Littérature scientifique sur le sujet « Métaphysique – Critique et interprétation »

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Articles de revues sur le sujet "Métaphysique – Critique et interprétation"

1

Maggini, Golfo. « Gestalt, subjectivité, négativité : l'interprétation heideggerienne du Surhomme et sa critique de la morphologie des cultures chez Spengler ». Philosophiques 26, no 1 (2 octobre 2002) : 53–70. http://dx.doi.org/10.7202/004954ar.

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Résumé :
RÉSUMÉ Notre article traite de l’interprétation heideggerienne du Surhomme ( Ubermensch ) chez Nietzsche en prenant en considération tout particulièrement sa désignation comme forme ( Gestalt ) dans les cours de 1939-1946 qui constituent, sous plusieurs aspects, la culmination du « différend » ( Auseinandersetzung ) avec lui. En effet, si anthropomorphie et subjectivité s'appartiennent mutuellement dans la métaphysique moderne, cette coappartenance trouve son achèvement chez le Surhomme. Elle indique par ailleurs la forclusion du sujet nietzschéen dans la logique de la négation, témoignage de la tentative heideggerienne pour « dialectiser » Nietzsche. C’est ainsi qu’une continuité s'établit entre sa position métaphysique et la dialectique hégélienne. Par ailleurs, nous nous efforçons de projeter cette interprétation réductrice sur la critique par Heidegger d’une des figures majeures du néohégélianisme au tournant du siècle, à savoir Oswald Spengler, telle qu’elle a lieu dans ses cours de l’herméneutique de la facticité (1919-1923). Notre stratégie interprétative est fidèle au principe interprétatif qui consiste à dire que le Heidegger d’avant Être et Temps , nous offre les outils nécessaires pour aborder certains motifs essentiels du développement ultérieur de sa pensée dont notamment sa confrontation avec la métaphysique.
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2

Krüger, Gerhard. « Le critère de la critique kantienne* ». Articles spéciaux 63, no 1 (2 novembre 2007) : 51–85. http://dx.doi.org/10.7202/016678ar.

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Résumé :
Résumé Dans cet article originalement publié en 1934, Gerhard Krüger présente une version condensée de l’interprétation de la philosophie de Kant qu’il avait proposée trois années plus tôt dans un ouvrage intitulé Philosophie und Moral in der kantischen Kritik. Par l’entremise d’une réflexion portant sur la nature des rapports entre critique et métaphysique dans le système de Kant, Gerhard Krüger entend mettre à jour l’intention existentielle ou morale qui est selon lui au fondement du projet philosophique kantien. Dans cette perspective, son interprétation de Kant est à la fois tributaire et critique de celle de son professeur de Marbourg Martin Heidegger.
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Lienhard, Fritz. « Le Christ au milieu de la vie : Les lettres de prison de Bonhoeffer ». Études théologiques et religieuses 72, no 1 (1997) : 69–90. http://dx.doi.org/10.3406/ether.1997.3446.

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Résumé :
Au-delà des enthousiasmes suscités par les lettres de prison de Dietrich Bonhoeffer, la critique de la religion formulée dans ces textes est surtout une réflexion sur l’individualisme, la métaphysique et la parole. C’est ce dernier aspect qui est neuf, montre Fritz Lienhard : en évitant les différentes «stratégies» d’Eglise inefficaces, Bonhoeffer propose une interprétation de la foi chrétienne au centre de la vie, selon la discipline de l’arcane, gestion attentive de la parole et du silence.
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Salom, Kerim. « La métaphysique de l’art chez Quatremère de Quincy. Petite histoire des transferts culturels entre la France et l’Allemagne au début du xix e siècle ». Nouvelle revue d’esthétique 31, no 1 (22 juin 2023) : 15–29. http://dx.doi.org/10.3917/nre.031.0015.

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Résumé :
Critique à l’égard des réflexions philosophiques empiristes, Antoine Chrysostome Quatremère de Quincy forgea autour de 1800 une nouvelle théorie de l’art, grâce à une connaissance précoce du criticisme kantien et des esthétiques qui s’en inspirèrent. Il imposa une conception idéaliste de l’art, en opposant un système d’ imitation abstraite du type idéal au traditionnel concept d’ imitation de la nature . En faisant valoir l’existence d’une « puissance d’imaginer » intuitionniste et spontanée, dérivée du concept d’ Einbildungskraft , il proposa un système général des beaux-arts fondé sur une nouvelle métaphysique. Avant Madame de Staël et Victor Cousin, il contribua à diffuser auprès du public français certains débats artistiques outre-Rhin parmi les plus originaux, en soutenant activement les échanges intellectuels entre les deux pays, et notamment les critiques novatrices du mouvement Sturm und Drang dans une perspective spiritualiste. Cet article est une contribution à l’histoire des transferts culturels entre la France et l’Allemagne au début du XIX e siècle, en présentant les grands principes de sa métaphysique de l’art, son interprétation de la mimèsis , mais aussi ses sources pour comprendre les fondements de sa politique des arts à l’aube d’une révolution artistique en Europe.
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Engelhard, Kristina. « The Regulative Use of Transcendental Ideas in Kant : Metaphysics as Modelling ». Revue de métaphysique et de morale N° 118, no 2 (5 juin 2023) : 175–94. http://dx.doi.org/10.3917/rmm.232.0175.

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Résumé :
La critique de la métaphysique dans la Dialectique transcendantale de la Critique de la raison pure débouche sur la doctrine de l’usage régulateur des idées transcendantales de la raison pure. La théorie de l’usage régulateur de ces idées est relativement abstraite et demande à être clarifiée. Kant affirme que ces idées ont un usage dans les sciences empiriques. Cependant il ne spécifie pas quel usage les sciences peuvent faire de ces idées. Dans cet article je compare les caractéristiques des idées transcendantales aux caractéristiques des modèles scientifiques. Ainsi la thèse principale de mon article est que la théorie kantienne de l’usage régulateur des idées est comparable à la modélisation en science. C’est ce que je nomme « l’approche modélisatrice des idées transcendantales chez Kant ». D’après cette interprétation, on trouve chez ce dernier une conception relativement élaborée de la modélisation que l’on peut comprendre comme signifiant que la métaphysique fournit aux sciences les formes les plus universelles de modèles qui peuvent être spécifiés pour des objectifs particuliers par les sciences.
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6

Santamaria, Ulysses, et Alain Manville. « Marx : entre l’idéalisme radical et l’individualisme anarchique ». Articles 11, no 2 (9 janvier 2007) : 299–333. http://dx.doi.org/10.7202/203259ar.

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Résumé :
Résumé Si Marx aujourd'hui doit retrouver la radicalité qui a porté en ses premiers commencements sa pensée révolutionnaire, il faut rompre définitivement avec les évidences les mieux établies de son interprétation. La pensée de Marx, loin de pouvoir être rattachée au sol du matérialisme, s'enracine au plus profond de l'idéalisme allemand dans ce mouvement de pensée qui vient contester en ses fondements ultimes la métaphysique et son ordre, l'ordre d'un entendement captif de l'horizon borné de la positivité. Pensée de subversion de l'ordre de la positivité, la pensée de Marx se laisse alors définir comme un mouvement de déstabilisation du monde, mise en abyme de son fondement. Cette disqualification an-archique de l'arche est au principe de la pensée de la révolution radicale et de la mise en question fondamentale du pouvoir. Dans l'espace ouvert par cette double Bestimmung, idéaliste, an-archique, la pensée de Marx, en opposition à toute interprétation qui y voit une pensée du social, définit un individualisme radical qui se veut la critique absolue de toute volonté d'édification d'un nouvel ordre, individualisme qui ne laisse plus rien prévaloir qui fasse violence à la valeur de sens de l'autonomie.
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Lardic, Jean-Marie. « Logique interrogative et dialectique de l'action ». Revue internationale de philosophie 257, no 3 (1 octobre 2011) : 47–56. http://dx.doi.org/10.3917/rip.257.0047.

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Résumé :
La logique hégélienne critique la métaphysique en montrant la relativité de toutes les catégories utilisées par celle-ci et l’incapacité de la forme habituelle du jugement à exprimer le vrai. La dialectique dégage le sujet comme instance véritative, car c’est vers lui que tend l’explicitation du processus catégorial comme auto-interprétation de la pensée au travers du questionnement sur sa propre expression. Cela implique l’exigence de voir dans les institutions culturelles et l’histoire le développement d’une vérité qui est création. L’interprétation de celle-ci recèle sa propre norme d’évaluation, le critère étant celui d’une plus ou moins grande créativité dans le monde des sujets. On peut alors trouver dans « l’éthicité » de quoi répondre aux questions actuelles sur la normativité. Hegel permet en effet de penser comment les sujets doivent être conduits à une vraie motivation pour les questions morales et politiques. Les institutions peuvent faciliter les médiations et l’éveil d’une pensée interrogative et critique par laquelle le sujet accède à lui-même au travers de l’éducation et de la communication. Proche donc de la problématologie d’un Meyer, en montrant comment le jugement et la proposition ne peuvent se passer d’une interrogation sur leurs constituants, comme d’une perspective pragmatiste sur laquelle débouche la critique de la prédication naïve, la dialectique implique que l’éthique reconnaisse la dimension discursive interrogative constitutive du sujet pratique.
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8

LEDUC, CHRISTIAN. « Condillac et la critique d’un système. Le cas leibnizien ». Dialogue 57, no 4 (décembre 2018) : 767–89. http://dx.doi.org/10.1017/s0012217318000343.

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Résumé :
Dans le Traité des systèmes, Condillac analyse une pluralité de métaphysiques systématiques dont celles de Spinoza, de Malebranche et de Leibniz. Les commentateurs ont principalement interprété cette diversité comme une manière pour Condillac d’illustrer son propos et de remettre en question les principaux systèmes de son époque depuis une même grille interprétative. Les moyens de son analyse diffèrent toutefois selon les pensées concernées. Cet article vise à commenter la critique du système de Leibniz afin de montrer que Condillac opère depuis des reconstructions ultérieures. Pour faire l’examen du système leibnizien, il fallait lui donner une structure architectonique qu’il trouve en bonne partie chez Wolff.
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Ricoeur, Paul. « Psychanalyse et interprétation. Un retour critique ». Études Ricoeuriennes / Ricoeur Studies 7, no 1 (18 août 2016) : 19–30. http://dx.doi.org/10.5195/errs.2016.348.

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10

RUSU, BOGDAN. « Whitehead fictionnaliste ». Dialogue 54, no 2 (juin 2015) : 247–61. http://dx.doi.org/10.1017/s001221731500058x.

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Résumé :
Dans cet article, j’esquisse une interprétation fictionnaliste de la métathéorie de la métaphysique de Whitehead dans Procès et réalité. Je soutiens que Whitehead s’engage, dans Procès et réalité, dans un programme de recherche fondationnelle en cosmologie et j’interprète ses remarques métathéoriques en conséquence, dans le cadre conceptuel du structuralisme scientifique.
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Thèses sur le sujet "Métaphysique – Critique et interprétation"

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Brun, Jean-Marie. « L'exigence métaphysique de Boèce ». Paris 4, 1989. http://www.theses.fr/1989PA040061.

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Résumé :
A la lumière de Saint Thomas, analyse et commentaire du traité philosophique et théologique : "des deux natures et de la personne du christ", écrit vers 520, pour réfuter l'erreur de Nestorius et celle d'Eutychès. Les concepts de "nature", "substance", "subsistance", sont étudiés en vue de définir la personne comme : "substance individuelle de nature rationnelle". Ne disposant pas du dogme de l'immaculée conception", Boèce met en place un raisonnement original pour définir la nature humaine du christ. Le verbe, pour sauver les hommes, assume la nature humaine; il donne à celle-ci des accidents universels pris dans les trois états intelligibles d’Adam : avant le péché originel (domination de la raison) après le péché originel (présence de la mort), dans la situation "utopique" où Adam n'aurait pas péché (absence de volonté de pécher). La conclusion de la thèse traite de la catégorie de la "relation", dite de la personne; elle établit une comparaison entre la définition de la personne et la personne de Boèce
Through what st Thomas brought to light that work is an analyze and commentary of a philosophical and theological treatise called: «liber de persona et duabus naturis ", written by Boethius, nearly in year 520 to refute Nestorius and Eutyches mistake. What is done is an essay about concepts of "nature" "substance" "subsistence" that is to define the notion of person as: "naturae rationalis individua substantia". Not knowing the dogma of "immaculate conception" Boethius sets up an original thought to define Christ’s human nature. The word to save human's being assumes human nature. He gives to it universal accidents found in the Adam’s three intelligible 's ways : before the first fault (domination of reason), after the first fault (acting death), during the utopian position where Adam would not have sinned (he had not the willing to sin). Conclusion arguments about the category of "relation" called "one of the person". It sets a parallelism between the definition of the person and Boethius' person
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Schmitt, Eric-Emmanuel. « Diderot et la métaphysique ». Paris 4, 1987. http://www.theses.fr/1987PA040220.

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Guyomarc'h, Gweltaz. « Aux origines de la métaphysique : l’interprétation par Alexandre d’Aphrodise de la Métaphysique d’Aristote ». Electronic Thesis or Diss., Lille 3, 2012. http://www.theses.fr/2012LIL30004.

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Résumé :
Le terme de "métaphysique" ne se lit pas chez Aristote. Les livres rassemblés sous ce titre ne cessent d'interroger leurs lecteurs quant à leur unité. La science ainsi désignée, enfin, semble contrevenir aux règles communes de la scientificité aristotélicienne. Désigner Aristote comme le "fondateur de la métaphysique" fait dès lors problème. L'hypothèse du présent travail est que cette fondation engage l'oeuvre des commentateurs d'Aristote, au premier chef desquels se situe Alexandre d'Aphrodise. L'Exégète par excellence aurait ouvert la possibilité de "faire de la métaphysique", sans que cela signifie seulement commenter Aristote. Alexandre travaille à faire de la "Métaphysique" un livre, et à instituer la métaphysique en une science une. Selon l'Aphrodisien, la métaphysique est cette science à la fois universelle et première, à la fois science modèle et fondatrice des autres sciences. Elle s'articule en trois programmes principaux : l'étude générale de l'étant en tant qu'étant, celle de la substance et celle enfin de la cause première. Ces trois programmes sont distincts, mais coordonnés et suffisamment proches pour ne pas pouvoir être étudiés par une autre science, ni éclatés entre diverses sciences. Ils progressent à chaque fois par un passage d'une généralité à son maximum et sa cause. Ainsi la substance est-elle cause de l'être des autres étants et étant au maximum. Ainsi la cause première est-elle intelligible au plus haut point et cause de l'intelligibilité du monde. L'Exégète offre une interprétation forte de l'unité de la Métaphysique et de celle de la science correspondante. C'est dans et par cette reprise que les écrits du Stagirite sont devenus proprement fondateurs
Aristotle does not use the word "metaphysics". The books called "Metaphysics" clearly lack unity. The science called "metaphysics" seems to break the common epistemological rules set by Aristotle himself. From that point of view, it seems problematic to consider Aristotle as the "founding father of metaphysics". The present dissertation aims to show that the foundation of metaphysics as a science is also based on the work of the Ancient Commentators, especially Alexander of Aphrodisias (fl. 200 AD). Paradoxically, the "Exegete par excellence" makes it possible to be engaged in metaphysics without limiting metaphysics to explaining Aristotle's books. The reason is that he tries in fact to makes explicit and to enhance the unity of this work as well as to establish the unity of the corresponding science. According to him, metaphysics is both universal and the first true science. As such it constitutes the condition for any type of knowledge to be established as a science. Metaphysics is devoted to three main programs : the general study of being, the study of substance, the study of the first cause. These different programs are closed enough to be carried out within one single science. The passage from one level to another is guided by what I propose to call the Principle of Maximum Casuality. In this way, the substance is the higher being and the cause of being for all the rest ; the first cause is the higher and most thinkable substance, the cause of the order on the world, and what makes it intelligible. So the Exegete offers a strong view of the unity of metaphysics and thanks to this reappropriation Aristotle's work became the origin of a long-lasting tradition
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Corban, Antonela. « Nietzsche et Klimt : la métaphysique en question ». Dijon, 2009. http://www.theses.fr/2009DIJOL021.

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Bardout, Jean-Christophe. « Malebranche et la métaphysique ». Paris 4, 1996. http://www.theses.fr/1996PA040237.

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Résumé :
Ce travail se propose d'interroger le concept malebranchiste de métaphysique. En effet, les études malebranchistes n'ont que fort rarement insisté sur cette notion centrale pour la compréhension de la philosophie de l'oratorien. Nous montrons que la vision en Dieu des idées constitue une thèse métaphysique par excellence. Par elle il apparait que l'être est "soumis" à l'idée: telle nous semble être la version malebranchiste de ce que nous considérons comme son ontologie. Nous montrons en outre que la totalité du système est déterminée par cette décision métaphysique fondatrice: l'ensemble de la pensée de Malebranche relève d'une fondation métaphysique. Le paradigme métaphysique d'intelligibilité investit l'ensemble des philosophèmes abordés. Apres avoir élucidé le sens malebranchiste de l'être comme essence soumise à la représentation dans l'idée, nous examinons les différents domaines du savoir pour établir le primat épistémique de la métaphysique. Action divine dans le monde, sciences de la nature, morale et vérités religieuses relèvent toutes, a des titres divers d'une fondation en la métaphysique. Nous tentons de décrire la nature du rationalisme malebranchiste ainsi dégagée
This work tries to describe Malebranche's conception of metaphysics. In spite of the rarity of the word "metaphysique" in the works of Malebranche, we tempt to show that metaphysics takes a great place up in his philosophy. First of all metaphysics becomes the science of idea and of its object. The vision in god seems to be a metaphysical thesis because being is understood through the representative idea "seen in good". We show that all the ways of knowing depend on a representative paradigm. The idea involves the abstraction of knowledge which characterizes metaphysics. These points allow us to underline Malebranche's ontological decisions. In the second place we try to demonstrate that Malebranche's use of metaphysics makes possible to explain the structure of his philosophy. Physics, ethics and the theory of religion depend on metaphysics
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Lemaire, Eric. « Wittgenstein et la métaphysique ». Paris 7, 2009. http://www.theses.fr/2009PA070081.

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Résumé :
Le second Wittgenstein fut l'un des penseurs les plus importants dans l'histoire de la philosophie analytique. Il est connu, notamment, pour sa conception provocante de la philosophie au coeur de la laquelle se trouve l'idée que les propositions métaphysiques - et plus généralement philosophiques - sont dépourvues de sens. Ainsi comprise, la philosophie a pour principal objectif d'éliminer les propositions métaphysiques, en montrant que les problèmes auxquels elles tentent de répondre ne sont que des pseudo problèmes. De nombreux commentateurs de Wittgenstein estiment non seulement que cette conception de la philosophie concerne toute forme de métaphysique mais qu'elle est vraie. Dans le même temps, au sein de la tradition analytique, nous assistons à un renouveau de la métaphysique. Ce contexte historique soulève une question : Le second Wittgenstein a-t-il réellement montré que la métaphysique est illégitime ? Notre principal objectif est de montrer que ce n'est pas le cas. Au contraire, le second Wittgenstein peut être compris comme un métaphysicien du sens commun, comme un philosophe qui nous donne des outils, des idées et une méthode pour repenser l'entreprise métaphysique et défendre sa légitimité
The second Wittgenstein was one of the most important thinkers in the history of analytic philosophy. He is known for his provocative conception of philosophy according to which metaphysical propositions - and more generally philosophical propositions - are nonsensical. Thus understood, the main task of philosophy is to eliminate these propositions and to show that metaphysical problems are pseudo-problems. Many commentators of the second Wittgenstein's works assume that this conception affects any form of metaphysics and that he showed the illegitimacy of any metaphysics. In the meanwhile metaphysics renewed in the analytic tradition. In such a context a question raises: Did the second Wittgenstein really undermine the legitimacy of metaphysics? Our main aim here is to show that he did not. On the contrary, the second Wittgenstein can be understood as a common sense metaphysician, that is as a philosopher who gives us tools, ideas, and a method to rethink the metaphysical enterprise. Hence, he does offer us means to defend the legitimacy of metaphysics
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Devaux, Michael. « L'avancement de la métaphysique réelle selon Leibniz : nomenclature et réalité de la métaphysique leibnizienne après l'inter italicum ». Paris 4, 2004. http://www.theses.fr/2004PA040224.

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Résumé :
En 1694, Leibniz publie le De primae philosophiae emendatione. . . Il le traduit sous le titre de Réflexions sur l'avancement de la métaphysique réelle. . . Ce nom de la métaphysique peut être pris au sérieux. La métaphysique réelle diffère-t-elle de la vraie métaphysique ? Quel est le rapport entre l'avancement de Leibniz et l'advancement de Bacon et de Glanvill ? L'avancement ne traduit que l'idée de progrès contenue dans l'emendatio, non celle de correction qui est répercutée dans l'idée de métaphysique réelle. Pour montrer que métaphysique réelle est un nom de la métaphysique, il faut donc qu'il permette d'avancer et de corriger les noms de philosophie première (Descartes) et d'ontologie (scolastique moderne). Le rapport de Leibniz à la naissance de l'ontologie (1606-1716) est présenté avec trente auteurs (Lorhardus, Hojerus, Goclenius. . . ). Les trois occurrences d'ontologie chez Leibniz sont aussi étudiées. Puis le sens stable de métaphysique réelle est exposé à partir de toutes les occurrences du syntagme (1691-1716). Il s'agit ensuite de voir le rapport à la réalité au sein de cette métaphysique en fonction des trois progrès métaphysiques reconnus à Leibniz par Kant : le point réel (et le miroir vivant), le principe de raison, et l'harmonie. Enfin, la conception de la réalité est analysée pour décider si elle est l'objet de la métaphysique réelle. On distingue entre la réalité en opposition (réel/imaginaire/idéal), en composition (perfection comme degré de réalité, réalité des possibles) et en supposition (nulle réalité sans unité). On conclut que la métaphysique réelle est une métaphysique de la réalisation : au sens d'un inachèvement et d'un travail sur l'existiturientia
In 1694, Leibniz published the De Primae Philosophiae Emendatione which he himself translated into french as Reflections on Advancement of Real Metaphysics. . . This way of referring to metaphysics can indeed be taken seriously. Is real metaphysics the same as true metaphysics? What about the relationship between his advancement and those of Bacon and Glanvill? Advancement only conveys the idea of progress involved in emendatio, not that of correction, which is conveyed in the notion of real metaphysics. In order to show that real metaphysics is an appellation of metaphysics, we must first explain how it is an advancement upon, and a correction of first philosophy (Descartes) and ontology (modern scholasticism). The first appearance and development of ontology (1606-1716) is presented, as are the relations between Leibniz and thirty authors (Lorhardus, Hojerus, Goclenius, etc. ); as well as the three texts in which Leibniz used ontology. The conceptual aspects of real metaphysics are studied within all the texts in all circunstances in which the syntagma occurs (1691-1716). The next question is: what about reality in real metaphysics? The answer focuses on the three metaphysical inventions accepted by Kant in Leibniz: the real point (and the living mirror), the principle of reason, and harmony. Lastly, we analyse the conception of reality in Leibniz: in opposition (real/imaginary/ideal), in composition (perfection being a degree of reality, the reality of possibles) and in supposition (no reality without unity). We conclude that real metaphysics is a metaphysics of realisation because there's no completion and because it's about existiturientia
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Guyomarc'h, Gweltaz. « Aux origines de la métaphysique : l’interprétation par Alexandre d’Aphrodise de la Métaphysique d’Aristote ». Thesis, Lille 3, 2012. http://www.theses.fr/2012LIL30004.

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Résumé :
Le terme de "métaphysique" ne se lit pas chez Aristote. Les livres rassemblés sous ce titre ne cessent d'interroger leurs lecteurs quant à leur unité. La science ainsi désignée, enfin, semble contrevenir aux règles communes de la scientificité aristotélicienne. Désigner Aristote comme le "fondateur de la métaphysique" fait dès lors problème. L'hypothèse du présent travail est que cette fondation engage l'oeuvre des commentateurs d'Aristote, au premier chef desquels se situe Alexandre d'Aphrodise. L'Exégète par excellence aurait ouvert la possibilité de "faire de la métaphysique", sans que cela signifie seulement commenter Aristote. Alexandre travaille à faire de la "Métaphysique" un livre, et à instituer la métaphysique en une science une. Selon l'Aphrodisien, la métaphysique est cette science à la fois universelle et première, à la fois science modèle et fondatrice des autres sciences. Elle s'articule en trois programmes principaux : l'étude générale de l'étant en tant qu'étant, celle de la substance et celle enfin de la cause première. Ces trois programmes sont distincts, mais coordonnés et suffisamment proches pour ne pas pouvoir être étudiés par une autre science, ni éclatés entre diverses sciences. Ils progressent à chaque fois par un passage d'une généralité à son maximum et sa cause. Ainsi la substance est-elle cause de l'être des autres étants et étant au maximum. Ainsi la cause première est-elle intelligible au plus haut point et cause de l'intelligibilité du monde. L'Exégète offre une interprétation forte de l'unité de la Métaphysique et de celle de la science correspondante. C'est dans et par cette reprise que les écrits du Stagirite sont devenus proprement fondateurs
Aristotle does not use the word "metaphysics". The books called "Metaphysics" clearly lack unity. The science called "metaphysics" seems to break the common epistemological rules set by Aristotle himself. From that point of view, it seems problematic to consider Aristotle as the "founding father of metaphysics". The present dissertation aims to show that the foundation of metaphysics as a science is also based on the work of the Ancient Commentators, especially Alexander of Aphrodisias (fl. 200 AD). Paradoxically, the "Exegete par excellence" makes it possible to be engaged in metaphysics without limiting metaphysics to explaining Aristotle's books. The reason is that he tries in fact to makes explicit and to enhance the unity of this work as well as to establish the unity of the corresponding science. According to him, metaphysics is both universal and the first true science. As such it constitutes the condition for any type of knowledge to be established as a science. Metaphysics is devoted to three main programs : the general study of being, the study of substance, the study of the first cause. These different programs are closed enough to be carried out within one single science. The passage from one level to another is guided by what I propose to call the Principle of Maximum Casuality. In this way, the substance is the higher being and the cause of being for all the rest ; the first cause is the higher and most thinkable substance, the cause of the order on the world, and what makes it intelligible. So the Exegete offers a strong view of the unity of metaphysics and thanks to this reappropriation Aristotle's work became the origin of a long-lasting tradition
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Picot, Bruno. « Jean Wahl : empirisme et métaphysique au cœur du XXème siècle ». Lille 3, 2009. http://www.theses.fr/2009LIL30059.

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Résumé :
Héritier du message bergsonien, Jean Wahl veut défendre une métaphysique soucieuse du concret. Entre Sören Kierkegaard et William James il construit, pour lui-même, une métaphysique de l'intensité. De sa thèse de 1920 : "Les philosophes pluralistes d'Angleterre et d'Amérique" à son dernier ouvrage de 1963 "l'Expérience métaphysique", il se propose de construire un véritable "empirisme transcendantal" qui prend appui sur une aporétique de l'instant. Il décrit le processus dialectique de l'esprit à la rencontre du réel. Son empirisme se définit comme un réalisme. Il établit des passerelles entre l'empirisme de James Whitehead et mes méditations de Husserl. Jean Wahl questionne toutes les orientations philosophiques majeures du XXème : phénoménologie, existentialisme, marxisme, structuralisme, positivisme logique. Poète, métaphysicien, créateur de revues et de rencontre philosophiques, Wahl milite pour un "élargissement de la philosophie"
With the bergsonian legacy, Jean Wahl wants to defend a Metaphysic concerned with the concrete. Between Soren Kierkegaard and William James, he builds for himself a Metaphysic of intensity. From his 1920 thesus "The pluralist philosophies of England and America" to his last work in 1963 "The Metaphysical experience", he proposes to build a real "Transcendental empiricism" which is based in the aporetic of the instant. He describes the dialectic process of mind encountering the real. His empirism can be defined as realism. He bridges James Whitehead's empirism with Husserl's meditations. Jean Wahl questions all the XX th century major philosophical orientations : phenomenology, existensialism, structuralist, marxism, logical positivism. As a poet, metaphysician, editor of revues and instigator of philosophical meetings, Wahl militates for a "broadening of philosophy"
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Lurson, Guillaume. « Ravaisson et le problème de la métaphysique ». Electronic Thesis or Diss., Toulouse 2, 2019. http://www.theses.fr/2019TOU20054.

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Résumé :
Le spiritualisme ravaissonien, loin d’être une étiquette répondant à des besoins de classification historique, ouvre l’horizon d’une refondation de la métaphysique au cœur du XIXe siècle français. A partir de la lecture de la Métaphysique d’Aristote, Ravaisson élabore une critique de ce que l’on peut nommer les « métaphysiques de la séparation », dont le point de départ se trouve dans les écrits du stagirite. Il s’agira dès lors de déployer une philosophie qui affirme l’identité de l’être et de la pensée, par-delà toute transcendance et tout dualisme. C’est ainsi que le problème de la métaphysique peut être posé : peut-on surmonter les apories léguées par la Métaphysique d’Aristote, et suturer la disjonction de l’être et de l’étant, de la nature et de l’esprit, ou encore de l’homme et de Dieu ? Faut-il au contraire considérer que la séparation définit le geste inaugural de la métaphysique ? Ravaisson, en refusant cette dernière possibilité, élabore une philosophie qui s’inscrit contre l’idéalisme transcendantal de Kant ou le positivisme de Comte, et plus largement, contre toute tendance matérialiste de la pensée. Ainsi, l’unité perdue de la métaphysique, soit sa possibilité, doivent être recherchées en questionnant l’héritage d’Aristote, afin de déterminer s’il s’agit de penser avec, ou contre celui-ci
Far from a mere label created for the purpose of historical classification, Ravaisson’s spiritualism opens the horizon of a refoundation of metaphysics at the heart of the French 19th century. From Aristotle’s Metaphysics, Ravaisson puts together a critique of what can be called “the metaphysics of separation”, the starting point of which is to be found in the writings of the Stagira-born philosopher. From there, he will endeavor to elaborate a philosophy that affirms the identity of Being and Thought far from any transcendence or dualism. That is how the question of metaphysics can be posed: can one overcome the aporia inherited from Aristotle’s Metaphysics, and stitch up the gap between the entity and the Being, Nature and the Spirit, or even Man and God? Or should one, on the contrary, consider that separation defines the inaugural gesture of metaphysics? By refusing this latter possibility, Ravaisson builds a philosophy that entirely refutes Kant’s transcendental idealism, or Comte’s positivism and, more broadly even, any materialistic way of thinking. The lost unity of metaphysics, that is, its possibility, must thus be sought by questioning Aristotle’s heritage, in order to determine whether one should think with, or against it
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Livres sur le sujet "Métaphysique – Critique et interprétation"

1

Raven, J. E. Plato's thought in the making : A study of thedevelopment of his metaphysics. Westport, Conn : Greenwood Press, 1985.

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2

Plato's thought in the making : A study of the development of his metaphysics. Westport, Conn : Greenwood Press, 1985.

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3

Adorno, Theodor W. Metaphysics : Concept and problems (1965). Cambridge, UK : Polity Press, in association with Blackwell Publishers, 2000.

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4

José Ortega y Gasset. Bruxelles : Revue internationale de philosophie, 2015.

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5

La première philosophie de Sartre. Paris : H. Champion, 2008.

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6

Thomas, Bénatouïl, dir. De la logique à la théologie : Cinq études sur Aristote. Louvain-la-Neuve : Peeters, 2008.

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7

The flight to objectivity : Essays on Cartesianism and culture. Albany : State University of New York Press, 1987.

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8

Eco, Umberto. Interprétation et surinterprétation. 2e éd. Paris : Presses universitaires de France, 2001.

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9

Voltaire. Zadig : Et, Micromégas. Montréal : Beauchemin Chenelière éducation, 2008.

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10

Zigaina, Giuseppe. Pasolini et la mort. Paris : Ramsay, 1990.

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Chapitres de livres sur le sujet "Métaphysique – Critique et interprétation"

1

Courtine, Jean-François. « Critique et Système de la Métaphysique dans la Dernière Philosophie de Schelling ». Dans Phaenomenologica, 161–75. Dordrecht : Springer Netherlands, 1992. http://dx.doi.org/10.1007/978-94-017-1464-8_13.

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2

Simon, Josef. « Qu’est-ce que la métaphysique et que serait sa fin ? » Dans Signe et interprétation, 27–57. Presses universitaires du Septentrion, 2004. http://dx.doi.org/10.4000/books.septentrion.75268.

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3

Simon, Josef. « La crise du concept de vérité comme crise de la métaphysique ». Dans Signe et interprétation, 133–59. Presses universitaires du Septentrion, 2004. http://dx.doi.org/10.4000/books.septentrion.75288.

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4

Pelletier, Lucien. « Militantisme, propagande et métaphysique ». Dans Théorie critique de la propagande, 149–61. Éditions de la Maison des sciences de l’homme, 2020. http://dx.doi.org/10.4000/books.editionsmsh.25119.

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5

Berner, Christian. « Adorno, la philosophie comme interprétation et critique ». Dans Adorno contre son temps, 35–50. Presses universitaires de Paris Nanterre, 2019. http://dx.doi.org/10.4000/books.pupo.24307.

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6

Ferraris, Maurizio. « Métaphysique du seuil ». Dans D'un seuil à l'autre, 93–103. Editions des archives contemporaines, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.763.

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Résumé :
Le seuil n’est pas seulement une partie (vide) d’une maison. C’est aussi, et dans un certain sens d’abord, le signal d’une émergence. Quand on dépasse un certain seuil, l’eau devient vapeur, le mouvement populaire provoque la révolution, l’inorganique se transforme en organique, la répétition cède place à la créativité. Quel est l’élément commun entre ces phénomènes hétérogènes ? Ces pages tentent de répondre à cette questionde manière spéculative. Il s’agit de comprendre une caractéristique essentielle qui unit l’expérience physique, politique et métaphysique de l’émergenceà l’expérience historique et existentielle du seuil. Qu’il s’agisse d’entrer ou de sortir d’une chambre, ou de passer le seuil de l’enfance, de la maturité, de la vieillesse, l’expérience de franchir un seuil n’est jamais disjointe de l’expérience de l’émergence de quelque chose de nouveau. L’ancien peut se retrouver sur le seuil quenous laissons derrière nous, mais le nouveau n’est pas simplement ce que nous trouvons au delà du seuil, il est ce qui émerge en nous lorsque nous décidons, acceptons ou sommes obligés de le franchir. L’idée d’émergence est censée donner une interprétation de l’expérience humaine qui dépasse l’idée que nous sommes, seuls, les forgerons de notre expérience. Nous sommes le résultat de beaucoup de seuils franchis, volontairement ou involontairement.
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7

Gérard, Gilbert. « Hegel et la critique kantienne de la métaphysique ». Dans Hegel au présent. Une relève de la métaphysique ?, 267–82. CNRS Éditions, 2012. http://dx.doi.org/10.4000/books.editionscnrs.50102.

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8

Lardic, Jean-Marie. « La logique actionnelle et la « vraie critique » ». Dans Hegel au présent. Une relève de la métaphysique ?, 145–56. CNRS Éditions, 2012. http://dx.doi.org/10.4000/books.editionscnrs.49962.

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9

Stekeler-Weithofer, Pirmin. « Métaphysique critique et suppositions métaphysiques. La logique hégélienne comme analyse de l’être ». Dans Hegel au présent. Une relève de la métaphysique ?, 399–421. CNRS Éditions, 2012. http://dx.doi.org/10.4000/books.editionscnrs.50187.

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10

Bayle, Corinne. « L’étoilement du sens : interprétation et édition critique de Gérard de Nerval ». Dans L'histoire littéraire à l'aube du XXIe siècle : Controverses et consensus, 492. Presses Universitaires de France, 2005. http://dx.doi.org/10.3917/puf.frai.2005.01.0492.

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