Littérature scientifique sur le sujet « Mécanisme de Magee »

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Articles de revues sur le sujet "Mécanisme de Magee"

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Gansou, Grégoire Magloire, Elvyre Klikpo, André Tabo, Joseph Troré, Urlermine Lodonou, Émilie Fiossi-Kpadonou et Josiane Ezin-Houngbe. « Bénin : Passage à l’acte criminel et responsabilité pénale du patient souffrant de schizophrénie en contexte culturel africain ». Psy Cause N° 77, no 2 (5 avril 2018) : 58–61. http://dx.doi.org/10.3917/psca.077.0060.

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Résumé :
chez le patient souffrant de schizophrénie, le risque d’homicide demeure élevé et s’inscrit dans plusieurs contextes. Les actes criminels impulsifs rattachés à un syndrome d’influence viennent relancer le débat sur la responsabilité pénale à la lumière de la culture. Après un passage à l’acte meurtrier, S.F. est adressé en psychiatrie pour une expertise psychiatrique. L’équipe soignante explore les circonstances du passage à l’acte et procède à une analyse sémiologique de son délire. Il en ressort que l’acte a été posé dans un contexte impulsif et délirant avec un mécanisme hallucinatoire qui serait l’œuvre des « AZETO » (une appellation des sorciers au sud du Bénin) ; S.F. étant convaincu qu’il avait agi sous l’influence d’une force dont les manifestations s’appréhendent avec celui du syndrome d’influence, de la magie de la sorcellerie et d’autres formes de mysticisme en Afrique.
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Moyson, Bruno. « TROUBLANTES FANTAISIES ». Acta Semiótica et Lingvistica 28, no 01 (1 avril 2023) : 101–16. http://dx.doi.org/10.22478/ufpb.2446-7006.47v28n01.66318.

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Résumé :
De par leur nature même, les fantaisies de Liszt sur des thèmes d’opéras apparaissent comme un objet idéal pour qui veut explorer les relations entre musique et sens. Lucrezia Borgia de Donizetti, Les Huguenots de Meyerbeer, La Juive d’Halévy ou Norma de Bellini réapparaissent, par la magie du piano lisztien, sous la forme d’un parcours narratif purement sonore. Après avoir évoqué la façon dont Liszt conçoit le rapport à la signification dans ses fantaisies sur des thèmes d’opéras ainsi que dans ce qui sera, après 1848, la musique à programme, la présente contribution s’attachera à montrer combien un certain nombre d’approches sémiotiques des années 1990-2000 trop centrées sur la question de la communication se sont révélées d’assez peu de secours pour qui tentait de dévoiler les mécanismes profonds de cet étrange objet qui prétend doter le son du piano des attributs textuels, visuels, dramaturgiques et orchestraux de l’opéra.
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Singleton, Michael. « Magie et sorcellerie ». Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.099.

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Résumé :
Bien avant que Heidegger ait insisté sur la nécessité de poser la bonne question (Fragestellung), les Scolastiques en établissaient l’état (status questionis) avant d’y répondre. Or, les savants occidentaux qui se sont interrogés à propos des phénomènes de la Magie et de la Sorcellerie ont souvent sauté à pieds joints dans le piège ethnocentrique tendu aussi bien par leur tradition gréco-latine et judéo-chrétienne que leur usage d’une langue indoeuropéenne. D’une part, la première a opposé les Vérités objectives de la Raison pure aux dérapages subjectifs de la Déraison émotive et la morale de la Religion révélée à l’immoralité de la superstition satanique. D’autre part, le second, à cause de la distinction factice entre le nom (nature) et le verbe (action adventice) a dissocié comme allant de soi les substances permanentes et profondes des choses de leurs variations accidentelles. Il se fait que ces présupposés paradigmatiques sont ignorés par la plupart des cultures non occidentales et préjugent la compréhension équitable de celles-ci par des esprits occidentaux. Pour bien le comprendre, jusqu’à preuve manifeste du contraire, il faut assumer que l’Autre le soit radicalement : qu’il a fait son monde en fonction de principes primordiaux et de préoccupations pratiques irréductibles à leurs pendants responsables pour le monde occidental et qu’il en parle de manière tout aussi incommensurable. Pour commencer au commencement : tout ce qui fait sens part de et revient à un acteur personnel, à un « Je », incarné dans son corps propre d’instant en instant et incorporé en continu dans sa situation sociohistorique. A supposer que « Je » soit un anthropologue occidental ou occidentalisé (il n’y en a pas d’autres) alors il aborde les faits ou les construits culturels d’autrui avec le déjà tout fait chez lui dont sa rationalité (scientifique) et sa religiosité (chrétienne) avec le risque d’identifier son interlocuteur indigène comme lui-même en plus petit et en moins performant. Le seul moyen d’éviter cette réduction des réalités d’autrui aux réalisations de chez soi est de le rencontrer en fonction de prémisses purement heuristiques telles qu’en amont, la primordialité de l’Agir et en aval, la localisation des actions de fait dans des lieux particuliers. Si tous les vivants, les humains inclus, cherchent à en sortir, justement, vivants, ils le font dans le milieu ou mode de (re)production où ils se retrouvent et avec la mentalité et selon les mœurs qui s’y trouvent. C’est dire que l’abc de l’approche anthropologique est d’ordre topologique : à chaque lieu (topos) sa logique et son langage. Or, abstraction faite de son dénigrement rationaliste et religieux, la magie définie comme la confiance (aveugle) dans l’efficacité (automatique) du recours (rigoureux voire rigoriste) à des moyens (mécaniques), des gestes (immuables) et des formules (figées), possède en propre un milieu où il a droit d’avoir lieu. Néanmoins, commençons par le non-lieu de la magie. Chez les Pygmées Bambuti du Congo il n’y a ni prêtre ni politicien, ni policier ni professeur, ni plombier ni prédateur. Par conséquence, en l’absence de tout Dehors pesant, idéologique ou institutionnel, il est tout à fait topo-logique que dans ses rapports avec les siens et la Forêt le « Je » le Mbuti ne se fie qu’à son dedans. D’où le fait que les topographes du monde pygmée ont constaté non seulement qu’il était sans magie aucune mais que sa religiosité étant une affaire de pure spiritualité personnelle il y avait peu de sens à parler d’une religion pygmée faute de spéculations dogmatiques et de structures cléricales. Par contre, chez leurs voisins, des agriculteurs bantous, les mêmes topographes (surtout les théologiens parmi eux) ont conclu que la magie avait largement pris le dessus sur le religieux. Mais, de nouveau, rien de plus topologiquement normal dans ce constat. Quand, dans un village bantou ou dans une paroisse ouvrière, tout vous tombe dessus en permanence du dehors et d’en haut, il n’y a guère de place pour le genre de religiosité profonde que peuvent se permettre des gens soit libres de leurs moyens soit en ayant peu. Quand les ancêtres ou l’administration vous ont imposé des tabous et des interdits dont le non-respect même involontaire entraine des sanctions immédiates et automatiques, quand votre comportement quotidien est préprogrammé à la lettre de votre condition sociale, de votre âge et sexe, quand pour faire face vous avez besoin des autorités et des experts, quand en respectant minutieusement le règlement vous évitez les ennuis et quand en remplissant correctement les formulaires des allocations familiales et autres vous sont acquises comme par magie… comment ne pas croire que des objets matériels et des opérations rituels produisent infailliblement par le simple fait d’avoir été scrupuleusement activés (ex opere operato) les objectifs escomptés ? Entre le respect irréfléchi des tabous ancestraux et l’observance stricte des commandements de l’Eglise, entre le recours à des amulettes prescrites par votre « sorcier » traitant et la foi dans les médailles miraculeuses distribuées par votre curé paroissial, entre l’efficacité ipso facto des malédictions et des bénédictions du magicien villageois et les paroles de transsubstantiation d’un prêtre catholique (même en vue d’une messe noire), il y a beau béer une abime théologique, topologiquement parlant c’est du pareil au même. De ce point de vue topologique, les missionnaires, notamment catholiques, n’ont pas tant converti le païen superstitieux à la religion révélée que remplacé la magie indigène par un succédané chrétien. Si, en devenant catholiques les WaKonongo que j’ai côtoyé dans la Tanzanie profonde entre 1969 et 1972 ont cessé de sacrifier un poulet noir à Katabi et commencé à se payer des messes à la Vierge contre la sécheresse c’est que restés foncièrement pagani ou ruraux, cette nouvelle interlocutrice leur était parue plus faiseuse de pluie que le préposé d’antan. Avant d’éventuellement passer à leur consécration ou à leur condamnation, il faut enlever dans la présence ou l’absence du langage et de la logique ritualiste (décrits et parfois décriés comme « la mentalité et mécanique magique ») tout ce qui relève inéluctablement du lieu. Ce ne sont pas les seuls rationalistes ou religieux occidentaux qui, en escamotant leurs conditions topologiques, se sont lancés dans appréciations et dépréciations intempestives de la magie et la sorcellerie. Les Pygmées préférant faire l’amour avec des femmes réglées se moquaient de la peur bleue du sang menstruel éprouvée par des Bantous. Débarqués volontairement au village, ils faisaient semblant de croire aux menées mortelles des sorciers afin de ne pas compromettre les ponctions qu’ils opéraient auprès de leur prétendus « Maîtres ». Les Ik, les pendants ougandais des Bambuti, tout en sachant que des rites magiques (sacrifice du poulet ou de la messe) ne pouvaient pas produire de la pluie en inventaient de toutes pièces pour profiter de la crédulité de leurs voisins pasteurs et agriculteurs. Il existe donc des lieux sans sorcellerie. Mais si c’est le cas, c’est surtout parce que pas plus que Le Mariage ou La Maladie et un tas d’autres choses du même gabarit onto-épistémologique, La Sorcellerie « ça » n’existe pas en tant qu’une substantialité qui serait solidement significative indépendamment de ses manifestations singulièrement situées. N’existent pleinement en définitive que des mariés, des malades et des sorciers. Le fait de s’exprimer en une langue indoeuropéenne induit cette illusion essentialiste que les pratiquants d’une autre langue ne partagent pas. En disant « il pleut » ou « it’s raining » nous imaginons instinctivement que le sujet de la phrase représente une entité essentielle, la pluie, qui existe au préalable avant, comme le verbe l’implique, qu’il se mette tout d’un coup mais après coup à pleuvoir. Or, et de manière autrement plus phénoménologiquement plausible, un peuple indien de l’Amérique du Nord, les Hopi, non seulement pensent uniquement à un processus, « la pluviation », mais quand ils en parlent ciblent une expérience particulière. Forcé et contraint par les évidences ethnographiques, ayant eu à enquêter sur des cas concrets de sorcellerie entre autres en Tanzanie, au Nigeria, au Congo, en Ethiopie et au Sénégal, j’ai chaque fois eu l’impression non pas d’avoir eu affaire à des variations de la Sorcellerie ut sic et en soi mais à des individus et des instances aussi incompressibles qu’incommensurables entre eux. Débarqué chez les WaKonongo non seulement avec des histoires de sorcellerie à l’occidentale en tête mais l’esprit empli d’élucubrations théoriques que j’imaginais devoir faire universellement loi et univoquement foi, mes interlocuteurs m’ont vite fait comprendre que je me trouvais ailleurs dans un monde tout autre. Puisqu’ils parlaient de mchawi et de mlozi, ayant en tête la distinction zande, j’ai demandé si le premier n’était pas mal intentionné à l’insu de son plein gré là où le second empoisonnait littéralement la vie des siens. Ils m’ont répondu n’avoir jamais pensé à cette possibilité, mais qu’ils allaient y réfléchir ! En conséquence, j’ai cessé de les harceler avec mes questions me contentant d’observer ce qu’ils disaient d’eux-mêmes et de participer à ce qu’ils faisaient – y inclus à des procès contre des sorciers. Ignorant notre dualisme manichéen (le Bon Dieu luttant avec le Mal incarné pour sauver les âmes du péché) ainsi que des manuels rédigés par des Inquisiteurs célibataires obsédés par « la chose », leurs sorciers n’avaient jamais pensé qu’ils pouvaient profiter d’un pacte avec le Diable et donner libre cours en sa compagnie à leur perversité sexuelle. Anthropophages, leurs sorciers avaient surtout faim (comme les WaKonongo eux-mêmes lors de la soudure ou des famines) et se débrouillaient sans faire appel à des démons. En outre, loin s’en faut, tous les wachawi n’étaient pas méchamment mauvais. Lors d’une réunion pour créer un village ujamaa personne n’a bronché quand parmi les spécialistes requis quelqu’un proposait un sorcier. « Etre vieux » et « être sorcier » semblaient parfois synonyme – peut-être comme l’aurait dit Gabriel Marcel, à cause du mystère qui entoure l’autorité des survivants. Traité de sorcier moi-même, on m’a rassuré que je comptais parmi les wachawi wa mchana (de plein jour) et non wa usiku (de la nuit). Si j’ai dû quitter précipitamment mon village c’est qu’à l’encontre des miens, contents d’avoir eu enfin affaire à un Blanc au courant du programme africain, les autorités du pays n’appréciaient guère le fait que j’aurais téléguidé des serpents sur un village rival. A première vue paradoxalement, la sorcellerie fonctionnait comme un mécanisme de justice distributive : ayant proposé de lui procurer de la tôle ondulée, un voisin dynamique a décliné mon offre de peur que le premier à en profiter des vieux jaloux n’envoient de nuit des hyènes dévorer les viscères de sa femme et ses enfants : « tant que tout le monde n’est pas en mesure de se procurer de la tôle » dit la croyance « personne n’y a droit ». Enfin et surtout, quand les WaKonongo parlaient de l’uchawi en général ils ne le faisaient jamais à froid afin d’aboutir au genre d’abstraction analytique d’ordre structurelle et substantialiste qui fait la joie des anthropologues théoriciens. C’était toujours à chaud et de manière heuristique : « n’ayant pas encore deviné le nom du mchawi qui m’en veut à mort je suis bien obligé de le situer dans un nébuleux anonyme ». Entre des hypothétiques sinon chimériques lames de fond qui ont pour nom la Magie ou la Sorcellerie et l’écume ethnographique qui émerge d’une multiplicité de monographies irréductibles, il faut bien choisir. Or, si l’anthropologie est ce que les anthropologues ont fait, font et feront, il n’y a pas de raison de croire que, pour l’essentiel, les magiciens et les sorciers (les uns plus approximativement que les autres), ne seraient que des avatars sociohistoriques de la Magie ou la Sorcellerie archétypiques fonctionnant comme des Réels de référence transhistorique et transculturels. Avant de les atteler accessoirement à l’une ou l’autre de ses charrues conceptuelles, l’anthropologue a intérêt de s’attarder sur le sort de ses bœufs vivants. En se contentant de faire état de ce que les magiciens et les sorciers ont diversement fait, font distinctement et feront autrement, on risque moins d’être victime de cette illusion d’optique ontologique que Whitehead décriait comme du « misplaced concreteness » - la confusion entre des substances purement spéculatives et la signification toujours singulière des « singletons » sociohistoriquement situées !
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Gonçalves, Francisco de Souza. « As relações de Lancelote do Lago com as várias faces do feminino em "A Demanda do Santo Graal" ». Medievalis 1, no 1 (16 août 2015). http://dx.doi.org/10.55702/medievalis.v1i1.44199.

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Résumé :
Resumo: A figura da mulher ocupa preponderante papel nas novelas de cavalaria do Ciclo Bretão. Emergindo como um elemento que traz “liga” às narrativas do lendário artúrico, constitui-se adjuvante essencial e multifacetada na construção dos episódios, numa interação constante com o masculino representado pelos cavaleiros. O Medievo traz à tona uma imagem matizada do feminino: a mulher socialmente vista sob clivagens diversas é refletida na literatura de cavalaria, conforme se pode verificar em ADemanda do Santo Graal. A presença feminina é importantíssima na narrativa, sobretudo na sua tensa relação com a cavalaria, agora ligada ao elemento religioso - monastizada, celibatária e ascética. Este estudo tem por fito discutir as relações que Lancelote do Lago estabelece com algumas das várias representações da mulher naDemanda. Selecionou-se como corpus de pesquisa o episódio Da visam que viuLancelot. Buscar-se-á refletir sobre a presença marcante de Guinevere, a amante, castigada pela não correspondência ao ideal monogâmico do matrimônio cristão; Morgana, a imagem da mulher que disputa o poder temporal, vetora do mágico-pagão não controlável pelos mecanismos sociais coercitivos, por isso considerada diabólica; Elena de Benoic, estereótipo da mulher submissa aos domínios sócio-religiosos. Pretende-se, ainda, trazer à baila a figura “metonimizada” da Donzela do Lago, quase elidida no envernizamento cristão do lendário artúrico n'A Demanda do Santo Graal.Palavras-Chave: Literatura Portuguesa – A Demanda do Santo Graal – Personagens Femininas – Lancelote.Résumé: La figure de la femme prend le rôle de premier plan dans les romans de chevalerie Cycle Breton. Apparaît comme un élément qui a des "liens" à la contes du légendaire Arturo, est essentielle et constitue un complément multiformes dans la construction des épisodes, dans une interaction constante représentés par les coureurs masculins. Le Moyen Âge évoque une image nuancée de la femme: la femme socialement vu dans les différentes clivages, se reflète dans la littératurede chevalerie, comme peut être vu dans la Quête du Saint Graal. La présence féminine est importante dans le récit, en particulier dans ses relations tendues avec les cavalerie, désormais lié à l'élément religieux –célibataire et ascétique. Cette étude a pour but de discuter desrelations Lancelot du Lac que vers le bas avec quelques-unes des différentes représentations des femmes dans la demande. A été choisi comme le corpus de recherche, l’épisode Da visam qui a vu Lancelot. Rechercher réfléchira sur le présence marquée de Guenièvre, l'amant, ne s'embarrasse pas de correspondance à l'idéal du mariage chrétien monogame, Morgana, la image de la femme qui se disputent le pouvoir temporel de la magie païenne vectorielle pas contrôlable par la coercition des mécanismes sociaux, de sorte considéré comme un démon; Elena Benoic, les stéréotypes des femmes comme soumises aux domaines socio-religieux. Il est destiné également à faire apparaître le chiffre inaugural du Lac, près renversée dans Christian vernissage le légendaire Arthur en quête du Saint Graal.Mots-clés: littérature portugaise - A Demanda do Santo Graal - Les personnages féminins - Lancelot.
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Marquis, Nicolas. « “What Can I Do to Get Out of It?” : How Self-Help Readers Make Use of the Language Game of Resilience ». M/C Journal 16, no 5 (20 août 2013). http://dx.doi.org/10.5204/mcj.693.

Texte intégral
Résumé :
Introduction Resilience is, as a concept and as a discourse, a cultural resource that has experienced a growing importance over the last two decades, especially in the field of psychology. In September 2013, the most important database for scientific productions in psychology (www.psycinfo.org) contained more than 14,000 references concerning resilience. In French-speaking countries, for example, each new book by Boris Cyrulnik, the famous neuropsychiatrist who imported the notion of resilience into the psychological field, sells like hotcakes, with total sales of several million copies (see Marquis). Generally considered as the individual’s tendency to cope with stress and adversity, resilience is not only a successful but also a much-debated concept. Is every human potentially resilient, as Masten puts it, or should this notion only apply, in a Darwinian perspective, to the strongest of us? Should resilience be understood as a process in which culture and environment play important roles, as Ungar shows, or as an individual ability? Should we make a distinction between resilient and non-resilient? Does resilience automatically imply having been deeply traumatised, as Cyrulnik puts it? The main reason why these debates have taken such an important place in psychology is that using the concept of resilience is likely to take on, except for its scientific use, a normative or an evaluative dimension. To avoid this shortcoming, most recent works on resilience clearly insist upon the fact that being resilient is not a character trait or an indicator of the power of a person's will (Rutter). It is a multidimensional ecological process. However, nowadays resilience has become a common sense notion, a cultural resource mobilised by the layman or by self-help (SH) books. Accordingly, “resilience” will not be considered here as a scientific concept but rather as a common sense category. Drawing on an analysis of the success of such books, this article intends to show why a description of the common sense uses of this cultural resource is of prime importance when it comes to understanding some salient characteristics of liberal-individualistic societies, especially by comparison with traditional societies. In fact the success of the discursive category of resilience tells something about ourselves, as people living in societies where personal autonomy is highly valued. Therefore, the description of these common sense uses will show how the “resilience” category also constitutes a resource to evaluate both oneself and others as well as an tool to measure one’s own will or the others’, which is exactly what most psychologists try to avoid doing in their theorisation of resilience. Confidence and Breach in Everyday Life Risk management is part of human life. Actually, we spend most of our time minimising the risks we are running when engaging with the world. This attitude is neither a rational action nor a conscious one. It is, in fact, quite the reverse. In everyday life, we simply trust the world. As Luhmann says, confidence is a sine qua non condition of our existence. Our everyday life turns into a close-meshed fabric that makes us feel secure as it ensures consistency over time. This security enables us to avoid the issue of the relevance of our expectations or of the success of our acts. The common sense attitude we are describing here refers to what the American pragmatists call the “practice regime”, in which our main concern is to make sure that life goes on. But a breach might arise (in the form of a more or less tragic event, a change in one’s routine, a vague unease, etc.). What used to be obvious (and above all unquestioned) now becomes uncertain. Such a breach may seriously lead us to question our involvement with a world that has suddenly become strange, threatening, or complete nonsense. The Reading of Self-Help Books: Mobilising Resilience as a Cultural Reaction to Breaches It may be interesting to observe what people do, in the moments when disquiet has invaded their existence, in order to overcome misfortune, both at a symbolic and operative level. My hypothesis is that our attitude towards misfortune is in line with a specific cultural context. Like Illouz, I understand culture as the way we make sense of who we are through actions shaped by values, key images and scenarios, ideals, and habits of thought; through the stories we use to frame our own and others’ experience; through the accounts we use to explain our own and others’ failures and successes; through what we feel entitled to; through the moral categories we use to hierarchize our social world. (8) In other words: in order to allow life to come back to normal after a breach, people resort to the resources their own culture makes available to them. Nowadays resilience has become one such cultural resource that we use to construct our attitude towards misfortune. The question put here is not whether people are really resilient or not, but why this category experiences such traction in liberal-individualistic societies. Therefore, I have made a sociological study of a well-know social phenomenon: in particular, the reading of SH books, in which the discursive tropes of trauma and resilience are indeed very present. Sociologists too often refer to SH books as having hypothetical effects, or consequences. However, unlike what one might find in a literature review, I haven’t tried to make the success of these books a sign or a cause of the decline of society or of the individual, or of a more reflexive society with happier citizens. As numerous authors shown (including Barker and Petley), it is extremely difficult to assess the impact of cultural resources (for example cinema, books, and all forms of media) on individuals and a fortiori on groups of human through scientific procedures. Needless to say, these books have a bad reputation in academic circles, and this negative reputation is maintained because we actually know very little about how they are used by their readers. To overcome this shortcoming, I have tried to provide an answer to the apparently naïve question as to how reading SH literature can make sense to people who praise the virtues of these books, and the claim that they “have changed their life”, readily resorting to the tropes of resilience and trauma. To put it another way, I tried to understand how readers could know “how to go about” these books and have the expertise “to perform these texts” (Alexander) so they can bring them a degree of help, relief and satisfaction. With this objective in mind, I have explored an empirical field of about a hundred SH books, conducted 50 in-depth conversations with readers of SH books, and examined around 300 letters to three well-known authors of such texts. So why do people that read SH books containing such specific content have no trouble finding a meaning, as well as a symbolic and operative effectiveness, in them? My hypothesis is that these books make use of what Wittgenstein calls a “language game”. A “language game” is constituted by a set of (common sense) words and concepts that we mobilise when confronted with specific situations. In contemporary societies, people experiencing a breach in the fabric of their life will probably summon up a particular “language game” influenced by a psychological vision of the world to express and explain what has happened, what the consequences of this breach are, and what possibilities there are to get out of this situation. “Resilience” is one of the most prominent notions of this “language game”. It is not only to be found in the SH books, but also in the discourse of the readers of such books. What does this particular “language game” look like? What role does resilience play in it ? Two characteristics can be observed. First, this “language game” seems to give an extremely important signal of "interiority", an entity that pervades SH readers’ discourse. More precisely SH readers experience (and explain) that they are being inhabited by a “true self” that is the guardian of the “truth” about themselves, but is also the source of an unsuspected power of action. In a supposedly democratic anthropology, people making use of this “language game” consider that all human beings have such interiority, and can therefore harness the hidden resources it contains. In such narratives the pursuit of and engagement with this “true self” are endowed with important qualities. In short, these actions are considered to be the solution to most of our problems. The second characteristic, leading from the first, is that when faced with misfortune, be it big or small, the readers of SH books place great value on "working on the self”. Generally speaking, only efficient action in dealing with our problems finds favour in their eyes. To be precise, in such people’s discourses, having been traumatized is endowed with the power of revealing who we really are and what we are really capable of. Furthermore, such people come to believe that having suffered makes you a survivor, from now on entitled to become a reference for other people on their road to their “true self”. Let us look at a letter to a famous French-speaking SH book author: I want to thank you for your book “Being Genuine: Stop Being Nice, Start Being Real”, which allowed me to identify two problems that stop me from being who I really am: my lack of self-esteem and of self-confidence. Your book was a revelation to me. At the age of 39, I have at last understood how the 26 years spent with my parents created an attitude of submission and passivity in myself, which caused my lack of self-esteem and self-confidence. I have now decided to tackle these problems and to begin a therapy, in order to get rid of all these limiting issues. I feel that it will offer me a rebirth. Thank you so much. (my translation) This letter illustrates clearly how the “language game” is mobilised. It is used first to translate (or to put words on) a vague unease that relies on interiority (“who I really am”, “lack of self-esteem”, “in myself”, etc.) and secondly to create possibilities action to deal with the unease that has now been defined (“tackle the problem”, “begin a therapy”, “get rid of”, etc.). To sum it up, there is no doubt that, contrary to the stance often observed in the scientific literature on resilience, in the SH readers’ eyes, resilience is first a personal capacity, and even more precisely a question of will, and only second a process depending on contextual elements. The Discourse around Sorcery in Azande’s Society as a Point of Comparison I would like now to give an indication of the way reading such books and drawing on this “language game” constitute a practical attitude towards everyday risks, and how this is particularly adapted to our liberal-individualistic culture, in which the question of personal autonomy and individual responsibility is of unprecedented importance (Ehrenberg): in such cultural contexts each individual is expected to be the entrepreneur of his own life. To make this point clearer, I will briefly sketch a comparison with another practical attitude that has been well-documented in anthropological work: the “language game” of sorcery, which is practiced in many traditional societies but also in some parts of the western societies (Favret-Saada). The first anthropologist to have gone beyond the issue of the reality of magic was Evans-Pritchard. During the first half of the 20th century, he studied the use of sorcery in a tribe of South Sudan: the Azande. Evans-Pritchard thought that such a phenomenon could only be understood if the social institutions making a form of magical thinking plausible were taken into account. On the basis of his fieldwork, he considered the types of situations in which the Azande resorted to magic. His answer was that magic (which is notably present in accusations of sorcery) only intervenes in difficult times and more precisely when two things coincide. The first is the fact that an event (even a totally explicable one) arises, the second is the fact that it happens to the person in question, at that precise moment. For example the Azande understand that it was lightning that made the tree fall down, but they wondered why lightning struck in that place, at that time, above the head of that person in particular. For them, such phenomenon could not remain unexplained. They understood what caused their misfortune, but they needed to find a reason for it all the same. When faced with adversity, the Azande will always wonder: "who is holding a grudge against me”, and “who has got reasons to cast a spell on me?" The discourse around sorcery is what Winch later called an "attitude towards contingencies", which he defines as the “way of dealing (symbolically) with misfortunes and their disruptive effect on a man’s relations with his fellows, with ways in which life can go on despite such disruptions” (321). In this sense, reading SH books and mobilizing the category of resilience both have a similar function, just as praying does: this practice and the corresponding “language game” also testify of an attitude towards contingencies. As is the case with magical practices, both are socially instituted systems of interpretations that enable the people in question to find some meaning to misfortune and to go on living after it (in this matter, Masten’s consideration of resilience as “ordinary magic” is interesting). Nevertheless, the ways these two attitudes towards contingencies enable people to make sense and to set up possible actions are very different. The two systems of accountability are not alike. The Azande’s attitude is fundamentally projective (the responsibility or blame for a misfortune is shifted to somebody else, most of the time to a sorcerer). On the other hand, the attitude of the readers of SH books is introspective: the question that is socially valued is not “who is holding a grudge against me?”, but “what can I do to get out of it?”. In SH readers’ eyes, this is the very question to be answered in order to be considered as a resilient person. The sorcery system makes it possible to consider that the responsibility for the misfortune and the responsibility for the end of it go to the same entity: the sorcerer. In the SH readers’ attitude towards contingencies, these two responsibilities are uncoupled: while “another” is often held responsible for the misfortune, the person that experienced the misfortune is always considered responsible for getting over it: they are supposed to pick themselves up and improve themselves. Likewise, the projective attitude (which is characteristic of the discussions on sorcery) is highly discredited in the “language game” of resilience used by the SH readers. It is considered as the sign of a fake resilience. This is obvious from the distrust that is present in their discourse towards the character of the "victim", as well as towards the figure of the “complaint”, as the following excerpts from interviews with readers clearly show:Woman, 64 years old: People reading SH books are people who want to feel good, find their place in the world and solve the problems arising from their past. They are people who try to get over victimisation and to responsibilise themselves. Woman, 35 years old: I find it a good thing that more and more people read SH books. But a lot of other people continue to consider themselves as the genuine victims of their parents or of their education, and they need a lot of time to get through it. As for me, I believe that we have what we need in ourselves: we choose what we want, and we have what we want. Man, 40 years old: We need to get out of the vicious circle that makes us consider that “the others” are always responsible for our problems. For example: “Oh if I am unemployed, it is because society does not provide me with a job”. Well, maybe, but the good question is “why don’t you have a job while other people do?” It is useless to accuse society. The question is: “which actions do you take to get a job? (my translation for the three quotes) This “language game”, which so enhances both interiority as the resource of meaning and power, and efficient work on one’s own self, allows us to consider others or the environment as responsible for our own misfortune. Yet, it certainly doesn’t allow us to wait passively for things to improve on their own. In the common sense use of resilience, improvement must be caused in a proactive way by exploring our inner resources. In the end, this “language game” is indeed what people try to put into practice when they read SH books: these books build up their conviction that, whatever the situation they find themselves in (and whoever is responsible for it), they can always do something to it, they can always make use of this event to improve themselves. SH books and the “language game”, which resilience is a part of, enable the readers to consider all their problems as finding a solution in a more efficient practice of their interiority. Conclusion: The Evaluative Dimension of Resilience The “language game” of SH books is not only employed by readers as a means to make problems manageable. It is also experienced as a powerful resource for assessing oneself and others. The main finding of this article is the hiatus that exists between the scientific interpretations of resilience as an analytic (thus not normative) resource and the way this notion is mobilized in the common sense by laypeople in their everyday lives order to evaluate responsibilities. It is exactly as if people could not help asking the question: “if this person is not resilient and can’t cope with adversity, isn’t it, at least partly, their own fault?” The reason of this hiatus is that resilience is used in a cultural context where autonomy has taken an unprecedented importance. The key message of SH books, which is endorsed by most readers, is that happiness, well-being and resilience are a matter of personal choice. Behind the democratic proposition of SH books: “everybody has the ability to manage, everybody might be resilient,” lurks a much more meritocratic attitude: namely, “if you cannot come to terms with a problem, it is because you don’t really want to”. In the world of SH books, people who do not “put on a brave face”, or who do not work at being consistent with themselves, who content themselves with the secondary benefits of a life that does not really suit them, who expect solutions to drop down from heaven, – in a word people who do not show what SH readers consider as a genuinely resilient behaviour – only have themselves to blame. This phrase (“only have themselves to blame”), has negative connotations in French-speaking sociological discourses, but is not attached to such negativity in the mind of SH readers that get the most out of such books. “Blaming oneself as the only one responsible”, not for what happened but for what we do/don’t do to get through it, is exactly what the “language game” mobilising resilience and its emphasis on interiority and efficient activity allow. This is what readers are seeking when reading SH books. Indeed, people seeking a solution to their problems would ask: what is the use of reading books saying there is nothing to do to improve our situation? Thus, when using the “language game” of resilience, the SH book readers willingly accept the consequence that their problems have now been brought out into the open: the consequence being that people should take the responsibility for the fact that their problems persist (due to their own failure to act) or disappear (due to their actions). This theory of the consequence of one’s actions is today criticised by sociologists, notably French-speaking ones. References Alexander, Jeffrey. “Cultural Pragmatics: Social Performance between Ritual and Strategy.” Sociological Theory 22 (2004): 527–573. Barker, Martin, and Julian Petley, eds. Ill Effects: The Media/Violence Debate: London: Routledge, 2001. Cyrulnik, Boris. Parler d’Amour au Bord du Gouffre. Paris: Odile Jacob, 2004. Ehrenberg, Alain. La Société du Malaise. Paris: Odile Jacob, 2010. Evans-Pritchard, Edward E. Sorcellerie, Oracles et Magie chez les Azandé. Paris: Gallimard, 1972. Favret-Saada, Jeanne. Les Mots, la Mort, les Sorts. La Sorcellerie dans le Bocage. Paris: Gallimard, 1977. Hazleden, Rebecca. “Promises of Peace and Passion: Enthusing the Readers of Self-Help.” M/C Journal 12.2 (2009). 1 Aug. 2013 ‹http://journal.media-culture.org.au/index.php/mcjournal/article/viewArticle/124>. Illouz, Eva. Saving the Modern Soul: Therapy, Emotions, and the Culture of Self-Help. Berkeley: U of California P, 2008. Luhmann Niklas. La Confiance: Un Mécanisme de Réduction de la Complexité Sociale. Paris: Economica, 2006. Marquis, Nicolas. “Se Remettre en Jeu quand Rien ne va Plus: Une Réflexion Sociologique sur la Catégorie de la Résilience. ” Recherches Sociologiques et Anthropologiques 40.1 (2009): 93–110. Masten Ann S., “Ordinary Magic: Resilience Processes in Development.” American Psychologist 56.3 (2001): 227–238. McGee Micki. 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Thèses sur le sujet "Mécanisme de Magee"

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Jimenez, Reyes Jose. « Experimental and numerical contribution to the study of transformation induced plasticity (TRIP) ». Electronic Thesis or Diss., Normandie, 2024. http://www.theses.fr/2024NORMIR20.

Texte intégral
Résumé :
Ce travail a été réalisé dans le but d'apporter une contribution à l'étude de la plasticité induite par transformation (TRIP) à travers des analyses expérimentales et numériques. Pour ce faire, du point de vue expérimental, un programme expérimental original sur l'acier 35NCD16 observant les comportements des transformations austénite → martensite est réalisé sous différentes conditions de chargement. Les résultats indiquent que : (i) le TRIP n'a pas d'effet mémoire significatif, (ii) le matériau peut présenter une récupération de l'écrouissage pendant la transformation martensite → austénite, (iii) une dissymétrie entre les réponses du TRIP en tension et en compression a été observée, (iv) l'existence d'une contre-contrainte du TRIP a été révélée, (v) la quantité de TRIP final peut être considérée comme proportionnelle à la norme de la contrainte appliquée tant que cette dernière ne dépasse pas la limite d'élasticité, et (vi) une légère orientation physique a toutefois été observée lors de l'analyse microstructurale de notre matériau, ce qui pourrait suggérer une faible contribution du mécanisme de Magee dans le TRIP. Quant au côté numérique, les capacités prédictives du modèle Leblond – Taleb – Sidoroff (LTS) et de sa version actualisée (U – LTS) sont mises à l'épreuve en simulant les essais expérimentaux réalisés dans le cadre de cette étude. Nos résultats montrent que (i) le modèle LTS surestime les résultats expérimentaux, (ii) le modèle LTS ne parvient pas à décrire la dissymétrie entre les réponses TRIP en tension et en compression, (iii) en utilisant le modèle U – LTS, les résultats comparatifs montrent d'excellentes capacités à simuler la base de données expérimentale réalisée dans ce travail, en particulier par rapport au modèle LTS. Bien que nos résultats expérimentaux aient montré des résultats significatifs, en particulier lorsqu'ils sont comparés aux modèles observés dans notre étude, il est recommandé de poursuivre les recherches en prenant en compte d'autres aciers et d'autres transformations
This thesis has been created with the objective of providing a contribution to the study of transformation induced plasticity (TRIP) via experimental and numerical analyses. To do so, from the experimental point of view, an original experimental program on 35NCD16 steel observing the behaviors of austenite → martensite transformations were performed under different loading conditions. The results indicate that: (i) TRIP does not hold any significant memory effect, (ii) the material may present recovery from strain hardening during the martensite → austenite transformation, (iii) a dissymmetry between the TRIP responses under tension and compression were observed, (iv) the existence of TRIP backstress was revealed, (v) the amount of final TRIP may be considered proportional to the norm of the applied stress as long as the latter does not exceed the yield stress, and (vi) a slight physical orientation has however been observed when carrying out microstructural analyses on our material, which could suggest a small contribution of the Magee mechanism in TRIP. As for the numerical side, the predictive capabilities of the Leblond – Taleb – Sidoroff (LTS) model, and its updated version (U – LTS) are put to the test by simulating the experimental tests performed for this study. Our results show that: (i) the LTS model overestimates the experimental results, (ii) the LTS model fails in describing the dissymmetry between the TRIP responses under tension and compression, (iii) when using the U – LTS model, the comparative results show excellent capabilities in simulating the experimental data base performed in this work, especially compared to the LTS model. While our experimental results showed significant results, especially when put up against to the models observed in our study, further research considering other steels and other transformations is recommended
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Chapitres de livres sur le sujet "Mécanisme de Magee"

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Llassera, Margaret. « La lumière et la poésie « métaphysique » anglaise (1600-1660) : de la « magie » à la mécanique ». Dans Le Siècle de la Lumière, 211–24. ENS Éditions, 1997. http://dx.doi.org/10.4000/books.enseditions.23673.

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