Articles de revues sur le sujet « Microenvironnement immunitaire des tumeurs »

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1

Coënon, Loïs, Arthur Battistoni, Agathe Poupée-Beaugé, Stéphanie Germon et Isabelle Dimier-Poisson. « Micro-organismes anti-cancéreux et armement ». médecine/sciences 37, no 1 (janvier 2021) : 47–52. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2020259.

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Résumé :
Depuis plusieurs années, la recherche sur les micro-organismes pour une utilisation à des fins d’immunothérapie antitumorale est en plein essor. L’efficacité antitumorale de ces micro-organismes repose sur trois mécanismes principaux : la destruction des cellules tumorales, la stimulation du système immunitaire et la reprogrammation du microenvironnement tumoral. Afin d’optimiser leur action immunothérapeutique, ces micro-organismes peuvent être génétiquement modifiés pour les rendre capables de vectoriser des molécules immunostimulantes ou des anticorps. Par ingénierie moléculaire, il est désormais possible de diversifier les formats et fonctions de ces anticorps afin d’inhiber les points de contrôle immunitaire ou encore de recruter les cellules immunitaires effectrices au site de la tumeur. Cette Synthèse s’intéresse particulièrement à ces innovations et à leurs avantages en immunothérapie.
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2

Tartour, Eric. « Vaccins anti-cancer : quel avenir dans les stratégies d’immunothérapie anti-cancéreuse ? » Biologie Aujourd'hui 212, no 3-4 (2018) : 69–76. http://dx.doi.org/10.1051/jbio/2019002.

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Résumé :
Les cellules tumorales peuvent être reconnues par le système immunitaire et notamment par les lymphocytes T (LT)-CD8 cytotoxiques. Cette observation a permis d’envisager le concept d’une vaccination ciblant les molécules associées aux tumeurs. Différents types de vaccins anti-tumoraux ont été développés. Les vaccins préventifs contre le cancer (vaccins anti-papillomavirus oncogéniques, vaccin contre le virus de l’hépatite B) visent à empêcher l’introduction dans l’organisme de virus jouant un rôle dans l’oncogénèse et ont démontré leur efficacité. Au contraire, en cas de tumeur déjà présente dans l’organisme, les vaccins thérapeutiques anti-cancer n’ont eu, jusqu’à ce jour, que peu d’impact sur la prise en charge des patients. Néanmoins, ces vaccins connaissent un regain d’intérêt, car de nouvelles cibles antigéniques sont apparues et ont été incorporées dans le design des vaccins, tels que les antigènes mutés ou les molécules associées au stroma du microenvironnement tumoral. De nouveaux critères d’efficacité des vaccins ont été identifiés, comme la nécessité d’induire des lymphocytes T résidents intratumoraux, pouvant conduire au développement d’une vaccination muqueuse (voie nasale, voie orale…) pour les amplifier. Enfin, en raison de l’immunosuppression du microenvironnement tumoral et de l’expression de récepteurs inhibiteurs sur les LT-CD8 dans la tumeur, différentes stratégies d’association thérapeutique entre les vaccins anti-cancer et des molécules levant ces phénomènes d’inhibition sont en cours de développement sur le plan clinique.
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3

Kaplon, Hélène, et Marie-Caroline Dieu-Nosjean. « Quel avenir pour les lymphocytes B infiltrant les tumeurs solides ». médecine/sciences 34, no 1 (janvier 2018) : 72–78. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/20183401016.

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Résumé :
Le rôle des lymphocytes B (LB) dans l’immuno-surveillance des tumeurs a longtemps été négligé car il a été souvent considéré comme peu efficace, voire pro-tumoral. Des études approfondies du microenvironnement immunitaire, notamment dans les cancers humains, ont permis de préciser la nature des interactions entre le LB et ses partenaires cellulaires. Cette revue examine un certain nombre de paramètres qui dictent le devenir du LB vers une fonction pro-ou anti-tumorale. Ainsi, la capacité à élaborer une immunité antitumorale qui repose sur les lymphocytes B, et/ ou des anticorps qu’ils sécrètent, fait appel à une palette très variée de mécanismes moléculaires et cellulaires dont certains pourraient représenter de nouvelles cibles thérapeutiques en oncologie.
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4

Galon, Jérôme, Gabriela Bindea, Bernhard Mlecnik, Helen Angell, Christine Lagorce, Ana Maria Todosi, Anne Berger et Franck Pagès. « Microenvironnement immunitaire et cancer ». médecine/sciences 30, no 4 (avril 2014) : 439–44. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/20143004020.

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5

Val, P. « Microenvironnement immunitaire dans le corticosurrénalome : ami ou ennemi ? » Annales d'Endocrinologie 82, no 5 (octobre 2021) : 221. http://dx.doi.org/10.1016/j.ando.2021.07.008.

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6

Terme, Magali, et Corinne Tanchot. « Système immunitaire et tumeurs ». Annales de Pathologie 37, no 1 (février 2017) : 11–17. http://dx.doi.org/10.1016/j.annpat.2016.12.004.

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7

Gouin, F., F. Redini et M. F. Heymann. « Tumeurs et pseudotumeurs osseuses, oncogenèse et microenvironnement ». EMC - Appareil locomoteur 6, no 1 (janvier 2011) : 1–5. http://dx.doi.org/10.1016/s0246-0521(11)53657-5.

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8

Rochefort, Juliette, Lorédana Radoi, Fabrice Campana, Jean-Christophe Fricain et Géraldine Lescaille. « Le cancer de la cavité orale : une entité spécifique ? » médecine/sciences 40, no 1 (janvier 2024) : 57–63. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2023196.

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Résumé :
Les carcinomes épidermoïdes de la cavité orale sont le 17e cancer le plus fréquent dans le monde. Les facteurs de risque principaux sont l’alcool et le tabac mais des facteurs alimentaires, familiaux, génétiques ou certaines maladies orales peuvent intervenir dans la genèse de ces cancers. Le diagnostic est tardif, entraînant un pronostic sombre. De nouvelles approches, comme l’utilisation de l’intelligence artificielle ou de marqueurs biologiques salivaires pourraient réduire ces délais. La prise en charge actuelle de ces cancers repose sur la chirurgie, la chimiothérapie et la radiothérapie, mais avec une iatrogénie importante. Les immunothérapies pourraient devenir une alternative à ces traitements et certaines caractéristiques du microenvironnement immunitaire pourraient constituer un/des marqueurs pronostiques.
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9

Rouvet, Guillaume, et Olivier Lambotte. « Toxicité des immunothérapies anti-cancéreuses ». médecine/sciences 39, no 5 (mai 2023) : 445–51. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2023066.

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Résumé :
Le développement des inhibiteurs des points de contrôle immunitaires représente aujourd’hui un enjeu majeur en cancérologie en termes de gestion des toxicités induites par ces molécules qui ciblent des mécanismes moléculaires clés de la tolérance immunitaire, que les tumeurs détournent pour échapper à la surveillance immunitaire. Les effets secondaires de ces molécules peuvent affecter, avec des fréquences variées - et parfois très à distance de l’administration - l’ensemble des organes. Dans cette revue, nous présentons les différents effets secondaires de ces traitements et les grands principes de leur prise en charge actuelle.
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Anson, Marie, Mireille Viguier, Christine Perret et Jean-Pierre Couty. « Le microenvironnement immunitaire, complice de la voie Wnt/β-caténine dans le cancer du foie ». médecine/sciences 28, no 5 (mai 2012) : 473–75. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2012285010.

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Dupont, C., M. Brevet, P. J. Souquet, T. Jullien, L. Kiakouama, P. Beynel, G. Chatté et al. « Cancers bronchiques non à petites cellules avec mutation HER2 : étude du microenvironnement immunitaire et efficacité des anti-PD-1 ». Revue des Maladies Respiratoires Actualités 12, no 1 (janvier 2020) : 45. http://dx.doi.org/10.1016/j.rmra.2019.11.077.

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Houel, Ana, et Johann Foloppe. « Les virus oncolytiques : acteurs et vecteurs de protéines thérapeutiques contre les tumeurs ». médecine/sciences 39, no 11 (novembre 2023) : 845–54. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2023161.

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Résumé :
La mise en évidence de la capacité unique de certains virus à cibler spécifiquement les cellules cancéreuses a ouvert de nouvelles perspectives pour la recherche en immunothérapie des cancers. Outre leur capacité à induire la destruction spécifique des cellules cancéreuses, les virus oncolytiques (OV) ont été modifiés génétiquement pour exprimer des molécules thérapeutiques directement au sein de la tumeur. L’utilisation des OV comme vecteurs de molécules thérapeutiques a permis d’augmenter les réponses anti-tumorales, tout en limitant les effets indésirables liés à une administration par voie générale de ces molécules. D’autres recherches visent aujourd’hui à limiter la neutralisation et l’élimination du virus par le système immunitaire de l’hôte et à améliorer son accès aux tumeurs.
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Dumond, Aurore, Luc Demange et Gilles Pagès. « Les neuropilines ». médecine/sciences 36, no 5 (mai 2020) : 487–96. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2020080.

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Résumé :
Une angiogenèse exacerbée est une des caractéristiques (« hallmarks ») du cancer, définies par Hanahan et Weinberg1. Cependant, le ciblage de la voie de signalisation du VEGF (vascular endothelial growth factor) ou de ses récepteurs a montré ses limites thérapeutiques. Après un bénéfice thérapeutique indéniable pour les patients, les tumeurs récidivent après quelques mois, et deviennent généralement métastatiques et incurables. Les neuropilines 1 et 2 (NRP1, 2) dont l’activité a été décrite initialement dans le système nerveux, stimulent de nombreuses fonctions impliquées dans l’agressivité tumorale, notamment la prolifération cellulaire, l’angiogenèse et la lymphangiogenèse, ainsi que la tolérance immunitaire. Ainsi, une surexpression de NRP1 ou 2 dans de nombreuses tumeurs, est corrélée à une survie courte des patients. Cette revue a pour objectif de décrire les mécanismes d’action impliqués dans la stimulation de NRP1 et NRP2 et de faire le point sur les stratégies thérapeutiques en études précliniques ou en essais de phase précoces chez des patients atteints de différents cancers.
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Boulle, G., Y. Velut, A. Boni, A. Lupo, M. Alifano, J. Trédaniel, P. Giraud et D. Damotte. « Analyse du microenvironnement immunitaire par immunohistochimie multiplex dans le cancer bronchopulmonaire non à petites cellules localement évolué : principes et perspectives ». Cancer/Radiothérapie 22, no 6-7 (octobre 2018) : 688–93. http://dx.doi.org/10.1016/j.canrad.2018.07.031.

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Lenfant, Louis, et Morgan Rouprêt. « Immunothérapie et cancer de la vessie : état des connaissances actuelles et perspectives futures ». Biologie Aujourd'hui 212, no 3-4 (2018) : 81–84. http://dx.doi.org/10.1051/jbio/2018028.

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Résumé :
Le traitement des cancers par immunothérapie est basé sur l’activation du système immunitaire de l’hôte afin d’induire une activité antitumorale. Le traitement par le BCG en instillation endovésicale, décrit en 1976, fait partie de l’arsenal thérapeutique des tumeurs de vessie n’infiltrant pas le muscle (TVNIM) dans les recommandations des sociétés savantes. Les anticorps monoclonaux dirigés contre des inhibiteurs de checkpoint ont ouvert le champ des traitements possibles en oncologie et ont été largement étudiés depuis 2011, en urologie notamment. L’avènement des immunothérapies systémiques seules ou en combinaison avec le BCG intra-vésical est déjà en cours d’exploration dans des essais thérapeutiques de phase 2 et 3 dans le cancer localisé, infiltrant le muscle et métastatique.
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Ziverec, A., M. Chanal, P. Raymond, A. Vasiljevic, E. Jouanneau, G. Raverot et P. Bertolino. « L’inhibition des voies de signalisations de l’activine, une nouvelle approche thérapeutique pour cibler les tumeurs hypophysaires gonadotropes et leur microenvironnement ». Annales d'Endocrinologie 82, no 5 (octobre 2021) : 265. http://dx.doi.org/10.1016/j.ando.2021.08.035.

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Chiossone, Laura, et Eric Vivier. « Nouvelles frontières de la lutte contre le cancer ». Biologie Aujourd'hui 212, no 3-4 (2018) : 61–67. http://dx.doi.org/10.1051/jbio/2019011.

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Résumé :
En un peu plus de 10 ans, les inhibiteurs de points de contrôle immunitaire, en particulier les anti-PD-1/L1, ont révolutionné la prise en charge des patients atteints de cancers. Néanmoins, ils n’affectent qu’une petite partie de la population de patients. Le principal enjeu actuel de l’immuno-oncologie est de surmonter ces résistances en ciblant de nouveaux points de contrôle et d’autres cellules immunitaires, en combinant ces nouvelles immunothérapies entre elles et avec d’autres standards de traitement. Monalizumab est un nouvel anticorps qui stimule simultanément l’action anti-tumorale des cellules NK et T en bloquant l’un de leurs récepteurs inhibiteurs : NKG2A. NKG2A est présent à la surface des deux types de cellules et son ligand, HLA-E, est très fréquemment surexprimé par les tumeurs humaines, ce qui ouvre une large fenêtre thérapeutique au monalizumab.
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Deligne, Claire, et Laurent Gros. « Les anticorps monoclonaux anti-tumoraux ». médecine/sciences 35, no 12 (décembre 2019) : 982–89. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2019194.

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Résumé :
Les anticorps monoclonaux (AcM) ciblant les tumeurs sont aujourd’hui largement utilisés pour le traitement de patients atteints de cancer et leur nombre est en constante augmentation. Au cours de ces dix dernières années, de nombreuses études ont montré que l’action anti-tumorale de ces anticorps dépasse largement celle de simples thérapies passives comme cela avait été décrit initialement, avec non seulement le recrutement de cellules immunitaires innées pour favoriser l’activation des étapes précoces de la réponse immunitaire mais aussi avec la génération d’une réponse mémoire anti-tumorale protectrice sur le long-terme. La compréhension de ces mécanismes a récemment conduit au développement clinique d’une nouvelle génération d’AcM anti-tumoraux, modifiés afin d’augmenter leurs capacités à interagir avec les cellules immunitaires. Enfin, les premières études précliniques et cliniques ont démontré l’intérêt de développer des combinaisons thérapeutiques associant ces AcM anti-tumoraux à des immuno-, chimio- ou radiothérapies, afin de renforcer leur potentiel immunomodulateur et d’assurer une protection anti-tumorale efficace et durable.
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Bibeau, F., G. Lazennec, H. Frugier, M. Jarlier, L. Roca et F. Boissière-Michot. « L’analyse du microenvironnement inflammatoire par méthode Bio-Plex® dans les cancers colorectaux révèle un profil particulier pour les tumeurs de type MSI ». Annales de Pathologie 31, no 5 (novembre 2011) : S127. http://dx.doi.org/10.1016/j.annpat.2011.09.025.

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Bonnefoy, Nathalie, Daniel Olive et Bernard Vanhove. « Les futures générations d’anticorps modulateurs des points de contrôle de la réponse immunitaire ». médecine/sciences 35, no 12 (décembre 2019) : 966–74. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2019193.

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Résumé :
Les points de contrôle du système immunitaire sont des systèmes moléculaires qui complètent les processus déclenchés par la reconnaissance antigénique en contrôlant l’inhibition ou l’activation des lymphocytes et des cellules myéloïdes, notamment celle des lymphocytes T régulateurs (Treg), permettant ainsi de combiner réponses immunes et maintien de la tolérance au soi. En cancérologie, l’inhibition de points de contrôle inhibiteurs vise à amplifier les réponses immunitaires existantes dirigées contre les tumeurs. Parmi ces points de contrôle inhibiteurs, dont des antagonistes sont en utilisation clinique, se trouvent CTLA-4 (cytolytic T-lymphocyte-associated antigen 4 ou CD152), PD-1 (programmed cell death 1, ou CD279), PD-L1 (programmed cell death-ligand 1, ou CD274), LAG-3 (Lymphocyte-activation gene 3, ou CD223), TIM3 (T-cell immunoglobulin and mucin-domain containing-3), TIGIT (T cell immunoreceptor with Ig and ITIM domains), VISTA (V-domain Ig suppressor of T cell activation), ou B7/H3 (ou CD276). La stimulation de points de contrôle activateurs tels que les molécules de co-activation CD28, CD137 (aussi appelé 4-1BB), OX40 [aussi appelé tumor necrosis factor receptor superfamily, member 4 (TNFRSF4)], GITR (Glucocorticoid-induced tumor necrosis factor receptor family-related protein) ou CD40, est également testée en cancérologie, le plus souvent en combinaison avec un antagoniste de point de contrôle inhibiteur. Dans les maladies auto-immunes et inflammatoires, des antagonistes de points de contrôle activateurs (CD28, CD40) et des agonistes de points de contrôle inhibiteurs (LAG-3) sont également à l’essai. Dans cette revue, nous mettons l’accent sur certains modulateurs de points de contrôle pour lesquels le mécanisme d’action a été particulièrement étudié. Cette description ne pouvant être exhaustive, nous avons regroupé dans le Tableau I l’ensemble des anticorps monoclonaux (AcM) ou protéines recombinantes en usage clinique à notre connaissance, modulant l’action d’un point de contrôle du système immunitaire.
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Pudlarz, T., N. Naoun, G. Beinse, D. Grazziotin-Soares et J. P. Lotz. « AACR 2019 — Congrès de l’association américaine de recherche contre le cancer ». Oncologie 21, no 1-4 (janvier 2019) : 53–68. http://dx.doi.org/10.3166/onco-2019-0036.

Texte intégral
Résumé :
Dans ce numéro spécial de la revue Oncologie, les principaux points discutés au congrès de l’Association américaine pour la recherche sur le cancer (AACR) sont rapportés. L’objectif ici est de présenter de manière concise des exposés qui méritent une attention toute particulière. Le programme de la réunion de l’AACR de cette année, qui a eu lieu à Atlanta, a couvert les dernières découvertes de tout le spectre de la recherche sur le cancer — des sciences de la population à la prévention ; biologie du cancer, études translationnelles et cliniques ; à la survie et à la défense des droits — et souligne le travail des meilleurs esprits en matière de recherche et de médecine d’institutions du monde entier. Le congrès qui a duré cinq jours a proposé un programme multidisciplinaire couvrant tous les aspects de la recherche sur le cancer depuis ses bases fondamentales jusqu’à ses applications translationnelles et cliniques. Grâce à notre compréhension accrue des bases moléculaires du cancer, de nombreuses thérapies ciblées nouvelles ont émergé. Ainsi, notre compréhension sur la façon dont les tumeurs échappent aux attaques du système immunitaire a conduit au développement de nouvelles thérapies. Compte tenu de l’importance accrue de l’immunothérapie dans le traitement du cancer, nous présentons ici les dernières avancées dans ce domaine. Enfin, d’autres approches telles que l’étude du microbiome, l’épigénétique et l’intelligence artificielle comme un outil dans la recherche sur le cancer ont aussi été discutées au congrès de l’AACR 2019.
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Lévesque, Sarah, Guido Kroemer et Jonathan G. Pol. « Une triade synergique de chimiothérapie, d’inhibiteurs de points de contrôle immunitaire et de mimétiques de la restriction calorique éradique des tumeurs dans un modèle préclinique murin ». Hegel N° 4, no 4 (2019) : 394. http://dx.doi.org/10.3917/heg.094.0394.

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Chaudhry, Ahsen Tahir, et Daud Akhtar. « Gene Therapy and Modification as a Therapeutic Strategy for Cancer ». University of Ottawa Journal of Medicine 6, no 1 (11 mai 2016) : 44–48. http://dx.doi.org/10.18192/uojm.v6i1.1564.

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Résumé :
Gene therapy is an exciting new field of personalized medicine, allowing for medical procedures that can target diseases such as cancer in novel ways. Technologies that involve gene transfer treatments allow for the insertion of foreign DNA into tumour cells, resulting in restored protein expression or altered function. Gene therapy can also be used as a form of immunotherapy, either by modifying cancer cells to make them better targeted by the immune system, or by modifying the body’s immune cells to make them more ag­gressive towards tumours. Additionally, oncolytic virotherapy uses classes of genetically modified viruses that can specifically target and interfere with tumour cells. The ongoing development of the CRISPR/Cas9 gene editing tool may also have promise in future therapeutic applications, with the tool being capable of removing cancer-causing, latent viral infections, such as HPV, from afflicted cells. Nonetheless, there are still many questions of safety, efficacy, and commercial viability which remain to be resolved with many gene therapy procedures. There is also emerging controversy over the ethical, legal, and moral implications that modifying the genetic content of human beings will have on society. These concerns must be confronted and addressed if the benefits promised by gene therapy are to be properly realized. La thérapie génétique est un nouveau domaine d’étude médicale personnalisée qui permet de cibler des maladies spécifiques comme le cancer de façon innovatrice. Cette thérapie utilise le transfert de gènes avec une insertion d’ADN étrangère dans les cellules can­céreuses dans le but de restaurer l’expression des protéines et de retrouver la fonction cellulaire. La thérapie génétique peut aussi être utilisée comme une forme d’immunothérapie, soit en modifiant les cellules cancéreuses pour qu’elles soient mieux ciblées par le système immunitaire ou en modifiant les cellules immunitaires du corps pour les rendre plus agressives envers les tumeurs. De plus, une virothérapie oncolytique utilise des virus génétiquement modifiés qui peuvent cibler spécifiquement et interférer avec des cellules cancéreuses. Le développement du système d’édition génétique CRISPR/Cas9 s’avère prometteur pour les applications thérapeutiques futures. Cet outil est capable d’enlever les infections virales latentes dans les cellules affectées qui peuvent causer le cancer, tel que l’HPV. Malgré ces découvertes, plusieurs questions importantes demeurent quant à la sécurité et à l’efficacité de leur application. Il s’agit d’un domaine controversé avec des implications éthiques, légales, et morales, car le tout implique une modification du contenu génétique humain. Ces inquiétudes doivent être adressées afin de pouvoir continuer à explorer les bienfaits de cette thérapie géné­tique. En poursuivant la recherche dans ce domaine, il serait possible de valider cette thérapie et optimiser ses bienfaits.
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Ehidiamhen, F. E., U. M. Agwu, G. O. Eze, S. E. Ogbata, C. G. Chukwu, C. N. Akujobi et M. A. Nnoli. « HIV status of individuals who underwent pre-employment medical screening at a federal tertiary health institution in southeast Nigeria ». African Journal of Clinical and Experimental Microbiology 25, no 2 (3 avril 2024) : 241–47. http://dx.doi.org/10.4314/ajcem.v25i2.16.

Texte intégral
Résumé :
Background: The human immunodeficiency virus (HIV) targets the host immune system, particularly the CD4 T cells. The host resistance to opportunistic and non-opportunistic infections such as tuberculosis, fungal infections, severe bacterial infections, and several malignancies is weakened as a result of destruction of these CD4 cells by HIV. The purpose of this study was to determine the prevalence of HIV among individuals who participated in pre-employment medical screening at David Umahi Federal University Teaching Hospital Uburu, Ebonyi State, Nigeria, with the aim of connecting those who are HIV-positive to voluntary counseling and treatment programs. Methodology: This was a retrospective analysis of the medical records of 537 eligible participants who underwent pre-employment medical screening exercise, and whose blood samples were tested for presence of HIV antibodies at the University Teaching Hospital, using the Determine HIV-1/2 (T1) and Unigold HIV-1/2 (T2), and the tie breaker Statpak HIV-1/2 (T3) tests. The serological results were interpreted according to the national HIV testing algorithm, with test result declared negative for HIV antibodies if T1 was negative or if only T1 was positive but T2 and T3 were both negative. Results: Of the total record of 756 pre-employment participants for the medical screening exercise, only 537 met the inclusion criteria for the study. The mean age of the 537 participants was 34.2±6.9 and age range of 18-67 years; 325 (61.0%) were females while 212 (39.0%) were males. The seroprevalence of HIV among the study participants was 2.4% (13/537), with 1.4% (3/212) in the males and 3.1% (10/325) in the females (x2=0.879, OR=0.45; 95% CI=0.12-1.60, p=0.3485). Only participants in the age range 26–35 and 36–45 years were HIV seropositive, with prevalence of 2.9% (9/310) and 2.4% (4/169) respectively but the HIV seroprevalence was not significantly associated with age and gender of the participants (p>0.05). Conclusion: The study findings provide useful information for the hospital administration of the HIV situation of its planned workforce, which will help with decisions on HIV positive participants to enrol in antiretroviral therapy program. Contexte: Le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) cible le système immunitaire de l'hôte, en particulier les lymphocytes T CD4. La résistance de l'hôte aux infections opportunistes et non opportunistes telles que la tuberculose, les infections fongiques, les infections bactériennes graves et plusieurs tumeurs malignes est affaiblie en raison de la destruction de ces cellules CD4 par le VIH. Le but de cette étude était de déterminer la prévalence du VIH chez les personnes ayant participé à un dépistage médical préalable à l'emploi à l'hôpital universitaire fédéral David Umahi d'Uburu, dans l'État d'Ebonyi, au Nigeria, dans le but de connecter les personnes séropositives à des conseils volontaires et des programmes de traitement. Méthodologie: Il s'agissait d'une analyse rétrospective des dossiers médicaux de 537 participants éligibles qui ont subi un exercice de dépistage médical préalable à l'emploi et dont les échantillons de sang ont été testés pour la présence d'anticorps anti-VIH à l'hôpital universitaire, à l'aide du système de détermination du VIH-1/2 (T1) et Unigold HIV-1/2 (T2), ainsi que les tests de départage Statpak HIV-1/2 (T3). Les résultats sérologiques ont été interprétés selon l'algorithme national de dépistage du VIH, le résultat du test étant déclaré négatif pour les anticorps anti-VIH si T1 était négatif ou si seul T1 était positif mais que T2 et T3 étaient tous deux négatifs. Résultats: Sur le total de 756 participants préalables à l'emploi pour l'exercice de sélection médicale, seuls 537 répondaient aux critères d'inclusion de l'étude. L'âge moyen des 537 participants était de 34,2±6,9 ans et la tranche d'âge était de 18 à 67 ans; 325 (61,0%) étaient des femmes tandis que 212 (39,0%) étaient des hommes. La séroprévalence du VIH parmi les participants à l'étude était de 2,4% (13/537), dont 1,4% (3/212) chez les hommes et 3,1% (10/325) chez les femmes (x2=0,879; OR=0,45; 95% IC=0,12-1,60; p=0,3485). Seuls les participants âgés de 26 à 35 ans et de 36 à 45 ans étaient séropositifs au VIH, avec une prévalence de 2,9% (9/310) et 2,4% (4/169) respectivement, mais la séroprévalence du VIH n'était pas significativement associée à l'âge et au sexe des personnes les participants (p>0,05). Conclusion: Les résultats de l'étude fournissent des informations utiles à l'administration hospitalière sur la situation VIH de sa main-d'oeuvre prévue, ce qui aidera à prendre des décisions concernant les participants séropositifs à s'inscrire à un programme de thérapie antirétrovirale.
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Prader, Seraina, Géraldine Blanchard Rohner, Daniel Drozdov, Tayfun Güngör et Jana Pachlopnik Schmid. « Lorsque derrière une thrombocytopénie, une sarcoïdose présumée, une fièvre récidivante ou une lymphadénopathie se cache un déficit immunitaire congénital ». Paediatrica 33, no 2 (30 juin 2022). http://dx.doi.org/10.35190/paediatrica.f.2022.2.6.

Texte intégral
Résumé :
Les déficits immunitaires congénitaux sont d’une part rares, d’autre part la symptomatologie initiale est très variable, leur diagnostic représente donc un défi. En principe un déficit immunitaire congénital peut se manifester par trois problèmes principaux: une perturbation de la défense immunitaire, un risque élevé de tumeurs malignes et une dysrégulation immunitaire (p.ex. maladies auto-immunes et syndromes auto-inflammatoires).
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