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1

Gaillard, Nathalie. « CAS en neurosciences de l'éducation : Fondements et pratiques ». Cortica 3, no 1 (20 mars 2024) : 355–88. http://dx.doi.org/10.26034/cortica.2024.4843.

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Résumé :
Cet article décrit la mise en place et l'évaluation d'ateliers sur la parentalité basés sur les neurosciences de l'éducation. L'auteure, une formatrice en neurosciences, a organisé ces ateliers dans le but de favoriser l'échange, le bien-être personnel et l'acquisition de connaissances chez les participants. Les ateliers étaient structurés autour de différents thèmes tels que la parentalité, l'apprentissage de l'enfant, la gestion des émotions, l'occupation de l'enfant, et le renforcement familial. L'article présente également l'évaluation de ces ateliers à travers l'utilisation d'un questionnaire d'auto-évaluation de la compétence parentale et des retours des participants. Les résultats ont montré une progression du sentiment de compétence parentale chez la plupart des participants, bien que des difficultés aient été rencontrées par certains. L'article conclut en soulignant l'importance de soutenir les parents dans leur rôle éducatif et en envisageant des perspectives pour l'avenir de ces ateliers.
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2

Seigneuric, Alix. « L’intersubjectivité : le point de vue des neurosciences et de la psychologie cognitive ». Perspectives Psy 58, no 2 (avril 2019) : 154–63. http://dx.doi.org/10.1051/ppsy/2019582156.

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Résumé :
Cet article se propose d’apporter l’éclairage des sciences cognitives et de la psychologie cognitive sur la question de l’intersubjectivité. La découverte des neurones miroirs chez le singe macaque dans les années 1990 constitue un événement majeur ouvrant de nouvelles perspectives de recherche sur l’intersubjectivité et la cognition sociale chez l’être humain. Les travaux se sont ainsi efforcés d’identifier l’existence de tels systèmes miroirs chez l’être humain et de préciser leur rôle et leur fonctionnement. En prenant appui sur de nombreux résultats exploitant les techniques de neuroimagerie, plusieurs modèles ont été proposés notamment celui de la « simulation incarnée » développé par Gallese dans les années 2000. La simulation incarnée, sous-tendue par les neurones miroirs, est décrite comme relevant d’un ensemble de mécanismes implicites et automatiques de résonance par réactivation des systèmes neuronaux d’un individu à partir de ce qu’il perçoit chez un autre individu. Ce système jouerait un rôle majeur dans la compréhension des actions et des émotions d’autrui et serait également impliqué dans la compréhension du langage. Par ailleurs son fonctionnement serait dépendant de variables individuelles et situationnelles. Cet aspect est illustré ici par deux exemples, l’un pris dans le domaine de la compréhension des émotions et l’autre, celui de la compréhension des textes.
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3

Huguet, P. « L’enfer c’est les autres : de la simple présence d’autrui aux stéréotypes sociaux (effets sur les performances cognitives) ». European Psychiatry 28, S2 (novembre 2013) : 11. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.026.

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Résumé :
Les activités mentales et processus neurobiologiques sous-jacents sont ancrés dans des contextes et des fonctionnements sociaux dont l’influence fait désormais l’objet de nombreux travaux expérimentaux en référence à la « cognition sociale » et aux « neurosciences cognitives, sociales et affectives ». Précisément, les travaux présentés dans notre communication contribuent à élucider comment certaines composantes élémentaires de la vie en société (simple présence des autres, évaluations de soi et comparaisons sociales interpersonnelles, stéréotypes sociaux) agissent sur les performances cognitives (attention, raisonnement, mémoire) à tous les âges de la vie. Nous rappellerons d’abord les effets attentionnels liés, chez l’homme et chez le primate non humain, à la présence des congénères [1–3] et leurs conséquences pratiques pour l’utilisation des tests neuropsychologiques impliquant en particulier les fonctions exécutives. Nous verrons ensuite comment des facteurs psychosociaux plus intégrés, comme certains stéréotypes sociaux en rapport avec le genre ou avec le vieillissement, influencent les performances des personnes stigmatisées (visées par ces stéréotypes), avec pour conséquence le maintien artificiel de certaines différences entre les deux sexes s’agissant notamment des compétences visuo-spatiales, ou entre personnes jeunes et âgées s’agissant de la mémoire et des capacités d’inhibition cognitive [4,5].
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Roy, Arnaud, et Céline Lancelot. « La prise de décision affective chez l'enfant ». Revue de neuropsychologie Volume 5, no 2 (1 août 2013) : 106–18. http://dx.doi.org/10.1684/nrp.2013.0260.

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Poirier, Nathalie. « La théorie de l’esprit de l’enfant autiste ». Santé mentale au Québec 23, no 1 (11 septembre 2007) : 115–29. http://dx.doi.org/10.7202/032440ar.

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Résumé :
RÉSUMÉ La théorie de l'esprit est la capacité de se représenter les désirs, croyances et intentions des autres. Cette capacité est acquise chez l'enfant vers l'âge de sept ans. Toutefois, cette théorie est déficitaire chez les personnes autistes ayant un âge mental équivalent ou supérieur à sept ans. Cette difficulté semble s'expliquer par un délai développemental spécifique au niveau du mécanisme de la pensée (Baron-Cohen, 1989a). Ce délai serait associé chez les personnes autistes à leurs critères diagnostiques propres, soit à leurs difAcuités cognitives (Baron-Cohen 1989b), à leurs habiletés langagières déficitaires (Sparrevohn et Howie, 1995) et à leurs altérations des interactions sociales (Holroyd et Baron-Cohen, 1993). Cet article propose une recension des écrits sur la problématique de la théorie de l'esprit ainsi qu'une description de deux autres approches, soit celles des fonctions executives et de la cohérence centrale.
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Guillain, André, et Charles Foxonet. « Proximité maternelle, compétences cognitives et stratégies de négociation interpersonnelle chez l'enfant de 18 à 24 mois ». Enfance 42, no 3 (1989) : 59–74. http://dx.doi.org/10.3406/enfan.1989.1891.

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Roy, Arnaud, Didier Le Gall, Jean-Luc Roulin et Nathalie Fournet. « Les fonctions exécutives chez l'enfant : approche épistémologique et sémiologie clinique ». Revue de neuropsychologie Volume 4, no 4 (1 janvier 2013) : 287–97. http://dx.doi.org/10.1684/nrp.2012.0242.

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Platel, Hervé. « La musique pour soutenir le neurodéveloppement ». Spirale N° 109, no 1 (14 août 2024) : 67–76. http://dx.doi.org/10.3917/spi.109.0067.

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Résumé :
Bien que la musique soit une activité retrouvée dans toutes les cultures humaines connues, il est compliqué de dégager des universaux de ses effets, au regard de la diversité des formes qu’elle peut prendre. Par ailleurs, dans une même culture, nous voyons bien que nous n’aimons pas tous les mêmes musiques. Et pourtant, les travaux des neurosciences cognitives démontrent, malgré ces différences interindividuelles, qu’il est possible d’identifier des effets assez universaux de l’impact neurocognitif de la pratique ou de l’écoute de la musique. Notamment, ces travaux ont permis d’étudier les mécanismes de neuroplasticité afin de rendre compte de l’effet de l’entraînement musical. Chez l’enfant, ces travaux concernent majoritairement l’impact de l’apprentissage musical en conservatoire, et montrent de manière récurrente un impact neurocognitif et des modifications de l’organisation structurale du cerveau au bout de quelques mois de pratique, comme cela a pu être retrouvé chez l’adulte. Par ailleurs, des études récentes s’intéressent aussi à la mesure des bénéfices cliniques des interventions musicales dans les services hospitaliers, que ce soit dans les services de néonatologie ou dans les institutions spécialisées accueillant des enfants porteurs de maladies neurodéveloppementales, apportant un appui sur l’impact objectif de ces pratiques qui ont été considérées pendant longtemps comme peu scientifiques.
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Vilayphonh, Marc, Céline Cavézian, Laurent Laloum, Maria de Agostini, Laurence Watier, Vivien Vasseur et Sylvie Chokron. « Évaluation des troubles visuo-attentionnels chez l'enfant de quatre à six ans ». Revue de neuropsychologie Volume 1, no 2 (1 juin 2009) : 110–19. http://dx.doi.org/10.1684/nrp.2009.0022.

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Muneaux, Mathilde, et Stéphanie Ducrot. « Traitement visuel chez l'enfant prématuré et atteinte du système magnocellulaire/dorsal : synthèse et perspectives ». Revue de neuropsychologie Volume 6, no 1 (22 avril 2014) : 17–24. http://dx.doi.org/10.1684/nrp.2014.0291.

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Maurage, P. « Impact émotionnel et cognitif du binge drinking ». European Psychiatry 30, S2 (novembre 2015) : S42—S43. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.120.

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Résumé :
Le binge drinking (c’est-à-dire la consommation excessive mais épisodique d’alcool, typique du milieu étudiant) constitue désormais un problème majeur de santé publique, en particulier chez les adolescents et jeunes adultes. Les conséquences psychologiques, interpersonnelles et sociétales de ce mode de consommation sont largement établies, mais ses effets cognitifs et cérébraux n’ont été investigués que durant cette dernière décennie. Il a ainsi été clairement montré, sur base d’études en neuropsychologie et en neurosciences, que les binge drinkers présentent des modifications marquées du fonctionnement cérébral. Cependant, ces études se sont centrées sur des tâches cognitives (explorant par exemple la mémoire, l’attention ou les fonctions exécutives) et les déficits émotionnels associés au binge drinking restent totalement inconnus malgré le rôle majeur joué par ces altérations dans le maintien des troubles liés à la consommation excessive d’alcool. Après un passage en revue des données relatives aux troubles cognitifs, nous présenterons ici des études récentes ayant exploré pour la première fois les déficits émotionnels dans le binge drinking ainsi que leurs corrélats cérébraux, sur base d’une approche multidisciplinaire combinant électrophysiologie et neuroimagerie. Les résultats montrent clairement que le binge drinking conduit, au-delà des altérations cognitives, à des déficits marqués pour le traitement de stimulations émotionnelles, déficits qui pourraient être impliqués dans le développement et le maintien des troubles liés à la consommation d’alcool. Enfin, les limites des connaissances actuelles seront décrites, de même que les perspectives majeures pour les recherches futures. En particulier, sur base de résultats obtenus récemment via une analyse en clusters sur une large population de binge drinkers, nous insisterons sur la nécessité de sortir de la vision unitaire du binge drinking afin de considérer les sous-types de binge drinkers, qui présentent de grandes variations aux niveaux psychologique et cognitif.
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Mallet, L. « ∑njeux de la πsychiatrie ℂomputationnelle ». European Psychiatry 30, S2 (novembre 2015) : S50—S51. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.143.

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Résumé :
La psychiatrie computationnelle est un champ émergent qui, dans le prolongement des évolutions récentes en neurosciences cognitives, cherche à comprendre les pathologies mentales par la modélisation des processus élémentaires de pensée et leurs dysfonctionnements. En explicitant l’implémentation neurobiologique des algorithmes utilisés par le cerveau humain pour choisir, percevoir, ou ressentir… D’une certaine façon, cette nouvelle approche de la physiopathologie psychiatrique a pour ambition de combler le « fossé explicatif » entre cerveau et esprit. L’approche computationnelle se base sur la confrontation entre des données neurophysiologiques (IRM, EEG, MEG, électrophysiologie) acquises à chaque niveau de description du cerveau (récepteurs, neurones, réseaux, aires corticales) et les variables cachées prédites par des modèles ajustés aux comportements humains observables. Ce point de vue permet une approche transnosographique des symptômes psychiatriques qui peuvent être reconsidérés et caractérisés en termes de traitements pathologiques de l’information. Ces principes seront illustrés pour montrer :– comment cette approche permet de mieux comprendre l’émergence des processus élémentaires de pensée à partir de réseaux neuraux distribués, à contre-pied des approches néophrénologiques ;– illustrer comment ce type d’approche permet l’étude de l’architecture neurobiologique des processus de prise de décision chez l’homme ;– montrer l’intérêt des modèles bayésiens pour comprendre l’émergence des idées délirantes dans la schizophrénie.
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Servière, Jacques. « Le bien-être animal, entre éthique et règlementations, quelles réalités biologiques ? » Le Nouveau Praticien Vétérinaire élevages & ; santé 9, no 36 (2017) : 8–12. https://doi.org/10.1051/npvelsa/36008.

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Résumé :
Le foisonnement des débats éthiques, l’accumulation de données scientifiques relatives aux capacités sensorielles et cognitives des espèces animales non humaines (éthologie, neurosciences) ont pour effet de changer le regard que nos sociétés portent sur les animaux, nous incitant à réévaluer leur statut ainsi que les modalités de leurs utilisations. Ces préoccupations s’inscrivent sous le terme générique "bien-être animal", elles concernent également le Droit et des choix politiques associés. Cet article propose un tableau historique récent de cette évolution. L’accent est mis sur l’apport que la "science du bien-être animal" a pu apporter à la compréhension des mécanismes de la douleur – avec sa spécificité par rapport à la souffrance -, des formes de conscience sensorielle, des émotions chez les espèces animales non humaines et à la prise en compte de la phylogénèse du système nerveux des espèces animales. Un tel ensemble de connaissances a été repris et diffusé par des instances internationales comme l’Office Mondial de la Santé animale (O.I.E.) afin d’assurer des bases solides d’une politique de promotion mondiale du bien-être animal. L’un des messages clé est que des connaissances fondées sur l’approche méthodologique scientifique permettent d’apporter des bases solides aux prises de décision réglementaires ou aux politiques qui s’avèrent suscitées par la réflexion éthique.
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Servière, Jacques. « Le bien-être animal, entre éthique et réglementations, quelles réalités biologiques ? » Le Nouveau Praticien Vétérinaire équine 12, no 46 (2018) : 6–10. https://doi.org/10.1051/npvequi/46006.

Texte intégral
Résumé :
Le foisonnement des débats éthiques, l’accumulation de données scientifiques relatives aux capacités sensorielles et cognitives des espèces animales non humaines (éthologie, neurosciences) ont pour effet de changer le regard que nos sociétés portent sur les animaux, nous incitant à réévaluer leur statut ainsi que les modalités de leurs utilisations. Ces préoccupations s’inscrivent sous le terme générique "bien-être animal", elles concernent également le Droit et des choix politiques associés. Cet article propose un tableau historique récent de cette évolution. L’accent est mis sur l’apport que la "science du bien-être animal" a pu apporter à la compréhension des mécanismes de la douleur – avec sa spécificité par rapport à la souffrance -, des formes de conscience sensorielle, des émotions chez les espèces animales non humaines et à la prise en compte de la phylogénèse du système nerveux des espèces animales. Un tel ensemble de connaissances a été repris et diffusé par des instances internationales comme l’Office Mondial de la Santé animale (O.I.E.) afin d’assurer des bases solides d’une politique de promotion mondiale du bien-être animal. L’un des messages clé est que des connaissances fondées sur l’approche méthodologique scientifique permettent d’apporter des bases solides aux prises de décision réglementaires ou aux politiques qui s’avèrent suscitées par la réflexion éthique.
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Fischer, Jean-Paul, et Anne-Marie Koch. « La magie computationnelle de la voie ventrale est-elle à l'origine de l'inversion des lettres et des chiffres chez l'enfant de cinq à six ans ? » Revue de neuropsychologie Volume 6, no 4 (5 janvier 2015) : 230–37. http://dx.doi.org/10.1684/nrp.2014.0318.

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Hewitt, Marsha. « Affective and Cognitive Dimensions of Religious Experience : Toward a Conceptual/Theoretical Integrative Perspective ». Studies in Religion/Sciences Religieuses 41, no 1 (mars 2012) : 33–45. http://dx.doi.org/10.1177/0008429811430056.

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Résumé :
Although it may be widely accepted that the capacity for religious experience constitutes a mental state which, as with all mental states and inner experiences, has a neurological foundation, it is not so readily agreed upon as to what the psychological significance of such a state might be. That is to say, what are the affective components that pertain to that ‘more’ of religious experience that can be identified across specific religious traditions and histories? For William James, the proper study of religions must begin with the actual, felt religious experiences of human beings in specific contexts. Yet it is this focus on religious experience that appears to leave some contemporary theorists of religion uneasy, as if the exploration of the affective dimension negates or ‘softens’ the by now clear neurological basis of religious experience and beliefs. Underlying this unease, of course, is that the psychological/phenomenological approach conceals a hidden theological interest. That this is often true is more by contingency than theoretical necessity. This unease goes back at least as far as Freud’s ambivalence toward the ‘oceanic feeling,’ or what cognitive archaeologist David Lewis-Williams refers to as ‘absolute unitary being,’ which is a widely valued feature of religious experience for believers. This ambivalence should not marginalize the importance of ‘psychological significance,’ however, as it did in Freud’s writing on religion and as it continues to do in that of contemporary theorists, particularly those who turn to neuroscience as an important explanatory resource in the study of religious experience. This paper will argue that conceptual balance addressing the emotional and biological elements of religious experience is methodologically more adequate and theoretically richer than more strictly cognitive approaches, and will focus most centrally on the work of Sigmund Freud and David Lewis-Williams. Si l’idée que la capacité à l’expérience religieuse constitue un état mental qui, comme tous les états mentaux ou expériences intérieures, a une fondation neurologique est très largement partagée, la signification psychologique d’un tel état ne fait pas l’objet d’un tel consensus. En d’autres termes, quels sont les éléments affectifs ayant trait à ce « plus » de l’expérience religieuse qui peuvent être identifiés à travers les traditions et histoires spécifiques des religions ? Pour William James, l’étude des religions doit commencer par l’expérience réelle et ressentie par les êtres humains dans des contextes spécifiques. Cependant, cette attention portée à l’expérience religieuse semble laisser les théoriciens contemporains mal à l’aise, comme si l’exploration de cette dimension affective niait ou minimisait la base aujourd’hui clairement neurologique de l’expérience religieuse et des croyances. Accentuant ce malaise, bien sûr, l’approche psychologique/phénoménologique dissimule un présupposé théologique caché. Si ceci est souvent vrai, ça l’est par contingence plus que par nécessité théorique. Ce malaise nous renvoie au moins jusqu’à l’ambivalence freudienne envers le « sentiment océanique », ou à ce que l’archéologue constructiviste David Lewis-Williams appelle l’ ‘être absolu et un’ qui est un trait largement valorisé de l’expérience religieuse pour les croyants. Cette ambivalence ne doit pas marginaliser l’importance de la ‘signification psychologique’, comme ce fut le cas depuis les écrits de Freud sur la religion jusque chez les théoriciens contemporains, plus particulièrement ceux qui considèrent les neurosciences comme une ressource explicative dans l’étude de l’expérience religieuse. Cet article qui portera principalement sur les travaux de Sigmund Freud and David Lewis-Williams, montrera que l’équilibre conceptuel entre les éléments émotionnels et biologiques de l’expérience religieuse est plus adéquat et, d’un point de vue théorique, plus riche que des approches strictement cognitives.
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Mayston, Margaret J., Gillian M. Saloojee et Sarah E. Foley. « Le cadre de raisonnement clinique Bobath : un modèle de science des systèmes pour aborder la complexité des troubles neurodéveloppementaux, y compris la paralysie cérébrale ». Developmental Medicine & ; Child Neurology, 13 février 2024. http://dx.doi.org/10.1111/dmcn.15866.

Texte intégral
Résumé :
RésuméLa pratique Bobath actuelle telle qu'elle est recommandée dans le cadre du Bobath Clinical Reasoning Framework (BCRF) se base sur une application clinique de la science des systèmes. Elle offre une perspective holistique des relations entre les variables qui sont associées à l'apparition d'un handicap chez l'enfant. Le BCRF est un cadre de raisonnement clinique qui peut aider à comprendre les relations entre les domaines de la Classification Internationale du Fonctionnement, du Handicap et de la Santé. C'est un système d'observation transdisciplinaire de raisonnement pratique qui vise à proposer un plan d'intervention. Plus généralement, le BCRF permet une compréhension holistique de la complexité des situations associées à des troubles tels que la paralysie cérébrale et indique des choix d'adaptation et de prise en charge tout au long de la vie des personnes vivant avec des troubles neurologiques. Ce raisonnement clinique se base sur les facteurs contextuels importants de l'individu et de son environnement social, principalement la cellule familiale, et sur une compréhension des relations entre le développement typique et atypique, la physiopathologie (sensorimotrice, cognitive, comportementale) et les neurosciences, ainsi que sur l'impact des fonctions et des structures corporelles sur les activités et la participation. Le modèle de la science des systèmes du BCRF permet d'aborder la complexité de la paralysie cérébrale, avec l'objectif global d'optimiser l'expérience vécue par chaque individu dans chaque contexte.
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Motte, Jacques. « Epilepsies et troubles de l'apprentissage chez l'enfant. Situation du problème ». Epileptic Disorders 3, SP2 (décembre 2001). http://dx.doi.org/10.1684/j.1950-6945.2001.tb00421.x.

Texte intégral
Résumé :
RÉSUMÉ Les épilepsies sont particulièrement fréquentes chez l'enfant. Le retentissement de ces épilepsies sur les apprentissages est très mal connu. Un certain nombre d'études ont étudié le retard mental dans l'épilepsie. Cependant très peu d'études s'intéressent aux fonctions cognitives de l'enfant qui présente une épilepsie. Seuls certains syndromes épileptiques, comme le syndrome de West ou le syndrome de Lennox‐Gastaut ont fait l'objet d'études neuropsychologiques. Il paraît cependant important de s'intéresser au profil neuropsychologique des différents types d'épilepsie (épilepsie généralisée, épilepsie partielle, idiopathique ou non idiopathique). Ceci est d'autant plus important que certains outils de dépistage des troubles cognitifs font leur apparition et peuvent permettre de dépister les enfants suspects d'un déficit des fonctions cognitives et de préciser le profil de ces déficits. La batterie BREV (batterie rapide d'évaluation des fonctions cognitives) permet de préciser ce diagnostic devant un enfant porteur de certaines épilepsies à haut risque de conséquences cognitives.
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Jambaqué, Isabelle. « Impact topographique des anomalies EEG sur les fonctions cognitives dans les épilepsies de l'enfant ». Epileptic Disorders 3, SP2 (décembre 2001). http://dx.doi.org/10.1684/j.1950-6945.2001.tb00425.x.

Texte intégral
Résumé :
RÉSUMÉ L'épilepsie chez l'enfant représente un risque pour le développement cognitif et l'adaptation comportementale. Il paraît crucial de ne pas réduire les problèmes d'apprentissage de l'enfant épileptique à la conception d'un simple retard mental. En effet, il est possible de mettre en évidence différents types de déficits cognitifs en rapport avec la classification actuelle des syndromes épileptiques chez l'enfant. Parmi les nombreux facteurs devant être pris en compte dans l'analyse neuropsychologique, l'impact topographique des anomalies électroencéphalographiques mérite toute notre attention. En effet, des études de plus en plus nombreuses semblent mettre en évidence l'influence du siège du foyer épileptique sur le profil cognitif chez l'enfant.
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