Thèses sur le sujet « Métaphysique – Critique et interprétation »

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1

Brun, Jean-Marie. « L'exigence métaphysique de Boèce ». Paris 4, 1989. http://www.theses.fr/1989PA040061.

Texte intégral
Résumé :
A la lumière de Saint Thomas, analyse et commentaire du traité philosophique et théologique : "des deux natures et de la personne du christ", écrit vers 520, pour réfuter l'erreur de Nestorius et celle d'Eutychès. Les concepts de "nature", "substance", "subsistance", sont étudiés en vue de définir la personne comme : "substance individuelle de nature rationnelle". Ne disposant pas du dogme de l'immaculée conception", Boèce met en place un raisonnement original pour définir la nature humaine du christ. Le verbe, pour sauver les hommes, assume la nature humaine; il donne à celle-ci des accidents universels pris dans les trois états intelligibles d’Adam : avant le péché originel (domination de la raison) après le péché originel (présence de la mort), dans la situation "utopique" où Adam n'aurait pas péché (absence de volonté de pécher). La conclusion de la thèse traite de la catégorie de la "relation", dite de la personne; elle établit une comparaison entre la définition de la personne et la personne de Boèce
Through what st Thomas brought to light that work is an analyze and commentary of a philosophical and theological treatise called: «liber de persona et duabus naturis ", written by Boethius, nearly in year 520 to refute Nestorius and Eutyches mistake. What is done is an essay about concepts of "nature" "substance" "subsistence" that is to define the notion of person as: "naturae rationalis individua substantia". Not knowing the dogma of "immaculate conception" Boethius sets up an original thought to define Christ’s human nature. The word to save human's being assumes human nature. He gives to it universal accidents found in the Adam’s three intelligible 's ways : before the first fault (domination of reason), after the first fault (acting death), during the utopian position where Adam would not have sinned (he had not the willing to sin). Conclusion arguments about the category of "relation" called "one of the person". It sets a parallelism between the definition of the person and Boethius' person
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2

Schmitt, Eric-Emmanuel. « Diderot et la métaphysique ». Paris 4, 1987. http://www.theses.fr/1987PA040220.

Texte intégral
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3

Guyomarc'h, Gweltaz. « Aux origines de la métaphysique : l’interprétation par Alexandre d’Aphrodise de la Métaphysique d’Aristote ». Electronic Thesis or Diss., Lille 3, 2012. http://www.theses.fr/2012LIL30004.

Texte intégral
Résumé :
Le terme de "métaphysique" ne se lit pas chez Aristote. Les livres rassemblés sous ce titre ne cessent d'interroger leurs lecteurs quant à leur unité. La science ainsi désignée, enfin, semble contrevenir aux règles communes de la scientificité aristotélicienne. Désigner Aristote comme le "fondateur de la métaphysique" fait dès lors problème. L'hypothèse du présent travail est que cette fondation engage l'oeuvre des commentateurs d'Aristote, au premier chef desquels se situe Alexandre d'Aphrodise. L'Exégète par excellence aurait ouvert la possibilité de "faire de la métaphysique", sans que cela signifie seulement commenter Aristote. Alexandre travaille à faire de la "Métaphysique" un livre, et à instituer la métaphysique en une science une. Selon l'Aphrodisien, la métaphysique est cette science à la fois universelle et première, à la fois science modèle et fondatrice des autres sciences. Elle s'articule en trois programmes principaux : l'étude générale de l'étant en tant qu'étant, celle de la substance et celle enfin de la cause première. Ces trois programmes sont distincts, mais coordonnés et suffisamment proches pour ne pas pouvoir être étudiés par une autre science, ni éclatés entre diverses sciences. Ils progressent à chaque fois par un passage d'une généralité à son maximum et sa cause. Ainsi la substance est-elle cause de l'être des autres étants et étant au maximum. Ainsi la cause première est-elle intelligible au plus haut point et cause de l'intelligibilité du monde. L'Exégète offre une interprétation forte de l'unité de la Métaphysique et de celle de la science correspondante. C'est dans et par cette reprise que les écrits du Stagirite sont devenus proprement fondateurs
Aristotle does not use the word "metaphysics". The books called "Metaphysics" clearly lack unity. The science called "metaphysics" seems to break the common epistemological rules set by Aristotle himself. From that point of view, it seems problematic to consider Aristotle as the "founding father of metaphysics". The present dissertation aims to show that the foundation of metaphysics as a science is also based on the work of the Ancient Commentators, especially Alexander of Aphrodisias (fl. 200 AD). Paradoxically, the "Exegete par excellence" makes it possible to be engaged in metaphysics without limiting metaphysics to explaining Aristotle's books. The reason is that he tries in fact to makes explicit and to enhance the unity of this work as well as to establish the unity of the corresponding science. According to him, metaphysics is both universal and the first true science. As such it constitutes the condition for any type of knowledge to be established as a science. Metaphysics is devoted to three main programs : the general study of being, the study of substance, the study of the first cause. These different programs are closed enough to be carried out within one single science. The passage from one level to another is guided by what I propose to call the Principle of Maximum Casuality. In this way, the substance is the higher being and the cause of being for all the rest ; the first cause is the higher and most thinkable substance, the cause of the order on the world, and what makes it intelligible. So the Exegete offers a strong view of the unity of metaphysics and thanks to this reappropriation Aristotle's work became the origin of a long-lasting tradition
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4

Corban, Antonela. « Nietzsche et Klimt : la métaphysique en question ». Dijon, 2009. http://www.theses.fr/2009DIJOL021.

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5

Bardout, Jean-Christophe. « Malebranche et la métaphysique ». Paris 4, 1996. http://www.theses.fr/1996PA040237.

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Résumé :
Ce travail se propose d'interroger le concept malebranchiste de métaphysique. En effet, les études malebranchistes n'ont que fort rarement insisté sur cette notion centrale pour la compréhension de la philosophie de l'oratorien. Nous montrons que la vision en Dieu des idées constitue une thèse métaphysique par excellence. Par elle il apparait que l'être est "soumis" à l'idée: telle nous semble être la version malebranchiste de ce que nous considérons comme son ontologie. Nous montrons en outre que la totalité du système est déterminée par cette décision métaphysique fondatrice: l'ensemble de la pensée de Malebranche relève d'une fondation métaphysique. Le paradigme métaphysique d'intelligibilité investit l'ensemble des philosophèmes abordés. Apres avoir élucidé le sens malebranchiste de l'être comme essence soumise à la représentation dans l'idée, nous examinons les différents domaines du savoir pour établir le primat épistémique de la métaphysique. Action divine dans le monde, sciences de la nature, morale et vérités religieuses relèvent toutes, a des titres divers d'une fondation en la métaphysique. Nous tentons de décrire la nature du rationalisme malebranchiste ainsi dégagée
This work tries to describe Malebranche's conception of metaphysics. In spite of the rarity of the word "metaphysique" in the works of Malebranche, we tempt to show that metaphysics takes a great place up in his philosophy. First of all metaphysics becomes the science of idea and of its object. The vision in god seems to be a metaphysical thesis because being is understood through the representative idea "seen in good". We show that all the ways of knowing depend on a representative paradigm. The idea involves the abstraction of knowledge which characterizes metaphysics. These points allow us to underline Malebranche's ontological decisions. In the second place we try to demonstrate that Malebranche's use of metaphysics makes possible to explain the structure of his philosophy. Physics, ethics and the theory of religion depend on metaphysics
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Lemaire, Eric. « Wittgenstein et la métaphysique ». Paris 7, 2009. http://www.theses.fr/2009PA070081.

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Résumé :
Le second Wittgenstein fut l'un des penseurs les plus importants dans l'histoire de la philosophie analytique. Il est connu, notamment, pour sa conception provocante de la philosophie au coeur de la laquelle se trouve l'idée que les propositions métaphysiques - et plus généralement philosophiques - sont dépourvues de sens. Ainsi comprise, la philosophie a pour principal objectif d'éliminer les propositions métaphysiques, en montrant que les problèmes auxquels elles tentent de répondre ne sont que des pseudo problèmes. De nombreux commentateurs de Wittgenstein estiment non seulement que cette conception de la philosophie concerne toute forme de métaphysique mais qu'elle est vraie. Dans le même temps, au sein de la tradition analytique, nous assistons à un renouveau de la métaphysique. Ce contexte historique soulève une question : Le second Wittgenstein a-t-il réellement montré que la métaphysique est illégitime ? Notre principal objectif est de montrer que ce n'est pas le cas. Au contraire, le second Wittgenstein peut être compris comme un métaphysicien du sens commun, comme un philosophe qui nous donne des outils, des idées et une méthode pour repenser l'entreprise métaphysique et défendre sa légitimité
The second Wittgenstein was one of the most important thinkers in the history of analytic philosophy. He is known for his provocative conception of philosophy according to which metaphysical propositions - and more generally philosophical propositions - are nonsensical. Thus understood, the main task of philosophy is to eliminate these propositions and to show that metaphysical problems are pseudo-problems. Many commentators of the second Wittgenstein's works assume that this conception affects any form of metaphysics and that he showed the illegitimacy of any metaphysics. In the meanwhile metaphysics renewed in the analytic tradition. In such a context a question raises: Did the second Wittgenstein really undermine the legitimacy of metaphysics? Our main aim here is to show that he did not. On the contrary, the second Wittgenstein can be understood as a common sense metaphysician, that is as a philosopher who gives us tools, ideas, and a method to rethink the metaphysical enterprise. Hence, he does offer us means to defend the legitimacy of metaphysics
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7

Devaux, Michael. « L'avancement de la métaphysique réelle selon Leibniz : nomenclature et réalité de la métaphysique leibnizienne après l'inter italicum ». Paris 4, 2004. http://www.theses.fr/2004PA040224.

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Résumé :
En 1694, Leibniz publie le De primae philosophiae emendatione. . . Il le traduit sous le titre de Réflexions sur l'avancement de la métaphysique réelle. . . Ce nom de la métaphysique peut être pris au sérieux. La métaphysique réelle diffère-t-elle de la vraie métaphysique ? Quel est le rapport entre l'avancement de Leibniz et l'advancement de Bacon et de Glanvill ? L'avancement ne traduit que l'idée de progrès contenue dans l'emendatio, non celle de correction qui est répercutée dans l'idée de métaphysique réelle. Pour montrer que métaphysique réelle est un nom de la métaphysique, il faut donc qu'il permette d'avancer et de corriger les noms de philosophie première (Descartes) et d'ontologie (scolastique moderne). Le rapport de Leibniz à la naissance de l'ontologie (1606-1716) est présenté avec trente auteurs (Lorhardus, Hojerus, Goclenius. . . ). Les trois occurrences d'ontologie chez Leibniz sont aussi étudiées. Puis le sens stable de métaphysique réelle est exposé à partir de toutes les occurrences du syntagme (1691-1716). Il s'agit ensuite de voir le rapport à la réalité au sein de cette métaphysique en fonction des trois progrès métaphysiques reconnus à Leibniz par Kant : le point réel (et le miroir vivant), le principe de raison, et l'harmonie. Enfin, la conception de la réalité est analysée pour décider si elle est l'objet de la métaphysique réelle. On distingue entre la réalité en opposition (réel/imaginaire/idéal), en composition (perfection comme degré de réalité, réalité des possibles) et en supposition (nulle réalité sans unité). On conclut que la métaphysique réelle est une métaphysique de la réalisation : au sens d'un inachèvement et d'un travail sur l'existiturientia
In 1694, Leibniz published the De Primae Philosophiae Emendatione which he himself translated into french as Reflections on Advancement of Real Metaphysics. . . This way of referring to metaphysics can indeed be taken seriously. Is real metaphysics the same as true metaphysics? What about the relationship between his advancement and those of Bacon and Glanvill? Advancement only conveys the idea of progress involved in emendatio, not that of correction, which is conveyed in the notion of real metaphysics. In order to show that real metaphysics is an appellation of metaphysics, we must first explain how it is an advancement upon, and a correction of first philosophy (Descartes) and ontology (modern scholasticism). The first appearance and development of ontology (1606-1716) is presented, as are the relations between Leibniz and thirty authors (Lorhardus, Hojerus, Goclenius, etc. ); as well as the three texts in which Leibniz used ontology. The conceptual aspects of real metaphysics are studied within all the texts in all circunstances in which the syntagma occurs (1691-1716). The next question is: what about reality in real metaphysics? The answer focuses on the three metaphysical inventions accepted by Kant in Leibniz: the real point (and the living mirror), the principle of reason, and harmony. Lastly, we analyse the conception of reality in Leibniz: in opposition (real/imaginary/ideal), in composition (perfection being a degree of reality, the reality of possibles) and in supposition (no reality without unity). We conclude that real metaphysics is a metaphysics of realisation because there's no completion and because it's about existiturientia
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Guyomarc'h, Gweltaz. « Aux origines de la métaphysique : l’interprétation par Alexandre d’Aphrodise de la Métaphysique d’Aristote ». Thesis, Lille 3, 2012. http://www.theses.fr/2012LIL30004.

Texte intégral
Résumé :
Le terme de "métaphysique" ne se lit pas chez Aristote. Les livres rassemblés sous ce titre ne cessent d'interroger leurs lecteurs quant à leur unité. La science ainsi désignée, enfin, semble contrevenir aux règles communes de la scientificité aristotélicienne. Désigner Aristote comme le "fondateur de la métaphysique" fait dès lors problème. L'hypothèse du présent travail est que cette fondation engage l'oeuvre des commentateurs d'Aristote, au premier chef desquels se situe Alexandre d'Aphrodise. L'Exégète par excellence aurait ouvert la possibilité de "faire de la métaphysique", sans que cela signifie seulement commenter Aristote. Alexandre travaille à faire de la "Métaphysique" un livre, et à instituer la métaphysique en une science une. Selon l'Aphrodisien, la métaphysique est cette science à la fois universelle et première, à la fois science modèle et fondatrice des autres sciences. Elle s'articule en trois programmes principaux : l'étude générale de l'étant en tant qu'étant, celle de la substance et celle enfin de la cause première. Ces trois programmes sont distincts, mais coordonnés et suffisamment proches pour ne pas pouvoir être étudiés par une autre science, ni éclatés entre diverses sciences. Ils progressent à chaque fois par un passage d'une généralité à son maximum et sa cause. Ainsi la substance est-elle cause de l'être des autres étants et étant au maximum. Ainsi la cause première est-elle intelligible au plus haut point et cause de l'intelligibilité du monde. L'Exégète offre une interprétation forte de l'unité de la Métaphysique et de celle de la science correspondante. C'est dans et par cette reprise que les écrits du Stagirite sont devenus proprement fondateurs
Aristotle does not use the word "metaphysics". The books called "Metaphysics" clearly lack unity. The science called "metaphysics" seems to break the common epistemological rules set by Aristotle himself. From that point of view, it seems problematic to consider Aristotle as the "founding father of metaphysics". The present dissertation aims to show that the foundation of metaphysics as a science is also based on the work of the Ancient Commentators, especially Alexander of Aphrodisias (fl. 200 AD). Paradoxically, the "Exegete par excellence" makes it possible to be engaged in metaphysics without limiting metaphysics to explaining Aristotle's books. The reason is that he tries in fact to makes explicit and to enhance the unity of this work as well as to establish the unity of the corresponding science. According to him, metaphysics is both universal and the first true science. As such it constitutes the condition for any type of knowledge to be established as a science. Metaphysics is devoted to three main programs : the general study of being, the study of substance, the study of the first cause. These different programs are closed enough to be carried out within one single science. The passage from one level to another is guided by what I propose to call the Principle of Maximum Casuality. In this way, the substance is the higher being and the cause of being for all the rest ; the first cause is the higher and most thinkable substance, the cause of the order on the world, and what makes it intelligible. So the Exegete offers a strong view of the unity of metaphysics and thanks to this reappropriation Aristotle's work became the origin of a long-lasting tradition
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Picot, Bruno. « Jean Wahl : empirisme et métaphysique au cœur du XXème siècle ». Lille 3, 2009. http://www.theses.fr/2009LIL30059.

Texte intégral
Résumé :
Héritier du message bergsonien, Jean Wahl veut défendre une métaphysique soucieuse du concret. Entre Sören Kierkegaard et William James il construit, pour lui-même, une métaphysique de l'intensité. De sa thèse de 1920 : "Les philosophes pluralistes d'Angleterre et d'Amérique" à son dernier ouvrage de 1963 "l'Expérience métaphysique", il se propose de construire un véritable "empirisme transcendantal" qui prend appui sur une aporétique de l'instant. Il décrit le processus dialectique de l'esprit à la rencontre du réel. Son empirisme se définit comme un réalisme. Il établit des passerelles entre l'empirisme de James Whitehead et mes méditations de Husserl. Jean Wahl questionne toutes les orientations philosophiques majeures du XXème : phénoménologie, existentialisme, marxisme, structuralisme, positivisme logique. Poète, métaphysicien, créateur de revues et de rencontre philosophiques, Wahl milite pour un "élargissement de la philosophie"
With the bergsonian legacy, Jean Wahl wants to defend a Metaphysic concerned with the concrete. Between Soren Kierkegaard and William James, he builds for himself a Metaphysic of intensity. From his 1920 thesus "The pluralist philosophies of England and America" to his last work in 1963 "The Metaphysical experience", he proposes to build a real "Transcendental empiricism" which is based in the aporetic of the instant. He describes the dialectic process of mind encountering the real. His empirism can be defined as realism. He bridges James Whitehead's empirism with Husserl's meditations. Jean Wahl questions all the XX th century major philosophical orientations : phenomenology, existensialism, structuralist, marxism, logical positivism. As a poet, metaphysician, editor of revues and instigator of philosophical meetings, Wahl militates for a "broadening of philosophy"
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Lurson, Guillaume. « Ravaisson et le problème de la métaphysique ». Electronic Thesis or Diss., Toulouse 2, 2019. http://www.theses.fr/2019TOU20054.

Texte intégral
Résumé :
Le spiritualisme ravaissonien, loin d’être une étiquette répondant à des besoins de classification historique, ouvre l’horizon d’une refondation de la métaphysique au cœur du XIXe siècle français. A partir de la lecture de la Métaphysique d’Aristote, Ravaisson élabore une critique de ce que l’on peut nommer les « métaphysiques de la séparation », dont le point de départ se trouve dans les écrits du stagirite. Il s’agira dès lors de déployer une philosophie qui affirme l’identité de l’être et de la pensée, par-delà toute transcendance et tout dualisme. C’est ainsi que le problème de la métaphysique peut être posé : peut-on surmonter les apories léguées par la Métaphysique d’Aristote, et suturer la disjonction de l’être et de l’étant, de la nature et de l’esprit, ou encore de l’homme et de Dieu ? Faut-il au contraire considérer que la séparation définit le geste inaugural de la métaphysique ? Ravaisson, en refusant cette dernière possibilité, élabore une philosophie qui s’inscrit contre l’idéalisme transcendantal de Kant ou le positivisme de Comte, et plus largement, contre toute tendance matérialiste de la pensée. Ainsi, l’unité perdue de la métaphysique, soit sa possibilité, doivent être recherchées en questionnant l’héritage d’Aristote, afin de déterminer s’il s’agit de penser avec, ou contre celui-ci
Far from a mere label created for the purpose of historical classification, Ravaisson’s spiritualism opens the horizon of a refoundation of metaphysics at the heart of the French 19th century. From Aristotle’s Metaphysics, Ravaisson puts together a critique of what can be called “the metaphysics of separation”, the starting point of which is to be found in the writings of the Stagira-born philosopher. From there, he will endeavor to elaborate a philosophy that affirms the identity of Being and Thought far from any transcendence or dualism. That is how the question of metaphysics can be posed: can one overcome the aporia inherited from Aristotle’s Metaphysics, and stitch up the gap between the entity and the Being, Nature and the Spirit, or even Man and God? Or should one, on the contrary, consider that separation defines the inaugural gesture of metaphysics? By refusing this latter possibility, Ravaisson builds a philosophy that entirely refutes Kant’s transcendental idealism, or Comte’s positivism and, more broadly even, any materialistic way of thinking. The lost unity of metaphysics, that is, its possibility, must thus be sought by questioning Aristotle’s heritage, in order to determine whether one should think with, or against it
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Gonin, Jean. « L'expérience poétique de Eugenio Montale : métaphysique et mythe ». Lyon 3, 1986. http://www.theses.fr/1986LYO31015.

Texte intégral
Résumé :
Cette etude qui se presente comme une approche globale de l'oeuvre monta lienne vise a rendre compte de l'univers poetique a partir de deux dimensions essentielles : d'une part la dimension metaphysique et d'autre part la dimension mythique. La premiere partie retrace le processus d'approfondissement de la visee gnoseologique inherente a la metaphysique montalienne, celle-ci etant envisagee comme un depassement du naturalisme et de la rationalite. Les 5 premiers chapitres analysent les etapes de la genese de l'univers poetique. 1) la quete du reel 2) naissance d'une metaphysique. Ossi diseppia ou la dialectique de l'etre et du non-etre 3) vers une systematique du signe. Le occasioni ou l'enigmaticite du monde 4) le clos et l'ouvert. La bufera ed altro ou l'"ordre different". 5) l'apologie du non-savoir. Satura, diario del '71 e del '72, quaderno di quattro anni, altri versi, ou l'"oxymoron permanent" le cinquieme chapitre intitule une metaphysique de l'absurde analyse le substrat culturel et speculatif qui conditionne l'experience poetique de montale. La deuxieme partie retrace le processus d'elaboration des mythes inherents a l'initiatisme poetique dans leur double articulation morale et religieuse et en fonction d'une problematique du salut 1) l'univers de la chute 2) les voies du salut 3) vita nuova 4) dieu. Le cinquieme chapitre intitule l'aigle, le rat et le sage desenchante pose le probleme de la definition et de la finalite de la sagesse
This study which is a global approach to montale's work ains to explain his poetic universe in two essential dimensions : on one hand the metaphysical, on the other the mythical dimension. The first part retraces the process of deepening the gnosiological aim inherent in montale's metaphysics which is seen as going beyard naturalism and rationality. The first five chapters analyse the main stages of the genesis of his poetic universe 1) the quest of reality 2) genesis of a metaphysics. Ossi di seppia or the dialectic of being or not being. 3) towwards a systematics of the sign. Le occasioni or the enigmaticity of the world 4) the closed and the open. La bufera ed altro or the "different order" 5) the apologue of non knowledgr. Satura. . . Or the "permanent oxymoron". The chapter 6 a metaphysics of the absurd analyse the cultural and speculative substratum which conditions montale's poetic experience. The second part retraces the process of elaboration of myths inherent in poetic initiatism in their moral and religious articulation, and as a fonction of a problematics of a salvation. The chapter 4 approaches the theological substructures which condition montale's poetry and riplaces the problematics of divinity in a cultural perspective. The chapter 5 places the problem of the quest for wisdom
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Nicolle, Jean-Marie. « Mathématiques et métaphysique dans l'oeuvre de Nicolas de Cues ». Paris 10, 1998. http://www.theses.fr/1998PA100166.

Texte intégral
Résumé :
N. De cues invente le principe de coincidence des opposes d'apres lequel, dans le domaine de l'infini, les opposes se rejoignent. Pour eprouver ce principe, il decide de l'utiliser dans le probleme de la quadrature du cercle. De 1445 a 1459, il cherche en vain a << transmuer >> le courbe en droit, a partir de quelques propositions simples qui s'averent fausses ou infondees. Tous les commentateurs soulignent | l'importance des mathematiques dans la philosophie du cusain, et pourtant, aucun ne s'est avise d'aller lire ses textes mathematiques. Il y a donc une lacune dans la lecture de l'oeuvre cusaine que ce travail de recherche vise a combler : il s'agit de reconstituer les liens des mathematiques et de la metaphysique dans le corpus des oeuvres mathematiques. Au terme de cette etude, on decouvre que ce n'est ni par ignorance, ni par maladresse que n. De cues echoue. Mais pourquoi n'a-t-il pas vu qu'il ne pouvait pas resoudre son probleme ? il faut comprendre son erreur << de l'interieur >>, et etudier ses concepts comme autant d'obstacles epistemologiques, car il soumet les mathematiques a une metaphysique neoplatonicienne heritee de proclus. Cette etude montre comment le dogme de la trinite interdit de considerer l'un comme un nombre, comment l'assimilation de l'infini a un maximum absolu empeche de comprendre l'infini mathematique, comment la recherche d'une proportion entre le droit et le courbe est limitee a la recherche d'une proportion continue et rectiligne. L'oeuvre cusaine doit etre reevaluee : son apport a consiste a rompre avec l'aristotelisme dominant par une sortede nouvelle logique, qui ne permettait cependant pas de construire la trigonometrie necessaire a la revolution astronomique.
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Jung, Soon-Hyeun. « Le shématisme de la vie et la critique de la métaphysique chez Bergson ». Aix-Marseille 1, 1997. http://www.theses.fr/1997AIX10092.

Texte intégral
Résumé :
Notre etude consiste a demontrer que la metaphysique bergsonienne est fondee sur la revelation de la notion de vie dans sa specificite et sur la critique du pragmatisme classique considere comme une metaphysique repondant aux exigences vitales. Le travail de la vie (le schematisme de la vie) est une creation, une operation de synthese inventive en ecartant des illusions et des erreurs liees etroittement a l'action humaine. Ainsi la metaphysique bergsonienne vise la temporalite propre a la vie. Elle s'etablit sur les sciences biologiques et psychologiques, mais non pas sur le modele des types de systematisation dont dependent les sciences physico-mathematiques. S'opposant a la philosophie systematique, les conceptions bergsoniennes essentielles, intuition, duree, memoire, elan, sont des meta-concepts qui ont pour but d'ecarter ces hypotheses metaphysiques. Il ne s'agit pas d'une simple substitution du scheme spatial au profit du scheme temporel, de l'intelligence a l'intuition. Seulement, au lieu de couper arbitrairement le domaine de l'intellectualite, il faut distinguer deux versants ; ce qui est reel et ce qui est ideal. Du point de vue de la vie, il n'y a pas d'opposition nette entre l'intelligence et l'intuition, la duree pure et l'espace, l'esprit et la matiere. Seulement on distingue ce qui est originel et ce qui est derive par la vie. Et il faut reflechir sur l'origine de l'intelligence et sur son histoire, la prise de conscience de la genealogie de l'intelligence, la genealogie de l'intelligence et de l'instinct (l'intuition) et le retournement, la remontee a l'origine sont des themes bergsoniens essentiels. Au lieu de cadres artificiels pour agir sur les choses, le vivant intelligent rejoint par l'elargissement de l'experience son unite mouvante. La philosophie de bergson s'acheve, enfin, dans une cosmologie ou tout est changement de tension et d'energie et rien d'autre.
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Dagron, Tristan. « Métaphysique et philosophie naturelle chez Giordano Bruno ». Tours, 1997. http://www.theses.fr/1997TOUR2022.

Texte intégral
Résumé :
Consacré à la question du statut de la métaphysique et de la philosophie naturelle chez Giordano Bruno, ce travail est centré sur le dialogue italien de la Causa, principio et uno qui constitue le noyau théorique de la pensée de Bruno. Il cherche à situer la pensée de Bruno dans le cadre de la crise humaniste qui depuis la dialectique de Lorenzo Valla ne cesse de dénoncer l'usage de la raison et du langage de la scolastique médiévale (les Modi significandi) et, en particulier, sa prétention métaphysique de rapporter l'ordre humain des significations à une réalité surnaturelle. L’enquête tente de rapporter la pensée de Bruno à l'aristotélisme de Pomponazzi et au platonisme de Ficin et de Pic
Dedicated to "metaphysics" and " natural philosophy" in Bruno's works, this thesis is based on the italian dialogue De la causa, principio et uno, which represents the theoretical center of Bruno's thought. The thesis proposes to situate Bruno's thought within the framework of the "humanist crisis", which has not ceased to denounce the use of reason and language in medieval scholastics (The Modi significandi), and more specifically its "metaphysical" pretentions to connect the human order of signification to a "supernatural" reality, since Lorenzo Valla's dialectic. The study therefore tries to link Bruno's thought to Pomponazzi's aristotelism and to Ficin and Pic's platonism
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Joachim, Henri-Gaël. « Heidegger et Aristote : pour une métaphysique de l'être-en-acte ». Paris 1, 1996. http://www.theses.fr/1997PA010538.

Texte intégral
Résumé :
La confrontation entre Heidegger et Aristote permet de poser le problème de l'être-en-acte. Car, selon Heidegger, le sommet de la pensée d’Aristote réside dans la découverte de l'être comme energeia. Au cours de ses travaux sur Aristote, Heidegger a souligné avec une grande perspicacité l'importance de la conception aristotélicienne de l'antériorité de l'acte sur la puissance. Pourtant, dans sa propre philosophie, il a inversé ce rapport hiérarchique en accordant le primat au possible sur l'actuel. Du point de vue Heideggerien, ce renversement s'explique par le refus de toute forme d'onto-théologie. Mais d'un point de vue aristotélicien, Il s'explique par l'"oubli" de la distinction entre la détermination et le conditionnement. En effet, négliger cette distinction, c'est s'empêcher de découvrir l'acte comme principe et cause finale de ce-qui-est ; c'est passer d'une recherche de la finalité dans l'ordre de l'être à une quête du fondement ou de la condition de possibilité. De fait, dans ses commentaires de la métaphysique d’Aristote, Heidegger n'a rien dit de l'induction de l'être-en-acte au chapitre 6 du livre 9. Une redécouverte de l'être-en-acte s'avère donc nécessaire. Le chemin d'une telle redécouverte doit partir du jugement d'existence et rechercher les principes propres de ce-qui-est. Mais après être et temps, il n'est plus possible de négliger l'étude du dasein. C'est pourquoi il faut aujourd'hui prolonger la perspective d'Aristote en pensant le "je suis" dans la lumière de l'être-en-acte. M. D. Philippe a déjà tenté cette entreprise. Sa réflexion philosophique nous semble ainsi permettre de dépasser le débat entre Aristote et Heidegger et d'élaborer une métaphysique de l'être-en-acte
The confrontation between Heidegger and Aristotle allows to raise the problem of being in act. According to Heidegger, the apex of Aristotle’s thought lies in the discovery of being as energeia. In the course of his works on Aristotle, Heidegger has underlined the importance of the Aristotelian conception of the anteriority of actuality over potentiality. However, in his own philosophy, he has reversed this hierarchical relation by giving primacy to the possible over the actual. From the Heideggerian point of view, this inversion can be explained by his rejection of any form of onto-theo-logy. Now, from an Aristotelian point of view, it can also be explained by the "forgetting" of the distinction between the determination and the conditioning. Neglecting this distinction makes it impossible to discover actuality as principle and final cause of that which is. This amounts to a move from a theological inquiry in the order of being to a quest for the foundation or condition of possibility. As a matter of fact, Heidegger, in his commentaries on Aristotle’s metaphysics says nothing of the induction of being in act of book 9 chapter 6. It appears then that a rediscovery of being in act is necessary. The way leading to such a discovery must start from the judgment of existence, and go on with the inquiry into the principles of that which is. But after being and time, it is impossible to neglect the study of dasein. This is why, today, it is necessary to develop Aristotle’s perspective with a thinking of the "i am", in the light of being in act. M. D. Philippe has already attempted such an endeavor. It seems to us that his philosophical reflection enables us to go beyond the dilemma between Aristotle and Heidegger, and to articulate a metaphysics of being in act
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Srour, Pierre. « La métaphysique dans les romans de Patrick Modiano ». Metz, 1994. http://docnum.univ-lorraine.fr/public/UPV-M/Theses/1994/Srour.Pierre.LMZ9413_1.pdf.

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Résumé :
Après avoir projeté dans une première partie les faisceaux lumineux sur la vie de l'auteur, sur la série des romans qu'il a publiée jusqu'en 1989, nous entrons dans le vif du sujet à partir de la 2ème partie : parler de la "métaphysique", c'est aussi et c'est surtout parler de la "physique" car la matière première qui fonde le monde modianesque n'est autre que la métaphysique elle-même incarnée dans les lieux concrets de son espace romanesque. Cette étape est suivie par le doute de l'existence; abstraire et aller au-delà de l'image trouble de la matière par phénomène d'ombres et de lumières. La présence d'une structure musicale qui gouverne les écrits de Modiano s'ouvre sur le bonheur et montre que la maturation temporelle se confond avec l'infini et résout le problème de l'identité. Quant au personnage, lui, son nom fait son destin. Dans la troisième partie, on assiste à la double identité juive et chrétienne de l'homme modianesque, à la kaléidoscopie de son être. Dans cette partie, le père occupe une place très importante. C'est l'image d'un dieu absurde ou non, il est toujours omniprésent. La quatrième partie témoigne d'un blocage au niveau du temps, mais cela non sans tentative sérieuse d'ouverture et de liberté de la part de l'écrivain
After having highlighted in the first part the author's biography and the series of his novels published untill 1989, we go in the second part to the heart of the subject : to speak on the subject of "metaphysics" is also and especially to speak of "physics", as the raw material which the modianesque world is built upon, is nothing else but metaphysics itself, personified through the concrete places of his novels space. This stage is followed by the doubt about existence : to abstract and go beyond the blurred vision of the substance, by a phenomenon of shades and lights. The presence of a musical structure that rules Modiano's works, opens on happiness and proves that the maturation of time merges into the infinite and resolves the matter of identity. As for the character, his name does his destiny. In the third part, one attends the double jewish-christian identity of the modianesque man, as well as the kaleidoscopy of his being. Here, the father holds a most important place, through the image of an absurd or non absurd god, yet always omnipresent. As for the fourth part, it shows a blocking at the level of time, yet not without a serious attempt from the author towards opening and freedom
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Benbouzid, Hayet. « Wittgenstein face à Carnap sur la question du rapport de la métaphysique à l'analyse logique du langage ». Aix-Marseille 1, 1998. http://www.theses.fr/1998AIX1A064.

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Notre presente recherche repond a une question : sur quelle idee wittgenstein et carnap ont fonde leur attitude a l'egard de la metaphysique? si les deux attitudes sont inconciliables, les faits qui ont donne lieu a ces deux attitudes seraient-ils eux-memes conciliables? nous avons tente, dans ce travail, de montrer a quel point il est difficile de concilier la position de wittgenstein sur la question de la metaphysique avec celle de carnap. Pour nous, elles ne sont pas les memes, les raisons pour lesquelles wittgenstein et camap ont refuse d'admettre la metaphysique dans le cadre de la pensee philosophique. Pour caracteriser une certaine opposition a la metaphysique speculative par exemple, on peut citer, sur le meme plan, les noms de wittgenstein et camap. Mais si l'on considere l'attitude des deux philosophes a l'egard de cette metaphysique il serait tres difficile de les grouper sous un meme nom tellement profondes et decisives sont les differences qui les separent. La difference entre l'attitude de carnap et celle de wittgenstein envers la metaphysique est avant tout une difference d'ambition, une difference d'horizon. Chacun a sa propre maniere, chacun a travers sa propre theorie, wittgenstein et carnap affichaient ceci " eliminer la metaphysique par l'analyse logique du langage".
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Bonaud, Christian. « Métaphysique et théologie dans les oeuvres philosophiques et spirituelles de l'Imam Khomeyni ». Paris, EPHE, 1995. http://www.theses.fr/1995EPHE5011.

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Résumé :
L'imam Khomeiny n'est pas connu pour ses écrits philosophiques et gnostiques. Pourtant il est sans doute le plus éminent représentant contemporain d'un courant de la spiritualité shiite qui s'inscrit dans la lignee de la philosophie transcendante de mollâ Sadra et de la gnose d'ibn 'Arabi, fructifiant sur le terreau des enseignements ésotériques et initiatiques des imams de la famille du prophète. Une première partie s'intéresse a la formation de l'imam Khomeiny à la hawza, l'école traditionnelle des religieux shiites, en s'attachant en particulier à la lignée de ses maitres et aux doctrines qu'ils lui transmirent. Cette partie propose également une bibliographie analytique complète des œuvres de cet auteur. Le corps de l'étude porte sur les idées métaphysiques et théologiques contenues dans ces œuvres, idées dominées par les notions de fondamentaliste et d'unicité de l'existence et par les thèmes des perfections de l'existence et de la manifestation par effusion de cette existence qui constitue la réalité ultime
Imam Khomeini is not known for his philosophical or Gnostic writings, though he is undoubtfully the most prominent contemporary representative of a stream of Shiite spirituality which embodies within the transcendental philosophy of molla Sadra and ibn 'Arabi's gnosis, bearing its fruit on the mould of esoteric and initiatory teachings of the imams of the prophet's family. A first part of this study deals with imam Khomeini’s education to the hawza, the traditional school of the Shiite priestly corporation, while paying particular attention to the teachings of his masters and to the doctrines he inherited from them. This part also presents a fully detailed analytical book review of this author's work. In its main part, the study treats on the metaphysical and theological thoughts embodied within these writings which are streamlined by the ideas of the fundamental character and oneness of existence and by themes of perfections of existence and the revealing through effusion of this existence which constitutes the ultimate reality
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Crubellier, Michel. « Les livres "Mu" et "Nu" de la Métaphysique d'Aristote : traduction et commentaire ». Lille 3, 1994. http://www.theses.fr/1994LIL30041.

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Résumé :
Commentaire philologique, philosophique et historique des livres "Mu" an "Nu". Au niveau philologique, le commentaire s'appuie sur une révision du texte à partir des éditions critiques existantes ; il discute et tente de résoudre les problèmes posés localement par les passages difficiles. Le commentaire philosophique met l'accent sur l'analyse de la structure des arguments et de leur signification, et sur les questions épistémologiques abordées par le texte, notamment en ce qui concerne la philosophie des mathématiques. Le commentaire historique esquisse une reconstruction de la doctrine platonicienne des principes, en décrit l'attitude d'Aristote vis-à-vis de la philosophie de Platon et de ses successeurs de l'Académie
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Souchard, Bertrand. « Aristote, de la physique à la métaphysique, réceptivité et causalité ». Dijon, 2002. http://www.theses.fr/2002DIJOL004.

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Huang, Kuan-Min. « Schelling et la crise de la métaphysique ». Paris 4, 2001. http://www.theses.fr/2001PA040002.

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Menacée de déclin, la métaphysique dort se confronter à un questionnement sur sa propre crise. Aux yeux de Schelling, la crise de la métaphysique est déjà survenue ; la question devient donc de déterminer le sens de cette crise. En renvoyant au sens originel de la crise, Schelling emploie ce terme pour designer l'acte de séparation radicale d'où dérivent les sens comme le jugement et le moment crucial, etc. ; ce qui conduit à une considération sur la signification de la crise dans la systématisation schellingienne. Ce travail analyse d'abord dans la première partie, selon la problématique de la synthèse, le contexte de la confrontation rigoureuse chez Schelling avec les moments de séparation au sein du système jusqu'à sa philosophie de l'identité. Après cette partie préparatoire, il examine les différentes significations de la crise dans les textes principaux de la période de la philosophie de la liberté et de l'histoire et esquisse une métaphysique de la crise autour des termes de décision, mort, temporalité, extase, etc… Ces aspects de la crise, vus comme restructuration des éléments systématiques axés sur le décalage entre la liberté et l'existence, envisage la réflexion sur la constitution ontothéologique de la métaphysique. Comme la dernière phase de la philosophie de Schelling se concentre sur la différenciation de la positivité et de la négativité, opération qui exige aussi une réflexion sur la scission intérieure à la philosophie, la troisième partie analyse cette dernière confrontation de la crise et, en saisissant la condition humaine dans l'entreprise métaphysique, considère l'inversion en philosophie comme la réponse à la double fonction de la crise : la séparation et l'identité restauratrice. Le sens de la crise de la métaphysique est dans le dégagement de la propre vitalité de la philosophie au sein et à partir de sa constitution intrinsèque.
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Audran, Jérôme. « L'"époque " de la finitude après l'achèvement de la métaphysique selon Nietzsche et Heidegger ». Paris 4, 2004. http://www.theses.fr/2004PA040191.

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Résumé :
La métaphysique demeure incapable de penser la finitude parce qu'elle envisage l'homme d'emblée comme une négativité par rapport à Celui qui le dépasse infiniment – Premier Moteur, Substance, causa sui, etc. Avec Nietzsche et Heidegger, ce rapport s'inverse et la finitude est éclairée positivement parce qu'elle devient première dans l'ordre des " choses ", à la fois ontologiquement et chronologiquement. Finitude et solitude définissent désormais les lois ontologiquement législatrices de la nature humaine. C'est l'abandon du logoV au profit d'une langue " poé(ma)tique " qui permet d'abord d'articuler ce " renversement ", ce " saut ", ce " tournant " dans et de la pensée. Avec la finitude cependant, sont dévoilées des " expériences de partage ", qui introduisent paradoxalement une rupture de finitude. Cette transcendance renouvelée impose une réflexion qui se situe en deçà du principe d'individuation, et que Nietzsche et Heidegger récapitulent respectivement sous les notions de " Sacré " et de " Dionysiaque "
Metaphysics remains incapable of incorporating finitude because it primarily considers human existence in the negative in relation to the One who exceeds him infinitely – First Mover, Substance, causa sui, and so on. With Nietzsche and Heidegger, the reverse is true: finitude is brought into a positive light because it becomes the first in order of "things", both ontologically and chronologically. Henceforth finitude and solitude define the ontologically legislative laws of human nature. It is the surrender of the logoV on behalf of a "poe(ma)tical" language which first authorizes the articulation of this "inversion", this "jump", and this "turn" in and of thought in general. With finitude, however, some "sharing experiences" are disclosed, which paradoxically introduces a breaking from finitude. This renewed transcendence imposes a reflection that is situated under the individuation principle, and this Nietzsche and Heidegger respectively recapitulate under the notions of "Sacred" and "Dionysiac"
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Lippi, Jean-Paul. « Métaphysiques : réflexion de l'autrement d'une nécessité philosophique : thèse ». Nice, 2002. http://www.theses.fr/2002NICE2014.

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Résumé :
La thèse se donne pour objectif de conduire une réflexion sur l'essence de la métaphysique, en même temps qu'elle se propose d'être une contribution au débat sur la légitimité philosophique de celle-ci. Elle repose sur le postulat selon lequel la métaphysique, loin d'être aujourd'hui "dépassée" par les progrès de la pensée, comme le voudrait par exemple le positivisme logique, constitue au contraire une nécessité pour la philosophie, discipline dont elle représente le destin. Sur cette base, le raisonnement oppose aux conceptions aristotéliciennes, lesquelles se voient ramenées à la seule ontologie et apparaissent de ce fait insuffisantes, le point de vue dit de "la métaphysique intégrale", dans la filiation des oeuvres de l'Ecole de la Tradition, d'inspiration guénonienne, et dans le sillage de la réflexion de Georges Vallin ; s'appuyant sur une conception moniste et hyperontologique et réhabilitant, contre Kant, l'Intuition Intellectuelle en tant qu'instrument de la connaissance nouménale, il insiste sur l'inséparabilité de la spéculation et de l'opérativité, la seconde devant obligatoirement dépasser la première afin de parvenir à la Réalisation. Cette prise de position explique le recours aux concepts de "gnose" et d'"ésotérisme". Dans un second temps sont abordées des "perspectives anthropo-métaphysiques" visant à montrer l'insuffisance des sciences humaines dans leur projet de connaissance de l'Humanité par elle-même puis à préciser la place de l'Homme dans le Monde, une importance toute particulière étant donnée à l'éthique en tant qu'"anthroponomie transcendantale", c'est-à-dire ensemble de règles de comportement placées sous la dépendance de la métaphysique.
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Moisuc, Cristian-Petrut. « Métaphysique et théologie chez Malebranche : Verbe, union, représentation ». Caen, 2011. http://www.theses.fr/2011CAEN1617.

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Résumé :
Cette thèse porte sur la relation entre la conception malebranchiste de l'idée et le rôle de Jésus-Christ en tant que cause occasionnelle de la gràce. Elle vise à mettre en lumière l'ambiguïté de la christologie malebranchiste non seulement en la rapportant à ses sources mais aussi et surtout en mesurant à quel point elle oblige Malebranche à penser à nouveaux frais le rapport entre métaphysique et théologie. En prenant comme point de départ les interprétations traditionnelles du rôle que joue le Christ dans le système malebranchiste, nous analysons, dans la première partie de la thèse, la théorie de vision en Dieu et son présupposé fondamental (l'idée comme être réel et extérieur à l'âme), ainsi que la manière dont cette théorie oblige Malebranche à décrire la relation entre l'homme et Dieu en termes de « distance » et d'« éloignement ». Dans la deuxième partie de la thèse nous nous intéressons aux conséquences théologiques de la vision des idées en Dieu, principalement l'interprétation du rapport entre l'homme et Dieu comme rapport entre le fini et l'infini, et la réécriture (en clé métaphysique) des dogmes de l'Incarnation, du péché originel et de la rédemption. L'enjeu de la thèse est, d'une part, de montrer que les interprètes de Malebranche n'ont guère perçu ce que la christologie métaphysique malebranchiste recèle d'audace, voire d'hétérodoxie, d'autre part d'analyser comment cette christologie métaphysique assume le rôle de pivot de l'occasionnalisme théologique — conçu comme devant être une véritable apologie de la Providence divine, il a abouti à remettre en cause l'union hypostatique (en la personne du Christ) entre l'homme et Dieu
This thesis examines the relationship between Malebranche's theory of idea and its interpretation on throle of Jesus Christ as the occasional cause of grace. It aims to highlight the ambiguity of Malebranche’s Christology not only by relating it to its sources but also and especially by examining how it forces Malebranche to rethink the relationship between metaphysics and theology. Taking as starting point the classical interpretations on the role of the Christ in the Malebranche’s system, we analyze in the first part of the thesis the theory of vision in God and its basic assumption (the idea as an real and external object for the soul) and how this theory forces Malebranche to describe the relationship between man and God as «distance» and «remoteness». In the second part of the thesis we focus on the theological implications of the vision of ideas in God, especially on the interpretation of the relationship between man and God becomes as a relationship between the finite and the infinite and on the rewriting (in a metaphysical key) of the dogmas of the Incarnation, the original sin and the redemption in Christ. The challenge of the thesis is to prove, first, that the classical exegesis of Malebranche has not seen the daring and the heterodox character of the Malebranche’s Christology and secondly, to show how this metaphysical Christology assumes the pivotal role for the theological occasionalism – designed to be a real vindication of the divine Providence, it has lead to questioning the hypostatic union (in the person of Jesus-Christ) between man and God
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Trego, Kristell. « Saint Anselme et la pensée antique : les aspects métaphysiques de l'éthique selon Anselme de Cantorbery ». Paris 1, 2004. http://www.theses.fr/2004PA010680.

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Le rapport d'Anselme à la pensée antique ne se limite pas à une reprise de la pensée d'Augustin. L'apport de l'œuvre logique d'Aristote, transmise par l'intermédiaire de Boèce, joue en effet un rôle qu'on ne saurait mésestimer dans l'économie de la pensée de l'abbé du Bec. Si Anselme parvient à donner leur pleine extension à des idées éthiques qui certes pouvaient être suggérées par Augustin, mais qui en restaient alors toujours au stade de simples intuitions, c'est en effet parce qu'il a hérité d' Aristote, à travers la lecture des Catégories, le modèle d'une interrogation sur l'étant entendu comme substance. Alors que l'éthique antique était étroitement liée à la question de l'âme, l'éthique est chez Anselme amarrée à une certaine conception de l'étant. Les innovations éthiques du Docteur Magnifique demandent alors à être resituées dans le cadre du remaniement en profondeur de la pensée antique qui les a rendues possibles.
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Longo, Anna. « Répétitions et simulacres : l'art contemporain entre métaphysique et immanence ». Paris 1, 2012. http://www.theses.fr/2012PA010510.

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La thèse recherche se propose de démontrer comment la répétition théorisée par Deleuze correspond avec une certaine ligne de la pratique artistique contemporaine. Cette ligne, qui n'a pas encore été reconnue comme relative à une ontologie immanente, se détacherait d'une autre qui, en revanche, se trouve encore liée à la « répétition du même» et à la métaphysique. Nous croyons être en mesure de révéler qu'à partir des années 1960, une alternative ontologique à la métaphysique commence également à produire ses simulacres capables de renverser, enfin, le platonisme. Nous avons focalisé notre analyse des schémas de répétition sur les œuvres, sur la manière dont les artistes conçoivent la création et sur les constructions théoriques regardant le rôle et la valeur de l'art dans le contexte culturel, social et économique contemporains.
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Sarafidis, Karl. « Restauration et déconstruction de la métaphysique. Heidegger, Bergson ». Thesis, Paris Est, 2011. http://www.theses.fr/2011PEST0036.

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Les suites du spiritualisme en France et celles de l'idéalisme en Allemagne ont donné lieu à deux figures majeures de la pensée du XXème siècle : Bergson et Heidegger. La reprise du projet ancestral de la philosophie première conduit chacun à l'exigence d'un dépassement des structures conceptuelles de la tradition en vue de repenser à nouveaux frais, l'être selon le temps. Ainsi, à propos de la méthode proposée de part et d'autre, le premier pas consiste à articuler leur entente de la question "Pourquoi quelque chose plutôt que rien ? " dans la perspective d'un renversement du principe ontothéologique dont celle‐ci procède. Puis, après une lecture suivie de leur manière d'établir le concept d'un temps fondamental, et un examen critique de l'interprétation que Heidegger donne de l'idée bergsonnienne de durée, l'étude tente d'éprouver la divergence de leur confrontation à Aristote comme représentant de la conception naturelle d'un temps dérivé. Cette épreuve ultime visant à dégager de façon explicite leur position vis-à-vis d'une étape cruciale dans l'installation du règne de la métaphysique occidentale contribue dès lors à repenser les conditions d’un échange dont leurs projets respectifs pourraient au final bénéficier l’un l’autre
The after-­‐effects of spiritualism in France and those of idealism in Germany have led to two major figuresin XXth century thought: Bergson and Heidegger. The resurgence of the ancestral project of first philosophy conducted them both to demand an overcoming of traditional conceptual structures with a view to think being once again in regards to time. Thus, concerning both methods, the first step would be to articulate their understanding of the question "why something rather than nothing?" in the perspective of a reversal of the onto-­‐theological principle of which it proceeds.Then, after a sustained reading of their way of establishing the concept of fundamental time, and a critical examination of the interpretation Heidegger gives of the Bergsonian idea on duration, our study attempts to test their diverging confrontation ofAristotle as a representative of the natural conception of derivative time. This ultimate test which aims to release in an explicit way their position in regards to a crucial stage in the installation of the reign of occidental metaphysics contributeshenceforth the rethinking of the conditions of an exchange from which their respective projects could both finally benefit
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Safou, Jean-Bernard. « Husserl et la métaphysique de Descartes : essai d'une interprétation phénoménologique du projet cartésien de la Mathesis universalis ». Paris 4, 1999. http://www.theses.fr/1999PA040047.

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La phénoménologie, en tant que philosophie du vingtième siècle finissant, est la métaphysique. Certes Husserl, en fondant la phénoménologie, fonde aussi la métaphysique sur des bases nouvelles, mais, qui restent tributaires de la tradition philosophique. Car, Husserl recourt à la doctrine de la mathesis universalis que Descartes a remise en valeur au dix-septième siècle pour accéder à la philosophie, qu'il a baptisée la phénoménologie. La doctrine de la mathesis universalis telle que Descartes la conçoit se définit comme un projet; la réalisation du projet philosophique cartésien se manifeste par la science universelle. Le nom qu'attribue Descartes à la philosophie, la science universelle ou sagesse humaine, légitime le sens de la philosophie, la philosophie première. Husserl reprend l'idée cartésienne de la philosophie, la science universelle. Ainsi la phénoménologie assume-t-elle le sens de la métaphysique, autrement dit la philosophie première.
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Moulenda, Joseph-Igor. « Derrida et la critique de la phénoménologie de Husserl : Autour de la question de la "Métaphysique de la présence" ». Caen, 2012. http://www.theses.fr/2012CAEN1647.

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Résumé :
Cette étude est une introduction à la critique que Derrida a engagée à l’endroit de la phénoménologie de Husserl. Il s’agit précisément d’une critique dont l’épicentre est la « métaphysique de la présence », expression forgée par Derrida, pour rendre évident l’unité conceptuelle parfois insoupçonnée où continue de s’opérer la jointure entre phénoménologie et métaphysique. Cette unité conceptuelle reste l’attachement au présupposé de l’être comme « présence », que Derrida ne manque pas de déconstruire au motif de son impossibilité à apparaître dans sa plénitude. Dans cette étude divisée en deux grandes parties, nous avons voulu montrer comment Derrida part de la question de la signification chez Husserl dont il critique l’idéalisation extrême, pour ensuite opérer la déconstruction de la phénoménologie à partir de l’une de ses idées fortes, à savoir la réduction de tout phénomène à son fondement originaire dans la conscience. On peut voir que de part et d’autre, il relève et dénonce l’emprise intuitionniste de la métaphysique sur la phénoménologie
This study is an introduction to the critique that Derrida initiated about the Husserl’s phenomenology. More accurately, the epicenter of that critique is the "metaphysics of presence", a phrase coined by Derrida. His goal is to bring out the conceptual unity that is oft-times unsuspected at the usual binding point between phenomenology and metaphysics. That conceptual unity represents the bond to the so-called being viewed as "presence" that Derrida successfully unravels by reason of his inability to reach his fullness. The study is divided into two main parts. First, we wanted to show how Derrida questions the Husserl’s view on Meaning by criticizing its extreme idealization. Secondly, how he sets out to deconstruct phenomenology by utilizing one of his strong ideas, namely the reduction of all phenomena to the consciousness. We can see that all in all, he points out and denounces the intuitionist grip of metaphysics on phenomenology
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Maggini, Golfo E. « La justice de la pensée : la critique de la métaphysique de la subjectivité dans le différend heideggérien avec Nietzsche, 1936-1946 ». Paris 12, 1997. http://www.theses.fr/1997PA120045.

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Résumé :
Notre these se concentre sur les aspects varies et les etapes successives de la presence de nietzsche dans le projet de destruktion de la metaphysique de la subjectivite entreprise par heidegger dans les annees qui suivent le premier cours consacre a lui en 1936 et jusqu'a la lettre sur l'humanisme (1946). Afin de mesurer l'importance de cette presence, nous etudions l'enchevetrement de la confrontation heideggerienne avec la metaphysique avec le dispositif conceptuel de la "justice", tel qu'il se met en place tout au long de cette etape de la confrontation heideggerienne avec la metaphysique a partir et, d'une certaine facon, grace a son interpretation de nietzsche. Lors de sa premiere apparition, dans l'introduction a la metaphysique (1935), la justice est dike (sikn) au commencement-initial (anfang) de la philosophie : nous designons cette figure primordiale de justice en termes de justice aletheiologique. Par ailleurs, sa traduction comme "ajointement" (fug) est le premier indice de la nouvelle approche de l'historialite comme structure existentiale du dasein resultant de son traitement insuffisant dans etre et temps (1927). En effet, le terme cle de cette transmutation, celui de l'evenement appropriant (ereignis), peut etre place sous la configuration du dispositif de la "justice" (dike, fug). Dans notre seconde partie, nous abordons un autre aspect de justice, a savoir la justice (gerechtigkeit) comme figure ultime de la verite metaphysique - justice veritative - en incompatibilite absolue avec la dike presocratique : c'est la separation radicale entre ceux deux figures de justice qui aboutit a la reduction de la position fondamentale de nietzsche a une figure de la metaphysique de la subjectivite. Dans notre troisieme partie, nous suivons le sillage de ce developpement dans ses dernieres consequences, a savoir la definition du statut de la technique comme resultat de la metaphysique moderne de la subjectivite. La justice nietzscheenne, identifiee dans un premier temps a l'adequation et a la rectitude (richtigkeit), sera desormais renvoyee au calcul (rechnung) en devenant ainsi justice calculante. Dans nos parties introductive et conclusive, nous esquissons la facon selon laquelle a travers ces trois figures primordiales de justice apparait la justice hermeneutique, la "justice de la pensee" explicitee notamment par le terme du "differend
Our thesis focuses on the various aspects of nietzsche's presence in the heideggerian project of destruktion of the metaphysics of subjectivity in the years following his first lecture course on "the will to power as art" (1936) and until the letter on humanism (1946). In order to make this explicit, we study the association of the questions of subjectivity and justice in heidegger's interpretation of nietzsche. In fact, the theme of justice appearing in all his ontological implications for the first time in introduction to metaphysics (1935) gives access to the different ways in which nietzsche intervenes in his confrontation with the question of the origin and history of metaphysics. In the first place, justice is dike in the presocratic beginning of philosophy. Its translation as "joining" (fug) permits a new approach to the status of dasein's historicality in fundamental ontology. Actually, its reformulation in the major work of 1936-1938 beitrage zur philosophie (vom ereignis) is the result of the insufficient treatment of being and time. In our second part, we examine another aspect of heidegger's interpretation of justice (gerechtigkeit) in nietzsche qualified as the ultimate moment of the metaphysics of truth. The radical separation of presocratic dike from gerechtigkeit results in his definition as the "metaphysician of subjectivity". In the horizon of the history of being, the justice of life is represented (vor-gestellt) by the will to power. In our third part, we study the ontological status of modern technology as the result of the metaphysics of subjectivity. This is possible insofar as nietzschean justice is identified with rectitude (richtigkeit) and calculative thought (rechnung). In our introduction and conclusion, we concentrate on the hermeneutical nature of justice as "justice of the thought" taking as starting point the term of "differend" (auseinandersetzung) which caracterises the heidegger-nietzsche encounter from its very beginning
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Sano, Tsuyoshi. « Métaphysique du sujet et théorie sociale dans "la Comédie humaine" de Balzac ». Montpellier 3, 2002. http://www.theses.fr/2002MON30042.

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Résumé :
La question sociale et politique est essentielle chez Balzac. Pour lui, le pouvoir grandissant de l'argent met en péril l'équilibre de la société. Face à ce problème, plutôt que de proposer un système nouveau, Balzac choisit d'assumer une position politique: il soutient la religion et la monarchie. Balzac nous apparaît ainsi comme une figure contradictoire tiraillée entre réaction et modernité. La présente étude vise à réconcilier ces deux aspects en essayant de définir tout ce que recouvre et implique ce choix politique, et en montrant que la dimension révolutionnaire, visionnaire de Balzac a ses racines mêmes dans cette position réactionnaire. The political and social issue is essential in La Comédie humaine. For Balzac, the increasing power of money threatens the basis of society. In front of this problem, instead of proposing a new social system, Balzac firmly defends a political position: he supports Religion and Monarchy. Thus Balzac appears like a contradictory figure torn between reaction and modernity. The aim of this study is to reconcile these two conflicting aspects by defining what this political choice implies and also by proving that the root of Balzac's revolutionary and visionary dimension can be found in his reactionary stand.
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Peyroles, Henri. « Science et mystique en philosophie : Henri Bergson et Martin Heidegger ». Paris 10, 2001. http://www.theses.fr/2001PA100040.

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Résumé :
Bergson et heidegger, nes au xixe siecle sont des fils des lumieres et de la science. Ils ont rompu le charme de la science, bergson pour s'en faire une auxiliaire, heidegger pour y voir un danger pour l'humanite. L'un et l'autre, au soir de leur vie, tourneront leurs recherches philosophiques vers le religieux et le mysticisme. S'il fallait qualifier d'un mot la pensee de bergson, ce serait l'empirisme. Sa pensee philosophique s'edifie sur des faits fournis par la science et aussi l'introspection de la conscience ou se decouvre le temps vrai, la duree. Tres tot, se constitue la metaphysique positive qui trouve sa methode dans les sciences experimentales de la vie, la biologie, son moteur, dans l'association de l'intelligence et du peu d'intuition que l'evolution a laisse subsister dans notre esprit. Quatre livres marquent l'ascension de sa recherche, depuis la mise en lumiere du fait de la liberte, la demonstration de la realite de l'esprit, la creation comme un fait degageant l'idee d'un dieu createur et libre, jusqu'a la transfiguration de la morale et de la religion par le mysticisme, dirigeant l'humanite, liberee des contraintes materielles par la science, vers sa divinisation. La pensee de heidegger, constamment tendue vers la verite de l'etre, s'affranchit progressivement de toute attache, en premier lieu du catholicisme de son enfance pour se proclamer athee. La science et la logique sont repudiees comme armatures de sa pensee pour devenir la cible de ses attaques en raison du danger qu'elles sont pour l'humanite. La fin proclamee de la philosophie, le depassement de la metaphysique, font place nette au deploiement du questionnement d'une pensee nourrie de mysticisme et de poesie, tournee en direction de l'etre, et au dela , vers le divin.
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Darantière, Louis. « Du rôle de la théorie des idées dans la formation du criticisme kantien : essai sur l'esthétique transcendantale et sa gestation précritique, comparée à la méthode métaphysique de Descartes et Berkeley ». Paris 1, 2011. http://www.theses.fr/2011PA010527.

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Résumé :
Les idées, dans les théories de la connaissance de Descartes à Hume, sont des normes intuitives pour interpréter la nature. Quelle cosmologie en résulte? Un matérialisme (l'analyse de Berkeley le montre), débouchant chez Locke puis Hume sur l' agnosticisme, et une théorie de l'entendement qui est le modèle de l'idéalisme kantien. Mais Kant a rejoint la théorie des idées indépendamment, par le problème métaphysique de l'espace, qu'il déclare idéal en 1770, pour corriger sa théorie de l'espace absolu de 1768. De ce point, on peut tenter de suivre la construction de l'idéalisme transcendantal, et comprendre sa convergence avec la métaphysique cartésienne et l'empirisme de Locke.
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Fărcaş, Daniel-Sorin. « Le transcendantal et le discours théologique : métaphysique et analogie chez Albert le Grand et Maître Eckhart ». Paris 4, 2008. http://www.theses.fr/2008PA040026.

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La distinction entre la science de l'homme ("scientia hominis") et la science de Dieu ("scientia dei") polarise toute la métaphysique d'Albert le Grand. Celle-là est mise en place surtout par la méthode résolutoire ("modus resolutorius") qui suit la voie ascendante (de l'effet à la cause), dans une démarche de retour (cognitif) de la créature au Créateur (les termes propres du vocabulaire albertien sont, à cet égard, "reductio", "resolutio", "reditio", "remotio"), Mais la science de Dieu est créatrice (ce qu'il connaît, il crée) et elle se réalise selon la méthode de composition ("modus compositivus"). Pour Maître Eckart, le concept d'homme noble ("homo nobilis") ou d'homme détaché détermine l'effacement partiel de l'opposition entre la "scientia hominis" et la "scientia dei". L'homme déifié (qui participe à la Déité), devenu "fils unique" de Dieu par l'adoption de son intellect, accède dès sa vie terrestre et temporelle non pas seulement à la béatitude éternelle, mais aussi à la connaissance plénière et éternelle propre de Dieu
This distinction between man's knowledge and God's knowledge concentrates the whole metaphysics of Albert the Great. The first operates especially according to the resolutive method ("modus resolutorius"), which follows an upward way (from effect to cause) in a cognitive return approach of the creature to the Creator (the specific terms of Albert's the Great vocabulary are here "reductio", "resolutio", "reditio", "remotio"), God's knowledge is a creative one (what He knows, He creates) and operates according to the composition method ("modus compositivus"). To Meister Eckhart, the concept of noble man ("homo nobilis") or detached man determines partial deletion of the opposition between "scientia hominis" and "scientia dei". The deified man (he takes part to Deity), who becomes "the unique son" of God his intellect adoption, experiences - even from his temporal and earthy life - not only the eternel bliss, but also the absolute (perfect) and everlasting knowledge which belongs only to God
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Barthelmé, Bruno. « L'idée régulatrice dans le kantisme ». Paris 1, 1994. http://www.theses.fr/1994PA01A004.

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Résumé :
Notre propos est centré pour l'essentiel sur quelques pages de la critique de la raison pure : celles de l'appendice à la dialectique transcendantale où se trouve problématisée la notion d'idée régulatrice. D'abord, nous avons cherché à montrer que cet appendice répond à une question posée dès l'analytique transcendantale ; mais qui demeurait jusque-là une question sans réponse : comment l'expérience est-elle matériellement possible ? L'élucidation des conditions d'une connaissance possible suppose donc la prise en compte de l'idée et, en ce sens, le criticisme, en fondant la science dans la raison pensante, s'inaugure dans le refus catégorique du scientisme, dans la proclamation que la science n'est pas autofondation d'elle-même. Nous avons ensuite cherche à cerner le statut exact de l'idée régulatrice. L'analyse du langage du "comme si" fait apparaitre qu'il est la mise en œuvre d'une stratégie de l'illusion, jugée par Kant comme nécessaire, dont l'image du "focus imaginarius" rend tout particulièrement compte. Il nous fallait bien alors en venir à faire de l'imagination le véritable maitre d'œuvre de l'idée régulatrice et à reconnaitre que Kant pensait la raison comme puissance d'imagination. Avec l'idée régulatrice se constitue l'idée d'une autre métaphysique, une métaphysique des "limites" permettant à la raison de s'accomplir dans son "besoin" de dépasser l'expérience en empruntant ce chemin de crête du savoir qui désigne proprement en entre-lieu, un voyage en "utopie". Qu'en est-il alors de l'avenir de l'idée régulatrice tant au-delà de la critique de la raison pure se trouve-t-elle congédiée par l'introduction de la notion de "jugement réfléchissant ? - qu'au-delà du critisme kantien ? Par-delà la critique hégélienne du kantisme, le néo-kantisme de cassirer nous a paru exploiter les potentialités de sens de l'idée régulatrice
For the most part our subject concerns a few pages from "critique of pure reason" in the "appendix to the transcendantal analytics" where the notion of the regulating idea is developped. First we tried to show that this appendix is the answer to a question already put in the transcendantal analytics but which was up now a question without answer. How is experience materialy possible ? The elucidation of the conditions of the possible knowledge suppose consequently to take into account the idea and therefore criticism, by melting science with the thinking reason, leads to the definite refusal of scientism and to the proclamation that science is not self-foundation. We tried afterwards to clear up the exact status of the regulating idea. A language analysis of the "as if" points out the fact that it is the setting of a strategy of illusion - judged necessary by kant- which the "focus imaginarius" is a clear example. It was then necessary for us to consider that the regulating idea proceeds from imagination andto admit that kant considered reason as power of imagination. With the regulating idea comes up the idea of another metaphysics of "limits" letting reason accomplish itself in its "need" to go beyond experience by taking this high ridge path of knowledge that leads to a "middle-place", a journey in "utopia". What about then the future of the rrgulating idea beyond the critique of pure reason - does it disappear by the arrival of the notion of the "reflecting judgment" - as well as beyond the kantian criticism ? Beyond the hegelian critique of kantianism, cassier's neo-kantism seems to matre the most of the different meanings of the "regulating idea"
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Langevin-Formaux, Nathalie. « L' expressionnisme : l'art comme expérience métaphysique ». Paris 1, 2010. http://www.theses.fr/2010PA010612.

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L ' expressionnisme, mouvement du début du XXe siècle, met l’ accent sur la violence formelle et rompt avec l'impressionnisme. Son but est de saisir par l'intuition l'idée présente dans les phénomènes : l 'unité vivante capable de donner sa cohérence aux oeuvres. L'art est « expérience métaphysique », il ne transfigure pas la réalité mais en dévoile ce qu'il y a d'essentiel. L'étude de textes théoriques (Benn, Edschmid, Marc) permet de déceler l'influence de Schopenhauer, Nietzsche, Bergson et Simmel. Pour révéler cette influence, l'examen des oeuvres s'impose: celles de Munch, les écrits de Doblin, Wedekin (Lulu), la musique de Schönberg, les films : Nosferatu, Metropolis. Subversif dans sa forme, radical dans son contenu, l'expressionnisme fut combattu par le nazisme. Les artistes ont payé cher leur contestation sociale et leur engagement dans un « art dégénéré », Si toute innovation seulement esthétique est superficielle, toute révolution seulement politique passe à côté de l'essentiel.
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Goulipian, Armand. « Humour et métaphysique chez Graham Greene ». Clermont-Ferrand 2, 1997. http://www.theses.fr/1997CLF20020.

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Vers la fin de sa vie Greene a été attiré par l'aspect comique de la réalité, beaucoup plus que par son côté tragique. Son regard et son écriture ont été influencés par une perspective qu'on pourrait qualifier d'humoristique. Dans ses derniers romans se joue une comédie qui est à la frontière de la tragédie, et ne s'en distingue pas toujours facilement. Le domaine de l'humour est souvent mystérieux. Chez Greene il paraît conduire paradoxalement à une réalité métaphysique qui se cacherait sous les masques variés ce cet humour. Masques et caricatures pourraient évoquer une vérité cachée, difficile à appréhender directement. La réalité mystérieuse de l'amour pourrait constituer un premier pas vers un au-delà métaphysique
Towards the end of his life, graham greene was more attracted by the comic side of reality than by its tragic one. His conceptions and his writings were influenced by what could be called a humoristic outlook. In the last novels comedy borders on tragedy, and is not easily distinguished. The field of humour is often mysterious. In greene's work it seems to point paradoxically to a metaphysical reality concealed under the various masks of humour. Masks and caricatures might suggest a hidden truth, hard to apprehend directly. Love's mysterious reality might be a first step towards a metaphysical beyond
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Millischer, Laurent. « Heidegger et la systémique : vers le lieu de pensée ». Rennes 1, 2011. http://www.theses.fr/2011REN1PH03.

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De notre temps, Heidegger donne un double diagnostic pour le moins tranchant : temps d’accomplissement de la fin de la philosophie d’une part, et de la domination de la cybernétique sur l’intégralité de la considération de l’étant d’autre part, par quoi elle vient à constituer comme la véritable métaphysique de ce temps. Ces interprétations pointent vers cet autre événement, capital pour leur entente, qu’est l’émergence et le déploiement de la systémique, fondant et unifiant le multiple de la science moderne comme théorie générale du Système comme tel. Ce travail tente une relecture de l’oeuvre de Heidegger à la lumière de cet événement, seul à même de donner le plein sens à la radicalité de ses interprétations, et surtout à leur nécessaire jointure. Le temps de la « technique achevée » est ainsi essentiellement et intégralement déterminé par le déploiement de la triade systémique énergie-commande-connexion, se substituant à la constitution onto-théo-logique de la métaphysique. Substitution en forme de simulacre d’accomplissement, dont la pensée se trouve dès lors exclue au profit de la Production pure. Un tel renversement impose de questionner à nouveau frais la texture du lieu de pensée, laissé comme reste par cette substitution. Ce topos, par essence dual, peut s’entrevoir comme articulation d’un cadre trinitaire, à partir du Quadriparti heideggérien et d’une tripartition de l’Accord (Austrag) qui lui est sous-jacent, selon les trois thèmes de la copropriation (Ereignis), de la coappartenance (Zusammengehörigkeit) et de la correspondance (Entsprechung)
Of our times, Heidegger gives a quite decisive double diagnosis: times of the accomplishment of the end of philosophy on the one hand, and of the domination of cybernetics over the whole of the consideration of beings on the other hand, thus becoming the real metaphysics of these times. These interpretations point towards this other event, which is capital for understanding them, this event being the emergence and spreading out of systemics which found and unify the multiple of modern science into one general theory of the System as such. This work is an attempt at rereading Heidegger's work in the light of this event, the only one able to give its full meaning to the radicalism of his interpretations and especially to their necessary joint. The times of "achieved technology" are thus essentially and completely determined by the unfolding of the systemic triad, Energy-Command-Connexion, taking the place of the onto-theo-logical constitution of metaphysics. A substitution in the shape of a pretence of completion, from which thought is therefore excluded for the benefit of pure Production. Such a shifting makes us question anew the texture of the place of thought, which has been left after by this substitution. This topos, dual in essence, can be perceived like the articulation of a Trinitarian frame, taking its source in Heidegger's Fourfold and a tripartition of the Tension (Austrag) which is underlying it, according to the three themes of Enowning (Ereignis), Togetherness (Zusammengehörigkeit) and Correspondence (Entsprechung)
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Courtine, Jean-François. « Ontothéologique et topique de l'analogie : le tournant suarézien, étude sur la formation du système de la métaphysique scolaire ». Paris 4, 1987. http://www.theses.fr/1987PA040308.

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La doctrine de l'analogie de l'être, étrangère à la lettre et à l'esprit de l'aristotélisme, trouve une première élaboration chez les commentateurs grecs d’Aristote et dans le néoplatonisme tardif (Simplicius, Proclus). Les premiers interprètes du Stagirite, soucieux de déterminer la nature et l'objet de la philosophie première, préparent cette élaboration. Mais la fonction architectonique de cette doctrine n'apparait clairement qu'à l'époque de la grand scholastique (Thomas d'Aquin), quand elle décide de tous les concepts ontologiques fondamentaux. Dans l'horizon noétique du nominalisme, cette doctrine devient surtout un objet de controverses logiques (Cajetan - Suarez). Cette formalisation coïncide avec la naissance de l'"ontologie" et les premiers efforts de systématisation et de division de la métaphysique. L'œuvre de Suarez marque un tournant significatif dans l'histoire du système ontothéologique de la métaphysique moderne définie comme science de l'objectite sans objet
The doctrine of the analogy of being, stranger as well to the letter as to the spirit of aristotelism, finds its first elaboration by the Greek commentators of Aristoteles and in the late Neoplatonism (Simplicius, Proclus). The first interpreters of the Stagirite, eager to determine the nature and the object (subject-matter) of the first philosophy, prepare this mediaeval elaboration. But the architectonical function of this doctrine appears clearly only at the time of high scholastic (Thomas Aquinus) when it determines the background of ontological concepts. In the noetical horizon of nominalism, this doctrine becomes mostly an object of logical controversies (Cajetan - Suarez). This formalization corresponds to the birth of "ontology" and to the first strives of systematization and of division of metaphysics. The work of Suarez represents a significant turn in the history of the ontotheological system of modern metaphysics, defined as science of the objectivity without any "object"
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Métry-Tresson, Carolle. « L'aporie ou l'expérience métaphysique de la dualité dans le "Peri Archôn" de Damaskios ». Paris, EPHE, 2009. http://www.theses.fr/2009EPHE5005.

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Le traité « Apories et résolutions touchant les premiers principes », rédigé en langue grecque par Damaskios (Damas, 462 AD (?) – (?)), dernier Diadoque de l’école néoplatonicienne d’Athènes, nous permet de penser que nous touchons ici à l’apogée de la pensée de cet auteur et à la cime jamais atteinte par la philosophie grecque elle-même. Damaskios développe dans ce traité une véritable voie aporétique, héritier en cela d’une longue tradition philosophique. Mais que faut-il entendre sous ce terme d’aporie ? Bien plus que des pièges où tombe la pensée humaine, elles sont les limites éprouvées de celle-ci. Ce n’est pas tant le fait brut de l’aporie qui taraude ce métaphysicien, mais la raison de leur présence. Quelle est la source des apories concernant les premiers principes ? Le traité de Damaskios nous semble être le lieu privilégié où convergent deux interrogations fondamentales : Pourquoi la pensée éprouve-t-elle des difficultés à penser les principes premiers ? Et comment franchir les limites de notre pensée ? Ce qui revient à se demander ce que signifient exactement pour nous ces limites. La question qui surgit derrière chaque aporie est au fond celle des « conditions de possibilités de la pensée humaine ». Au moyen de multiples apories, nous montrerons que Damaskios cherche à nous faire éprouver ce que l’on pourrait appeler une « expérience métaphysique de la dualité », en vue d’établir une connaissance à la fois de nous-mêmes et de la distance qui nous sépare des Principes suprêmes. Notre intention est donc de saisir le sens et de comprendre le rôle de la notion d’aporie dans la métaphysique damaskienne
The work entitled « Aporias and resolutions concerning the first principles », written in Greek language by Damaskios (Damas, 462 (?) AD – (?)), the last Diadoch of the Neoplatonic Athenian School, allows us to think that we reach here not only the peak of the thought of this author, but also the peak never attained by Greek philosophy before. In this treatise, he develops a real aporetical way, based on a long philosophical tradition. But how to understand this term “aporia”? Much more than traps where falls human thought, aporias are the limits of thought itself. It is not the very presence of aporias that annoys this metaphysician, but the reason of their presence. What is the source of aporias concerning the first principles? The work of Damaskios seems to be the privileged place where two fundamental questionings converge: Why is thought always in difficulties while attempting to grasp the first principles? And how to cross or exceed the limits of human thought? That means wondering what those limits mean exactly for us. The question which appears behind every aporia is really that about the conditions of possibilities of human thought. By means of the numerous aporias of the treatise, we are going to show that Damaskios invites us to perceive a metaphysical experience of duality, to be aware of ourselves and to understand the reason of the distance which separates us from the supreme Principles. Our intention is thus to grasp the role of the central notion of aporia and its positive signification in Damaskios’ metaphysics
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Korichi, Mériam. « La définition de l'esprit humain par Spinoza : l'éthique ou les limites de la métaphysique ». Paris 1, 2003. http://www.theses.fr/2003PA010574.

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L'étude de la notion d'âme humaine propre au Traité de la réforme de l'entendement permet de mettre l'accent sur une différence de perspective conceptuelle entre cet ouvrage de jeunesse et l'Ethique. La première conception spinozienne de l'âme fait l'économie d'une interrogation sur son individualité en affirmant son identité constitutive avec l'entendement universel. Ainsi la connaissance de l'esprit n'implique pas la nécessité de prendre en compte l'idée d'un corps, ce qui signale l'influence cartésienne et le caractère métaphysique de l'horizon de pensée du jeune Spinoza. L'Ethique propose une définition nouvelle de l'esprit humain. L'importance fondamentale de cette définition dans l'élaboration du discours éthique, notamment concernant la conception de la passivité et de l'activité proprement humaine. 5, éclaire de façon décisive la spécificité de l'Ethique par rapport aux premiers ouvrages de Spinoza et la rupture de la pensée spinoziste avec les métaphysiques classiques.
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Ogarkova, Tetyana. « Une autre avant-garde : la métaphysique, le retour à la tradition et la recherche religieuse dans l’œuvre de René Daumal et Daniil Harms ». Paris 12, 2007. http://www.theses.fr/2007PA120031.

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A rebours de l'image courante de l'avant-garde athée, révolutionnaire, progressiste, anarchisante et libératrice, cette thèse cherche à mettre en lumière l'existence d'une autre avant-garde : métaphysique, religieuse, contre-révolutionnaire, anti-progressiste et, dans un sens plus large, antimoderne. Cette avant-garde est marquée par le retour à la tradition. René Daumal (1908-1944) et Daniil Harms (1905-1942), un Français et un Russe sont cadets de deux grands mouvements avant-gardistes du XXe siècle : le surréalisme français et le futurisme russe. Ils appartiennent à l'époque de l'"interrègne" dont le début se nourrit encore de l'avant-garde européenne mais dont la fin est marquée par l'essoufflement de cet "élan vital". Ces auteurs qui vivent à la même époque mais dans des pays différents, et qui ne se connaissent pas, présentent un autre visage de l'avant-garde. La poésie métaphysique, les fondements antimodernes qui transforment la contemporanéité en contre-monde, l'absurde et les projets sotériologiques -cette grille du questionnement met en évidence l'autre visage de l'avant-garde chez René Daumal et Daniil Harms : deux auteurs singuliers dont l'oeuvre, en survivant à tous les pessimismes et optimismes du XXe siècle, continue à susciter l'intérêt de leur lointaine postérité
Contrary to a common image of the avant-garde as atheist, revolutionary, progressist, anarchist and liberal project, this thesis focus on metaphysical, religious, counter-revolutionary, anti-progressist and anti-modern aspects of the movement. René Daumal (1908-1944) and Daniil Kharms (1905-1942), a French and a Russian, are two younger representatives of two avant-gardes : French surrealism and Russian futurism. They live at the same time in different countries and don't know each other. Despite all the distance which separate them, they share similar convictions and several common sources. Metaphysical poetry, anti-modern convictions, absurd and religiosity -here is the frame of the research which help to understand the similarities between two authors who represent another image of the European avant-garde
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Pierobon, Frank S. « La fondation architectonique de la métaphysique dans la critique de la raison pure ». Doctoral thesis, Universite Libre de Bruxelles, 1990. http://hdl.handle.net/2013/ULB-DIPOT:oai:dipot.ulb.ac.be:2013/213180.

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Savidan, Patrick. « La théorie kantienne du sujet : de la critique de la métaphysique à son aboutissement théologique ». Paris 4, 1999. http://www.theses.fr/1999PA040138.

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Cette étude se propose de restituer la logique selon laquelle s'élabore la théorie kantienne du sujet. Confrontant les modèles interprétatifs dominants de la philosophie transcendantale, nous examinons tout d'abord la critique de la métaphysique et la théorie de l'objectivité qui en procède, pour ensuite étudier la conception kantienne de la subjectivité. Initialement commande par la pensée de l'objet, le sujet ne s'offre à une expérience possible que selon l'usage pratique de la raison. Dans une telle perspective, nous soulignons le rôle fondamental de la théologie au regard de l'achèvement de cette théorie du sujet. La théologie morale rend en effet possible, au sein de la théorie kantienne du sujet, une articulation inédite de l'auto-affirmation de soi et de la finitude, qui permet de contester en outre la légitimité de certaines des critiques contemporaines les plus profondes de la raison et du sujet.
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Froidecourt, Adéline. « Pindare et Sophocle : présence de la poésie dans l’ « Introduction en la métaphysique » de Heidegger ». Brest, 2010. http://www.theses.fr/2010BRES1002.

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Résumé :
Pourquoi Heidegger commente-t-il des paroles de Pindare et de Sophocle dans le cours qu’il prononce en 1935, « Einführung in die Metaphysik » ? La seule ambition de cette étude est de soutenir que la poésie ne peut pas être un moyen d’échapper à la métaphysique : au contraire se dit déjà avec la poésie grecque la vocation grecque de penser l’être. Bien que les deux poètes ne visent pas une détermination de «l’être », Heidegger montre que les chants de Pindare mais aussi OEdipe roi et Antigone envisagent le rapport de l’homme grec à l’entièreté de ce qui est en tant qu’il paraît. Les références aux poètes ne jouent pas un rôle décoratif, mais de premier plan dans l’accès à la pensée grecque : cela se comprend en approfondissant philologiquement les remarques et les traductions de Heidegger, mais aussi l’oeuvre des poètes que ses indications invitent à relire. Le cours se met à l’écoute de deux poètes dont les paroles permettent de mieux accéder au commencement historial de la métaphysique
Why does Heidegger discuss the words of Pindar and Sophocles in his 1935 course of lectures, “Einführung in die Metaphysik” ? The sole aim of the present study is to demonstrate that poetry cannot be seen simply as a means to get away from metaphysics: the Greek preoccupation with Being is evident in Greek poetry. Even though the intention of the two poets is not to determine the nature of “Being”, the songs of Pindar as well as “Oedipus the King” and “Antigone” assume that there is a relationship between the Greeks and the entirety of what is involved in the Appearance. The references to poets’ words are not decorative but are crucial in granting us access to Greek thought: this becomes clear through a close textual examination of Heidegger’s commentaries and translations, and also by a re-reading of the work of the poets that are suggested by his comments. Heidegger’s course brings to our attention two poets whose words facilitate our access to the historical beginnings of metaphysics
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Pellegrin, Marie-Frédérique. « Le prisme de la loi : une lecture du malebranchisme ». Université Marc Bloch (Strasbourg) (1971-2008), 2000. http://www.theses.fr/2000STR20041.

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Résumé :
Cette etude vise a instituer une nouvelle lecture de la philosophie malebranchiste, celle qui suppose un prisme legal pour envisager toutes les questions, aussi bien philosophiques que theologiques. Apres avoir explique le sens specifiquement malebranchiste de l'idee de loi, sens necessaire pour construire une philosophie systematique, on cherche quelles sont ces lois, et leurs exceptions afin desavoir si elles forment bien un systeme explicatif totalisant. On decouvre alors que le systeme legal presente par malebranche suppose une nouvelle comprehension de dieu et de la place de l'homme dans le cree. L'auteur presente en effet une philosophie profondement originale, puisqu'elle decide de legaliser toutes les questions afin qu'aucune ne reste irrationnelle, c'est-a-dire hors-la-loi. Notre hypothese est qu'elle aboutit a un formalisme generalise, ou la comprehension du mal et meme la defense de dieu s'effacent devant l'eloge de la forme legale.
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Weber, Claude. « Christian Wolff, Moses Mendelssohn et la métaphysique de Descartes : étude sur l'influence du cartésianisme dans les philosophies post-leibniziennes de Wolff et de Mendelssohn ». Paris 4, 1986. http://www.theses.fr/1986PA040017.

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Résumé :
La vigueur de la métaphysique de l'école, de tradition aristotélicienne, puis l'avènement des philosophies leibnizienne et post-leibniziennes ont freiné le développement du cartésianisme en Allemagne. A l'aide de deux exemples, cette étude tente de montrer que l'influence de Descartes n'est toutefois pas absente au siècle de l'aufklarung. Ainsi, avant de devenir le vulgarisateur du leibnizianisme, Christian Wolff a été proche des milieux cartésiens. Sa métaphysique est fortement marquée par la "philosophie première" cartésienne, même si elle conservé, à côté du "cogito" et d'une théologie en partie cartésienne, une ontologie héritée des métaphysiciens de l'école. Mendelssohn par contre, quoique plus proche du Leibniz de la monadologie, emprunte à Descartes le cheminement de la pensée dans les méditations, en passant par le doute, le "cogito" et les preuves de l'existence de dieu, dans le souci de remédier au défaut de l'essentialisme leibnizien qui ne parvient pas à la connaissance des choses qui existent, c'est-à-dire qui ne fournit pas de passage du possible au réel. Contrairement à la métaphysique de Wolff, celle de Mendelssohn semble réussir la synthèse entre la philosophie première des méditations de Descartes et la théodicée et la monadologie leibniziennes
The vigor of the traditional Aristotelian school metaphysics, and later the rise of the leibnizian and post-leibnizian philosophies have confined the development of cartesianism in Germany. By two examples, this study makes out that the influence of Descartes is not completely lacking at the time of the aufklarung. Before becoming the vulgarizing out spreader of leibnizianism, Christian Wolff has been close to cartesian circles. His metaphysics are in a high degree marked by the cartesian "prima philosophia", although they keep contiguous to the "cogito" and to a partially cartesian theology, an ontology inherited from school metaphysics. Although he stands closer to the Leibniz of the monadology, Mendelssohn for his part adopts the process of thought in Descartes' meditations, comprising the methodical doubt, the "cogito" and the proofs for god's existence, trying to correct the insufficiency of leibnizian essentialism that doesn't attain the knowledge of what really exists, i. E. That doesn't reveal a passage from the merely possible to reality. Far better than Wolff, Mendelssohn seems to achieve in his metaphysics a synthesis of the "prima philosophia" of Descartes' meditations and the leibnizian theodicy and monadology
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Warkocki, Wawrzyn. « Métaphysique et facticité : penser la présence à partir de Martin Heidegger ». Thesis, Toulouse 2, 2019. http://www.theses.fr/2019TOU20003.

Texte intégral
Résumé :
La présente étude questionne le concept heideggérien de facticité dans le contexte de ce que Heidegger appelle la destruction de l'histoire de l'ontologie et, plus tard, le dépassement de la métaphysique. D'une part, il s'agit d'éclairer la pensée de Heidegger dans son développement historique, a partir d'une perspective précise, celle du concept de facticité. D'autre part, la tâche de mon travail est de développer un concept de facticité radicalisée. Dans la pensée de Heidegger, la facticité a été conçue depuis le début des années 1920 sous le nom de « vie facticielle » et peut etre aussi comprise dans Etre et temps comme « projet jeté » de l'existence humaine (Dasein). Une saisie adéquate de la facticité exigerait dans cette période une « destruction de l'histoire de l'ontologie ». Apres le soi-disant « tournant » dans les années 1930, la pensée relevant de l'histoire de l'etre (Ereignisdenken) nécessite un « dépassement de la métaphysique » ou une « appropriation de la métaphysique ». La question directrice que nous nous posons est la suivante : si la facticité chez le premier Heidegger est une condition de possibilité de la destruction de l'ontologie, quelle serait donc analogiquement une condition de possibilité d'un dépassement (ou d'un appropriation) de la métaphysique ? Il est généralement admis que la facticité est le point de départ de la philosophie heideggérienne, mais elle disparaît avec le temps. Une hypothese de ce travail affirme que le concept de facticité, mutatis mutandis, est radicalisé sous le nom de l'événement d'appropriation (Ereignis). Le « la » (Da) du concept d'etre-la (Dasein) de Heidegger est a comprendre comme facticité de l'existence. Par conséquent, tout notre travail de doctorat s’exprime dans une certaine mesure comme une explication philosophique de ce « la », dans un examen critique de la métaphysique dont le seul theme, selon Heidegger, est l'etre (Sein)
The focus of the present study is to investigate Heidegger's concept of facticity in the context of what he calls the destruction of the history of ontology, followed by, the overcoming of metaphysics. On the one hand, my task is to elucidate Heidegger's thought in its historical development, from a precise perspective, that of the concept of facticity. On the other hand, I aim to develop a concept of radicalized facticity. In Heidegger's thinking, facticity has been conceived since the early 1920s under the name of "facticial life" and can be understood in Being and Time as a "thrown project" of human existence (Dasein). In this time, an appropriate grasping of facticity would require a "destruction of the history of ontology." Ever since the so-called "turn" in the 1930s, the event thinking (Ereignisdenken) requires an "overcoming of metaphysics" or an "appropriation of metaphysics". My general guiding question is the following: if facticity in the early Heidegger is a condition of the possibility of the destruction of ontology, what would be analogically a condition of possibility of an overcoming (or appropriation) of metaphysics? It is generally accepted that facticity is the starting point of Heidegger's philosophy, but it disappears over time. One of the hypothesis of this work asserts that the concept of facticity, mutatis mutandis, is radicalized under the name of the event of appropriation (Ereignis). The "there" (Da) of Heidegger's concept of being-there (Dasein) is to be understood as facticity of existence. Therefore, my entire doctoral work handles, to a certain extent, the philosophical explanation of this "there", in a critical examination of metaphysics, whose only subject, according to Heidegger, is being (Sein)
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Cambier, Hubert. « La philosophie de Karl Raimund Popper : du Cercle de Vienne à une métaphysique de la vie : étude critique ». Paris 10, 2001. http://www.theses.fr/2001PA100070.

Texte intégral
Résumé :
La thèse analyse la réflexion philosophique de Karl Popper, telle que celle-ci se donne à travers les prises de position de celui-ci principalement en méthodologie des sciences et en philosophie morale et politique ; elle s'attache aussi à mettre en évidence les tensions qui structurent cette réflexion, de façon à rendre compte du mouvement interne qui, d'une démarche de théorie de la connaissance, étendue à une philosophie pratique, conduira à une métaphysique. La méthode adoptée consiste à étudier la pensée de K. Popper dans son évolution interne, en en situant les différentes étapes, les modifications de problématiques que l'on peut identifier au sein de cette réflexion, en resituant aussi celle-ci dans le dialogue que Popper mène, souvent de façon critique, avec différents auteurs, en premier lieu avec les membres du Cercle de Vienne, mais aussi avec tous ceux qui, dans les différents domaines qu'il aborde, l'aident à constituer sa conception. Deux thèses sont défendues dans ce travail. La première est celle d'une dualité de problématiques à la base de la réflexion philosophique de Popper. L'originalité de cette réflexion est en effet de chercher à articuler une démarche de théorie de la connaissance, se réclamant de Kant, insistant sur la justification logique de la connaissance à une démarche sensiblement différente, proche de Duhem et de Mach, qui approche la connaissance dans son développement, qui la définit à partir de sa fonction pratique et même biologique. Cette dualité de problématique introduit dans la réflexion poppérienne une tension durable. La deuxième thèse porte sur la relation entre philosophie pratique et philosophie de la connaissance. C'est parce que, dans sa philosophie pratique, Popper défend un point de vue indéterministe, qui insiste sur l'irréductibilité de la liberté, de la responsabilité et de la créativité de l'individu, qu'il est amené à remettre en chantier la conception qu'il avait défendue dans ses premiers travaux. Ces deux aspects - dualité entre les deux problématiques constitutives ; confrontation entre philosophies pratique et théorique - expliquent que, à partir des années cinquante et soixante, la réflexion poppérienne cherchera à reconstituer son unité autour d'une conception métaphysique qui intègre la connaissance et l'action pratique dans un schéma évolutionniste qui est celui de la vie et de l'émergence d'un monde de valeurs
The thesis analyses Karl Popper's philosophical thinking, as seen from his position on, principally, the methodology of science and moral and political philosophy; it also seeks to highlight the tensions that shape this thinking, following the internal journey which, progressing from theory, to knowledge to a practical philosophy, leads to metaphysics. The method used consists of studying the thoughts of K. Popper in his internal evolution, tracing the different stages, the changing problems that emerge from this thought process, and of placing this within the context of Popper's often critical dialogue with various authors, primarily the members of the Vienna circle but also all those who helped him construct his ideas in the various fields he is concerned with. Two theses are put forward in this work. The first is that of a duality of the issues that form the basis of Popper's philosophical thought. Lts uniqueness lies in the way in which it seeks to link a theoretical approach to knowledge, inspired by Kant, insisting on the logical justification of knowledge, with a sharply different approach, closer to that of Duhem and de Mach, looking at knowledge as it develops, defining it on the basis of its practical and even biological purpose. This duality introduces a lasting tension into Popperian thought. The second thesis concerns the relationship between practical philosophy and the philosophy of knowledge. It is because in his practical philosophy Popper expounds an indeterminist view, which focuses on the implacability of the freedom, responsibility and creativity of the individual, that he has to revise the ideas expounded in his first works. These two aspects - the duality between the two component problems; the confrontation between practical and theoretical philosophy - explain why, from the fifties and sixties, Popperian thought sought to reconstruct its unity around a metaphysical concept which integrates knowledge and practical action into an evolutionist framework, that of life and the emergence of a world of values
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Park, Jong Hwa. « La Puissance, L’Acte, L’Entéléchie dans la Métaphysique Theta d’Aristote ». Thesis, Lille 3, 2012. http://www.theses.fr/2012LIL30032.

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Résumé :
Ce travail consiste à déterminer, en plusieurs sens, la puissance et l'acte dans la Métaphysique theta d'Aristote. Toutes les puissances relatives à la même forme sont sans exception des principes, elles sont appelées puissances relativement à une unique puissance première qui est principe de changement dans autre chose ou en tant qu'autre. En effet, il y a la puissance d'être affecté qui est, en cela même qui est affecté. La division du sens de la puissance indique le capable en tant que causes et états. Ce qui est puissant est quelque chose qui est puissant, à un certain moment et d'une certaine manière. Ce "puissant" porte sur une certaine manière, et le "en puissance", sur un certain moment. "En acte" se dit soit comme le mouvement relativement à la puissance, soit comme la substance relativement à une matière quelconque. Quelque chose est déjà en puissance, s'il n'y a aucun empêchement intérieur et extérieur pour le processus vers l'entéléchie, quand l'agent et le patient se rencontrent. ce qui est postérieur par la génération est antérieur par la forme et par la substance. La matière est en puissance parce qu'elle pourra aller vers sa forme. ; mais chaque fois que précisément elle est en acte, elle est dans sa forme. L'acte du bien est meilleur que la puissance. L'accomplissement et l'acte du mal sont nécessairement pires que la puissance. Sur tous les êtres qui sont ce qu'est précisément un être et en acte, on ne peut pas se tromper, mais on peut les penser ou non. Quant à l'un, s'il est vrai qu'il est un être, il l'est de cette façon ; s'il ne l'est pas de cette façon, il n'est pas. Le vrai est de penser ces êtres
This work consists in determining, in several senses, the potentiality and the actuality in Aristotle's Metaphysics theta. The potentiality and the actuality extend further than the mere sphere of the movement. the potentiality is the principle of change in another thing or in the thing iteself qua other. Also the potentiality for being acted is the principle, which makes it capable changed and acted on by another thing or by itself qua other. The division of the sense of the potentiality indicates the "capable" qua causes and states. That which is capable of something and at some time and in some way. The "capable" bears on some way, and the "actually", on some time. "Actually" is said as movement to potentiality, and as substances to sort of matter. Something is already potentially, if there are nothing internal and external which hinders the entelechy when the agent and the patient meet together. The things that are posterior in becoming are prior in form and in substance. The matter exists in a potential state, just because it may attain to its form ; and when it exists actually, then it is in its form. The actuality of the good is better then the potentiality. The end or actuality of the bad is necessarily worst than the potentiality. About the thing which are essences and exist actually, it is not possible to be in error, but only to think them or not to think them. As to the "one", if the object is existent it exists in this way ; if it does not exist in this way it does not exist at all
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