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1

Paul, Anne-Marie. « L’adolescence par Annie Ernaux : récits d’emprise ». Adolescence T.42 N° 1, no 1 (21 mai 2024) : 71–85. http://dx.doi.org/10.3917/ado.113.0071.

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Résumé :
Dans Mémoire de fille , A. Ernaux conclut le récit fragmenté de son adolescence par la révélation de l’agression subie lors de sa première relation sexuelle. Cet événement, répétition et aboutissement des traumas de l’enfance dont l’origine sexuelle est diluée par l’autrice dans le socius, déclenche un phénomène d’emprise passionnelle lourd de symptômes. La subjectivation par sublimation littéraire est à la fois matière et matrice de l’œuvre, et transforme l’emprise en objet culturel partageable.
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2

Hanafi, Fatiha, Nadia Sadif, Omar Assobhei et Mohammed Mountadar. « Traitement des margines par électrocoagulation avec des électrodes plates en aluminium ». Revue des sciences de l'eau 22, no 4 (22 octobre 2009) : 473–85. http://dx.doi.org/10.7202/038326ar.

Texte intégral
Résumé :
Résumé Les effluents liquides des huileries d’olive (margines) produits par le processus d’extraction d’huile d’olive sont les principaux déchets nuisibles de cette industrie. La caractérisation de ces effluents suivie de l’élimination de la matière organique (demande chimique en oxygène (DCO), des polyphénols totaux, de la matière en suspension (MES) et de la couleur), de la matière minérale (phosphates et azote ammoniacal) et des métaux lourds (zinc et fer) ont été expérimentalement étudiées à l’aide de la technique d’électrocoagulation en utilisant des électrodes en aluminium. Il est constaté que l’augmentation du temps d’électrolyse et de la tension électrique améliore le traitement de façon significative. Toutefois, la consommation simultanée d’énergie et des électrodes a été observée. Les résultats de ces analyses ont montré que les margines diluées cinq fois sont des effluents à pH acides (4,2), très chargés en matière organique (20 000 mg•L‑l de Demande Chimique en Oxygène (DCO)), en sels (Conductivité Électrique (C.E) = 3,6 mS•cm‑1), en azote ammoniacal (NH4+) (32 mg•L‑1), en orthophosphates (PO43-) (22 mg•L‑1). Elles contiennent également des quantités appréciables de métaux lourds, notamment le zinc (3,69 mg•L‑1) et le fer (13,80 mg•L‑1). L’évolution des paramètres physico-chimiques au cours du traitement par électrocoagulation montre que dans les conditions d’un temps d’électrolyse de 15 minutes et d’une tension électrique de 20 volts (correspond à 250 A•m‑2), la décoloration des margines diluées cinq fois est comprise entre 96-99 %, la réduction de la Demande Chimique en Oxygène (DCO) est d’environ 80-85 %, la réduction des polyphénols totaux est d’environ 75-80 %, l’élimination des particules colloïdales (Matière En Suspension (MES)) peut atteindre 7-8 kg•m‑3, la réduction des orthophosphates est 94-99 %, la réduction de l’ammonium est 80-85 %,la réduction du zinc est 70-75 %, la réduction du fer est 71-76 %, la masse perdue des électrodes est 0,6-0,7 kg•m‑3 et l’énergie consommée est 12‑14 kWh•m‑3. Ces niveaux opérationnels optimaux permettent d’avoir une bonne dégradation des margines.
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3

ANDRIEU, J. P., C. DEMARQUILLY et J. ROUEL. « Conservation et valeur alimentaire des ensilages directs de prairies naturelles. Comparaison de trois types de conservateur ». INRAE Productions Animales 3, no 1 (3 février 1990) : 67–73. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1990.3.1.4362.

Texte intégral
Résumé :
Dans deux essais l’influence de l’addition de conservateur sur la qualité de conservation et la valeur alimentaire pour des génisses laitières de 1 an des ensilages en coupe directe de prairie naturelle a été étudiée. Les ensilages ont été préparés à partir des mêmes prairies, sans conservateur ou avec addition d’un mélange 70/30 d’acide formique-formol, d’acide sulfurique dilué à 40%, de Lithioxine mélange de formiate de Ca, nitrate de Na et hexaméthylène tétramine, ou de Caylasil à base de ferments lactiques et d’enzymes cellulolytiques. Ils ont été distribués à volonté avec 100 g de minéraux /jour/animal, à des lots de 12 génisses en stabulation libre. Le mélange acide formique-formol a nettement amélioré la qualité de conservation et la Lithioxine a fait presque aussi bien. L’acide sulfurique dilué a entrainé une qualité intermédiaire entre l’ensilage sans conservateur et l’ensilage additionné d’acide formique-formol, et Caylasil a peu amélioré la qualité, mais le fourrage de départ était pauvre en glucides solubles (6,5 % de la matière sèche). L’addition de conservateur a peu modifié la digestibilité de la matière organique (mesurée sur moutons) des ensilages, ni leur quantité ingérée par les génisses, mais a augmenté significativement les gains de poids vif (en moyenne 275 g/jour avec l’ensilage additionné d’acide formique-formol. Ceux-ci, sauf avec les ensilages à l’acide formique-formol, ont été limités par un apport azoté insuffisant et sont étroitement liés à la proportion d’azote sous forme ammoniacale des ensilages distribués aux génisses.
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4

Almeida Falcão, Maurin. « La crise des finances publiques au Brésil et le cas du Covid ». Gestion & ; Finances Publiques, no 4 (juillet 2021) : 124–29. http://dx.doi.org/10.3166/gfp.2021.4.017.

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Résumé :
Cet article analyse la crise des finances publiques au Brésil qui persiste depuis 2013 et est aggravée par les effets de la Covid. Malgré les contraintes budgétaires imposées par le cadre constitutionnel, le Gouvernement fédéral a déployé des moyens importants vers les entités fédérées pour faire face à la pandémie. Un régime financier d’urgence a visé à contrecarrer la pénurie, le chômage et les effets du confinement. Le pacte fédératif en ressort renforcé, sachant qu’une décision de la Cour suprême a rappelé que les organes fédérés et les municipalités ont une compétence concurrente en matière sanitaire, ce qui dilue politiquement le pouvoir fédéral.
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Park, Adrian. « The Language of the Victim : In Defence of ‘Community - The Miners’ Strike 1984-1985 ». Recherches anglaises et nord-américaines 33, no 1 (2000) : 223–35. http://dx.doi.org/10.3406/ranam.2000.1632.

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Résumé :
L’importance du mot communauté’ est flagrante dans les discours politiques actuels. Cependant, parce que l’on a largement usé et abusé de ce terme, son sens se dilue quelque peu. La possibilité même d’une définition stable de ce concept donne matière à débat. Les mineurs du Kent, géographiquement éloignés de leurs collègues des principales mines britanniques et socio-politiquement éloignés de leurs voisins du sud de l’Angleterre, ont été obligés de chercher entre eux un soutien multi-latéral. De ce fait, ils furent présents, en termes Thompsoniens classiques, à la naissance de ce qu’ils créaient, une communauté structurée de mineurs, une masse isolée qui, en ‘bon enfant’, se développa pour, finalement, s’occuper de ses ‘parents’ lors des périodes de conflits, notamment lors du mouvement de grève de 1984-85.
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PETIT, J. « Aquaculture : un problème pour l’environnement ? » INRAE Productions Animales 4, no 1 (2 février 1991) : 67–80. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1991.4.1.4319.

Texte intégral
Résumé :
L’aquaculture intensive est considérée comme une source de pollution. Les interactions étroites entre le milieu d’élevage et l’écosystème où est implanté l’élevage confèrent des caractères particuliers à cette pollution. Les formes de pollution par l’aquaculture sont variées : pollutions organique, chimique, bactériologique, génétique etc. Les flux polluants peuvent être importants localement et géographiquement. On estime que la production d’une tonne de saumons implique 1 km2 marin, et que les élevages norvégiens contribuent pour 8 % et 14 % de l’azote et du phosphore respectivement rejetés en mer du Nord. La législation n’est pas adaptée aux problèmes tels qu’ils se posent en pisciculture. Une législation européenne plutôt axée sur le contrôle des intrants dans l’aliment semble se profiler avec l’exemple danois. Le moyen le plus rapide de réduire la pollution générée par l’aquaculture semble être, pour l’instant, d’abaisser la quantité d’aliments déversés par augmentation de la valeur énergétique de ceux-ci (ce qui diminuera la quantité de matières en suspension), et de remplacer une partie des protéines par des lipides. La mise en oeuvre de ce type d’aliment demande toutefois une technicité élevée. L’avenir des traitements en aval semble limité par le caractère très dilué des polluants et les grands volumes d’eau à traiter. L’aquaculture en tant que production dépendante de l’Environnement peut être un lien privilégié pour des études sur le coût de l’Environnement.
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PATRIS, T., P. BALCH, C. JOANNIS et A. CHAUBET. « Relations entre paramètres physiques et concentrations en polluants dans les effluents unitaires de Brest Métropole ». Techniques Sciences Méthodes, no 6 (22 juin 2020) : 59–70. http://dx.doi.org/10.36904/tsm/202006059.

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Résumé :
Un volet du projet de R&D « Medisa » piloté par la société publique locale Eau du Ponant concerne les possibilités de conversion de mesures de conductivité et de turbidité en concentrations en matières en suspension (MES), demande chimique en oxygène (DCO), demande biochimique en oxygène à 5 jours (DBO5), azote Kjeldahl et phosphore total. Dans un premier temps, une analyse globalisée a été menée sur l’ensemble des 217 échantillons prélevés en temps sec et en temps de pluie au droit de six déversoirs d’orage situés sur le réseau unitaire de Brest Métropole. Elle permet d’identifier deux types de comportement des polluants associés aux fractions dissoutes et particulaires. Puis un indicateur de performance des relations de conversion a été élaboré, et a permis d’en comparer différents types de fonctions de conversion. L’ajustement de fonctions puissances permet une estimation raisonnable des paramètres réglementaires de pollution, sauf pour les valeurs les plus faibles, correspondant à des effluents très dilués. Enfin, une analyse plus détaillée a été menée pour évaluer les gains éventuels apportés par des relations spécifiques aux sites ou aux contextes hydrologiques (temps sec ou temps de pluie). Les résultats obtenus montrent que l’autosurveillance des rejets dans la rade de Brest peut s’appuyer sur une estimation des concentrations à partir de mesures en continu de conductivité et de turbidité, et être exploitée pour évaluer la conformité des rejets à un objectif exprimé en flux.
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WIMMERS, L., M. FLORIAT, G. RUCK, K. MONTALBANO et A. DECAMPS. « Évaluation rapide de la qualité toxique des boues par l’analyse du comportement du ver de terre Eisenia fetida ». Techniques Sciences Méthodes 12 (20 janvier 2023) : 121–31. http://dx.doi.org/10.36904/202212121.

Texte intégral
Résumé :
Dans un contexte d’anticipation du futur décret relatif aux critères de qualité agronomique et d’innocuité selon les conditions d’usage pour les matières fertilisantes et les supports de culture (MFSC), dit décret « socle commun MFSC », et dans le cadre d’un projet de renforcement de la valorisation agronomique de ses boues, la métropole de Lyon s’est engagée dans une étude pour qualifier rapidement les boues de deux de ses stations d’épuration. Pour chacun des sites concernés, 12 prélèvements ont été effectués puis analysés : paramètres physico-chimiques réglementaires et caractérisation écotoxique menée par ViewPoint. Les contraintes exigées pour le développement de cette nouvelle approche étaient d’obtenir une note discriminante, rapidement disponible après 24 à 48 heures après réception des échantillons en complément des tests classiques de laboratoire accessibles près de dix jours après le prélèvement, voire plus d’un mois pour certains « nouveaux » paramètres envisagés par le projet de décret sous le nom de « tests sentinelles ». ViewPoint a mis au point un protocole pour mesurer les réponses comportementales du ver Eisenia fetida en contact avec des boues d’épuration. La mesure consiste à placer dans une vingtaine de boîtes de Petri une moitié de zone avec un échantillon de boue diluée et d’y introduire un ver. Un système de vidéo-tracking mesure, pour chaque individu, différents traits comportementaux (vitesse, zone de préférence…) durant 25 minutes de lecture. Pour finir, cinq concentrations de boue sont testées pour chaque prélèvement. Un travail d’automatisation de la lecture et de traitement de la donnée a été effectué pour fournir une note à chaque échantillon. Cette méthode permet aujourd’hui de qualifier rapidement les boues d’épuration. Elle doit toutefois être consolidée avec des tests sur d’autres matrices. Il est prévu d’effectuer un travail complémentaire de corrélation de cette nouvelle méthodologie avec la norme relative à la mesure du taux de reproduction des vers.
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PICARD, M., B. SAUVEUR, F. FENARDJI et I. ANGULO. « Ajustements technico-économiques possibles de l’alimentation des volailles dans les pays chauds ». INRAE Productions Animales 6, no 2 (28 avril 1993) : 87–103. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1993.6.2.4191.

Texte intégral
Résumé :
L’aviculture des régions chaudes doit tenir compte de deux facteurs limitants majeurs : le climat qui freine la consommation énergétique des volailles et modifie l’habitat et les cycles de productions (croissance ralentie, oeufs plus petits...) et l’importation, pour beaucoup de pays chauds, des céréales et du tourteau de soja avec des devises de plus en plus rares. Les solutions nutritionnelles viables à moyen terme, pour les volailles, sont celles qui tiennent compte de ces deux types de contraintes dans le choix des normes de formulation et qui intégreront l’aviculture dans le développement agro-industriel global de ces pays. Sept exemples expérimentaux illustrent la recherche de solutions adaptées, en collaboration entre l’INRA et plusieurs pays chauds. Pour être efficacement appliquées ces solutions requièrent une adaptation pratique par les professionnels de l’aviculture dans chaque situation. La distribution ad libitum d’un régime complet laisse peu d’espoir de pouvoir compenser les effets négatifs de la chaleur sur les performances par des ajustements de sa composition. Par contre, certaines erreurs comme l’augmentation de la teneur de l’aliment en protéines de mauvaise "qualité", c’est-à-dire avec des concentrations relativement basses d’acides aminés indispensables digestibles, peuvent aggraver les effets du climat. Le niveau d’ingestion énergétique faible des poules pondeuses permet d’envisager l’utilisation de régimes dilués, granulés, contenant des quantités plus importantes de sous-produits disponibles localement et ayant une valeur nutritionnelle, comme les issues de céréales. La combinaison de rythmes lumineux et de systèmes d’alimentation discontinue en supprimant l’accès à la mangeoire quelques heures avant et pendant le pic thermique quotidien permet de maîtriser les mortalités excessives des poulets de chair en période de finition. Le fractionnement du régime complet ouvre des voies de recherches stimulantes dont deux ont déjà prouvé un intérêt :- technico-économique, dans le cas de l’alimentation calcique séparée des poules pondeuses qui induit une augmentation de l’ingéré énergétique du matin et une amélioration de la ponte ;- économique par l’utilisation d’un aliment complémentaire unique pour le poulet et la pondeuse distribué en libre choix avec des céréales graines entières pouvant être produites par l’aviculteur ou acquises à moindre coût (et des coquilles d’huîtres pour la ponte). Cette solution permet de limiter les transports et les gaspillages de matières premières en concentrant l’effort technique sur un seul produit. La mise au point de modèles d’alimentation alternatifs prenant en compte les rythmes de températures et de lumière existant dans les poulaillers ouverts des pays tropicaux est un domaine d’avenir qui devrait stimuler les échanges scientifiques Sud-Nord.
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Bengeni, D., P. Lim et A. Belaud. « Qualité des eaux de trois bras morts de la Garonne variabilité spatio-temporelle) ». Revue des sciences de l'eau 5, no 2 (12 avril 2005) : 131–56. http://dx.doi.org/10.7202/705125ar.

Texte intégral
Résumé :
Pendant deux années, des mesures et analyses d'eau ont été faites mensuellement sur une station de la Garonne et sur trois bras morts différant par leur communication avec le fleuve. La variabilité spatio-temporelle a été dressée à partir de 14 variables physico-chimiques susceptibles d'influer les équilibres chimiques de l'eau et la vie aquatique. Les données ont fait l'objet d'une Analyse en Composantes principales précédée par une analyse de variance entre saisons et entre stations de mesures afin de déterminer l'importance des hétérogénéités spatiale et temporelle des données. L'eau du fleuve est soumise à un cycle climatique annuel de température et de débit. De brèves fortes eaux de printemps alternent avec de longues périodes de débits stables et inférieurs aux moyennes établies sur plusieurs décennies. Par rapport aux charges de sulfates et de chlorures prises comme référence du drainage du bassin versant, les flux de nitrates ont un pic accentué au printemps, résultant des activités agricoles. Les phosphates présentent aussi un accroissement automnal qui pourrait traduire un cycle annuel de minéralisation-déminéralisation. Les matières organiques s'élèvent en rapport au taux de chlorophylle a. L'eau de Garonne est de bonne qualité et conforme à la typologie habituelle, hormis des taux déclassants d'ammoniaque provenant de l'agglomération toulousaine et dont l'autoépuration est souvent incomplète. Par rapport à la Garonne, les trois bras morts sont caractérisés par un cycle thermique accentué en été. Mise en évidence par l'ACP, la minéralisation des eaux de ces trois bras morts évolue selon un cycle saisonnier parallèlement aux fluctuations de débit de la Garonne. Elle indique un gradient de minéralisation croissante de l'hiver au printemps. La qualité de l'eau lors des fortes eaux printanières est homogénéisée et imposée par le fleuve. En phases de faibles débits, la qualité de l'eau évolue parallèlement à celle de la Garonne (concentrations des substances) pour un bras mort ventilé par une communication amont et aval. En revanche, les deux bras morts en simple communication aval présentent un retard à la concentration de l'eau d'autant plus évident que la communication est étroite. Les substances fertilisantes (nitrates, phosphates, ...) augmentant de l'amont vers l'aval dans ces deux derniers bras morts, sont en été en concentration inférieure par rapport au fleuve, en raison : 1) du remplissage printanier par des eaux diluées, puis du retard estival à l’équilibrage par simple communication aval et 2) de la consommation par les organismes végétaux aquatiques. L'élude des différences spatio-temporelles met ainsi en évidence un gradient saisonnier de minéralisation, un gradient aval-amont de productivité et un gradient aval-amont de réchauffement estival. La productivité apparaît donc liée au réchauffement estival plutôt qu'à la minéralisation ou aux teneurs en substances fertilisantes.
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Pujante González, Domingo. « Apertura : No hay palabras... » HYBRIDA, no 5(12/2022) (27 décembre 2022) : 3. http://dx.doi.org/10.7203/hybrida.5(12/2022).25813.

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Résumé :
Il me regarde. Parfois il murmure des mots que je ne comprends pas. Et puis il s’assoit sur le lit, et il rabat les couvertures. Il dit mon nom tout bas, tu dormais, mon amour ? Là il n’y a plus d’espoir, je sais que ça commence. J’ouvre les yeux sur le noir de la chambre qui peu à peu s’éclaire et dévoile le visage de papa. Il n’y a pas de mots pour ce qu’il me fait dans la chambre. Voix coupée, je ne pourrai jamais le dire. À moi seule je le dis pour ne pas me perdre de vue. Lori Saint-Martin (1999). Mon père, la nuit (p. 7). L’instant même. Nous voilà au troisième solstice d’hiver pour la revue HYBRIDA. J’ai eu la chance de passer mon anniversaire à Montréal, de recevoir l’automne aux couleurs changeantes, de savourer l’énergie du jaune, ma couleur préférée, décliné à l’infini : citron, cadmium, moutarde, ocre, auréolin, indien, de Naples, de Sienne, de Cambodge… L’Association Internationale des Études Québécoises, incarnée dans la précieuse figure de Suzie Beaulieu, a contribué à la réussite de ce séjour d’un mois à l’Université de Montréal, accueilli par une personne magnifique et généreuse, écrivaine prestigieuse à juste titre, Catherine Mavrikakis, qui venait de publier son dernier roman Niagara (2022), ainsi que par son entourage académique et familial, son frère Nicolas Mavrikakis, perspicace critique d’art ; son conjoint, l’insigne professeur de littérature Terry Cochran, et leur fille Loulou, toujours le sourire aux lèvres et aux yeux… Le mois d’octobre est spécialement animé du point de vue culturel à Montréal ce qui m’a permis de participer à une intense vie culturelle : nouvelles publications, activités théâtrales, expositions artistiques, cycles organisés par la cinémathèque québécoise (dont la superbe rétrospective sur l’œuvre du canadien Bruce LaBruce)… Je me suis plu à visiter les intéressantes librairies montréalaises toujours en ébullition. J’ai eu la chance d’entrer en contact direct avec le monde éditorial québécois qui connaît certainement un nouvel âge d’or, des maisons d’édition d’une longue tradition comme Gallimard, dont l’ancien directeur Rolf Puls m’a parlé de tant d’anecdotes littéraires en nous régalant avec des huîtres et des oursins des mers du Nord, et dont l’actuelle directrice générale, Florence Noyer, m’a ouvert également les portes. Tout comme les éditions du Boréal où je suis passé plusieurs fois, reçu magnifiquement par Jean Bernier, avec qui j’ai passé des moments d’intense complicité où j’ai pu partager la passion pour Marie-Claire Blais, qu’il connaît dans le moindre détail, et le deuil à cause de la disparition douloureuse, cet intense mois d’octobre, du jeune écrivain Simon Roy, qui était venu à Valence présenter son premier roman Ma vie rouge Kubrick (2014) ; ainsi que celle de Lori Saint-Martin quelques jours plus tard. Il me reste à mentionner la maison d’édition Héliotrope. Un vrai bijou. J’ai eu le privilège de partager quelques conversations littéraires et humaines de haut niveau et une belle promenade du côté du Mont Royal, avec une halte dans la petite pâtisserie du quartier portugais pour prendre un vrai café, avec sa directrice, écrivaine elle-aussi, Olga Duhamel-Noyer, une âme sœur, qui dirige cette maison respirant sans aucun doute un air nouveau, fortement stimulant. Ma valise était donc bien pleine au retour à Valence et j’aurai de quoi lire dans les prochains mois. Tout cela m’a permis de rencontrer, parfois intensément, dans divers contextes, plusieurs écrivain·e·s, tous les âges confondus, dont je signalerai, par ordre alphabétique, Martine Audet, Arianne Bessette (écrivaine discrète et sensible avec qui j’ai connecté immédiatement), Lula Carballo (« ma Lula », mon double), David Clerson, Pierre-­André Doucet (charmant auteur et musicien acadien spécialement remarquable), Clara Dupuis-Morency, Benjamin Gagnon Chainey, Julien Guy-Béland (personne exceptionnelle, engagée, et écrivain percutant), Monique Proulx, que j’ai reçue à Valence et que j’apprécie énormément comme écrivaine et comme personne, avec qui j’ai partagé des croissants et de la confiture faite maison sur son balcon en regardant les arbres perdre leurs feuilles lorsqu’elle me dédicaçait son dernier roman Enlève la nuit (2022) ; et, bien entendu, Lori Saint-Martin. Je ne voudrais pas oublier le professeur de l’Université de Montréal Alex Noël, qui s’intéresse à la littérature québécoise récente et à la mémoire queer, et qui m’a fait découvrir le travail de l’artiste multidisciplinaire canadienne, originaire de l’île Maurice, Kama La Mackerel et le professeur espagnol de l’Université du Québec à Montréal Antonio Domínguez Leiva, écrivain lui-aussi, dont j’avais perdu la trace et avec qui je partage bien des intérêts littéraires autour du corps, de la monstruosité et du « panique ». Une dernière mention spéciale pour deux danseurs : Francis Paradis, personne instruite et empathique qui est restée tout le temps à mon écoute et m’a fait découvrir des lieux remarquables ; et, enfin, le danseur tunisien Achraf El Abed, en asile politique à Montréal à cause des persécutions LGBT dans son pays, n’ayant pas pu venir à Valence pour ces raisons lors du Colloque Queer Maghreb que nous avons organisé en juin 2022. Il a dansé pour nous en privé chez moi dans le quartier du Red Light de Montréal, pas loin de l’emblématique Café Cléopâtre, le jour de mon anniversaire, en compagnie de ma collègue et amie Adela Cortijo, qui était venue pour l’occasion. Je n’oublierai jamais ce moment magique. Merci à tous et à toutes pour avoir contribué à rendre ce séjour montréalais si spécial et si riche dans tous les sens. Comme je l’annonçais, nous avons perdu Lori Saint-Martin, excellente professeure, traductrice et écrivaine canadienne, ayant choisi le français comme langue d’asile et de refuge, d’identité réinventée, et surtout personne proche et généreuse, disparue dans la Seine, subitement. Des ombres spectrales ont envahi mon cœur et mes pensées à cause de ce destin trop funeste, trop tragique, trop romanesque, tellement j’ai envie de ne pas y croire… et, pourtant, Lori n’est plus là. Juste un dernier message sur WhatsApp quelques jours avant l’hécatombe : « Aquí todo bien » (« tout va vient ici »). Elle adorait l’espagnol, sa nouvelle demeure, sa nouvelle passion. Lori, mon amie, tu as troublé mon âme et laissé un grand vide difficile à combler. Je n’ai que des mots de gratitude envers toi. Et, pourtant, la vie continue à couler, elle coule et coule… comme les larmes des mères qui perdent leurs enfants dans toutes les guerres de la planète. Cette planète Terre qui pleure de plus en plus fort pour que l’on prenne soin d’elle, pour que l’on développe une conscience écologique efficace et durable… Temps catastrophiques, oui… excessifs, oui… scandaleux, oui… Et, pourtant, temps de Saturnales et de Noël, de fêtes, de chants et de vœux, de décorer les maisons, d’allumer les bougies et d’offrir des cadeaux, de rêves de santé, de paix et d’amour… tellement on a besoin de diluer les tensions que l’on ressent ; temps d’apaiser nos esprits… de se ressourcer, de reprendre haleine… de se projeter dans un meilleur avenir… malgré… Revenons à nos moutons… Le Dossier central de ce cinquième numéro de la revue HYBRIDA, coordonné par Fabio Libasci, vise à s’interroger sur les multiples enjeux de la notion d’extrême, que ce soit du point de vue chronologique que du point de vue conceptuel. En effet, l’expression « extrême contemporain », étant en perpétuel déplacement, reste spécialement attirante mais problématique, depuis sa création attribuée à Michel Chaillou, à la toute fin des années 80 du siècle dernier. On assisterait, de nos jours, à une « deuxième génération » de l’extrême contemporain. On pourrait donc l’actualiser pour faire référence aux productions littéraires et culturelles récentes au sens large. Du point de vue thématique, l’extrême est vite associé à la notion de limite, de démesure, voire de violence. En ce sens, force est de constater une tendance et une présence des esthétiques de rupture et des formes de l’excès chez des auteur·e·s contemporain·e·s, plus ou moins jeunes, ce qui nous a menés à nous pencher sur les usages et, peut-être les abus, de cette notion poreuse et changeante. Ce Dossier est composé de quatre articles venus de Côte d’Ivoire, de Finlande et de France. Ils abordent l’œuvre des écrivain·e·s Azo Vauguy, Koffi Kwahulé et Hélène Cixous et des cinéastes tels qu’Anne Fontaine, Christopher Doyle ou Julien Abraham. Dans la section Mosaïque, nous publions quatre articles très intéressants également. Hassna Mabrouk, de l’Université Chouaïb Doukkali (Maroc), en s’appuyant sur le révisionnisme historique proposé par les études postcoloniales et subalternes, s’empare de la figure historique de l’explorateur et interprète du début du XVIe siècle Mostafa Al-Azemmouri ou Estevanico, connue essentiellement en Europe sous l’angle de la relation de voyage de Cabeza de Vaca, trop eurocentrée, pour y opposer d’autres représentations de l’explorateur comme celle du personnage Al-Azemmouri qui apparaît dans le roman de Kebir M. Ammi, Les Vertus immorales (2009) où les représentations artistiques qui perdurent dans la ville marocaine d’Azzemmour où il est né. Ahmed Aziz Houdzi, de l’Université Chouaïb Doukkali également, analyse les transformations identitaires du sujet diasporique par rapport aux événements historiques dans le contexte français marqué par les attentats terroristes qui ont eu lieu à Paris en 2015. Il fait une fine lecture de Ce vain combat que tu livres au Monde (2016) de Fouad Laroui où le personnage principal se débat entre le désir d’intégration dans la société laïque et la tentation intégriste incarnée par l’État islamique. Lourdes Rubiales Bonilla de l’Université de Cadix (Espagne) se penche sur « l’affaire Batouala ». Dans son article, elle analyse avec précision les clés de la réception et de la diffusion dans la presse du moment du Prix Goncourt de 1921 octroyé au roman Batouala. Véritable roman nègre de René Maran. Ainsi, elle s’efforce de démontrer les mécanismes de la censure pour essayer de neutraliser le discours politique de l’auteur. Enfin, Diana Requena Romero de l’Université de Valence (Espagne) revient sur la problématique liée à l’étude des personnages féminins dans l’œuvre de Boris Vian. Pour ce faire, elle prend un corpus peu étudié qui est celui des nouvelles de l’auteur afin d’y déceler les processus de métamorphose du corps et les images de l’hybridation de la femme-animal située dans des espaces intermédiaires. Dans la section Traces, plus créative, nous publions trois contributions. Nous avons l’honneur de publier un texte fragmentaire bilingue (en français et en espagnol) de l’écrivaine québécoise, originaire de l’Uruguay, Lula Carballo intitulé restos de barrios (« des restes de quartiers ») où les bribes du passé se mélangent à la rupture du discours à la recherche de nouvelles voies d’expression littéraire. Son premier roman Créatures du hasard (2018) a été spécialement apprécié par la critique. Elle a aussi publié l’album illustré Ensemble nous voyageons (2021), co-écrit avec Catherine-Anne Laranjo et illustré par l’artiste Kesso. Carballo explore avec délicatesse et subtilité la mémoire liée aux souvenirs d’enfance et d’adolescence dans un contexte social spécialement marqué par la pauvreté et la migration, ainsi que les hybridations culturelles et la quête identitaire guidée par l’émotion et par un clair positionnement féministe aux côtés des minorités. Alexandre Melay nous offre [Timescapes], un document photographique présenté par l’auteur où il met en valeur ses préoccupations environnementales et nous fait partager son regard engagé face à « l’impossibilité du paysage » et « l’implacable déconstruction structuraliste du sujet ». Ces photographies en noir en blanc, sorte de cartographie de villes grises, polluées, envahies par les déchets et les éléments inhospitaliers, à l’ère du « Capitalocène », constituent un bel exemple de l’« extrême urbain contemporain ». Enfin, Natalia L. Ferreri de l’Université Nationale de Cordoba et Francisco Aiello de l’Université Nationale de Mar del Plata (toutes deux en Argentine) ont eu la générosité de choisir notre revue pour publier un long entretien en espagnol avec l’écrivaine française (née en Argentine en 1968) Laura Alcoba intitulé « ¿Para qué sirven las historias ? » (« À quoi servent les histoires ? »). Après l’évocation de son sixième et dernier roman intitulé Par la forêt (2022) où la narratrice évoque des expériences traumatiques telles que l’infanticide, le suicide et l’exil, Ferreri et Aiello passent en revue, d’une manière savante et subtile en même temps, les questions essentielles qui traversent l’écriture d’Alcoba où le geste de la traduction, la langue maternelle et la matière des histoires occupent une place prépondérante. Nous inaugurons la section Éventail, où nous voudrions, par le biais des recensions ou des comptes rendus, aérer et diffuser des publications de recherche ou de création proches des intérêts et des perspectives qui animent notre revue. En ce sens, nous publions l’intéressante et complète recension de Martine Renouprez de l’Université de Cadix (Espagne) sur le livre de Laurence Hansen-Love (2022), Planète en ébullition. Écologie, féminisme et responsabilité. Notre revue commence à décoller, à être indexée, répertoriée, présente un peu partout dans le monde grâce au grand intérêt démontré particulièrement par les chercheur·e·s africain·e·s. Un grand merci à vous. Bonne lecture et rendez-vous en juin 2023 pour questionner les « frontières » dans un Dossier intitulé LIMES. Sol invictus.
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Thévenin, Pierre, Emmanuel Ducourneau et Anthony Stavrianakis. « La langue, matière à machines ». Ateliers d'anthropologie 54-55 (2024). https://doi.org/10.4000/12z0g.

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Résumé :
Cet article présente l’aspect matériel de l’inscription du langage comme l’enjeu d’une poétique, d’une clinique psychique et d’une cartographie « machinée ». Les poésies sonores et concrètes isolent la composante acoustique de la langue orale et la dimension visuelle de l’écriture. Une figure de l’art brut invente de nouveaux alphabets pour saisir l’être des mots. Un designer cherche à appliquer sa méthode « onto-cartographique » au-delà des seuls objets techniques. Intégrant ces trois enquêtes à la faveur d’une même expérience, nous entreprenons de méta-modéliser la manière dont l’investissement des valeurs plastiques et sonores du langage dilate le champ de la signification. Expérimentale, notre méthode suppose de construire une machine. Celle dont nous présentons la genèse repose sur l’up-cycling d’une borne de jeu vidéo. Sa conception réfléchit tour à tour quatre « plans matériels » d’un poème de Bernard Heidsieck et une série d’images « auto-géométriques » de Francis Palanc.
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Ouahabi, Yasmine Ryma, Noureddine Wail Maamir et Kenza Bensadok. « Etude du potentiel biométhane des déchets d’abattoirs ». Journal of Renewable Energies 19, no 1 (17 octobre 2023). http://dx.doi.org/10.54966/jreen.v19i1.552.

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Résumé :
Le présent travail consiste à étudier la bio méthanisation, appliquée, aux déchets d’abattoirs, qui peuvent engendrer de grands risques sanitaires et environnementaux, s’ils ne sont pas correctement pris en charge. Du fait qu’ils se décomposent rapidement et peuvent être porteurs d’agents pathogènes et autres contaminants. Le procédé de digestion anaérobie, offre la possibilité de combiner le traitement de ces déchets et la production d’une énergie renouvelable qui est le biogaz. Le but de la présente étude est d’optimiser le taux de dilution des déchets d’abattoirs pour une production maximale en biogaz; les taux expérimentés étant:100%, 75%, et 25%. L’inoculum utilisé pour la digestion de ces déchets est du fumier de bovin digéré jusqu’à épuisement. Le meilleur résultat a été obtenu avec les déchets d’abattoir non dilués, et qui a conduit aux meilleurs taux d’abattement de la matière sèche, de la matière organique, de la DCO et de la DBO5 et correspondant respectivement à 58.83, 67.85, 29.15 et 19.04%.
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Achak, Mounia, Naaila Ouazzani et Laila Mandi. « Élimination des polluants organiques des effluents de l’industrie oléicole par combinaison d’un filtre à sable et un lit planté ». 24, no 1 (1 avril 2011) : 35–51. http://dx.doi.org/10.7202/045826ar.

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Résumé :
L’objectif de la présente étude consiste, d’une part, tester les performances d’un filtre à sable pour diminuer la charge organique des margines diluées à 50 % avec des eaux usées urbaines et, d’autre part, compléter le traitement par l’utilisation d’un mélange de plantes aquatiques composé de Phragmites australis, Typha latifolia et Arundo donax sous un régime d’écoulement vertical. Le pilote expérimental est composé d’un filtre à sable suivi d’un système planté. Le filtre à sable est rempli sur une épaisseur de 50 cm de sable et 10 cm de gravier en haut et en bas du pot. L’alimentation (4 cm•j‑1) se fait en bâchée avec une fréquence régulière de trois fois par semaine. Afin d’améliorer le processus de dégradation dans le filtre à sable, les margines ont été diluées avec des eaux usées urbaines à 50 %. La deuxième étape de traitement se compose d’un bac de capacité (1x1x1 m3) rempli sur une épaisseur de 20 cm de gravier et 60 cm de sol. Le bac est planté d’une combinaison de trois plantes : Phragmites australis, Typha latifolia et Arundo donax avec une densité de huit plants•m‑2 pour chaque plante. L’alimentation du bac se fait par des margines précédemment prétraitées en bâchée de 20 L avec une fréquence régulière de deux fois par semaine. Les résultats ont montré que le filtre à sable assure une neutralisation du pH qui passe de 4,79 à 7,68. L’enrichissement du sable par les micro-organismes permet d’avoir une minéralisation importante de la matière organique. Après dix semaines d’expérimentation, aucun signe de colmatage n’a été signalé, le taux de réduction des MES, de la DCO totale, de la DCO dissoute et des composés phénoliques est d’environ 70 %, 79 %, 76 % et 81 % respectivement. Le traitement subséquent par le mélange des trois plantes montre une augmentation du pH et de la conductivité électrique et une élimination importante de la DCO totale (99,7 %), de la DCO dissoute (99,5 %), des MES (94 %) et des polyphénols (95 %). À la lumière des résultats trouvés, on conclut que le traitement des margines par la combinaison de deux systèmes (filtre à sable et lit planté) permet une élimination importante de la charge organique des margines.
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Takano, Shun‐ichiro, Ngoc Hung Nguyen, Thi Xuyen Le, Ah Nge Htwe et Keiji Takasu. « A simple PCR‐based method for detecting Anagyrus lopezi (Hymenoptera : Encyrtidae) and Prochiloneurus pulchellus (Hymenoptera : Encyrtidae), primary and hyper parasitoids of the cassava mealybug Phenacoccus manihoti (Hemiptera : Pseudococcidae) ». Entomological Science 27, no 2 (mai 2024). http://dx.doi.org/10.1111/ens.12575.

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Résumé :
AbstractEstimating parasitism rates in the field is essential for developing and evaluating biocontrol strategies using parasitoids. In this study, we developed a simple polymerase chain reaction (PCR)‐based method for detecting parasitism of the cassava mealybug Phenacoccus manihoti Matile‐Ferrero (Hemiptera: Pseudococcidae) by the primary parasitoid Anagyrus lopezi De Santis (Hymenoptera: Encyrtidae) and its hyperparasitoid Prochiloneurus pulchellus Silvestri (Hymenoptera: Encyrtidae). Primers were designed to amplify partial cytochrome c oxidase subunit I genes of each species, and their sensitivity was evaluated with mealybugs that had been parasitized by A. lopezi 0, 3, and 6 days earlier, and mummified mealybugs containing A. lopezi pupae that had been parasitized by P. pulchellus 0, 3, 6, 9, and 12 days earlier. The detection rate of parasitism by A. lopezi was 100% for all ages of A. lopezi. The detection rate of parasitism by P. pulchellus ranged from 94.1% to 100%, depending on its developmental stage. For P. pulchellus, template DNA was diluted 10 times before PCR because PCR with the original concentration showed low detection rates, presumably due to the presence of PCR inhibitors. Overall, our primers can be considered sufficiently sensitive to be used for detecting each species.
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Pierrard, Olivier. « Numéro 24 - septembre 2004 ». Regards économiques, 12 octobre 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.16033.

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Résumé :
Depuis plusieurs décennies, le niveau élevé du chômage, en particulier des peu qualifiés, est probablement le problème socio-économique le plus aigu auquel doit faire face la Belgique, mais aussi la plupart des autres pays européens. Pour expliquer ce chômage, un élément qui nous semble important est un coût du travail, surtout pour les peu qualifiés, exagérément élevé. Ainsi, suite notamment à l’introduction des nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC) durant les dernières décennies, la demande de travail qualifié a fortement augmenté, par rapport à la demande de travail peu qualifié, mais les salaires relatifs sont restés inchangés, rendant relativement cher le travail peu qualifié. De plus, du milieu des années 80 jusqu’à la fin des années 90, la fiscalité à charge des employeurs s’est alourdie en Belgique (elle est actuellement presque trois fois plus élevée qu’elle ne l’est aux Etats-Unis ou en Grande-Bretagne) et cela a encore accentué les effets négatifs du progrès technologique sur les peu qualifiés. C’est pourquoi, afin de toucher directement la population en difficulté, nous plaidons pour une baisse des cotisations patronales, ciblée sur les bas salaires, c’est-à-dire sur les salaires perçus par les peu qualifiés. De plus, tant la théorie économique que des études plus fouillées nous enseignent que ce sont les réductions ciblées sur les très bas salaires, et en particulier sur le(s) salaire(s) minimum(s), qui sont les plus efficientes en matière d’emploi et donc, les moins coûteuses. Par exemple, selon nos propres estimations, une réduction des cotisations patronales, de l’ordre de 0,2 % du PIB, ciblée sur le salaire minimum, créerait 60.000 emplois, alors que seulement 10.000 emplois seraient créés avec des réductions, d’un même montant global, distribuées à l’ensemble des salaires. Par ailleurs, la première politique serait ex post autofinancée (plus d’emploi donc plus de revenus provenant de la fiscalité du travail et moins d’allocations chômage à payer), alors que la seconde resterait coûteuse pour l’Etat, même à long terme. Ces dernières années, plusieurs mesures de réductions des cotisations patronales ont déjà été appliquées. Mais la tendance actuelle est plutôt d’élargir les réductions à l’ensemble des salaires. Par exemple, le complément de réduction des cotisations patronales pour les bas salaires est actuellement accessible en deçà d’un salaire brut de 1.770 € par mois, mais ce plafond passera à 1.957 € en 2005. Nous demandons une politique inverse et un reciblage de ces mesures vers les très bas salaires. Pratiquement, le salaire minimum brut légal mensuel est actuellement de 1.186 € et les salaires minimums sectoriels sont en moyenne plus élevés de 25 %. En ciblant les réductions sur les salaires inférieurs à 1.500 €, on toucherait donc en grande partie les travailleurs payés à un des salaires minimums, et les effets sur l’emploi, en particulier celui des moins qualifiés, seraient importants. De même, plutôt que de diluer à plusieurs types de salaires le montant global accordé pour les réductions, nous demandons de diriger l’ensemble des moyens sur les bas salaires. La politique que nous préconisons doit cependant être vue comme une politique de court terme visant à répondre à un problème spécifique qui est le chômage des peu qualifiés. Il ne faut cependant pas occulter qu’il est également nécessaire d’investir dans une politique de long terme, visant à augmenter l’offre de travailleurs qualifiés, c’est-à-dire une politique passant par un effort d’éducation.
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Pierrard, Olivier. « Numéro 24 - septembre 2004 ». Regards économiques, 12 octobre 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2004.09.02.

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Résumé :
Depuis plusieurs décennies, le niveau élevé du chômage, en particulier des peu qualifiés, est probablement le problème socio-économique le plus aigu auquel doit faire face la Belgique, mais aussi la plupart des autres pays européens. Pour expliquer ce chômage, un élément qui nous semble important est un coût du travail, surtout pour les peu qualifiés, exagérément élevé. Ainsi, suite notamment à l’introduction des nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC) durant les dernières décennies, la demande de travail qualifié a fortement augmenté, par rapport à la demande de travail peu qualifié, mais les salaires relatifs sont restés inchangés, rendant relativement cher le travail peu qualifié. De plus, du milieu des années 80 jusqu’à la fin des années 90, la fiscalité à charge des employeurs s’est alourdie en Belgique (elle est actuellement presque trois fois plus élevée qu’elle ne l’est aux Etats-Unis ou en Grande-Bretagne) et cela a encore accentué les effets négatifs du progrès technologique sur les peu qualifiés. C’est pourquoi, afin de toucher directement la population en difficulté, nous plaidons pour une baisse des cotisations patronales, ciblée sur les bas salaires, c’est-à-dire sur les salaires perçus par les peu qualifiés. De plus, tant la théorie économique que des études plus fouillées nous enseignent que ce sont les réductions ciblées sur les très bas salaires, et en particulier sur le(s) salaire(s) minimum(s), qui sont les plus efficientes en matière d’emploi et donc, les moins coûteuses. Par exemple, selon nos propres estimations, une réduction des cotisations patronales, de l’ordre de 0,2 % du PIB, ciblée sur le salaire minimum, créerait 60.000 emplois, alors que seulement 10.000 emplois seraient créés avec des réductions, d’un même montant global, distribuées à l’ensemble des salaires. Par ailleurs, la première politique serait ex post autofinancée (plus d’emploi donc plus de revenus provenant de la fiscalité du travail et moins d’allocations chômage à payer), alors que la seconde resterait coûteuse pour l’Etat, même à long terme. Ces dernières années, plusieurs mesures de réductions des cotisations patronales ont déjà été appliquées. Mais la tendance actuelle est plutôt d’élargir les réductions à l’ensemble des salaires. Par exemple, le complément de réduction des cotisations patronales pour les bas salaires est actuellement accessible en deçà d’un salaire brut de 1.770 € par mois, mais ce plafond passera à 1.957 € en 2005. Nous demandons une politique inverse et un reciblage de ces mesures vers les très bas salaires. Pratiquement, le salaire minimum brut légal mensuel est actuellement de 1.186 € et les salaires minimums sectoriels sont en moyenne plus élevés de 25 %. En ciblant les réductions sur les salaires inférieurs à 1.500 €, on toucherait donc en grande partie les travailleurs payés à un des salaires minimums, et les effets sur l’emploi, en particulier celui des moins qualifiés, seraient importants. De même, plutôt que de diluer à plusieurs types de salaires le montant global accordé pour les réductions, nous demandons de diriger l’ensemble des moyens sur les bas salaires. La politique que nous préconisons doit cependant être vue comme une politique de court terme visant à répondre à un problème spécifique qui est le chômage des peu qualifiés. Il ne faut cependant pas occulter qu’il est également nécessaire d’investir dans une politique de long terme, visant à augmenter l’offre de travailleurs qualifiés, c’est-à-dire une politique passant par un effort d’éducation.
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Mac Eochagain, Bridget. « “Something has to change” ». M/C Journal 26, no 4 (22 août 2023). http://dx.doi.org/10.5204/mcj.2978.

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Résumé :
In April 2022, I found myself in the Harold Pinter Theatre on the West End, waiting to watch Jodie Comer star as protagonist Tessa Ensler in Suzie Miller’s Prima Facie. Surprised that after two years of on-and-off-again lockdowns due to COVID-19, I had finally made it all the way overseas to see this Australian play on the British stage, I asked the person next to me if they were excited to see the show. She was a young, twenty-something woman who smiled and said, “I can’t wait to see Jodie Comer in the flesh”. I asked what she knew about the play, and she told me a friend had given her a ticket because she was a Jodie Comer fan and that she did not know anything about the play before coming tonight. I was apprehensive on her behalf, knowing she was about to see a profound performance of a woman processing her own rape on stage, without forewarning. I realised in this moment how far this play had come in a brief period, from its first small run at the Stables Theatre in Sydney to London’s West End, in spite of a global pandemic. After the play ended, I turned to ask my neighbour what she thought. She was crying. After several moments, she praised Comer’s performance, launching into her thoughts on how powerful this play was, how profound an impact it could have for discussions of sexual assault. Prima Facie’s international success, emerging in the wake of the #MeToo movement and COVID-19 pandemic, seems like no coincidence. The negative impact of these two cataclysmic and simultaneous—in that they have impacted and intersected in Western society since their initial emergence—events on the collective health and wellbeing of society cannot be understated (Sehrbrock). They highlight the need to consider how we can enact change within our structural systems to foster frameworks that support our most vulnerable. If we acknowledge the potential for contemporary theatre as a site for political change, we can evaluate its vital role in the wake of such events in framing the problematic issues that exist within society, such as rape culture, as something we can and should critically reflect upon; something Prima Facie has the power to do. While Prima Facie does not have the ability to lessen the impact of COVID-19, its run on the West End marked the beginning of a return—in Western countries at least—to live theatre and events, and as such, a return to the commentary on life and society that theatre can provide. Leading theatre scholar Lisa Fitzpatrick asserts that contemporary rape plays “emerge from personal and collective experience” (220), showing us that contemporary theatre like Prima Facie is created both because of, and to provide a discourse on, real-world situations. This article will argue that Prima Facie has immense value in reshaping what wellbeing means to us in light of these global events—particularly in relation to the #MeToo Movement, which centred women's voices and experiences in contemporary legal and political spheres—and thus shows the possibility for shifting policies, practices, and perceptions to promote and protect the self. The play expertly interrogates the political, legal, and social systems in which those in a liberal democracy, like Australia—and by extension, the UK and USA—all live; those which arguably have been established with the overall wellbeing and benefit of society in mind. The play’s protagonist, Tessa Ensler, is an accomplished criminal barrister who has built her career representing defendants accused of sexual assault. When Tessa herself is the victim of a rape, she faces the reality that society’s legal and political systems, while pursuing 'legal truth’—the idea that truth in a courtroom is often shaped by cultural beliefs and perceptions, rather than objective truth (Tidmarsh and Hamilton 2)—, do not make adequate adjustments for a woman’s lived experience of sexual assault. Shannon Taylor elaborates on this from her own experience as a sexual assault victim when she states that fact is capitulated and, under the male gaze of patriarchy and arguments of legal dialect where concepts of truth, morality, ethics and justice are foreign entities, the experience, the evidence of survivors is oftentimes rendered useless, or at best fragmented, diluted, sanitised, modified. (Taylor 64) Victims of sexual assault are in a unique position as the complainant and (usually) sole witness in a prosecution case and thus bear a greater burden than many other types of crimes (Taslitz 6). These cases can fail to recognise the trauma undergone by a woman in such a position, and the struggle to provide convincing evidence in legal prosecution—or, as in most cases, absolution—of the defendant. Moreover, the staggeringly low conviction rate for sexual assault, which sits at less than one percent (Daly and Bouhours 566), does not bode well for an alleged victim’s confidence in reporting such a crime, or agreeing to stand trial if an eventual prosecution were to happen. The audience is positioned to witness Tessa peel back the patriarchal layers of the legal system and look at the socio-cultural barriers that have held victims of sexual assault back from achieving justice: “we do not interrogate the law’s own assumptions, instead we persist in interrogating the victim … there cannot be any more excuses. It must change” (Miller 93). Thus, the spectators of Prima Facie are left with the play’s final words, “something has to change” (Miller 97), lingering on, challenging them to conceive of a system where the wellbeing of sexual assault victims is prioritised alongside the pursuit of legal truth. It ultimately calls for a revision of the systems that exist, and for the promotion of significant, systemic change, both to better the wellbeing of individual victims, but also our society as a whole. Miller attacks these systems in a strategic manner, persuading the audience into sharing in this belief that for society to achieve wellbeing for all its members, it must ameliorate the parts that neglect and damage our most vulnerable. Tessa’s journey over the course of the play has the power to threaten these systems within society, highlighting the ways in which they expose victims of sexual assault to re-traumatisation, social rejection, and a statistically likely loss in court (Spohn 89). Tessa’s story arc is presented to the audience as symptomatic of the systems—specifically the law—that uphold problematic representations of rape and its victims in society. Tessa is first presented to the audience as a young, determined criminal barrister with an uncompromising stance towards the sexual assault cases she takes on. She argues that it is not her job to determine if the crime happened, but rather “find holes in the case and keep the police honest. Protect society” (Miller 31). Tessa holds firm to the belief that the law is fair and just, that innocent until proven guilty is “the bedrock of how you keep a society civilised” (Miller 30) and “if a few guilty people get off then it’s because the job wasn’t done well enough by the prosecutor and the police” (Miller 35). The audience watch Tessa cross-examine alleged victims of rape; doing so with disarming frankness, posturing that she is testing the law, “test[ing] her word, her version of the story” (Miller 41). In reality, she is conforming to the long-held socio-cultural belief that, despite rape being a deeply personal trauma against oneself, complainants must remain clear and “composed” (Miller 41) to have a chance at winning their case within the rules of the law, upheld via gendered scripts of what a rape victim should look like (Donat and D’Emilio; Fraser; Herman; Ullman). Feminist scholar Tara Roeder grapples with this struggle for women who testify in rape cases, as they “will indeed find themselves under intense pressure to tell clear, concise, and coherent accounts of the violence they have undergone” (18), which can serve to challenge and deny their experience if not presented in the neat package that the legal system demands. This ideology begins to waiver when Tessa is sexually assaulted by her colleague Julian. In acting out the particulars of her own rape on stage—by not only someone Tessa knows, but someone she works with and has been dating—Tessa reminds the audience that rape is not only more pervasive and common in society than acknowledged, but that it can often happen in a way that is less clear cut than is often socially understood. Tessa becomes the voice of reason in a culturally complex issue, positioned on both ‘sides’ of the law—a defence barrister and later victim—and thus in an impossible situation of an adversarial legal system which demands that one side wins and the other loses. This highlights the problematic nature of legal processes being a game, where the ‘winner’ of the case is which lawyer tells the best version of their client’s story (Miller 35). What this system fails to acknowledge is that the reality of attending a trial—where they are in many ways positioned as being ‘on trial’—and having to recall an immense bodily and mental trauma whilst on the stand may often expose rape victims to social ostracism and denial. Additionally, in many cases the absence of corroborative evidence in a rape case is enough to tip the scales in favour of the defendant, yet this is the paradoxical nature of rape: sometimes all you have is your word against theirs. Literature and Human Rights scholar Eleni Coundouriotis unpacks the mechanics of this tension in her article “You Only Have Your Word”, making it evident that “the sexual assault complainant’s testimony has unique significance because it carries most of the burden of proof on the issue of consent” (366), and, despite being a witness to the crime being committed, their testimony can be easily dissected within a trial, and positioned to the judge or jury—depending on the case—as not true by its very nature of being a story. For legal truth, however, it must be ‘beyond reasonable doubt’ as to whether the crime was committed: a difficult thing to determine in issues of consent, as “the defence doesn’t have to prove she did not consent[,] you just have to point out that HE DID NOT KNOW there was NO CONSENT. That it was reasonable for him to think it was okay” (Miller 40). The ultimate difficulty in trying a rape case is that there will almost always be ‘reasonable’ doubt as to the events that took place. The audience sees Tessa process this in real time after she is raped, where she acknowledges the fallibility of the law—and her own previously espoused beliefs—in the attempted prosecution of alleged rapists, and in protecting the women who have been raped. It is only when Tessa faces the same system as a victim, complainant, and witness that she begins to question whether the legal system deserves her unwavering faith. Tessa realises while giving her own testimony that it is more likely that “the events described by the victim in her testimony are usually ambiguous” (Harrison et al. 27) and thus less likely to fit the ‘rape script’ expected of them. Tessa once believed that the peripheral details of a rape (such as what the victim was wearing, how her hands were positioned, how often she attempted to say no, how much she had to drink) are key to determining the legitimacy of the rape occurring. Yet as Tessa herself learns: “as a victim-survivor, let me tell you that the rape and perpetrator are vividly recalled, the peripheral details not so clearly” (Miller 94). Only upon experiencing this first-hand is Tessa—and by extension the audience—able to see that the legal system is not actually fair and just in all cases. Miller emphasises this arduous process for rape victims, reinforcing that it can be re-traumatising to “relive their humiliating experience and then doubted as to their motives for reporting a hideous crime against their person” (7). As the audience go on this journey with Tessa, they are exposed to the idea that to establish better personal and legal outcomes for rape victims, we must reshape the way in which we not only try rape cases, but how we perceive victims themselves. Tessa’s rape is portrayed as emblematic of a larger societal issue that is rooted in the structural systems that have long favoured those accused of sexual assault, rather than those victimised by it. Andrew Taslitz captures this when he states that “despite several decades of a renewed women’s movement and increasing attention to the problem of rape, judges and juries continue to be sceptical of rape, demanding greater proof than for many other types of crimes and demonstrating deep suspicion of victims” (6). Prima Facie shows the law’s inability—shaped by preconceived rape stereotypes coupled with complex patriarchal gender dynamics—to try rape cases in a way that accounts for the lived experience of women and the complicated nuances of rape. Prima Facie proposes that the law’s inadequate grasp of the victim’s mental state after the event, and inability to find ways to interrogate or prosecute the accused in a manner that protects their victims, are to its detriment. This is not to say that the solution for rape cases is to absolve victims from having to testify about their experience, but to explore other methods for pinpointing the truth without re-traumatising victims. In the writer’s note of Prima Facie, Miller reinforces this idea when she posits that “for Tessa, seeing the law for what it is, an imperfect human construct, constantly evolving within social changes, frees her to find her voice and call us all to action” (9). Prima Facie does not attempt to provide solutions, but challenges us to consider how we are complicit in the systems that do not protect some of its vulnerable members, and thus ask ourselves what we can do to reimagine the way society could and should change for the better. What Prima Facie does successfully is to politicise the criminal justice system to question our ability to evolve as a society if we are effectively unable to interrogate how the law is failing its most vulnerable. Miller builds a relatable and engaging narrative of an individual who understands and supports the system but is confronted with the reality that she is unable to receive justice within this system. In doing so, the audience is presented with a subversive rape narrative—that is, a narrative in which the patriarchal structures that protect and uphold rape culture are being interrogated and challenged to reveal their flaws and demand socio-cultural change—that is not only hard to ignore, but one that challenges us to consider how these systems are working against us to impede our achievement of individual and collective wellbeing. Roeder captures the nuanced power of subversive rape stories filtering into social conscience, asserting that “the continued construction—and the ethical reception—of rape narratives … can not only help victims of violence regain control of their own experience but are valuable in expanding narrowly conceived social constructions of what rape victims ‘are like’” (27-8). Miller’s play positions the audience as witness to a relatable, witty, and intelligent woman as the victim of such a crime who can rebuild herself in the aftermath, despite the system’s fallibilities and inclination to silence and erase her experience. Like the audience member who sat beside me at Prima Facie’s West End debut, and who had such an emotional reaction to the play’s subject matter, it is easy to see how bearing witness to Tessa’s rape and the subsequent trial is vital. It can generate necessary discourse about the value in challenging these systems to promote individual wellbeing for victims of sexual assault, and by extension, push us towards creating a better, more just society. Tessa’s experience in the court room is “shaped by the male experience, its cases decided by generations of male judges and its statutes legislated by generations of male politicians” (Miller 7), which she highlights can fail to accept a victim’s testimony as truth if it does not fit within the patriarchal rules of ‘rape’. The audience are encouraged through Tessa’s story to consider their own complicity in such systems, as a direct result of societal misconceptions about rape and rape victims being shaped by the male—or patriarchal—experience. The audience are presented with multiple rape narratives in Prima Facie, leading us to see Tessa’s trial, testimony, and cross-examination, aptly titled in the play as “the Silencing” (Miller 81), as the hardest to watch. Miller weaves a complex tapestry, which reminds us that fundamentally, each story of rape varies in its particulars; there is no one narrative that can contain these explosive and singular moments of disruption. Yet, placed beside each other, these experiences … function as a reminder of the complex power associated with not only the telling, but the hearing, of such stories. (Roeder 28) After the audience is led to this conclusion, the play’s voice of reckoning demands of them that something must change—and that this change begins with them. Miller does not ask this only of the average theatre-goer, but of those who have the power to make a difference. For its opening run with Griffin Theatre Company in Sydney, Prima Facie staged a one-night performance specifically for female judges, barristers, solicitors, lawyers, and politicians, followed by what Miller describes as “a long and exciting discussion where played out before me was an authentic intersection between art and social change” (Miller 8). Miller saw the positive reception to the play as “a beacon of hope for future generations” (Miller 8), as she witnessed the Law Reform Commission attend a matinee, and a series of boys’ schools attend the production. Additionally, many performances internationally and in Australia have been followed by poignant Q&As, positioning this play as a site for political and social change. This is achieved by placing the production team alongside professionals within the field of law to promote these discussions. Miller saw the potential for this play not only to challenge social perceptions of rape held by people within society, but also as a driving force for enacting real and tangible change to the systems by generating discourse with those who, like (the fictional) Tessa, work within such systems. Similarly, for its West End debut, Prima Facie collaborated with The Schools Consent Project, gifting tickets to partner school groups, providing support to students who attended, and donating some of its profits to this not-for-profit organisation. The founder of The Schools Consent Project, Kate Parker, spoke of this collaboration as crucial, in that the play shines a critical spotlight on the themes of consent, the criminal justice system and the female experience – topics we discuss daily with young people in classrooms across the country in our lawyer-led workshops on consent. The production is radical for a West End stage, as is its willingness to have a wider community reach. We are very excited about the impact of this partnership on the behaviour and thinking of the young people we work with. (qtd. in Wood, par. 3) The targeted community outreach linked to its West End run has propelled Prima Facie’s impact beyond the theoretical—or fictional—and into the practical, promoting new ways of thinking about the systems within which society operate, and encouraging those who will effectively dominate the system’s future to consider ways in which we can change. The collective wellbeing of society and its individuals can be brought about by the types of theatrical narratives that have emerged in the contemporary era, like Prima Facie, as it encourages a necessary discourse about the pervasiveness of rape and the fallibilities of the (still) patriarchal systems we have in place through which to examine and test accusations of this kind. This fallibility is preventing society from becoming better; improving for the greater good of all who belong to it. For us to do so, we must consider how our collective complicity in such systems has only contributed to its success in neglecting rape victims at their most vulnerable. Lester Brathwaite captures this eloquently in his review of Prima Facie’s Broadway review for Entertainment Weekly when he writes: “the emotional and physical toll of a performance like this, and the truths it brings to light, is akin to a public service” (par. 16). The play and performance’s ability to reveal the layers of oppression that sit beneath the surface of society and force the audience to look within are powerful, and potentially transformative. References Bix, Brian H. "Linguistic Meaning and Legal Truth." Law and Language: Current Legal Issues. Vol. 15. Eds. Michael Freeman and Fiona Smith. Oxford: Oxford UP, 2013. 34-44. Coundouriotis, Eleni. “‘You Only Have Your Word’: Rape and Testimony.” Human Rights Quarterly 35. 2 (2013): 365–85. 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