Articles de revues sur le sujet « Moteurs à effet hall »

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Zamalijeva, O., et R. Jusienė. « MOTERS DEPRESIŠKUMĄ LAIKOTARPIU PO GIMDYMO PROGNOZUOJANTYS VEIKSNIAI ». Psichologija 42 (1 janvier 2010) : 59–73. http://dx.doi.org/10.15388/psichol.2010.0.2571.

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Résumé :
Vidutiniškai penktadalis moterų po gimdymo patiria įvairių psichologinių ir emocinių sunkumų, o tai savo ruožtu neigiamai veikia pačios moters savijautą, vaiko raidą bei santykius su vaiku ir šeima. Iki šiol nebuvo prieita prie vienodos nuomonės, kokie rizikos veiksniai reikšmingai nulemia moters depresiškumą laikotarpiu po gimdymo. Tyrėjų išvadose apie demografinių veiksnių, socialinės paramos, gimdymo ypatumų, patiriamo streso, emocinės ir fizinės būsenos bei kitų kintamųjų sąsajas su moters depresiškumu laikotarpiu po gimdymo yra prieštaravimų. Šio tyrimo tikslas – išsiaiškinti, kokie demografiniai, socialiniai, psichologiniai ir sveikatos veiksniai reikšmingai prognozuotų moters depresiškumą laikotarpiu po gimdymo. Tyrimas yra prospektyvus ir ilgalaikis – tiriamosios apklaustos nėštumo metu, pirmą mėnesį ir pusė metų po gimdymo. Tyrime analizuojami 66 savanoriškai sutikusių dalyvauti visuose trijuose tyrimo etapuose moterų duomenys. Tyrimo rezultatai, apskaičiuoti taikant struktūrinių lygčių modeliavimo metodą, leidžia teigti, kad vienintelis moters depresiškumą laikotarpiu po gimdymo prognozuojantis veiksnys, turintis tiesioginę reikšmę, yra moters depresiškumo vertinimas nėštumo metu. Taip pat daugiau depresijos simptomų laikotarpiu po gimdymo turi moterys, kurios prasčiau vertina savo pasiruošimą motinystei, jaučia stipresnį nerimą dėl gimdymo, mažiau patenkintos savo santykių su vyru kokybe, patyrė daugiau stresą keliančių gyvenimo įvykių ar laukiasi pirmo vaiko, tačiau prognostinis šių veiksnių ir moters depresiškumo laikotarpiu po gimdymo ryšys yra netiesioginis, o pasireiškia šių veiksnių įtaka depresiškumui nėštumo metu.Pagrindiniai žodžiai: depresiškumas po gimdymo, Edinburgo pogimdyminės depresijos skalė (EPDS), pasiruošimas motinystei.Predictors of women’s depression during postpartumperiod Zamalijeva O., Jusienė R. SummaryApproximately 20 percent of women suffer from postpartum depression after childbirth, which, in turn, negatively affects women’s well-being, child’s development and interactions with the child and family. Risk factors, which most significantly influence postpartum depression, have been analyzed by numerous researchers, seeking to make it possible to predict and identify women at risk before the onset of symptoms. Nevertheless, the data obtained is inconclusive and research results are contradictory. The most inconclusive results are those related to demographic and socioeconomic characteristics and their impact on depressive symptoms during postpartum period. Moreover, there are inconsistencies in conclusions concerning social support, pregnancy and delivery-related factors, stressful life events, emotional and physical health and their influence on postpartum depression. The goal of this research is to identify demographic, social, psychological and health related variables that could reliably predict women’s depression half year after delivery. This research is prospective and longitudinal, participants were interviewed at several assessment points – during pregnancy, the first month and half a year postpartum. The complete data about 66 women are analyzed in this article. The results of structural equation modeling (SEM), indicate that the only significant predictor of women’s depressive symptoms during postpartum period, having direct effect, is depression during pregnancy, i.e. women who report more depressive symptoms during pregnancy are significantly more likely to be depressed during postpartum period. Women who rated their subjective readiness for motherhood as lower, also with high anxiety concerning delivery, poor quality of relationship with a partner, and who reported more stressful life events, as well as primiparous women are at greater risk postpartum depression; however these variables and depressive symptoms during postpartum period are not directly related. The readiness for motherhood and anxiety concerning delivery predicts depression during pregnancy. The quality of relationships with partner, in turn, predicts both readiness for motherhood and anxiety concerning delivery. Finally, the readiness for motherhood could also be predicted by stressful life events and primiparity. The results of our study support the necessity of psychological interventions during the pregnancy in order to prevent postpartum depression.Keywords: perinatal depression, EPDS, readiness for motherhood.
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Labat, Hélène, Jean Ecalle et Annie Magnan. « Effet du feedback visuel sur les principaux indices dynamiques du geste graphique et les habiletés de transcription chez les enfants de 5 ans ». SHS Web of Conferences 143 (2022) : 01004. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/202214301004.

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Résumé :
L’écriture de mots nécessite l’acquisition du code alphabétique et la maîtrise du geste graphique. L’objectif de cette étude est d’évaluer avec des enfants de 5 ans : (1) l’effet du feedback visuel dans l’exploration motrice des lettres sur le tracé de lettres ; (2) l’effet du développement des processus moteurs sur la transcription de pseudo-mots. Un design pré-test / entraînement (avec ou sans feedback visuel) / post-tests est utilisé. Les principaux indices dynamiques qui reflètent les processus moteurs sont identifiés et analysés.
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Perrenoud, Philippe. « Formation initiale des maîtres et professionnalisation du métier ». Articles 19, no 1 (10 octobre 2007) : 59–76. http://dx.doi.org/10.7202/031600ar.

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Résumé :
Résumé - La professionnalisation du métier d'enseignant a plusieurs moteurs, les uns liés à l'évolution du travail dans des sociétés à forte dominance du tertiaire et des nouvelles classes moyennes, les autres plus internes aux politiques de l'éducation et à l'évolution d'un système éducatif confronté à de nouveaux publics et à de nouveaux défis. L'évolution de la formation des maîtres est à la fois une condition, un levier et un effet de la professionnalisation du métier d'enseignant. Former de véritables professionnels, c'est préparer à une pratique réfléchie et mieux articuler savoirs savants et savoirs d'expérience. C'est d'abord parler de la réalité et de la complexité de l'éducation pédagogique.
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Guizouarn, Kristell. « Réduire les émissions de particules des véhicules diesel par l’utilisation de biodiesel ». OCL 27 (2020) : 11. http://dx.doi.org/10.1051/ocl/2019049.

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Résumé :
Les véhicules diesel ont un rendement énergétique plus élevé, mais ils produisent davantage de particules que les moteurs à essence ordinaires. Il existe deux moyens efficaces de réduire considérablement les émissions de particules du moteur diesel : le filtre à particules, et l’utilisation de biodiesel. En effet, la composition du carburant a un impact direct sur la combustion, et donc sur les émissions de polluants. Une teneur élevée en biodiesel permet de réduire le nombre de particules produites. Plus la quantité de biodiesel dans le carburant mélangé est importante, moins des particules sont émises. Lorsque les technologies de filtre et de biodiesel sont combinées, les émissions de particules sont quasi-inexistantes.
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Desgrées du Loû, Annabel. « Migrations et santé : des (nouvelles) questions de santé publique au cœur des enjeux sociétaux ». Questions de santé publique, no 34 (juin 2018) : 1–8. http://dx.doi.org/10.1051/qsp/2018034.

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Résumé :
Les migrations constituent un des moteurs majeurs des dynamiques de population. Elles sont pourtant encore trop peu étudiées sous l’angle de la santé publique, bien que celle-ci s’intéresse à tout ce qui est en lien avec le bien-être et la santé des populations. En France, cela vient en partie de notre modèle d’intégration républicaine, qui ne distingue pas les individus ou les groupes selon des critères d’origine ethnique ou de religion. Cependant, certaines maladies comme le VIH/sida ont montré qu’il pouvait être nécessaire de prendre en compte l’origine des personnes pour améliorer la prévention et l’accès aux soins. Améliorer l’accueil et la prise en charge des immigrés dans le système de santé français passe en effet par une meilleure connaissance de leurs besoins spécifiques.
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Espelette, Patrick, et André Marchand. « Effet hall et diamagnetisme de composes residuels pyrocarbone-bore-halogene ». Carbon 25, no 5 (1987) : 621–28. http://dx.doi.org/10.1016/0008-6223(87)90214-4.

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Ammari, M., A. Gire, Mme G. Lomaglio et J. G. Théobald. « Effet Hall Hyperfréquence Dans Des Semi-Conducteurs Constituant Des Jonctions ». Bulletin des Sociétés Chimiques Belges 101, no 11 (1 septembre 2010) : 909–13. http://dx.doi.org/10.1002/bscb.19921011102.

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Baron, Romain, et Claude Emmanuel Perez-Cano. « La coopération comme objet d’apprentissage à travers les activités physiques, sportives et artistiques en EPS ». L'Education physique en mouvement, no 6 (18 décembre 2022) : 3–6. http://dx.doi.org/10.26034/vd.epm.2021.3527.

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Résumé :
Dans une société actuelle régie par le numérique et où certains élèves sont tentés de de se refermer sur soi, nous envisageons la coopération à l’école et en EPS comme un objet d’apprentissage à part entière au travers des activités physiques, sportives et artistiques. En effet, dans notre idée d’une EPS de la compétence, les apprentissages moteurs, méthodologiques et sociaux des élèves s’envisagent reliés entre eux dans une perspective complexe et systémique. L’enjeu de notre article est donc de mettre en évidence que la construction de compétences en EPS passe par ces apprentissages conjoints, sans en négliger certains aspects. Nous illustrerons ensuite nos propos à travers l’activité multibonds où nous tenterons de démontrer qu’une activité individuelle peut être le support d’un « faire ensemble » coopératif et de différents apprentissages imbriqués dans l’optique de rendre les élèves compétents dans cette activité.
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Cyr, Catherine. « Ronfard et la méthode expérimentale : une symbiose de la théorie et de la pratique à travers l’appropriation interdisciplinaire ». Dossier — Jean-Pierre Ronfard : l’expérience du théâtre, no 35 (6 mai 2010) : 24–42. http://dx.doi.org/10.7202/041554ar.

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Résumé :
Le dialogue interdisciplinaire qui s’établit entre divers champs de l’expérience humaine peut prendre plusieurs formes. Ainsi, différents processus de percolation se sont souvent mis en place entre les arts et les sciences dites « dures ». Quelles sont les manifestations récentes, au théâtre, de cet étonnant processus? Que permet ce métissage? Nous observerons ici les possibles modalités de cette percolation en nous penchant sur ce qui fut longtemps l’un des moteurs de la démarche créatrice de Jean-Pierre Ronfard. En effet, devinant un « cousinage secret » entre théâtre et médecine, ce dernier a intégré à sa pratique et à sa réflexion certains des principes de la médecine expérimentale tels qu’établis par Claude Bernard. À travers l’analyse de quelques-unes des expérimentations théâtrales concoctées par l’auteur et le metteur en scène — Les objets parlent, Autour de Phèdre, La voix d’Orphée — nous verrons comment une telle appropriation interdisciplinaire, inventive et ludique permet à Ronfard d’opérer la délicate symbiose entre le questionnement théorique et la pratique du théâtre.
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Plasse, C., X. Capdevila, S. de Boisvilliers, J. M. Julia, T. Marnay et F. d'Athis. « Effet de l'analgesie peridurale sur les potentiels evoques somesthesiques (PES) et moteurs (PEM) en post operatoire de chirurgie du rachis ». Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation 16, no 6 (septembre 1997) : 627. http://dx.doi.org/10.1016/s0750-7658(97)86052-2.

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Phillipps, Clélie, Nadine Longato, Amandine Bato, Ouhaid Lagha-Boukbiza, Mathieu Anheim et Christine Tranchant. « Effet de la latéralité des troubles moteurs sur les troubles du contrôle des impulsions dans la maladie de Parkinson idiopathique ». Revue Neurologique 171 (avril 2015) : A9. http://dx.doi.org/10.1016/j.neurol.2015.01.014.

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BOKOUMBO, Koudima, Afouda Jacob YABI, Kuawo Assan JOHNSON, Rosaine Nerice YEGBEMEY et Simon BERGE. « Evaluation de la durabilité des exploitations agricoles : une synthèse bibliographique ». Annales de l’Université de Parakou - Série Sciences Naturelles et Agronomie 11, no 1 (30 juin 2021) : 13–24. http://dx.doi.org/10.56109/aup-sna.v11i1.19.

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Résumé :
La dégradation de l'environnement s'accentue et des études ont déjà révélé que les activités humaines telles que l'agriculture en sont les principales causes. Il s'agit d'une urgence qui exige une action de la part de tous les acteurs à tous les niveaux, et plus encore de la part des chercheurs. C’est d’ailleurs pour cette cause que la cible 7 de l’SDG 17 exhorte au transfert et à la diffusion de technologies respectueuses de l’environnement. Cependant, les articles de revue et de recherche qui émergent autour de la question de l'évaluation de la durabilité des exploitations agricoles semblent laisser de côté la capitalisation des résultats sur le terrain et aucune approche d’évaluation n’inclue une telle étape qui demeure la plus importante. La présente revue de la littérature invite les chercheurs à s’impliquer dans la mise en œuvre des recommandations après toute étude d’évaluations de la durabilité des exploitations agricoles. Elle part d’une analyse critique des recherches récentes sur la question entre 2017 et 2020 et débouche sur une approche de recherche-action nommée Deep Participatory Indicator-Based (DPIB). Les moteurs de recherche scientifique comme Google Scholar et Science Direct ont été utilisés pour identifier trente (30) articles pertinents à cet effet.
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Limosin, F. « Maladie de Parkinson : la psychiatrie en première ligne ? » European Psychiatry 29, S3 (novembre 2014) : 577. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.273.

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Résumé :
La maladie de Parkinson a longtemps été considérée comme un trouble neurodégénératif d’expression motrice pure. Il est à ce jour établi que la triade symptomatique hypertonie extrapyramidale-tremblement- akinésie ne peut résumer la complexité du trouble. Pouvant inaugurer la maladie ou survenir plus tardivement, les symptômes non moteurs, qu’ils soient cognitifs ou psychiatriques, ont un retentissement majeur sur l’autonomie fonctionnelle et la qualité de vie des patients [1]. Les troubles psychiatriques comorbides à la maladie de Parkinson, par leur fréquence et leur impact, nécessitent un repérage et une prise en charge spécifiques et précoces, s’inscrivant dans une approche holistique centrée sur le patient. En effet, la dépression est souvent sous-évaluée et de fait sous-traitée chez le sujet souffrant de maladie de Parkinson. Parmi les autres symptômes pouvant compliquer la prise en charge de ces patients, les manifestations liées au syndrome de dérégulation dopaminergique peuvent également relever d’une prise en charge psychiatrique adaptée [2]. Quant aux hallucinations visuelles, elles sont fréquentes et constituent un marqueur d’évolution, signant parfois l’entrée dans un processus démentiel ou dans ce que l’on qualifie de « psychose » parkinsonienne [3]. Dans un tel contexte, cette session thématique se propose de présenter un état des connaissances sur les spécificités et les conséquences des troubles psychiatriques associés à la maladie de Parkinson et de préciser les stratégies de dépistage et de prise en charge spécifiques.
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POULlN, Daniel, Frédéric PELLETIER et Bertrand SALVAS. « LA DIFFUSION DU DROIT CANADIEN SUR INTERNET ». Revue du notariat 102, no 2 (24 mai 2018) : 189–244. http://dx.doi.org/10.7202/1046151ar.

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Résumé :
La présente étude tente de mesurer et d’analyser la disponibilité des sources officielles de droit sur le Web et d’apprécier leurs conditions d’utilisation dans ce nouvel environnement. Les conclusions de l’étude sont différentes pour la législation et la jurisprudence. La majorité des juridictions canadiennes offrent l’accès gratuit sur Internet à leurs principaux corpus de textes législatifs, ce qui représente un progrès considérable. Bien que plusieurs des collections proposées ne soient que partielles, la plupart des ressources en place offrent la possibilité d’effectuer une recherche automatisée. Cependant, il existe autant de moteurs de recherche que de collections, ce qui peut confondre l’utilisateur. La forme des documents législatifs diffusés sur Internet varie aussi beaucoup. Les bénéfices recherchés par ces outils de diffusion s’en trouvent limités. La jurisprudence canadienne est beaucoup moins accessible sur Internet que la législation. Les ressources demeurent éparpillées et les problèmes de recherche y sont aussi importants qu’en ce qui concerne les collections de législation. Finalement, les auteurs notent que les textes juridiques canadiens diffusés actuellement sur Internet ne comportent pas un statut officiel suffisant pour que les professionnels du droit puissent les utiliser en tout temps avec certitude. Les textes législatifs et les corpus jurisprudentiels que l’on trouve sur Internet s’accompagnent généralement en effet de mises en garde face à leur caractère non officiel. Cette situation contribue à réduire leur intérêt pour les ressources documentaires publiques. La constitution d’une ressource unique, publique et gratuite est vue comme permettant de solutionner ces problèmes et de favoriser la diffusion libre du droit canadien.
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Klarsfeld, André, Serge Birman et François Rouyer. « L’horloge circadienne à l’heure Nobel ». médecine/sciences 34, no 5 (mai 2018) : 480–84. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/20183405023.

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Résumé :
L’attribution du prix Nobel 2017 de physiologie ou médecine à trois chercheurs américains - Jeffrey C. Hall (né le 3 mai 1945 à New York – University of Maine), Michael Rosbash (né le 7 mars 1944 à Kansas City - Brandeis University, Waltham et Howard Hughes Medical Institute) et Michael W. Young (né le 28 mars 1949 à Miami - Rockefeller University, New York), est difficilement contestable, tant ces chercheurs incarnent depuis près de 35 ans, l’émergence, puis le foisonnement des études moléculaires et cellulaires des rythmes circadiens. Mais ce prix a fait bien plus que trois heureux. Il apporte, en effet, une reconnaissance éclatante à un domaine, la chronobiologie, qui a longtemps fait figure, au mieux pour certains, d’aimable curiosité… La difficulté à identifier les rouages des horloges biologiques qui rythment nos jours et nos nuits, ou même à seulement les imaginer, y a bien sûr contribué. C’est pourquoi les travaux de Hall, Rosbash et Young – récompensés « pour leurs découvertes des mécanismes moléculaires qui contrôlent les rythmes circadiens » – ont revêtu une telle importance, même si la voie leur avait été ouverte un peu plus d’une décennie auparavant. Paradoxalement, le grand public a peut-être admis l’existence de nos horloges internes avant la communauté scientifique, car chacun peut faire l’expérience intime de rythmes journaliers, à commencer par l’alternance veille-sommeil, qui s’imposent à lui !
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Toma, Cosmin. « Les Bienveillantes et les limites de la littérature ». Études françaises 49, no 1 (4 octobre 2013) : 167–80. http://dx.doi.org/10.7202/1018799ar.

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Résumé :
Au lieu de chercher à contourner la proscription qui pèse sur les représentations littéraires de la Shoah, Les Bienveillantes de Jonathan Littell se précipite à la rencontre du scandale médiatique en prenant le parti de la transgression. Or cette transgression n’est pas une simple « pornographie de l’horreur », puisqu’elle se donne également pour objet d’explorer les limites de la notion de littérature, qui revêt une importance primordiale pour l’auteur et pour son roman. L’« espace littéraire » devient, dans Les Bienveillantes, singulièrement apte à accueillir une âpre confrontation entre esthétique et historiographie, notamment en musicalisant la structure de la bureaucratie nazie, qui devient ainsi l’un des moteurs formalistes du récit lui-même. Cette contamination du réel par le littéraire donne également lieu à une recherche de la vérité qui exalte l’invraisemblance pour mieux dire les limites des disciplines du savoir (notamment l’historiographie) au nom d’une rupture de l’histoire qui serait la vérité même de la Shoah. Ce « dis-cours », sensible tout au long du roman, se place sous l’égide d’auteurs tels que Georges Bataille et Louis-Ferdinand Céline, mais c’est surtout Maurice Blanchot qui semble avoir le plus fortement influencé Les Bienveillantes. En effet, non seulement Blanchot est-il cité dans le roman, mais on y retrouve également de nombreuses traces de la pensée blanchotienne du « mourir », telle qu’elle s’expose dans Le pas au-delà. Les gestes transgressifs et délibérément sadiens qui traversent le roman d’un bout à l’autre se révèlent ici être indissociables d’une conception dont Blanchot est le garant littéraire : l’écriture comme proximité, voire expérience de la mort de l’autre, ainsi que de la mort comme Autre. Ainsi, la transgression opérée par Les Bienveillantes se révèle être à l’origine de la force proprement éthique du roman.
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TROVATO, Loredana. « Les enfants en guerre dans la presse française de 1914-1918 ». Revue plurilingue : Études des Langues, Littératures et Cultures 1, no 1 (15 novembre 2017) : 156–75. http://dx.doi.org/10.46325/ellic.v1i1.15.

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Résumé :
Abstract This article aims to address the forms and mechanisms of the representation of the child in the French press of World War I, based on its various linguisticodiscursive and iconic evocations. As an object of semio-verbal discourse, the child plays a leading role, as it is used as a tool of nationalist propaganda supporting the French commitment against the German invader. His ethos is in fact exploited as a sort of rhetorical and pathemic argument, aimed at making the reader adhere to a certain image of war and the French soldier, while at the same time arousing pathos. In addition, we will consider the function of play and school, as motors and vectors of patriotic ideology, in order to sketch a rather exhaustive picture of this problem and try to offer a modest contribution to the exegesis of this rather complex period of world history. Résumé Cet article vise à aborder les formes et les mécanismes de la figuration de l’enfant dans la presse française de la Première guerre mondiale, à partir de ses diverses évocations linguistico-discursives et iconiques. En tant qu’objet du discours sémio-verbal, l’enfant joue un rôle de premier plan, car il est utilisé comme un outil de la propagande nationaliste soutenant l’engagement français contre l’envahisseur allemand. Son éthos est en effet exploité comme une sorte de figure de l’argumentation rhétorique et pathémique, finalisée à faire adhérer le lecteur à une certaine image de la guerre et du soldat français, tout en suscitant le pathos. Nous envisagerons en outre la fonction du jeu et de l’école, en tant que moteurs et vecteurs de l’idéologie patriotique, afin d’esquisser un tableau assez exhaustif de cette problématique et essayer d’offrir une modeste contribution à l’exégèse de cette période assez complexe de l’histoire mondiale.
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Gaurier, Dominique. « La rédaction des normes juridiques, source de la métamorphose du droit ? Quelques repères historiques pour une réflexion contemporaine ». Revue générale de droit 31, no 1 (12 décembre 2014) : 1–85. http://dx.doi.org/10.7202/1027785ar.

Texte intégral
Résumé :
Une question reste actuelle : un code, envisagé comme l’aboutissement ultime de la réflexion sur le droit en tant qu’objet de science, doit-il être un ensemble construit qui obéit à une logique à la fois pratique et préétablie, ou ne peut-il être qu’un ouvrage de compilation des sources normatives présentées sous un format compact et aisé pour la consultation ? Cette question reste toujours au fond des problématiques contemporaines de la codification et elle avait déjà été envisagée, presque dans les mêmes termes, à l’occasion de l’immense entreprise que devait constituer la consignation par écrit des normes du droit. Aussi, est-ce à un aperçu de la progression de cette réflexion que l’on invite le lecteur à travers quelques-unes des grandes étapes historiques de cette évolution. Le besoin ressenti de disposer d’un corpus offrant une mise à disposition aisée des normes juridiques donna idée à des praticiens, essentiellement des juges, de mettre par écrit les normes coutumières qu’ils devaient mettre en oeuvre dans leurs jugements dès la fin du XIIe siècle. Puis, de privée qu’elle était, cette initiative fut reprise à son compte par le pouvoir royal dès le milieu du XVe : le roi Charles VII prescrivait en effet la rédaction officielle des coutumes des différents pays du royaume. La mise à disposition de ces ensembles normatifs, dorénavant écrits et moins aléatoires, permit de passer à l’observation des normes envisagées maintenant pour elles-mêmes. Le droit devint ainsi un objet de science, suscitant tout un travail de comparaison, de recherche de la rationalité des règles et même, la formulation que pourrait bien présider à un ensemble assez disparate, une forme d’esprit commun. Cet esprit commun fut un des moteurs de la quête pour une unité juridique du royaume et la question de la confection de codes put alors être abordée. Un tel travail commença avec le règne de Louis XIV et fut partiellement continué sous les règnes de ses successeurs, mais il n’avait concerné que les lois du roi et non l’ensemble du droit coutumier. C’est avec la Révolution française que le principe de constituer un Code civil unique pour la nation fut posé; mais il ne devait déboucher qu’en 1804. Le nouveau Code s’inspirait de la tradition antérieure tout en intégrant les apports que lui avait fait subir le droit révolutionnaire. Ce Code, qui a deux siècles d’existence, voit régulièrement se poser la question de sa refonte qui est sans cesse reculée pour privilégier des refontes partielles. À cet égard, la Belle Province sut prendre le pari d’offir un nouveau Code civil en 1994 pour remplacer l’ancien de 1867. Par ailleurs, on voit se multiplier l’apparition de « codes » qui n’en sont guère dans la mesure où ils se bornent à opérer des compilations sans obéir à aucune logique d’organisation. L’idée de codification demeure avec des questions inchangées quant au fond pour savoir ce que doit être un code. Ce petit détour par l’histoire permet ainsi d’éclairer le contexte ancien de questions actuelles.
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DONNARS, C., P. CELLIER et J. L. PEYRAUD. « Nouvelles de la recherche : expertise sur les flux d’azote liés aux élevages ». INRAE Productions Animales 25, no 4 (2 octobre 2012) : 389–92. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2012.25.4.3226.

Texte intégral
Résumé :
Une expertise scientifique collective conduite par l’Inra (INRA 2012) pointe l’importance des flux d’azote liés aux activités d’élevage et identifie des leviers pour limiter la pression sur l’environnement. Depuis une vingtaine d’années, les pollutions azotées font l’objet de diverses législations et plans d’action dans le cadre des politiques relatives à la qualité des eaux, de l’air et des écosystèmes. La transposition de la directive «Nitrates» (12 décembre 1991) fait actuellement l’objet d’un contentieux avec la commission européenne. C’est dans ce contexte que les ministères français en charge de l’Agriculture et de l’Ecologie ont sollicité l’Inra pour dresser un bilan de l’état des connaissances scientifiques sur les flux d’azote en élevage et leur devenir. L’objectif était de mettre à disposition des décideurs et des acteurs publics et privés les connaissances scientifiques actualisées et d’identifier des options permettant de réduire les pressions de l’azote sur l’environnement. 1/LA MÉTHODE D’EXPERTISE SCIENTIFIQUE COLLECTIVELe travail d’expertise a été porté par un collectif de 22 experts. Deux tiers d’entre eux appartiennent à l’Inra, un tiers à d’autres organismes de recherche (Irstea, CNRS, universités) dont deux experts des Pays-Bas (WUR) et un du Canada (Agriculture et Agroalimentaire Canada). Les sciences sociales ont fourni un quart de l’effectif d’experts, la zootechnie et l’approche systémique des systèmes d’élevage 40% et le complément regroupe des spécialistes des cycles biogéochimiques et de l’agronomie. La méthode a consisté à dresser un état des lieux critique des connaissances scientifiques publiées. Quelque 1360 références bibliographiques (2900 auteurs) ont été sélectionnées parmi les articles les plus récents (80% des sources sont postérieures à 1998) et relatifs ou transposables au cadre géographique français. L’analyse a privilégié l’échelle de l’exploitation agricole car c’est l’unité de référence des politiques agricoles et environnementales et des actions agronomiques. Cependant les informations scientifiques portent souvent sur un niveau infra : l’animal, l’atelier d’élevage, la parcelle, le bâtiment, la zone de stockage, etc., ou sur un niveau supra : le bassin versant, le paysage, les statistiques et modélisations nationales et internationales. Ces différents niveaux d’information ont permis d’approcher les variations entre productions et celles liées aux pratiques agricoles. 2 / L’EXPERTISE A MIS EN AVANT LE RÔLE MAJEUR DE L’ÉLEVAGE DANS LES FLUX D’AZOTE ET LES IMPACTS POTENTIELS 2.1 / Les flux d’azote en élevage et les fuites vers l’environnement sont élevésL’élevage utilise plus des trois quarts des quantités d’azote entrant dans les systèmes agricoles. Mais l’efficience, c’est-à-dire le rapport entre les sorties valorisées et les entrées d’azote, calculée au niveau de l’animal est globalement faible : souvent beaucoup moins de la moitié de l’azote ingéré se retrouve sous forme de protéines consommables, lait, œufs et viande. A l’échelle de l’exploitation d’élevage, une part de l’azote excrété dans les déjections est recyclée avec les effluents mais l’efficience reste néanmoins généralement inférieure à 50%. Le reste de l’azote se disperse dans l’environnement. L’élevage contribue ainsi pour environ la moitié aux pertes nationales de nitrates vers les eaux, et pour plus des trois quarts aux émissions nationales atmosphériques azotées, notamment sous forme d’ammoniac (et jusqu’à 90% si on tient compte du fait qu’une grande partie des engrais industriels est employée sur les cultures utilisées pour produire des aliments du bétail). L’azote se trouve de ce fait à la croisée de préoccupations croissantes en termes de compétitivité des filières animales et d’impacts sur l’environnement et sur la santé humaine. Ces impacts ont été récemment décrits dans une expertise européenne (European Nitrogen Assessment 2011). Ils interviennent au niveau de l’écosystème environnant (dépôts de NH3), de la région (NH3, NO3 -) et plus globalement dans le changement climatique (émissions de N2O). 2.2 / La question de l’azote ne se réduit pas à celles du nitrate, les émissions de NH3 constituent un enjeu fort Alors qu’en France, la question du nitrate a longtemps focalisé les débats, dans certains pays d’Europe du Nord, l’ammoniacest aussi de longue date au centre des préoccupations. D’abord étudié pour son rôle dans l’acidification et l’eutrophisation des milieux, l’ammoniac est aujourd’hui examiné dans le cadre de la pollution de l’air par les particules. Au niveau national, le premier contributeur d’émissions d’ammoniac est l’élevage bovin. 2.3 / Risques et impacts dépendent aussi de la sensibilité des territoires et de leur capacité d’épurationLes teneurs en nitrate des eaux ne dépendent pas seulement du niveau de surplus des bilans azotés mais aussi du climat, des types de sol, de la topographie et des modes d’occupation des sols : densité animale, part des terres agricoles dans les utilisations totales des surfaces, importance des prairies permanentes, etc. La présence majoritaire de prairies au sein des territoires réduit les risques de fuites de nitrate et d’émissions d’ammoniac. 3/LES FLUX D’AZOTE SONT AUSSI DÉTERMINÉS PAR DES CONSIDÉRATIONS ÉCONOMIQUES ET JURIDIQUES3.1 / La concentration spatiale des élevages a un rôle déterminant dans les impacts des pollutions azotéesLes plus fortes pressions azotées se situent dans les territoires de l’Ouest qui combinent productions de ruminants et de monogastriques. Les quantités d’azote contenues dans les effluents y dépassent parfois largement les capacités d’absorption des surfaces agricoles. Les territoires d’élevage plus extensifs connaissent des pressions azotées faibles. Cette hétérogénéité s’explique par la concentration géographique des filières animales, résultant principalement de facteurs économiques dont les moteurs relèvent des économies d’échelle et des économies d’agglomération qui sont liées à l’intensification et à la spécialisation des élevages ainsi qu’à leur concentration territoriale. La littérature scientifique pointe la difficulté de sortir d’une telle trajectoire, notamment parce que le fonctionnement technique et économique des acteurs des filières (producteurs d’intrants, éleveurs, transformateurs) est étroitement dépendant. 3.2 / L’encadrement juridique n’a pas permis d’atteindre les objectifs environnementaux La réglementation française a abouti à une multiplicité de zonages auxquels sont dédiés des normes, obligations ou programmes d’action volontaire. L’architecture d’ensemble est confuse et ses résultats critiqués de longue date. Parmi les difficultés rencontrées, la littérature pointe i) le caractère diffus des pollutions, qui, à la différence d’autres pays, n’a pas incité en France àune responsabilisation individuelle des éleveurs, ii) l’intégration de préoccupations économiques et sociales dans les politiques environnementales, iii) le suivi des objectifs environnementaux confié aux acteurs du développement agricole et les échelles administratives peu pertinentes vis-à-vis du réseau hydrographique. Enfin, la multiplicité des formes de pollution azotée pose la question de la cohérence d’ensemble des politiques, notamment entre les critères de la directive «Nitrates» et ceux la Convention de Genève sur la pollution atmosphérique (1979). 4/DE NOMBREUSES PISTES DE PROGRÈS EXISTENT QUI ENGAGENT PLUS OU MOINS EXPLOITANTS AGRICO- LES, TERRITOIRES ET FILIÈRES D’ÉLEVAGE4.1 / Améliorer les pratiques à l’échelle de l’exploitationLa littérature fournit de nombreuses pistes d’actions pour limiter les pertes d’azote dans l’exploitation (figure 1). Il est encore possible d’optimiser la nutrition azotée des animaux, cependant les gains escomptés sont modestes en regard des enjeux. La maîtrise de la chaîne de gestion des effluents ouvre plus de marges de manœuvre pour préserver l’azote organique et réduire les achats d’engrais minéraux. En effet, selon les modalités de gestion des effluents, les fuites vers l’environnement varient de 30 à 75% de l’azote rejeté par les animaux. Des innovations sont déjà disponibles pour le stockage et l’épandage, même si les incertitudes sur les facteurs de variation des émissions sont encore grandes. Il est enfin démontré que développer les prairies à base de légumineuses, les cultures intermédiaires pièges à nitrate (Cipan) et ajuster les rotations réduit les risques de lixiviation du nitrate. A l’échelle des systèmes, les modes de production à bas intrants (moins de fertilisants et d’aliments riches en protéines) améliorent l’efficience de l’azote et limitent donc les pertes vers l’environnement. Les indicateurs de type bilan d’azote à l’échelle de l’exploitation et de ses sous-systèmes (troupeau, gestion des effluents, sols et cultures) sont des outils adaptés pour identifier les sources d’inefficacité et rechercher les voies d’amélioration les mieux adaptées localement. De nombreux autres indicateurs approchent les niveaux d’émissions, de pollution ou les impacts, mais ne sont pas toujours d’usage facile. pour le document complet voir le pdf https://www6.inrae.fr/productions-animales/content/download/6365/88149/version/1/file/nouvelles+de+la+recherche.pdf
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Cece, Valérian, Patrick Fargier, Guillaume Girod, Magali Bovas et Vanessa Lentillon-Kaestner. « Innovations numériques, effet "Waouh !" et apprentissages en éducation physique et en mathématiques ». L'Education physique en mouvement, no 9 (21 juin 2023). http://dx.doi.org/10.26034/vd.epm.2023.4099.

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L’effet Waouh correspond à l’émerveillement immédiat que peuvent ressentir les utilisateurs d’une innovation technologique. Dans le cadre scolaire, on peut craindre que le recours à des outils numériques innovants suscite cet effet sans pour autant favoriser les apprentissages. Afin de déterminer si cette crainte est fondée, le présent article rend compte de résultats récents examinant les effets de jeux vidéo actifs de la plateforme numérique Play Lü® sur les apprentissages en éducation physique. Les résultats étayent l’idée d’un possible dépassement de l’effet Waouh pour favoriser des apprentissages moteurs et cognitifs. Leur exposé débouche sur une réflexion aux conditions du recours à ce type d’innovations dans un but d’apprentissage.
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Laribi, Malika, Mohamed Salah Aït Cheikh, Chérif Larbès et Linda Barazane. « Application de la commande synergétique au contrôle de vitesse d’une machine asynchrone ». Journal of Renewable Energies 13, no 3 (25 octobre 2023). http://dx.doi.org/10.54966/jreen.v13i3.215.

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Dans cet article, nous nous sommes intéressés à l’application de la commande à structure variable à la machine asynchrone où le réglage de vitesse par mode glissant se distingue comme un outil puissant et efficace. Cependant ce type de contrôleur à structures variables souffre d’un inconvénient majeur qui est le phénomène de chattering. Afin de réduire ce phénomène, nous proposons un nouveau schéma de commande basé sur la commande synergétique nouvellement introduite dans la commande des moteurs électriques. En effet les résultats de simulation obtenus ont prouvés les avantages apportés par cette nouvelle technique. Surtout du point de vue réduction de chattering qui est l’objectif principal de cet article.
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Lu, Qi, Ping Li, Zhixin Guo, Guohua Dong, Bin Peng, Xi Zha, Tai Min, Ziyao Zhou et Ming Liu. « Giant tunable spin Hall angle in sputtered Bi2Se3 controlled by an electric field ». Nature Communications 13, no 1 (28 mars 2022). http://dx.doi.org/10.1038/s41467-022-29281-w.

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AbstractFinding an effective way to greatly tune spin Hall angle in a low power manner is of fundamental importance for tunable and energy-efficient spintronic devices. Recently, topological insulator of Bi2Se3, having a large intrinsic spin Hall angle, show great capability to generate strong current-induced spin-orbit torques. Here we demonstrate that the spin Hall angle in Bi2Se3 can be effectively tuned asymmetrically and even enhanced about 600% reversibly by applying a bipolar electric field across the piezoelectric substrate. We reveal that the enhancement of spin Hall angle originates from both the charge doping and piezoelectric strain effet on the spin Berry curvature near Fermi level in Bi2Se3. Our findings provide a platform for achieving low power consumption and tunable spintronic devices.
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Bouzidi, Belkacem, et Mourad Haddadi. « Implication financière des GES pour le développement des systèmes photovoltaïques de pompage de l’eau ». Journal of Renewable Energies 10, no 4 (31 décembre 2007). http://dx.doi.org/10.54966/jreen.v10i4.760.

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Dans les régions sahariennes de l’Algérie, l’eau souterraine constitue la seule alternative pour satisfaire les besoins vitaux des habitants, consommation et irrigation. Pour cela, la solution la plus utilisée est le pompage de l’eau par des groupes électrogènes de faible capacité. Le rendement global le plus élevé pouvant être atteint par les moteurs en question est d’environ 42 %, le reste de l’énergie étant des pertes thermiques et dans la plupart des cas, fournissent une puissance beaucoup plus supérieure à celle qui est demandée par la charge ce qui accroît donc les pertes. D’autre part, ces systèmes d’énergie polluent l’atmosphère avec des poussières, des gaz, tels que le dioxyde de carbone, les oxydes d’azote et de soufre, déclarés comme étant les plus dangereux pour la santé humaine. L'objectif de cet article est de présenter une méthode pour l’estimation du coût du m3 d’eau pompé par des systèmes PV en tenant compte d’une part des réductions de gaz à effet de serre (GES) et des réalités du marché algérien d’autre part.
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Li, Haomin, Daniel K. Sewell, Ted Herman, Sriram V. Pemmeraju, Alberto M. Segre, Aaron C. Miller et Philip M. Polgreen. « Comparing multiple infection control measures in a nursing home setting : a simulation study ». Infection Control & ; Hospital Epidemiology, 15 mars 2024, 1–8. http://dx.doi.org/10.1017/ice.2024.43.

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Abstract Objective: Compare the effectiveness of multiple mitigation measures designed to protect nursing home residents from infectious disease outbreaks. Design: Agent-based simulation study. Setting: Simulation environment of a small nursing home. Methods: We collected temporally detailed and spatially fine-grained location information from nursing home healthcare workers (HCWs) using sensor motes. We used these data to power an agent-based simulation of a COVID-19 outbreak using realistic time-varying estimates of infectivity and diagnostic sensitivity. Under varying community prevalence and transmissibility, we compared the mitigating effects of (i) regular screening and isolation, (ii) inter-resident contact restrictions, (iii) reduced HCW presenteeism, and (iv) modified HCW scheduling. Results: Across all configurations tested, screening every other day and isolating positive cases decreased the attack rate by an average of 27% to 0.501 on average, while contact restrictions decreased the attack rate by an average of 35%, resulting in an attack rate of only 0.240, approximately half that of screening/isolation. Combining both interventions impressively produced an attack rate of only 0.029. Halving the observed presenteeism rate led to an 18% decrease in the attack rate, but if combined with screening every 6 days, the effect of reducing presenteeism was negligible. Altering work schedules had negligible effects on the attack rate. Conclusions: Universal contact restrictions are highly effective for protecting vulnerable nursing home residents, yet adversely affect physical and mental health. In high transmission and/or high community prevalence situations, restricting inter-resident contact to groups of 4 was effective and made highly effective when paired with weekly testing.
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Wauthy, Xavier. « Numéro 59 - mai 2008 ». Regards économiques, 12 octobre 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.15653.

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Résumé :
"Yahoo refuse l'offre de rachat de Microsoft !" L'encre des gros titres commentant cette décision est à peine sèche que le géant de Redmond pourrait, selon la rumeur, jeter son dévolu sur Facebook, deuxième réseau social numérique sur base du nombre d'utilisateurs actifs. En octobre 2007, Microsoft avait d'ailleurs déjà pris une participation dans Facebook à hauteur d'un quart de milliard de dollars. Mais comment le géant du logiciel, à qui l'on doit des produits aussi peu festifs que Windows, ou la suite logicielle Office, en est-il arrivé à considérer sérieusement le rachat de ce qui ressemble à un innocent gadget d'étudiant, une déclinaison Internet du rituel "Yearbook" cher aux étudiants américains ? Comment ces produits de loisirs purs, proposant gratuitement à leurs utilisateurs des services parfaitement inutiles tels que l'envoi d'un baiser virtuel à un "ami" ou la participation à un concours de "vampires" (?), peuvent-ils atteindre de telles valorisations boursières ? Tout simplement parce qu'ils sont les stars du Web 2.0, ce terme désormais consacré par lequel on caractérise les sites où les utilisateurs peuvent interagir à la fois avec les contenus qui y sont déposés et entre eux. Le dernier numéro de Regards Economiques s'efforce de démonter la mécanique économique qui se cache derrière l'apparente gratuité qui est généralement concédée aux usagers. Car, si la gratuité d'usage se transforme en une valorisation financière significative, c'est forcément que cette gratuité a une contrepartie payante. Le déploiement du Web 2.0 démarre là où l'industrie culturelle traditionnelle marque le pas. La numérisation des produits de contenus tels que musique, son, vidéo et information écrite met en effet à mal le modèle d'affaire dans lequel les Majors vendaient CD, DVD et autres supports dont le contrôle est aujourd’hui rendu plus difficile par leur caractère immatériel. Les sites commerciaux du Web 2.0 tirent parti de cette évolution en exploitant la possibilité de diffuser une très large gamme de contenus, directement "uploadés" par les utilisateurs. Ils se positionnent en plate-forme d'échanges où les contenus sont partagés entre utilisateurs. Les exemples les plus frappants étant à coup sûr YouTube ou MySpace. La présence de contenus très nombreux et très diversifiés constituent un puissant attrait pour les utilisateurs potentiels, qui s'affilient en nombre et apportent à leur tour de nouveaux contenus. Cette spirale vertueuse génère une audience colossale qui constitue le premier pilier du modèle d'affaire du Web 2.0. Le second pilier est le fait que ces contenus très diversifiés auxquels je peux accéder, ces utilisateurs très hétérogènes avec lesquels je peux interagir ne sont vraiment intéressants que s'ils sont proposés en fonction des mes propres goûts, de mes centres d'intérêt. Il faut donc organiser, trier, l'information brute. Ce à quoi s'emploient les plates-formes web, Google et ses moteurs de recherche en tête. Chaque utilisateur a donc un intérêt direct à révéler ses caractéristiques propres pour réaliser des interactions fructueuses. Ce faisant, il "offre" à la plate-forme la possibilité de construire une gigantesque base de données d'utilisateurs. Il reste alors à la plate-forme à vendre l'accès à cette audience à des annonceurs publicitaires pour lesquels la capacité à toucher un large public, finement ciblé sur des goûts, des centres d'intérêt est particulièrement attrayante. La gratuité promise aux utilisateurs vise donc à assurer une forte participation et une révélation d'information maximale. Ce qui revient à assurer pour la base de données la plus grande valeur ajoutée possible, tant par la taille que par le ciblage des utilisateurs, et donc à s'assurer une disponibilité à payer maximale de la part des annonceurs. Google excelle évidemment dans ce domaine. Ce modèle d'affaire où le brassage de contenus organisé par des plates-formes web est instrumentalisé pour attirer des ressources publicitaires pose de nombreuses questions à l'autorité publique. D'une part parce que nombre de ces contenus, protégés par le droit d'auteur, circulent de manière illicite. Comment permettre le développement du Web 2.0 tout en assurant la rémunération légitime des titulaires de droit ? D'autre part, parce que les mécanismes qui président au développement de ces plates-formes génèrent une tendance naturelle à la concentration. Les récentes offres de rachat émanant de Microsoft, Google et autres le confirment. Comment garantir un degré suffisant de concurrence dans cette industrie ? Faut-il contenir l'expansion tentaculaire de Google dont l'ubiquité a de quoi inquiéter ? Autant de questions ouvertes.
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Wauthy, Xavier. « Numéro 59 - mai 2008 ». Regards économiques, 12 octobre 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2008.05.01.

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Résumé :
"Yahoo refuse l'offre de rachat de Microsoft !" L'encre des gros titres commentant cette décision est à peine sèche que le géant de Redmond pourrait, selon la rumeur, jeter son dévolu sur Facebook, deuxième réseau social numérique sur base du nombre d'utilisateurs actifs. En octobre 2007, Microsoft avait d'ailleurs déjà pris une participation dans Facebook à hauteur d'un quart de milliard de dollars. Mais comment le géant du logiciel, à qui l'on doit des produits aussi peu festifs que Windows, ou la suite logicielle Office, en est-il arrivé à considérer sérieusement le rachat de ce qui ressemble à un innocent gadget d'étudiant, une déclinaison Internet du rituel "Yearbook" cher aux étudiants américains ? Comment ces produits de loisirs purs, proposant gratuitement à leurs utilisateurs des services parfaitement inutiles tels que l'envoi d'un baiser virtuel à un "ami" ou la participation à un concours de "vampires" (?), peuvent-ils atteindre de telles valorisations boursières ? Tout simplement parce qu'ils sont les stars du Web 2.0, ce terme désormais consacré par lequel on caractérise les sites où les utilisateurs peuvent interagir à la fois avec les contenus qui y sont déposés et entre eux. Le dernier numéro de Regards Economiques s'efforce de démonter la mécanique économique qui se cache derrière l'apparente gratuité qui est généralement concédée aux usagers. Car, si la gratuité d'usage se transforme en une valorisation financière significative, c'est forcément que cette gratuité a une contrepartie payante. Le déploiement du Web 2.0 démarre là où l'industrie culturelle traditionnelle marque le pas. La numérisation des produits de contenus tels que musique, son, vidéo et information écrite met en effet à mal le modèle d'affaire dans lequel les Majors vendaient CD, DVD et autres supports dont le contrôle est aujourd’hui rendu plus difficile par leur caractère immatériel. Les sites commerciaux du Web 2.0 tirent parti de cette évolution en exploitant la possibilité de diffuser une très large gamme de contenus, directement "uploadés" par les utilisateurs. Ils se positionnent en plate-forme d'échanges où les contenus sont partagés entre utilisateurs. Les exemples les plus frappants étant à coup sûr YouTube ou MySpace. La présence de contenus très nombreux et très diversifiés constituent un puissant attrait pour les utilisateurs potentiels, qui s'affilient en nombre et apportent à leur tour de nouveaux contenus. Cette spirale vertueuse génère une audience colossale qui constitue le premier pilier du modèle d'affaire du Web 2.0. Le second pilier est le fait que ces contenus très diversifiés auxquels je peux accéder, ces utilisateurs très hétérogènes avec lesquels je peux interagir ne sont vraiment intéressants que s'ils sont proposés en fonction des mes propres goûts, de mes centres d'intérêt. Il faut donc organiser, trier, l'information brute. Ce à quoi s'emploient les plates-formes web, Google et ses moteurs de recherche en tête. Chaque utilisateur a donc un intérêt direct à révéler ses caractéristiques propres pour réaliser des interactions fructueuses. Ce faisant, il "offre" à la plate-forme la possibilité de construire une gigantesque base de données d'utilisateurs. Il reste alors à la plate-forme à vendre l'accès à cette audience à des annonceurs publicitaires pour lesquels la capacité à toucher un large public, finement ciblé sur des goûts, des centres d'intérêt est particulièrement attrayante. La gratuité promise aux utilisateurs vise donc à assurer une forte participation et une révélation d'information maximale. Ce qui revient à assurer pour la base de données la plus grande valeur ajoutée possible, tant par la taille que par le ciblage des utilisateurs, et donc à s'assurer une disponibilité à payer maximale de la part des annonceurs. Google excelle évidemment dans ce domaine. Ce modèle d'affaire où le brassage de contenus organisé par des plates-formes web est instrumentalisé pour attirer des ressources publicitaires pose de nombreuses questions à l'autorité publique. D'une part parce que nombre de ces contenus, protégés par le droit d'auteur, circulent de manière illicite. Comment permettre le développement du Web 2.0 tout en assurant la rémunération légitime des titulaires de droit ? D'autre part, parce que les mécanismes qui président au développement de ces plates-formes génèrent une tendance naturelle à la concentration. Les récentes offres de rachat émanant de Microsoft, Google et autres le confirment. Comment garantir un degré suffisant de concurrence dans cette industrie ? Faut-il contenir l'expansion tentaculaire de Google dont l'ubiquité a de quoi inquiéter ? Autant de questions ouvertes.
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White, Bob. « Interculturalité ». Anthropen, 2018. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.082.

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L’interculturalité —le contact entre acteurs sociaux de diverses provenances — a toujours existé. Selon le contexte, l’interculturalité peut être plus ou moins problématique (par exemple dans les situations de crise humanitaire liées à l’arrivée massive de réfugiés) et plus ou moins problématisée (par exemple dans les États qui reconnaissent l’existence de multiples communautés religieuses ou linguistiques). D’abord il est important de distinguer entre l’interculturalité et l’interculturalisme, l’idéologie pluraliste qui vise à renforcer l’harmonisation des relations en contexte pluriethnique (White 2018). Selon plusieurs observateurs, l’interculturalisme serait une réponse aux paradigmes dominants du multiculturalisme et de l’assimilationnisme (Wood et Landry 2008). Cependant, il est important de rappeler que l’interculturalisme n’est pas monolithique. Effectivement, les critiques de l’interculturalisme au Québec démontrent que cette idéologie n’a jamais fait l’objet de consensus (Rocher et White 2014). Dans un deuxième temps il faut constater qu’il y a plusieurs courants théoriques et philosophiques qui s’inspirent de la pensée interculturelle (Emongo 2014). L’anthropologie a gardé ses distances de ce vaste champ de savoir, mais peu d’anthropologues savent que l’anthropologie a eu beaucoup d’influence aux de?buts de la recherche sur la communication interculturelle, notamment à travers la personne de Edward T. Hall. Dans les anneés 1960 et 1970, le champ de la sociolinguistique interactionniste (inspiré en grande partie par les travaux de John J. Gumperz, 1989) a développé des modèles pour expliquer comment les écarts dans la communication en contexte pluriethnique contribuent à la discrimination des personnes immigrantes et des minorités racisées. Dans les années 1980, l’anthropologie américaine dite « postmoderne » a produit un certain nombre d’ethnographies « dialogiques » (White 2018), mais ces travaux ont été limités dans leur influence à l’échelle disicipinaire. Le virage phénoménologique en anthropologie dans les année 1990 a, quant à lui, permis une certaine réflexion autour de la notion d’intersubjectivité, mais l’anthropologie n’a jamais développé une théorie globale de la communication interculturelle, ce qui est surprenant étant donné que les fondements du savoir anthropologique se construisent à partir d’une série de rencontres entre cultures (White et Strohm 2014). La pensée interculturelle n’a jamais eu de véritable foyer disciplinaire, même si plusieurs disciplines ont développé des expertises sur l’analyse des dynamiques de la communication interculturelle (notamment communications, psychologie, éducation, gestion). Au sein des champs de recherche qui revendiquent une approche interculturelle, il y a un grande diversité d’approches, de concepts et de finalités. Gimenez (2018) propose une distinction entre l’utilisation de la pensée culturelle comme projet politique, comme méthode et comme cadre d’analyse. Il y a plusieurs éléments que l’on pourrait identifier avec une « épistémologie de l’interculturel » (Emongo 2014) et plusieurs thèmes qui reviennent fréquemment dans la littérature sur les dynamiques interculturelles, dont trois qui méritent une attention spéciale: la bidirectionnalité, les préjugés, les compétences. Au préalable, précisons qu’on ne peut pas réduire l’étude des dynamiques interculturelles à l’étude des immigrants ou de l’immigration. Pour des raisons évidentes, les contextes de migration transnationale soulèvent régulièrement des problématiques et des préoccupations interculturelles, par exemple sur le vivre-ensemble en contexte pluriethnique (Saillant 2016). Du point de vue interculturel, néanmoins, ce n’est pas la « culture » des groupes minoritaires qui devrait nous intéresser (puisque les groupes majoritaires sont « porteurs de culture » aussi), mais le contact entre personnes de différentes origines. Autrement dit, pour la recherche interculturelle, ce n’est pas la diversité qui est intéressante mais plutôt ce qui arrive en contexte de diversité. La notion de bi-directionnalité—c’est-à-dire l’influence mutuelle entre les groupes d’ici et d’ailleurs—permet de comprendre que mettre l’accent sur les groupes minoritaires ou personnes issues de l’immigration peut renforcer des préjugés à leur égard et que trop souvent les groupes majoritaires sous-estiment l’impact de leurs propres traditions sur le contact avec les personnes issues de l’immigration. La notion des préjugés est centrale à toute tentative d’expliquer les dynamiques interculturelles. Généralement compris comme des fausses idées sur les personnes d’autres groupes, les préjugés en situation interculturelle se rapprochent de formulations souvent rencontrées dans la théorie herméneutique. Selon Gadamer (1996) les préjugés ne sont pas négatifs en soi, puisque, en tant que pré-savoir, ils seraient à la base de la compréhension humaine. La pensée herméneutique permet de comprendre le lien entre préjugés et traditions et du coup de faire la distinction entre les traditions qui agissent comme forme d’autorité et celles qui permettent la transmission du savoir du groupe (White 2017). La pensée herméneutique part du principe que tous les êtres humains ont des préjugés et que les préjugés sont aussi une forme de savoir (parfois valide, parfois fausse). De ce point de vue les préjugés ne sont pas problématiques en soi, mais dans la mesure où ils peuvent être à a source d’incompréhension ou de discrimination (puisque non pas validés). Puisque les préjugés restent souvent dans l’ordre de l’implicite, le développement des compétences interculturelles consiste à rendre les préjugés implicites afin de réduire leur impact dans les différents contextes de la communication. Il existe une vaste littérature sur la notion des compétences en contexte interculturel, notamment dans les domaines qui s’intéressent à l’utilisation des outils interculturels pour faire de la médiation ou de la résolution des conflits. Pour tenir compte de la complexité des compétences interculturelles, il est important de définir les différentes catégories de compétences : savoir (des connaissances sur un sujet), savoir-faire (des connaissances sur les méthodes ou les façons de faire), savoir-être (les habilités sociales ou interpersonnelles). Dans la littérature sur le sujet, il y a souvent une confusion entre les compétences culturelles (c’est-à-dire l’ouverture aux différences culturelles et le savoir sur les différents groupes ethnoculturels) et les compétences interculturelles. Ces dernières doivent être comprises non pas comme un savoir sur l’autre mais plutôt comme des habilités de communication dans les contextes pluriethniques. Les approches qui se basent sur les compétences culturelles ont été critiquées parce qu’elles se limitent aux compétences par la sensibilisation de la différence et ne considèrent pas l’apprentissage de compétences communicationnelles (Gratton 2009). Les critiques des approches interculturelles sont nombreuses. Certaines partent de l’idée que la pensée interculturelle est fondée sur une fausse prémisse, celle qui présume l’existence d’entités culturelles fixes (Dervin 2011). Se basant sur les théories constructivistes, ces critiques montrent que l’identité culturelle est socialement construite et ne peut donc être réduite à une essence ou à des catégories figées. Plusieurs courants de la pensée interculturelle utilisent la notion de culture dans le sens large du terme (par exemple « culture professionnelle » ou « culture organisationnelle ») afin d’éviter les pièges de l’essentialisme, sans pour autant négliger le fait que l’utilisation de l’interculturel peut facilement tomber dans les généralisations et renforcer les stéréotypes sur les catégories culturelles. D’autres critiques de la pensée interculturelle réagissent au recours à l’utilisation ce cette notion dans le but de servir les besoins d’intégration des groupes dominants. De ce point de vue, l’interculturalisme serait une version « soft » de l’assimilationisme puisqu’il vise l’intégration des groupes minoritaires au sein d’un groupe majoritaire. Les critiques les plus radicales s’inspirent des approches orientées vers la lutte contre la discrimination (anti-racisme, droits humains). Selon cette perspective, le fait de parler des différences entre les personnes ou les groupes ne serait admissibleque dans la mesure où il permettrait de mettrela lumière sur l’impact de la discrimination sur les groupes vulnérables. Le simple fait de parler des différences entre les groupes peut, en effet, renforcer les stéréotypes et contribuer à la stigmatisation des groupes minoritaires. Cette critique nécessite plus de recherche et de réflexion puisque d’un point de vue interculturel, le fait de ne pas nommer les différences peut aussi renforcer la discrimination à l’égard des populations vulnérables.
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Fougeyrollas, Patrick. « Handicap ». Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.013.

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Résumé :
Handicap : nom commun d’origine anglo-saxonne dont l’étymologie proviendrait de Hand in Cap, une pratique populaire pour fixer la valeur d'échange d’un bien. Dans le domaine des courses de chevaux, le handicap vise à ajouter du poids aux concurrents les plus puissants pour égaliser les chances de gagner la course pour tous les participants. Il apparait dans le dictionnaire de l’Académie française dans les années 1920 dans le sens de mettre en état d’infériorité. Son utilisation pour désigner les infirmes et invalides est tardive, après les années 1950 et se généralise au début des années 1970. Par un glissement de sens, le terme devient un substantif qualifiant l’infériorité intrinsèque des corps différentiés par leurs atteintes anatomiques, fonctionnelles, comportementales et leur inaptitude au travail. Les handicapés constituent une catégorisation sociale administrative aux frontières floues créée pour désigner la population-cible de traitements socio-politiques visant l’égalisation des chances non plus en intervenant sur les plus forts mais bien sur les plus faibles, par des mesures de réadaptation, de compensation, de normalisation visant l’intégration sociale des handicapés physiques et mentaux. Ceci rejoint les infirmes moteurs, les amputés, les sourds, les aveugles, les malades mentaux, les déficients mentaux, les invalides de guerre, les accidentés du travail, de la route, domestiques et par extension tous ceux que le destin a doté d’un corps différent de la normalité instituée socio-culturellement dans un contexte donné, ce que les francophones européens nomment les valides. Dans une perspective anthropologique, l’existence de corps différents est une composante de toute société humaine (Stiker 2005; Fougeyrollas 2010; Gardou 2010). Toutefois l’identification de ce qu’est une différence signifiante pour le groupe culturel est extrêmement variée et analogue aux modèles d’interprétation proposés par François Laplantine (1993) dans son anthropologie de la maladie. Ainsi le handicap peut être conçu comme altération, lésion ou comme relationnel, fonctionnel, en déséquilibre. Le plus souvent le corps différent est un corps mauvais, marqueur symbolique culturel du malheur lié à la transgression d’interdits visant à maintenir l’équilibre vital de la collectivité. La responsabilité de la transgression peut être endogène, héréditaire, intrinsèque aux actes de la personne, de ses parents, de ses ancêtres, ou exogène, due aux attaques de microbes, de virus, de puissances malveillantes, génies, sorts, divinités, destin. Plus rarement, le handicap peut être un marqueur symbolique de l’élection, comme porteur d’un pouvoir bénéfique singulier ou d’un truchement avec des entités ambiantes. Toutefois être handicapé, au-delà du corps porteur de différences signifiantes, n’implique pas que l’on soit malade. Avec la médicalisation des sociétés développées, une fragmentation extrême du handicap est liée au pouvoir biomédical d’attribuer des diagnostics attestant du handicap, comme garde-barrière de l’accès aux traitements médicaux, aux technologies, à la réadaptation, aux programmes sociaux, de compensation ou d’indemnisation, à l’éducation et au travail protégé ou spécial. Les avancées thérapeutiques et de santé publique diminuent la mortalité et entrainent une croissance continue de la morbidité depuis la Deuxième Guerre mondiale. Les populations vivant avec des conséquences chroniques de maladies, de traumatismes ou d’atteintes à l’intégrité du développement humain augmentent sans cesse. Ceci amène l’Organisation mondiale de la santé (OMS) à s’intéresser non plus aux diagnostics du langage international médical, la Classification internationale des maladies, mais au développement d’une nosologie de la chronicité : la Classification internationale des déficiences, des incapacités et des handicaps qui officialise une perspective tridimensionnelle du handicap (WHO 1980). Cette conceptualisation biomédicale positiviste situe le handicap comme une caractéristique intrinsèque, endogène à l’individu, soit une déficience anatomique ou physiologique entrainant des incapacités dans les activités humaines normales et en conséquence des désavantages sociaux par rapport aux individus ne présentant pas de déficiences. Le modèle biomédical ou individuel définit le handicap comme un manque, un dysfonctionnement appelant à intervenir sur la personne pour l’éduquer, la réparer, l’appareiller par des orthèses, des prothèses, la rétablir par des médicaments, lui enseigner des techniques, des savoirs pratiques pour compenser ses limitations et éventuellement lui donner accès à des subsides ou services visant à minimiser les désavantages sociaux, principalement la désaffiliation sociale et économique inhérente au statut de citoyen non performant ( Castel 1991; Foucault 1972). À la fin des années 1970 se produit une transformation radicale de la conception du handicap. Elle est étroitement associée à la prise de parole des personnes concernées elles-mêmes, dénonçant l’oppression et l’exclusion sociale dues aux institutions spéciales caritatives, privées ou publiques, aux administrateurs et professionnels qui gèrent leur vie. C’est l’émergence du modèle social du handicap. Dans sa tendance sociopolitique néomarxiste radicale, il fait rupture avec le modèle individuel en situant la production structurelle du handicap dans l’environnement socio-économique, idéologique et matériel (Oliver 1990). La société est désignée responsable des déficiences de son organisation conçue sur la performance, la norme et la productivité entrainant un traitement social discriminatoire des personnes ayant des déficiences et l’impossibilité d’exercer leurs droits humains. Handicaper signifie opprimer, minoriser, infantiliser, discriminer, dévaloriser, exclure sur la base de la différence corporelle, fonctionnelle ou comportementale au même titre que d’autres différences comme le genre, l’orientation sexuelle, l’appartenance raciale, ethnique ou religieuse. Selon le modèle social, ce sont les acteurs sociaux détenant le pouvoir dans l’environnement social, économique, culturel, technologique qui sont responsables des handicaps vécus par les corps différents. Les années 1990 et 2000 ont été marquées par un mouvement de rééquilibrage dans la construction du sens du handicap. Réintroduisant le corps sur la base de la valorisation de ses différences sur les plans expérientiels, identitaires et de la créativité, revendiquant des modes singuliers d’être humain parmi la diversité des êtres humains (Shakespeare et Watson 2002; French et Swain 2004), les modèles interactionnistes : personne, environnement, agir, invalident les relations de cause à effet unidirectionnelles propres aux modèles individuels et sociaux. Épousant la mouvance de la temporalité, la conception du handicap est une variation historiquement et spatialement située du développement humain comme phénomène de construction culturelle. Une construction bio-socio-culturelle ouverte des possibilités de participation sociale ou d’exercice effectif des droits humains sur la base de la Déclaration des droits de l’Homme, des Conventions internationales de l’Organisation des Nations-Unies (femmes, enfants, torture et maltraitance) et en l’occurrence de la Convention relative aux droits des personnes handicapées (CDPH) (ONU 2006; Quinn et Degener 2002; Saillant 2007). Par personnes handicapées, on entend des personnes qui présentent des incapacités physiques, mentales, intellectuelles ou sensorielles dont l’interaction avec diverses barrières peut faire obstacle à leur pleine et effective participation à la société sur la base de l’égalité avec les autres. (CDPH, Art 1, P.4). Fruit de plusieurs décennies de luttes et de transformations de la conception du handicap, cette définition représente une avancée historique remarquable autant au sein du dernier des mouvements sociaux des droits civiques, le mouvement international de défense des droits des personnes handicapées, que de la part des États qui l’ont ratifiée. Malgré le fait que l’on utilise encore le terme personne handicapée, le handicap ne peut plus être considéré comme une caractéristique de la personne ni comme un statut figé dans le temps ni comme un contexte oppressif. Il est le résultat d’une relation dont il est nécessaire de décrire les trois composantes anthropologiques de l’être incarné : soi, les autres et l’action ou l’habitus pour en comprendre le processus de construction singulier. Le handicap est situationnel et relatif , sujet à changement, puisqu’il s’inscrit dans une dynamique interactive temporelle entre les facteurs organiques, fonctionnels, identitaires d’une part et les facteurs contextuels sociaux, technologiques et physiques d’autre part, déterminant ce que les personnes ont la possibilité de réaliser dans les habitudes de vie de leurs choix ou culturellement attendues dans leurs collectivités. Les situations de handicap ne peuvent être prédites à l’avance sur la base d’une évaluation organique, fonctionnelle, comportementale, identitaire ou de la connaissance de paramètres environnementaux pris séparément sans réintroduire leurs relations complexes avec l’action d’un sujet définissant le sens ou mieux incarnant la conscience vécue de cette situation de vie. Suite au succès de l’expression personne en situation du handicap en francophonie, on remarque une tendance à voir cette nouvelle appellation remplacer celle de personne handicapée. Ceci est généralement interprété comme une pénétration de la compréhension du modèle interactionniste et socio constructiviste. Toutefois il est inquiétant de voir poindre des dénominations comme personnes en situation de handicap physique, mental, visuel, auditif, intellectuel, moteur. Cette dérive démontre un profond enracinement ontologique du modèle individuel. Il est également le signe d’une tendance à recréer un statut de personne en situation de handicap pour remplacer celui de personne handicapée. Ceci nécessite une explication de la notion de situation de handicap en lien avec le concept de participation sociale. Une personne peut vivre à la fois des situations de handicap et des situations de participation sociale selon les activités qu’elle désire réaliser, ses habitudes de vie. Par exemple une personne ayant des limitations intellectuelles peut vivre une situation de handicap en classe régulière et avoir besoin du soutien d’un éducateur spécialisé mais elle ne sera pas en situation de handicap pour prendre l’autobus scolaire pour se rendre à ses cours. L’expression personne vivant des situations de handicap semble moins propice à la dérive essentialiste que personne en situation de handicap. Le phénomène du handicap est un domaine encore largement négligé mais en visibilité croissante en anthropologie. Au-delà des transformations de sens donné au terme de handicap comme catégorie sociale, utile à la définition de cibles d’intervention, de traitements sociaux, de problématiques sociales pour l’élaboration de politiques et de programmes, les définitions et les modèles présentés permettent de décrire le phénomène, de mieux le comprendre mais plus rarement de formuler des explications éclairantes sur le statut du handicap d’un point de vue anthropologique. Henri-Jacques Stiker identifie, en synthèse, cinq théories du handicap co-existantes dans le champ contemporain des sciences sociales (2005). La théorie du stigmate (Goffman 1975). Le fait du marquage sur le corps pour indiquer une défaveur, une disgrâce, un discrédit profond, constitue une manière de voir comment une infirmité donne lieu à l’attribution d’une identité sociale virtuelle, en décalage complet avec l’identité sociale réelle. Le handicap ne peut être pensé en dehors de la sphère psychique, car il renvoie toujours à l’image de soi, chez celui qui en souffre comme celui qui le regarde. Le regard d’autrui construit le regard que l’on porte sur soi mais en résulte également (Stiker 2005 :200). La théorie culturaliste qui met en exergue la spécificité des personnes handicapées, tout en récusant radicalement la notion même de handicap, est enracinée dans le multiculturalisme américain. Les personnes handicapées se constituent en groupes culturels avec leurs traits singuliers, à partir de conditions de vie, d’une histoire (Stiker 2005). Par exemple au sein des Disability Studies ou Études sur le handicap, il est fréquent de penser que seuls les corps différents concernés peuvent véritablement les pratiquer et en comprendre les fondements identitaires et expérientiels. L’exemple le plus probant est celui de la culture sourde qui se définit comme minorité ethno-linguistique autour de la langue des signes et de la figure identitaire du Sourd. On fera référence ici au Deaf Studies (Gaucher 2009). La théorie de l’oppression (Oliver 1990). Elle affirme que le handicap est produit par les barrières sociales en termes de déterminants sociologiques et politiques inhérents au système capitaliste ou productiviste. Les personnes sont handicapées non par leurs déficiences mais par l’oppression de l’idéologie biomédicale, essentialiste, individualiste construite pour empêcher l’intégration et l’égalité. Ce courant des Disability Studies s’inscrit dans une mouvance de luttes émancipatoires des personnes opprimées elles-mêmes (Stiker 2005 : 210; Boucher 2003) La théorie de la liminalité (Murphy 1990). Par cette différence dont ils sont les porteurs, les corps s’écartent de la normalité attendue par la collectivité et sont placés dans une situation liminale, un entre-deux qu’aucun rite de passage ne semble en mesure d’effacer, de métamorphoser pour accéder au monde des corps normaux. Cette théorie attribue un statut anthropologique spécifique au corps handicapé sans faire référence obligatoire à l’oppression, à l’exclusion, à la faute, ou au pouvoir. Marqués de façon indélébile, ils demeurent sur le seuil de la validité, de l’égalité, des droits, de l’humanité. La théorie de l’infirmité comme double, la liminalité récurrente de Stiker (2005). L’infirmité ne déclenche pas seulement la liminalité mais en référant à la psychanalyse, elle est un véritable double. La déficience est là, nous rappelant ce que nous n’aimons pas et ne voulons pas être, mais elle est notre ombre. Nous avons besoin de l’infirmité, comme de ceux qui la portent pour nous consoler d’être vulnérable et mortel tout autant que nous ne devons pas être confondus avec elle et eux pour continuer à nous estimer. Ils sont, devant nous, notre normalité, mais aussi notre espoir d’immortalité (Stiker 2005 : 223)
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Brien, Donna Lee. « Forging Continuing Bonds from the Dead to the Living : Gothic Commemorative Practices along Australia’s Leichhardt Highway ». M/C Journal 17, no 4 (24 juillet 2014). http://dx.doi.org/10.5204/mcj.858.

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Résumé :
The Leichhardt Highway is a six hundred-kilometre stretch of sealed inland road that joins the Australian Queensland border town of Goondiwindi with the Capricorn Highway, just south of the Tropic of Capricorn. Named after the young Prussian naturalist Ludwig Leichhardt, part of this roadway follows the route his party took as they crossed northern Australia from Morton Bay (Brisbane) to Port Essington (near Darwin). Ignoring the usual colonial practice of honouring the powerful and aristocratic, Leichhardt named the noteworthy features along this route after his supporters and fellow expeditioners. Many of these names are still in use and a series of public monuments have also been erected in the intervening century and a half to commemorate this journey. Unlike Leichhardt, who survived his epic trip, some contemporary travellers who navigate the remote roadway named in his honour do not arrive at their final destinations. Memorials to these violently interrupted lives line the highway, many enigmatically located in places where there is no obvious explanation for the lethal violence that occurred there. This examination profiles the memorials along Leichhardt’s highway as Gothic practice, in order to illuminate some of the uncanny paradoxes around public memorials, as well as the loaded emotional terrain such commemorative practices may inhabit. All humans know that death awaits them (Morell). Yet, despite this, and the unprecedented torrent of images of death and dying saturating news, television, and social media (Duwe; Sumiala; Bisceglio), Gorer’s mid-century ideas about the denial of death and Becker’s 1973 Pulitzer prize-winning description of the purpose of human civilization as a defence against this knowledge remains current in the contemporary trope that individuals (at least in the West) deny their mortality. Contributing to this enigmatic situation is how many deny the realities of aging and bodily decay—the promise of the “life extension” industries (Hall)—and are shielded from death by hospitals, palliative care providers, and the multimillion dollar funeral industry (Kiernan). Drawing on Piatti-Farnell’s concept of popular culture artefacts as “haunted/haunting” texts, the below describes how memorials to the dead can powerfully reconnect those who experience them with death’s reality, by providing an “encrypted passageway through which the dead re-join the living in a responsive cycle of exchange and experience” (Piatti-Farnell). While certainly very different to the “sublime” iconic Gothic structure, the Gothic ruin that Summers argued could be seen as “a sacred relic, a memorial, a symbol of infinite sadness, of tenderest sensibility and regret” (407), these memorials do function in both this way as melancholy/regret-inducing relics as well as in Piatti-Farnell’s sense of bringing the dead into everyday consciousness. Such memorialising activity also evokes one of Spooner’s features of the Gothic, by acknowledging “the legacies of the past and its burdens on the present” (8).Ludwig Leichhardt and His HighwayWhen Leichhardt returned to Sydney in 1846 from his 18-month journey across northern Australia, he was greeted with surprise and then acclaim. Having mounted his expedition without any backing from influential figures in the colony, his party was presumed lost only weeks after its departure. Yet, once Leichhardt and almost all his expedition returned, he was hailed “Prince of Explorers” (Erdos). When awarding him a significant purse raised by public subscription, then Speaker of the Legislative Council voiced what he believed would be the explorer’s lasting memorial —the public memory of his achievement: “the undying glory of having your name enrolled amongst those of the great men whose genius and enterprise have impelled them to seek for fame in the prosecution of geographical science” (ctd. Leichhardt 539). Despite this acclaim, Leichhardt was a controversial figure in his day; his future prestige not enhanced by his Prussian/Germanic background or his disappearance two years later attempting to cross the continent. What troubled the colonial political class, however, was his transgressive act of naming features along his route after commoners rather than the colony’s aristocrats. Today, the Leichhardt Highway closely follows Leichhardt’s 1844-45 route for some 130 kilometres from Miles, north through Wandoan to Taroom. In the first weeks of his journey, Leichhardt named 16 features in this area: 6 of the more major of these after the men in his party—including the Aboriginal man ‘Charley’ and boy John Murphy—4 more after the tradesmen and other non-aristocratic sponsors of his venture, and the remainder either in memory of the journey’s quotidian events or natural features there found. What we now accept as traditional memorialising practice could in this case be termed as Gothic, in that it upset the rational, normal order of its day, and by honouring humble shopkeepers, blacksmiths and Indigenous individuals, revealed the “disturbance and ambivalence” (Botting 4) that underlay colonial class relations (Macintyre). On 1 December 1844, Leichhardt also memorialised his own past, referencing the Gothic in naming a watercourse The Creek of the Ruined Castles due to the “high sandstone rocks, fissured and broken like pillars and walls and the high gates of the ruined castles of Germany” (57). Leichhardt also disturbed and disfigured the nature he so admired, famously carving his initials deep into trees along his route—a number of which still exist, including the so-called Leichhardt Tree, a large coolibah in Taroom’s main street. Leichhardt also wrote his own memorial, keeping detailed records of his experiences—both good and more regretful—in the form of field books, notebooks and letters, with his major volume about this expedition published in London in 1847. Leichhardt’s journey has since been memorialised in various ways along the route. The Leichhardt Tree has been further defaced with numerous plaques nailed into its ancient bark, and the town’s federal government-funded Bicentennial project raised a formal memorial—a large sandstone slab laid with three bronze plaques—in the newly-named Ludwig Leichhardt Park. Leichhardt’s name also adorns many sites both along, and outside, the routes of his expeditions. While these fittingly include natural features such as the Leichhardt River in north-west Queensland (named in 1856 by Augustus Gregory who crossed it by searching for traces of the explorer’s ill-fated 1848 expedition), there are also many businesses across Queensland and the Northern Territory less appropriately carrying his name. More somber monuments to Leichhardt’s legacy also resulted from this journey. The first of these was the white settlement that followed his declaration that the countryside he moved through was well endowed with fertile soils. With squatters and settlers moving in and land taken up before Leichhardt had even arrived back in Sydney, the local Yeeman people were displaced, mistreated and completely eradicated within a decade (Elder). Mid-twentieth century, Patrick White’s literary reincarnation, Voss of the eponymous novel, and paintings by Sidney Nolan and Albert Tucker have enshrined in popular memory not only the difficult (and often described as Gothic) nature of the landscape through which Leichhardt travelled (Adams; Mollinson, and Bonham), but also the distinctive and contrary blend of intelligence, spiritual mysticism, recklessness, and stoicism Leichhardt brought to his task. Roadside Memorials Today, the Leichhardt Highway is also lined with a series of roadside shrines to those who have died much more recently. While, like centotaphs, tombstones, and cemeteries, these memorialise the dead, they differ in usually marking the exact location that death occurred. In 43 BC, Cicero articulated the idea of the dead living in memory, “The life of the dead consists in the recollection cherished of them by the living” (93), yet Nelson is one of very few contemporary writers to link roadside memorials to elements of Gothic sensibility. Such constructions can, however, be described as Gothic, in that they make the roadway unfamiliar by inscribing onto it the memory of corporeal trauma and, in the process, re-creating their locations as vivid sites of pain and suffering. These are also enigmatic sites. Traffic levels are generally low along the flat or gently undulating terrain and many of these memorials are located in locations where there is no obvious explanation for the violence that occurred there. They are loci of contradictions, in that they are both more private than other memorials, in being designed, and often made and erected, by family and friends of the deceased, and yet more public, visible to all who pass by (Campbell). Cemeteries are set apart from their surroundings; the roadside memorial is, in contrast, usually in open view along a thoroughfare. In further contrast to cemeteries, which contain many relatively standardised gravesites, individual roadside memorials encapsulate and express not only the vivid grief of family and friends but also—when they include vehicle wreckage or personal artefacts from the fatal incident—provide concrete evidence of the trauma that occurred. While the majority of individuals interned in cemeteries are long dead, roadside memorials mark relatively contemporary deaths, some so recent that there may still be tyre marks, debris and bloodstains marking the scene. In 2008, when I was regularly travelling this roadway, I documented, and researched, the six then extant memorial sites that marked the locations of ten fatalities from 1999 to 2006. (These were all still in place in mid-2014.) The fatal incidents are very diverse. While half involved trucks and/or road trains, at least three were single vehicle incidents, and the deceased ranged from 13 to 84 years of age. Excell argues that scholarship on roadside memorials should focus on “addressing the diversity of the material culture” (‘Contemporary Deathscapes’) and, in these terms, the Leichhardt Highway memorials vary from simple crosses to complex installations. All include crosses (mostly, but not exclusively, white), and almost all are inscribed with the name and birth/death dates of the deceased. Most include flowers or other plants (sometimes fresh but more often plastic), but sometimes also a range of relics from the crash and/or personal artefacts. These are, thus, unsettling sights, not least in the striking contrast they provide with the highway and surrounding road reserve. The specific location is a key component of their ability to re-sensitise viewers to the dangers of the route they are travelling. The first memorial travelling northwards, for instance, is situated at the very point at which the highway begins, some 18 kilometres from Goondiwindi. Two small white crosses decorated with plastic flowers are set poignantly close together. The inscriptions can also function as a means of mobilising connection with these dead strangers—a way of building Secomb’s “haunted community”, whereby community in the post-colonial age can only be built once past “murderous death” (131) is acknowledged. This memorial is inscribed with “Cec Hann 06 / A Good Bloke / A Good hoarseman [sic]” and “Pat Hann / A Good Woman” to tragically commemorate the deaths of an 84-year-old man and his 79-year-old wife from South Australia who died in the early afternoon of 5 June 2006 when their Ford Falcon, towing a caravan, pulled onto the highway and was hit by a prime mover pulling two trailers (Queensland Police, ‘Double Fatality’; Jones, and McColl). Further north along the highway are two memorials marking the most inexplicable of road deaths: the single vehicle fatality (Connolly, Cullen, and McTigue). Darren Ammenhauser, aged 29, is remembered with a single white cross with flowers and plaque attached to a post, inscribed hopefully, “Darren Ammenhauser 1971-2000 At Rest.” Further again, at Billa Billa Creek, a beautifully crafted metal cross attached to a fence is inscribed with the text, “Kenneth J. Forrester / RIP Jack / 21.10.25 – 27.4.05” marking the death of the 79-year-old driver whose vehicle veered off the highway to collide with a culvert on the creek. It was reported that the vehicle rolled over several times before coming to rest on its wheels and that Forrester was dead when the police arrived (Queensland Police, ‘Fatal Traffic Incident’). More complex memorials recollect both single and multiple deaths. One, set on both sides of the road, maps the physical trajectory of the fatal smash. This memorial comprises white crosses on both sides of road, attached to a tree on one side, and a number of ancillary sites including damaged tyres with crosses placed inside them on both sides of the road. Simple inscriptions relay the inability of such words to express real grief: “Gary (Gazza) Stevens / Sadly missed” and “Gary (Gazza) Stevens / Sadly missed / Forever in our hearts.” The oldest and most complex memorial on the route, commemorating the death of four individuals on 18 June 1999, is also situated on both sides of the road, marking the collision of two vehicles travelling in opposite directions. One memorial to a 62-year-old man comprises a cross with flowers, personal and automotive relics, and a plaque set inside a wooden fence and simply inscribed “John Henry Keenan / 23-11-1936–18-06-1999”. The second memorial contains three white crosses set side-by-side, together with flowers and relics, and reveals that members of three generations of the same family died at this location: “Raymond Campbell ‘Butch’ / 26-3-67–18-6-99” (32 years of age), “Lorraine Margaret Campbell ‘Lloydie’ / 29-11-46–18-6-99” (53 years), and “Raymond Jon Campbell RJ / 28-1-86–18-6-99” (13 years). The final memorial on this stretch of highway is dedicated to Jason John Zupp of Toowoomba who died two weeks before Christmas 2005. This consists of a white cross, decorated with flowers and inscribed: “Jason John Zupp / Loved & missed by all”—a phrase echoed in his newspaper obituary. The police media statement noted that, “at 11.24pm a prime mover carrying four empty trailers [stacked two high] has rolled on the Leichhardt Highway 17km north of Taroom” (Queensland Police, ‘Fatal Truck Accident’). The roadside memorial was placed alongside a ditch on a straight stretch of road where the body was found. The coroner’s report adds the following chilling information: “Mr Zupp was thrown out of the cabin and his body was found near the cabin. There is no evidence whatsoever that he had applied the brakes or in any way tried to prevent the crash … Jason was not wearing his seatbelt” (Cornack 5, 6). Cornack also remarked the truck was over length, the brakes had not been properly adjusted, and the trip that Zupp had undertaken could not been lawfully completed according to fatigue management regulations then in place (8). Although poignant and highly visible due to these memorials, these deaths form a small part of Australia’s road toll, and underscore our ambivalent relationship with the automobile, where road death is accepted as a necessary side-effect of the freedom of movement the technology offers (Ladd). These memorials thus animate highways as Gothic landscapes due to the “multifaceted” (Haider 56) nature of the fear, terror and horror their acknowledgement can bring. Since 1981, there have been, for instance, between some 1,600 and 3,300 road deaths each year in Australia and, while there is evidence of a long term downward trend, the number of deaths per annum has not changed markedly since 1991 (DITRDLG 1, 2), and has risen in some years since then. The U.S.A. marked its millionth road death in 1951 (Ladd) along the way to over 3,000,000 during the 20th century (Advocates). These deaths are far reaching, with U.K. research suggesting that each death there leaves an average of 6 people significantly affected, and that there are some 10 to 20 per cent of mourners who experience more complicated grief and longer term negative affects during this difficult time (‘Pathways Through Grief’). As the placing of roadside memorials has become a common occurrence the world over (Klaassens, Groote, and Vanclay; Grider; Cohen), these are now considered, in MacConville’s opinion, not only “an appropriate, but also an expected response to tragedy”. Hockey and Draper have explored the therapeutic value of the maintenance of “‘continuing bonds’ between the living and the dead” (3). This is, however, only one explanation for the reasons that individuals erect roadside memorials with research suggesting roadside memorials perform two main purposes in their linking of the past with the present—as not only sites of grieving and remembrance, but also of warning (Hartig, and Dunn; Everett; Excell, Roadside Memorials; MacConville). Clark adds that by “localis[ing] and personalis[ing] the road dead,” roadside memorials raise the profile of road trauma by connecting the emotionless statistics of road death directly to individual tragedy. They, thus, transform the highway into not only into a site of past horror, but one in which pain and terror could still happen, and happen at any moment. Despite their increasing commonality and their recognition as cultural artefacts, these memorials thus occupy “an uncomfortable place” both in terms of public policy and for some individuals (Lowe). While in some states of the U.S.A. and in Ireland the erection of such memorials is facilitated by local authorities as components of road safety campaigns, in the U.K. there appears to be “a growing official opposition to the erection of memorials” (MacConville). Criticism has focused on the dangers (of distraction and obstruction) these structures pose to passing traffic and pedestrians, while others protest their erection on aesthetic grounds and even claim memorials can lower property values (Everett). While many ascertain a sense of hope and purpose in the physical act of creating such shrines (see, for instance, Grider; Davies), they form an uncanny presence along the highway and can provide dangerous psychological territory for the viewer (Brien). Alongside the townships, tourist sites, motels, and petrol stations vying to attract customers, they stain the roadway with the unmistakable sign that a violent death has happened—bringing death, and the dead, to the fore as a component of these journeys, and destabilising prominent cultural narratives of technological progress and safety (Richter, Barach, Ben-Michael, and Berman).Conclusion This investigation has followed Goddu who proposes that a Gothic text “registers its culture’s contradictions” (3) and, in profiling these memorials as “intimately connected to the culture that produces them” (Goddu 3) has proposed memorials as Gothic artefacts that can both disturb and reveal. Roadside memorials are, indeed, so loaded with emotional content that their close contemplation can be traumatising (Brien), yet they are inescapable while navigating the roadway. Part of their power resides in their ability to re-animate those persons killed in these violent in the minds of those viewing these memorials. In this way, these individuals are reincarnated as ghostly presences along the highway, forming channels via which the traveller can not only make human contact with the dead, but also come to recognise and ponder their own sense of mortality. While roadside memorials are thus like civic war memorials in bringing untimely death to the forefront of public view, roadside memorials provide a much more raw expression of the chaotic, anarchic and traumatic moment that separates the world of the living from that of the dead. While traditional memorials—such as those dedicated by, and to, Leichhardt—moreover, pay homage to the vitality of the lives of those they commemorate, roadside memorials not only acknowledge the alarming circumstances of unexpected death but also stand testament to the power of the paradox of the incontrovertibility of sudden death versus our lack of ability to postpone it. In this way, further research into these and other examples of Gothic memorialising practice has much to offer various areas of cultural study in Australia.ReferencesAdams, Brian. Sidney Nolan: Such Is Life. Hawthorn, Vic.: Hutchinson, 1987. Advocates for Highway and Auto Safety. “Motor Vehicle Traffic Fatalities & Fatality Rate: 1899-2003.” 2004. Becker, Ernest. The Denial of Death. New York: Simon & Schuster, 1973. Bisceglio, Paul. “How Social Media Is Changing the Way We Approach Death.” The Atlantic 20 Aug. 2013. Botting, Fred. Gothic: The New Critical Idiom. 2nd edition. Abingdon, UK: Routledge, 2014. 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Texte intégral
Résumé :
Through my last lengthy writing project, it did not take long to I realise I had become obsessed with paths. The proof of it was there in my notebooks, and, most prominently, in the backlog of photographs cluttering the inner workings of my mobile phone. Most of the photographs I took had a couple of things in common: first, the astonishing greenness of the world they were describing; second, the way a road or path or corridor or pavement or trail led off into distance. The greenness was because I was in England, in summer, and mostly in a part of the country where green seems at times the only colour. I am not sure what it was about tailing perspective that caught me.Image 1: a) Undercliffe Cemetery, Bradford; b) Undercliffe Cemetery, Bradfordc) Leeds Road, Otley; d) Shibden Park, Halifax Image 2: a) Runswick Bay; b) St. Mary's Churchyard, Habberleyc) The Habberley Road, to Pontesbury; d) Todmorden, path to Stoodley Pike I was working on a kind of family memoir, tied up in my grandmother’s last days, which were also days I spent marching through towns and countryside I once knew, looking for clues about a place and its past. I had left the north-west of England a decade or so before, and I was grappling with what James Wood calls “homelooseness”, a sensation of exile that even economic migrants like myself encounter. It is a particular kind of “secular homelessness” in which “the ties that might bind one to Home have been loosened” (105-106). Loosened irrevocably, I might add. The kind of wandering which I embarked on is not unique. Wood describes it in himself, and in the work of W.G. Sebald—a writer who, he says, “had an exquisite sense of the varieties of not-belonging” (106).I walked a lot, mostly on paths I used to know. And when, later, I counted up the photographs I had taken of that similar-but-different scene, there were almost 500 of them, none of which I can bring myself to delete. Some were repeated, or nearly so—I had often tried to make sure the path in the frame was centred in the middle of the screen. Most of the pictures were almost entirely miscellaneous, and if it were not for a feature on my phone I could not work out how to turn off (that feature which tracks where each photograph was taken) I would not have much idea of what each picture represented. What’s clear is that there was some lingering significance, some almost-tangible metaphor, in the way I was recording the walking I was doing. This same significance is there, too (in an almost quantifiable way), in the thesis I was working on while I was taking the photographs: I used the word “path” 63 times in the version I handed to examiners, not counting all the times I could have, but chose not to—all the “pavements”, “trails”, “roads”, and “holloways” of it would add up to a number even more substantial. For instance, the word “walk”, or derivatives of it, comes up 115 times. This article is designed to ask why. I aim to focus on that metaphor, on that significance, and unpack the way life writing can intersect with both the journey of a life being lived, and the process of writing down that life (by process of writing I sometimes mean anything but: I mean the process of working towards the writing. Of going, of doing, of talking, of spending, of working, of thinking, of walking). I came, in the thesis, to view certain kinds of prose as a way of imitating the rhythms of the mind, but I think there’s something about that rhythm which associates it with the feet as well. Rebecca Solnit thinks so too, or, at least, that the processes of thinking and walking can wrap around each other, helixed or concatenated. In Wanderlust she says that:the rhythm of walking generates a kind of rhythm of thinking, and the passage through a landscape echoes or stimulates the passage through a series of thoughts. This creates an odd consonance between internal and external passage, one that suggests that the mind is also a landscape of sorts and that walking is one way to traverse it. (5-6)The “odd consonance” Solnit speaks of is a kind of seamlessness between the internal and external; it is something which can be aped on the page. And, in this way, prose can imitate the mind thinking. This way of writing is evident in the digression-filled, wandering, sinuous sentences of W.G. Sebald, and of Marcel Proust as well. I don’t want to entangle myself in the question of whether Proust and Sebald count as life writers here. I used them as models, and, at the very least, I think their prose manipulates the conceits of the autobiographical pact. In fact, Sebald often refused to label his own work; once he called his writing “prose [...] of indefinite form” (Franklin 123). My definition of life writing is, thus, indefinite, and merely indicates the field in which I work and know best.Edmund White, when writing on Proust, suggested that every page of Remembrance of Things Past—while only occasionally being a literal page of Proust’s mind thinking—is, nevertheless, “a transcript of a mind thinking [...] the fully orchestrated, ceaseless, and disciplined ruminations of one mind, one voice” (138). Ceaselessness, seamlessness ... there’s also a viscosity to this kind of prose—Virginia Woolf called it “impassioned”, and spoke of the way some prosecan lick up with its long glutinous tongue the most minute fragments of fact and mass them into the most subtle labyrinths, and listen silently at doors behind which only a murmur, only a whisper, is to be heard. With all the suppleness of a tool which is in constant use it can follow the windings and record the changes which are typical of the modern mind. To this, with Proust and Dostoevsky behind us, we must agree. (20)When I read White and Woolf it seemed they could have been talking about Sebald, too: everything in Sebald’s oeuvre is funnelled through what White described in Remembrance as the cyclopean “I” at the centre of the Proustian consciousness (138). The same could be said about Sebald: as Lynne Schwartz says, “All Sebald’s characters sound like the narrator” (15). And that narrator has very particular qualities, encouraged by the sense of homelooseness Wood describes: the Sebald narrator is a wanderer, by train through Italian cities and New York Suburbs, on foot through the empty reaches of the English countryside, exploring the history of each settlement he passes through [...] Wherever he travels, he finds strangely vacant streets and roads, not a soul around [...] Sebald’s books are famously strewn with evocative, gloomy black-and-white photographs that call up the presence of the dead, of vanished places, and also serve as proofs of his passage. (Schwartz 14) I tried to resist the urge to take photographs, for the simple reason that I knew I could not include them all in the finished thesis—even including some would seem (perhaps) derivative. But this method of wandering—whether on the page or in the world—was formative for me. And the linkage between thinking and walking, and walking and writing, and writing and thinking is worth exploring, if only to identify some reason for that need to show proof of passage.Walking in Proust and Sebald either forms the shape of narrative, or one its cruxes. Both found ways to let walking affect the rhythm, movement, motivation, and even the aesthetic of their prose. Sebald’s The Rings of Saturn, for example, is plotless because of the way it follows its narrator on a walking tour of Suffolk. The effect is similar to something Murray Baumgarten noticed in one of Sebald’s other books, The Emigrants: “The [Sebaldian] narrator discovers in the course of his travels (and with him the reader) that he is constructing the text he is reading, a text at once being imagined and destroyed, a fragment of the past, and a ruin that haunts the present” (268). Proust’s opus is a meditation on the different ways we can walk. Remembrance is a book about momentum—a book about movement. It is a book which always forges forward, but which always faces backward, where time and place can still and footsteps be paused in motion, or tiptoed upstairs and across tables or be caught in flight over the body of an octogenarian lying on a beach. And it is the walks of the narrator’s past—his encounters with landscape—that give his present (and future) thoughts impetus: the rhythms of his long-past progress still affect the way he moves and acts and thinks, and will always do so:the “Méséglise way” and the “Guermantes way” remain for me linked with many of the little incidents of that one of all the divers lives along whose parallel lines we are moved, which is the most abundant in sudden reverses of fortune, the richest in episodes; I mean the life of the mind [...] [T]he two “ways” give to those [impressions of the mind] a foundation, depth, a dimension lacking from the rest. They invest them, too, with a charm, a significance which is for me alone. (Swann’s Way 252-255)The two “ways”—walks in and around the town of Combray—are, for the narrator, frames through which he thinks about his childhood, and all the things which happened to him because of that childhood. I felt something similar through the process of writing my thesis: a need to allow the 3-mile-per-hour-connection between mind and body and place that Solnit speaks about seep into my work. I felt the stirrings of old ways; the places I once walked, which I photographed and paced, pulsed and pushed me forwards in the present and towards the future. I felt strangely attached to, and disconnected from, those pathways: lanes where I had rummaged for conkers; streets my grandparents had once lived and worked on; railways demolished because of roads which now existed, leaving only long, straight pathways through overgrown countryside suffused with time and memory. The oddness I felt might be an effect of what Wood describes as a “certain doubleness”, “where homesickness is a kind of longing for Britain and an irritation with Britain: sickness for and sickness of” (93-94). The model of seamless prose offered some way to articulate, at least, the particularities of this condition, and of the problem of connection—whether with place or the past. But it is in this shift away from conclusiveness, which occurs when the writer constructs-as-they-write, that Baumgarten sees seamlessness:rather than the defined edges, boundaries, and conventional perceptions promised by realism, and the efficient account of intention, action, causation, and conclusion implied by the stance of realistic prose, reader and narrator have to assimilate the past and present in a dream state in which they blend imperceptibly into each other. (277)It’s difficult to articulate the way in which the connection between walking, writing, and thinking works. Solnit draws one comparison, talking to the ways in which digression and association mix:as a literary structure, the recounted walk encourages digression and association, in contrast to the stricter form of a discourse or the chronological progression of a biographical or historical narrative [...] James Joyce and Virginia Woolf would, in trying to describe the workings of the mind, develop of style called stream of consciousness. In their novels Ulysses and Mrs Dalloway, the jumble of thoughts and recollections of their protagonists unfolds best during walks. This kind of unstructured, associative thinking is the kind most often connected to walking, and it suggests walking as not an analytical but an improvisational act. (21)I think the key, here, is the notion of association—in the making of connections, and, in my case, in the making of connections between present and past. When we walk we exist in a roving state, and with a dual purpose: Sophie Cunningham says that we walk to get from one place to the next, but also to insist that “what lies between our point of departure and our destination is important. We create connection. We pay attention to detail, and these details plant us firmly in the day, in the present” (Cunningham). The slipperiness of homelooseness can be emphasised in the slipperiness of seamless prose, and walking—situating self in the present—is a rebuttal of slipperiness (if, as I will argue, a rebuttal which has at its heart a contradiction: it is both effective and ineffective. It feels as close as is possible to something impossible to attain). Solnit argues that walking and what she calls “personal, descriptive, and specific” writing are suited to each other:walking is itself a way of grounding one’s thoughts in a personal and embodied experience of the world that it lends itself to this kind of writing. This is why the meaning of walking is mostly discussed elsewhere than in philosophy: in poetry, novels, letters, diaries, travellers’ accounts, and first-person essays. (26)If a person is searching for some kind of possible-impossible grounding in the past, then walking pace is the pace at which to achieve that sensation (both in the world and on the page). It is at walking pace that connections can be made, even if they can be sensed slipping away: this is the Janus-faced problem of attempting to uncover anything which has been. The search, in fact, becomes facsimile for the past itself, or for the inconclusiveness of the past. In my own work—in preparing for that work—I walked and wrote about walking up the flank of the hill which hovered above the house in which I lived before I left England. To get to the top, and the great stone monument which sits there, I had to pass that house. The door was open, and that was enough to unsettle. Baumgarten, again on The Emigrants, articulates the effect: “unresolved, fragmented, incomplete, relying on shards for evidence, the narrator insists on the inconclusiveness of his experience: rather than arriving at a conclusion, narrator and reader are left disturbed” (269).Sebald writes in his usual intense way about a Swiss writer, Robert Walser, who he calls le promeneur solitaire (“The Solitary Walker”). Walser was a prolific writer, but through the last years of his life wrote less and less until he ended up incapable of doing so: in the end, Sebald says, “the traces Robert Walser left on his path through life were so faint as to have almost been effaced altogether” (119).Sebald draws parallels between Walser and his own grandfather. Both have worked their way into Sebald’s prose, along with the author himself. Because of this cocktail, I’ve come to read Sebald’s thoughts on Walser as sideways thoughts on his own prose (perhaps due to that cyclopean quality described by White). The works of the two writers share, at the very least, a certain incandescent ephemerality—a quality which exists in Sebald’s work, crystallised in the form and formlessness of a wasps’ nest. The wasps’ nest is a symbol Sebald uses in his book Vertigo, and which he talks to in an interview with Sarah Kafatou:do you know what a wasp’s nest is like? It’s made of something much much thinner than airmail paper: grey and as thin as possible. This gets wrapped around and around like pastry, like a millefeuille, and can get as big as two feet across. It weighs nothing. For me the wasp’s nest is a kind of ideal vision: an object that is extremely complicated and intricate, made out of something that hardly exists. (32)It is in this ephemerality that the walker’s way of moving—if not their journey—can be felt. The ephemerality is necessary because of the way the world is: the way it always passes. A work which is made to seem to encompass everything, like Remembrance of Things Past, is made to do so because that is the nature of what walking offers: an ability to comprehend the world solidly, both minutely and vastly, but with a kind of forgetting attached to it. When a person walks through the world they are firmly embedded in it, yes, but they are also always enacting a process of forgetting where they have been. This continual interplay between presence and absence is evidenced in the way in which Sebald and Proust build the consciousnesses they shape on the page—consciousnessess accustomed to connectedness. According to Sebald, it was through the prose of Walser that he learned this—or, at least, through an engagement with Walser’s world, Sebald, “slowly learned to grasp how everything is connected across space and time” (149). Perhaps it can be seen in the way that the Méséglise and Guermantes ways resonate for the Proustian narrator even when they are gone. Proust’s narrator receives a letter from an old love, in the last volume of Remembrance, which describes the fate of the Méséglise way (Swann’s way, that is—the title of the first volume in the sequence). Gilberte tells him that the battlefields of World War I have overtaken the paths they used to walk:the little road you so loved, the one we called the stiff Hawthorn climb, where you professed to be in love with me when you were a child, when all the time I was in love with you, I cannot tell you how important that position is. The great wheatfield in which it ended is the famous “slope 307,” the name you have so often seen recorded in the communiqués. The French blew up the little bridge over the Vivonne which, you remember, did not bring back your childhood to you as much as you would have liked. The Germans threw others across; during a year and a half they held one half of Combray and the French the other. (Time Regained 69-70)Lia Purpura describes, and senses, a similar kind of connectedness. The way in which each moment builds into something—into the ephemeral, shifting self of a person walking through the world—is emphasised because that is the way the world works:I could walk for miles right now, fielding all that passes through, rubs off, lends a sense of being—that rush of moments, objects, sensations so much like a cloud of gnats, a cold patch in the ocean, dust motes in a ray of sun that roil, gather, settle around my head and make up the daily weather of a self. (x)This is what seamless prose can emulate: the rush of moments and the folds and shapes which dust turns and makes. And, well, I am aware that this may seem a grand kind of conclusion, and even a peculiarly nonspecific one. But nonspecificity is built by a culmination of details, of sentences—it is built deliberately, to evoke a sense of looseness in the world. And in the associations which result, through the mind of the writer, their narrator, and the reader, much more than is evident on the page—Sebald’s “everything”—is flung to the surface. Of course, this “everything” is split through with the melancholy evident in the destruction of the Méséglise way. Nonspecificity becomes the result of any attempt to capture the past—or, at least, the past becomes less tangible the longer, closer, and slower your attempt to grasp it. In both Sebald and Proust the task of representation is made to feel seamless in echo of the impossibility of resolution.In the unbroken track of a sentence lies a metaphor for the way in which life is spent: under threat, forever assaulted by the world and the senses, and forever separated from what came before. The walk-as-method is entangled with the mind thinking and the pen writing; each apes the other, and all work towards the same kind of end: an articulation of how the world is. At least, in the hands of Sebald and Proust and through their long and complex prosodies, it does. For both there is a kind of melancholy attached to this articulation—perhaps because the threads that bind sever as well. The Rings of Saturn offers a look at this. The book closes with a chapter on the weaving of silk, inflected, perhaps, with a knowledge of the ways in which Robert Walser—through attempts to ensnare some of life’s ephemerality—became a victim of it:That weavers in particular, together with scholars and writers with whom they had much in common, tended to suffer from melancholy and all the evils associated with it, is understandable given the nature of their work, which forced them to sit bent over, day after day, straining to keep their eye on the complex patterns they created. It is difficult to imagine the depths of despair into which those can be driven who, even after the end of the working day, are engrossed in their intricate designs and who are pursued, into their dreams, by the feeling that they have got hold of the wrong thread. (283)Vladimir Nabokov, writing on Swann’s Way, gives a competing metaphor for thinking through the seamlessness afforded by walking and writing. It is, altogether, more optimistic: more in keeping with Purpura’s interpretation of connectedness: “Proust’s conversations and his descriptions merge into one another, creating a new unity where flower and leaf and insect belong to one and the same blossoming tree” (214). This is the purpose of long and complex books like The Rings of Saturn and Remembrance of Things Past: to draw the lines which link each and all together. To describe the shape of consciousness, to mimic the actions of a body experiencing its progress through the world. I think that is what the photographs I took when wandering attempt, in a failing way, to do. They all show a kind of relentlessness, but in that relentlessness is also, I think, the promise of connectedness—even if not connectedness itself. Each path aims forward, and articulates something of what came before and what might come next, whether trodden in the world or walked on the page.Author’s NoteI’d like to express my thanks to the anonymous reviewers who took time to improve this article. I’m grateful for their insights and engagement, and for the nuance they added to the final copy.References Baumgarten, Murray. “‘Not Knowing What I Should Think:’ The Landscape of Postmemory in W.G. 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