbement masqués que j’ai côtoyé chez les Yoruba du Nigeria) ou à l’occasion folkloriques – je pense aux Grecs qui vont pique-niquer d’un dimanche sur les tombes familiales ou aux vieillards que j’ai vu en Ethiopie terminant leur vie au milieu des monuments aux morts des cimetières. Mais la raison d’être du phénomène reste familial et ne relève pas (du moins pas dans sa version initiale) d’une rationalité qui serait centrée « religieusement » sur des prétendues réalités onto-théologiques qui auraient pour nom Dieu, les esprits, les âmes. Enfin, sur fond d’une description réaliste mais globale du religieux, deux schémas pourraient nous aider à bien situer l’identité intentionnelle des différents interlocuteurs ancestraux. En partant du latin ligare ou (re)lier, le religieux en tant que le fait de se retrouver bien obligé d’interagir avec des interlocuteurs autres que purement humains (selon le vécu et le conçu local de l’humain), a lieu entre l’a-religieux du non rapport (donnant-donnant) ou du rapport à sens unique (le don pur et simple) et l’irréligieux (le « Non ! » - entre autre du libéralisme contractuel - à tout rapport qui ne me rapporte pas tout). Si le gabarit des interlocuteurs aussi bien humains que supra-humains varie c’est que la taille des enjeux dont ils sont l’expression symbolique (« sacramentaires » serait mieux puisqu’une efficacité ex opere operato y est engagée) va du local au global. Quand le réel est intra-lignager (maladie d’enfants, infertilité des femmes dans le clan) la solution symbolique sera négociée avec l’un ou l’autre aïeul tenu pour responsable. Par contre, quand le signifié (sécheresse, pandémie) affecte indistinctement tous les membres de la communauté, le remède doit être trouvé auprès des personnifications plus conséquentes. Ces phénomènes faits tout simplement « personnes » (i.e. dotés du strict minimum en termes de compréhension et de volonté requis pour interagir) avaient été identifiés autrefois avec le « dieu de la pluie » ou « l’esprit de la variole » mais mal puisque les épaisseurs ethnographiques parlaient ni de religion ou de théologie ni d’opposition entre matière et esprit, corps et âme, Terre et Ciel. Une communauté villageoise est fondamentalement faite de groupes lignagers – représentés par les triangles. En cas de malheurs imprévus (en religiosité « primitive » il est rarement question de bonheur attendu !) l’aîné du clan devinera qui en est responsable (un sorcier, un ancêtre ou « dieu » - nom de code personnalisé pour la malchance inexplicable). Il prendra ensuite les dispositions s’imposent –le cas échéant relocalisant à domicile un aïeul mauvais coucheur. Leurs ancêtres n’étant pas concernés, les patriarches de lignages voisins se montreront tout au plus sympathiques. La ligne du milieu représente le pouvoir ou mieux l’autorité du conseil informel des notables. Si, en haut de la pyramide, le chef figure en pointillé c’est qu’il n’a aucun rôle proprement politique mais fonctionne comme médiateur entre les villageois et les nus propriétaires ancestraux en vue de l’usufruit collectif de leurs ressources vitales (en particulier la pluie). En invoquant ses ancêtres, il remédiera aussi à des problèmes affectant tout le monde (la sécheresse, une épidémie, des querelles claniques, menace ennemi). En partant de l’étymologie ligare ou « lier » j’entends par « être religieux » le fait de se (re)trouver obligé en commun à interagir de manière cérémonielle mais asymétrique, avec des interlocuteurs à l’identité plus qu’humain (tel que défini selon la logique locale), afin de satisfaire des intérêts réciproques et pas d’alimenter la curiosité intellectuelle, alors la spirale représente le réseau des rapports proprement religieux. Dans ce sens on peut penser que les vivants villageois se comportent « religieusement » avec les morts vivants du lignage ou de l’ensemble ethnique. Autour de la ligne médiane ont lieu les relations entre hommes, elles aussi à la limite religieuses – délimitées, à droite, par l’a-religieux de l’étranger vite devenu l’ennemi à qui on ne doit rien et qui peut tout nous prendre, et, à gauche, par l’irréligieux de l’adversaire du dedans tel que le sorcier parmi les vôtres qui vous en veut à mort. En bas, il y a le monde dit par l’Occident, animal, végétal et minéral mais qui fait partie intégrante de la religion animiste. En haut se trouve un premier cercle d’interlocuteurs religieux ceux impliqués dans des affaires claniques. Plus haut, constellant l’ultime horizon religieux, on rencontre des interlocuteurs personnifiant des enjeux globaux – la pluie, le gibier, des pandémies… Logiquement, puisqu’elle n’est pas négociable, les Africains ont localisé hors toute réciprocité religieuse, une figure des plus insaisissables – de nouveau mal décrit comme deus otiosus puisqu’elle n’a rien de théologique et n’est pas tant inoccupé que peu préoccupé par le sort humain. Trois diapositives illustrent les trois types d’interlocuteurs : 1. Des édicules pour fixer à côté de la maisonnée des ancêtres lignagers et faciliter les échanges intéressés avec eux ; 2. Un tombeau royal associé grâce à la houe cérémoniale à la pluie ; 3. Un « temple » à la croisée des chemins en brousse où siège le Seigneur de la Forêt et les Animaux.
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